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développement/beaucoup:bcp/pdt:produit/donc:dc/p°:production/pr:pour/dans:ds/demande:Dde/exportation:
X/importation:M/concurrence:Cce/ Cment: comment/ Qté: Qté/ entreprise:E/se.
Progressivement, la fabrication de ces pdts va se délocaliser vers des pays en voie de développement répondant à
ces caractéristiques de coûts.
Ds l’industrie du Textile, des pays leaders à l’X se sont détrônés l’un après l’autre. Les anglais qui dominaient
cette industrie à l’époque de la révolution industrielle, ont été supplantés par les Américains avec la mécanisation
poussée de leur industrie du coton. Vers 1950, le Japon est parvenu à éclipser les Américains pour être, à son
tour, devancé par les nouveaux pays industrialisés à faibles coûts de main-d’oeuvre : Taïwan, Hong Kong et la
Corée du Sud. Ces derniers font face actuellement à une vive concurrence livrée par d’autres pays : Inde, Chine,
Malaisie…etc.
Section 2 : Economies d’échelle et échange international.
-La théorie traditionnelle pose l’hypothèse de rendements croissants. La spécialisation internationale n’est
déterminée que par leurs différences les uns des autres : différence de productivité chez Ricardo, différence de
dotations factorielles chez les suédois.
-Selon la théorie traditionnelle, la taille des nations n’a aucun impact sur la spécialisation internationale.
-En pratique, bcp d’industries sont caractérisées par des rendements croissants ou des économies d’échelle.
-Les économies d’échelle ou rendements croissants expriment une réduction du coût moyen du pdt lorsque la
Qté produite augmente ; autrement dit, la Qté de travail incorporée par unité de p° est d’autant plus petite que la
Qté produite est grande.
-Il y a économies d’échelle ds une industrie lorsque l’accroissement du volume des facteurs utilisés engendre une
augmentation plus élevée, en pourcentage, de la p°. Le fait de doubler les intrants ds une industrie augmente la
p° de cette industrie de plus du double.
À ce niveau, deux questions se posent : Cment les économies d’échelle donnent naissance à un échange
international ? Et Cment un gain à l’échange est garanti pour les deux partenaires ?
-La concentration de p° d’un bien x, auparavant fabriqué ds deux pays A et B.Le pays A peux produire ce bien
avec la m Qté de facteurs que celle nécessaire ds deux pays .Les facteurs supplémentaires nécessaires pr
accroître la p° du bien x dans le pays A exige l’abandon de la production d’autres biens, qui seront produits ds le
pays B, pr le bon développement de ces facteurs .
-La concurrence imparfaite introduit une forme d’endogénéisation de la spécialisation. Comme la spécialisation
permet à un pays de bénéficier des gains de productivité liés aux économies d’échelle. Cette productivité
supérieure est la conséquence de la spécialisation, car c’est l’échange qui induit des différences de performances.
-Deux types d’économie d’échelle se distinguent:
2.1. Les économies d’échelle internes:
Ces rendements sont directement liés à la taille de l’E/se, et dc à la taille de l’unité de p° aussi. La p° d’une
grande firme est supérieure à celles plus petites.
Les raisons de l’existence des économies d’échelle sont à rechercher dans 3 principales sources :
Le principe d’indivisibilité: On soutient qu’on ne peut augmenter les facteurs de P° que par unités entières, ce
qui place la p° à un niveau plus élevé.
La division du travail: Les grandes firmes ont bcp plus de liberté à spécialiser les travailleurs ds des tâches où ils
performent mieux, d’où une meilleure productivité et un accroissement substantiel de la p°.
Les couts fixes : Les coûts fixes s’amortissent avec la Qté de p°, de sorte que le coût unitaire de p° diminue avec
la hausse du niveau de p°.
2.2. Les économies d’échelle externes:
Ils existent lorsque l’efficacité d’une firme quelconque est influencée positivement par la taille du secteur ou du
pays. Dans ce cas, les unités de p° peuvent être de taille réduite, mais la taille du secteur d’activité influe sur les
coûts de p° C’est le cas par exemple, lorsque les industries sont concentrées dans un lieu donné (exemple:
Silicone Valley), ce qui leur permet de bénéficier:
D’infrastructures plus développées.
D’une offre de services plus appropriée.
D’une offre de travail spécialisée, plus compétente, plus productive,
Des « retombées en connaissances » plus importantes.
L’existence d’un marché du T sur lequel se déplacent des techniciens et des ingénieurs, des groupements
professionnels qui peuvent créer des coopérations en matière de formation de recherche, de commercialisation.
Ainsi, la concentration dans un pays ou dans une région d’un type d’activité économique est génératrice
d’avantages au profit de celui-ci.(Exemple Suisse).
Les économies d’échelle externes peuvent expliquer des spécialisations et des gains de l’échange international
entre pays semblables.
Section 3 : La demande représentative et la différenciation des produits.
Le fort développement des échanges de pdts similaires entre les pays pose aussi un problème à la théorie des
avantages comparatifs. En effet, la spécialisation devrait conduire chaque pays à être soit exportateur, soit
importateur d’un pdt donné. Or, la part croissante du commerce « intra-branche » ne peut s’expliquer par la
Abréviations: R&D:recherche et
développement/beaucoup:bcp/pdt:produit/donc:dc/p°:production/pr:pour/dans:ds/demande:Dde/exportation:
X/importation:M/concurrence:Cce/ Cment: comment/ Qté: Qté/ entreprise:E/se.
théorie des dotations en facteurs de po puisque les pays qui s’échangent des flux simultanés d’X et d’M pour les
ms pdts ont des caractéristiques très voisines. Similaires, ces pdts ne sont jamais identiques et c’est précisément
la différenciation des pdts qui explique l’échange.
3.1. La théorie de la « demande domestique représentative » de Linder:
-Linder pointe du doigt une limite de la théorie des avantages comparatifs qui s’intéresse aux seules conditions
de l’offre de pdts, alors que les caractéristiques de la Dde sont bien souvent déterminantes.
-Un bien n’est susceptible d’être exporté que s’il est d’abord l’objet d’une forte Dde interne: le grand marché
interne produit l’avantage comparatif parce que l’incitation à l’innovation y sera plus forte, en plus parce que le
volume de la po entraînera des économies d’échelle, aussi parce que les informations nécessaires à l’extension du
marché deviennent moins coûteuses. Le pays exportera dc plus facilement le pdt pr lequel il a une Dde intérieure
relativement forte.
-Les caractéristiques d’un pays cible:
La qualité et la nature des pdts consommés dépendent du niveau de vie et du niveau des salaires. Le pdt ne
pourra donc être exporté que ds les pays à niveau de revenu par tête, donc à dotation en facteurs comparables,
l’identité de ce dernier facilite le commerce qu’entravent au contraire leurs différences. Il n’est plus question de
spécialisation des po mais de différenciation des pdts, ce qui tend à nous éloigner de la Cce complète.
X La reproche de Henri-F. Henner adressé à la théorie de Linder est son incapacité d’expliquer les causes de
l’M, comme elle l’a fait pour celles de l’X.
C’est la théorie de la Dde de différence développé par B. Lassudrie-Duchêne qui permet de combler cette
insuffisance.
3.2. La différenciation des produits et le commerce international:
-La théorie de la Dde de différence développée par B. Lassudrie-Duchêne complète l’interprétation de Linder
en montrant que les consommateurs d’un pays exportateur d’un bien peuvent demander et consommer un pdt
substituable importé. Le rapport qualité-prix intrinsèque n’est pas le seul déterminant de la Dde. Pr certains
consommateurs, la Dde est également influencée par un désir de se particulariser.
La différenciation des pdts permet d’expliquer le commerce intra-branche par une Dde de différence de la part
des consommateurs.
- La différenciation des produits peut être:
Verticale: La différenciation peut porter sur la qualité du pdt (voiture plus puissante, plus rapide, plus économe
en carburant). L’E/se cherche à couvrir par sa po une gamme plus complète par des pdts de haute gamme, de
gamme moyenne et de bas de gamme. L’objectif est d’exploiter la disparité de la Dde, non pas en termes de
goûts, mais de revenus.
Horizontale: Concerne la variété des caractéristiques d’un produit à qualité identique (emballage, couleur,
proximité,…..). L’entreprise s’efforce pour lancer sur le marché des variétés différentes des variétés déjà
existantes. L’objectif est d’exploiter la disparité de la demande due à la diversification des goûts des
consommateurs.