L’EAU - 3 paramètres essentiels à la pleine santé

Vers 1946, les recherches de Louis-Claude VINCENT, mettent en évidence trois paramètres liés aux propriétés de
l’eau et capables de caractériser l’état d’une solution aqueuse de façon rigoureuse :
Le pH ou potentiel hydrogène mesure le taux d'acidité ou d'alcalinité de la solution aqueuse : signale la
concentration en protons, la capacité énergétique du milieu étudié. Les phénomènes acido-basiques sont des flux de
protons (Facteurs magnétiques).
Le rH2 ou potentiel électronique qui indique pour un pH donné, l’état d’oxydation ou de réduction d’une solution :
les phénomènes d’oxydo-réduction sont des réactions réversibles d’échanges d’électrons (pertes ou gains
d’électrons). Les phénomènes d’oxydo-réduction sont des flux d’électrons (Facteurs électriques).
Le rô ou résistivité, renseigne sur les propriétés conductrices ou isolantes de la solution étudiée, c’est le facteur de
viscosité/fluidité. Il apporte des indications sur la concentration en électrolytes et se mesure en ohms-cm. La
résistivité traduit la capacité du milieu à s’opposer au passage d’un courant électrique (Facteur diélectrique).
Ces trois facteurs mesurent les micro-courants électromagnétiques et diélectrique de la vie.

RH2+

pH- pH+

RH2-

Sites

Votre Santé Naturelle : le site officiel de l’Association de l’Association de BioElectronique (ABE)

Naturo Pratique : le site de Laurence GALLAIS
Bioélectronique de Vincent ou la santé objectivée, article n° 28 de la revue n°14 de NéoSanté éditions
Les dossiers sur l’eau de l’Association Mythes & Réalité
La méthode bio-électronique, adaptée à la santé, sera utile principalement pour évaluer et caractériser l'état du
terrain biologique.

L.CL. Vincent va donc effectuer des milliers de mesures sur des sujets malades, et sur des sujets sains, pour établir
les coordonnées bio-électronique qu'il estime être celles d'un corps en bonne santé, c'est-à-dire maintenant son
homéostasie.

Ainsi toute " déviation " d'un ou plusieurs paramètres bio-électronique témoigne d'une difficulté du corps à
maintenir cette homéostasie. Si ces conditions d'équilibre ne sont pas rétablies, notre organisme ne se trouve plus
dans les conditions nécessaires aux différents métabolismes (assimilations, production d'hormones etc.). On "
prépare le terrain " à l'éclosion de la maladie.

Pour rétablir cette homéostasie, la méthode bio-électronique utilise essentiellement l'alimentation. Des milliers de
mesures ont été pratiquées (et le sont encore) sur des produits alimentaires, des eaux de consommation, afin de
les " caractériser " et les positionner sur des bioélectronigrammes.

Les coordonnées de notre sang étant en partie dépendantes de ce que nous absorbons, la correction de notre
terrain se fera par le choix d'aliments ayant des coordonnées opposées à celles de notre sang.

Ces bilans sont réalisés à l'aide d'un appareil nommé " bio-électronimètre ", comportant une électrode multiple.
Cette dernière permet la mesure simultanée des 3 paramètres (pH, rH2 et conductivité, cette dernière étant
transformée par l'appareil en résistivité) sur les 3 liquides physiologiques (sang, salive et urine). Ces mesures sont
alors entrées dans un logiciel informatique qui établit le bio-électronigramme , représentant le " terrain
Le triangle vert clair représente le " terrain " en positionnant le sang (point rouge), la salive (point bleu) et l'urine
(point vert). La position de ces différents points sur le diagramme nous renseigne sur l'état de vitalité du sujet et sa
capacité d'auto guérison. En effet, plus les mesures du sang sont " dégradées " et positionnées dans le cadran "
alcalin-oxydé " (le plus coloré, en haut à droite) plus le potentiel d'autodéfense est faible. Le rH2 du sang nous
informe sur le degré d'oxydation dans le corps, c'est-à-dire sur la capacité (ou l'incapacité) de l'organisme à
neutraliser les radicaux libres. De même pour les mesures de la salive : plus elles sont déviées par rapport à celles
de bonne santé, moins le tube digestif a de vitalité (mauvaise assimilation des nutriments, flore intestinale
dégradée, encrassement du système lymphatique ou du foie, manque d'enzymes digestives etc.…). Les mesures de
l'urine quant à elles, renseignent sur le degré d'acidité des tissus profonds, sur l'état de stress de l'organisme, sur
la capacité de filtration du rein…
Déterminer les mesures bio-électroniques d'un aliment est essentiel, pour ainsi le positionner sur le bio-
électronigramme. Cela nous donne l'indication de son pouvoir alcalinisant ou acidifiant, anti-oxydant, sa capacité à
reminéraliser etc…

Ensuite, en fonction de sa position sur le bio-électronigramme, on considérera l'aliment comme un véritable "
donneur de santé ", redresseur de terrain, s'il se situe dans le " trapèze vital " du bio-électronigramme, ou bien si
ce sont des aliments qui nous permettent d'entretenir notre santé (aliments légèrement acides et réducteurs) :