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Promo 2021/2022
KAMENDI Simon
LARROQUE Mattéo
MARTINAUD Angèle
RESUME
Les dégradations induites par l’exposition aux charges, aux intempéries et/ou aux
éléments chimiques imposent une surveillance quasi-permanente des ouvrages
avec des interventions régulières de maintenance et d’entretien afin de maintenir
ces derniers en état de fonctionnement.
Dans le cas le plus extrême, les réparations possibles visent soit les éléments fixés
(poutres, poteaux), qu’il faudra remplacer ou renforcer, soit les pièces qui relient ces
éléments que ce soit par soudure, boulonnage ou rivetage.
MOTS CLES
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LEXIQUE
Les termes apparaissant dans ce lexique sont mentionnés d’un * lors de leur
1ere apparition dans le rapport. Les définitions sont issues du Dictionnaire du BTP et
des supports de cours dont nous avons disposé.
Barre de brelage : dispositif permettant de reprendre les efforts de traction lors d’un
remplacement de barre tendue.
Bouterolle : outil comportant une empreinte concave qui donne à l'extrémité battue
du rivet la forme de sa tête.
Calamine : Oxyde qui se produit à la surface des métaux soumis à une haute
température, au contact de l’air.
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Piles : Elément constitutif d’un pont, et appui intermédiaire d'un tablier de pont
à deux travées ou plus.
Tablier : Structure porteuse horizontale d'un pont, appuyée sur les culées et
les piles.
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INTRODUCTION
Nous nous sommes donc demandé dans quelle mesure et comment on en vient à
réparer les structures porteuses métalliques.
Tout d’abord, nous allons étudier les métaux et les différents matériaux utilisés dans
les structures porteuses métalliques en termes de caractéristiques mécaniques et
de comportement physico-chimique. Ensuite nous analyserons le diagnostic et les
moyens de maintenance mis en place pour ces structures porteuses métalliques.
Nous expliquerons comment détecter des anomalies dans la structure et comment
réagir face à l’apparition de ces défauts tout en prolongeant la durée de vie de
l’ouvrage. Enfin, dans le cas où la maintenance et l’entretien ne suffisent pas, nous
verrons les différents types de réparations qui s’offrent à nous que ce soit sur des
ouvrages anciens et modernes, et les procédés encadrant ces réparations.
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A. Les matériaux et leurs propriétés [BAU 2022] [CON 2018] [PLA 2022]
[RAM 2018] [SCI 2014]
Le fer utilisé est issu du minerai de fer, une roche qui, dans la nature, ne se trouve
jamais sous forme pure. Elle contient des impuretés en quantités variables, des
oxydes, des carbones et de l’oxyde de fer. Le fer est un métal lourd et ductile, ayant
une bonne résistance en traction et en flexion mais sensible à la corrosion en
présence d’eau et de dioxygène.
De plus, les méthodes de fabrication n’étant pas parfaites, il se peut, que dans les
matériaux finaux, existe une faible concentration d’impuretés. On trouve par
exemple du phosphore ou du souffre. Ces éléments sont présents dans le minerai
de fer, dans le charbon utilisé et interviennent lors du processus de fabrication du
matériau. Si ces impuretés restent en faible pourcentage en rapport de masse, alors
elles auront un faible impact sur les caractéristiques mécaniques et physico-
chimiques du matériau, sinon elles peuvent, par exemple, accélérer le phénomène
de corrosion ou modifier les valeurs de résistances mécaniques.
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les trois composés de fer et de carbone. En jouant sur les compositions en fer et
carbone, on obtient des alliages différents et donc, par exemple de la fonte (teneur
en carbone >2% de la masse) ou de l’acier (teneur en carbone <2% de la masse).
La fonte est le 1er stade de la fabrication de l’acier. Elle a donc été utilisée en premier
chronologiquement au fil du temps. Elle contient plus de carbone que l’acier. Ainsi,
ce matériau reprend les caractéristiques du carbone, notamment son caractère
fragile et sa sensibilité aux chocs. La fonte ne comporte qu’une faible résistance à
la traction en comparaison de celle en compression, qui est bonne et 3 à 4 plus
élevée. Grâce à sa teneur plus faible en fer, la fonte est moins sujette à la rouille.
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Grâce aux essais et aux comportements des composants de l’acier, on peut déduire
que l’acier a une plus grande sensibilité à la rouille, mais possède une très bonne
résistance en traction ainsi qu’en flexion. De plus, il est bien plus ductile que la fonte.
Les nuances d’aciers sont réparties dans trois familles, il s’agit des aciers non-alliés,
faiblement-alliés et fortement alliés. Dans la pratique on utilise les aciers non-alliés
pour un usage général dans le secteur du BTP, c’est-à-dire pour les outils, les
moules, ou les pièces que l’on va souder ou forger. Ils sont composés de peu de
carbone. Les aciers faiblement alliés comportent un ou plusieurs éléments d’alliage
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qui ne dépassent pas les 5% en masse, ils sont caractérisés par une résistance
élevée. Enfin, les aciers fortement alliés sont composés d’au moins un élément qui
dépasse les 5% en masse. Ils ont une résistance mécanique à l’usure et à la
corrosion très élevée, ainsi qu’une grande résistance au fluage* et à la dilatation.
Parmi les éléments d’addition utilisés pour former un alliage, on trouve par exemple
le chrome qui permet d’obtenir un acier inoxydable. Cet alliage, possédant environ
10% de chrome en masse d’acier, permet au matériau final d’être bien plus résistant
à la corrosion. Cela est dû à une fine couche riche en oxyde de chrome qui se
dépose à la surface entre l’air et l’acier et qui joue un rôle d’imperméable entre les
deux milieux. On trouve aussi le manganèse, un alliage très répandu. Avec environ
14% de manganèse, l’acier aura une très grande résistance à l’usure (abrasion,
chocs, fatigue*).
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Figure 4: Viaduc de Garabit, Cantal [TIJ 2008] La production d’acier tel que nous
l’utilisons aujourd’hui date des années
1950 car il a fallu l’évolution du processus de fabrication
de la fonte, du fer puddlé et des anciens aciers pour arriver
à l’acier moderne. Actuellement, l’acier est utilisé dans de
très nombreuses constructions en tant qu’élément
structurel comme pour les poteaux (reprise des efforts de
compression, de flexion et de flambement*) et/ou pour les
poutres (reprise notamment des efforts de flexion) mais Figure 6: Poutrelles profilé IPE
[MAG 2022]
aussi en tant que planchers, façades et couvertures sous
forme de poutrelles, de tubes, de tôles de différents profilés. Les caractéristiques
mécaniques de l’acier permettent de créer des structures ayant une longue portée*
et d’alléger les structures donc d’augmenter la hauteur des édifices. L’acier est
notamment utilisé pour la construction d’ouvrages d’art comme la Canopée des
Halles située au quartier des Halles à Paris. Sur ce site, où les travaux ont été
achevés en 2014, il a été
possible, grâce à l’utilisation
de l’acier, de construire une
halle ayant une couverture
d’environ 100m de portée
afin de laisser le passage
des usagers des transports
Figure 5: Canopée des Halles, Paris [DAR 2016] totalement libre.
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A. La maintenance
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d’ailleurs y faire une analogie avec la médecine. Une fois le diagnostic établi, il faut
mettre en place une action de maintenance adaptée aux défauts de l’ouvrage.
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B. Diagnostic
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La rouille peut se former via la corrosion chimique, ainsi plus la pellicule de rouille
va se développer, plus elle sera imperméable (elle va former une forme de
protection) et donc plus la corrosion va ralentir.
Elle peut aussi apparaître via une corrosion par fatigue, qui résulte de l’attaque d’un
milieu agressif (atmosphère humide, eau de mer), combinée à une contrainte
excessive répétée. Ce type de corrosion a davantage d’impact lorsque le matériau
est en contact avec l’eau de mer comme en témoigne le schéma ci-dessous.
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Sur les ouvrages comme les ponts, les charges excessives comme les
charges roulantes ont un énorme impact sur la dégradation de la structure si
l’entretien est négligé. Il y a notamment le phénomène de fatigue qui traduit des
sollicitations répétées qui s’exercent sur la structure, ce qui crée des
Figure 23: Déconsolidation d’un assemblage Figure 24: Rupture dans un assemblage
[RAM 2018] [RAM 2018]
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Lors de la remise en peinture, il faut éviter d’en arriver à un décapage total jusqu’à
mettre à nu le métal mais plutôt essayer de conserver un maximum de protection
déjà existante afin de réduire la quantité de travaux à réaliser.
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Dans une structure métallique, les désordres peuvent se produire soit dans le corps
des pièces, soit au niveau de leur assemblage. Afin de réagir au mieux face à ses
problèmes, préalablement, un bureau d’étude doit effectuer un diagnostic de la
structure et de ses désordres, comme il a été précisé précédemment. Concernant
des pièces reconstituées sans soudure, les problèmes proviennent majoritairement
des rivets, des boulons ou bien des tôles de base (plats ou cornières). Pour les
profils reconstitués par soudure, les désordres concernent les cordons de soudure
de la structure. Normalement pour ce qui est d’une pièce soudée, elle devrait
pouvoir se réparer par soudure tandis que par rivetage ou boulonnage, cela n’est
pas forcément le cas.
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mettre en place un dispositif qui annulera les efforts dans les deux barres
simultanément ou bien de procéder de façon à isoler les diagonales une par une et
avec réalisation d’une coupe du gousset en son axe vertical.
b) Ajout de matière
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La chaude de retrait est une méthode simple et efficace qui consiste en une chauffe
brutale, la plus rapide possible,
d'une zone précise d'une pièce
à redresser. Cela n'entraîne
aucune déformation aux
alentours de la zone ciblée car
la rigidité de la pièce s'y
oppose. Cependant, lors du
refroidissement, c’est ici que
Figure 32: tableau explicatif des différents types de chaude de
l'élément tend à se redresser du retrait [NOT 2022]
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Un rivet est une pièce d'assemblage comprenant une tête (ronde ou fraisée)
et une tige (parfois creuse ou forée). A sa mise en œuvre, la tige est refoulée, à
chaud ou à froid, avec une bouterolle pour former la rivure qui bloque définitivement
l'assemblage.
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c) Dispositions constructives
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par toute la section, ainsi il est nécessaire que ces dernières soient dérouillées et
décalaminées à la brosse métallique puis nettoyées.
a) Généralités
Les boulons à haute résistance (HR) ont été utilisés dès les années 1950 sur
le territoire français que ce soit pour des réparations et ou des renforcements de
structure métalliques. Par la suite, leur utilisation s’est étendue aux à la réalisation
d’ouvrages neufs vers les années 1960. Les ouvrages fixés seulement à l’aide de
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boulons étaient assez rares, puisque en général, les assemblages d’atelier étaient
soudés, et ceux sur chantier, boulonnés, par choix pratique. La technique du
boulonnage est utilisée principalement lors de réparation in situ et sur ouvrages
anciens en remplacement du rivet quand la géométrie de la structure rend
impossible la mise en place des outils servant à chauffer les rivets. De plus,
l’apparition de boulons injectés, non précontraints, au fonctionnement proche des
rivets, et de mise en œuvre plus aisée, rend de plus en plus rare ce mode de
réparation, encore très technique comme on a pu le voir précédemment. La
réparation par boulonnage n’est pas forcément spécifique de la date de construction
ni des matériaux utilisés. Les règles générales d’assemblage sur ouvrages neufs
s’appliquent, il faut donc se rapporter aux règles et normes actuelles.
c’est particulièrement le cas des assemblages non précontraints dans lesquels les
vis sont sollicitées en traction directement. Ces assemblages sont sensibles à la
corrosion, car ils laissent pénétrer l’humidité et d’autres agents corrosifs. Une
nouvelle technique permet de réaliser des assemblages non précontraints grâce à
des boulons HR injectés dans lesquels le jeu existant entre la vis du boulon et la
paroi du trou est entièrement rempli d’une résine. Cette dernière est injectée à partir
d’un trou fait dans la tête hexagonale (partie haute) de la vis comme vous pouvez
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le voir plus précisément sur la figure 35. Un trou d’évent réalisé dans la rondelle
située entre les pièces à assembler et l’écrou nous évite d’avoir une pression
excessive dans le boulon. Ainsi cette disposition permet de recréer le mode de
fonctionnement des rivets et donc d’être compatible avec le rivetage. De plus, cela
permet d’éviter l’alésage, tout en permettant un remplissage complet de tous les
interstices situés à la périphérie du trou, y compris ceux existants entre les tôles à
assembler.
Pour ce qui est des boulons précontraints, ils sont mis en place avec un serrage
contrôlé pour qu’il y ait une pression suffisante, définie auparavant, sur les surfaces
en contact avec la structure boulonnée. Le comportement est influencé, en
particulier, par les défauts de contact des platines mais aussi par les déformations
de celles-ci en flexion sous l’action des charges. Ceci peut amener à de la fatigue,
à des pertes de précontrainte et à de la corrosion des boulons.
c) Etapes de la réparation
Tout comme dans les assemblages de rivets, sur une même pièce sollicitée,
la stabilité de l’ensemble est très dépendante de chaque boulon car le desserrage
de quelques boulons surcharge les autres boulons et le défaut peut s’aggraver
rapidement. La réparation des perturbations et des déconsolidations d’assemblage
de boulons nécessite toujours une étude préalable, afin de connaître d’où vient le
problème : il peut être isolé, provenir du mode de fonctionnement ou de la pose, et
ainsi savoir s’il est nécessaire ou non de réaliser un renforcement de l’assemblage.
De plus, il faut préalablement vérifier si le diamètre du boulon qui sera neuf est
compatible avec les normes actuelles. Si ces règles ne sont pas respectées, il
faudra remplacer les pièces concernées par ce boulonnage. Enfin il faut effectuer
des contrôles dits “non destructifs”. Ils peuvent être nécessaires pour s’assurer de
la présence de nouvelles fissures en bord des trous dans les parties non visibles
des assemblages. Dans ce cas-ci, lors de la déconsolidation d’un boulon isolé, on
l’on remplacera par un neuf identique. Cependant, lorsque le trou prend une
géométrie plus ovale que ronde ou qu'il y a l'apparition de fissure au bord du trou
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a) Généralités
b) Dispositions constructives
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c) Mise en œuvre
L’exécution des travaux de réparation est régie par les mêmes règles que
celle de soudure sur site ou en atelier lors de travaux normaux sur un chantier de
construction. L’exécution d’une soudure doit être conforme aux matériaux de base
et d’ajout, à la qualification du mode opératoire de soudage et à celle du soudeur.
On peut différencier deux types de soudure principalement utilisées dans la
réparation d’éléments métalliques : la soudure TIG plus adaptée quand l’on souhaite
un résultat plus esthétique et étanche tandis que le soudage MIG sera plus utilisé
pour les charpentes métalliques car il est plus rapide et entraîne moins de
déformations.
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CONCLUSION
L’utilisation du métal tel que l’acier dans les structures porteuses apporte de
nombreux bénéfices tels que la rapidité de mise en œuvre, l’allègement de la
structure et ainsi un gain de niveaux et de surfaces. Il est tout de même
indispensable de bien connaître les caractéristiques mécaniques des matériaux
utilisés afin d’en optimiser la construction. La maintenance et l’entretien sont
indispensables pour pouvoir garantir le bon état de la structure et la maitrise des
techniques de réparations (que ce soit avec des boulons, des rivets ou du soudage)
permet d’éviter les effondrements des structures.
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