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LICENCE PROFESSIONNELLE
OPTION : GENIE ELECTRIQUE
THEME
CONTRIBUTION A L’AMELIORATION DE
LA QUALITE DE L’ENERGIE ELECTRIQUE
ALIMENTANT LA CTB PAR CONNECTION
AUTOMATIQUE D’ENERGIE REACTIVE
Sous la Direction de
généraux
DEDICACE :
• A Dieu Tout Puissant, qui m’a toujours comblé de sa grâce, de ses
bénédictions et bienfaits, et qui m’a soutenu tout au long de ma formation.
• A mon très cher Oncle Claude DJOGNINOU et sa femme Philomène
DESSOU qui ont accompli durant tout le temps les devoirs d’un père et
d’une mère,
Cher Oncle, en ce moment où, je m’apprête à franchir cette
importante étape de ma vie, j’espère que vous serez fier de moi. Que donc la
grosse boule de ma reconnaissance roule sur le corridor de votre sympathie et
que DIEU vous accorde une parfaite santé et une longue vie.
Amen
• A mon père Paulin DJOGNINOU, toi qui a toujours œuvré pour la
prospérité et l’émergence de tes enfants, merci pour tout ;
• A ma feue mère Pauline FADONOUGBO, qui a eu à jouer son rôle de
mère avant de nous quitter.
• A Mme Colette DJOGNINOU épouse HOUINSOU, véritable femme
combattante qui n’a cessé de braver vents et marées pour la réussite de mes
études.
• A mes petit-frères et petite sœurs Arnaud, Samson, Romaine, Isabelle,
Hugues.
• A mes cousins et cousines Zéphirin, Roméo, Valérie, Achille, Pascal,
Armelle, Appolinaire, Inès, Maudel, Lucrèce, Dorcas.
• A mes amis Martial, Karol, Gildas, Stanislas.
• A ma bien aimée Romaine da CRUZ
• A tous mes enfants Précieux et Johannes
• A tous mes professeurs, car « il n’y a jamais d’ascension sans guide ».
• A tous mes camarades de promotion.
• Enfin à tous ceux qui bénéficieront des fruits de ce travail.
MT : Moyenne Tension
MAN : Manuel
AUT : Automatique
INTRODUTION
L’énergie électrique favorise un grand nombre d’applications domestiques et
industrielles qui contribuent de manière essentielle au développement social et
économique d’un pays. De nos jours, cette forme d’énergie se produit en de très
grandes quantités et le défaut de qualité impliquera dans ces conditions des
pertes inadmissibles. La maîtrise de la qualité de l’énergie électrique devient
alors un défi important. Au nombre des actions à mener pour améliorer la qualité
de l’énergie électrique dans une entreprise industrielle figure le contrôle de
l’énergie réactive. A la Compagnie Béninoise des Textiles, CBT la
compensation de l’énergie réactive est semi-automatique. Cette technique de
gestion du flux d’énergie réactive n’est pas assez efficace : des ateliers sont
surcompensés pendant que d’autres le sont moins. Le facteur de puissance est
globalement mauvais et la CBT continue de payer des pénalités. Les moteurs
électriques des ateliers sous compensés s’endommagent par ailleurs et ceux des
ateliers surcompensés s’emballent sous un excès de vitesse occasionnée par la
surtension.
PREMIERE PARTIE:
PRESENTATIONDE
PRESENTATIONDE LA STRUCTURE D’ACCUEIL
1.2Structure Organisationnelle
La CBT est dotée de toutes les structures administratives que peut
compter une industrie à savoir :
DIRECTION GENERALE
DIRECTION GENERALE
ADJOINTE
SECRETARIAT
PARTICULIER
SERVICE
ADMINISTRATIF
LABORATOIRE
LABORATOIRE
SECTION
SECTION PREFILATURE PRETISSAGE
SECTION TISSAGE
SECTION FILATURE
BATTAGE
Cette sous-section est la première étape par laquelle passe le coton, le
battage du coton est reparti suivant deux lignes de productions qui
permettent de débarrasser le coton de toutes impuretés (déchets et
poussières). Les balles de coton sont empilées dans un espace réservé de
10m sur 2m sur lequel vient passé l’éplucheuse.(Voir annexe)
o L’éplucheuse
CARDAGE
Il représente un ensemble de machines appelés cardes, regroupées en deux
lignes de production comportant 8 cardes chacun. Elles arrangent les fibres
de coton sous forme de nappe puis sous forme de ruban. Ces rubans sont
enroulés et empilés dans des pots.(Voir annexe)
Section Etirage
Cette section permet d’améliorer la régularité et le parallélisme des rubans de
coton. Cette opération se déroule en deux étapes :
1.2.8Département Tissage
Ce département est subdivisé en trois branches à savoir :
A cette étape les fils sont travaillés afin de leur conférer de résistance, de
poids et de rigidité. Ce hall se subdivise en sous-section à savoir :
Le bobinage, l’ourdissage, l’encollage et le rentrage
o Bobinage
Les fuseaux des fils sont repartis sur 6 machines dites bobinoirs où sont enroulés
autour des cônes en passant à travers des épurateurs, qui sont chargés de vérifier
l’uniformité et l’homogénéité de la section des fils pour former des bobines.
o Ourdissage
Cette salle dispose de deux machines identiques et chacune d’elles a deux
parties principales :(Voir annexe)
-le cantre
-et la têtière
o Encollage
L’encollage est une opération qui consiste à augmenter la résistance des
fils des ensouples ourdies à l’aide de l’amidon traité pour donner de la colle,
ainsi on part des ensouples ourdies pour obtenir des ensouples encollées.
Cette salle dispose aussi de deux machines identiques appelées encolleuses
dont chacune d’elles a pour rôle d’imbiber de colle, de sécher les fils grâce à
la vapeur provenant de la chaudière et enfin d’enrouler les nappes de fils. Il
faut noter que l’encollage dispose également d’une cuisine ayant pour rôle
de préparer la colle qui va être utilisée par les encolleuses. (Voir annexe)
o Le Rentrage
Au rentrage les fils encollés et enroulés sous forme de nappe sur les
ensouples sont travaillés par des artisans appelés noueurs qui ont pour rôle
de faire passer les fils dans des lamelles afin de les lisser et les peigner. Le
rentrage dispose de dix machines appelées Bancs de remontage permettant
aux noueurs d’effectuer leur travail. (Voir annexe)
Le Tissage
Le tissage ou hall-tissage est composé de 768 machines appelées métiers à
tisser, ces dernières ont pour rôle de faire passer les fils trames aux travers
des fils chaînes pour faire du tissu. (Voir annexe)
Deux autres cames appelées cames frappe épée latérale, sont montées chacune
sur des plateaux préalablement fixés aux extrémités d’un axe pivot.
-le feu jaune indique que le fil de trame est terminé ou coupé ;
-le feu vert indique que la machine est sous tension et prête pour un
fonctionnement normal.
Les tissus tissés par les métiers à tisser sont acheminés vers la vérification
pour un dernier contrôle.
Vérification
C’est la dernière section de la chaîne de production et comme son nom
l’indique elle permet de vérifier les défauts de production des tissus produits
au niveau du hall-tissage en appréciant les qualités du tissu en le faisant
passer respectivement au niveau :(Voir annexe)
-des visiteuses, machines qui détectent les défauts ;
-des plieuses qui repartissent le tissu en un nombre défini de mètres ;
-des contrôleurs (ouvriers), ils revérifient une fois de plus les défauts ;
-la presse hydraulique qui sert à emballer le tissu conformément au métrage
exigé.
Les tissus ainsi emballés sont près à la vente et vont être convoyés au
niveau du magasin de tissu.
• L’atelier de soudure :
On peut y effectuer la soudure autogène, la soudure à l’aluminium
et la soudure au cuivre ou au chalumeau.
• L’atelier de menuiserie :
Il travaille le bois dans le but de remplacer dans l’usine toute
défectuosité de matériel en bois. Il est surtout sollicité du côté des métiers
à tisser.
Section Electricité
Section Conditionnement
Cette section dispose de deux salles : la salle de conditionnement d’air et
la salle de source d’air comprimé.
• Salle de conditionnement
1.3Processus de fabrication
Laboratoire FILATURE
Magasin
coton
Magasin
Tissu
Laboratoire TISSAGE
CHAPITRE2
CHAPITRE2 : PRESENTATION DE L’OUTIL DE PRODUCTION DE
LACBT
LACBT
Pupitre
Partie
Pré-
Pré-actionneur Partie
Commande
Ecran opératrice
La partie opératrice
La partie relation
- Marches-arrêts ;
- Système mécanique ;
- Système électrique ;
- Système pneumatique.
Système mécanique
- Réducteurs ;
- Trains d’engrenages ;
- Arbres de transmission ;
- Poulies.
Certains de ces organes sont montés sur des paliers constitués par des
roulements qui facilitent la transmission.
Système pneumatique
- Distributeurs ;
- Vérins.
Système électrique
On peut remarquer presque sur tous les systèmes électriques des machines de
production, les éléments électriques existants intervenant dans les démarrages
des machines, d’autres dans le contrôle et la surveillance du cycle de production.
Nous pouvons notamment citer les organes tels que: moteurs, capteurs, pupitres
de commande, système de signalisation.
- la vidange
-le graissage
-le changement de courroie, etc…
o Maintenance
Elle permet d’organiser, de prévoir, de planifier et de gérer les opérations
d’entretien c'est-à-dire :
-l’organisation d’une structure de maintenance préventive ;
-le suivi de coût ;
-l’analyse des pannes ainsi que le compte rendu des interventions de
maintenance ;
-l’établissement du fichier de suivi de la maintenance par secteur et par
machine, etc…
Remarque
D’après la définition ci-dessus du terme « maintenance », on peut dire qu’il
n’y a pas de pratique rigoureuse de maintenance à la CBT car les maintenances
effectuées à la CBT ne respectent pas la majorité des prescriptions qui sont
recommandées dans la définition.
3.3 Déroulement des interventions et entretiens
o Entretien
Les entretiens des machines dans les différentes sections se font de
manière routière et aléatoire à base d’un vieux plan.
On a distingué deux formes d’entretien que les différents ateliers
pratiquent :
• Entretien mensuel ou partiel :
Cet entretien consiste généralement au nettoyage complet de
la machine, au graissage des moteurs et à la vérification de
l’état des organes et pièces constituant la machine.
• Révision ou entretien général :
Elle s’effectue dans le mois suivant le nombre de machines dans le hall, c’est
une forme d’entretien qui consiste à une révision totale de la machine en
démontant les différents blocs et pièces constituant la machine. Ces actions se
basent sur le réglage, l’ajustage et le contrôle des pièces de la machine.
o Interventions
Les interventions sur les machines ne suivent pas une procédure de
maintenance. Ici, les interventions d’ordre préventif (entretien
mensuel)consistent à rendre la machine propre sans constat sur les
organes (c'est-à-dire sans changement systématique des organes usés).
Ainsi, les interventions se limitent au dépoussiérage (duvet de coton) sur
les machines, à la vidange, au graissage au niveau des moteurs et
changement de quelque pièces qui sont nécessaires au fonctionnement des
machines et non à la sécurité des personnes et des biens.
• Documentation
Actuellement à la CBT, les ateliers d’entretien ne disposent quasiment
d’aucun document (dossiers machines et fiches techniques) concernant les
machines. D’après les ouvriers, au départ ils notaient toutes les interventions
dans un cahier, mais aujourd’hui ils négligent ces pratiques et les quelques
documents qu’on a pu voir étaient des dossiers machines et ces derniers sont
rédigés en langue chinoise.
DEUXIMEPARTIE: DEROULEMENT
DU STAGE
Dépannage de climatiseur
Le dépannage des climatiseurs a été fait dans les logements administratifs.
Le climatiseur est une machine frigorifique dont le rôle est d’abaisser la
température d’une enceinte en dessous de la température ambiante. Notre
intervention a été de démonter entièrement la machine, la nettoyer et la
remonter.
Les sectionneurs
Ce sont avant tout des organes de sécurité utilisés pour ouvrir et fermer un
circuit lorsqu’ils ne sont pas parcourus par un courant. Ils sont utilisés pour
isoler un ensemble de circuit, un appareil, une machine, une section de ligne
ou de câble afin de permettre au personnel d’exploitation d’y accéder sans
danger.
Le coupe-circuit à fusible
calibré. Ils sont surtout utilisés pour la protection contre les courts-circuits dont
ils limitent la valeur crête du courant de défaut. En régime triphasé ils
n’éliminent que les phases parcourues par un courant de défaut ce qui peut
présenter un dégât pour le matériel et le personnel. Pour palier à cet
inconvénient, les fusibles peuvent être associés à des interrupteurs ou à des
contacteurs avec lesquels ils constituent des combinés capables d’assurer la
protection en cas de surcharge du réseau ou de court-circuit.(Voir annexe)
Les contacteurs
Ils ont un rôle comparable à celui des interrupteurs mais ils sont capables
de fonctionner avec des cadences très élevés. Ils possèdent une grande
endurance électrique et mécanique. Les contacteurs sont utilisés pour
manœuvrer fréquemment les équipements tels que : le four, les moteurs. Ils ne
peuvent pas être utilisés comme sectionneur.(Voir annexe)
Le rebobinage
Le rebobinage est une opération qu’il y a lieu de faire quand les
enroulements d’un moteur ou d’un ventilateur sont défectueux. Cela consiste à
faire de nouveaux bobinages après enlèvement des bobinages défectueux
existant.
Il existe deux types de rebobinage à savoir :
le rebobinage suivant l’enroulement série ;
Constats
La section électricité a été notre section hôte et il nous a été donné de
constater quelques maux qui minent cette dernière, à savoir :
• le manque de fiches d’interventions sur les machines ;
A la Compagnie Béninoise des Textiles, les différentes interventions sur
les machines ne sont pas reportées sur une fiche, ni dans un document ce qui
complique énormément la tâche aux agents d’entretien.
• le manque de pièces de rechange ;
5.1.2 Problématique
Les problèmes de dissipation thermique revêtent une grande importance
dans l’industrie du fait de la forte consommation de l’énergie réactive, de chute
de tension, de consommation intense du courant et du mauvais facteur de
puissance d’où, l’élévation de la facture de la SBEE. Consciente des défis à
relever dans le cadre de la modernisation et de la mondialisation, la CBT
souhaite l’application des mesures d’économies d’énergie visant à réduire de
manière susceptible son coût de production pour être plus compétitive.
La CBT a déjà compensé de façon automatique son énergie réactive
depuis sa création avec des batteries de condensateurs et ne devrait pas donc
payer de pénalité. Pour des raisons de nécessité à accroitre sa production, la
CBT s’est doté de nouvelles machines et leur système de compensation est
manuel par endroits. Il est géré par un opérateur qui est chargé d’ajuster la
capacité de la batterie de condensateurs en cas de nécessité.
Pendant cet ajustement il y a des risques de sous-compensation ou
surcompensation, l’erreur étant humaine ; la fiabilité des équipements
électriques pourrait être remise en cause.
Pour résoudre ces problèmes, il nous revient à automatiser à nouveau la
compensation par des relais varmétrique R6+5217. Ces relais mesurent en
permanence la puissance réactive de l’installation et contrôlent l’enclenchement
et le déclenchement des niveaux de capacité pour obtenir le facteur de puissance
souhaité.
25 0,55 1,52
0,73 0,94
50
0,80 0,75
75
0,81 0,62
100
Lampes à incandescence N1 N0
Lampes à fluorescence non compensées N 0,5 N 1,73
Lampes à fluorescence compensée 0,93 0,39
(0,93)
Fours à résistance N1 N0
Fours à induction avec compensation N 0,85 N 0,62
intégrée N 0,85 N 0,62
Fours à chauffage diélectrique
Machines à souder à résistance 0,8 à 0,9 0,75 à 0,48
Postes statiques monophasés de N 0,5 1,73
soudage à l’arc 0,7 à 0,9 1,02 à 0,48
Groupes rotatifs de soudage à l’arc 0,7 à 0,8 1,02 à 0,75
Transformateurs-redresseurs de soudage
à l’arc
Fours à arc 0,8 0,75
5.3.2 Méthodologie
5.3.3 Diagnostic
L’inspection approfondie de l’installation est primordiale et s’appuie sur
une prise exhaustive de tous les paramètres nécessaires à la détection de la
qualité de l’énergie et la proposition des premiers axes d’amélioration. Ainsi
après avoir collecté les données de base (caractéristiques du réseau,
caractéristiques de l’installation et conditions d’utilisation) nous allons calculer
la puissance réactive Qc puis à partir des feuillets de gestion de leur
consommation, nous évaluerons le rapport Qc/Sn avec Sn la puissance apparente
du transformateur. Après tout cela, se fera le choix du régulateur varmétrique en
fonction de la puissance réactive de la batterie de condensateurs installée
préalablement sur le réseau.
5.3.4Etude de faisabilité
La compensation automatique d’énergie réactive implique que le relais
opérant, dit varmétrique doit être adapté aux caractéristiques intrinsèques du
réseau d’alimentation électrique correspondant (tension, fréquence, etc.) et des
batteries de condensateurs déjà installées sur le réseau. L’application stricte des
principes ci-dessus nous conduirait à prendre en compte dans chaque calcul, les
Entrée de courant
Courant d’entrée Ie 5A
Surcharge permanente + 20
S2
S1 R1
V1
m1
a1
Pour cela, la seule chose qui nous reste à faire c’est de l’automatiser afin
de satisfaire les normes en vigueur : respect d’un mauvais facteur de puissance
minimum, normes, qualité d’énergie et au-delà des économies d’énergie
réalisées, et donc d’une diminution, de la destruction des composants sensibles,
ou le déclenchement intempestifs et d’éviter surtout le renvoi excessif de
l’énergie réactive sur le réseau de la SBEE voire les surtensions dangereuses.
Il y a aussi à remplacer les contacteurs électromécaniques par les
contacteurs statiques afin de réaliser une conception inédite et originale du
système automatique.
7.1.2Avantage économique
Ces avantages matérialisent l’impact de l’investissement consenti pour
automatiser.
En plus de la disparition des pénalités infligées par la SBEE, il permet une
réduction de nombre d’opérateurs-contrôleurs de la charge, la diminution de
destruction des appareils d’éclairage et des équipements sensibles.
Par exemple lorsque la puissance réactive consommée est minimale, avec une
compensation globale sans le relais varmétrique, il y aurait une surcompensation
qui provoquerait une élévation anormale de la tension. Or, la surcompensation
aux bornes d'un transformateur ne doit pas dépasser 15% de sa puissance
nominale.
Conclusion partielle
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
Henry NEY -Technologie et schéma d’électricité niveau 2, 120-123p et 225-
228p
Distribution Base Tension du Groupe SHNEIDER, Page G4 et G5.
Alpes technologies, compensation de l’énergie réactive
WEBOGRAPHIE
ANNEXE
ANNEXE