Vous êtes sur la page 1sur 11

Crise 1929:

Étape 1​: Forte croissance du marché immobilier aux états unis


Étape 2​: ​Politique d’accès facile au crédit​ (sert à dynamiser l’économie), qui vise à diminuer
les taux d’intérêts → Toute personne à un accès à crédit immobilier.
Étape 3​: Toutes les banques se sont engagées dans cette opération de crédit facile.
Étape 4​: Achats des titres financiers; Transformer le crédit en papier ⇒ Titrisation.
Étape 5​: ​Frénésie​ (augmentation) des prix.
Étape 6​: baisse de cours de titres
Étape 7​: les banques augmentent le taux d’intérêt : particuliers incapables de rembourser les
banques et donc les banques sont incapables de payer les acheteurs des titres.
⇒ Faillite de 9000 banques donc les E/ses sont bloqués.
Étape 8​: Épargnants commencent à retirer leurs argents.
Étape 9​: Crise économique ⇒ firmes sur seuil de fermeture
Étape 10​: Crise dans le monde entier.
Crise ⇒ - Dans la crise, il ya toujours des perdants et des gagnants.
- La crise commence par le circuit bancaire ou financier.

Crise 2008:
Étape 1​: Pour faire face à la récession (décroissance) du marché de l’immobilier, la FED
(Banque Centrale Américaine), a pratiqué une politique monétaire expansionniste : diminuer
le taux de crédit jusqu’à 1% (presque 0%)
Étape 2​: Politique d’accès facile à l’argent: possibilité d’achat du logement avec une
mensualité très faible.
Étape 3​:​ (expansion du marché d’immobilier) Augmentation importante des crédits
d’immobilier → Augmentation prix de l’immobilier, avec cette augmentation, les citoyens se
sont orientés vers l’achat des voitures.
Étape 4​: Les banques vont vendre les crédits : Titrisation ⇒ Rendre les crédits, des titres
négociables à l'international par des prix préférentiels.
Étape 5​: cabinets de notation ont accordé “Triple A” (confiance à 100%) à ces titres sans
risque qu’ils se trouvent insolvables.
Étape 6​: Marché d’immobilier en déclin et propagation d’inflation parce qu’on a pratiqué un
taux presque 0%
Étape 7​: La FED a augmenté le taux d’intérêt pour limiter l’inflation ⇒ Pas d'accès à crédit
facile.
Étape 8​: Particuliers incapables de payer les traites = problème d’insolvabilité et banques
incapables de payer les investisseurs → Toutes les banques ont commencé à vendre les appt
(biens hypothéqués) mais personne n’achète ce qui conduit à une baisse des prix
d’immobilier déjà en déclin.
Étape 9​: Bourses incapables de rembourser leurs crédit et un processus de faillite en masse a
commencé : (AIG); (le hman brothers); des grandes E/ses qui ont fait faillite.
→ ​Actifs Toxiques​ (Titres vendus insolvables) propagés dans le monde entier.
Étape 10​: Comment sortir de la crise?
⇒ intervention des autorité américains et européens pour faire face à la crise.
Ex: Plan de sauvetage américain; plan pulsan en USA à prévu 700 Milliards Dollars pour
relancer l’économie Américaine.
→ Utiliser les impôts pour faire face à la crise.

Cas de la Chine et USA


Chapitre 1 : La théorie des avantages comparatifs
Définition : les pays sont gagnants à l’échange s’ils se spécialisent dans la production des biens qui supportent le cout
de production relatif le plus faible et s’ils importent les bien qui supporte le cout de production relatif le plus élevé

David Ricardo

Un pays qui détient plusieurs avantages absolues devrait se spécialiser dans le secteur qui possède l’avantage
comparatif le plus grand (l’importance des autres biens et considérée comme une production indirecte)

Le pays qui ne possède pas un avantage comparatif devrait se spécialiser dans le secteur qui représente le
désavantage le plus petit

Le cout d’opportunité : le cout d’opportunité d’un bien par rapport à un autre bien (un pays renonce à la production
d’un bien par rapport à un autre bien)

Analyse des articles :


Article1 : Le coût de l’autarcie
 La guerre puisqu’il y’a pas d’échange économique.

Lorsque l’échange économique est important, probabilité de guerre  0

 En 1810 : UK a bloqué les navires USA  le président américain annonce l’arrêt d’échange.
 En 2019 : attaque contre les navires qui importe le pétrole entre IRAQ et USA  Pas l’arrêt d’échange.

Article 2 : Division Internationale de Processus de Production (DIPP)


 Article qui indique la théorie des avantages comparatifs.
 Aujourd’hui, l’échange ne se fait pas enfer du bien mais en partie
 A partir des années 1980, l’apparition de la pratique « DIPP » qui a plusieurs appellations :
- Spécialisation internationale verticale.
- La division internationale de processus de production.

 Selon l’auteur, il y’a 3 facteurs de DIPP :


- Diminution coût de transport => Conteneurisation => (transporter en max)
- Possibilité d’échange d’information digital => (Sous-traitance de comptabilité)
- Contrainte de profit => Les multinationales ont installés des filiales spécialisés dans la fabrication d’une partie d’un
bien puis l’assemblage dans d’autre pays

 La place du commerce « Partie et Composantes » au niveau mondiale a passé de 18,5% en 1992 à 20% en
2003
 La place des pays en voie de développement PED s’est fortement accrue. Les exportations ont passé de 14%
à 31% (Car les E/ses étrangères se sont installée partout dans le monde pour fabriqués un partie des biens,
et au moment du rassemblement seront considérés comme de exportation)
 La part de la chine a passé de 5% à 15%.
 Le commerce est concentré dans les machines et les équipements de transport.
 Les pays de l’Asie participent dans la chaîne mondiale à travers la production électrique et électronique.
 Cette fragmentation du processus mondiale a engendré un problème de Comptabilisation (Parfois le même
bien est comptabilisé plusieurs fois par plusieurs pays).
 L’organisation Mondial de Commerce OMC est certain d’élaborer des nouvelles statistiques en VA.
Théorie des avantages comparatifs
La théorie des avantages comparatifs entre Pays Développé DP et PED :
1- Productivité et compétitivité :
La capacité d’exportation d’un bien ne dépend pas de différence de productivité mais des différences de salaires
entre pays.

- Les pays développé PD qui offre un salaire important doivent se spécialiser dans les activités ayant une VA
importante.
- Les pays en développement PED qui offre un salaire faible doivent se spécialisent dans les activités qui
nécessite un salaire bas (textile, agriculture)

Donc le libre-échange n’est pas profitable seulement au pays développé

2- Paradoxe du dumping social : (donner un salaire basPrix bas)


La concurrence des pays à bas salaire constitue une concurrence de loyale pour les pays développés.

 En effet, les pays développé dénonce les pratiques de PED et qui exploite la main d’œuvre locale avec un prix
bas par rapport au prix normal du marché.

Solution : Ces PD appelle à la normalisation et à l’harmonisation des normes sociales.

3- L’exploitation des PD par les PED :


Le commerce international permet aux E/ses et aux consommateurs d’exploite la main d’œuvre des PED qui touche
un salaire faible dont il y a un écart énorme de salaire entre les PD et PED. C’est la société civile qui contrôle le fleo à
travers la population qui préfère les produits certifiés ISO (produits respectent l’environnement)

Offshoring : Les E/ses des pays développés s’installent dans les pays en voie de développement où les conditions
sont favorables.

Les limites de la théorie des avantages comparatifs :


 Le commerce intra-branche : importer un bien que l’on produit à cause des différents goûts des citoyens.
 Spécialisation et valeur ajouté : quand on est spécialisé dans un bien à faible VA cela diminue la
remunération.
 Les pays se disposent de plusieurs facteurs de production ;
 Les politiques protectionnistes contre les produits étrangers (barrières qualitatives et quantitatives) ;
 Coût de transport / marché financier / facteur politique ;
 Théorie très synthétique et incapable de prendre en comptes les mutations de l’économie internationales ;
Chapitre 2 : Les dotations en facteur
Explications théorique : HOS ( Heckscher – Ohlin – Samuelson)
-La productivité ne s’explique pas seulement par le facteur travail mais également par d’autres facteurs tels
que le capital, le climat…

-avantages comparatifs : résultat d’interaction entre les dotations nationales (différents facteurs de
production) et technologie de la production

Le paradoxe de liontief :
Un économiste qui a cherché à vérifier la validité de la théorie de HOS, en effet selon HOS chaque pays a
intérêt à spécialisé dans la production des biens qui nécessite les facteurs de production abondants
disponibles (capital, travail, etc.)

HOS a analysé les exportations de l’usa :

– plus de facteur travail = main d’ouvre très qualifie et forme raison de mot« paradoxe »

-moins de facteur capital =capital, infrastructure, etc.

-il y a plus de facteurs capitaux, mais il est investi dans le facteur travail d’où les exportations de l’USA sont
plus caractérise par le facteur travail.

Leontief analyse les exportations américaines : elle constate que dans les biens exportés de ce pays il y a
plus d’unités de travail et moins d’unité de capital (Ces facteurs de travail se basent essentiellement sur un
MOD qui est hautement qualifié= dues aux dépenses de formation c’est-à-dire nécessite beaucoup de
capital) c’est un paradoxe facteur de travail contient Beaucoup de facteur capital. Mais Leontief à
considérer que FT qui vient de FC comme FT.

Leontief constate que les Etats unis dispose plus de FT et moins de FC dans ses X. d’où le terme de
paradoxe de Leontief.
Modelé de MUNDELL FLEMING
Ce modèle est l’extension du modèle IS LM, il a permis : d’une part de modéliser les mécanismes d’ouverture et
d’autre part de quantifier l’impact de ces mécanismes sur les agrégats économiques.

2-1) Aperçu sur le fonctionnement du taux de change


Apres l’adoption de la méthode de l’étalon-or (1873-1914), dans laquelle une quantité de monnaie fixe est
convertible en or, ce système s’est détruit à cause des perturbations politiques (guerre mondiale) qui ont rendu la
convertibilité de plus en plus impossible.

Par la suite, les accords de BRETTOU WOODS ont instaures deux nouveaux diapositifs :

-Système de change fixe : dans lequel la BAM intervient en permanence par l’achat et la vente des devises afin de
maintenir le taux de change au prix déjà annonce

-La convertibilité de l’or en dollar

D’après ces deux, on voit bien que le dollar devient la devise de référence dans cet accord

En outre, la crise de 1971 a rendu la convertibilité de l’or en dollar impossible

De cette date jusqu’au aujourd’hui, la structure de change est transformé à un système de change flottant.
Aujourd’hui, cette marche s’est transformée à une place pour la spéculation et le gain rapide par la volatilité qui
engendre des dégâts graves pour toutes les économies.

2-1-1) la circulation internationale des biens, services et des capitaux :


Dés on parle du taux de change, on fait allusion aux économies ouvertes, il s’agit des pays qui achètent des biens,
services, devises nationales et étrangères au niveau national et international

REVENU NATIONAL GLOBAL (RG) = C+I+DG (1)

DG = Demande Global C = Consommation I = investissement

Lorsqu’il s’agit d’une économie ouverte, on ajoute les exportations nettes (exportations – importations= EXN)

RG = C+I+DG+EXN (2)

De même, l’épargne nationale (EN) peut être modélisée comme suite :

Epargne national (EN) =RG-C-DG (3)

De l’équation de 2 on déduit que :

RG – C – DG = I + EXN

C–à–d EN = I + EXN

Donc EXN = EN - I

Et si on remplace EXN par ses propres valeurs (X – M), on aura

EN-I=X-M

Si une économie réalise une excédante commerciale, ceci est dû à l’excès de l’épargne sur l’investissement
EN-I  l’investissement extérieur net : Un indicateur financier de l’échange de l’échange réel.

-Solde positif (EN>I)

Le pays réalise un excédent de l’épargne sur l’investissement. Cet excèdent sera place sur les places financiers
internationales

Aussi le pays réalise un excédent de la balance commerciale (X > M)

-Solde négatif (EN<I)

Le pays est obligé de se faire recourir aux places financières internationales pour financer son investissement

Aussi le pays accuse un déficit de la balance commerciale (M > X)

Le pays qui réalise un excédent commercial emprunte aux pays qui accusent un déficit commercial, et en dernier
ressort.

Donc « le pays créditeur devient propriétaire d’une partie du rendement future du capital du pays débiteur car il
détient une partie de stock de capital de ce dernier »

Le taux d’intérêt international suppose la réalisation de 2 critères :

- Aucune entrave pour que les individus choisissent un pays ou un autre pour placer leurs capitaux
- En vertu du principe de l’atomicité, aucun pays seul ne peut agir sur le taux d’intérêt mondial qui est
déterminé par la loi de l’offre et de la demande

Puisque le SC est la sortie nette des capitaux

Donc le Taux d’intérêt détermine le choix d’épargner ou d’investir

Il impacte directement le solde commercial

2-1-2) Détermination du taux de change :


Les opérations économiques entre pays sont toujours ajustées par le taux de change.

On distingue le taux de change nominal et le taux de change réel.

Taux de change

Nominal Réel

TCN TCR

Argent Bien

TCR diffère d’un bien à un autre

TCN=(unité de monnaie étrangère)/(nombre unité monétaire marocaine)

TCR= TCN*(Prix national du bien x/Prix à l’étranger du bien x)

Si taux de change TC augmente  les prix de bien étrangère diminue.  Les exportations diminuent

Fluctuation des taux de change et son impact sur la balance commercial.

TC augmente  exportation diminue  importation augmente exportation net diminue


TC diminue  exportation augmente  importation diminue exportation net augmente

TCN=TCR*(PE/PN)
Mais ce TCN est toujours en fluctuation, l’analyse en terme dynamique sera plus représentative de la réalité.

ΔTCN=ΔTCR*(ΔPE/ΔPN)
Si Prix national augmente  TCN diminue

Prix étrangère diminue  TCN diminue

Dépréciation de la monnaie nationale par rapport à d’autre devise

Donc le rapport ΔPE/ΔPN est un indicateur qui nous permet de mesurer le degré d’inflation chez les deux pays.

 En somme, la politique de change constitue le point d’intersection des politiques budgétaires et monétaire, d’où
le rôle important d’une convergence entre le BAM et le gouvernement pour une politique générale cohérente.

Exercice 1 :
On suppose les données suivantes :

- Le prix d’un bien x au Maroc est de 7000 Dh.


- Le prix du même bien aux états unis : 350$
- 1$ => 10 DH

TAF

1) Calculer le TCN
2) Calculer le TCR
3) Commentez les résultats obtenues.

Réponse

1) TCN=(unité monnaie étrangère)/(Unité de monnaie national)= 1/10


2) TCR=TCN*(Prix national du bien X)/(Prix étranger du même bien X)=(1/10)*(7000/350)= 2
3) Un PC acheté au Maroc est équivalent à 2 PC acheté aux etats Unis.

Peu d’argent aux USA, il achète plus

Beaucoup d’argent aux Maroc, il achète moins.

Avec 7000 Dhs on peut avoir un seul PC, alors si on convertit ceci en termes de dollar j’irai 2 PC.

Alors il faut se base sur TCN car il ne change pas d’un bien à un autre.

Exercice 2 :

On suppose les données suivantes :

- Le prix d’un bien x produit en chine est de 3500$ (Destiné à l’exportation)


- Le prix du même bien x produit aux états unis destiné à l’exportation est de 3500$

TAF

1) Analyser la situation extérieure sachant que 1$  1 CNY


2) Analyser la situation extérieure sachant que 1 CNY  0,5$
3) Analyser la situation extérieure sachant que 1 CNY  0,15$
4) Conclurez sur la dévaluation et le niveau des productions.
Réponse

1) On a 1$  1CNY

Si on calcule le TCN, il va rien changer.

2) On a TCN en chine 0,5


1 CNY = 0,5$

Le prix de produit chinois en niveau mondiale est de :

TCN pour la chine = 0,5

Alors 3500*0,5 = 1750

Les produits chinois ont devenus plus compétitifs que les plus produits Américaine

La chine a dévalué sa monnaie.

3) 1 CNY = 0,15$

Les produits chinoise : 3500*0,15 = 525$

La production de masse / économie d’échelle, il peut appliquer la dévaluation

4) La dévaluation donne des résultats positifs dans le cas d’une production de masse.

- La dévaluation est plus favorable lors d’une économie d’échelle.

La dévaluation : décision volontaire prise par la BAM ou le pouvoir publique pour diminuer la valeur de
monnaie.

La dépréciation : La diminution de la valeur de la monnaie due aux enjeux de marché.

- On parle d’un compétitif prix lorsqu’un pays dévalue sa monnaie ce qui rend le taux de change
décroissant.

3 exceptions dans la politique de dévaluation :

1) Les biens de Premier nécessité


2) Les biens de Luxe
3) 2 pays pratique en même temps la dévaluation.

Inflation : augmentation durable, générale des prix.

Donc : Plus la valeur de la monnaie diminue  Plus la compétitivité prix augmente  Exportation augmente et
importation diminue

- Les réserves numéro un 1 du dollar sont à la chine.


Le model du mundell-fleming :
Prend on compte deux criteres ignores par le modèle ISLM :

Le flux des biens et service (production et consommation) : ils ont un impact différentiel sur le
revenu global en fonction de la nature de taux de change.

Flux de capitaux : le modèle Mundell-fleming suppose qu’il y’a parfaite mobilité des capitaux c.-à-d.
aucun restriction sur le mouvement des capitaux d’une ration a une autre.

= nous analysons l’impact de ces deux critères sur le revenu global dans le cas du régime de taux de
change fixe (2,2) et flottant (2,1)

Economie ouverte en régime de change variable :


On parle du taux de change flottant, Dans un régime de change flottant, nous analysons l’impact de
la politique économique (politique extérieur et monétaire) sur le revenu global

Cas de la politique extérieur cas de la politique monétaire

Cas de la politique extérieur : l’état en cherchant son propre intérêt, peut être amené à utiliser
divers méthodes protectionnistes pour sauvegarder le tissu économique national
= l’objectif c’est de : diminuer les importations et augmenter l’exportation = production augmente
donc le revenu global augmente = augmente la demande des liquidités = augmente le taux d’intérêt
= diminution des capitaux étrangères (appréciation de la monnaie national) = augmente le taux de
change et pénalise l’exportation = échec de la politique extérieur.

===) en déduire dans ce modèle que même si le reste du monde ne pratique pas des mesures de
rétorsion face à une politique protectionniste , les enjeux financiers rendent toute politique
commerciale protectionniste inefficace, et qui engendre en dernier ressort qu’une diminution de
l’échange au niveau mondial .

Cas de la politique monétaire :


-dans une économie ferme : une diminution d’offre de monnaie devrait entrainer une diminution du
taux d’intérêt =augmentation du revenu et de l’investissement.
-dans une économie ouverte : diminution du taux d’intérêt =sortie massive des capitaux nationaux
pour qu’ils soient fructifies a l’étranges.

Sortie des capitaux causerait une abondance de la monnaie nationale= diminution du taux de change
= augmentation de la compétitivité prix EXN = augmentation du Revenu Global

Economie ouverte en régime de change fixe :(Bam fixe le taux de change)


-le taux de change fixe : c’est lorsqu’un pays fixe une quantité de sa monnaie par rapport à une
devise étrangers. L’état sera oblige d’intervenir sur le marché financier mondial par achat et la vente
des devises pour garder le cours de la monnaie au prix annonce.
-Quel sera l’impact d’une modification de la politique commerciale ou monétaire sur le revenu et
l’équilibre global ?

Pour la politique commerciale extérieur en régime fixe : on a X-M =EN –I

Donc si l’importation diminue = les exportations augmente = EPARGNE augmente (cette


augmentation est due au taux de change fixe qui empêche l’appréciation de la monnaie.

Pour la politique monétaire en régime fixe : pour cette politique l’augmentation de la masse
monétaire n’a aucun effet sur le Revenu Global. en effet , en taux de change fixe, le BAM peut
influencer directement sur le Revenu global par une politique =de dévaluation ou de revaluation .

Vous aimerez peut-être aussi