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Les Presses de l'Université d'Ottawa

Chapter Title: Front Matter

Book Title: Le Droit de traduire


Book Subtitle: Une politique culturelle pour la mondialisation
Published by: University of Ottawa Press; Les Presses de l'Université d'Ottawa

Stable URL: https://www.jstor.org/stable/j.ctt1ckphbv.1

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Une politique culturelle pour la mondialisation

Salah
Basalamah

Préface de
Nicholas Kasirer

Artois Presses Université


Les Presses de l’Université d’Ottawa

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© Les Presses de l’Université d’Ottawa, 2008.
Tous droits de traduction et d’adaptation, en totalité ou en partie, réservés
pour tous les pays. La reproduction d’un extrait quelconque de ce livre,
par quelque procédé que ce soit, tant électronique que mécanique, en
particulier par photocopie et par microfilm, est interdite sans l’autorisation
écrite de l’éditeur.

Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archives Canada

Basalamah, Salah, 1967-


Le droit de traduire : une politique culturelle pour la
mondialisation / Salah Basalamah.

(Collection Regards sur la traduction 1480-7734)


Comprend des références bibliographiques et un index.
ISBN 978-2-7603-0687-5

1. Traduction. 2. Traduction – Philosophie.


3. Droit d’auteur – Histoire. I. Titre. II. Collection.

P306.B375 2008   418’.02   C2008-907077-1

542, avenue King Edward


Ottawa, Ontario K1N 6N5
www.uopress.uottawa.ca

Les Presses de l’Université d’Ottawa reconnaissent avec gratitude l’appui


accordé à son programme d’édition par Patrimoine canadien en vertu
de son Programme d’aide au développement de l’industrie de l’édition,
le Conseil des arts du Canada, la Fédération canadienne des sciences
humaines en vertu de son Programme de l’aide à l’édition savante, le
Conseil de recherches en sciences humaines du Canada et l’Université
d’Ottawa.

Les Presses reconnaissent aussi l’appui financier de la Faculté des arts de


l’Université d’Ottawa dont a bénéficié cette publication.

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À mes parents,
affection et bienveillance.

À Iman,
amour et endurance.

À mes filles,
régénération et innocence.

À la mémoire de mon beau-père (février 2004).

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« Et si l’original appelle un complément, c’est qu’à l’origine il
n’était pas là sans faute, plein, complet, total, identique à soi.
Dès l’origine de l’original à traduire, il y a chute et exil ».
Jacques Derrida

« Le devoir et la tâche d’un écrivain sont ceux d’un


traducteur ».
Marcel Proust

« Un original disait : “Le traducteur est sur mes traces. L’ennui,
c’est que je suis moi-même sur les traces de mes traces” ».

« Moins le traducteur abdique sa propre personnalité, plus il


parvient à rendre celle de l’original ».
Carlos Batistat

« Parmi l’énumération nombreuse des droits de l’homme


que la sagesse du xix e siècle recommence si souvent et
complaisamment, deux assez importants on été oubliés, qui
sont le droit de se contredire et le droit de s’en aller ».
Charles Baudelaire

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Remerciements
« Cet ouvrage n’aurait pas pu voir le jour sans… » La formule
est usée au point que l’étendue de la reconnaissance qu’elle
suppose en devient parfois suspecte. Or, si la vérité de ce que
recouvre cette formule est naturellement relativisée par l’ordre
de succession et de priorité des noms mentionnés, l’urgence de
son expression au début de mon ouvrage ne souffre, en revanche,
pas la distinction.
En effet, j’aimerais d’abord exprimer ma reconnaissance
à mes parents Yahya et Zainab qui, tout au long de mon
tortueux cheminement universitaire, m’ont soutenu de manière
indéfectible, notamment par leurs innombrables prières et leur
amour inconditionnel.
Je déclare ensuite ma dette la plus substantielle à mon épouse
Iman et, à travers elle, à mes filles Assma, Salam, Aman et Inas.
Elle m’a non seulement offert ses encouragements répétés et le
témoignage de sa confiance immense, elle qui incarnait, les jours
de dépression et de grand vide, l’inspiration de la détermination,
mais elle m’a également et littéralement donné (sans retour) des
années de sa vie pour partager avec moi le fruit que j’estime lui
revenir tout autant.
Et puis Alexis Nouss, mentor fidèle, complice de mon
épanouissement intellectuel et modèle vivant d’humilité,
d’éthique du savoir et de finesse d’esprit, à qui j’exprime
ma gratitude pour sa patience, sa collégialité et sa généreuse
disponibilité. Avec lui, j’ai appris à être bien plus que le simple
bénéficiaire d’un diplôme puisque je continue encore à récolter
les fruits du vécu partagé qui m’a nourri, comme étudiant certes,
mais surtout comme être humain qui sait, lui aussi, le goût de
l’altérité et de la marge.
Je suis également l’obligé, mais si gracieusement, de mon
préfacier, Nicholas Kasirer, qui a d’abord été le voisin de
bureau exemplaire durant les premiers mois, mais surtout
le stimulus intellectuel de mes tâtonnantes et incrédules
élaborations juridiques, très tôt dans ma recherche. Combien
précieux et durable est le don lorsqu’il est humble et
généreux.
Je dois également mes expressions de gratitude les plus
appuyées à mes amis lecteurs, traducteurs et réviseurs Gaafar
Sadek et Smaïl Khris qui, avec la fraîcheur de leur regard neuf
et l’intelligence de leur esprit critique acéré, ont passé avec moi
à travers le laborieux ouvrage de traduction, de lecture et de

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viii Le droit de traduire : une politique culturelle pour la mondialisation

relecture de ce que je suis aujourd’hui fier de contempler entre


mes mains.
Je remercie par ailleurs madame Ysolde Gendreau qui, malgré
ses doutes et ses réserves sur l’audace des thèses développées dans
ce livre, a eu la généreuse présence et disposition de répondre
à toutes mes questions liées à la compréhension historique et
contemporaine du droit d’auteur. De même, je formule mes
remerciements aux éminents spécialistes du droit d’auteur,
messieurs Alain Strowell, David Weaver et Lionel Bentley, pour
leur accueil chaleureux et leurs encouragements lors de ma visite
dans leur université respective à Bruxelles, Oxford et Londres.
Je m’en voudrais d’oublier Tom Field, celui qui a patiemment
dirigé mes premières recherches juridiques autour de la relation
traduction–droit d’auteur, ainsi que tous les bibliothécaires des
universités de Montréal, d’Ottawa, McGill et Pierce Law qui
ont contribué eux aussi par la recherche et la transmission du
moindre volume qui a permis d’éclairer la voie en direction de
l’élaboration de cet ouvrage. Sans oublier Rabia Mzouji, une
généreuse main tendue de dernière heure, qui a constitué un
précieux relais entre les ouvrages de référence et les exigences
éditrices finales alors que je me trouvais à l’étranger.
Plus profondément dans ma mémoire, j’aimerais également
exprimer ma reconnaissance à mes frères d’armes intellectuels,
notamment Tariq Ramadan, Ezzedine Kateb, François Jung et
Kamel Remache, qui ont, chacun à leur manière, contribué
à l’éclosion, puis à l’épanouissement de mon amour pour les
choses de l’esprit.
Et enfin, un dernier mot en faveur de mes éditeurs (PUO et
APU) qui ont investi leur confiance et leurs efforts soutenus en
vue de la parution de cet ouvrage qui, faut-il le reconnaître, n’a
rien de conventionnel à l’heure où l’on préfère généralement ce
qui confirme le discours établi sur les infrastructures idéologiques
et discursives de l’ère globalisée. Un grand coup de chapeau
donc à messieurs Eric Nelson, Alex Anderson, Michel Ballard,
Gilles Bardot, et Fred Reid qui furent les dignes relais humains
de la parole intempestive qui va suivre.

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