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Crise 2008:
Étape 1: Pour faire face à la récession (décroissance) du marché de l’immobilier, la FED
(Banque Centrale Américaine), a pratiqué une politique monétaire expansionniste : diminuer
le taux de crédit jusqu’à 1% (presque 0%)
Étape 2: Politique d’accès facile à l’argent: possibilité d’achat du logement avec une
mensualité très faible.
Étape 3: (expansion du marché d’immobilier) Augmentation importante des crédits
d’immobilier → Augmentation prix de l’immobilier, avec cette augmentation, les citoyens se
sont orientés vers l’achat des voitures.
Étape 4: Les banques vont vendre les crédits : Titrisation ⇒ Rendre les crédits, des titres
négociables à l'international par des prix préférentiels.
Étape 5: cabinets de notation ont accordé “Triple A” (confiance à 100%) à ces titres sans
risque qu’ils se trouvent insolvables.
Étape 6: Marché d’immobilier en déclin et propagation d’inflation parce qu’on a pratiqué un
taux presque 0%
Étape 7: La FED a augmenté le taux d’intérêt pour limiter l’inflation ⇒ Pas d'accès à crédit
facile.
Étape 8: Particuliers incapables de payer les traites = problème d’insolvabilité et banques
incapables de payer les investisseurs → Toutes les banques ont commencé à vendre les appt
(biens hypothéqués) mais personne n’achète ce qui conduit à une baisse des prix
d’immobilier déjà en déclin.
Étape 9: Bourses incapables de rembourser leurs crédit et un processus de faillite en masse a
commencé : (AIG); (le hman brothers); des grandes E/ses qui ont fait faillite.
→ Actifs Toxiques (Titres vendus insolvables) propagés dans le monde entier.
Étape 10: Comment sortir de la crise?
⇒ intervention des autorité américains et européens pour faire face à la crise.
Ex: Plan de sauvetage américain; plan pulsan en USA à prévu 700 Milliards Dollars pour
relancer l’économie Américaine.
→ Utiliser les impôts pour faire face à la crise.
David Ricardo
Un pays qui détient plusieurs avantages absolues devrait se spécialiser dans le secteur qui possède l’avantage
comparatif le plus grand (l’importance des autres biens et considérée comme une production indirecte)
Le pays qui ne possède pas un avantage comparatif devrait se spécialiser dans le secteur qui représente le
désavantage le plus petit
Le cout d’opportunité : le cout d’opportunité d’un bien par rapport à un autre bien (un pays renonce à la production
d’un bien par rapport à un autre bien)
En 1810 : UK a bloqué les navires USA le président américain annonce l’arrêt d’échange.
En 2019 : attaque contre les navires qui importe le pétrole entre IRAQ et USA Pas l’arrêt d’échange.
La place du commerce « Partie et Composantes » au niveau mondiale a passé de 18,5% en 1992 à 20% en
2003
La place des pays en voie de développement PED s’est fortement accrue. Les exportations ont passé de 14%
à 31% (Car les E/ses étrangères se sont installée partout dans le monde pour fabriqués un partie des biens,
et au moment du rassemblement seront considérés comme de exportation)
La part de la chine a passé de 5% à 15%.
Le commerce est concentré dans les machines et les équipements de transport.
Les pays de l’Asie participent dans la chaîne mondiale à travers la production électrique et électronique.
Cette fragmentation du processus mondiale a engendré un problème de Comptabilisation (Parfois le même
bien est comptabilisé plusieurs fois par plusieurs pays).
L’organisation Mondial de Commerce OMC est certain d’élaborer des nouvelles statistiques en VA.
Théorie des avantages comparatifs
La théorie des avantages comparatifs entre Pays Développé DP et PED :
1- Productivité et compétitivité :
La capacité d’exportation d’un bien ne dépend pas de différence de productivité mais des différences de salaires
entre pays.
- Les pays développé PD qui offre un salaire important doivent se spécialiser dans les activités ayant une VA
importante.
- Les pays en développement PED qui offre un salaire faible doivent se spécialisent dans les activités qui
nécessite un salaire bas (textile, agriculture)
En effet, les pays développé dénonce les pratiques de PED et qui exploite la main d’œuvre locale avec un prix
bas par rapport au prix normal du marché.
Offshoring : Les E/ses des pays développés s’installent dans les pays en voie de développement où les conditions
sont favorables.
-avantages comparatifs : résultat d’interaction entre les dotations nationales (différents facteurs de
production) et technologie de la production
Le paradoxe de liontief :
Un économiste qui a cherché à vérifier la validité de la théorie de HOS, en effet selon HOS chaque pays a
intérêt à spécialisé dans la production des biens qui nécessite les facteurs de production abondants
disponibles (capital, travail, etc.)
– plus de facteur travail = main d’ouvre très qualifie et forme raison de mot« paradoxe »
-il y a plus de facteurs capitaux, mais il est investi dans le facteur travail d’où les exportations de l’USA sont
plus caractérise par le facteur travail.
Leontief analyse les exportations américaines : elle constate que dans les biens exportés de ce pays il y a
plus d’unités de travail et moins d’unité de capital (Ces facteurs de travail se basent essentiellement sur un
MOD qui est hautement qualifié= dues aux dépenses de formation c’est-à-dire nécessite beaucoup de
capital) c’est un paradoxe facteur de travail contient Beaucoup de facteur capital. Mais Leontief à
considérer que FT qui vient de FC comme FT.
Leontief constate que les Etats unis dispose plus de FT et moins de FC dans ses X. d’où le terme de
paradoxe de Leontief.
Modelé de MUNDELL FLEMING
Ce modèle est l’extension du modèle IS LM, il a permis : d’une part de modéliser les mécanismes d’ouverture et
d’autre part de quantifier l’impact de ces mécanismes sur les agrégats économiques.
Par la suite, les accords de BRETTOU WOODS ont instaures deux nouveaux diapositifs :
-Système de change fixe : dans lequel la BAM intervient en permanence par l’achat et la vente des devises afin de
maintenir le taux de change au prix déjà annonce
D’après ces deux, on voit bien que le dollar devient la devise de référence dans cet accord
De cette date jusqu’au aujourd’hui, la structure de change est transformé à un système de change flottant.
Aujourd’hui, cette marche s’est transformée à une place pour la spéculation et le gain rapide par la volatilité qui
engendre des dégâts graves pour toutes les économies.
Lorsqu’il s’agit d’une économie ouverte, on ajoute les exportations nettes (exportations – importations= EXN)
RG = C+I+DG+EXN (2)
RG – C – DG = I + EXN
C–à–d EN = I + EXN
Donc EXN = EN - I
EN-I=X-M
Si une économie réalise une excédante commerciale, ceci est dû à l’excès de l’épargne sur l’investissement
EN-I l’investissement extérieur net : Un indicateur financier de l’échange de l’échange réel.
Le pays réalise un excédent de l’épargne sur l’investissement. Cet excèdent sera place sur les places financiers
internationales
Le pays est obligé de se faire recourir aux places financières internationales pour financer son investissement
Le pays qui réalise un excédent commercial emprunte aux pays qui accusent un déficit commercial, et en dernier
ressort.
Donc « le pays créditeur devient propriétaire d’une partie du rendement future du capital du pays débiteur car il
détient une partie de stock de capital de ce dernier »
- Aucune entrave pour que les individus choisissent un pays ou un autre pour placer leurs capitaux
- En vertu du principe de l’atomicité, aucun pays seul ne peut agir sur le taux d’intérêt mondial qui est
déterminé par la loi de l’offre et de la demande
Taux de change
Nominal Réel
TCN TCR
Argent Bien
Si taux de change TC augmente les prix de bien étrangère diminue. Les exportations diminuent
TCN=TCR*(PE/PN)
Mais ce TCN est toujours en fluctuation, l’analyse en terme dynamique sera plus représentative de la réalité.
ΔTCN=ΔTCR*(ΔPE/ΔPN)
Si Prix national augmente TCN diminue
Donc le rapport ΔPE/ΔPN est un indicateur qui nous permet de mesurer le degré d’inflation chez les deux pays.
En somme, la politique de change constitue le point d’intersection des politiques budgétaires et monétaire, d’où
le rôle important d’une convergence entre le BAM et le gouvernement pour une politique générale cohérente.
Exercice 1 :
On suppose les données suivantes :
TAF
1) Calculer le TCN
2) Calculer le TCR
3) Commentez les résultats obtenues.
Réponse
Avec 7000 Dhs on peut avoir un seul PC, alors si on convertit ceci en termes de dollar j’irai 2 PC.
Alors il faut se base sur TCN car il ne change pas d’un bien à un autre.
Exercice 2 :
TAF
1) On a 1$ 1CNY
Les produits chinois ont devenus plus compétitifs que les plus produits Américaine
3) 1 CNY = 0,15$
4) La dévaluation donne des résultats positifs dans le cas d’une production de masse.
La dévaluation : décision volontaire prise par la BAM ou le pouvoir publique pour diminuer la valeur de
monnaie.
- On parle d’un compétitif prix lorsqu’un pays dévalue sa monnaie ce qui rend le taux de change
décroissant.
Donc : Plus la valeur de la monnaie diminue Plus la compétitivité prix augmente Exportation augmente et
importation diminue
Le flux des biens et service (production et consommation) : ils ont un impact différentiel sur le
revenu global en fonction de la nature de taux de change.
Flux de capitaux : le modèle Mundell-fleming suppose qu’il y’a parfaite mobilité des capitaux c.-à-d.
aucun restriction sur le mouvement des capitaux d’une ration a une autre.
= nous analysons l’impact de ces deux critères sur le revenu global dans le cas du régime de taux de
change fixe (2,2) et flottant (2,1)
Cas de la politique extérieur : l’état en cherchant son propre intérêt, peut être amené à utiliser
divers méthodes protectionnistes pour sauvegarder le tissu économique national
= l’objectif c’est de : diminuer les importations et augmenter l’exportation = production augmente
donc le revenu global augmente = augmente la demande des liquidités = augmente le taux d’intérêt
= diminution des capitaux étrangères (appréciation de la monnaie national) = augmente le taux de
change et pénalise l’exportation = échec de la politique extérieur.
===) en déduire dans ce modèle que même si le reste du monde ne pratique pas des mesures de
rétorsion face à une politique protectionniste , les enjeux financiers rendent toute politique
commerciale protectionniste inefficace, et qui engendre en dernier ressort qu’une diminution de
l’échange au niveau mondial .
Sortie des capitaux causerait une abondance de la monnaie nationale= diminution du taux de change
= augmentation de la compétitivité prix EXN = augmentation du Revenu Global
Pour la politique monétaire en régime fixe : pour cette politique l’augmentation de la masse
monétaire n’a aucun effet sur le Revenu Global. en effet , en taux de change fixe, le BAM peut
influencer directement sur le Revenu global par une politique =de dévaluation ou de revaluation .