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mondialisation procésus de constitution d’un marche à l’échelle national.

Avantage absolut (adam smith ) les pays ont intéret à se spécialiser dans le domaine dans lequel il a
des coups de productions inférieurs à ceux d’autres pays.

La cause de la spécialisation de chaque pays dans telle ou telle production proviendrait de


l’abondance ou la rareté relative des facteurs de production. Ici, l’Ethiopie a intérêt à se spécialiser
dans la vente de fleur, car ils ont un climat favorable à la culture de fleurs toute l'année en raison de
ses conditions météorologiques ils ont alors des fleurs en abondance. L’Ethiopie a aussi une main
d’œuvre abondante et peu couteuse, ce qui rend les fleurs plus rentable, car ils peuvent offrir des
prix compétitifs sur le marché, parce que les couts de productions sont faibles. Comme HOS dit
« un pays a un avantage dans l’activité qui utilise intensément le facteur dont il est le plus
abondamment doté ». Se spécialiser dans la vente des fleurs va leur permettre de créer des emplois
et va leur permettre de diversifier dans l’économie.

Avantage comparatif ( David ricardo ) production pour laquelle un pays possède des avantages de
coûts relatifs par apports aux autres productions

dotation factoriel et technologique ( HOS ) spécialisation dans la production dont il est


naturellement avantagé en terme de production.

Economie d’échelle : lorsque les quantités produites augmentent, les couts fixe sont repartis sur un
plus grand nombre de produits, donc le cout par produit baisse et le bénéfice par produit augmente.

Organisation du commerce:
-fond monétaire international
-banques mondiale
-GATT ( accords sur les tarifs douaniers et le commerce )
-Organisation mondiale du commerce

ces dernières permettent le libre échangent

DIPP: division international procésus de production


FTN: firme trans national

les FTN profitent des différentes institutions dans les pays (mains d’oeuvre ou centre de recherches
qualifié) La délocalisation c’est quand une entreprise ouvre une autre entreprise à l’étranger.
Beaucoup d’entreprises délocalisent leur entreprises, pour qu’ils profitent du cout de production
plus faible. La délocalisation peut servir à atteindre un marché porteur.

Une firme multinationale est une firme qui fabrique des produits (qui réalise des opérations de
productions) dans deux pays au moins, elle est multinationale. Elle a une ou plusieurs filiales à
l’étranger. Il faut que la société mère possède au moins 10% du capital dans l’entreprise à
l’étranger, pour dire que c’est sa filiale. Pour avoir une filiale à l’étranger, la société mère peux soit
racheter une entreprise, ou soit commencer à partir de rien, donc la créé à partir de zéro. Dans ce
cas-là, la firme réalise un IDE (investissement direct à l’étranger).

Les déterminants des délocalisations ne se réduisent pas à l’exploitation des différences de couts
salariaux. Les pays développés comme le Canada, l’Irlande, Singapour accueillent une part
importante des délocalisations, alors que leur couts salariaux sont très élevés. Les FMN recherchent
également l’accès à des marchés porteurs important, une main d’œuvre qualifié, une forte
productivité du travail, les risques géopolitique comptent également, le taux de change peut compter
et les différences linguistiques jouent aussi un rôle important.

la compétitivité hors prix est la capacité d’une firme à vendre ses produits ou services
indépendaments de leur prix, en raison de leur valeur ajouté.

La compétitivité prix est la capacité à produire des biens et des services à des prix inférieurs de ceux
des concurents pour un qualité équivalente.

IDE: investissement direct à l’étranger

les pays qui perçoivent des IDE gagnent en compétitivité ( amélioration de sa solde commerciale,
différence importation exportation)

chaine de valeur : c’est l’ensemble des étapes du processus productif, qui permet à un secteur ou
une entreprise d’obtenir un avantage concurrentiel et donc cette chaine de valeur s’internationalise.

Depuis de nombreuses années, le commerce extérieur français est déficitaire, la compétitivité n’est
donc pas suffisante. Quelles mesures doivent être mis en œuvre pour l’améliorer, que ce soit au
niveau de l’Etat, qu’au niveau d’une entreprise ?
Ils doivent faire des innovations, donc investir dans la recherche et le développement pour créer des
produits et des services innovants qui peuvent se démarquer sur le marché mondial. Il doit y avoir
plus de compétitivité intellectuelle : l’état doit investir dans la capital humain (bonne santé et bien
éduqué).
Ils doivent faire des innovations de procédés : permet de mettre de nouvelles techniques de prod et
être plus compétitif. Innovations de produits est très important : pour inventer un produit qu’elle est
le seul à savoir faire et quelle aura le monopole => augmente la demande, vendre plus, meilleure
compétitivité hors prix.
L’état doit favoriser la recherche et le développement dans ses propres laboratoire et aussi dans les
entreprises.
La fiscalité doit être réduite.
Pour la compétitivité au niveau du prix, ils devront proposés des prix plus faibles comparés aux
concurrents et baissé le coup de productions et augmenté le nombre de vente, et pour la
compétitivité hors prix, ils doivent innover dans les caractéristiques physique du produit.
Les employés doivent être tout le temps mis à jour, dans les formations.
Ils doivent investir aussi en infrastructure.
Si le pays a un bon commerce extérieur, le chômage est réduit et va donner du travail.

Le cout du transport a beaucoup diminué grâce aces portes conteneurs. Les couts de communication
ne sont plus chers du tout grâce à Internet. La Chine est arrivée sur le marché de l’emploi ; il y a
beaucoup de personnes qui travaillent pour un salaire faible, et donc toutes les entreprises vont aller
là-bas, car c’est hyper rentable. Le décollage économique de la Chine a permis de réduire les couts
de productions, grâce à une main d’œuvre très bon marché. Les accord de libre-échange ont permis
de diminuer, voire de disparaitre les droits de douanes.
Les firmes multinationales (FMN) adoptent différentes stratégies pour maximiser leur efficacité et
leur rentabilité à l'échelle mondiale. Deux principales stratégies sont souvent mises en œuvre : la
sous-traitance et la délocalisation. Les FMN peuvent choisir d’externaliser une partie de leur
production en faisant appel à d’autres entreprises pour effectuer les tâches spécifiques, par exemple
Dacia qui fabrique des voitures pour Renault, profite alors du savoir-faire et de la technologie de
Renault. Aussi, les FMN ont le choix entre localiser ou délocaliser leurs activités de production à
l'étranger, par exemple ils peuvent faire une délocalisation absolue, où une entreprise ferme ses
installations dans un pays pour en ouvrir de nouvelles dans un autre territoire. Les facteurs
favorisant ces stratégies sont multiples. Avec l’accès à des marchés porteurs, les entreprises peuvent
exploiter de nouvelles opportunités commerciales. La délocalisation des FMN fait une différence au
niveau des couts de production, qui sont plus bas, donc plus avantageux. Une main d’œuvre
qualifié, une forte productivité du travail et les risques géopolitique rentrent aussi en jeu.
Les avantages
1 Chaine de production mondialisée
2 De diminuer les couts en profitant des avantages comparatifs, meilleure compétitivité prix,
maximiser d’autres avantages (profiter des savoirs faire, des matières premières). Si elle se
fait par externalisation, elle peut donner lieu a des transferts de technologie (Dacia…).
L’entreprise qui externalise peut également profiter du savoir-faire du sous-traitant
3 Profiter d’un marché particulier, se rapprocher de la clientèle
4 Stratégie hybride, c’est lorsqu’une entreprise s’installe sur un marché pour profiter de
plusieurs avantages à la fois. Exemple pour l’Oréal : cout main d’œuvre et demande en
croissance. Exemple pour Toyota : demande, situation géo, main d’œuvre qualifiée,
infrastructure, équipementier.
DIPP encouragé
- Par la baisse des couts des transport, baisse des droits de douanes, baisse le cout de
communication à la suite de l’avènement d’internet. Au décollage économique de la Chine
qui permet de réduire les couts de production notamment grâce à une main-d’œuvre bon
marché.
- La DIPP augmente fortement le commerce intra firme et le commerce international mondial
accroit la DIT (division internationale du travail), activité tertiaire pour les PDEM (pays
développé à économie de marché) et de fabrication pour les pays émergent en
développement.

Pour les économistes libéraux, la division internationale du travail, l’ouverture au commerce


international et le libre-échange favorisent la croissance et le développement des pays. Ils profitent
à la fois aux producteurs et aux consommateurs et ont des effets cumulatifs puissants.
 Pour les producteurs
- libre échange 
-concurrence internationale  beaucoup de concurrence  ils doivent donc innover
 Pour les consommateurs
Grace au commerce international, les consommateurs occidentaux vont voir leur pouvoir d’achats
augmenté et notre argent va aller dans le secteur tertiaire.

Les personnes extrêmement pauvre ont vu leur revenus augmenté, car ont leur a donner du travail,
grâce à la mondialisation. Vu que les entreprises vont faire du bénéfice en donnant de l’emploie
dans les pays émergents, ils vont alors délocalisé leur entreprises, car leur bénéfice est beaucoup
plus élevé en procédant de cette manière. Lorsqu’ils vont se délocalisé, les employés tel que les
ouvriers ou les employés du textile, des pays développés vont être en concurrence avec ceux des
pays en voie de développement et vont avoir une forte pression salariale. Ce qui explique que les
classes moyennes des pays développé n’ont vu aucun changement et le fait que beaucoup de métier
ont été robotisé et mécanisé.
En raison de la DIPP et des avantages comparatif des FMN délocalisent dans les pays où la main
d’œuvre est a faible cout (pays en voie de développement), ainsi les personnes les plus pauvre de
ses pays, souvent de la campagne d’ailleurs, ont pu aller travailler dans des usines des villes (usines
filiales des FMN) afin d’améliorer leur niveau de vie. Ils ont des salaires très faible, ne leur permet
pas de vivre bien. Certains pays émergents ont profité des transferts de technologies, ont modifié
leur spécialisation et ont vu leur salaire progressé. Depuis les années 80, une part non négligeable
de la population mondiale est sortie de l’extreme pauvreté, réduisant les inégalités entre les pays.
Les très riches de tout pays se sont enrichis.
En raison de la mondialisation, les classes moyennes des pays développés n’ont pas vu leur revenus
augmenté, ils se sont même dégradés. Ce sont la seule catégorie qui n’a pas vu leur revenus
progresser depuis les années 70/80.
Seule les classes moyennes et populaires des pays développés n’ont vu aucune amélioration de leur
revenus. En effet, la mondialisation conduit à une baisse relative des moins qualifié par rapport aux
plus qualifié. Les pays développés se développent dans les produits à forte valeur ajoutés qui
nécessite la main d’œuvre qualifié. Ils vont délaissés les produits à faible valeur ajoutés qui
nécessite une main d’œuvre moins qualifié. Il y a une hausse de la demande de travail très qualifié,
qui entraine une augmentation de leur salaires. A cause de la mondialisation, la concurrence est
exacerbée, donc pour être compétitif il faut innover. Cette incitation à l’innovation va encore
accroitre la demande de travail des plus qualifié.

A) Libre échange
Justification :
- Ad. Smith, avantages comparatif de Ricardo, HOS
- Nouvelle théorie des échanges : S.B Linder et Krugman, échange entre pays de niveau
comparable
Le libre échange est favorable à la croissance et donc l’augmentation du niveau de vie.
Il y a des pays qui se sont développés grâce à la mondialisation, par ex les pays du sud est asiatique.
Les états vont œuvrer pour développer le libre-échange :
- Vont essayé de mettre en place des institutions supranationale ; GATT créé en 47  a
diminué les tarifs douaniers, OMC remplace en 95 le GATT et va continué le travail du
GATT. FMI (voir paragraphe le moment ou on dit les effets pour les producteurs et les
consommateurs). Le libre échange présente également des dangers, par exemple il entraine
des faillites et du chômage. Les pays pensent qu’il vaut mieux resté indépendant dans
certains secteurs stratégique (médicaments, électricité), par exemple la Finlande est devenue
très indépendante dans plusieurs secteurs stratégique.

B) Protectionnisme
1) A la recherche du protectionnisme
Protectionnisme : ensemble des mesures qui visent à protéger l’économie nationale de la
concurrence extérieure. Les entreprises d’un pays protectionniste sont protégées de la concurrence
des entreprises étrangères.

Les moyens tarifaires :


- Droits de douanes
- Subventions publiques : réduire les couts de production qui va faire réduire le prix, donc
plus compétitif.
- Taux de change : certains pays manipulent leur taux de change de manière à rendre leur
produits plus compétitif pour les étrangers
Les moyens non tarifaires :
- Règle du contenu local
- Normes sanitaires ou techniques :
- Quota d’importations
• Les justifications
- Les industries naissantes de Friedrich List (1789-1846, économiste autrichien).
L’Angleterre a cette époque avait des usines moderne et compétitive, alors qu’en
Allemagne leur usines étaient naissantes et pas compétitive. Friedrich dit qu’il faut
protéger seulement les industries qui sont naissantes, jusqu’à leur développement pour les
protéger de la concurrence étrangère. Il dit que le libre échange est une machine de guerre
pour les pays développés.
M. List prône le protectionnisme éducateur. Lorsqu’un pays est développé, ses industries sont
performantes (très compétitives, installer depuis longtemps, ont eu le temps de faire des
économies d’échelles, sont innovantes, etc…). Lorsqu’un pays commence juste à développer son
industrie, elle est peu compétitive (pas innovante, pas d’expérience, pas eu le temps encore de
faire des économies d’échelles) ; il dit que ces des entreprises « dans l’enfance », qui ne sont pas
encore compétitive. Si elles ne sont pas protégées, elles ne pourront jamais se développer et être
compétitive, et donc elles doivent être protégées (sous-entendu qu’ils ont besoin d’un tuteur). « Le
libre échange est une machine de guerre au main des pays les plus avancés. » dit Friedrich List. A
souligné que ce protectionnisme ne doit qu’être partiel et temporaires (ne doit concerner que les
entreprises naissantes dans un pays), sinon elles ne feraient pas d’effort. Dans les PDEM, ce sont
les entreprises vieillissantes qui doivent être reconverti, restructuré pour retrouver une
compétitivité et qui de ce fait doit être protégé du fait qu’elles se reconvertissent.

Dans ses pays (Vietnam, Chine) on les accuse de faire du Dumping social (salaire très faible, sous
exploitation, aucun avantage sociaux, maltraitance, etc…). Conditions pas très humaines et grâce à
ça ils sont plus compétitifs. Il fardait que nous puissions mettre en place des taxes (douanières) qui
permettraient de supprimer les différences de salaires et de protection sociale. La France subit le
manque de protection sociale des autres pays, donc les entreprises française vont essayé de
baisser leur salaire (ce n’est pas bon).
Le protectionnisme permet de lutter contre le dumping social ; la compétitivité prix de certains
pays trouve son origine dans la faiblesse des salaires, ainsi que dans l’absence de droits sociaux. Le
protectionnisme peut être une façon de maintenir une protection sociale performante et d’éviter
que la concurrence ne réduise les droits des salariés. Il permet de lutter contre le dumping
environnementale et le dumping fiscal (taux d’impositions très faible pour attirer plus
d’entreprise). Il permet de lutter contre les dangers sanitaires. Certains auteurs défendent le
protectionnisme stratégique, il ne faut pas être trop dépendant dans les secteurs énergétique,
médicaments, produits médical… Certains secteurs vont dynamiser le reste de l’économie et qu’il
vaut mieux protéger.

2) Les limites du protectionnisme


Le protectionnisme attire les représailles des autres pays ; par exemple en 1929, le
protectionnisme pratiqué par les pays touché a aggravé le ralentissement de la croissance. En
2008/2009, même problème, les pays protègent et exportent moins et finalement il y a une baisse
de la production, a entrainer une baisse de l’exportation. Baisse du pouvoir d’achats et moins de
report de consommation sur le tertiaire (protégé de la concurrence).

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