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Mot de passe 

: EI2017

Economie internationale
Les indicateurs du CI
Les chiffres du CI
Les apports thépirique s
Rsmith/ Ricardo/ HOs/ Léontief/ nex thé enfogène/ Redement décroissant.

C.I était appelé par les père fondateur « l’économie politique ». Ils ont résonné dans le cadre d’un
Etat nation, car ils pensaient dans le cadre d’une économie ouverte. Puis peu à peu s’est développé
l’économie industrielle internationale, utilisation des notions de l’économie industrielle mais dans
des problématiques internationales.
En EI il y à deux grands courants :
- La finance internationale : on regarde les questions essentiellement monétaires.
- Le commerce international : les transactions réelles
L’économie international : analyse les flux de marchandise de services de capitaux de paiement et
de devise entre une nation et le reste du monde ainsi que les politiques menées pour réguler ces
flux et leurs effets sur le bien-être national.
Pour mesurer une économie ouverte on prend en compte le taux d’ouverture, par exemple la France
à un degrés d’ouverture de 28%. Les USA sont une économie ouverte pourtant leur degres
d’ouverture est de 14% malgré ce chiffre.
Quasiment tous les secteurs sont impactés par la mondialisation.

Chapitre 1  : La montée du commerce et les explications théoriques.


I. Caractéristiques et évolution du CI.
A) Les principaux indicateurs du CI.

Le degrés d’ouverture : permet de connaitre les dépendances des pays au CI. Le degrés d’ouverture
est toujours plus élevé dans les petits pays car ils ne peuvent tout produire eux même.
Le taux de couverture : c’est ma part des importations financé par les exportations, est-ce que les
exportations permettent de pays les importations ?
La propension à exporter : ils sert pour les pays en développement la production est trop pour
l’extérieur et ne sert pas pour le développement intérieur.
Part de marché : quel est la part de l’All dans la vente de voiture dans le monde par exemple. C’est le
calcul de l’avantage comparatif révélé 
Les termes de l’échange : on rapport juste les prix, ce que j’exporte va-t-il plus cher que ce qu’on
importe ? Par exemple l’ALL exporte des biens qu’ils valent plus cher que leurs importation.
Le taux de pénétration du marché intérieur : on regarde si les importations sont importante dans le
marché locale, il est aussi appelé l’absorbation (ce qu’on consomme au niveau Local). En France on à
un taux de 30% c’est-à-dire que dans tout ce qu’on consomme 30% Vient de l’étranger.
Le coefficient d’élasticité : Je donne à tout le monde 1000 Euros et dans ces 1000 Euros qu’elle par
va aux importations. Si on augmente le revenu des agents quelle part va vers l’étranger ? Permet de
savoir quelle politique faire ?

B) Evolution et structure du CI.

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B.1 Évolution du CI.

En 1948 58millaird de étés échangés dans le monde contre 15955 en 2016.


275 fois de l’échange en 60 ans, mais ce chiffre est à relativiser car nous sommes en dollar courant de
1948.
La croissance mondiale des exports va plus vite que la croissance du PIB, c’est fluctuant selon les
années. En 2010 c’est 3,8 fois plus vite. Le commerce mondiale à augmente de 14,1 % alors que la
production a augmenté de 3,7% Mais le rapport est autour de 2%. A chaque producteurs nouveraux
du le marché il aura un marché extérieur.
`Quand on analyse les exportations en volume on remarque une décennie 80 ou il y un doublement
du volume d’exportation.
Les crises économiques ont de plus en plus d’impact sur le commerce mondial ce qu’on voit dans le
graphique 1. Ce qui est le plus touché dans une crise c’(est le commerce, celui-ci suréagis toujours en
crise une manque de confiance s’installe et on à moins confiance en les étranger. Mais e,n période
d’expansion c’est celui qui repart tout de suite.
Le taux d’ouverture mondial dans le graphique 2 : l’écart entre les deux ce sont la chine, c’est tres
corrélé car le chine à une place importante dans le commerce.

B.2 La structure des échanges internationaux

La structure par produit


C’est le commerce de bien manufacturé qui a explosé dans le monde avant lorsqu’on parlait de
commerce c’était surtout pour les biens agricoles. A l’heure actuelle 70% de ce qui est exporté sont
des produits manufacturés/Marchandises. Le reste sont les biens agricoles et toutes les industries
extractives ( pétrole).
La croissance du commerce de produit manufacturé est le double de toutes les autres productions de
marchandises.
Dans le Graphique 3 nous avons le taux de croissance annuel. Par exemple les produits manufacturé
ont une croissance de 7% par an.
La part du commerce de services c’est à peu près 20% Du CI, et elle n’à pas varié depuis les 15
dernière années. Surtout augmenté dans les année 80-90.
Les entreprises industrielles sont à rendement croissant ce qui pourrait expliqué l’augmentation des
échanges de biens manufacturés.

La structure géographique
Tableaux 4 : on à la part de chaque pays dans le commerce de marchandise. L’Asie.
On voit que le RU sont en déficit depuis de nombreuses années ( depuis la désindustrialisation).
En Espagne la recession à permis de repasser au dessus de0 pour leur balance courante.

II. Les Explications théoriques du commerce.

A Les différences technologiques comme facteur explicatif des échanges


internationaux  : la théorie ricardienne.
A.1 A l’origine de la théorie Smithienne
On veut expliquer le fait que des nations commencent de plus en plus ensemble.
La théorie des avantages absolu énoncée par Smith consiste à comparer la position d’un pays dans
un produit par rapport à celle d’un autre pays dans le même bien. Si le pays en question le produit à
moindre couts il pourra l’exporter et l’échanger contre un autre bien. Ce qui est important c’est le

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côté de l’offre. Un pays échange car son offre est meilleure, c’est par sa différence que le pays se
spécialise. Il est meilleur car il est plus compétitif. Cette analyse se base sur la compétitivité.
Un pays est dit compétitif dans le commerce mondiale d’un produit donné s’il le produit dans des
conditions de meilleure efficacité que les autres pays. Aim/AJm il compare I et J et prend le même
bien et voit qui le produit de la meilleure façon possible. La mesure pour Smith ce sera le temps de
travail.
Ricardo apporte une critique dans le sens ou certains pays n’ont pas d’avantages absolue, et le pays
serait exclue du CI. Ainsi Ricardo va montrer que l’on peut quand même avoir un avantage
comparatif.
A.2 le raisonnement Ricardien

Le fondement historique.
Ricardo intervient en 1815 avec les avantages comparatifs, il se pose la question «pourquoi les pays
échangent » ils échangent parce qu’il y à un gain. R. se base alors sur le temps de travail relatif. Lui ne
parle pas de compétitivité mais de productivité. Les pays diffèrent quant à leur productivité du
travail cette différence entraine un gain s’il échangent.
Chez R. il y à un seul facteur : le travail. Tous les pays n’ont pas tous la même productivité du travail.
Les pays n’ont pas la même technologie ( signifie pas la même productivité). L’échange n’est expliqué
que parce qu’il existe une différence de technologie donc différence de productivité et donc
différence dans les couts.
Dans son contexte il y avait les rentiers, les bourgeois ( le profit ) et le peuple( le salaire) , il analyse
l’évolution de ces trois composante Ricardo à vue qu’il y avait un pb pour les bourgeois si on ne
changeait rien, en tendance longue il va voir que :
- L’évolution démographique croissante donc de plus en plus de bouche à nourrir.
- Les terres agricoles sont de moins en moins fertiles. On doit produire plus pour plus de gens.
Donc le prix des biens agricoles vont augmenter donc les rentiers vont augmenter leurs rentes. Le
salaire se fixe au prix du cout de la reproduction de la Main d’œuvre donc le salaire ne varierait pas.
Ainsi les profits vont baisser au profit des rentiers car le peuple va davantage consommer des biens
agricoles et donc consomment moins de biens industriels et l’industrie ne se développera pas.
La solution : Il faut que le prix des biens agricoles baissent ( afin que l’industrie puisse se developper)
donc les lois d’agriculture vont changer c’est ce qu’on appelle les Corn Law on permet au blé
étranger de venir.

La noti on d’avantage comparati f


La différence de productivité donc de technologie entre les différentes fabrications entre les pays
constitue le déterminant de l’échange chez Ricardo.
Un pays gagnera à échanger s’il se spécialise dans la production du bien pour lequel il dispose d’une
plus grande productivité du travail d’une meilleure technologie ou dont le cout de production sera le
plus faible par rapport aux autres produits et par rapport aux pays partenaires.
Ricardo va donc procéder à une double comparaison : AIm/AIn il compare entre deux secteurs d’un
même pays pour choisir le même secteurs (comparaison de produit) puis par la suite une deuxième
comparaison avec un autre pays : Ajm/Ajn et si y’à pas le même rapport alors il y à échange.
Voiture/Chemise pays i > Voiture/Chemise pays j. Le temps de travail dans le pays i pour produire
des voiture est supérieur au pays j. Donc le pays i va produire des chemises.
Chez Ricardo la spécialisation est complète.

B. Différence de dotation factorielle.


B.1 Changement de Paradigme.

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Début XX eme siècle ( 1 siècle après Ricardo) Tous les pays ont vécu la révolution industrielle donc
plus de différence technologique car tous les pays savaient produire les mêmes biens, car diffusion
technologique. Donc la notion de Ricardo n’était plus d’actualité. Les HOS vont alors ajouté une
explication à la théorie de Ricardo ( toujours basée sur l’offre) donc la différence qu’ils prônent va se
baser sur le capital et le travail et tous les pays n’ont pas la même dotation : Les différences de
dotation factorielles. Certains pays auront plus de matière première que d’autre, des ports, des
champs à cultiver.
En 1919 Heckscher un Suédois énonce le principe de rareté relative des facteurs. «  une différence
de rareté relative des fdp entre deux pays est donc une condition nécessaire pour qu’il y ait différence
de couts comparés et par conséquent du commerce international  ».
Ohlin 1933 : à continuer le travail de H. et fait une publication ou il décline les implications de
principe de rareté relative.
Samuelson qui à partir de 1937 va modéliser sous forme mathématiques, ce qu’il ajoute à cette
théorie c’est les conséquences sur la rémunération des facteurs.

B.2 Les hypothèses du modèle H.O.


On l’appelle le modèle 2x2X2 , Deux pays, deux biens, deux facteurs ( Capital, travail).
Nous sommes en concurrence pure et parfaite, les FDP sont mobiles intersectoriellement,
ainsi quel que soit le secteur les salariés sont payés au même prix. En revanche il y à
immobilité géographique entre les pays. Les rendements d’échelle sont constants à
l’équilibre. Les rendements factoriels sont décroissants. Ainsi la spécialisation sera
incomplète, on continuera à produire les deux biens mais en quantité moindre.
Il n’y à qu’une seule technologie qui existe, tout le monde possède la même. Mais tout le
monde n’utilise pas la même technique de production (c’est-à-dire la façon de produire est
différente) cette technique dépend des secteurs, des biens et dépend surtout de ce qu’il y à
comme dotation dans le pays.
Deux pays se distinguent toujours par l’abondance relative de leurs dotation totale en
facteurs de production.
On dira que l’intensité factorielle fait référence aux techniques optimale qu’il convient
d’employer pour la fabrication de chaque bien ( ex : industrie plus intensive en capital), cela
relève de la maximisation.

B.3 L’énoncé du théorème d’HO


«  un pays exporte le bien qui utilise intensivement le plus son facteur relativement abondant
et importe le bien qui utilise intensivement le plus son facteur rare. »
ex : abondance en travail, donc il n’est pas cher ainsi on va favoriser un bien qui utilise le
plus intensivement le travail. Chez HO l’analyse est plus qualitative car on distingue le
capital, le travail.
Au début du XX Ricardo marchait de moins en moins avec l’industrialisation( malgres tout
des échange se faisaient quand même) et ricardo ne pouvait pas expliquer le commerce
croissant.

B.4 le Paradoxe de Leontief : Premier pas involontaire vers la Concurrence Imparfaite.


Applicati on au commerce extérieur américain de 1947.

Leontief en 1950 fait des recherches sur le commerce international, il va essayer de vérifier
au niveau empirique le théorème HO. Il va se servir des premières données statistiques des
américains. Il fait un TES pour voir de quoi sont composé les importations américaines et
leurs exportations.

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On s’attend à ce que les américains exportent des biens intensif en capital et importe des
biens intensif en travail.
Le travail est expliqué en homme par années ( combien d’homme nécessaire pour une année
de production)
Le capital est calculé en fonction des besoins d’investissement nécessaire.
Leontief est face à un PB car il n’à pas les TES des pays importateurs. Ainsi il va inverser le
tableau américain, il va calculer l’intensité en facteur de production nationale substitue au
importation.( fait comme si les étrangers produisaient de la même facon que les américains)
Il utilise le même TES américain pour tous les pays : ainsi il valide une hypothèse HO celle de
la même technologie de production.
De plus il doit exclure tous les biens qui ne sont pas produit aux US ( ex : noix de coco).

Les résultats : Montrent que les exportations américaines contiennent relativement plus de
travail par rapport au capital par rapport aux importation américaine, tout l’inverse de ce
qu’on attend.

Analyse paradoxe :

2 possibilité :
- Méthodologie de Leontief est fausse.
- Soit la méthode de Leontief est bonne et la théorie HO est nulle.
La 3 eme possibilité de Léontief : il explique que le travailleur américain est plus productif
que le travailleur étranger. Il précise « 3 fois » plus productif pour 1 même dollars. A
l’inverse les étrangers seraient 3 fois moins productif (pour avoir la même quantité produite
il faudrait il faudrait 3 fois plus de dollars à l’étranger)

Les remarques :
- Si le travailleur étranger est 3 fois productif qu’est ce qui dit que ce n’est pas le cas
pour le Capital ? Le travailleur utilise de la meilleure façon de le capital donc le capital
devrait aussi être plus important
- Dire qu’un travailleur américain est X fois plus productive pour eux. : Ce qui rejoint la
théorie Ricardienne.
Ainsi l’argumentation de Leontief ne fait pas avancer les choses, ainsi beaucoup de
recherches ont étés faites.

B.5 Les prolongation du paradoxe : les théories néo-factorielle.


D’autres explications ont étés trouvés :
- Oui, mais il y à des barrières aux échanges ( les américains empêchent certains
importation et inversement ) ce qui peut modifier les chiffres du commerce.
(imaginons on empêche la vente de voiture qui sont intensive en capital) ce qui
modifie les chiffre et on peut retomber sur léontief.
- Le rôle des ressources naturelles :
- Le rôle des firmes multinationale (FMN) : en produisant dans d’autres pays elles
n’exportent pas. Donc ces chiffres ne sont pas relevés ( début des IDE au XIX).

L’une des explication retenue est qu’on se basait trop sur HO ils considère deux FDP ( c’est
une vision micro) Les autres FDP qui ont étés trouvé c’est-à-dire les graduations de

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qualification , ce sont les théorie néo factoriel ( différence entre travail qualifié et non). Ainsi
les américains sont spécialisé dans le travail qualifié, ainsi plus de paradoxe !

Une autre explication c’est la théorie du capital humain, l’argent qu’on dépense pour
former les individus, ou le mettre dans le capital ou le travail ? Peut être que la distinction
HO est trop binaire. En effet à cette période on investit bcp plus dans la formation que les
autres pays. Ainsi dans le tableau 12 certaines partie du travail pourrait être compter dans le
capital ainsi plus de de paradoxe.

B.6 la tendance à l’égalisation du prix des facteurs : le théorème Stolper et Samuelson.

Le raisonnement.

Un pays davantage abondant en capital, on est en autarcie donc le prix du bien industriel
sera faible. Si jamais on s’ouvre au commerce par le libre échange, je me spécialise dans le
bien industriel. Je vais donc devoir produire plus, Ainsi le prix va augmenter : c’est ce qu’on
app elle la loi du prix unique. Car en Libre échange il ne peut y avoir un seul prix pour un
bien. Le prix augmente ainsi cela attire des producteurs, c’est une opportunité de profit.
Un entrepreneur arrive il aura besoin de capital et de travail, et il devra trouver beaucoup de
capital et un peu de travail, il va aller chercher ces travailleurs dans les autres secteurs, par
exemple ceux de l’agriculture. Mais ils libèrent plus de travail, ainsi le salaire baisse, la
rémunération du travail est ainsi touchée. Ainsi dans mon économie le salaire baisse alors
que la rémunération du capital augmente, le contraire d’initialement. Dans le pays étranger
exactement l’inverse.
Si on échange les rémunérations des facteurs se rapprochent de pays à pays.

Enoncé du théorème de Stolper-Samuelson.

Dans les conditions du théorème HO une diminution relative du prix d’un bien diminue le
revenu du facteur qui est utilisé intensivement dans sa production et accroit le revenu de
l’autre facteur.

Généralité du processus et eff ets d’amplifi cati on.

Les conséquences de cette analyse :


- Le théorème de SS se distingue par son degrés de généralité. Lorsqu’on dit que les
salaire augmente ou baisse dans un pays on parle de tous les salaire du pays même
si c’est juste à cause d’un secteur. Cela se transmet dans Tous les secteurs. A cause
de la mobilité intersectorielle. Les salaires s’égalisent donc partout.
- Jones en 1965 à montré que ce modèle pouvait etre généralisé avec M facteurs et N
biens (plus grand que 2).
- Effet d’amplification : mise en évidence par Jones. V W < V py <V Px <V R. la
variation des rémunération factorielle sera plus importante que la variation des prix.
C’est important parce que pour la première fois on voit un côté négatif du CI. O,n se
spécialise dans le facteurs qui est le plus abondant donc la rémunération de ce
facteur va augmenter, pour les salaires ils auront moins de salaire et de plus les prix
augmentent donc moins de pouvoir d’achat. Certes il y à un gain de biens etre mais il
ne profite pas à tout le monde. Il n’y à pas d’égalité dans la rémunération des

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facteurs. Ainsi potentiellement il peut y avoir des conflits d’intérêt entre les facteurs
de production. C’est le facteur rare qui y perd.
Cet argument pourrai justifier des politiques de redistribution entre les différents
facteurs.

Samuelson développe « l’égalisation complète du prix des facteurs »


Avec le théorème de Samuelson :  « la libre circulation des biens est un substitue parfait à la
mobilité des facteurs ». Nos facteurs de prod ne peuvent pas changer de pas, donc pas
d’égalisation du prix des facteurs. Or Samuelson prouve le contraire avec le libre échange.
C’est comme si les facteurs pouvaient bouger.

III. Les nouvelles théories du commerce international.


Intro : les problèmes rencontrés avec les anciennes théories : La technologie n’est pas
diffusable, Certains pays échangent les même bien, comment l’expliquer ? Comment
expliquer les économies d’échelle, comment expliquer les rendements croissant ? la
différenciation  verticale/horizontale ?

A. Les approches néo technologiques.


Comprendre quelle est l’impact de l’innovation sur le commerce et les échanges.

A1 : Les apports de Posner ( 1961)


Le point de départ est de distinguer les innovations :
Les innovations de produit : c’est un nouveau produit qui n’existe pas
Les innovations de procédés : une autre façon de produire quelque chose qui existe déjà.

Quand il y à une innovation de procédés on gagnera en compétitivité/coûts car on se


repositionne dans un secteur déjà présent.
L’innonvation de produit : permet de créer un nouveau marché, on est seul sur le marché
ainsi on à crée un monopole. Celui ci n’est pas définitif car les autres arriveront, c’est un
monopole Temporaire ! ce que Posner appelle «  une brèche technologique temporaire ».
On est seul à l’exportation va créer un nouveau flux d’exportations.
Ainsi au début nous avons une innovation qui ne rapporte rien, puis la mise sur le marché,
ensuite en exportant on aura le phénomène d’imitation. On est plus seul et l’avantage
disparait.
Le commerce se fait pendant l’imitation Lag.
Cette anayse est du rocardo en dynamique ( imitation lag), mais au bout d’un moment il y à
de l’innovation.

A.2 les prolongements.


Posner ne dit pas dans quel pays on va innover. Dans les pays développé, or dans ces pays
les salaires sont plus élevé , car ce sont les travailleurs qualifié, ceux qui font la recherche. Ils
coutent cher donc le travail sera cher ( analyse de Hirsh) Hirsh apporte une approche
dynamique de HO.
Quand le bien devient standardisé il est fait par les pays du sud, les travailleurs moins
qualifiés moins cher, le produit est donc moins cher et la structure du commerce change
c’est du sud vers le nord.

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Vernon fait la théorie du cycle de vie du produit d’une firme. Quand le produit est en phase
de croissance il est produit dans le nord. Mais quand il devient banale et produit dans le sud,
et devient pas cher, ainsi le flux s’inverse.
Krugman dit qu’il faut innonver mais arrêter les transferts technologiques.

.B le phénomène des échanges intra-branches.


Défi niti on problémati ques et mesures.

Apparu dans les année 70.


Commerce intra branche : Il s’agit d’un échange croisé de produits de la même catégorie à la
fois exporté et importé par le pays il peut s’agir de produits de marques différentes ou avec
des caractéristiques différences.
Exemple : Un stylo
Les biens en questions sont similaires mais différenciés :
- La différenciation horizontale c’est la même gamme, ex : la couleur
- La différenciation verticale c’est les différentes gammes, donc des qualités
potentiellement différentes. ( haute, bas)
cette différentiation est analysée par Lancaster et Chamberlin.

Le commerce intra branche est un commerce de produit similaire.


On peut mesurer le commerce intra branche, on peut voir si les echanges sont croisé c’est-à-
Xi−Mi
dire que l’on échange les mêmes produits entre les pays. . Si on obtient 0 à cette
Mj+ Mi
équation on parle de commerce interbranche.
Lloyd et Grubel après le calculent s’aperçoivent de ce commerce intra branche. Or Hic la
théorie de Ricardo parlait de biens différents. Pour eux 65% du commerce serait intra
branche donc selon les Théoriues traditionnelles 65% du CI ne pouvait pas être expliqué.

La première explication qui à été donné est l’illusion statistiques, les chiffre ne reflètent pas
la réalité. Ex : i= Moto, mais dedans on mets tous les véhicule à deux roues, La France
commerce entre la France et l’Allemagne mais pas les mêmes deux roues, donc c’est du
commerce intra branche dans les chiffres. La mauvaise utilisation des donnés de produits.
Mais cet argument est faux car aujourd’huii même avec des données très fines on arrive
quand même à trouver du commerce intrabranche.
Avec l’intégration Euro il y à un risque que tous les secteur se regroupent ensemble, s’il y à
un crise tout sera lier. Alors que s’il y à du CItrabranche, le risque de choc asymétrique se
réduit car chaque pays fabrique un peu de tout.

Le rôle de la Demande dans l’explicati on des échanges intra branche

C’est la première fois que la demande à un rôle dans les théories du commerce
international. Il existe un lien entre éloignement et commerce intra-b
ranche. Plus les pays sont proches plus le CIB est important cette proximité peut-être
géographique, économique, technologique et ou culturel. Ex France/Allemagne.
Thèse de Linder (1961) : C’est la thèse de la demande représentative, elle est en 3 étapes :
- Les conditions de production dépendent sensiblement de celle de la demande.

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- La production domestique est principalement influencée par la demande intérieure


( si jamais la demande local n’est pas assez importante le produit ne va pas se
développer)
- Le marché extérieur n’est que le prolongement du marché intérieur. C’est en ce sens
que la demande domestique est représentative des exportations d’un produit.
( étant donné que l’extérieur est le prolongement de la demande intérieur, en
s’ouvrant à l’international on va prendre des marché ou la demande ressemble à
notre demande intérieur pour pas prendre trop de risque) ce prolongement est plus
facilement envisageable dans les pays dont les fonctions de demande des
consommateurs sont proches de celle du pays domestique. Linder ajoute que cette
proximité vient des revenus par tête.
Généralement Le CIB vertical domine le CIB horizontale.
CIB vertical, comment est-il mesuré  ? grâce au prix des produits, on considère que plus c’est
cher, plus c’est de bonne qualité. On considère qu’au-dessus de 15% on est du une
différenciation verticale et en dessous c’est horizontal.

C) La prise en compte des économies d’échelle.


Est-ce que le simple fait de changer la fonction de production( implication des rendements
d’échelle) va modifier le commerce. Les premiers travaux sur les rendements croissants ont
été vu en économie industrielle en 1980. Un peu plus de 50% des entreprises sont à
rendement croissants. Dans les rendement croissants, la CPP n’existe plus. Nous sommes
dans un cardre de CPI, réel.

C.1 Les implication des économies d’apprentissage.

Au fur et à mesure que l’on vend on sera meilleur et plus productif, c’est une forme
d’économie d’échelle qui ne vient pas es facteurs de production, c’est l’expérience.
Ces économies d’apprentissage signifient que les couts unitaire de production initialement
élévé diminuent rapidement avec l’expérience accumulé. Ce sont des économies d’échelle
dynamique, car ils evoluent avec le temps. ( voir graphique) effet de club.
Dans les année 80 certaines auteur essayent de vérifier cette courbe,
En 1982 Zimmerman montre que la réalisation d’une centrale nucléaire permettait à
l’entreprise de réduire de 11,8% les couts de production d’une seconde centrale car on à
résolut les problèmes lié à la première centrale et par l’expérience on va éviter certains
problèmes.
Liberman : mopntre que dans le secteur des produits chimiques la courbe d’apprentissage
avait une pente de 0,2/ à cahque production cumulé on baisse les couts unitaires de 20%.
Les puces électroniques de processeur ont une pente de 0,8.
C.2 les rendements croissants et l’explication endogène de La spécialisation internationale
On est sur des secteurs avec des coûts fixes important, mais ce sont les secteurs sur lequel il
y à de la qualification, de l’innovation, ce sont les secteurs recherchés et innovants.
Le commerce ne vient pas du fait que potentiellement on est bon mais effectivement on est
bon.

Tableau 7.
On considère le même niveau technologique, les même dotation factorielles, la même taille,
les

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mêmes gouts des consommateurs. Les même dotation donc pas HOS, même technologie
donc pas Ricardo.

En France, la production de chemise est à rendement croissant


on consiedere que dans chacun des pays il y la même quantité de facteur, 9 unités de travail.
On considère que la répartition initiale, dans chaque pays 5 unité est consacré aux chemises
et 4 pour les voitures.
Danc dans chaque pays 4 voitures et 20 chemises. Donc au niveau mondial 8 voitures et 40
chemises.
La f et E ont-ils commercés ? cout unitaire chemises/couts unitaire voiture = 5/20/4/4 = 0,25
les deux pays ont les mêmes couts unitaires donc aucun avantage à ce spécialiser, donc en
l’état le commerce ne peut pas être.
Imaginons que le partage change, que pour une raison quelconque l’Espagne 6unités sont
consacrés à la production de chemise et 3 aux voitures. Et que la France fait l’inverse.
6/30/3/2 pour l’Espagne le résultat est 0,1333. Pour la France 3/10/6/9 = 0,45. On à changer
l’allocation. L’Espagne à donc plus intérêt à se spécialiser dans les chemise et la France dans
les voiture. ( avant aucun avantage mais avec la nouvelle configuration il y à un gain.
Le gain maximal est obtenu quand les pays se spécialisent complétement, c’est-à-dire 9,0.
C’est grâce aux rendement croissant ! ce sont les rendements croissants qui font
l’avantage.
Avec les rendements croissants, c’est beaucoup plus intéressant que l’autarcie.

Remarques :
- Initialement, il n’y avait pas d’avantage à échanger, le gain est apparu quand les pays
ont commencé à se spécialiser. Et du fait ce cette spécialisation les pays ont eu une
amélioration de leurs performace. C’est grace à la spécialisation que j’ai un avantage.
On qualifie cette explications de théorie endogène dès l’échange international car
c’est la spécialisation est l’échange qui crée l’avantage comparatif et non l’inverse.
On parle d’avantage comparatif endogène.
- On à 3 équilibre dans ce modèle, le premier est instable, et deux equilibres qui
correspondent à une spécialisation complète soit dans les chemises ou dans les
voitures.
- On ne peut savoir qui fera les chemises et qui les voitures.
- Il n’y à aucun couts d’ajustements ( les gens doivent automatiquement changer de
métier)
- Se spécialiser dans l’un ou l’autre secteur n’est pas anodin ( oui dans cette exemple
mais pas dans la réalité).
- C’est le 1er qui se spécialise qui l’emporte, donc l’Etat à un role incitatif la dedans. Le
laisser faire n’est pas forcément la même solution, on est dans un cadre
interventionniste.

Chapitre 2 : Le protectionnisme et la politique commerciale

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stratégique.

Nous avons deux cas pour lequel els protection pouvaient être intéressante celle de Stolper
et Samuelson ( libre échange peut dégrader le situation de certains groupes sociaux) Et celui
des rendements croissants. Une politique industrielle peut engager des gains liés au
commerce.

I. Le gain à l’échange et les rendement croissants.

Graphique 1  : Economie d’échelle et spécialisation.


Nous sommes dans l’industrie de montre, avec donc une demande mondiale. Les courbes de
production des deux pays sont décroissants. Les couts unitaires de production baissent avec
les ventes. De plus les Suisses ont des couts de production plus élevé que les Suisse.
On suppose juste que les suisse sont arrivés sur le marché en 1 er .
Malgré l’arrivé des thaïlandais l’équilibre reste E1. Au moment de l’entrée sur le marché les
T ont un cout de production = C0 comme notre production est 0 , on ne peut pas avoir une
baisse des couts directement.
Par rapport au cadre statique habituelle, on à ajouté un cadre dynamique ainsi dans cet
exemple les T ne pourront jamais concurrencer les Suisses à moins d’arrive vite à C1.
Avec les rendements croissant nous n’avons pas l’équilibre souhaité.
L’avantage relatif naturel ( Ricardien) n’est pas vérifié dans la réalité, ici cela aurait du Etre
les T qui se spécialisent dans le production de montres
Deux enseignements :
- Les rendements croissants et les externalités octroient un rôle important au hasard
historique dans les équilibre de spécialisation.
- Les économies d’échelle sont une barrière à l’entrée d’un secteur.
Cet exemple nous montre que l’on peut faire du protectionnisme. Ainsi 5 remarques :
- Politique Commerciale  :politique qui passe par les flux des biens et services. Faire
des barrières commerciales aux montre suisses sur le marché dont la Thaïlande
commence à vendre et se déplace vers la courbe, ils auront contourner les barrière à
l’entrée.
- Politique industrielle  : politique dans le but de protéger son secteur. Cela peut avoir
plusieurs formes : Les commandes de l’Etat, La prise en charge de dette temporaire
( Etat prend les dettes en attendant que les secteurs soit rentables) , de la recherche
publique..
- Les Suisse vont répliques  : Mesure de rétorsion : Baisser leur marge jusqu’à C2 afin
de concurrencer les thaïlandais, mais cela mènerait à une faillite, cela s’appelle la
guerre des prix. Ainsi les Suisse vont porter plainte auprès de l’OMC car les T. n’ont
pas jouer le jeu du libre-échange.
- L’innovation  : Peut-être le moyen de réplique des Suisses. Les Suisses peu vent
différencié leur montre. Ainsi en différenciant le produit il y aura une différenciation
de la demande. Il y aura une autre demande sur le graphique, ou totalement un autre
graphique qui correspondrait à un autre marché.
- Cet exemple montre le retour d’une vision Smithienne des échanges.

11
Mot de passe : EI2017

Sous concurrence imparfaite le protectionnisme peut être valable pour aider à


résoudre les imperfections de marché !

II. Certains arguments en faveur de la production.

1) La protection de l’industrie dans l’enfance.


List  : Dans les premières temps de création d’une entreprise, pour une histoire de taille
on à du mal à s’intégrer au marché.
HAMILTON  : est le premier(avant List) à travailler sur le protectionnisme aux 18 ème Aux
US.
Sous quelle conditions ces politiques peut-être efficace ?
 Il faut metrre en concordance les bénéfices futures, avec le cout de la
protection. Ex : Doit de douanes sur les chaussettes, ce sont les
consommateurs qui vont payer ce droit de douanes, ainsi la politique
commerciale est financée par les consommateurs. Ainsi il faut que les
bénéfices soient plus fort sur ces couts.
 Faire en sorte que les industries visée, restent incités à invertir, à
innover.
 Il faut faire le bon choix du secteur en question, ceux qui ont un
potentiel d’exportation.

2.Les effets positifs de la protection pour certains titulaires de revenus.


A.Protectionnisme et théorie traditionnelles.

Le modèle de Ricardo Viner  : Il y à deux bien dans l’éco, un à droit l’autre à gauche.
Pour le produire on à besoin de deux facteurs de production, Le premier facteur est
générique, il est commun aux deux biens, donc le salaire et le même. Pour produire
chacun des biens ont à besoin d’un facteur spécifique à chaque bien ( qu’on
appellera facteur travail qualifié). Imaginons qu’une protection s’applique sur un seul
des deux bien1. La production 1 va augmenter car celui-ci est protéger, mais lQ1 est
stable, ainsi on va demander plus de LNQ, donc des travailleurs du bien 2 va venir
dans le bien 1. En terme relatif on utilise plus de LNQ que de LQ1, en terme de
productivité relative des facteurs ont aura une augmentation de la productivité
relative de LQ. Alors qu’e
n terme relatif la productivité des LN baisse, car avec plus de personne on produit
plus. Donc les plus productif seront mieux rémunéré, la rémunération des
travailleurs qualifié augmente relativement à celle des non qualifiés.
Pour le Bien 2 : C’est la même chose, ceux qui sont pas qualifié vont avoir leur
rémunération qui va augmenter.
CCL : La protection d’une branche améliore les rémunérations des facteurs
spécifiques de cette branche, et détériore les rémunérations des facteurs spécifiques
des autres branches. Dans ces modèles les facteurs spécifiques sont ceux qui doivent
demander un protection car c’est eux qui gagnent à être protégés. `
Le degré de protection peut s’analyser comme le pouvoir de négociation entre des
groupes d’intérêt privés et des organes politiques élus.
B. La protection de l’emploi.

12
Mot de passe : EI2017

Si on est dans un contexte de sous-emploi, la production généralement est considérée


comme nécessaire. La protection peut être vue comme une défense de
L’emploi et protéger certains secteurs qui perdent des emplois. Les secteurs visées sont
souvent les industries vieillissantes. Il faut protéger des industries dans des
secteurs qui sont porter et demandés mondialement.
Les économistes pensent que lorsqu’on fait une protection ( ferme ses barrières) cela
conduit à réduire les exportations des fournisseurs, à réduire les
Exportation des partenaires commerciaux qui eux même s’appauvrissent et importent
moins. Si on pénalise des concurrents peut-être va pénaliser des gens qui
Consommateurs chez nous, donc nous pénaliser à notre tour.
Souvent une protection entraine des mesure de rétorsion . Dans un 1 er temps la
protection permet d’augmenter leurs rentes, cette rentes va bénéficier à la société.
Mais les effets positifs risquent d’être moindre compte tenu de la réaction de
partenaires.

3. L’anti-Dumping.
Il y à 3 types de mesures contingentes :
- Si un secteur est gravement menacé par la concurrence étrangères.
- Si un pays exportateur subventionne ses exportations dans ce cas l’OMC permet à
l’importateur lésé de créer des droit compensatoire qui vont modifier le prix des
biens importés.
- Si un pays se considère victime de dumping, dans ce cas il est possible de mettre des
mesure anti-dumping.
Le Dumping  : on dit qu’il y à dumping Lorsqu’une entreprise vend sur les marchés
étrangers à un prix inférieur aux prix domestique ou au cout de production.
Dans 90% des cas on à affaire à des mesures anti dumping.
Graphique 2  : cumule du nombre et de masure anti-Dumping.
L’inde est l’un des pays qui porte le plus plainte auprès de l’OMC.
Les pays visés sont souvent la chine, la Corée, les US et le Japon. Il n’y à pas de plus en plus
de plainte, mais le système est de plus en plus efficace.
Les mesure anti-dumping sont généralement efficace. On porte plainte, on met des mesure
pour que le prix des importations soient plus cher.

Les motifs non économiques du protectionnisme :


- La dépendance ce certains pays
- L’électoral : des mesures de politique économique pour favoriser l’électorat. On vise
la protection, ou le libre échange pour viser certains électorat.
- Les lobbys
- L’agriculture ( PAC) les mesures sont politiques, environnementales

III. LA Politique commerciale stratégique.

1) Les apports de Brander et Spencer


Les analyse de la PCS repose sur l’idée selon laquelle les rentes de marché du à la
présence d’un oligopole peuvent-être captés par un pays grâce à des interventions
étatiques adaptés. On regarde la conséquence de l’ouverture d’un pays au libre-
échange.

13
Mot de passe : EI2017

A. Le modèle de référence de la PCS Brander & spencer.


Le cadre de base : c’est un duopole ( 2 frome) chacune dans deux pays différents.
Elles produisent un même bien : donc concurrence oligopolistique. Pour simplifier
les choses on imagine qu’elles exportent la totalité de leur production vers un
pays tier. Sur ce pays tier les consommateurs ont le choix entre la firme A ou B.
On ajoute des économies d’echelles internes. Le cout moyen est donc une
fonction décroissante de la quantité produite. Le duopole est un duopole à la
Cournot ( prend en compte les quantité produites par l’auteur entreprise pour
s’ajuster) Chacun fixe sa quantité en fonction de la quantité de l’autre entreprise.
Les auteurs comparent alors la situation autarcique et libre-échange.
Ils imaginent qu’un Etat va attribuer une subvention à sa firme nationale.
Les conséquences :
 La production de A augmenté et celle de B diminue.
 La quantité totale produite par les deux firmes augmente ce
qui fait diminuer le prix et apporte un surcroit de bien être au
consommateur du pays tiers. ( A produit plus et baisse son prix
et B réagit et baisse ses prix aussi)
 Le profit de la firme A s’accroit au détriment de celui de B.
Contrairement à ce qui avait été observé en situation de concurrence, la subvention à
l’exportation dans le cas du duopole de Cournot est de rendement croissant, peut apporter
un surcroit de bien-être collectif au pays qui attribue cette subvention par rapport au libre
échange. Pour ces auteurs il existe un niveau optimal de subvention qui est d’autant plus
élevé que la firme A est compétitive par rapport à la firme B. Plus la firme est compétitive
plus il faudra l’aider. Il faut donc favoriser les firmes compétitives car les PROFIT SHIFTING
sont nombreux.

B. Une illustration  : le cas Airbus/Boeing.

P = pénètre sur le marché.


Si les deux sont sur le marché en même temps, les deux font des pertes. Si A ne va pas sur le
marché et B gagne tout le marché. Si on pense à la place de A on ne se lance pas sur le
amrché cat il n’à pas intérêt d’entrer sur le marché.
Tableau 2 : nouveau cadre : on imagine que les subvention d’Etat pour à sont de 10. Ainsi A
entre sur le marché car il gagne à entrer sur le marché.
2) Les limites de la PCS.

EATON et GROSSMAN : ils ont fait un duopole à la Bertrand mais sur les prix. On
considère que les stratégies du secteurs sont en fonction des prix.
Ils montrent que dans ce cas, le bien-être d’un pays augmente si l’Etat taxe les
exportations au lieu de les subventionner. On va chercher un bénéfice, car on récupère le
montant de la taxe. Ils arrivent à mesurer une taxe optimale pour que la population ait
un ben être grâce aux performance de la firme. La taxe est pays par les consommateurs
du pays tiers.
Dans cette matrice les deux perdent. C’est appelé le dilemme du prisonnier car les deux sont
perdants.
III.B.3 autres limites de la PCS

14
Mot de passe : EI2017

Les effets doivent rester dans les pays, en effet dans le cadre d’une économie mondialisé, les
effets d’une PCS est inefficace.
III.C  : Le commerce administré.
C’est une politique née aux US, on va essayer d’aider certains secteurs : ceux qui sont soumis
aune course à l’innovation et pour lesquels l’investissement privé est insuffisant pour être
compétitif vis-à-vis de l’extérieur. Ainsi on va effectuer des investissements publics en plus
des privés. C’est une vision dynamique. (Aéronautique, espace) ce sont les secteurs de
l’avenir, là où la demande mondiale est croissantes ( les secteurs de Demain).

Chapitre 3 : Les IDE : Faits stylisés et explication théorique.

On s’intéresse aux choix de localisation des firmes… on passera par la mesure du


phénomène et les explication principales.

I. Evolution et répartition des IDE.


Les IDE : sont es investissement qu’une unité institutionnelle résidente d’une économie
effectue dans le but d’acquérir un intérêt durable dans une unité institutionnelle résidente
d’une autre économie et d’exercer dans le cadre d’une relation de LT une influence
significative sur sa gestion.
Selon le FMI : les IDE peuvent être séparé en 3 :
- Les achats par un investisseur d’un capital situé à l’étranger.
- Le réinvestissement dans une filiale des bénéfices de celle-ci. (Réinvestissement du
bénéfice pour ce pays)
- Les emprunts et les prêts de fond entre la société mère et ses filiales.
On à tendance à assimiler les IDE et la délocalisation, or ce n’est pas totalement vrai !

A) Les Evolutions des IDE.


Il faut distinguer flux d’IDE et Stock d’IDE : Le stock mesure la présence des capitaux
contrôlant la production à l’extérieur des frontières nationale (ce qui a déjà passé la
frontière) Tableau 1  : IDE et agrégats mondiaux.
Quand on regarde les flux d’IDE on voit qu’il sont moins important que les biens et services
( environ 10%) Mais quand on regarde les Stock d’IDE sont plus important que les flux de
commerce. ( en 2014 10% supérieur au commerce).
En terme dynamique : La croissance des IDE est plus forte que la croissance du commerce
mondiale. 1996-2000 : Sur ces 5 années la croissance annuelle des flux d’IDE était de 38%. La
production mondiale était de 1% et les exportation mondiales de 3,6%. Les IDE sont des
yoyos car des periodes de forte croissance et de baisse, les IDE ont baissé de 2000 à 2003.
Le Stock entre 90 et 2014 à été multiplié par 14. La production mondiale à été multiplié par
3,5.
Que ce soit en stock ou en flux le commerce croit plus vite que la production qui croit plus
vite que les IDE. Les IDE sont actuellement plus nombreux que le commerce actuel, il sert
donc d’indicateur mieux que le commerce.
A partir du moment ou l’on fait des IDE on est une FMN.

15
Mot de passe : EI2017

Graphique 1 : IDE, entrée nette.


Ici nous sommes en dollars courants, c’est-à-dire que l’on prend en compte l’inflation.
On peut voir que l’ide sont très fluctuant et dependent beaucoup des conjuctures
economique mondiale.

B) Le Répartition des IDE en Stock.


La plus grosse flèche c’est NORD/NORD : les pays qui investissement sont au nord et ceux
qui reçoivent sont au nord aussi.
En 2014 les PD c’est 79,4% du stock mondial d’IDE ( c’est donc eux qui attirent les flux)
Pour les PED il y à peu de sortie d’IDE mais il y à aussi peu de flux entrant sur le marché, ici
c’est un véritable problème car cela empêche leur développement.
Si on regarde les régions : l’Europe > USA.
Le Japon en termes d’IDE n’à pas beaucoup d’entrant.
En France certaines lois interdisaient les IDE entrant dans les années 60. Aujourd’hui le
discours à totalement changé. On favorise les IDE et supprimé toutes les barrières (règles
juridiques).
L’afrique : Les IDE sortant sont faibles, et les entrant sont encore faibles mais progressent
doucement. Ceux qui investissement principalement sont les chinois.
En Chine les IDE se développent beaucoup sur tout sur les IDE entrant.
Ainsi plus les richesses augmentent plus on aura des IDE.

II. Les analyses théoriques de la multinationalisation du capital

A. Mouvement de capitaux et revenus des facteurs.


1) Modèle à 1 seul bien.
On se base sur 1 pays qui produit 1 bien avec deux facteurs ( K,L) pour lesquels les
productivité marginales sont décroissantes Plus on ajoute des facteurs moins la production
augmente.
De plus le capital est mobile ce qui est tout nouveaux dans les théories.
On suppose que dans notre pays la dotation en travail est fixée et ne bouge pas.
Quel est l’effet de l’arrivé de capital supplémentaire ?
- La production augmente
- La productivité du travail à augmenter, donc les salarié vont gagner plus (productivité
Q/L )
- La rémunération des propriétaires de capital va baisser. Car la productivité marginale
est décroissante chaque unité de capital supplémentaire va entraine une
augmentation moindre de la production.
- L’effet total sur la richesse du pays : elle à augmenter car la production à augmenté.
Dans un cadre NC usuel l’entrée de capital accroit le revenu national du pays d’accueil,
une fois versé à l’étranger le revenu de son capital investit. Ce supplément de Revenu
national est égal à la différence entre la hausse des salaires et la baisse des revenus des
propriétaires de capital résident dans le pays.

2)Le modèle de Mundell à deux biens et deux pays.


Bien 1 Utilise plus de capital et le Bien 2 plus de travail. Ainsi 2 pays un Nord ( mieux doté en
capital relativement au SUD (K/L) ) Et un pays SUD.

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Mot de passe : EI2017

Ainsi le Nord produit relativement plus de 1 qu’il va exporter vers le SUD. Et le SUD produit
majoritairement le bien é qui exportera vers le Nord.
De plus on considère que les rémunération des facteurs sont les même dans les deux pays.
Le Choc qu’introduit Mundel n’est pas directement lié aux IDE. Il introduit un choc qui va
entraine des IDE. Le sud veut se développer et pour ce faire il impose une barrière
commerciale vis-à-vis des importations venant du nord en appliquant une taxe.

Les consommateurs sur pays du sub vont pays plus cher les biens 1. Le consommateur du
sud. Ainsi la rémunération du capital dans le pays sud augmente et la rémunération du
travail baisse (quand le prix d’un bien augmente, c’est le fécteur en abondance dans le bien
qui voit sa rémunération augmenter)
Mundell suppose en plus que le capital est mobile. Avant il n’avaient aucune motivation
pour bouger car les rémunérations étaient pareil. Ainsi comme le capital est mieux rémunéré
dans le SUD le capital du nord part vers le sud = IDE.
La protection du SUD sur le bien capitalistique se révèle efficace car elle provoque le
déplacement du capital du nord vers le sud. Il y à substitution entre commerce de
marchandise et flux de capital et le mouvement international de capital étant provoqué par
les barrières aux échanges, on parle d’IDE de type «  tariff Jumping  » (contourne la barrière
commerciale en produisant le bien 1 directement sur place, au SUD).
Si on en croit Mundell les IDE sont une réponse au barrières commerciales.

B. La prise en compte des stratégies d’entreprise dans l’analyse de l’IDE.

1) Le Paradigme OLI (Owners, localisation, internationalisation)

Dunning(1988) est important car il à poser les base de la compréhension des IDE. Pour lui la
multinationalisation ( être dans plusieurs pays ) dépend de 3 éléments : Ces 3 éléments :
- La propriété d’un actif spécifique : C’est ce qui donne une position monopolistique,
cela peut être un procédé, un bien, cela peut être un facteur spécial.
- La localisation des pays d’accueil : Les IDE peuvent dépendre de chaque pays
d’accueil, et leur situation. Chaque entreprise avant de faire un financement d’IDE va
faire un constat des pays. (lié à la productivité du travail, dotation factorielle, la taille
du marché…)
- les avantages et couts lié à l’internalisation : Il faut que la firme trouve des avantages
à intégrer les opérations en produisant elle-même au lieu de passer par le marché.
C’est-à-dire qu’on peut le faire non même à l’étranger.
Les entreprises analuse ces 3 facteurs et voir s’il est préférable de faire der simple
exportation ou de privilégier les IDE ?
Mais l’analyse de Dunning est très binaire, la réalité est plus complexe.

Ainsi Markusen( 1995) : Ajoute à l’analyse : Quand on fait une filiale à l’étranger il y à
d’autre motivation que le simple contournement de barrière commerciale. Cela peut
être pour y effectuer une partie du processus de production. Chaque élément du bien
peut être produit dans différents pays dans le but de minimiser les couts : On appelle la
Fragmentation/ Segmentation ou DIPP : Division internationale des processus de
production.

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Mot de passe : EI2017

C’est la base de la distinction entre IDE verticaux et horizontaux , horizontale porte sur
tout le processus de production souvent avant de vendre sur place, on porduit ici pour le
marché de ce pays.

2) IDE verticaux.
Est lié à la DIPP. Le but est de créer des filiales de production à l’étranger. On trouve des
explication à la naissance de ces IDE dans Helpman ( 1984) : Deux pays A et B avec deux
biens un bien homogène ( bien 1) et un bien différencié (bien 2). On utilise du travail qualifié
et non qualifié. Le bien 2 utilise plus de travail qualifié relativement au bien 1.
Le bien 2 est plus spécifique il y aura des activités de conception en avant qui sont les sièges
sociaux ( nécessite d’une quantité fixe de travail qualifié ) , et des activités de
fabrication( besoin de quantité variable de travail non qualifié) , les deux pouvant être
disjointes. Le Pays A est plus doté en travail qualifié que le pays B. Imaginons qu’on est en
libre echange, selon HO le pays A exporte le bien 2 vers B et B produit Bien 1 vers A.
Helpmann introduit qu’il n’y à pas de commerce, tous les pays sont en autarcie, en revanche
les firmes peuvent choisir leur localisation ( il peut y avoir des flux de capitaux ). Dans le Pays
B la rémunération des travailleurs qualifié est forte et pas qualifié est faible Dans le Pays A
les travailleurs qualité sont des abondants donc rémunération faible. Pas de commerce dont
pas d’agalisation des prix.
Comme la rémunération des qualifié est pas cher dans le pays A autant y introduire des
production qui demande bcp de travail qualifié. Ainsi les activités de conception seront dans
le pays A. Ainsi dans le pays A se multiplient les siège sociaux.
En revanche dans le B ce sera des activité qui demandent des travailleurs peu qualifiés.
Mais tout s’égalise, comme dans A on utilise bcp de travailleurs qualifié intensivement alors
leur rémunération augmente.
L’existence de FMN Verticale devraient donc favoriser le rapprochement des rémunération
factorielles entre pays.
Dans le Pays A aura des activité de conception et donc acquerir des fabrication de biens
différenciés et Le pays B va produire seul le bien homogène et va produire des activités de
fabrication probablement en plus grand nombre que A.
Le Pays B exporte du bien homogène vers A et des bien différenciés. Le pays A pour sa part
exporte uniquement &des biens différenciés vers B
De plus le modèle dit que la balance commerciale du pays A est toujours déficitaire. Car dans
le pays A exportera moins car il à les sièges sociaux mais ne fabriquent rien. Mais le pays A
va rapatrier son bénéfice vers les sièges sociaux.

3) Les IDE Horizontaux.

Pourquoi une firme localiserait toute son activité de production dans un pays, elle fait alors
un arbitrage entre les différents couts.  ?
A. Cas d’un bien homogène.
On va considérer que le choix de s’implanter à l’étranger dépend de 4 éléments :
o La comparaison entre le cout moyen de production dans le pays et à
l’étranger.
o La comparaison entre le cout de l’exportation par unité et le cout fixe de
création de filiale.

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Mot de passe : EI2017

o La stratégie des autres firmes présente sur le marché étranger.


o Les élasticités Prix de la demande de consommateur du bien sur chacun des
deux marchés.
Les éléments importants sont les structures de marché, tout est une question de prix .

B. Cas d’un bien différencié  :


On essaye d’expliquer les IDE horizontaux, mettre toute l’usine de production dans un
pays.
MARKUSEN et Venables (2000) : et Feenstra ( 2004) il à dàonc cherche à savoitr quelles
sont les motivation lié à l’arbitrage exporté ou implanter dans plusieurs pays différents.
Pour eux l’arbitrage dépend de 3 paramètres. Une firme multinationale horizontale
aura d’autant plus de chance d’exister si :
o Les couts de transports entre pays sont élevés  : Fort cout de transport on
essaye d’alimenter 2 pays en étant implanté dans un, donc cela coute plus
cher.
o Les couts d’implantation sont bas  : Il est donc plus facile de s’installer dans
plusieurs pays.
o Les PIB des deux pays sont élevé  : Si les pays sont riches ca veut dire que les
débouché dans les pays voisins sont nombreuses, Donc en couts de transport
cela coutera cher, comme les pays sont riches on bénéficiera de rendements
croissants. Ainsi autant faire deux usines.
o Que les PIB des deux pays sont proches  : ici autant être dans un seul pays,
pour alimenter le pays ou la demande sera plus cher ce sera moins couteux
que de s’implanter dans un pays avec un faible PIB.
o Si les PIB sont éloignés  : il est possible d’avoir des IDE verticaux, car pas
beaucoup de pob, signifie aussi que les facteurs de production sont faibles
( travail) donc on divise le travail ( DITT)

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Mot de passe : EI2017

Chapitre 4 : La compétitivité

I. Compétitivité cout et compétitivité prix  : analyse et mesure.


Intro : Souvent c’est un sujet très abordé comme un élément sacré qui justifierai des
mesures adaptative pour être plus compétitif ( baisse des salaire, baisser des couts, baisse
des charges des entreprises) La deuxième possibilité est de réduire les effectifs.
Souvent les débats se résument à ca.
Ainsi on va s’intéresser aux déterminants de la compétitivité.
Deux compétitivité couts et hors cout, et prix hors prix.

A ) Notions introductives.
Un pays est dit en compétitivité couts :
- Une baisse relative de ses couts de production (relative aux partenaires
commerciaux) lui permet d’augmenter ses exportation, gagner des parts de marché,
d’équilibrer sa balance commerciale, ou d’augmenter son excédent.

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Mot de passe : EI2017

Entre le couts de production est le prix de vente se rajoute des taxes, droits de douanes, le
taux de change (assurance de change) les couts de transports, la marge des entreprises. Ces
éléments relèvent donc de la compétitivité couts.

Ai 1 Ai 2
L’indicateur de la compétitivité couts : < le A représente la productivité du travail 1
Aj 1 Aj 2
unité dans le pays i .
Couts unitaire chez nous
Couts Comparatif : Le problème CU* c’est la représentation de
Couts unitaire chez les autres .
pleins d’entreprises, et pleins de pays, il faut mesurer bien par bien et secteurs par secteurs.
De plus il faut prendre en compte qu’entre les pays il n’y à pas la même monnaie.

B Les couts unitaires .


1. Les couts salariaux unitaires : mesures et limites.

CSU sont les couts salariaux unitaires : dépend de l’ensemble des couts salairaux .
W .N
Production. CSU = mais cer CSU est valable dans notre pays, donc CSUE ont l’exprime
Q
WnE
dans une monnaie étrangère CSU : PPA ainsi on prend en
Pq ( priox de la production ) X E DF
W.E
CSUE=
compte la parité de pouvoir achat de la demande. PQe PPA DF Le couts
N ( productivité )
salariale unitaire dépend alors du salaire, et au dénominateurs la productivité du travail N
( le nombre de salarié ) Si le but est d’améliorer la compétitivité en étant rigoureux, ca
dépend des salaires est la productivité, donc pour améliorer, baisse des salaires, ou
augmenter N la productivité .
CACSU
CSUR=
WNE
L’écritures finale est CSUR couts relatif. PQ PPA DF
CSU ∗¿= ¿
W ∗N∗¿
¿¿
PQ∗¿

2. Les couts totaux unitaires :


Pour le cout totale il suffit de rajouter deux éléments CIU les consommations
intermédiaires sous toutes ces formes, et le CKU qui est le couts du capital, on regarde
WNe CIe CKe
l’autre facteur de production. CTU = + +
PQePPA DF PQE ppa df PQ PPA DF

C) Les insuffisance d’une analyse en termes de couts.


1. Un manque d’exhaustivité.

Quand on mesure le CK le cout du capital unitaire, on calcule alors l’amortissement ( le couts


du plusieurs année actualisé) on va faire une distinction entre le cout du capital basé sur le
temps théorique d’utilisation et deuxièmement l’utilisation effective du capital. Des
gestionnaires ont essayé de mesurer les deux, ils ont remarqué de grandes différence entre
les pays. Au Mexique si on amortis son capital sur 4 années, il y aura un couts et sont temps

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Mot de passe : EI2017

effectif sera plus court que ce qui est prévu Ainsi dans l’équation CK on introduit du capital
mais en réalité il coute plus cher car on l’utilise plus vite. Le Japon par exemple lui arrive à
utiliser bcp plus longtemps sont capital que les autre Donc son cout est moindre. Le cout du
capital est donc théorique est non réelle à force de payer du capital on aura une
augmentation des couts, mais lorsque c’est publié officiellement c’est la valeur théorique qui
est mise en avant.

2. La qualité de la spécialisation internationale : Thirwall et la notion de contrainte


extérieur.

un pays est dit contraint lorsque sa croissance économique creuse son déficit extérieur,
difficulté à concilier l’équilibre interne et l’équilibre externe, comment concilier les deux ? Si
la croissance interne fait un déséquilibre interne on a une contrainte extérieure.
SI le revenu augmente entraine-t-elle une croissance forte des importations.
∆M

' M Si notre revenu augmente de combien les


Coefficient d élasticité :
◊ revennu nationale
revenu nationale
importations augmentent.
Si la demande extérieur augmente de combien les étranger vont augmenter les
◊X
X
exportation ?
◊ demande mondiale
Demande mondiale

Si nous importation augmentent avec le revenu c’est que l’on est mal spécialisé. On ne peut
pas tout comprendre avec les variables de couts. Àinsi d’autre d’autres éléments sont à
prendre en compte comme la mauvaise spécialisation par exemple.
Cette contrainte extérieure à été ressenti en 80 relance des par des politique budgétaire puis
stoppent car c’est la balance commerciale qui à explosé donc la politique fut inutile, puis la
la suite pour augmenter la compétitivité on à gelé les salaire.

II Compétitivité hors couts hors prix.


A) De la compétitivité prix à la hors prix.
On va comparer les prix, si les prix sont inféreiur la compétitivité d’améliore et inversement,
ce lien est inattaquable or ce n’est pas toujours le cas, considerer qu’une augmentation des
prix détériore la compétitivité relevé d’un raisonnement de prix pure.
Ce raisonnement n’est pas toujours valable : Des fois une firme augmente sont prix et
gagnent des parts de marché. Les explications peuvent être multiple. Par exemple si elle
augmente la qualité, ou une innovation, le produit est de meilleure qualité donc les prix
augmente mais les part de marché peuvent aussi augmenter.
Une hausse des prix peut refléter une hausse de la compétitivité, c’est alors une
compétitivité hors prix, tout ce qui ne relève pas du prix de vente.

22
Mot de passe : EI2017

B) Définition et déterminants  ?
La compétitivité hors couts  : On dira qu’un pays ou une firme dispose d’avantage hors couts
(HC) lorsque que la quantité de produits vendus n’est pas ou peu sensible à l’augmentation
du prix. Il y à lors une préférence des consommateurs qui n’est pas sérieusement affecter par
l’évolution du prix à la hausse jusqu’à une certaine limite.
Imaginons deux firmes et même couts et que les prix augmentent d’une firme mas elle vend
toujours autant, donc elle dispose d’une compétitivité hors couts.
Les déterminants du hors couts :
- Le premier élément est la différenciation qui peut être La différenciation, la
couleurs… Mais compétitivité transitoire car les concurrents recopient tres vite.
- La Différentions verticale : Haute de gamme, bas de gamme.
- Les labels, tous les éléments qui permettent de se démarquer.
- Une innovation technologique, répondre à de nouveaux besoin.
- Les détails de livraison, soigner la relation clientèle.
- Les coopération inter-industrielles, les partenaires de recherche.
- La spécialisation.

La compétitivité hors prix  : Il y à compétitivité hors prix si à prix équivalent une firme/pays,
est capable durablement de conquérir une part de marché significativement supérieur à celle
des autres firmes qui proposent un produit de même valeur d’usage. Comme les prix sont les
même est qu’une se démarque par ces parts de marché alors compétitivité hors prix.

C) la mesure des avantages hors couts.


1) Des problèmes de mesures évident.
Pour aucun de ces déterminants, il n’y à pas de données exactes. Il n’existe aucune
variable permettant de mesurer directement la compétitivité hors prix ou hors couts.
Donc deux possibilités :
o Prendre des variables quantitatives indirects ( des proxy) on approxime
indirectement ce que l’on veut exprimer. On doit alors approcher les
phénomènes ( Taux utilisation des facteurs de production, si elle tourne à
pleins régine les taux d’utilisation est max, on se pourra pas servir un client
dans l’immédiat, donc délais de livraison plus long). Pour l’innovation on
utilise 3 variables par exemple, L’investissement les R&D, le nombre de
brevets..
o Deuxième possibilité c’est passer par les taux de couverture relatif.
2) Taux de couverture relatif et couts totaux unitaires relatifs.
Le taux de couverture est un ratio utilisé en économie pour ramener le solde de la balance
des transactions courantes (balance commerciale (qui concerne les exportations et
importations de biens) + balance des invisibles (concerne les revenus, les services et les
transferts courants)), à un pourcentage.

C’est une méthode qui se sert des taux de couverture relatif, la méthode d’Ag
éaigniger. C’est un tableau à double entrée, on positionne chaque pays en fonction
de son de son cout unitaire relatifs. Et on croise cela avec les taux de couverture
relatif.
Prenons un pays avec des couts totaux faible avec une TCR > 1 ( il exporte plus qu’il
n’importe ), c’est normal car il à des couts faible donc bonne copétitivité couts. Mais

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Mot de passe : EI2017

imaginons un pays avec des couts faible mais un TCR<1 ( il importe plus qu’il
n’exporte) on ne comprend pas-il à un désavantage plus fort que son avantage sur les
couts, donc un désavantage HC. (problème structurel)

Si les couts sont é »lévé et on à une mauvaise performance, on à une mauvaise


compétitivité couts.
Si on à un TCR<1 et des couts faible on à une bonne compétitivité hors couts.

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Mot de passe : EI2017

Chapitre 5 : La mondialisation : de la configuration


internationale à la globalisation financière.

I. Qu’est-ce que la mondialisation.


A) Les origines du terme
« avant les évènement qui se déroulaient dans le monde n’était pas dépendant maintenant
ils dépendent tous les uns des autres »
Le premier à avoir utilisé la mondialisation est Mac Luhan( 60) : Globalism. La globalisation
c’est la période de mondialisation actuelle.
Michalet l’appelle globalisation financière.
La premiere définition officielle 1968 : «  c’est un processus à multifacette dans lequel le
monde est de plus en plus inter connecté et la communication devient instantanée »

B .caractérisâtes socio-économique de la mondialisation.

On décrit diverses manière d’analyse la mondialisation.


1) La mondialisation comme phénomène multidimensionnel
Il y à plusieurs dimension à ce phénomène, la dimension économique :
l’interdependance des variables économiques, les pays sont dépendant les uns des
autres, ma situation Eco influence l’éco de l’Allemagne qui m’influence à son tour.
Les dimension politiques : la place de l’Etat à varié avec la mondialisation. De moins en
moins de pouvoir.
La dimension sociologique : les problématiques culturelle, homogénéité social.

2) La mondialisation comme phénomène industriel.


PORTER : pour lui à mondialisation consiste en une série d’industrie liés entre elles et
au sein desquelles des entreprises rivales se concurrencent les unes les autres sur
une base mondiale. C’est un phénomène qui touche les entreprise, et donc touche la
manière de consommer les biens. Ainsi les produits sont plus ou moins standardiser
de manière mondiale ( le coca, les voitures…) Une manière de manager une firme,
tous les firmes ont des managements qui se ressemblent, La disparition des
frontières elles n’ont plus besoin d’exporter et peuvent aller directement sur place.
Ue phénomène qui passe en premier par les secteur et qui va impacter tous le reste.

3) la mondialisation comme apparition des nouveaux éléments.

Les nouveaux acteurs : Les ONG, les blocs régionaux ( MECOSUR ALEAN)
De nouvelles institution : G7, G20.
Nouveaux marchés

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Mot de passe : EI2017

Nouvelles normes / règles… auparavant les règles étaient spécifiques à chaque pays
et maintenant il faut faire des règles supra nationales.
Les nouveaux instruments de communication.

II) La perception de la mondialisation.


A) LA mondialisation : un ensemble de chocs, de défis et de peurs.

Par ce questionnaire, on voit les deux manières de voir la mondialisation : ex ; Renault vient
de s’implanter dans un pays, le deuxième coté c’est les étranger qui investissement chez
nous.
Certains voient la mondialisation sous deux angles comme une opportunité et un risque.
Mais par exemple c’est schizophrène car on ne veut pas d’intervention de l’Etat quand on
gagne mais quand on y perd on souhaite que l’Etat nous aide.

III. L’évolution de la mondialisation


A) critères de mondialisation.

La M. est un phénomène ancien, elle est lié au capitalisme. Le but d’une entreprise est dêtre
mondial, elles est donc inhérente au capitalise lui-même

Comment distinguer les Etapes de la mondialisation, pour Michelet en détermine 5 :


- Les délocalisation qu’implique ou non des IDE : FDP
- Les flux de biens et services : La production
- Les flux de capitaux financiers : FDP
- Les flux connaissance et de technologie :
- Et les migrations internationales. : FDP
Les 3 premiers sont des facteurs dominants, les autres ne le sont pas encore.
On peut analyser cette mondialisation par ces différents critères, les mobilités, si y’en
à un qui domine les autres.

B) La configuration de la mondialisation.
1) La configuration internationale
Il faut se remplacer ( 1945-65) ce qui caractérise l’économie ce sont les flux commerciaux, ce
qui s’accélère c’est le flux de biens et services. La logique de cette mondialisation c’est la
spécialisation, internationale. En 45 on parle de spécialisation des théories traditionnelles
( Ricardo, HOS)
Ainsi la dimension principale, c’est les flux commerciaux.

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Mot de passe : EI2017

A l’époque il y avait des flux de capitaux financier, mais on ne pouvait pas investir dans
n’importe quelle bourse. Ces mouvements de capitaux financiers servait à placer une usine à
l’étranger pour faciliter la vente d’exportation d’un point de vue commerciale.
Ainsi construction de chemin de fer, Canal de Suez, de Panama à été pour développer le
commerce. `Le commerce dominait en effet les capitaux financier, la finance servait au
commerce.
A l’époque les IDE existait ussi, les IDE Nord/Sud : pour les matières 1ere, la colonisation…
Ainsi le commerce domine les IDE et les flux financiers.

2) La configuration multinationale :

Ce qui est important ce n’est plus les flux commerciaux mais les flux D’IDE, les choix de
localisation. C’est l’émergence des flux de capitaux. Les F d’IDE surpassent les flux financier
et les flux commerciaux. La période serait ( 65-85) les acteurs dominant n’est plus l’Etat mais
ce sont les firmes multinationales, Les flux d’IDE sont devenus important dans le monde, plus
important que les flux commerciaux ( en moyenne du simple au double)
Les FMN sont ‘élément centrale, cela veut dire que les firmes choisissent leurs localisations,
elles vont donc passer la frontière et nier la frontière, L’espace pertinent c’est tous les
marché nationaux dans lequel on peut investir, c’est donc le monde.
Tout cela se fait Hors marché, ce ne sont pas des relations de marché. Les firmes vont le
choix de localisation les plus rentables, les plus intéressante sous le critère de la compétitif.
Elle cherche à être plus compétitive, et non plus productives.
A l’époque la performance était la part de marché, plus la part de marché est grosse plus la
compétitivité l’est aussi.
A cette époque les flux financiers étaient fait pour faciliter les IDE. Le but est de contourner
les exportations, on produit directement sur place et on produit à l’étranger pour réexporter
le produit sur place.
Ce n’est plus l’ETAT qui domine car dès qu’il agis les entreprises ont le pouvoir de partir, ainsi
les état essayent de négocier et non plus d’imposer ses règles.

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Mot de passe : EI2017

Comment est-on passé à ce 3 ème type ?


3) La configuration globale : globalisation.
La libéralisation financière à eu lieu dans les années 85, c’est elle qui à provoquer le
basculement de la multinationalisation à la globalisation.
Les flux financiers ont supplanter les flux d’IDE et commerciaux. 5300 Milliards$ c’est le
volume des échanges de devise au niveau mondiale en 2013 par jour en moyenne. En
Annuel c’est 18355 milliards de dollars en 2013 annuel donc 50 milliards par jours, c’est le
flux de commerce. Et le reste sont des flux financiers de cours terme, donc, les flux de
commerce de biens et services c’est 0,95% des échanges sur le marché des changes.
L’élément le plus important devient alors la rentabilité financières, si on fait un
investissement il doit être rentable.
Ainsi on v chercher ls rendements les plus important.
Les acteurs dominants dont donc les grandes institutions financières privés car c’est elle qui
sont à l’origine de ces flux financiers. Les firmes investissement elles même sur les marchés
boursiers car maintenant elles ont le choix d’investir en vrai ou en capitaux financiers.
Le lieu n’est même plus le monde, mais les places off-shore, univers parallèle sans règles .
Les clients les plus rentables sont ceux sur le off-shore.
La notion clé n’est plus celle de la coppétitivité mais de l’attractivité. L’Etat à donc lui aussi
une nouvelle place, il n’y à même plus de négociation avec la firme. LA seule raison qui peut
les pousser à rester c’est la demande finales dans le pire des cas.
Dette publique est faite car les entreprises sont partis, tout ce que l’etat peut faire c’est
essayer de rester attractif, attirer les entreprise par tous les moyens possibles,
règlementation avantageuse.

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Mot de passe : EI2017

Chapitre 6  : Les processus d’intégration. Analyse et perspective.

Introduction :
On donne souvent une mauvaise image de l’union Européenne pourtant c’est la 1ère puissance
commerciale. Avec 37% des exportations mondiales avant la crise :
- C’est 1er exportateur mondiale de marchandise : 1/5 Des exportations mondiales.
- 1er exportateur mondiale de services,
- mais aussi la 1ere source mondiale d’IDE sortants et deuxième bénéficiaire d’IDE entrant
( après les USA).
- 1er zone de de consommation au niveau mondiale. Principale marché à l’Exportation de plus
de 130 pays dabs le monde.
C’est un ensemble relativement ouvert au reste du monde avec un taux d’ouverture relativement
elevé mais pourtant ca ne fonctionne pas.
Quelques questions se posent : L’EU à t-il un modèle d’intégration régional ? Avons-nous un bon
modèle d’intégration et quelles leçons à tirer pour les autres zones d’intégration ? Depuis la crise,
tout un ensemble de débat, sur les questions des régulation, la dette souveraine, La problème de la
gouvernance De plus la question de la compétitivité économie en matière de spécialisation, en
matière d’attractivité des territoires.

Au de la du processus d’intégration se pose la question du contenu de l’intégration. On se pose la


question de l’hétérogénéité structurelle qui à un impact sur la cohésion d’ensemble.

I) Mondialisation VS régionalisation

Intro : avec le démantèlement des barrières au commerce, les intégrations régionaux se sont
développés.

Cette prolifération des ACR et ACP est une caractéristique importante du CI. On à un accroissement
des ACR au fur et à mesure de la mondialisation.
Les ACR ont tous pour point commun de : faciliter le commerce entre les pays assignataires au
détriment des pays tiers (non membres) . C’est pourquoi on parle de régionalisation. Précisasses
d’internationalisation des échanges avec des pays appartenant à une même zone géographique. Les
accords d’intégrations s’ils sont discriminatoires doivent être punis par l’OMC.
Il y à une controversé entre mondialisation et régionalisation rejoint un débat controversé entre
protectionnisme et libre-échange. Entre Les anciennes théories et les nouvelles.

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Mot de passe : EI2017

A) 1) Les théories standards : un scepticisme à l’égard des ACR.

Le modèle de Viner est le modèle fondateur des 1er études sur l’intégration régionales : Est-il
bénéfique pour un pays de participer à un ACR  ?
Il met en avant de concept : La création et le détournement de commerce.
LA création de commerce : par l’abolition des barrière commerciales entre pays membres chacun
remplacera la production nationale la plus chère par des importations de partenaires moins chère.
Ex : Avant le de faire partie de cette ACR le pays France elle abandonne les production qui lui coûte
cher et l’importe de ses partenaires. Ainsi on créer un flux commerciale, c’est une création de
commerce.
Le détournement de commerce : Par la discrimination à l’encontre d’importations en provenance de
pays tiers moins cher les échanges intra zone se substituent à ces produits moins cher. ( Ex : Maroc et
oranges) ainsi les couts sont plus forts, puisqu’on importe plus des pays spécialisé.
Ainsi qu’est-ce qui l’emporte ? Savoir si l’intégration est efficace il faut faire le liens entre ces deux
termes.
Selon les théories traditionnelles : c’est le multilatéralisme ( libre échange total ) qui
favorise/maximise les création de commerce, ainsi les ACR sont mauvaises.
Au mieux un ACR pourrait apparaitre comme un équilibre de second rang, une étape avant un LE
généraliser. Ainsi on en parle comme un optimm de second rang.

Les première tentative d’(intégration régionales des pays en développement ont été voué à l’échec :
- Niveau insuffisamment développé de leur production.
- Etroitesse du marché.

A)2) Les nouvelles théories sur les ACR : des conclusions plus conciliantes.

1) La question des rendements d’échelle


Eco d’échelle : on réduit le cout fixe au fur et à mesure de la production et donc le cout moyen,
donc intérêt de devenir grand pour réduire son cout.
Les Eco d’échelle interne : Propre à la firme, sont dans l’idée qu’une firme accroit sa taille pour
exploiter des économies d’échelle
Les Eco d’échelle externes : c’est la taille de la branche qui peut exploiter les Eco d’échelle (ex :
pôle de compétitivité, silicone vallée )
Cet effet entraine que certaines productions se trouve dans un lieu plutôt qu’un autre.
Donc : Les accord régionaux peuvent favoriser les économies d’échelle.

2) La différenciation de produits et le commerce intégration. (Krugman met en avant ce qui


empêche le détournement du commerce)
- Le gout du consommateur pour la variété favorise la création de commerce.
- De plus en faisant un marché élargi il y z un effet pro compétitif : dans un bloc commerciale
w/ marché élargie il y à renforcement de la concurrence intra zone qui entraine plus de
concurrence et donc plus de compétitivité. Le pays devra être plus efficient dans sa
production, la participation au CI améliorer la performance des firmes.
- Les économies d’échelle
- Rationalisation de la production : Les gains de productivité associé aux economies d’échelle à
l’effet pro compétitif et différenciation de produit permettrons des gains de productivité.
Ces 4 tirets mettent en avant l’amoindrissement du détournement de commerce.

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Mot de passe : EI2017

Il y à donc une plus grande création de commerce du fait du coup pour la variété et un moindre
détournement de commerce du fait des 3 derniers, la constitution de bloc commerciaux peuvent être
bénéfiques au pays.

B)1) Les accords commerciaux préférentiels : analyse.

Pb 1 : La réussite de certains ACR a amené une relance des tentatives d’intégrations régionales ( alors
qu’en théorie il ne faut pas).
Pb2 : La mondialisation réorganise les économies Nationals et les territoires.
L’intégration régionales montre que certaines régions dans les pays participent à cette intégration. Et
bcp d’études travaillent sur l’intégration régionale à différents niveaux.

L’OMC fait la différence entre les ACP et ACR.


ACR : Sont des accord commerciaux réciproques, conclue entre deux partenaires ou plus au seins
d’une même zone ou région.
Les ACP : sont des préférences commerciales unilatérale accordé par les pays signataires. Ces ACP
incluent le système généralisé des préférences (SGP) Au titre duquel des pays développés accordent
des droit préférentiels en provenant des pays en développement. Ex : « Tout sauf les armes ». Ces
accords incluent également d’autre accord par forcément réciproque.
Les différents accord préférentiel  :
- Association ou forum de coopération économie  : association de pays visant à organiser une
coopération entre Etats sur des questions économiques, il ne s’agit pas encore de
préférences commerciales. C’est pour cela que l’on parle de « régionalisme ouvert » qui
s’oppose à du régionalisme fermé ou la il y à des préférences commerciales. Ex : La Pec
depuis 1989 qui est purement consultatif, l’OCDE, L’AZEM.
- Accord de préférence non reciproque : accorde des avantage de manière unilatérale à
certains pays exportateurs sans que les pays importateurs n’obtiennent des avantages
équivalents. Ex : ACP ( Afrique Caraïbes).
- Zone de libre échange : réciprocité dans la baisse des barrières tarifaire avec une liberté de
chacun de mener des politiques commerciales indépendantes vis-à-vis du reste du monde.
Ainsi on s’accorde pour démanteler les barrières tarifaires. Ex : ALENA ou il n’y à plus de taxe
aux importations entre les pays, mais on peut préserver un tarif douaniers avec le RDM.
Difficulté : contournement des droits de douanes.
- Union Douanières : On s’accorde sur une politique douanières commune : TEC + Zone de
libre-échange. Ex : Le groupe SADC Communauté de développement de l’Afrique australe.
SLDC. Difficulté : détournement de trafic VS contournement
- Le marché commun : Union douanière (bien et services circulent librement) + Libre
circulation du travail et du capital. Ex : Asian économic communité (2015) le COMESA Marché
commun de l’Afrique de l’Est et australe. Difficultés : convergences économiques VS
déstabilisation.
- Intégration politique et monétaire : C’est un marché commun + coordination des politiques
économiques et monétaires. (Harmonisation des politiques macro) L’aboutissement est la
monnaie commune (ce qui sous-entend une parité fixe entre les pays de l’union et donc
l’abandon de l’outil de change) ex : La franc CFA qui est déterminé par la banque centrale
Européenne, ils n’ont donc pas de souveraineté. Difficultés : chocs systémiques VS choc
asymétriques.
- Union politique : C’est UEM + Coordination de politiques ( de défense, politique à l’étranger )
Difficulté : abandon de la souveraineté nationale
Les 5 dernières sont considérés comme des ACR.

31
Mot de passe : EI2017

Exemple de difficulté des ACR

Quel est la solution ? C’est ce qu’on appelle les règles


d’origine : Il s’agit de déterminer l’origine d’un produit
importé puisque les droits de douane à taux 0 et autres
mesures imposées dépend de cette provenance. Il faut
identifier la part nationale de la production dans le
produit que l’on importe. Ex : Si le produit ne vient pas
de Thaïlande on applique pas le taux 0 préférentiel.
Pour se faire on détermine un taux minimal de valeur
ajoutée qui doit être réalisé dans le pays en question. Ex
le beurre Français : on regarde le taux de valeur ajoutée
fait en France et en Thaïlande, si la valeur ajoutée thaïlandaise dépasse 30% pour appliquer le tarif
préférentiel de 0%.
Les difficultés de cette règle d’origine  :
- Comment calculer ce %age tout en tenant compte de spécificité du pays : ex : Lesotho
commence à produire des produits manufacturés, et émergeante dans les exportations de
vêtements mais n’à pas pu bénéficier des accords de Lomé, car la valeur ajoutée qu’il ajoutait
dans le produit final n’était pas suffisant pour respecter la règle d’origine .
- Du fait de cette difficulté de mettre en avant la valeur ajoutée créée les Asiatiques ont
intégré la règle d’origine dans le processus d’intégration régional  : L’idée que les zone
comme l’Asie des segments de production localiser dans différents pays de ce fait il y à u
commerce de transite. Ex : Smartphone assemblé en Chine, les composantes venant de
malaise, Corée du sud…, on parle de division régional du processus productif. Ainsi ils ont mis
en place des règles d’origine d’assemblage, donc règle au sein de la région.

Exemple 2 : Les implications majeures du marché commun  ASEAN :

- L’élément majeure c’est la


mobilité des travailleurs
( reconnaissance des diplômes au
seins des états, harmonisation
formation) : Le pb c’est que cela
concerne seulement certaines
qualification surtout qualifié.
- De plus nécessité d’harmoniser
des structures et système
financiers, l’implication majeure :
c’est qu’il y à une interdépendance
accrue. Ex : Crise financière 97.

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Mot de passe : EI2017

- Interdépendance industrielle et commerciale.

95% des entreprises dans l’asean sont des PME, c’est une structure productive éclatée.
Les solutions envisageables face à ces difficultés :
Beaucoup d’études envisage un fédéralisme budgétaire : si on veut se constituer un marché
commun dans lequel il y aurait une convergence des pays partenaire il faut mettre les moyens au
travers du fédéralisme budgétaire, Certaines régions ne peuvent faire face ou converger ainsi on les
aides à converger par un transfert de revenus. Faut-il que les Etat acceptent de contribuer à ce
budget.

Actuellement, certaines études prônent une union économique et monétaire en Asie. Avec une
monnaie commune (comme en Europe ). Mais cette solution entraine une perte de souveraineté
c’est-à-dire qu’on à plus l’outils de change pour le développement économique alors que les pays
asiatiques ont fondé leur développements industriel essentiellement grâce à la politique de change.
De plus face à l’hétérogénéité des pays membres (écarts de dvlp, écart de productivité) s’il n’y à ni
convergence, ni fédéralisme la seule solution est la dévaluation compétitive  : Pression salariale, avec
homogénéisation du facteur travail. Comme on ne peut converger par les autres mécanisme ee
l’union monétaire on va faire une pression à la baisse des salaire pour homogéiser le marché du
travail. Cette dévaluation compétitive repose sur la mobilité des travailleurs ( ce qui permet
l’homogénéisation).

Partie 2  : Une régionalisation au service de l’Emergence  ?

Introduction Si les PED aujourd’hui accoraient leur place dans le CI, c’est par la régionalisation et
surtout les chaine de production globalisé.
Aujourd’hui beaucoup de ces pays exportent des pd manufacturé basé sur les ressources naturelle
ou intensif en main d’ouvre.
Par cette nouvelle configuration nous avons la mise en place d’un commerce qui amène un
mouvement parallèle des exportations des produit manufacturés sud/sud et Sud/nord.
Ex : Chine exporte des smartphone dans les PD derrière ce flux Sud/ nord il y à d’autre pays qui
participent à cette fabrication par les chaine de valeur mondialisé qui créaient un flux préalable S/S.
C’est CVM entraine des réseaux de plus en plus complexes qui transforme la natures des échanges.
Cela entraine des pbs :
- Comment appréhender ce phénomène du point de vue statistique ? Relever la participation
des pays dans ces CVM. Aujourd’hui les statistiques sont incompétents. Si on arrive pas à
bien mesurer ces phénomène on ne peut pas identifier des phénomène économique.
- Ce qui est le deuxième problème : Quelle politique appliquer ? comment identifier pour
présenter des politiques industrielle face à ca ?

A) La participation aux chaines de valeurs mondialisées.

Il y à eu plusieurs tentatives de mesure ce cette participation aux CVM.


Le point de départ est que : les exportations brutes ne nous permettent pas d’appréhender. Ex :
corée du sud qui exporte des pièces et composantes, or on est incapable de distinguer les
différents segments dans la production du bien ?

Mesure 1 : C’est la raison pour laquelle nous avons inventer la notion de Commerce En valeur
Ajoutée. Le premier à voir fait ca c’est Hummel avec sa notion de spécialisation verticale. Il vont
définir le commerce à valeur ajoutée comme la valeur des bien intermédiaires importé qui sont

33
Mot de passe : EI2017

incorporé dans les exportations d’un pays. C’est-à-dire la teneur d’importation des produits que
nous exportant.
Tout l’enjeux est de mesurer le contenu en input qui est créer à l’étranger.

Les problèmes : Cette indice ne reflète que partiellement la participation de la Chine aux chaines
de valeur mondiale. Il n’y à pas une mesure intégrale de participation chine à ces CVM, ainsi on
ne voit pas les étapes de la participation chinoise à ces chaine de valeur m.

La Mesure 2 : Koopman et Al propose un indice de participation aux CVM : cet indice va prendre en
compte l’indice de Hummels, c’est-à-dire
la teneur en produit importé des
exportations + et la valeur ajoutée locale
incorporée sous forme de bien
intermédiaire dans les exportations. Qui
sera exprimé en % des exportations du
pays. A apetir de cet indice on à développé
des bases de donnés établie par l’OMC et
l’OCDE.
Ex : on voit que les exportation totales des
PED change lorsqu’on prend en compte la
value de tout le monde, cela passe de 100
à 190. Du fait de cette division des taches
le produit finale est toujours le même,
Mais les échanges vont augmenter car on
prend en compte mes échanges S/S et on voit qu’elle sont compté 2 fois. On à l’impression que l’on
échange partout mais il y à juste des redondances de statistiques. Il vaut mieux un commerce de Va
que de Valeur Brute. La chine à 4 de valeur ajoutée.

-
On voit que l’on à gonflé la valeur ajouté.
En décomposant cette CVM on à tendance
à dupliquer les Valeurs ajoutée, donc
mauvaise interprétation des statistiques.
Les statistiques conventionnels ne nous
permettent pas d’appréhender ces valeurs
brutes de transaction commerciales.
- Cette dépendance des pays en -
développement demeure vis-à-vis des pays
dévloppé qui eux sont les marchés de viens
de consommation finale.
- Ce commerce de CVM à été amplifiée par
l’intégration régional. Surtout en Asie, on à
pas beaucoup d’accord en asie mais
pourtant elle à beaucoup d’échange intra régionaux ( commerce de Facto).

Nous avons 3 pays, La Pays A qui


fabrique des pneu et importe du
caoutchouc d’un pays tiers.
Si B exporte des voitures vers pays C  : Si
le pays A exporte, ces pneu vers le pays
B. Ces pneu contient du caoutchouc qui à

34
Mot de passe : EI2017

été importé (présence de VA étrangères) donc le pays B importe VA pays B et du pays tiers.
La valeur du pays tuer est cette fameuse teneur en exportations des importations.
Le pays B n’à pas de ressources, il à de la technologie, il assemble donc des voiture. S’il
exporte vers le pays C La voiture.
Dans les statis traditionnelles ont aurait juste de B vers C, or dans la production de B il y à la
VA ajouté créée puis la valeur ajouté du pays tier. Donc le coeff rapporte la valeur ajouté
importé + La valeur ajouté locale ( pays B) vers le pays C.

Si B consomme sur place  : La valeur des pneus sera la valeur ajoutée nationale des
exportation direct du pays A. Si on est dans une situation ou le pays A à exporté et le Pays à
consommer sur place, ici les statistiques traditionnelles ne sont pas truqué.
Les commerces traditionnels de peut pas nous expliquer les exportations indirectes.

Si Le pays A importe des voitures de pays B  : C’est de la réimportation indirect car


préalablement il à exporté vers B des pneus pour qu’il fabrique des voitures donc dans la Va
des voilures, il y à les pneu qui sont compté doublement.

Les pays du sud participent plus que les PD aux CVM. Ce qui est une bonne chose pour es
PED cela leur permet de participer au CI.
Ce qui à permis cette participation sont les progrès technique + La possibilité de segmenter
les chaines de productions. C’’est pour cela qu’l exportent des produits manufacturé. On à de
plus en plus de commerce de bien intermédiaires. Aujourd’hui un PED peut participer à un
segment precis de la fabrication d’un smathphone c’est donc surtout un commerce d’input.

On s’aperçoit que ces CVM ont des centralités c’est un rayonnement en étoile, il y en à 3.
- Les USA
- L’Allemagne
- Chine
Aujourd’hui on voit que pour la 1 ère fois un pays du SUD est au centre d’échange, c’est la Chine. La
chine est un HUB sur l’ensemble de l’Asie.
On voit que la plupart des pays en développements sont en périphérie, il y à peu de pays qui
participent à ces chaines de valeurs mondialisées, ce sont surtout l’Afrique, car des qu’on est loin
d’un HUB on à moins de chance de participer à ces CVM.
Cela participe à la nouvelle théorie du commerce inter, ce sont surtout les grandes firmes qui
participent à ces CVM, on s’aperçoit que ces CVM favorise les PD et les grandes firmes de ces PD les
petites entreprises échangent au niveau local et intra régionaux principalement.

B, développement d’un commerce Sud Sud.

Aujourd’hui des pays en développement participent aux commence mondiale surtout par le
commerce des biens intermédiaires. Et effectivement cette part de commerce de bien intermédiaires
des PED est passé de 6% à 25% En 2013. Dans les Echanges entre PED ¼ de ces échanges entre PED
relève à des échanges de biens intermédiaires et non de produits finis.
On à des PED qui participent à ces CVM tiré par des autres pays en développement grâce à l’effet de
proximité géographique. Néanmoins beaucoup de ped restent de périphérie de cette CVM.
Les NPI d’Asie ont bénéficié à la stratégie de délocalisation des firmes japonaise. Les accords
commerciaux sud sud sont pas encore notifié ?

PQ les PED multiplient les ACP  ?


- Certains pays en développement craignent d’être exclue de certains marché. C’est une
réponse à ces accords qui se multiplient partout.

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Mot de passe : EI2017

- Pas crainte de perdre leurs souverainetés : en s’alliant on a plus de pouvoir de négociation en


s’alliant sur la scène internationale.
- Certains pays en développement participent à ces accords pour évincer la concurrence de
pays potentiellement plus efficients.
- Participer à ces accords leur permet de construire un développement industrielle, basé sur
les économie d’échelle. On assoie le dvlt indus sur un marché élargi.

Beaucoup de pays à bas cout salariaux ne


participent pas à des CVM. Donc ce n’est pas les
cout salariaux qui determinet la participation aux
CVM.

Ce graphique nous montre deux choses :


- Il n’y à aucune relation positive entre le
salaire moyen et le cout unitaire de
travail( ce qui montre que le cout unitaire
de travail n’est pas seulement le sailaires
( administratif, transports…)) . Pq ? La
raison est que la productivité du travail
diverge d’un pays à l’autre car des écarts de participation aux CVS. Ex : un pays peut avoir
une haute productivité marginale de travail, et donc un salaire élevé en conséquence et
pourtant la productivité du travail peut-être très faible. Ex : La chine en 2000 avait des couts
unitaires faible, 10 ans après les salaires augmentent alors que les couts unitaires sont
toujours faibles. Ces pays ont donc une augmentation de salaire mais des couts unitaires
faible parce qu’ils sont très productifs, et participent à CVM.
- Les pays qui ont un salaire faible ou des cout unitaire de travail élevé sont ceux dans le cercle
élevé. Ceci est expliqué parce que ces pays n’ont pas beaucoup de participation aux CVM.
A chaque CVM Les couts sont amplifiés.
Les solutions à ce problème :
On va réduire les couts, par les zones d’économies reliées. Développer des zones économiques
spéciales. Mais pb : il faut que le cout unitaire diminue et pa r les économie d’échelle puisse
bénéficier aux autres. On concentre les activités dans les même lieu, mais on à pas de retombé dans
l’économie. La Chine elle à construit ces zones franches, et à attirer les entreprise pour avoir un effet
de diffusion lié aux zones franches.

Constat OMC : Peu de PED qui participent aux ACM. Les grand émergent comme le Brésil l’inde , la
Chine son des centre dans le commerce sud/sud mais aussi des investisseurs, ils bénéficient des IDE
entrants et sortant. Mais dans une moindre mesure, les pays comme Malaisien la Thaïlande e La
Turquie. Ce commerce sud/sud contribue à tirer les échanges des pays Africains. Dans le graphique
on voit qu’en 95 la majorité des exportations africains étaient pour les PD. On voit que plus le temps
place, plus la chine devient l’acteur principale. La chine est un marché pour l’ensemble des pays en
développement et donc des pays africains.

Résumons :
Une des raisons majeures de la prolifération des ACR et ACP tiennent à un mot : préférence, plutôt
de de libéraliser de manière généraliser on va libéraliser de manière préférentielle. Pour se protéger
de la mondialisation et choisir les produits que l’on veut mondialiser, puis choisir les partenaires que
l’on souhaite.
D’où la cration de CVM avec du sur mesure, on va designer quels type d’accord avec qui ce qui
impacte sur le changement de nature des échanges internationaux.
Les coroolère de tout ca sont :

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Mot de passe : EI2017

- Perte de marché protégé, on à de la concurrence qui s’adapte à ces ACP par exemple les
marchés publics qui sont ouvert aux marché.
- Perte d’emplois lié aux restructurations et aux économie d’echelle.
- Interdépendance accrue des pays et donc perte de souveraineté ?
On à des difficultés à appréhender les échanges internationaux. Ex : comment identifier les paus en
amont d’une chaine de production ?v ou comment formuler des politiques commerciales industrielle
face à ces chaine de valeur mondialisé.
Une des solution apporté : c’est de raisonner par tache, par segment de production. L4enjeux des
PED est de participer à des chaine de valeur mondialisé qui apoorte le plus de VA.
Le 2ème enjeux : de minimiser les couts de transaction. ( indice de performance logistique ) ces
indicateurs capture tout ces couts ( adm, transports) et ce que nous dit l’indice c’est que meilleur est
cet indice de performance meilleure sera la participation du pays à la chaine de valeur mondialisé
pour reduire ces couts.

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