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: EI2017
Economie internationale
Les indicateurs du CI
Les chiffres du CI
Les apports thépirique s
Rsmith/ Ricardo/ HOs/ Léontief/ nex thé enfogène/ Redement décroissant.
C.I était appelé par les père fondateur « l’économie politique ». Ils ont résonné dans le cadre d’un
Etat nation, car ils pensaient dans le cadre d’une économie ouverte. Puis peu à peu s’est développé
l’économie industrielle internationale, utilisation des notions de l’économie industrielle mais dans
des problématiques internationales.
En EI il y à deux grands courants :
- La finance internationale : on regarde les questions essentiellement monétaires.
- Le commerce international : les transactions réelles
L’économie international : analyse les flux de marchandise de services de capitaux de paiement et
de devise entre une nation et le reste du monde ainsi que les politiques menées pour réguler ces
flux et leurs effets sur le bien-être national.
Pour mesurer une économie ouverte on prend en compte le taux d’ouverture, par exemple la France
à un degrés d’ouverture de 28%. Les USA sont une économie ouverte pourtant leur degres
d’ouverture est de 14% malgré ce chiffre.
Quasiment tous les secteurs sont impactés par la mondialisation.
Le degrés d’ouverture : permet de connaitre les dépendances des pays au CI. Le degrés d’ouverture
est toujours plus élevé dans les petits pays car ils ne peuvent tout produire eux même.
Le taux de couverture : c’est ma part des importations financé par les exportations, est-ce que les
exportations permettent de pays les importations ?
La propension à exporter : ils sert pour les pays en développement la production est trop pour
l’extérieur et ne sert pas pour le développement intérieur.
Part de marché : quel est la part de l’All dans la vente de voiture dans le monde par exemple. C’est le
calcul de l’avantage comparatif révélé
Les termes de l’échange : on rapport juste les prix, ce que j’exporte va-t-il plus cher que ce qu’on
importe ? Par exemple l’ALL exporte des biens qu’ils valent plus cher que leurs importation.
Le taux de pénétration du marché intérieur : on regarde si les importations sont importante dans le
marché locale, il est aussi appelé l’absorbation (ce qu’on consomme au niveau Local). En France on à
un taux de 30% c’est-à-dire que dans tout ce qu’on consomme 30% Vient de l’étranger.
Le coefficient d’élasticité : Je donne à tout le monde 1000 Euros et dans ces 1000 Euros qu’elle par
va aux importations. Si on augmente le revenu des agents quelle part va vers l’étranger ? Permet de
savoir quelle politique faire ?
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Mot de passe : EI2017
La structure géographique
Tableaux 4 : on à la part de chaque pays dans le commerce de marchandise. L’Asie.
On voit que le RU sont en déficit depuis de nombreuses années ( depuis la désindustrialisation).
En Espagne la recession à permis de repasser au dessus de0 pour leur balance courante.
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Mot de passe : EI2017
côté de l’offre. Un pays échange car son offre est meilleure, c’est par sa différence que le pays se
spécialise. Il est meilleur car il est plus compétitif. Cette analyse se base sur la compétitivité.
Un pays est dit compétitif dans le commerce mondiale d’un produit donné s’il le produit dans des
conditions de meilleure efficacité que les autres pays. Aim/AJm il compare I et J et prend le même
bien et voit qui le produit de la meilleure façon possible. La mesure pour Smith ce sera le temps de
travail.
Ricardo apporte une critique dans le sens ou certains pays n’ont pas d’avantages absolue, et le pays
serait exclue du CI. Ainsi Ricardo va montrer que l’on peut quand même avoir un avantage
comparatif.
A.2 le raisonnement Ricardien
Le fondement historique.
Ricardo intervient en 1815 avec les avantages comparatifs, il se pose la question «pourquoi les pays
échangent » ils échangent parce qu’il y à un gain. R. se base alors sur le temps de travail relatif. Lui ne
parle pas de compétitivité mais de productivité. Les pays diffèrent quant à leur productivité du
travail cette différence entraine un gain s’il échangent.
Chez R. il y à un seul facteur : le travail. Tous les pays n’ont pas tous la même productivité du travail.
Les pays n’ont pas la même technologie ( signifie pas la même productivité). L’échange n’est expliqué
que parce qu’il existe une différence de technologie donc différence de productivité et donc
différence dans les couts.
Dans son contexte il y avait les rentiers, les bourgeois ( le profit ) et le peuple( le salaire) , il analyse
l’évolution de ces trois composante Ricardo à vue qu’il y avait un pb pour les bourgeois si on ne
changeait rien, en tendance longue il va voir que :
- L’évolution démographique croissante donc de plus en plus de bouche à nourrir.
- Les terres agricoles sont de moins en moins fertiles. On doit produire plus pour plus de gens.
Donc le prix des biens agricoles vont augmenter donc les rentiers vont augmenter leurs rentes. Le
salaire se fixe au prix du cout de la reproduction de la Main d’œuvre donc le salaire ne varierait pas.
Ainsi les profits vont baisser au profit des rentiers car le peuple va davantage consommer des biens
agricoles et donc consomment moins de biens industriels et l’industrie ne se développera pas.
La solution : Il faut que le prix des biens agricoles baissent ( afin que l’industrie puisse se developper)
donc les lois d’agriculture vont changer c’est ce qu’on appelle les Corn Law on permet au blé
étranger de venir.
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Mot de passe : EI2017
Début XX eme siècle ( 1 siècle après Ricardo) Tous les pays ont vécu la révolution industrielle donc
plus de différence technologique car tous les pays savaient produire les mêmes biens, car diffusion
technologique. Donc la notion de Ricardo n’était plus d’actualité. Les HOS vont alors ajouté une
explication à la théorie de Ricardo ( toujours basée sur l’offre) donc la différence qu’ils prônent va se
baser sur le capital et le travail et tous les pays n’ont pas la même dotation : Les différences de
dotation factorielles. Certains pays auront plus de matière première que d’autre, des ports, des
champs à cultiver.
En 1919 Heckscher un Suédois énonce le principe de rareté relative des facteurs. « une différence
de rareté relative des fdp entre deux pays est donc une condition nécessaire pour qu’il y ait différence
de couts comparés et par conséquent du commerce international ».
Ohlin 1933 : à continuer le travail de H. et fait une publication ou il décline les implications de
principe de rareté relative.
Samuelson qui à partir de 1937 va modéliser sous forme mathématiques, ce qu’il ajoute à cette
théorie c’est les conséquences sur la rémunération des facteurs.
Leontief en 1950 fait des recherches sur le commerce international, il va essayer de vérifier
au niveau empirique le théorème HO. Il va se servir des premières données statistiques des
américains. Il fait un TES pour voir de quoi sont composé les importations américaines et
leurs exportations.
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Mot de passe : EI2017
On s’attend à ce que les américains exportent des biens intensif en capital et importe des
biens intensif en travail.
Le travail est expliqué en homme par années ( combien d’homme nécessaire pour une année
de production)
Le capital est calculé en fonction des besoins d’investissement nécessaire.
Leontief est face à un PB car il n’à pas les TES des pays importateurs. Ainsi il va inverser le
tableau américain, il va calculer l’intensité en facteur de production nationale substitue au
importation.( fait comme si les étrangers produisaient de la même facon que les américains)
Il utilise le même TES américain pour tous les pays : ainsi il valide une hypothèse HO celle de
la même technologie de production.
De plus il doit exclure tous les biens qui ne sont pas produit aux US ( ex : noix de coco).
Les résultats : Montrent que les exportations américaines contiennent relativement plus de
travail par rapport au capital par rapport aux importation américaine, tout l’inverse de ce
qu’on attend.
Analyse paradoxe :
2 possibilité :
- Méthodologie de Leontief est fausse.
- Soit la méthode de Leontief est bonne et la théorie HO est nulle.
La 3 eme possibilité de Léontief : il explique que le travailleur américain est plus productif
que le travailleur étranger. Il précise « 3 fois » plus productif pour 1 même dollars. A
l’inverse les étrangers seraient 3 fois moins productif (pour avoir la même quantité produite
il faudrait il faudrait 3 fois plus de dollars à l’étranger)
Les remarques :
- Si le travailleur étranger est 3 fois productif qu’est ce qui dit que ce n’est pas le cas
pour le Capital ? Le travailleur utilise de la meilleure façon de le capital donc le capital
devrait aussi être plus important
- Dire qu’un travailleur américain est X fois plus productive pour eux. : Ce qui rejoint la
théorie Ricardienne.
Ainsi l’argumentation de Leontief ne fait pas avancer les choses, ainsi beaucoup de
recherches ont étés faites.
L’une des explication retenue est qu’on se basait trop sur HO ils considère deux FDP ( c’est
une vision micro) Les autres FDP qui ont étés trouvé c’est-à-dire les graduations de
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Mot de passe : EI2017
qualification , ce sont les théorie néo factoriel ( différence entre travail qualifié et non). Ainsi
les américains sont spécialisé dans le travail qualifié, ainsi plus de paradoxe !
Une autre explication c’est la théorie du capital humain, l’argent qu’on dépense pour
former les individus, ou le mettre dans le capital ou le travail ? Peut être que la distinction
HO est trop binaire. En effet à cette période on investit bcp plus dans la formation que les
autres pays. Ainsi dans le tableau 12 certaines partie du travail pourrait être compter dans le
capital ainsi plus de de paradoxe.
Le raisonnement.
Un pays davantage abondant en capital, on est en autarcie donc le prix du bien industriel
sera faible. Si jamais on s’ouvre au commerce par le libre échange, je me spécialise dans le
bien industriel. Je vais donc devoir produire plus, Ainsi le prix va augmenter : c’est ce qu’on
app elle la loi du prix unique. Car en Libre échange il ne peut y avoir un seul prix pour un
bien. Le prix augmente ainsi cela attire des producteurs, c’est une opportunité de profit.
Un entrepreneur arrive il aura besoin de capital et de travail, et il devra trouver beaucoup de
capital et un peu de travail, il va aller chercher ces travailleurs dans les autres secteurs, par
exemple ceux de l’agriculture. Mais ils libèrent plus de travail, ainsi le salaire baisse, la
rémunération du travail est ainsi touchée. Ainsi dans mon économie le salaire baisse alors
que la rémunération du capital augmente, le contraire d’initialement. Dans le pays étranger
exactement l’inverse.
Si on échange les rémunérations des facteurs se rapprochent de pays à pays.
Dans les conditions du théorème HO une diminution relative du prix d’un bien diminue le
revenu du facteur qui est utilisé intensivement dans sa production et accroit le revenu de
l’autre facteur.
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Mot de passe : EI2017
facteurs. Ainsi potentiellement il peut y avoir des conflits d’intérêt entre les facteurs
de production. C’est le facteur rare qui y perd.
Cet argument pourrai justifier des politiques de redistribution entre les différents
facteurs.
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Mot de passe : EI2017
Vernon fait la théorie du cycle de vie du produit d’une firme. Quand le produit est en phase
de croissance il est produit dans le nord. Mais quand il devient banale et produit dans le sud,
et devient pas cher, ainsi le flux s’inverse.
Krugman dit qu’il faut innonver mais arrêter les transferts technologiques.
La première explication qui à été donné est l’illusion statistiques, les chiffre ne reflètent pas
la réalité. Ex : i= Moto, mais dedans on mets tous les véhicule à deux roues, La France
commerce entre la France et l’Allemagne mais pas les mêmes deux roues, donc c’est du
commerce intra branche dans les chiffres. La mauvaise utilisation des donnés de produits.
Mais cet argument est faux car aujourd’huii même avec des données très fines on arrive
quand même à trouver du commerce intrabranche.
Avec l’intégration Euro il y à un risque que tous les secteur se regroupent ensemble, s’il y à
un crise tout sera lier. Alors que s’il y à du CItrabranche, le risque de choc asymétrique se
réduit car chaque pays fabrique un peu de tout.
C’est la première fois que la demande à un rôle dans les théories du commerce
international. Il existe un lien entre éloignement et commerce intra-b
ranche. Plus les pays sont proches plus le CIB est important cette proximité peut-être
géographique, économique, technologique et ou culturel. Ex France/Allemagne.
Thèse de Linder (1961) : C’est la thèse de la demande représentative, elle est en 3 étapes :
- Les conditions de production dépendent sensiblement de celle de la demande.
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Mot de passe : EI2017
Au fur et à mesure que l’on vend on sera meilleur et plus productif, c’est une forme
d’économie d’échelle qui ne vient pas es facteurs de production, c’est l’expérience.
Ces économies d’apprentissage signifient que les couts unitaire de production initialement
élévé diminuent rapidement avec l’expérience accumulé. Ce sont des économies d’échelle
dynamique, car ils evoluent avec le temps. ( voir graphique) effet de club.
Dans les année 80 certaines auteur essayent de vérifier cette courbe,
En 1982 Zimmerman montre que la réalisation d’une centrale nucléaire permettait à
l’entreprise de réduire de 11,8% les couts de production d’une seconde centrale car on à
résolut les problèmes lié à la première centrale et par l’expérience on va éviter certains
problèmes.
Liberman : mopntre que dans le secteur des produits chimiques la courbe d’apprentissage
avait une pente de 0,2/ à cahque production cumulé on baisse les couts unitaires de 20%.
Les puces électroniques de processeur ont une pente de 0,8.
C.2 les rendements croissants et l’explication endogène de La spécialisation internationale
On est sur des secteurs avec des coûts fixes important, mais ce sont les secteurs sur lequel il
y à de la qualification, de l’innovation, ce sont les secteurs recherchés et innovants.
Le commerce ne vient pas du fait que potentiellement on est bon mais effectivement on est
bon.
Tableau 7.
On considère le même niveau technologique, les même dotation factorielles, la même taille,
les
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Mot de passe : EI2017
mêmes gouts des consommateurs. Les même dotation donc pas HOS, même technologie
donc pas Ricardo.
Remarques :
- Initialement, il n’y avait pas d’avantage à échanger, le gain est apparu quand les pays
ont commencé à se spécialiser. Et du fait ce cette spécialisation les pays ont eu une
amélioration de leurs performace. C’est grace à la spécialisation que j’ai un avantage.
On qualifie cette explications de théorie endogène dès l’échange international car
c’est la spécialisation est l’échange qui crée l’avantage comparatif et non l’inverse.
On parle d’avantage comparatif endogène.
- On à 3 équilibre dans ce modèle, le premier est instable, et deux equilibres qui
correspondent à une spécialisation complète soit dans les chemises ou dans les
voitures.
- On ne peut savoir qui fera les chemises et qui les voitures.
- Il n’y à aucun couts d’ajustements ( les gens doivent automatiquement changer de
métier)
- Se spécialiser dans l’un ou l’autre secteur n’est pas anodin ( oui dans cette exemple
mais pas dans la réalité).
- C’est le 1er qui se spécialise qui l’emporte, donc l’Etat à un role incitatif la dedans. Le
laisser faire n’est pas forcément la même solution, on est dans un cadre
interventionniste.
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Mot de passe : EI2017
stratégique.
Nous avons deux cas pour lequel els protection pouvaient être intéressante celle de Stolper
et Samuelson ( libre échange peut dégrader le situation de certains groupes sociaux) Et celui
des rendements croissants. Une politique industrielle peut engager des gains liés au
commerce.
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Le modèle de Ricardo Viner : Il y à deux bien dans l’éco, un à droit l’autre à gauche.
Pour le produire on à besoin de deux facteurs de production, Le premier facteur est
générique, il est commun aux deux biens, donc le salaire et le même. Pour produire
chacun des biens ont à besoin d’un facteur spécifique à chaque bien ( qu’on
appellera facteur travail qualifié). Imaginons qu’une protection s’applique sur un seul
des deux bien1. La production 1 va augmenter car celui-ci est protéger, mais lQ1 est
stable, ainsi on va demander plus de LNQ, donc des travailleurs du bien 2 va venir
dans le bien 1. En terme relatif on utilise plus de LNQ que de LQ1, en terme de
productivité relative des facteurs ont aura une augmentation de la productivité
relative de LQ. Alors qu’e
n terme relatif la productivité des LN baisse, car avec plus de personne on produit
plus. Donc les plus productif seront mieux rémunéré, la rémunération des
travailleurs qualifié augmente relativement à celle des non qualifiés.
Pour le Bien 2 : C’est la même chose, ceux qui sont pas qualifié vont avoir leur
rémunération qui va augmenter.
CCL : La protection d’une branche améliore les rémunérations des facteurs
spécifiques de cette branche, et détériore les rémunérations des facteurs spécifiques
des autres branches. Dans ces modèles les facteurs spécifiques sont ceux qui doivent
demander un protection car c’est eux qui gagnent à être protégés. `
Le degré de protection peut s’analyser comme le pouvoir de négociation entre des
groupes d’intérêt privés et des organes politiques élus.
B. La protection de l’emploi.
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3. L’anti-Dumping.
Il y à 3 types de mesures contingentes :
- Si un secteur est gravement menacé par la concurrence étrangères.
- Si un pays exportateur subventionne ses exportations dans ce cas l’OMC permet à
l’importateur lésé de créer des droit compensatoire qui vont modifier le prix des
biens importés.
- Si un pays se considère victime de dumping, dans ce cas il est possible de mettre des
mesure anti-dumping.
Le Dumping : on dit qu’il y à dumping Lorsqu’une entreprise vend sur les marchés
étrangers à un prix inférieur aux prix domestique ou au cout de production.
Dans 90% des cas on à affaire à des mesures anti dumping.
Graphique 2 : cumule du nombre et de masure anti-Dumping.
L’inde est l’un des pays qui porte le plus plainte auprès de l’OMC.
Les pays visés sont souvent la chine, la Corée, les US et le Japon. Il n’y à pas de plus en plus
de plainte, mais le système est de plus en plus efficace.
Les mesure anti-dumping sont généralement efficace. On porte plainte, on met des mesure
pour que le prix des importations soient plus cher.
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Mot de passe : EI2017
EATON et GROSSMAN : ils ont fait un duopole à la Bertrand mais sur les prix. On
considère que les stratégies du secteurs sont en fonction des prix.
Ils montrent que dans ce cas, le bien-être d’un pays augmente si l’Etat taxe les
exportations au lieu de les subventionner. On va chercher un bénéfice, car on récupère le
montant de la taxe. Ils arrivent à mesurer une taxe optimale pour que la population ait
un ben être grâce aux performance de la firme. La taxe est pays par les consommateurs
du pays tiers.
Dans cette matrice les deux perdent. C’est appelé le dilemme du prisonnier car les deux sont
perdants.
III.B.3 autres limites de la PCS
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Les effets doivent rester dans les pays, en effet dans le cadre d’une économie mondialisé, les
effets d’une PCS est inefficace.
III.C : Le commerce administré.
C’est une politique née aux US, on va essayer d’aider certains secteurs : ceux qui sont soumis
aune course à l’innovation et pour lesquels l’investissement privé est insuffisant pour être
compétitif vis-à-vis de l’extérieur. Ainsi on va effectuer des investissements publics en plus
des privés. C’est une vision dynamique. (Aéronautique, espace) ce sont les secteurs de
l’avenir, là où la demande mondiale est croissantes ( les secteurs de Demain).
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Mot de passe : EI2017
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Mot de passe : EI2017
Ainsi le Nord produit relativement plus de 1 qu’il va exporter vers le SUD. Et le SUD produit
majoritairement le bien é qui exportera vers le Nord.
De plus on considère que les rémunération des facteurs sont les même dans les deux pays.
Le Choc qu’introduit Mundel n’est pas directement lié aux IDE. Il introduit un choc qui va
entraine des IDE. Le sud veut se développer et pour ce faire il impose une barrière
commerciale vis-à-vis des importations venant du nord en appliquant une taxe.
Les consommateurs sur pays du sub vont pays plus cher les biens 1. Le consommateur du
sud. Ainsi la rémunération du capital dans le pays sud augmente et la rémunération du
travail baisse (quand le prix d’un bien augmente, c’est le fécteur en abondance dans le bien
qui voit sa rémunération augmenter)
Mundell suppose en plus que le capital est mobile. Avant il n’avaient aucune motivation
pour bouger car les rémunérations étaient pareil. Ainsi comme le capital est mieux rémunéré
dans le SUD le capital du nord part vers le sud = IDE.
La protection du SUD sur le bien capitalistique se révèle efficace car elle provoque le
déplacement du capital du nord vers le sud. Il y à substitution entre commerce de
marchandise et flux de capital et le mouvement international de capital étant provoqué par
les barrières aux échanges, on parle d’IDE de type « tariff Jumping » (contourne la barrière
commerciale en produisant le bien 1 directement sur place, au SUD).
Si on en croit Mundell les IDE sont une réponse au barrières commerciales.
Dunning(1988) est important car il à poser les base de la compréhension des IDE. Pour lui la
multinationalisation ( être dans plusieurs pays ) dépend de 3 éléments : Ces 3 éléments :
- La propriété d’un actif spécifique : C’est ce qui donne une position monopolistique,
cela peut être un procédé, un bien, cela peut être un facteur spécial.
- La localisation des pays d’accueil : Les IDE peuvent dépendre de chaque pays
d’accueil, et leur situation. Chaque entreprise avant de faire un financement d’IDE va
faire un constat des pays. (lié à la productivité du travail, dotation factorielle, la taille
du marché…)
- les avantages et couts lié à l’internalisation : Il faut que la firme trouve des avantages
à intégrer les opérations en produisant elle-même au lieu de passer par le marché.
C’est-à-dire qu’on peut le faire non même à l’étranger.
Les entreprises analuse ces 3 facteurs et voir s’il est préférable de faire der simple
exportation ou de privilégier les IDE ?
Mais l’analyse de Dunning est très binaire, la réalité est plus complexe.
Ainsi Markusen( 1995) : Ajoute à l’analyse : Quand on fait une filiale à l’étranger il y à
d’autre motivation que le simple contournement de barrière commerciale. Cela peut
être pour y effectuer une partie du processus de production. Chaque élément du bien
peut être produit dans différents pays dans le but de minimiser les couts : On appelle la
Fragmentation/ Segmentation ou DIPP : Division internationale des processus de
production.
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Mot de passe : EI2017
C’est la base de la distinction entre IDE verticaux et horizontaux , horizontale porte sur
tout le processus de production souvent avant de vendre sur place, on porduit ici pour le
marché de ce pays.
2) IDE verticaux.
Est lié à la DIPP. Le but est de créer des filiales de production à l’étranger. On trouve des
explication à la naissance de ces IDE dans Helpman ( 1984) : Deux pays A et B avec deux
biens un bien homogène ( bien 1) et un bien différencié (bien 2). On utilise du travail qualifié
et non qualifié. Le bien 2 utilise plus de travail qualifié relativement au bien 1.
Le bien 2 est plus spécifique il y aura des activités de conception en avant qui sont les sièges
sociaux ( nécessite d’une quantité fixe de travail qualifié ) , et des activités de
fabrication( besoin de quantité variable de travail non qualifié) , les deux pouvant être
disjointes. Le Pays A est plus doté en travail qualifié que le pays B. Imaginons qu’on est en
libre echange, selon HO le pays A exporte le bien 2 vers B et B produit Bien 1 vers A.
Helpmann introduit qu’il n’y à pas de commerce, tous les pays sont en autarcie, en revanche
les firmes peuvent choisir leur localisation ( il peut y avoir des flux de capitaux ). Dans le Pays
B la rémunération des travailleurs qualifié est forte et pas qualifié est faible Dans le Pays A
les travailleurs qualité sont des abondants donc rémunération faible. Pas de commerce dont
pas d’agalisation des prix.
Comme la rémunération des qualifié est pas cher dans le pays A autant y introduire des
production qui demande bcp de travail qualifié. Ainsi les activités de conception seront dans
le pays A. Ainsi dans le pays A se multiplient les siège sociaux.
En revanche dans le B ce sera des activité qui demandent des travailleurs peu qualifiés.
Mais tout s’égalise, comme dans A on utilise bcp de travailleurs qualifié intensivement alors
leur rémunération augmente.
L’existence de FMN Verticale devraient donc favoriser le rapprochement des rémunération
factorielles entre pays.
Dans le Pays A aura des activité de conception et donc acquerir des fabrication de biens
différenciés et Le pays B va produire seul le bien homogène et va produire des activités de
fabrication probablement en plus grand nombre que A.
Le Pays B exporte du bien homogène vers A et des bien différenciés. Le pays A pour sa part
exporte uniquement &des biens différenciés vers B
De plus le modèle dit que la balance commerciale du pays A est toujours déficitaire. Car dans
le pays A exportera moins car il à les sièges sociaux mais ne fabriquent rien. Mais le pays A
va rapatrier son bénéfice vers les sièges sociaux.
Pourquoi une firme localiserait toute son activité de production dans un pays, elle fait alors
un arbitrage entre les différents couts. ?
A. Cas d’un bien homogène.
On va considérer que le choix de s’implanter à l’étranger dépend de 4 éléments :
o La comparaison entre le cout moyen de production dans le pays et à
l’étranger.
o La comparaison entre le cout de l’exportation par unité et le cout fixe de
création de filiale.
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Mot de passe : EI2017
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Mot de passe : EI2017
A ) Notions introductives.
Un pays est dit en compétitivité couts :
- Une baisse relative de ses couts de production (relative aux partenaires
commerciaux) lui permet d’augmenter ses exportation, gagner des parts de marché,
d’équilibrer sa balance commerciale, ou d’augmenter son excédent.
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Entre le couts de production est le prix de vente se rajoute des taxes, droits de douanes, le
taux de change (assurance de change) les couts de transports, la marge des entreprises. Ces
éléments relèvent donc de la compétitivité couts.
Ai 1 Ai 2
L’indicateur de la compétitivité couts : < le A représente la productivité du travail 1
Aj 1 Aj 2
unité dans le pays i .
Couts unitaire chez nous
Couts Comparatif : Le problème CU* c’est la représentation de
Couts unitaire chez les autres .
pleins d’entreprises, et pleins de pays, il faut mesurer bien par bien et secteurs par secteurs.
De plus il faut prendre en compte qu’entre les pays il n’y à pas la même monnaie.
CSU sont les couts salariaux unitaires : dépend de l’ensemble des couts salairaux .
W .N
Production. CSU = mais cer CSU est valable dans notre pays, donc CSUE ont l’exprime
Q
WnE
dans une monnaie étrangère CSU : PPA ainsi on prend en
Pq ( priox de la production ) X E DF
W.E
CSUE=
compte la parité de pouvoir achat de la demande. PQe PPA DF Le couts
N ( productivité )
salariale unitaire dépend alors du salaire, et au dénominateurs la productivité du travail N
( le nombre de salarié ) Si le but est d’améliorer la compétitivité en étant rigoureux, ca
dépend des salaires est la productivité, donc pour améliorer, baisse des salaires, ou
augmenter N la productivité .
CACSU
CSUR=
WNE
L’écritures finale est CSUR couts relatif. PQ PPA DF
CSU ∗¿= ¿
W ∗N∗¿
¿¿
PQ∗¿
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Mot de passe : EI2017
effectif sera plus court que ce qui est prévu Ainsi dans l’équation CK on introduit du capital
mais en réalité il coute plus cher car on l’utilise plus vite. Le Japon par exemple lui arrive à
utiliser bcp plus longtemps sont capital que les autre Donc son cout est moindre. Le cout du
capital est donc théorique est non réelle à force de payer du capital on aura une
augmentation des couts, mais lorsque c’est publié officiellement c’est la valeur théorique qui
est mise en avant.
un pays est dit contraint lorsque sa croissance économique creuse son déficit extérieur,
difficulté à concilier l’équilibre interne et l’équilibre externe, comment concilier les deux ? Si
la croissance interne fait un déséquilibre interne on a une contrainte extérieure.
SI le revenu augmente entraine-t-elle une croissance forte des importations.
∆M
→
Si nous importation augmentent avec le revenu c’est que l’on est mal spécialisé. On ne peut
pas tout comprendre avec les variables de couts. Àinsi d’autre d’autres éléments sont à
prendre en compte comme la mauvaise spécialisation par exemple.
Cette contrainte extérieure à été ressenti en 80 relance des par des politique budgétaire puis
stoppent car c’est la balance commerciale qui à explosé donc la politique fut inutile, puis la
la suite pour augmenter la compétitivité on à gelé les salaire.
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Mot de passe : EI2017
B) Définition et déterminants ?
La compétitivité hors couts : On dira qu’un pays ou une firme dispose d’avantage hors couts
(HC) lorsque que la quantité de produits vendus n’est pas ou peu sensible à l’augmentation
du prix. Il y à lors une préférence des consommateurs qui n’est pas sérieusement affecter par
l’évolution du prix à la hausse jusqu’à une certaine limite.
Imaginons deux firmes et même couts et que les prix augmentent d’une firme mas elle vend
toujours autant, donc elle dispose d’une compétitivité hors couts.
Les déterminants du hors couts :
- Le premier élément est la différenciation qui peut être La différenciation, la
couleurs… Mais compétitivité transitoire car les concurrents recopient tres vite.
- La Différentions verticale : Haute de gamme, bas de gamme.
- Les labels, tous les éléments qui permettent de se démarquer.
- Une innovation technologique, répondre à de nouveaux besoin.
- Les détails de livraison, soigner la relation clientèle.
- Les coopération inter-industrielles, les partenaires de recherche.
- La spécialisation.
La compétitivité hors prix : Il y à compétitivité hors prix si à prix équivalent une firme/pays,
est capable durablement de conquérir une part de marché significativement supérieur à celle
des autres firmes qui proposent un produit de même valeur d’usage. Comme les prix sont les
même est qu’une se démarque par ces parts de marché alors compétitivité hors prix.
C’est une méthode qui se sert des taux de couverture relatif, la méthode d’Ag
éaigniger. C’est un tableau à double entrée, on positionne chaque pays en fonction
de son de son cout unitaire relatifs. Et on croise cela avec les taux de couverture
relatif.
Prenons un pays avec des couts totaux faible avec une TCR > 1 ( il exporte plus qu’il
n’importe ), c’est normal car il à des couts faible donc bonne copétitivité couts. Mais
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imaginons un pays avec des couts faible mais un TCR<1 ( il importe plus qu’il
n’exporte) on ne comprend pas-il à un désavantage plus fort que son avantage sur les
couts, donc un désavantage HC. (problème structurel)
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Les nouveaux acteurs : Les ONG, les blocs régionaux ( MECOSUR ALEAN)
De nouvelles institution : G7, G20.
Nouveaux marchés
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Mot de passe : EI2017
Nouvelles normes / règles… auparavant les règles étaient spécifiques à chaque pays
et maintenant il faut faire des règles supra nationales.
Les nouveaux instruments de communication.
Par ce questionnaire, on voit les deux manières de voir la mondialisation : ex ; Renault vient
de s’implanter dans un pays, le deuxième coté c’est les étranger qui investissement chez
nous.
Certains voient la mondialisation sous deux angles comme une opportunité et un risque.
Mais par exemple c’est schizophrène car on ne veut pas d’intervention de l’Etat quand on
gagne mais quand on y perd on souhaite que l’Etat nous aide.
La M. est un phénomène ancien, elle est lié au capitalisme. Le but d’une entreprise est dêtre
mondial, elles est donc inhérente au capitalise lui-même
B) La configuration de la mondialisation.
1) La configuration internationale
Il faut se remplacer ( 1945-65) ce qui caractérise l’économie ce sont les flux commerciaux, ce
qui s’accélère c’est le flux de biens et services. La logique de cette mondialisation c’est la
spécialisation, internationale. En 45 on parle de spécialisation des théories traditionnelles
( Ricardo, HOS)
Ainsi la dimension principale, c’est les flux commerciaux.
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Mot de passe : EI2017
A l’époque il y avait des flux de capitaux financier, mais on ne pouvait pas investir dans
n’importe quelle bourse. Ces mouvements de capitaux financiers servait à placer une usine à
l’étranger pour faciliter la vente d’exportation d’un point de vue commerciale.
Ainsi construction de chemin de fer, Canal de Suez, de Panama à été pour développer le
commerce. `Le commerce dominait en effet les capitaux financier, la finance servait au
commerce.
A l’époque les IDE existait ussi, les IDE Nord/Sud : pour les matières 1ere, la colonisation…
Ainsi le commerce domine les IDE et les flux financiers.
2) La configuration multinationale :
Ce qui est important ce n’est plus les flux commerciaux mais les flux D’IDE, les choix de
localisation. C’est l’émergence des flux de capitaux. Les F d’IDE surpassent les flux financier
et les flux commerciaux. La période serait ( 65-85) les acteurs dominant n’est plus l’Etat mais
ce sont les firmes multinationales, Les flux d’IDE sont devenus important dans le monde, plus
important que les flux commerciaux ( en moyenne du simple au double)
Les FMN sont ‘élément centrale, cela veut dire que les firmes choisissent leurs localisations,
elles vont donc passer la frontière et nier la frontière, L’espace pertinent c’est tous les
marché nationaux dans lequel on peut investir, c’est donc le monde.
Tout cela se fait Hors marché, ce ne sont pas des relations de marché. Les firmes vont le
choix de localisation les plus rentables, les plus intéressante sous le critère de la compétitif.
Elle cherche à être plus compétitive, et non plus productives.
A l’époque la performance était la part de marché, plus la part de marché est grosse plus la
compétitivité l’est aussi.
A cette époque les flux financiers étaient fait pour faciliter les IDE. Le but est de contourner
les exportations, on produit directement sur place et on produit à l’étranger pour réexporter
le produit sur place.
Ce n’est plus l’ETAT qui domine car dès qu’il agis les entreprises ont le pouvoir de partir, ainsi
les état essayent de négocier et non plus d’imposer ses règles.
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Mot de passe : EI2017
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Introduction :
On donne souvent une mauvaise image de l’union Européenne pourtant c’est la 1ère puissance
commerciale. Avec 37% des exportations mondiales avant la crise :
- C’est 1er exportateur mondiale de marchandise : 1/5 Des exportations mondiales.
- 1er exportateur mondiale de services,
- mais aussi la 1ere source mondiale d’IDE sortants et deuxième bénéficiaire d’IDE entrant
( après les USA).
- 1er zone de de consommation au niveau mondiale. Principale marché à l’Exportation de plus
de 130 pays dabs le monde.
C’est un ensemble relativement ouvert au reste du monde avec un taux d’ouverture relativement
elevé mais pourtant ca ne fonctionne pas.
Quelques questions se posent : L’EU à t-il un modèle d’intégration régional ? Avons-nous un bon
modèle d’intégration et quelles leçons à tirer pour les autres zones d’intégration ? Depuis la crise,
tout un ensemble de débat, sur les questions des régulation, la dette souveraine, La problème de la
gouvernance De plus la question de la compétitivité économie en matière de spécialisation, en
matière d’attractivité des territoires.
I) Mondialisation VS régionalisation
Intro : avec le démantèlement des barrières au commerce, les intégrations régionaux se sont
développés.
Cette prolifération des ACR et ACP est une caractéristique importante du CI. On à un accroissement
des ACR au fur et à mesure de la mondialisation.
Les ACR ont tous pour point commun de : faciliter le commerce entre les pays assignataires au
détriment des pays tiers (non membres) . C’est pourquoi on parle de régionalisation. Précisasses
d’internationalisation des échanges avec des pays appartenant à une même zone géographique. Les
accords d’intégrations s’ils sont discriminatoires doivent être punis par l’OMC.
Il y à une controversé entre mondialisation et régionalisation rejoint un débat controversé entre
protectionnisme et libre-échange. Entre Les anciennes théories et les nouvelles.
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Mot de passe : EI2017
Le modèle de Viner est le modèle fondateur des 1er études sur l’intégration régionales : Est-il
bénéfique pour un pays de participer à un ACR ?
Il met en avant de concept : La création et le détournement de commerce.
LA création de commerce : par l’abolition des barrière commerciales entre pays membres chacun
remplacera la production nationale la plus chère par des importations de partenaires moins chère.
Ex : Avant le de faire partie de cette ACR le pays France elle abandonne les production qui lui coûte
cher et l’importe de ses partenaires. Ainsi on créer un flux commerciale, c’est une création de
commerce.
Le détournement de commerce : Par la discrimination à l’encontre d’importations en provenance de
pays tiers moins cher les échanges intra zone se substituent à ces produits moins cher. ( Ex : Maroc et
oranges) ainsi les couts sont plus forts, puisqu’on importe plus des pays spécialisé.
Ainsi qu’est-ce qui l’emporte ? Savoir si l’intégration est efficace il faut faire le liens entre ces deux
termes.
Selon les théories traditionnelles : c’est le multilatéralisme ( libre échange total ) qui
favorise/maximise les création de commerce, ainsi les ACR sont mauvaises.
Au mieux un ACR pourrait apparaitre comme un équilibre de second rang, une étape avant un LE
généraliser. Ainsi on en parle comme un optimm de second rang.
Les première tentative d’(intégration régionales des pays en développement ont été voué à l’échec :
- Niveau insuffisamment développé de leur production.
- Etroitesse du marché.
A)2) Les nouvelles théories sur les ACR : des conclusions plus conciliantes.
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Mot de passe : EI2017
Il y à donc une plus grande création de commerce du fait du coup pour la variété et un moindre
détournement de commerce du fait des 3 derniers, la constitution de bloc commerciaux peuvent être
bénéfiques au pays.
Pb 1 : La réussite de certains ACR a amené une relance des tentatives d’intégrations régionales ( alors
qu’en théorie il ne faut pas).
Pb2 : La mondialisation réorganise les économies Nationals et les territoires.
L’intégration régionales montre que certaines régions dans les pays participent à cette intégration. Et
bcp d’études travaillent sur l’intégration régionale à différents niveaux.
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Mot de passe : EI2017
95% des entreprises dans l’asean sont des PME, c’est une structure productive éclatée.
Les solutions envisageables face à ces difficultés :
Beaucoup d’études envisage un fédéralisme budgétaire : si on veut se constituer un marché
commun dans lequel il y aurait une convergence des pays partenaire il faut mettre les moyens au
travers du fédéralisme budgétaire, Certaines régions ne peuvent faire face ou converger ainsi on les
aides à converger par un transfert de revenus. Faut-il que les Etat acceptent de contribuer à ce
budget.
Actuellement, certaines études prônent une union économique et monétaire en Asie. Avec une
monnaie commune (comme en Europe ). Mais cette solution entraine une perte de souveraineté
c’est-à-dire qu’on à plus l’outils de change pour le développement économique alors que les pays
asiatiques ont fondé leur développements industriel essentiellement grâce à la politique de change.
De plus face à l’hétérogénéité des pays membres (écarts de dvlp, écart de productivité) s’il n’y à ni
convergence, ni fédéralisme la seule solution est la dévaluation compétitive : Pression salariale, avec
homogénéisation du facteur travail. Comme on ne peut converger par les autres mécanisme ee
l’union monétaire on va faire une pression à la baisse des salaire pour homogéiser le marché du
travail. Cette dévaluation compétitive repose sur la mobilité des travailleurs ( ce qui permet
l’homogénéisation).
Introduction Si les PED aujourd’hui accoraient leur place dans le CI, c’est par la régionalisation et
surtout les chaine de production globalisé.
Aujourd’hui beaucoup de ces pays exportent des pd manufacturé basé sur les ressources naturelle
ou intensif en main d’ouvre.
Par cette nouvelle configuration nous avons la mise en place d’un commerce qui amène un
mouvement parallèle des exportations des produit manufacturés sud/sud et Sud/nord.
Ex : Chine exporte des smartphone dans les PD derrière ce flux Sud/ nord il y à d’autre pays qui
participent à cette fabrication par les chaine de valeur mondialisé qui créaient un flux préalable S/S.
C’est CVM entraine des réseaux de plus en plus complexes qui transforme la natures des échanges.
Cela entraine des pbs :
- Comment appréhender ce phénomène du point de vue statistique ? Relever la participation
des pays dans ces CVM. Aujourd’hui les statistiques sont incompétents. Si on arrive pas à
bien mesurer ces phénomène on ne peut pas identifier des phénomène économique.
- Ce qui est le deuxième problème : Quelle politique appliquer ? comment identifier pour
présenter des politiques industrielle face à ca ?
Mesure 1 : C’est la raison pour laquelle nous avons inventer la notion de Commerce En valeur
Ajoutée. Le premier à voir fait ca c’est Hummel avec sa notion de spécialisation verticale. Il vont
définir le commerce à valeur ajoutée comme la valeur des bien intermédiaires importé qui sont
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Mot de passe : EI2017
incorporé dans les exportations d’un pays. C’est-à-dire la teneur d’importation des produits que
nous exportant.
Tout l’enjeux est de mesurer le contenu en input qui est créer à l’étranger.
Les problèmes : Cette indice ne reflète que partiellement la participation de la Chine aux chaines
de valeur mondiale. Il n’y à pas une mesure intégrale de participation chine à ces CVM, ainsi on
ne voit pas les étapes de la participation chinoise à ces chaine de valeur m.
La Mesure 2 : Koopman et Al propose un indice de participation aux CVM : cet indice va prendre en
compte l’indice de Hummels, c’est-à-dire
la teneur en produit importé des
exportations + et la valeur ajoutée locale
incorporée sous forme de bien
intermédiaire dans les exportations. Qui
sera exprimé en % des exportations du
pays. A apetir de cet indice on à développé
des bases de donnés établie par l’OMC et
l’OCDE.
Ex : on voit que les exportation totales des
PED change lorsqu’on prend en compte la
value de tout le monde, cela passe de 100
à 190. Du fait de cette division des taches
le produit finale est toujours le même,
Mais les échanges vont augmenter car on
prend en compte mes échanges S/S et on voit qu’elle sont compté 2 fois. On à l’impression que l’on
échange partout mais il y à juste des redondances de statistiques. Il vaut mieux un commerce de Va
que de Valeur Brute. La chine à 4 de valeur ajoutée.
-
On voit que l’on à gonflé la valeur ajouté.
En décomposant cette CVM on à tendance
à dupliquer les Valeurs ajoutée, donc
mauvaise interprétation des statistiques.
Les statistiques conventionnels ne nous
permettent pas d’appréhender ces valeurs
brutes de transaction commerciales.
- Cette dépendance des pays en -
développement demeure vis-à-vis des pays
dévloppé qui eux sont les marchés de viens
de consommation finale.
- Ce commerce de CVM à été amplifiée par
l’intégration régional. Surtout en Asie, on à
pas beaucoup d’accord en asie mais
pourtant elle à beaucoup d’échange intra régionaux ( commerce de Facto).
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Mot de passe : EI2017
été importé (présence de VA étrangères) donc le pays B importe VA pays B et du pays tiers.
La valeur du pays tuer est cette fameuse teneur en exportations des importations.
Le pays B n’à pas de ressources, il à de la technologie, il assemble donc des voiture. S’il
exporte vers le pays C La voiture.
Dans les statis traditionnelles ont aurait juste de B vers C, or dans la production de B il y à la
VA ajouté créée puis la valeur ajouté du pays tier. Donc le coeff rapporte la valeur ajouté
importé + La valeur ajouté locale ( pays B) vers le pays C.
Si B consomme sur place : La valeur des pneus sera la valeur ajoutée nationale des
exportation direct du pays A. Si on est dans une situation ou le pays A à exporté et le Pays à
consommer sur place, ici les statistiques traditionnelles ne sont pas truqué.
Les commerces traditionnels de peut pas nous expliquer les exportations indirectes.
Les pays du sud participent plus que les PD aux CVM. Ce qui est une bonne chose pour es
PED cela leur permet de participer au CI.
Ce qui à permis cette participation sont les progrès technique + La possibilité de segmenter
les chaines de productions. C’’est pour cela qu’l exportent des produits manufacturé. On à de
plus en plus de commerce de bien intermédiaires. Aujourd’hui un PED peut participer à un
segment precis de la fabrication d’un smathphone c’est donc surtout un commerce d’input.
On s’aperçoit que ces CVM ont des centralités c’est un rayonnement en étoile, il y en à 3.
- Les USA
- L’Allemagne
- Chine
Aujourd’hui on voit que pour la 1 ère fois un pays du SUD est au centre d’échange, c’est la Chine. La
chine est un HUB sur l’ensemble de l’Asie.
On voit que la plupart des pays en développements sont en périphérie, il y à peu de pays qui
participent à ces chaines de valeurs mondialisées, ce sont surtout l’Afrique, car des qu’on est loin
d’un HUB on à moins de chance de participer à ces CVM.
Cela participe à la nouvelle théorie du commerce inter, ce sont surtout les grandes firmes qui
participent à ces CVM, on s’aperçoit que ces CVM favorise les PD et les grandes firmes de ces PD les
petites entreprises échangent au niveau local et intra régionaux principalement.
Aujourd’hui des pays en développement participent aux commence mondiale surtout par le
commerce des biens intermédiaires. Et effectivement cette part de commerce de bien intermédiaires
des PED est passé de 6% à 25% En 2013. Dans les Echanges entre PED ¼ de ces échanges entre PED
relève à des échanges de biens intermédiaires et non de produits finis.
On à des PED qui participent à ces CVM tiré par des autres pays en développement grâce à l’effet de
proximité géographique. Néanmoins beaucoup de ped restent de périphérie de cette CVM.
Les NPI d’Asie ont bénéficié à la stratégie de délocalisation des firmes japonaise. Les accords
commerciaux sud sud sont pas encore notifié ?
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Constat OMC : Peu de PED qui participent aux ACM. Les grand émergent comme le Brésil l’inde , la
Chine son des centre dans le commerce sud/sud mais aussi des investisseurs, ils bénéficient des IDE
entrants et sortant. Mais dans une moindre mesure, les pays comme Malaisien la Thaïlande e La
Turquie. Ce commerce sud/sud contribue à tirer les échanges des pays Africains. Dans le graphique
on voit qu’en 95 la majorité des exportations africains étaient pour les PD. On voit que plus le temps
place, plus la chine devient l’acteur principale. La chine est un marché pour l’ensemble des pays en
développement et donc des pays africains.
Résumons :
Une des raisons majeures de la prolifération des ACR et ACP tiennent à un mot : préférence, plutôt
de de libéraliser de manière généraliser on va libéraliser de manière préférentielle. Pour se protéger
de la mondialisation et choisir les produits que l’on veut mondialiser, puis choisir les partenaires que
l’on souhaite.
D’où la cration de CVM avec du sur mesure, on va designer quels type d’accord avec qui ce qui
impacte sur le changement de nature des échanges internationaux.
Les coroolère de tout ca sont :
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- Perte de marché protégé, on à de la concurrence qui s’adapte à ces ACP par exemple les
marchés publics qui sont ouvert aux marché.
- Perte d’emplois lié aux restructurations et aux économie d’echelle.
- Interdépendance accrue des pays et donc perte de souveraineté ?
On à des difficultés à appréhender les échanges internationaux. Ex : comment identifier les paus en
amont d’une chaine de production ?v ou comment formuler des politiques commerciales industrielle
face à ces chaine de valeur mondialisé.
Une des solution apporté : c’est de raisonner par tache, par segment de production. L4enjeux des
PED est de participer à des chaine de valeur mondialisé qui apoorte le plus de VA.
Le 2ème enjeux : de minimiser les couts de transaction. ( indice de performance logistique ) ces
indicateurs capture tout ces couts ( adm, transports) et ce que nous dit l’indice c’est que meilleur est
cet indice de performance meilleure sera la participation du pays à la chaine de valeur mondialisé
pour reduire ces couts.
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