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Dr. LOUCIF. Z & Dr. LAAOUAD. L
Génétique
Introduction
Division de la médecine génétique :
❖ Le service clinique = consultation des signes des maladies à Orientation vers une maladie génétique.
❖ Cytogénétique : étude du caryotype + maladies chromosomiques (trisomies ,certains KC..)
❖ Diagnostic moléculaire : le plus important :
➢ Dans la médecine humaine = déceler toutes les mutations.
➢ Dans la médecine légale.
➢ Infectiologie moléculaire :recherche du matériel génétique d’un virus pour le déterminer.
Empreinte génétique: élément d’identification des individus , rechercher sur des T bio et C Nuclées (lymphocytes..)
Conseil génétique: Concerne des affections : définitives, sans TRT étiologique, incurables, transmissibles
But :
➢ Expliquer les faits médicaux ,les conséquences familiales et personnels.
➢ Définir le risque de récurrence
➢ Monter les options de prévention
Plus le nombre de marqueurs d’ADN est important, plus le test est fiable. A partir de 6 marqueurs, le test est
considéré comme fiable.
Notes QCMs =
- L’empreinte génomique N’INTERESSE PAS toutes les régions du génome
- La cytogénétique N’ÉTUDIE pas le Monohybridisme
- Le Fragment utilisé comme marqueur génétique = MicroSatellite d’ADN
Structure des AN
- Le support moléculaire de l'information génétique : l'ADN (ARN pour certains virus)
- Formes de l’ADN:
ADN A : 11pb , enroulement droit
ADN B : la + importante , 2 sillons , enroulement droit.
ADN Z : 1 sillon , enroulement gauche
Densité ARN > l’ADN > protéines à Déterminée par centrifugation dans un gradient de chlorure de césium (CsCl).
- L’ADN est soluble dans l’eau.
- L’ADN se dissout facilement dans les solutions salines diluées à ↑ importante de la viscosité de la
Solubilité
solution.
- L’ADN précipite à forte concentration en sels et en présence d’alcools l’éthanol
- TOUTES les Bases azotées absorbent toutes dans l’UV à 260 nm environ.
- Absorption de la molécule d’ADN est nettement < à celle que l’on obtiendrait avec un mélange des mêmes
bases libres aux mêmes concentrations.
- Différence d’absorption (≈ 30%) entre ADN et les mm bases libres est due à l’appariement des bases par
liaison H = effet hypochrome.
Absorption - La propriété spectrale permet la quantification des AN.
UV Les solutions d’ADN présentent le maximum d’absorption à la longueur d’onde de 260 nm.
- Si un échantillon d’ADN possède un rapport A260/A280:
> 1,8 → contaminé par l’ARN.
< 1,8 → contaminé par des protéines.
≈ 1,8 = pure
= La température à laquelle 50% de l’AN double brin s’est dénaturé.
Affecté par plusieurs facteurs :
T° de Fusion ✓ Concentration en sels.
(Tm)
✓ Longueur des molécules : Tm augmente avec la longueur (pour ADN < 150 pb)
✓ Contenu en G+C (liaisons hydrogène) : Plus le contenu en GC est élevé, plus le Tm sera aussi élevé.
= perte de sa structure tridimensionnelle sans altération de la structure primaire.
- Moyens de dénaturation de l’ADN: T°, pH extrême, ↓ de la [C] en sel , l’urée, NAOH , formaldéhyde
Dénaturation - Conséquences de la dénaturation de l’ADN :
d’un AN
❖ Augmentation de l’absorption dans l’UV (effet hyperchromie) .
❖ Diminution de la viscosité et ↑ de la densité d’ADN (ADN bicaténaire viscosité > ADN mono).
= ADN SB à ADN DB
Renaturation - Diminution de la température (refroidissement lent = renaturation complète)
- Augmentation de la concentration en sel
- Séparation basée sur la charge et la taille et structure des fragments ADN (non pas le poids)
- Utilise un champ électrique (ADN migre au pôle +)
- Révélation des bandes électrophorétique s’effectue en présence d’un agent intercalant (BET) , un
marqueur , ou exposition aux UV → fluo rouge orangé.
Electrophorè - Pour déterminer la taille du fragment étudié une courbe d’étalonnage est tracée log(taille du marqueur) en fct
de l’ADN sur de la distance de migration du marqueur. (le petit fragment migre plus loin)
Gel - L'augmentation de la concentration d'agarose dans un gel réduit la vitesse de migration et permet la
d’agarose séparation de fragment d'ADN de plus petite taille
- Plus le voltage est important, plus la vitesse de migration augmente.
- Permet l’analyse qualitative des produits PCR ;
Estimation de la masse moléculaire d’un fragment ADN
Séparation d’ADN.
Empreinte génomique:
- S’exprime de façon mono allélique.
- Stable au crs des mitoses successives. - Pénétrance incomplète.
- Résulte de modification épigénétiques. - N’intéresse pas toutes les régions du génome.
- A=T , G=C si c’est pas le cas ça doit être un ADN monocaténaire viral.
Organisation du génome
Génome bactérien:
- Le gène ne contient pas des introns , il s’agit des séquences d’ADN codantes = cistrons
- Gènes transcrits ensembles en 1 seul ARNm polycistroniques : Pas de maturation de L’ARNm
- Les gènes sont contigus sous le contrôle de mêmes régulateurs, tel que : l’opéron lactose.
- Cistrons retrv au niv des opérons = gènes de structure ,codent pr des protéines , ont le mm promoteur.
Remarque =
- En Absence du lactose, le répresseur bloque la progression de l’ARN polymérase à empêche la transcription des gènes
de structures.
- En Présence du Lactose, le répresseur est inactivé, la progression de l’ARN polymérase n’est plus bloquée et l’opéron
est transcrit.
- Le lactose sous forme allo-lactose, induit l’expression des enzymes nécessaires à son métabolisme = opéron inductible
- L’absence de glucose dans le milieu de culture d’E.coli = accumulation de CAP , augmentation d’AMPc → complexe
CAP-AMPc → transcription de l’opéron lactose en ↑ l’affinité de l’ARNpolymérase
- La présence du glucose à inhibe la formation d’AMPc
- L’opéron tryptophane : 5 cistrons , la séquence régulatrice de l’opéron se situe en amont des cistrons
- sa fonction est induite par l’absence de tryptophane = opéron répressible.
Génome humain:
- Près de 30.000 gènes (ordre de 10⁴ ) → 3,2 MILLIARD de Pb.
- Gène = Portion d’ADN codant pour une protéine, Répartis sur les chromosomes.
- Beaucoup de zones non codantes Dont > 40% séquences répétées
- Toutes les séquences d’ADN existent en double exemplaire car les chromosomes vont par paires homologues.
Aà Les séquences répétées peuvent être classées en 2 familles : regroupées en série = localisées,dispersées :
- ADN hautement répété : (10% du génome) : ADN alpha satellite : centromères, télomères (en tandème).
- ADN moyennement répété :(20-30%)
Répétées en Tandem (série) Séquences répétées dispersées
✓ Minisatellites : 10-60 nucléotide ,polymorphisme ✓ Les SINE(s) = séquences ALU/MIR : 150-500 pb.
(empreintes génétiques). ✓ Les LINE(s) = séquence LI.
✓ Microsatellites. ✓ Les LTR(s) .
✓ Copies multiples : gènes ARN ✓ Les transposons: mobile dans génome.
Bà ADN non répété : 40 à 70 % du génome.
ADN intercalaire : Tout fragment d'ADN présent entre des séquences codantes d'ADN, y compris les régions non
traduites, les régions flanquantes 5' et 3', les introns, les pseudogènes et séquences répétées nonfonctionnels. Cet ADN
peut ou non coder des séquences régulatrices.
- Les Séquences répétées ne sont pas codantes?
➢ La partie codante du premier Exon commence par génon ATG = codon d’initiation sur le brin sens
et La partie codante du dernier Exon se termine par l’un des 3 génons: TAA, TAG, TGA (Codon stop).
- La parties régulatrice du gène se situes à distance (promoteur ,silencer ,enhancer , boite TATA ,boite CCAAT )
ADN mitochondriale :
- Pas d’introns, peu ou pas de régions intergéniques.
- La grande majorité des gènes nécessaires au fonctionnement de la mitochondrie sont codés au niveau du génome
nucléaire, leurs produits sont importés pour assurer le fonctionnement du génome,et les fonctions propres à la mitochondrie.
- De l’ordre de 10⁵
- 37 gènes codant pour 13 proteines , 22 ARNt , 2 ARNr.
RQ :
- Les polymorphismes = Variations de Séq/ changement de génome d’ADN - Affecte les Séq Codantes + Non Codantes
Surviennent d’une fréq > 1%
Télomérases :
- Transcriptase inverse (ADN polymérase ARN dpd) → synthèse d’ADN à partir d’ARN.
- Responsable de réplication des Télomères !
- Retrouvés chez les eucaryotes.
- Diminue dans l’organisme avec l’age.
- Niveau d’activité augmente dans les C cancéreuses.
- La fibre chromosomique :
- Dans une C Le nucléofilament est compacté et replié sur lui-même en zig zag
- H1 permet cette compaction → se positionner sur l’octamére et empêche son déroulement
- On obtient → la chromatine = fibre chromosomique (30 nm).
- Histones:
- Au nombre de 05 - Basiques
- Acétylé au niveau des Lysine → Décompaction de la chromatine → transcription et expression du gène.
- Méthylation Sur les résidus d’Arg , et Lys (H3, H4) → Compaction → inhibition de la transcription et l’expression.
- Ubiquitinalation en Lysine (H3, H2A++, H2B).
- Assemblé durant la phase S par CAF1 et NAP1.
- Phosophorylation → décompaction minime → activation de l’expression
Protéines présente dans le noyau: Histones , Lamines , Ubiquitine , Enz de fonctionnement de l’ADN.
Types de Chromatine =
Hétérochromatine Euchromatine
A la périphérie en général Centrale (boules entres l’hétérochromatine)
TRÉS condensée Peu condensé
NON accessible aux ARNpolymérase à Non transcrite ACCESSIBLE aux ARNp à Transcrite
NB : D’une poit de vue Biochimique = le Noyau est constitué MAJORitairement de Prot NON-HISTONES
- Réplicon = unité de réplication de l’ADN eucaryote contient une Origine et une Terminaison
à L’origine = petites séquences répétées reconnues par les protéines
=(200pb: procaryote /2000 pb: eucaryote) ADN eucaryote: plusieurs O. de réplication
ADN procaryote: 1 seule origine
- Réplication est bidirectionnelle = 2 systèmes qui évoluent en sens opposés.
- Polymérisation unidirectionnelle.
- Semi conservatrice
- Semi discontinu: Brin précoce (primaire) lu dans le sens de la fourche (5’- 3’) Synthèse Tjr dans le SENS 5’-3’
Brin tardif = discontinu (lu dans le sens opposé).
Donc Synthèse DIRECT sur Le Brin ANTI-SENS (3’-5’)
▲ ADN polymérase:
- Nucléotide transférase (5 chez les eucaryotes , 3 chez les procaryotes).
- Rôle : Catalyser la formation du lien phosphodiester; n’a rien à voir avec le pairage des bases.
- Activités :
1 = polymérasique 5’ vers 3’ (activité principale).
2 = exo-nucléasique = la dégradation d’une des Ext du brin néo-synthétisé de l’ADN lors de la réplication à 2 types :
➢ De l’ext 3’OH vers 5’ → proofreading = correction d’un mauvais appariement de base en cassant la liaison
Phosphodiester et en remplaçant le nucléotide mal apparié.
➢ De l’ext 5’phosphate vers 3’ : lors de la jonction des segments d’ADN synthétisé sur le brin retardé.
- Terminaison chez les procaryotes: Le Terminateur = site de fixation de protéines « Tus » qui reconnaît les régions Ter.
La réplication mitochondriale : ADN POLYmérase GAMMA (Ɣ)
- Contrôlée par des gènes nucléaires , fait intervenir de nombreux facteurs protéiques.
- N’est pas limitée à la phase S → a lieu tout au long de l’interphase.
- Indépendante de celle de l’ADN nucléaire – transmission maternelle – unidirectionnelle .
- Fait intervenir une structure intermédiaire à 3 brins.
- 2 origines de réplication – 10 fois risque de mutations par rapport au nucléaire
Fidélité de la réplication :
✓ Taux d’erreur d’incorporation de l’ADN polymérase III est de 10- 5
✓ Les corrections par 3’ 5’ exonucléase abaissent ce taux à 10 - 7
✓ Taux d’erreur final chez E.Coli est de 10 - 9 il résulte de l’action complémentaire des systèmes de réparations
NB =
- Il Y a un œil de Réplication + 2 fourches
- Fragments d’Okazaki = Segments d’ADN du Brin Tardif (Eucaryote Ou Procaryote)
- Stabilisation des matrices déroulés = Protéines SSB (empêche le réenroulement)
- Pas d’activité exoNucléasique = 𝜶 + β
- ADN polymérase δ ne possède pas d’activité PRIMASE
- Réplication = Gyrase à Hélicase à SSB à ADN Polymérase à Ligase
3) Elongation :
Formation d’hélice hybride ADN-ARN (liason H).
inhibée par des aminosides (antibiotiques) ou amino-glucosides.
4) Terminaison :
- L’enzyme arrive au terminateur.
- Terminateurs rho indépendant (2/3) et des terminateurs rho dépendant (1/3)
à Eucaryote:
3 ARN-polymérases:
➢ ARN-polymérase I : nucléole , ARNr (18 S), insensible à l’α-amanitine.
➢ ARN-polymérase II : nucléoplasme , ARNm, sensible à l’α- amanitine.
➢ ARN-polymérase III : nucléoplasme ,ARNt, ARNr 5 S et petits ARN, sensible à de hautes doses de l’α-amanitine.
- L’α-amanitine (toxine) se fixe sur certaine sous-unité de l’ARN-polymérase et inhibe l’élongation de la transcription
- L’actinomycine D (anti tumoral) inhibe la transcription eucaryote et procaryote en s’intercalant entre certaine base de l’ADN
pendant l’élongation (l’ADN ne s’ouvre pas)
- Complexe protéique nécessaire à la transcription: ARNp et les TFII (TFII H initie la transcription).
- Les séquences consensus (promoteurs = structure modulaire) sont plus nombreuses que chez les procaryotes: TATA ,INR
box (promoteur minimum ),GC box,CAAT box.
R! Ribozymes+ ARN qui possèdent des introns auto-catalytiques qui ne nécessitent ainsi aucune protéine, l’activité enzymatique
est portée par l’ARN lui-même.
Régulation de la transcription :
→ séquences de 6 - 8 nucléotides:
Éléments Enhancer = Amplificatrices.
Cis Régulateur Silencers = Extinctrices.
Insulators = isolantes
- Structure : en motif récurent qui interagissent avec l’ADN en : Hélice-boucle-Hélice / en doigt de zinc /
Éléments les leucines zipper. Agissent :
Trans Régulateur ✓ Seules en se liant sur des séquences spécifiques de l’ADN (au niveau du promoteur par ex).
✓ En association sur les éléments cis-régulateurs.
- Diversification des transcrits par utilisation de promoteurs alternatifs
Régulation par
- Certains gènes possèdent plusieurs promoteurs à expression génomique variable suivant l’organe.
choix du
Le choix du promoteur est spécifique du tissu
Promoteur
- Le promoteur sélectionné va interagir avec les éléments cis ou trans régulateurs.
Régulation post-transcriptionnelle:
- Épissage alternatif :
- Production de plusieurs ARNm de séquences et de longueurs différentes à partir d’un même pré-RNA transcrit à un seul
gène = couper les introns et garder les exons de plusieurs manières.
- Résultats = protéines différentes à partir du mm gène → prévient la production de protéine tronquée.
- Site d’épissage consensus retrouvé au niv de l’intron = GU (5’) = site donneur.
Sd de marfan + l’anémie de fanconi → résulte d’un défaut d’épissage.
Dr LAAOUAD.L Dr LOUCIF. Z Source : réorganisation NM/QCMs
- Contrôle de la maturation de l’ARNm (s’il n’est pas mature pas de passage au cytop et dégradation).
- Modification du site de coupure et polyadénylation.
- Modification de la stabilité des ARNm ,La longueur de la « queue poly A » est contrôlée dans le cytosol :
✓ Peut-être augmentée d’où stabilité des ARNm
✓ Peut-être raccourcie d’où dégradation rapide par les exonucleases.
Traduction : cytoplasme
- Tous les AA exceptés le tryptophane et la méthionine sont représentés par plus d’1 codon.
-Les protéines synthétisées ne sont pas forcément fonctionnelles, elles doivent subir des modifications post-traductionnelles.
Régulation traductionnelle :
1. Inhibition/Activation des facteurs de traduction :
Activation / inhibition de l’initiation après phosphorylation/déphosphorylation des fact de traduction par des kinases spécifiques.
Ex :
à En absence de l’hème, la traduction de l’ARNm spécifique de la globine est bloquée par l’inactivation de l’eIF-2 (car phosphorylée).
à La présence de l’hème inhibe l’eIF-2 kinase → active l’eIF-2 → traduction de cet ARNm.
Eucaryote VS Procaryote :
- Rôles des FI : délivrance de l’ARNt initiateur , fixation aux s/u ribosomiques.
- Complexe d’initiation = FI + Petite s/u ribosome +ARNt d’initiation (qui lui se fixe sur le site P de la petite s/u) + 2 GTP + ATP
- Dans l’initiation le rôle du capping : permettre la fixation de l’ARNm à la s/u ribosomale.
- Élongation:
- La peptidyl-transférase forme une liaison peptidique en joignant 2 AA adjacents sans utilisation d’énergie.
- La translocation utilise la translocase (EF-G) + l’énergie (GTP), déplace le ribosome d’un codon le long de l’ARNm, éjectant
l’ARNt non chargée (liberation du site A) et transférant la chaine peptidique croissante au site P.
- Terminaison = RF3 = Reconnait UAG
Procaryote Eucaryote
Chronologie Transcription + Traduction SIMULTANÉS Transcription + Traduction sont DISCONTINUS
Ribosomes 30S + 50S = 70S 40 S + 60 S = 80S
dans le Cytoplasme dans le Noyau (Après Modification à Cytoplasme)
Polycistronique Monocistronique
ARNm
Instable (2 min) Stable (Qlq heures – Jrs)
Région non traduite = Séq de Shine-Delgarno = 5’UTR Séquence Kozak 5’UTR
Période dans le
Pas de Phase définie Phase G1 – G2 du Cycle Caire
cycle Caire
Initiation de Cap-Initiation INDÉPENDANTE Dépendante et Indépendante de la CAP
Traduction 3 facteurs = IF1 – IF2 – IF3 11 facteurs
1er AA Méthionine Formylée Méthionine
Destinée du 1er
Élimination du Groupe Formyle à Retient la Méthionine Méthionine Excisé de la chaine
AA
Fact
2 facteurs d’élongation = TF-Tu , EF-Ts , EF-G 2 facteurs d’élongation = eEF-1 , eEF-2
d’élongation
Fact de
RF1 – RF2 – RF3 eRF
Terminaison
Vitesse de
40 AA / S 1 AA / S (Lent)
Traduction
Fact de 2 Facteurs RF1 – RF2
1 facteur eRF1
Libération
Dr LAAOUAD.L Dr LOUCIF. Z Source : réorganisation NM/QCMs
Régulation post traductionnelle
- Modifications post-traductionnelles au niveau de la structure primaire des prot, càd l’enchaînement des résidus AA.
- Addition ou retrait d’un grp chimique sur la chaîne latérale des AA.
- Ajout du groupe phosphate par des Kinases à Réprimer ou Activer une V. de signalisation
Phosphorylation
- Réversible et rapide. à Changer la structure tertiaire d’une protéine / ses interactions avec d’autres Prot
- 1-2% de cytosine du génome.
- Se fait sur des ilots CpG par des Méthylases
- Extinction totale d’un gène = Détermine l’empreinte Génét parentale (Monoallélique – Chr X Silencieux)
Méthylation
- Reprime l’expression des gène en réprimant la transcription
- Réaction réversible par existance d’enz de démthylation
- Les C cancéreuses sont HYPOméthylés - Hyperméthylation = ↑ la fréq des mutations (pas de réparation)
Acétylation - Ajout d’un Grp acétyle sur l’amine de résidus lysines (par Acyltransférases) → neutralisé la charge +
(Juste → ↓ l’interaction ADN-histones → favorise l’accessibilité aux facteurs de transcription à Activation de
Eucaryote) transcription - Réversible par désacetylation
✓ Cette réaction marque les protéines destinées à être protéolysées par le proteasome 26S, avec récupération par
la C des AA composant la protéine détruite et la libération des molécules d’ubiquitine.
Ubiquitinilation
✓ Elle est remarquablement résistante aux protéases
- Rôle +++ dans = Renouvellement protéique, réparation d’ADN, Embryogenèse, Régulation de la transcription.
- De l’acide glutamique
- Glutamate carboxylase + son cofacteur VIT K → chélate les ions calciques (pince chimique du Ca2+).
Ɣ-Carboxylation - Role important dans la coagulation sanguine.
- Les antivitamine K bloquent l’activité glutamate carboxylase → facteurs de la coagulation inefficace
- Dans l’os = l’osteocalcine
Iodation - L’iodation des tyrosines de la thyroglobuline → spécifique du corps thyroïde.
Sulfatation + Hydroxylation ,désamination ,Addition de cofacteur ,blocage des extrémités ,Pont S-S.
Suppression ou - Dans 50% des protéines → Met éliminée par la Met-aminopeptidase après sa synthèse.
addition d’AA - Addition d’arginine ou de tyrosine pour certaines protéines (ex : tubuline, protéine du cytosquelette.)
Clivage de la Préproinsuline → RE, la séquence signal à l’extrémité N-t est libérée → proinsuline → protéolyse dans les vésicules
chaine Polypept de sécrétion → éliminer le peptide de connexion (peptide C) → Hormone active: l’insuline.
Contrôle
d’adressage de en absence de signaux la prot reste intracytoplasmique.
Prot
Epigénétique
Définition:
Epigénome = Génome + modifications épigénétiques (étiquettes) en cst évolution de la gestation à la vieillesse.
Épigénétique = ensemble des modifications réversibles et transmissibles de l’expression des gènes (activation ou
inhibition ) sans altération des séquences nucléotidiques d’ADN.
RQ = Gènes Suppresseurs de Tm = Agissent en Mode Recessif, Agissent dans la régulation du Cycle + Différenciation
Ex = Gène P53 - Rb
8- Système SOS:
- Système de réparation mutagène.
- Fait intervenir les protéines : Lex A et RecA
- ADNp impliquées dans la réparation de l’ADN : bêta et epsilone. (III)
Dr LAAOUAD.L Dr LOUCIF. Z Source : réorganisation NM/QCMs
Outils de la biologie moléculaire
B) Enzymes de ligature = Ligases = Ligase du Virus T4 (plus facile de liguer 2 fragments à extrémites Cohésives)
Les vecteurs = petites molécules d’ADN dans lesquels on insère le fragment d’ADN à étudier
Généralement des = Virus (bactériophage) ou Plasmide
Doivent être introduits dans des C hôtes (bactéries)
2 Grands Groupes de Vecteurs =
- Constitué de = origine de réplication Ori V + Site de réstriction + Gène de Résistance aux ATB
V. de Clonage = Permet de cloner un segment d’ADN / Gène qui y est intégré
- PAS de promoteur
- Constitué de = promoteur + Site de réstriction + Gène de Résistance aux ATB
V. d’expression
- Permet d’exprimer un gène
1- Bactériophage = 2 utilisés comme vecteurs = Phage λ (double brin linéaire)
Phage M13 (spécifique E.coli = Simple brin circulaire)
2- Plasmides = ADNcirculaire dB
3- Cosmides = Vecteurs artificiels hybrides (Plasmide-Phage λ) : Possible de cloner de plus grands fragments – Résist ampicilline
- Séparation des fragment ADN (Électrophorèse) = Basé sur = Taille + Structure 3D révélation par BET
Principe = Détection de présence d’un AN / Séquence donnée par l’utilisation d’un fragment ADN complémentaire = Sonde
Possible en Solution ou Support Solide ou In-situ
NOTES =
- Pour amplifier un fragment d’ADN on peut utiliser un vecteur de clonage / PCR.
- Le vecteur de clonage et le vecteur d’expression ont en commun le site de restriction.
- Pour connaitre si un gène s’exprime = Extraction d’ARNm
- Stratégie de la synthèse de l’insuline par génie génétique: Insertion du gène de l’insuline dans la bactérie →
Transformation d’une C réceptrice → Synthèse de l’insuline par la C → extraction et purification.
Morgan (a travaillé sur le chromosome X) = + découverte de gènes liés + Crossing Over (enjambement)
A) MAD:
- Il suffit qu’un individu soit hétérozygote pour l’allèle muté pour qu’il soit atteint de la maladie.
- Les homozygotes pour l’allèle morbide dominant → rares → un phénotype plus sévère++, Parfois identique.
* Aa X aa → 50 % de risque d’avoir un enfant atteint à chaque grossesse.
* A/a X A/a → 75% dont 25% homo.
* A/A avec a/a : 100% à chaque gss.
B) MAR :
- Homozygote pour l’allèle morbide pour etre malade (AA).
- Les personnes hétérozygotes (Aa) = porteurs sains.
- Union la plus fréquente Aa x Aa (2 porteurs sains) = 75 % non malades dont 50 % porteurs sains et 25 % sont malades
- ( fréquences P. sains > malades)
Exemples de MAR:
- Mucoviscidose , Phénylcétonurie , Albinisme.
- Tay-Sachs = gène Muté sur le chr 15 ,dosage de l’hexosaminidase oriente vers le dgc , malade décède en grl vers 4-5 ans.
- Anémie Falciforme (Drépanocytose)
La Codominance :
- Les 2 allèles déterminants un caractère participent tous les 2 à l’expression du caractère observé
- Dans la descendance : 3 phénotypes différents correspondants à 3 génotypes :
✓ 25 % d’homozygotes pour le 1er allèle
✓ 50 % d’hétérozygotes.
✓ 25 % d’homozygotes pour le 2ème allèle
*Exemples: Thalassémie / groupes sanguin.
Ex : Rachitisme Hypophosphatémique - Syndrome de Rett : (femme plus atteint que l’homme car l’embryon est mort)
Phénomène de lyonisation :
Dans chaque C somatique (X X) : C’est soit le X paternel qui est fonctionnel soit le X maternel ;L’inactivation est aléatoire
Concerne tout les génotypes feminin (XX) et non pas morphotype (qui peut ne pas etre XX,ex:turner)
Sd Rett = Lié X dominant + Néomutation + Létales pour les 2 Sexes + Stérilisantes pour les Femmes
Récapitulatif maladies =
MAD Chorée de Huntington – NF1 – Achondroplasie – Hypercholestérolémie Fam – Bracydactylie
MAR Mucoviscidose – PCU – Albinisme – Tay-Sachs – Drépanocytose
Codominance Thalassémie – Groupe sanguins
Récessive Lié X Hémophilie – Daltonisme – Dystrophie Musculaire de Duchenne
Dominante Lié X Rachitisme Hypophosphatémique – Sd de Rett
Lié au Chr Y Hypertrichose des oreilles
Létal Sd Rett – Dystrophie de Duchenne
- La transmission Vertical peut être faussé par = Pénétrance incomplète – Mosaicme germinale – Expressivité variable
- Récessive lié X = les filles sont d’autant atteintes que les garçons.
- Croisement de contrôle = But de révéler le génotype d'un organisme de phénotype dominant (Hétéro/Homozygote)
- Le moyen le plus efficace à croiser avec un organisme exprimant le phénotype récessif (homo).
- Les phénotypes de la génération suivante à déterminer le génotype du parent ayant un phénotype dominant.
à Ce phénomène :
- N’intéresse que certaines régions du gènome (chromosomes 7, 11, 14, 15 ...)
- Résulte de modifications EPIGENETIQUES «pas de modification de la séquence, reversible à chaque generation».
- Se produit au cours de la gamétogenèse ou avant la fusion des gamètes mâle et femelle.
- Stable au cours des mitoses successives.
- S’efface et se « réappose » d’une génération à l’autre.
- Régulation de l’expression de certains gènes: En fonction de l’origine parentale +++;
Dans certains tissus ou à certains moment ,+++Impliqués dans le dvlp et la croissance C.
- Sujets atteints: F/H, issus d’union: [sain non muté X sain muté (mut «héritée ») / non muté (mut de novo)]
- Pénétrance incomplète
Caractéristiques
- Fonction du sexe du parent transmetteur (Certaines régions ne s’expriment que quand elles sont transmises par le père
ou par la mère )
- Avec sauts de génération (sujets «normaux transmetteurs »).
- Pas de variabilité d’expressivité.
- Mode de transmission :
→ de la mutation :par les mères et les pères indépendamment de l’origine parentale de l’empreinte du gène considéré.
→ de la maladie : par les mères ou les pères dépendant de l’origine parentale de l’empreinte du gène considéré.
Gènes soumis à l’empreinte - Chromosome 7 - Chromosome 11 - Chromosome 15
- Régions en haploïdie fonctionnelle : Pas de 2e allèle actif
Conséq - Différents mécanismes de dérégulation: Anomalie chromosomique - Disomie uniparentale -Mutation IC
Cliniques - Dérégulation sporadique - Anomalie de la mise en place
- Anomalie du maintien de l’empreinte.
Prader Wili Del Chr 15 (q11q13) Angelman Del Chr 15 (q11q13)
Exemples Hypotonie à la naissance / hypogonadisme / Retard mental sévere et psychomoteur pas de langage /
hypopigmentation / obésité / acromicrie ,petite EEG spécifique /hypotonie / Ataxie / Hypopigmentation /
taille / retard mental. Microcéphalie.
2- La disomie uniparentale :
= présence chez une personne de deux chromosomes d'une même paire provenant d'un seul de ses parents.
- Cette personne a donc bien 46 Chr mais 24 Chr proviennent de l'un des parents et 22 chr proviennent de l'autre parent.
- 3 causes les plus probables : complémentation gamétique , duplication de monosomie , correction de trisomie ++.
3- Mitochondriale :
- Les maladies mitochondriales , principalement d’ordre génétique.
- Concernent surtout l’activité de la chaîne respiratoire.(point en commun des mT)
- Toutes les C son atteinte mais +++ = C qui consomment le plus d’énergie (Cerveau - Muscle – cœur – Foie- rein -poumon).
- La transmission du génome mitochondrial est uni-parentale (maternelle) → élimination complète des mitochondries d'origine
paternelle dans l’ovocyte par l’ubiquitine.
- Sa réplication = Indépendante du Cycle Caire
- Les mdie Mt ont une pénétrance incomplete et expressivité variable.
- La transmission des maladies mt est irrégulière (variable) , non complètement transmise avec la division cellulaire.
- 2 cas possibles de transmission:
à Hétéroplasmie (++) : la présence de d’ADN mutées et normales dans la même cellule, voire la même mitochondrie
à Homoplasmie (très rare) : uniquement des molécules du même type dans toutes les mtc (bcp plus rare et grave)
- Transmission influencée par: le sexe ,la taille de l’expansion du triplet du /des parents transmetteurs.
X fragile (transmission liée à l’X complexe) «1ère cause hériditaire de déficience intellectuelle héréditaire»
[CGG]n Mutation INSTABLE !
L’H transmet la pré mutation sans amplification ,chez la F peut rester en pré mutation /amplifié en mutation complète
[CTG]n Maladie de Steinertt (AD)
[GAA]n Ataxie de Friedreich
[CAG]n Chorée de Huntington
à Pleitropie = capacité d'un gène de déterminer plusieurs caractères. Si ce gène est délétère
à signes pathologiques à différent niveaux de l'organisme Exemple : sd de MARFAN (AD)
à Polyallélisme : lorsqu'un gène est représenté par plus de deux allèles Exemple : système ABO
à Polygénie : c'est quand un caractère est contrôlé par plusieurs gènes Ex : maladie polygénique : Diabète, HTA
Caryotype normal
- Morphologie du chromosome métaphasique :
- 2 chromatides identiques attachées par le centromère (constriction primaire).
- Les chromosomes diffèrent par la taille, la disposition du centromère et la présence de satellite (constrictions IIaire).
à Indications du Caryotypes :
- Malformations congénitales (multiples++)
- Retard de croissance ex : syndrome de Turner (X) / Retard mental (Déficit Intellectuel). Chr X = Groupe C
- Avortements à répétition+++ (plus de 3 fois) / Stérilité du Couple. Chr Y = Groupe G
- Stérilité ex : syndrome de klinefelter (XXY)
- Antécédents de maladies chromosomiques dans la famille
- Ambiguïté sexuelle (enfant de sexe non définit)
- Leucémie Myéloïde Chronique (Chromosome Philadelphie), Lymphome de Burkitt (chr 8)
Chromosome de philadelphie = 22p, tiers proximal de 22q , segment distal de 9q
Etude cytogénétique du noyau en interphase : étude de la répartition de la chromatine dans le noyau interphasique.
- Corpuscule de Barr : c’est le 2 ème chromosome X inactivé → petite masse d’hétérochromatine triangulaire plaquée contre
la face interne de la membrane nucléaire: On le cherche dans le sexe génétique féminin ,Turner (absent), klinefelter, ambiguïté
sexuelle ,pseudohermaphrodisme ♀
- La coloration de C masculines à la quinacrine permet de révéler un point brillant au sein du noyau = partie du Chr Y.
- La cytogénétique moléculaire peut s’appliquer également sur des noyaux interphasiques pour détecter des anomalies de
nombre et de structure.
- La réalisation de caryotype dans une trisomie 21 est nécessaire pour le conseil génétique
- Marqueur Chromosomique = Un Chr qu’on arrive pas à classer
Dr LAAOUAD.L Dr LOUCIF. Z Source : réorganisation NM/QCMs
Anomalies du Caryotype : NM
- Dans les aberrations chromosomiques autosomiques viables la délétion est le plus souvent partielle .
Isochromosome = Cassure transversale du centromère → Duplication d’un bras entier + délétion de l’autre bras (Chr
contient 2 bras courts et l’autre 2 bras longs).
Formé de 2 bras longs des chr acrocentriques.
ABRT spontanées L’anomalie la plus fréquente : 45, X0 > Trisomie 16 > Triploïdies > Monosomies…
- La plus fréquente des m. Autosomiques viable.
- La cause génétique la plus fréquente des Retards mentaux.
- Peut être d’origine paternelle , ou associée à d’autres anomalies (T21 + klinefelter).
Trois formes de Trisomie 21:
àT. 21 libre homogène (96% des cas).
àT. 21 par translocation robertsonienne (21-14) (21-22) (21-21) «trisomie partielle».(3%). Hérité ou de novo
Trisome 21 àT. 21 en mosaïque (2% des cas).
(Sd DOWN)
T21 Diagnostic Prénatal : Recommandé à partir de 38 ans (systématique)
➢ Signes indirects :
✓ Biologiques , Triade : αfoetoprot ↓ hCG ↑ oestriol non conjugué ↓
✓ Echog : Clarté nucale, hypoplasie des os du nez (racine du nez plat), Malformations cardiaques
➢ Examen direct : caryotype (amniocentèse, biopsie villosités choriales, C embryon dans le sang maternel).
Trisomie 13 Sd mal formatif multiple - > 95% des fœtus atteint décèdent in utéro
Sd de Patau → La plus rare des trisomies pouvant aboutir à à terme d’un enfant vivant. = Hypertélorisme+Polydactylie
Trisomie 18 = Sd d’Edwards
Monosomie Mdie du Cri du Chat = 5p- (délétion du bras court du chromosome 5).
Monosomie - L’âge paternel avancé est incriminé.
Chr X = Sd de - Une étude dit que toutes les turnériennes vivantes ont obligatoirement une population Caire à caryotype normal
Turner (mosaïque).
Sd Klinefelter X surnuméraire Caryotype le plus fréquent: 47, XXY
Homme XX = Caryotype 46, XX + phénotype masculin → insuff de dvlp des testicules, gynécomastie , azoospermie , ±
= Sd de la cryptorchidie, PAS DE Troubles de comportement
chapelle - Cause : translocation du gène SRY du Y vers le X (crossing over X et Y)
- La microdélétion < 5 mégabase et non visible sur un caryotype standard → décelable par l′utilisation des
techniques de haute résolution ou de cytogénétique moléculaire (FISH++).
- Le plus souvent de NOVO
Sds de à Syndrome de Williams-Beuren : Microdélétion située dans la région q11.23 d'un des chromosomes 7.
microdeletion à Syndrome de Digeorge = Syndrome velo-cardio-facial = Micro délétion 22q11
Ses anomalies correspondent sur le plan embryologique à une dysgénésie des 3e et 4e arcs branchiaux.
- Troubles biologiques : HypoCa par agénésie parathyroïdienne (PTH), hypoplasie thymique (DI congénital)
- 90 % des micro délétions 22q11 apparaissent de novo
Génétique des KC
Mutation , Modification épigénétique.
- Une cellule Kc présente : une hétérogénéité spatiale et temporelle + s/clones C porteurs des mutations
+ Dysfonctionnement des voies de signalisation différentes.
- Gène suppresseur de tumeur = Perte d’un allèle et mutation ponctuelle ou méthylation du promoteur sur l’allèle restant.
- MiARNm :
- Rôle de suppresseurs de tumeurs ou d’oncogènes selon le type et le contexte cellulaires.
- En s’appariant à la région 3’-non traduite de leurs ARNm cibles à dégradation de ces ARNm ou bloquent leur traduction.
- Un miARN peut réguler l’expression de +eurs gènes cibles et l’expression d’un gène cible peut être régulée par +eurs miARNs.
- Les microARNs sont impliqués dans le développement, la croissance Caire, la prolifération, différenciation, les Mdie CV / Kc
- La dérégulation de leur expression dans le cancer est liée à des processus :
d’amplification, d’hyper-méthylation de promoteurs, de délétion, de mutations ponctuelles ou de translocations Chr.
- Les miARN = puissants biomarqueurs pour le diagnostic et la classification des tumeurs peu différenciés.
- Thérapies épigénétiques :
- Inhibiteurs des ADN méthyltransférases (DNMT) - Inhibiteurs des histones désacétylases (HDAC)
- ARN anti-sens et ARN interférence (siRNA).
Conseils génétique
- Étape la plus importante, Difficile, Longue = Établir le Diagnostic
- Comprendre les données médicales, l’hérédité et les risques d’être touché ou de transmettre des maladies génétiques.
- Conseil génétique chez un couple :
Couple avant procréation Couple constitué
- Notion de maladie héréditaire chez l'un ou - Bilan d'une stérilité.
chez les 2 partenaires, ou dans leur famille. - Fausses couches spontanées à répétition.
- Couple consanguin - Exposition à un agent tératogène (rubéole, Toxo...) au cours d'une Gss
- Exposition à un possible mutagène physique - Notion d'un enfant atteint dans la fratrie (mort né, décédé après la naissance,
ou chimique (mais pas la chimio). vivant malformé, ou chez lequel sont apparues après la naissance des
- Age avancé (>35) manifestations d'une maladie Génétique).
- Age maternel avancé.
- Révélation plus ou moins tardive d'une affection dégénérative dans le couple.
- Le risque génétique = la probabilité pour un individu d’être porteur d’une mutation spécifique à l’origine d’une Mdie génétique
ou celle d’être atteint par cette maladie.
- Le polymorphisme génétique des enzymes de métabolisation des médicaments modifie les paramètres pharmacocinétique :
Inducteurs de
L’oméprazole + l’éthanol influencent sur la même enzyme CYP2E1 à ne doivent jamais être associés
CYP450
Inhibiteurs de
l’acide valproïque ne marche pas avec l’amiodarone puisqu’ils vont inhiber la CYP2C9 (CYP2CP).
CYP450
-Exp : La warfarine est métabolisé par l’enzyme CYP2C9 :prendre en considération l’enz +récepteur VKORC1
Kc du colon: Viande rouge très cuite + activité du CYP1A2 élevé + statut acétyleur rapide (NAT2) = Risque ↑ cancer du côlon.
Les applications du clonage pour la biosynthèse des protéines recombinantes concernent: Vaccins – GH – Insuline -
Interferon - Interleukines - Erythropoiétine
Thérapies géniques
- Concerne surtt les C somatiques (germinale change le patrimoine des descendant = problème éthique).
- Nécessite la connaissance du gène muté
- Accroissement de la fréquence génotypique des homozygotes, et une diminution de la fréquence des hétérozygotes.
🔴 Mutation FAUX-SENS
➜ Les mutations Faux-sens mettent en jeu l'altération d'une base unique ce qui modifie le codon de telle sorte que l'acide
aminé soit lui aussi modifié donc modification de la protéine qui en résulte ➜ De telles mutations ont généralement lieu dans
l'une des deux première bases du codon ➜ Elles peuvent provoquer une maladie si la fonction de la protéine est altérée 💡
🔴 Mutations silencieuses
➜ Ce sont des mutations qui se produisent au niveau de la 3ème base du codon et en raison de la dégénéréscence du code
génétique, elles n'ont aucune conséquence sur les acides aminés codés ➡ Pas d'effet sur la protéine 💡 (de même pour
les mutations qui se produisent dans certaines régions non codantes)
➜ Ces mutations tendent à s'accumuler dans l'ADN des organismes sous forme de polymorphisme ( variabilité des
séquences d'ADN des différents individus de la même espèce )