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Biologie moléculaire

Pas de mitose, de méiose et d’acides nucléiques, ne pas apprendre les étapes de la


transcription, ni l’épissage
Apprendre les 3 TD : microscope, échanges, cultures cellulaires
En biologie moléculaire :
- 2 définitions sur 2pt (ex. chromosome, gène, etc.)
- 3 exercices sur 6pts chacun

Transcription

Synthèse des protéines, il y a 2 étapes : transcription et la traduction (à ne pas apprendre)

La transcription, on a 30 000 gènes, le gène donne soit un caractère transmis d’une génération
à une autre ou synthèse d’une protéine
- On a un brin codant = brin non transcrit et brin transcrit = brin non codant
- Si séquence de nucléotides du brin transcrit, il faut faire la correspondance avec
tableau génétique et les nucléotides du brin non transcrit
- Trouver les mutations : si silencieuse, non-sens ou contre sens
- La transcription est la copie du brin codant on aura ensuite un ARN pré-messager
puis 3 modifications pour qu’il devienne mature. Chaque codon va trouver son anti-
codon porté par un ARNt et de l’autre côté de l’ARNt se trouve l’AA.

Mutations de l’ADN

46 chromosomes dans le noyau


Avant la méiose, le matériel génétique est sous forme de chromatine (= matériel génétique
compacté).
La chromatide est un chromosome simple (avant la division).
Cause des mutations :
- Changement des bases azotés
Elles touchent les :
- Cellules germinales = sexuelles = gonadiques : transmises aux nvlles générations
- Cellules somatiques : non transmises aux générations suivantes
Mutations ponctuelles :
- Substitution
o Mutation silencieuse
o Remplacement (ex. anémie) :
 Contresens
 Non-sens : codon stop
- Décalage : pas de triplet à la fin
o Insertion/addition : tous les AA sont modifiés et 1 seule base azotée à la fin
o Délétion/suppression : 2 bases azotées à la fin qui ne seront jamais codées par
l’ARNt
Mutations chromosomiques : détectables au caryotype si elles sont importantes
- Anomalies de nombre
o Des gonosomes
o Des autosomes
- Anomalies de structure
o Touchant pls chromosomes
o Touchant un chromosome
Causes des mutations :
- Spontanément : manière naturelle + système de réparation
- Sous l’effet d’agents mutagènes : pollution, cigarette, produits phyto-sanitaires
o Chimiques : Contiennent des molécules chimiques qui peuvent entrer en
relation avec notre matériel génétique en changeant la séquence
o Physiques : rayonnements, en fonction des longueurs d’onde

Transmission des maladies héréditaires

Mutations monofactorielles +++


Arbres :
- Dominant ou récessif
- Gonosome ou autosome
- Génotype
Apprendre les grandes diapo

Techniques génétiques et moléculaires


Caryotype ++

Caryotype :
- Carte génétique qui permet de dénombrer les chromosomes d’une cellule
2 types de prélèvements :
- Tissu
- Cellules en suspension (ex. le sang)
o Centrifugation : permet de récupérer le culot où se trouve les cellules
sanguines
- Cellules adhérentes (celle d’un organe) : dépendent de l’ancrage
o On peut les séparer grâce à des enzymes ou en les broyant
2 étape :
ème

- Culture cellulaire pour avoir les chromosomes en métaphase


o Techniques permettant de multiplier les cellules et en les gardant vivantes
o C’est une mitose in vitro
o Les cellules sont au niveau d’une boite de Pétri et on place un gel contenant
toutes les conditions nécessaires à la survie et au développement
o Assurer les mêmes conditions que celles du corps humain
 pH = 7
 Humidité : 85%
 T° : 37°C
o Chambre de culture + hotte à flux laminaire (permet l’asepsie) + étuve
o Ajouter la colchicine : molécule extraite d’une plante et très toxique permettant
de bloquer la division cellulaire au niveau de la métaphase
o Éclater la membrane : par un choc hypotonique ou hypertonique
 Hypertonique : déposer les cellules dans une solution trop saline
3 étape :
ème

- Fixation par l’éthanol ou par un alcool


4ème étape :
- Observation microscopique
- Classement des chromosomes (= chromosome optique inversé)
- Photo pour obtenir le caryotype

Technique de FISH (in situ en fluorescence) +

Sonde : fragment d’ADN synthétisé au laboratoire, elles sont marquées par des molécules
fluorescentes
In situ : cibler un emplacement spécifique de l’ADN
1ère étape :
- Dénaturation : séparation des doubles brins
- Se fait en augmentant la T°
2 étape :
ème

- Hybridation
- Ajout des sondes
3 étape :
ème

- Lavage
- Permet de rejeter les parties inutiles
Conclusion :
- Si on retrouve la couleur : présence
- Absence : délétion, donc anomalie (pas de couleur, perte)
- Si on trouve la sonde plusieurs fois : duplication (gain)
Exemple :
- t. signifie translocation

CGH

Utilisation de puces à ADN


ADN du patient est marqué en vert
ADN témoin marqué en rouge
1ère étape :
- Dénaturation
2 étape :
ème

- Mélange dans des puces à ADN


- Les puces contiennent des séquences d’ADN « normal » et non marqué
- Mélange de couleurs :
o Couleur verte : gain
o Couleur rouge : perte
o Couleur orange/jaune : pas d’anomalie

PCR

Technique d’amplification in vitro

Exercice 1
La drépanocytose ou anémie falciforme est une maladie héréditaire qui affecte la biosynthèse
de l’hémoglobine et qui se traduit par la présence d’hématies en forme de faucille renfermant
une hémoglobine S anormale, différente de l’hémoglobine A normale. Examinez l’arbre
généalogique ci-dessus d’une famille qui en est atteinte et répondez aux questions suivantes.
1. L’allèle responsable de la drépanocytose est-il dominant ou récessif ?

L’allèle est récessif.


Les parents I.1 et I.2 sont sains et l’enfant II.1 est malade et pareil pour les parents I.3 et I.4
tous les deux sains et leurs fils II.4 est sain. Des enfants malades ont des parents sains.

2. L’allèle responsable de la drépanocytose est-il lié au sexe ?

L’allèle n’est pas lié à l’X.


Supposons que la maladie est liée à l’X :
- La fille III.1 a Xmalade / Xmalade
- Le père doit avoir Xmalade/Y , génotype d’un individu malade or il est sain

3. Donnez les génotypes de tous les sujets.

Allèle normal : N Récessif


Allèle malade : m

Allèle normal : n Dominant


Allèle malade : M

Exercice 2

Madame Dubois (III-9 sur l’arbre généalogique) est enceinte et s’inquiète des anomalies que
risque de présenter son enfant. Son époux (III-4 sur l’arbre généalogique) est en effet issu
d’une famille de sourds-muets (maladie autosomique représentée en symboles noirs) et elle-
même d’une famille de daltoniens (maladie liée à l’X représentée en symboles hachurés).
Examinez l’arbre généalogique de ces deux familles et répondez aux questions suivantes.
1. La surdi-mudité est-elle une maladie dominante ou récessive. Donnez le génotype de
Monsieur Dubois.

Maladie récessive.
Même explication que l’exercice 1.
Génotype :
- III.4 : S//s et un de ses parents a s//s

2. Le daltonisme est-il une maladie dominante ou récessive ? Donnez le génotype de


Madame Dubois.

Maladie récessive.

3. Sachant que le patrimoine héréditaire de chacun des conjoints est absolument exempt
de l’anomalie de l’autre famille, pensez-vous que l’enfant à naître puisse être
daltonien ? Sourdmuet ? Daltonien et sourd-muet ? Ni l’un, ni l’autre ?

III.4 : S//s et XD/Y


III.9 : XD/Xd et S//S
S : allèle normal
s : allèle malade et pareil pour D et d

SXd sXD SY sY
XDS S//S & XD//Xd S//s & XD//XD S//S & XD//Y s//S & XD//Y
XDs S//s & XD//Xd s//s & XD//XD S//s & XD//Y s//s & XD//Y

Hommes :
- 25% sains
- 25% porteur daltonisme
- 25% porteur des 2 maladies
- 25% porteur de sourd-muet

Femmes :
- 25% sourde
- 25% porteuse sourd-muet
- 25% porteuse daltonisme
- 25% daltonienne et porteuse sourd-muet

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