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Miroir Newton Ø250F5; Journal de

réalisation (1)

PREMIÈRE PARTIE, DE QUATRE:


Ce travail est la transcription rendue (Je espère) lisible, des notes prises au crayon dans mon
“journal du "gratte verre"” au cours de la fabrication du miroir installé dans mon dobson voyager
léger, en photographie.
notes qui je suis coutume prendre habituellement, destinèe a moi même , au fil du temps, des
activités que vous ne faites pas tous les jours l'on oublie quelques étapes importantes, mais aussi
l'on oublie de nombreuses attitudes dangereuses qui conduisent à des erreurs évitables.
Le relire mes écrits en pas de temps, m'a portè du vantage, vue que j'ai eu a faire plusieurs fois ce
chemin (avec des miroirs)  pas de graves dommages. L'ouvrage décrit ne comprend pas l'ebauchage
de la courbe sur les verres miroir et outil, car je l'avait commandèe au fournisseur des verres miroir
et outil.
On pourrait dire que le miroir 250F5 29mm d'épaisseur aurait été bien en utilisant verre
constructible flotteur commun dans une épaisseur maximale de son commerce économique de
19mm. Mais j'ai écarté cette possibilité parce que son poids léger de seuls 20mm, m'aurait encore
exacerbé le problème du équilibrage, en raison de l'extrême légèreté de la caisse du primaire de cet
télescope pe poids structurale de seulement 8 kg scarces, par rapport à son beau diamètre
d'ouverture.
C'etait donc mieux commander un verre d'epaisseur 29 mm , que pour ce project était le maxi
compatible avec la construction du format petite valise a la main, par avion (mesure "cabin").
“"cabine" pour avion”. Et puis transformr en une sorte de contrepoids dynamique le surplus du
poids au secondaire à équilibrer , fait avec une traction d'élastiques. tut ça pour atteindre un bon
équilibre de l'instrument, prêt pour l'observation, aussi en utilisant les lourds oculaires modernes de
1″1/4 champ long.
 
MY TECHNIQUE DIARY (Par caractère, je suis loin de la consideration des journaux
psychologiques. Ce ci en fait n'est pas un d'eux, Puisqu'il s'agit fondamentalement d'un guide
technique ).
Le Pyrex brut (comme on dit le "blank") avait un diamètre 255 et épaisseur fournie sur ma expresse
commende de 29 mm,  Alors que la mesure de l'outil etait 255x19mm en verre a vitre (calcium-
sodium). Les deux achetés en Italie, comprenands le service d'èbauchage au rayon 2500 mm
environ (calcul des coûts de service 35 euro du 2008).
Donc les deux pieces ont delivrè deja travaillès avec flèche et courbure de surface déjà usinée
(concave pour le miroir et convexe pour outil), de 2.92 mm environ. Y compris bord chanfrein avec
largeur d'environ 3 mm de sa facette plate a 45° 45. que vue en plain mesurait (3/racine 2 = 3/1.41
=) 2.12mm environ.
donc à l'état initial du travail, la présence du petit chanfrein reduisait le diamètre utile du miroir à
(255-2×2.12=) 250.75mm environ.
En fait il n'était pas à se craindre, car ce chanfrein la, aurait considérablement rétrécie pour usure
pendant le traitement. Et le résultat final serait sûrement un diamètre utile miroir pas moins de 250
mm.
NOTE SUR L'EBAUCHAGE ET REUNISSAGE DE LA COURBURE EN MODE MANUEL
Après d'avoir achetè le blank et l’outil pre-travaillè à la profondeur désirée de la flèche au centre
miroir, (correspondant au rayon de courbure de la longueur focal désiré), C’est un avantage
qu’epargne du travail manuel athlétique pour l'ebauchage de la sphere initiale, et letravail de
reunissage des deux surfaces outil-miroir.
Reunissage indispensable, car après avoir atteint la profondeur de la flèche au centre miroir, obtenu
avec le traitement manuel, il est habituellement un phénomène très localisé dans le centre du miroir,
Donc ne correspond jamais à l’obtention d’une bonne surface sphérique.
Et ceci est rendu visible par le fait que généralement le traitement manuel laisse complètement
intact une couronne circulaire peripherique du miroir de largeur d'au moins 1 cm; et aussi un centre
outil de diamètre de quelques cm , également intacte.
Soit la Couronne que le centre intact, sont clairement visibles de la persistante bulle d’air centrale ,
pris au piège entre les deux verres superposé pendent le travail , y compris l’eau et poudre abrasif.
Normalement donc, avec l'attainte de la flèche centrale, va terminer l'étape d'appel d'ébauche, et va
commencer celle de reunissage des deux surfaces outil et miroir, n'appliquant plus des courses
cordales tres efficace lors de l’excavation, mais celle 1/3 Diamètre, centres sur centres ( C.O.C (à
l'americaine lisons: Center Over Center)).
Ces courses 1/3D c.o.c.appliqué en tournant autour de la table, et en tournant le verre à la main
selon la règle de leur utilisation, sont importantes, car ne dépassant pas dans le sens gauche-droite,
garantissent l’obtention d’une sphère sans nécessité d’effectuer aucune mesures.
Du point de vue de test, l'on pense de se servir un sphéromètre pour vérifier la réalisation de la
sphere initiale. Mais en fait c’est inutile, car il suffit de voir que dans la poursuite des travaux avec
les coursesn de 1/3D c.o.c., la bulle d’air central entre les vitres ira de plus en plus se réduire jusqu'à
sa disparition.
Quand la bulle d’air entre les verres est complètement disparu, vous avez la certitude que les deux
verres (concave du miroir et convexe de l’outil) ils ont atteint le même identique rayon de courbure,
à savoir, l'on a obtenu la bonne sphere souhaité, et vous pouvez commencer le travail de affinage
progressif de la qualité de surface, avec des grains abrasifs de plus en plus fine . Et le test
commenceront seulement lorsque le polissage qui fait suite à l'affinage de la surface, à rendu celle
ci reflechissante.
FIN DE LA NOTE SUR L'EBAUCHAGE ET REUNISSAGE DE LA COURBURE EN MODE
MANUEL.
Nous arrivons maintenant à l'écriture dans “le temps des verbes "indicatif présent"” comme etait
enregistré dans mon journal:
Vérification de focale correspondant à la flèche d'ebauchage de 2,92 mm:

rayon de courbure correspondant = (Diamètre / 2)2 / 2 Flèche = 15625 / 5.84  = R 2675 mm


environ,
Longueur focale = R courbure/2 = 2675 / 2 = Focal 1337.5 mm environ
Rapport focal ou nombre F = F / D = 1337.5 / 250 F = 5.35
Au lieu de cela, la flèche nominale d'un diamètre de miroir 250 et focale 5 fois le diamètre, doit
être:

Flèche = (Diamètre / 2) 2 / 2*R = 3.125mm


la flèche 2.92 présenté par mon blanc est un atout légèrement inférieur à celui 3.125 définitive, car
au cours du traitement, il sera inévitable une augmentation, qui la porterà a fin travail (sauf
inconvénients) proche de la valeur nominale correspondant au rapport F5 choisie.

POUR LA RÉALISATION DU MIROIR, M'ATTENDENT ALORS LES TRAVAUX DE:


1. RODAGE (REUNISSAGE) ET AFFINAGE pour amener toutes rugosité de la surface, au
niveau du dernier grain abrasif 800, en vous assurant que la flèche reste proche de 3,1 mm
caractéristique du desirè rapport F5, et en évitant de provoquer defaut zonales ed
d'astigmatisme.
2. POLISSAGE Pour obtenir une surface sphérique parfaitement réfléchissante, comme la libre
surface d'un liquide.
3. PARABOLIZATION pour èvaser le spheroïde obtenu, jus'qu à faire de maniere que la
différence entre le rayon de courbure de la zone centrale et de celle extérieur est de 1.95
micron, avec la progression propre de la courbe parabolique de référence.
Si vous êtes intéressé voir cette démonstration en caractère italique , sinon depassez le script
italique .
démonstration de “profondeur de parabolization” comme difference entre l'axe des abscisses du
bord miroir et celui du centre, entres sphéroïde et parabole:
Vous devriez vous référer à la figure suivante et son axe des abcisse (Axe X (horizontal)) et
l'ordonnée (axe Y (vertical)).
Sur ces axes nous devons superposer a une parabole avec vertex (0,0) et Y est égal au rayon
maximum de notre miroir, un cercle de rayon égal au rayon miroir que dans ce point (0,0) Il
partagera son troisième quadrant (compté Convention horaire).
Pour ce faire, la circonférence devrà avoir centre aux coordonnèes (R,0). Se souvenant alors que
de la géométrie analytique, l'équation qui décrit une parabole est:
Il suit avec un simple passage qui :

Donnont aux symboles des vraies valeurs, et dans notre cas:


R le rayon de courbure creusé dans le miroir (2500mm environ);
Y Il est ordonnée (vertical) que nous voulons qu'il soit égal au rayon extérieur du miroir (125mm
environ), (être (0,0) le miroir central, dans notre exemple, coïncidant avec le vertex de la
parabole);
et enfin X est l'inconnue abscisse du point de projection de Y sur l'axe horizontal.

Nous calculons donc la valeur de X qui se révèle être 1252/2• 2500 = 3,125 mm environ.
C'est a dir du centre de nos miroir à son bord exterieur (ou bien à la distance du rayon 125) Il y a
une différence de 3.125mm .
Soit dit en passant c'est aussi la (la méthode et la) calcul de la valeur de ce qu'on appelle ARROW,
vis a dir la profondeur maximale de la parabole qui nous intéresse creuser dans le verre.
Voyons maintenant une circonférence qui serait la flèche à la même distance au-dessus
vue.l'équation qui décrit un cercle de centre en (R,0) il est:  

d'où, avec une simple passage l'on trouve que : 

Les symboles ont les mêmes valeurs déjà vu.


puis on calcule la valeur de X qui identifie la flèche analogue de la circonférence, et trouver: 

2500- racine (25002-1252) =


Réminiscences mathématique nous rappeler que sera dérivé de la racine deux termes: un négatif et
un positif.
Nous prendrons en considération bien sûr la valeur absolue qui nous permet d'accomplir la
soustraction désirée dans le quadrant désirée : Et de ce que nous obtenons que

2500- racine (25002-1252) =  3,126956 mm environ


La différence entre les deux valeurs de X trouvé pour la circonférence et pour la parabole, et donc
= 3.1269557 – 3.125 = 0,001956 mm environ c'est-à-dire 1.956 Micron

En fin de compte pour obtenir une parabole F5 de une calotte spherique de rayon 125  comme la
nôtre, Nous devons èvaser la sphere jusqu'a un maxi au bord miroir de 1.956 Micron
Fin de la demonstration

La question de l'heure est: Avec quelle taille des grains abrasifs l'on commence le travail??
Nous devrions commencer avec un grain abrasif légèrement plus fine que celui qui a créé
l'ebauchage du verre brut , mais cette information est inconnue à celui qui ait reçu les verres dejà
ebauchès....
Alors, comment savez-vous quels sont ceux qui sont la taille des cratères produit à partir de divers
grains?
Né il WEB, né i GRIMOIRES (textes sacrés);  J'ai étudié pour engager le travail, fournissent des
lignes directrices précises sur le sujet.
Les textes qui sont:
1. La construction du télescope amateurs Jean Texereau;
2. Realisez votre télescope par Karine et Jean-Marc Lecleire;
3. Amateur Telescope making volume: 1, 2, 3, Albert Ingalls;
4. Le télescope Dobson de David Kriege & Richard Berry)
sauf une table presente sur (2) à la page 81, qui montre la taille moyenne des différents grains
abrasifs, Soulignant également que chaque fournisseur abrasif dispose d'une gamme de différentes
tailles qui remplit chaque grain nominale ( Grit) nominal.
Donc cette dernière déclaration est une invitation implicite à se méfier de la table, J'ai décidé de me
regarder dans le microscope la taille des cratères laissé par Ebauche de la surface du miroir, puis de
les comparer avec la taille des grains ( Grit) abrasif ma possession, achetè avec le miroir et l'outil.
J'ai regarder la surface du miroir blanche èbauchès, avec un petit microscope portable de 30
grossissements (couts moins de 30 euros sur les étals des Russes, mais maintenant aussi sur le
Web), avec lumière rasante, même dotès d'un objectif avec réticule, dont les divisions sont de 0,1
mm,  et je vois des cratères 0.3mm.
Donc, je pense par analogie …en supposant que vous devez détruire un mur avec un marteau, la
grande majorité des débris produits ne devraient pas être plus grand que le marteau utilisé ... Et
donc je me convaincs cela semble tout aussi probable que certains grains abrasifs ( Grit) Laissez
cratères la plupart du temps de la taille jusqu'à la taille de leur grain.
Il y a sûrement d'exceptions des cratères plus grands, mais ils seront rares et dues au sauter des
éclats "d'ecailles sourdes". C'est-à-dire de péninsules fissurés de verre, qu'ils restent attachés au
reste que par un petit pédicule, qui à un certain moment se casse, et sauter.
Je regarde les différents grains abrasifs en ma possession, et j'écris leurs taille moyenne sur ses
récipients en plastique .
(Sur abrasifs d'arrivée ont été emballés dans des sacs de cellophane, Je versais dans des contenants
en plastique blanc pour les échantillons chimiques et biologiques, par 0,5 litres avec bouchon
Capsule, et dessus bouchon à vis exterieur, de ceux avec trou pour plomb de phoque . Voir l'image
cette Article Tout ce qu'il doit “mirror maker”, alias “Gratteur de verre”.).
Mes abrasifs sont les suivants:, tous carborundum:

Taille du grain (um)


Q.ta (g) Grana
100
500 120
300 50
180
200 35
320
200 20
500
150 13
800
•  une pierre cote pour chanfereier a grainé fin et médias

J'ai puis également abrasifs et nécessaire pour polissage suivant:


•  250g oxyde de zirconium de granulométrie inférieure à 0.5 Micron
• 150g de Opaline, C'est a dir oxyde de cérium reffinès
• 1kg de poix optique type Gugolz de type #55
• 250g d'oxyde de cérium
• 2 Rosin kg de flocons, ce serait le fameux "Poix grec", substitut rougeâtre beaucoup moins
cher de la poix noire (goudron vegetal noir).
Retournand donc au choix du grain avec laquelle commencer le travail, Je vois que celle que plus se
rapproche à la taille des cratères actuelle est la 120, puis-je décidé que si je dois améliorer la
surface doit certainement utiliser une taille de grains abrasifs inférieure à la taille des cratères
existants; et je constate que l'abrasif pour abaisser immédiatement la taille sera plus efficace que ces
cratères, qui dans mon cas il est le grain 180, bien moins agressif en raison de sa petite taille, il
nécessite plus de travail.
Je demarre le travail de ponçage le 1 er Février, 2009, et je part avec abrasif 180.

Crateri de la 50 et les 100 Micron (la division minimum lisible dans ce microscope est 0,02 mm )
Le lieu de travail est la chaufferie / buanderie de ma maison.
Le banc de travail de longtemps se compose d'un fût métallique vide 200 l (ex huile minérale), J'ai
enlevé au ciseau une couverture, nettoyer l'intérieur, rébattues les rugosité de la coupe, Pour le lester
afin qu'il ne bouge pas pendent le travail, j'ai choisi des régulier brique pleine (11,5x6x25cm peso 3
kg cao) dont une seule couche sur le fond baril, en nécessite de 25 pour un poids de leste égal à mon
poids de corps.
(Voir l'image dans l'article title "Tout ce qui sert au “mirror maker”, alias “Gratteur de verre”)
Àu baril j'ai puis construit un couvercle avec deux plaques de contreplaqué de 15 mm d'épaisseur.
chevauchès et unies avec vis, et placé dans la embouchure du fût baril.
Le disque de dessous du couvercle est en diamètre tel pour entrer à l'intérieur de la bouche du fût.
Le disque externe (la réel surface de travail ) est de plus grand diamètre, pour appuyer sur le
périmètre du fût.
La surface de travail de la table était couverte avec une mince éponge en caoutchouc (de ceux qui
l'on achete "un tot au metre" au supermarché), également, à son tour couvert avec des intersections
de film transparent de 60 cm de haut d'emballage (mais aller bien même les sacs poubelle noirs
coupès et etendus ouverts). Enfin, une bande de caoutchouc avec crochet type ceux pour supports
voitures, garantit le blocage du tout.
Avec le même film en plastique je recouvre aussì la voisine table à repasser, Je me soucie de son
ordinateur portable, etc. jauges.
Pour l'instant, il n'y a pas besoin d'utiliser les trois cales en bois 120 degrés pour empêcher le
mouvement du miroir / ustensile sur la table. Il est beaucoup plus à l'aise, avoir le plan de travail
libre, et donc j'ai utiliser un simple recadrage perforé mince de specifique plastique anti-glissement
de 30x30cm, qui aye beuacoup de "grip" aussì au toucher, (vous achetez dans le supermarché de
bricolage département maison), tenue au centre de la table par quatre morceaux de ruban
d'emballage.
Pris le conteneur abrasif et retirez son capuchon à vis, Je percé (avec la pince perceuse (pour les
trous sur ceintures des pantalons) de ) la capsule interne, avec trois trous voisins, tous tous dans une
rangée du même côté.
Saupoudrer l'abrasive qui a une simple inclinaison du récipient, sort bien seule des trois trous, et je
me rend compte que que les séché fonctionnent bien si je baigne seulement avec 28-30 gouttes
d'eau (plus l'eau transporte hors du miroir l'abrasif sans lui permettre de travailler). Une huile usée
non utilisée se porte bien par compte-gouttes et rend la chute d'eau où il est nécessaire.
Du son qui se fane comme le troisième grain perd de son efficacité, je note que les sechèes durent
environ 2 minutes chacune.
Je faiS des courses avant et arrière d'amplitude de 1/3 diamètre, et de gauche à droite de 1/8
diamètre: Dans la pratique je fais deborder l'objet qu'alternativement je tiens dand mes
mains (miroir ou outil qui ce soit), de 4 cm en avant et 4 dos pour un total de 8 cm (c'est-à-dire
1/3 diamètre); et je m'en tiens avec debordage de 1,5 cm à droite et de 1,5 cm à gauche... mais
tout de suite je me rends compte qu'il est facile d'en faire trop en plus à droite et à gauche, et
c'est dangereux car il conduit à ne générer par inadvertance une figure pas plus sphéroïde,
mai plus evasèe e deformèe plus loin de la forme parabolique, qui c'est chose absolument à
proscrire. Peine un fatigant surplus de travail pour revenir la courbure à la sphere .
À la lumière de tout cela, j'ai décidé que le débordement doi être PENSE' comme zero tout en
travaillant... Et avec cela, je vues que ce debordage il vient automatiquement un peu plus de 1 cm
par côté, qu'il ets bon..
Depuis que l'abauchage me présente une flèche presque définitive, Je décide de proceder tout de
suite à l'alternance des sechèes: une avec miroir dessous, et une avec l'outil dessous.
Impressionner le mouvement, ne pas appliquer aucune pression, mais seulement cela nécessaire
pour déplacer la partie que j'ai dans la main.
Vers la fin de la sechèe je décris un cercle pour redistribuer les residus de l'abrasif.
Pour separer les disques a fin sechèe, je les pousse sans soulever .
Le rythme est d'environ deux aller-retour par seconde.
Gardez vos mains de préférence sur le bord de l'object a pousser (miroir ou outil qui soit) veilland
de ne pas ajouter du poids.
Je tourne au tour de la table lentement avec petits pas dans le sens horaire, et je fais pivoter l'objet
dans mes main dans la direction opposée à mes pas, d'une petite fraction de tour chaque aller-retour.
Inaugurer le journal sur cahier a carrès, dans lequel enregistrer que vous avancez;  J'écris ensuite sur
deux lignes des carrèes les positions « miroir position sous » et « outil sous », dans la ligne des
carrèes à côté d'eux, Je vais énumérer les séché avec des lignes verticales... mais je me rends vite
compte que si je dois m'arrêter du travail, il y à le cas que à la reprise di travail, je ne sais plus
quelle devrait être la prochaine position mroir - outil.
Pour obtenir une indication claire, Je décide de remplacer les tiges vetricales avec X marquès en
deux temps: Je marque le début d'une sechèe (example miroir dessus) avec une seule diagonale de
la lettre X, ecrite dans un carrè du cahier qui correspond à la position actuelle (miroir dessus), apres
je fais même pour la position outil dessus, et je retourne a et completer le X apres la fin de la sechèe
en ajoutand l'autre diagonale di X.. En même temps au completement de la précédente, je mets une
nouvelle barre inclinèe comme depart de la prochaine sechèe, dans la rangée de l'autre position
(consulter la figure du journal).
chaque 10 SECS Je mesure la flèche pour voir si elle se déplace.
Les règles du jeu en utilisant les courses d'amplitude 1/3 diamètre, sont simples et peu:
• Creuser le centre: (jusqu'à 70% diamètre) ne pas touchand le bord, Vous devez mettre
le miroir sur l'outil
• Creuser le bord (du 70% de diamètre en plus) ne pas touchand le centre, vous devez
mettre le miroir sous.
• Afin de maintenir invarièe la flèche, vous devez alterner entre ces deux emplacements

Il convient de noter que les courses 1/3 Diamètre sont inefficaces pour la chance à l'abrasion, qui
détermine la variation de la flèche. C’est donc nécessaire atteindre cette profondeur avec les
abrasives grossiers, autrefois avec ceux plus en plus fins, il peut être impossible d’atteindre la flèche
désirée, et donc faire un télescope avec une longueur focale légèrement supérieur du désirée.
Ma crainte actuelle est que la flèche peut varier en raison de la différence de poids par un tiers, entre
le miroir (29mm d'épaisseur) et l'outil (19 mm d'épaisseur), et puis la différence dans l'efficacité du
travail alternatif.
Penser par pointilleux chargerait l'outil d'un poids égal à la différence de poids... mais j'opte pour «
ne pas envelopper ma tête avant de la rompre »... et je vais avant.. Je vais vérifier sur la bonne voie.
Pour mesurer cette flèche, individue le marquer du centre du miroir, d'un point de feutre indelebile
(fait à travers un trou dans le centre d'un disque de papier de diamètre égal au miroir et est
superposé sur celui-ci).
J'ai mis une regle de profil de 25 mm d'aluminium le long du diamètre du miroir, et en utilisant un
pied à coulisse numérique (précédemment mis a zero apres la mesure d' épaisseur de la règle qui est
de 25 mm), le plaçant sur la règle, au-dessus du centre miroir, pour faire baisser sa coulisse jusqu'à
ce qu'il touche le point.
Dans le travail je note immédiatement en transparence, que pendent une séché, entre le miroir et
l'outil en contact avec la couche humide d'abrasif, Il n'y a pas de bulle d'air. signes que les deux
courbes concaves et convexes sont parfaitement identiques.
Et je vois aussi que la tache opaque del'abrasif humide s'élargit progressivement entre le miroir et
l'outil avec le procéder de la sechèe et la diminution du bruit, tournant avec la rotation manuelle que
je fais pendent chaque sechèe, et cette tache opaque d'abrasif qui est en train de travailler, s'élargit
jusqu'à atteigner le bord de l'objet sur la table de travail, qui de transparent devient opaque. Tout
cela sans presque jamais versé sur le bord.
Ceci est un signal que la quantité d'eau est bonne, et que l'abrasif est en quantité optimale pour
expleter sa fonction.
J'ai trouvé que mettre une quantité excessive d'abrasive diminuait l'efficacité du travail, sans doute à
cause des grains abrasifs qui sont plus facilement en contact avec soi-même, plutôt qu'avec verre à
emporter, détruisand soi même sa capacité abrasive, sans enlever plus de verre qu'elle enleverait une
quantitè moindre.
Notez le bénéfice de ceux qui devaient lire une traduction anglaise de cet article: en Amérique, ce
que j'appelle « passé » est appelé STROKE (=coup) cérébral; Alors que le « Sechèe » s'appelle
WET (= humide)...... une question de tempérament.!),
après 60 séchées sont presque complètement disparu des signes du ébauchage.
La flèche ne bouge pas.
Je desire m'équiper pour mieux voir la tendance pour le moins évasive des cratères. Puis-je mettre
une étagère en verre (5 mm d'épaisseur) se penchant entre deux piles de volumes de l'encyclopédie.
L"épaisseur" ….." culturel donné par le ’ encyclopédie, supportant la tablette de verre et miroir avec
microscope pencha, Permettez-moi de mettre au dessous dans une baladeuse 40 watt, afin de faire
varier l'inclinaison et l'éclairage tandis que j'explore la surface du miroir à 30 grossissements.
En regardant dans cette façon certainement voir mieux que les grands cratères a approximativement
la taille du grain abrasif 180. Connectez-vous sur le bord et sur le dos du miroir de la référence à la
position de deux d'entre eux, de forme bizarre et décider de le faire même une douzaine séché à un
contrôle plus ce qui se passe.
Après le travail, je vois que l'un d'entre eux est partiellement éliminé, mais il est ne un autre c'était
une autre proche. Le reticule du microscope me dit que la taille des cratères est compatible avec
celle des cratères causés par grain 180. Ensuite, j'ai décidé de changer grain, et d'aller à la 320.
total: 70 séchées – Graine 180 - Taille moyenne des grains: 50 Micron – Temps de travail total:
3 heures – abrasif occasion: 71 g.
Au changement d'abrasif il faut supprimer toute choses que vous avez utilisé avec le l'a graine
d'abrasif précédent, pour éviter le danger des éraflures causées par un grain de gros abrasif oublié,
qu'elle se termine inopinément sur le miroir dans la suite du travail.
Remplacer tous les couvertures des tables en pelicule plastique, l'éponge utilisée entre une sechèe e
l'autre, et l' fâché et l'éponge pour nettoyer le miroir et l'outil, la serviette. Lavage et brosse bien
rincer le bassin des éponges. passer l'aspirateur sul le parquet.

Miroir Newton Ø250F5; Journal de réalisation (2)


DEUXIÈME PARTIE, DE QUATRE:
 
Le deux février commence le ponçage à l'abrasif 320
Taille du grain moyen = 30 Micron .
Le livre de référence indiquée dans la première partie au point (2) Realisez votre télescope par
Karine et Jean-Marc Lecleire; sur sa page 152 dit que lau grain 240 (…d' abrasif corindon) servent
3 heures et 15 Les travaux pour eraser les crateres précédents sur un miroir Ø250 mm. Si c'est
comme ça, avec carborundum qui est plus agressif que le corindon, Je me faire en moins de temps:
Nous verrons.
Saupaudrage du abrasifs (que, toutefois, sorts moins facilement par les trois trous du abrasif 180
mais il faut le solliciter en tapant sur le conteneur).

Éclabousser l'abrasif avec le récipient en plastique bouché ((en plus du bouchon à vis externe) ) d'une capsule dans
laquelle j'ai percé des trous,, il est très pratique d'ajuster la quantité. . En effet, il n'est pas nécessaire de mettre trop
d'abrasif car cela ne ferait que pétrir le mouvement, favorisant les piqûres d'outil miroir dangereuses,, et le trop
abrasif finirait par s'effondrer lui-même, au lieu d'attaquer efficacement le verre., au lieu d'attaquer efficacement le
verre..
Je vais arroser avec 28-30 gouttes d'eau .
Le séchés durent env. 3 minutes (une minute de plus du 180).
Comme il l'écrit le livre (2) m'attends donc 65 sechèes (c'est-à-dire 3,5 heures prévues, ou 195
minutes, divisé par la durée de 3 minutes par sechèe).
Les chemins traversent sont toujours en alternance “miroir au dessus - outil au dessus”. L'amplitude
est toujours 1/3 diamètre Up Down, ZERO gauche et à droite (mais en fait, je me déplace par
inadvertance d'environ 1 - puis 1.5 cm par part, C'est exactement ce que recomandent les livres).
 La force pour déplacer l'objet dans la main est un peu plus « grasse » de que ce qui était nécessaire
pour le précédent grain 180, mais l'objet sur la table reste immoble sur le tapis anti-dérapant sans
aucune autre mesure.
 Vue que la règle du travail est que l'on change graine d'abrasifs seulement lorsque sont partis toute
les cratères de dimension comme “ Grit” du ponçage précédent: chaque 20 séchée je contrôle de
surface au microscope .

Cntrol fait avec éclairage arrière et laterale (car certaines cratères son mieux vues sous lumiere
rasante), de la tendance de la disparition des cratères laissé par l'abrasif précédente 180, plus
grossière .
Je contrôle aussì la la flèche... qui est un peu augmentè, s'installand sur 3,16 mm environ: … Et
avec cette valeur disparaît complètement ma peur de l'inégale efficacité de travail, pour la différence
de poids entre outil et miroir... aussì parce qu'avec le continuer du travail , les grains plus fins que
j'irais utiliser produiront des effets exponentiellement moins évidents.
Aussi le chanferein s'est réduit d'un demi-millimètre, et donc restent encore 2 mm de bon.
POUR PURE PRÉVENTION , En dépit de la bonne marge, je l'agrandis un peu avec trois tours de
la pierre côte, soit sur le bord de l'outil comme sur celui du miroir.
 NOTE BIEN: Le biseau est absolument indispensable car elle réduit considérablement le risque
d'écaillage du bord réfléchissant du miroir ou de l'outil.
mais lorsque vous effectuez cette opération de refondation d'un chanfrein consommé, est tres élevé
le risque de stimuler la le détachement d'éclats dans le travail suivant, o di predisporne alcune sotto
forma di peninsules “(dites ècailles Sourdes)” (vis a dir attachée par un petit pied seulement) -,
qu'iront se detacher peut être beaucoup plus tard, presque toujours avec rayure esthétiquement
irrémédiable, mais sera de petite blessure optique cependant présent.
Et’ alors possible et souhaitable d'éviter le problème en faisant un chanfrein important au
début du traitement qui suit le sbozzatura. Trois Ø 300 mm pour un miroir sont une cible
donnée.
Tel un biseau durera probablement jusqu'à la fin du travail (sa durée dépend beaucoup de la taille du
miroir et notre façon de travailler), comme sont les abrasifs grossiers utilisés initialement que le
consomment en plus, tandis que la taille des fins abrasifs utilisés à la fin de la maturation de la
surface, il attaque beaucoup moins, avec tendence vers zéro pour le grain 500 et au-delà.
RÈGLE D'OR: Donc c'est beaucoup mieux se mettre à condition d'éviter de refaire le biseau
lorsque vous êtes deja en usage avec d'abrasifs fins.
D'autres règles que je l'ai vécu et je pense, pour le Remaking de le chanferein avec Pierre cote sont
de:
1) se procurer une pierre a aiguiser pas tellement grossiere (elle "gratte" moins mais produit
potentiellement ecaillse plus petits) et une pierre encore plus fine pour finir le chanferein avec
quelque pass presque horizontale.
2) De préférence commencer à refaire le chanferein avec passèes diagonale de la pierre 45 degrés de
pression modérée, mais en aller simple (car c'est le dans les retour vers le haut qui se détachent plus
facilement pour « souslevement », les éclats sur le bord supérieur du chanferein qui jouxte la pièce
usinée du miroir.
3) Veiller à ce que la pierre côte a une surface plate , car toutes les dépressions consommés
causeraient une répartition déséquilibrée de l'effort, faciliter l'écaillage où la charge est plus
concentrée.
4) Inspecter avec une bonne loupe que le chanferein a peine fait. Si l'on détecte petits halos
translucides, vous serions confrontés à possible péninsules de verre ébréché.  Dans ce cas la
solution qui résout presque toujours, est de se fournir de colle Cyanoacrylate pour verre, (que a
nouveau c'est très liquide, et pénètre bien aisi dans les mince fisures) pour le coller.
FIN des notes sur les chanfreins .
L'affinage de la surface faite de l'abrasif 320 Il est immédiatement évident. Est tout de suite
evidente la formation d'une surface beaucoup plus lisse qui se propage a chaque contrôle, coups de
pied et d'éliminer progressivement les cratères plus encore présents.
Cette différence bien evidente de rugosité entre les zones encore touchées par les cratères du grain
précédent, et les zones déjà raffiné , souslignes la bonté du critère (pas obbligatoire), qui régit le
choix de la progression des grains abrasifs, le centrant sur la réduction de moitié du diamètre moyen
du grain. De cette façon, le contrôle du microscope des progrès de maturation devient beaucoup
plus facile, Il est donc facile de décider et choisir le moment de passer à l'abrasif plus fin prochaine.

 parenthèses plaisantant  Le travail est un peu monotone, et puis écouter de la musique de fond
aide à se détendre... Également pour ne pas avoir dans les oreilles le bruit des abrasifs..... .que dans
les courses avant et arrire avec les abrasifs à grains fins (croyez-vous pas, mais c'est comma ça) ......
fait un son onomatopée qui murmure doucement, et seulement à ceux qui sont de langue italienne
ou espagnole, les deux syllabes...... "Se-sso Se-sso Se-sso" (…… Mais c'est peut-être mon
subconscient chromosome XY à faire des suggestions subliminales ;-).
 après 85 séché reste seulement une partie de dessous partielle du cratère en raison du saut ici et là,
écailles sourdes: Je décide d'aller au grain 500.
 total: 85 séchées – Graine 320 - Taille moyenne des grains: 30 Micron – Temps de travail 3
heures – abrasif occasion: 82g
travail Temps total = 6 heures
 Depuis mon microscope « russe » poche allumée 30 grossissements, a dans sa base d'appuy devant
l'objectif , un reticule d'u millimètre divisé en dix divisions de 100 Micron , Je constate que c'est
encore facile d'estimer la taille des cratères laissés par les graines 320 (Quelles n'en comprends trois
dans chaque division de mon reticule), mais je pense que bientôt ce ne sera pas plus avec des
abrasifs plus fines.

microscope 30 x illuminé, avec ou sans reticules 100 Micron , tourner la base transparente pour la
caméra.
Après avoir trouvé sur le web encore trois fois plus puissant, moins que 20 euro, Je me suis rendu à
l'achat. et’ aussi ceci est éclairé et fournit 100 grossissements, et l'oculaire comporte un treillis à
l'étape 2 centièmes de millimètre, c'est-à-dire 20 microns. Il sera certainement utile pour très bien
inspecter la surface avec polissage abrasif fin.
Note ajoutée en 2016: 2016: j'ai acheté en ligne un second miscroscope identique à celui-ci à partir de 100x;; mais cela m'est arrivè sans réseau interne de 20 microns
par division. . Conseil alors ceux qui voulaient acheter demander au vendeur avant d'acheter, que le modèle soit celui qui contient ce reseau,, ce qui est très utile pour
avoir une idée exacte de la taille des très petits cratères. . Fin de la note..

 
Microscope portable x 100 avec le réticulum 0,02 mm et illumination LED
Nettoyer le lieu de travail avec un autre « désinsectisation » général et le remplacement de toutes les
couvertures en plastique, éponge etc .. comme précédemment, e ...

LE TROIS FÉVRIER DEPART DU POLISAGE AU GRAINS 500


Les chemins traversent sont toujours en alternance “miroir au dessus - outil au dessus”. L'amplitude
est toujours 1/3 diamètre Up Down, ZERO gauche et à droite (mais comme mentionné
précédemment, en fait, par inadvertance, l'on se déplace du sujet d'environt 1 - puis 1.5 cm par part,
quels sont la tolérance souhaitable).
Ce grain abrasif 500 est un peu plus difficile que la précédente à saupoudrer a travers les troi trous
habituels sur la capsule bouchon du conteneur plastique. ... et puis avec patience je tape conrtre le
récipient...mai je crotis que je ferais quelque autre trous supplémentaire au Cap.
L'utilisation "à saudaudrer" dans les contenants plastiques de produits abrasifs est trop commode de
l'abandonner au profit d'autres systèmes.
Tout autre système impliquerait d'utiliser plus d'un objet en contact avec l'abrasif, ce qui augmente
le danger que certains grains de celui-ci reste en attente à tomber sur le miroir poli en le rayand.
La force à utiliser pour déplacer un objet dans sa main est beaucoup plus « gras » que ce qui était
nécessaire pour le grain précédent. Tant et si bien qu'il devient indispensable de mélanger le 25
gouttes d'eau avec l'abrasif dépoussiérés à l'aide d'un doigt, de manière à appliquer uniformément
sur la surface de travail.
Le mélange et le dispersion sur la surface fait retourner le travail normalement fluid .
Si vous ne passez pas sur la surface l'abrasif avec un doigt mouillé, on éprouve une saisie de l'outil
et le miroir du simple contact avec les piles d'abrasif poussiereux pas encore humide, qui empêche
le départ des courses. Évidemment les blocages vanifient les fonctionnalités du tapis anti-dérapant
qui se trouve sur la table, et ce serait la bonne chose à visser sur la table les trois cales classiques à
contenir la piece en verre sur la table. Mais pour l'instant, je pense qu'il est toujours facile de
partager l'abrasif avec mon doigt et ne pas mettre les trois cales.
 Le produit de travail sans histoire.
La flèche est 3.18mm (Il est augmenté de 2 cents mm): Pratiquement, elle ne bouge pas. Et ceci est
également confirmé par la mesure faite avec un sphéromètre qui j'ai construit.
A la sechèe numero 20 , la vue avec le nouveau microscope montre un fond homogène avec des
rares cratères qui sont grands comme une Division et demi du réticule (3 cents mm), qui est un peu
plus que la taille des grains abrasifs 500.
Alors j'ai décidé de faire quelques séchées en plus pour précaution, et ensuite passer ai grain 800.
total: 28 séchées – Graine 500 - Taille moyenne des grains: 20 Micron – Temps de travail total:
1 heure – abrasif occasion: 25g
travail Temps total = 7 heures
Autres nettoyage en profondeur du poste de travail, avec remplacement de toutes couvertures en
plastique, éponge etc .. comme précédemment, e ....

QUATRE LIVRAISON Février AVEC LA RECTIFICATION AU GRAIN 800


Les courses sont toujours alternes: outil dessus - miroir dessus. L'amplitude est 1/3 diamètre Up
Down, ZERO gauche et à droite (mais en fait, je me déplace par inadvertance d'environ 1 - puis 1.5
cm par part, qui sont les tolérances à ne pas depasser pou n'èvaser trop tôt la sphere).
Mêmes difficultés d'épandage d'abrasifs et de la même technique d'élimination de la saisie au début
sechèe. Résolu par revêtement à l'aide d'un doigt. Le travail se déroule sans heurts.
Toutefois, considérant que les efforts et l'engagement phisique augmentent exponentiellement, et
avec eux les difficultés à maintenir la pièce à ce moment se trouvant sur un banc. je installe les trois
cales de centrage du miroi sur le banc de travail, au moyen de trois listes en bois habituelles
vissèe ... selon la méthode classique.
A la sechèe n20 la vue microscopique montre un fond homogène sans cratères évidents, mais avec
certains ecailles sourdes irrécupérable.
Alors j'ai décidé de faire quelques séchées précautionale et ensuite passer a la préparation de l'outil
avec la poix, pour le processus de polissage. Je laisse alors le miroir avec un satin uniforme et
surface d'aspect parfait
total: ici aussi 28 séchées – Graine 800 - Taille moyenne des grains: 13 Micron – Temps de
travail total: 1 heure – abrasif occasion: 29g
travail Temps total = 8 heures
Suit alors un nouveaux emplois de contrôle "antiparasitaire générales" pour le nettoyage du poste de
travail des toutes présences de grains abrasifs, avec remplacement de toutes couvertures en
plastique, éponge etc .. comme précédemment.
Le polissage et la suivante Parabolization du miroir sont effectuées avec un grain abrasif dont la
grosseur est comparable àu micron ou aussi moins. Cet abrasif n'est donc plus simplement interposè
entre l'outil et le miroir , mais a besoin d'un transport vecteur qui est composée de carrés de poix,
qui s'encruste du abrasive et augmente l'efficacité des processus de polissage.
 la poix n'est pas seulement le vecteur idéal pour les fins abrasifs utilisés (qui sont: L'oxyde de
cérium. L'opaline ou cérium oxyde raffiné, L'oxyde de zirconium, ou l'oxyde de fer, ou l'oxalate de
fer).
mère en regardant au grossissement plus elevè les surfaces usinées avec la poix , Vous remarquerez
que les minuscules cratères laissés par le ponçage précédent sur le miroir se presentent pas plus
avec les bords ecaillè et vifs, (comme ceux provenants des microscopiques fractures produisèe
lorsque l'abrasif est libre de rouler et d'écraser), mais ils ont des bords de plus en plus arrondis. Et
beaucoup d'entre eux ont été partiellement ou totalement « verre-rempli » jusq' à disparaître.
Le phénomène qui cause cette énorme avantage pour une qualité de transparence qui ne peut être
obtenu avec le verre et non avec des métaux, est le mouvement du verre rendus fluid au niveau
moléculaire par frottement fluide de la poix, qui tiens bloqué les fins granules abrasifs.
Ce procédé de remplissage générée par friction, Il commence normalement après une activité de
polissage continu 30 ou 40 minutes, et s'accompagne d'une résistance au travail accrue, aux
contemporains formation de mousse dans les sillons de l'outil entre les carreaux de poix , et aussi
par l'émission d'odeur caractéristique“conifère” dégagée par la poix.
 ATTENTION de jamais abandonner pour heures miroir en contact avec , l'outil garni de abrasive
de polisage humide. Parce que pour un probable phénomène électrochimique associé aux contacts
des silicates qui composent le verre, avec les terpènes de la poixet l'oxyde de cérium, lì'on
engendrait des micro-corrosions et micro-rugositès (qui en argot français, il est appelé « micro-
memellonage ») qui, alors qu'il est d'amplitude infinitésimale, Il doit être ensuite éliminé, vaut la
perte de contraste des images qui fournira le miroir.
Donc: À la fin des travaux, vous devriez toujours laver miroir et outil à les garder séparée et
propre .

Miroir Newton Ø250F5; Journal de réalisation (3)


déc 27, 2014Jules TiberiniRapport constructive
TROISIÈME PARTIE, DE QUATRE:

 
5 Fevrier 2009

PRÉPARATION OUTIL DE POLISSAGE:


Retour à la pratique de la fabrication de la garniture de l'outil avec "caramelles" en poix, à coller sur
le même, par simple fusion locale avec une bougie, et le positionnement avec legere pression contre
e verre, Peut être utile de lire mon article avec différentes photos sur cet même blog, avec title :
«Outil avec caramelles en poix»
Préparer l'outil dessinand sur lui même la future position de carrès.
Et pour commencer, j'ai suivi la simple et ingénieuse méthode de, localiser le centre de l'outil de
façon graphique, traçage deux cordes quelconques; puis à l'aide d'une équerreon tire la
perpendiculaire à l'axe de chacune corde (en rouge dans l'image), avec le resultat que le point
d'intersection de ces deux perpendiculaires est le centre du miroir.
La règle d'or pour un polissage optique, est que le centre du miroir doit être couvert par une carrè de
poix, MAIS le centre de ce carrè et celui du mkiropir NEe doit pas coïncider.
C'est parce que tout au long de la fabrication des miroirs, toutes les symétries, le début des
points de travail, les points d'extrémité, etc.. devrait être CASUELLES et varier en continu,
afin d'éviter les erreurs de sommation, et d'éviter ainsi des défauts de zone ou de
l'astigmatisme.
En effet, la réalisation de la meilleure calotte sphéroïdale on l'achieve par l'effect de la loi
statistique, ou appelé la Loi des grands nombres".
Et c'est compréhensible si l'on considère qu'on peut pas obtenir un miroir parmis peu de passèes de
travail, chacune avec grande asportation mécanique. (qui pourrait donc venir de l'usage une
machine-outil). Sur la vitre, vous devez effectuer une série de courses d'abrasion , dont chacun
enlève seulement une quantité infime de matière.
C'est pour ça que ce grand nombre de courses peut très bien rencontrer qu'un seul principe
exécutoire generale de JAMAIS commencer ou terminer ces courses toutes dans un même point
(Comment ferait une machine-outil), parce que pour precises qu'ils peuvent être ces passèe de
travail, ils auraient cependant une minimale tolérance d'erreur, le quel erreur irà s'ajouter toujour
dans le même point du miroir, à-dire dans les points de début ou de fin d'une course. a générer un
défaut optique devenus bien au-dessus de la minimale tolérance "pic/vallée" des erreurs, de 68.75
millionièmes de millimètre, qui représente la qualité à peine acceptable pour un miroir de télescope
optique.
Donc la vérité est que, à la suite de la loi statistique, une erreur accidentellement positive et une
erreur accidentellement negatif vont s'élider.
Fin de la réflexion sur la casualitè qui est à la base de la réalisation manuelle des miroirs,
Reprenons maintenant la fabrication de l'outil:
On va dessiner au cayon sur l'outil en verre, la position du petit carrè qui va contenir à son intérieur
le centre de l'outil, mais en position décentralisé , pour éviter toute symétrie possible.
Dessiner le retucule parallèle de tous les autres carrès 20×20 séparés par des sillons 10 mm, et de
cet dessin resulte que pour garnir mon outil avec carrès en poix de 20x20mm et 10 mm d'épaisseur,
Je n'ai besoin 61.
Pour ne pas mettre en jeu une quantitè de poix inutilement plus élevé que ce qu'il sert (Étant connu
que la poix est célèbre pour s'ècailler à la moindre choc, pour se coller sur tout ce qui a une
température supérieure 30 degrés); calculer le volume des carrès requis, et de l'emballage de poix
acheté, pour voir combien je en dois faire fondre.
Le volume d'une image est 4 C.C. le nombre de places nécessaires pour garnir mon outil est 61,
mais depuis le moule en gomme silicone que j'ai fait, contiendrà 81 J'ai décidé de faire fondre la
quantité pour compléter le moule, soit 81×4= 324 C.C.
La poix acheté (Gugolz nr.55) Il est un cylindre de carton dans lequel le produit a été condensé. Le
cylindre a un diamètre de 95mm x133, et a donc un volume de 943c.c. ... Je devra fusionner environ
un tiers.
Je travaille dans un garage pour ne endommager partout avec les miettes collantes, et liberè la poix
du carton, je la tiens sur un vieux pot pendent je la frappe doucement avec la plume d'un marteau, à
un tiers de sa hauteur, faisand tomber les morceaux dans la casserole, les émiettant plus loin dans le
pot lui-même pour accélérer la fusion suivante.
Scaldo la casserole sur une plaque électrique thermostaté à la température la plus basse possible,
Étant donné que la poix fondu autour de la 50-60 degrés.
Dans cette opération, il est nécessaire de faire attention que les solvants qui s'évaporent de la poix
sont hautement inflammables comme la térébenthine, il est donc plus sûr de le faire fondre en
n'utilisant pas de poêle avec des flammes nues, mais plutôt un chauffage sur plaque electrique.
La fusion complète prend du temps. Par conséquent, la basse température du chauffage
thermostatique, combiné avec l'effritement déjà fait et le continu remuer, aident à faire en sorte que
la poix ne va jamais en ébullition. Peine la perte massive de ses solvants, Cela le rendrait trop dure
et inadéquate pour le travail optique.

DIGRESSION SUR LES QUALITÉS DE LA POIX ET DE L'OUTIL


En fait, le Poix doit avoir une juste « trempe ».
Le terme "trempe" (provenant de fabricants de chocolat noir) on veux dire la dureté de la fonte
refroidie, telle qu' il peut s'afaisser seulement légèrement, en fonction de la température ambiante
dans lequel on travaille, de manière à garantir avec ce minimale afaissement, le réglage en continu
de la surface de l'outil sur celle du miroir.
Mais la poix ne devrait pas être trop mou, sinon les sillons sul l'outil vont se remplir en trop peu de
temps de travail, et nous les devrions re-générer avec perte continue de la couverture de l'outil, qui
ne pourrà pas durer jusqu'à la fin du traitement miroir, mais ils devrà être refaits, de perdre du temps
inutilement. Les rainures entre les carrés de terrain doit toujours rester ouvert et libre pour recueillir
le volume de dissolution lumière qui se produit sur la surface de travail.
Si un sillon va se remplir, el l'on oubilie a le re ouvrir, vous aurez des importants erreurs zonales de
surface .
L'avantage de l'achat d'une poix noire, au lieu d'utiliser la poix grec (également appelé Rosin) est
que la poix est vendue en différentes qualités, chacune avec une certaine gamme garantie de
température de ramollissement .
tandis que l'utilisation de la Colophane, en mélangeant bien 100 degrés, s'afaisserait peu ou rien, et
pour ça inadéquatement, avec la baisse temperature donnè par la friction du travail manuel, et pour
ça elle doit être mélangés expérimentalement par la cire d'abeille, et/ou la térébenthine, et/ou l'huile
de lin, pour abaisser cette température à des valeurs accessible dans le frottement, compte tenus
aussi de notre temperature d'environnement au cours du travail.
Cette recherche expérimentale de la juste trempe est compliquée par le fait que le colophane est un
produit naturel “brut”, et comme tel il fonte à des températures et densité variable, et puis, à partir
de la matière première naturelle, et donc avec caractéristiques incertain, vont se compliquer tout
tests expérimentaux, et avec ça, augmenter considérablement la durée du temps d'experimentation
et les risques d'erreur zonales sur le miroir.
Dans mon cas, Malgré avoir eu un hommage avec abrasifs et du verre blank, une quantité abondante
de colophane, J'ai préféré acheter la poix noir Suisse Gugolz , en gradation #55 Cela correspond à
l'adoucissement à 50° c, convenant au travail avec une température ambiante de 18 à 20°, parfaite
pour la chambre ou je travaille pendent l'hiver, sans avoir à faire aucune expériences de mélange.
Fin digression sur les qualités de la poix.

RETOUR À LA COUVERTURE DE L'OUTIL:


Une fois fondu, la poix est coulèee dans mon moule de silicone à bien tremplir tout ses alvéoles : Et
les carrès sont prêtes.
Et la 6 février 2009
Je prends une bougie, et j'expose un côté 20×20 de chaque carré,  pendant quelques instants devant
sa flamme (mais pas en contact) pour rammollirlo. Chaque image est ensuite fait adhérer avec une
légère pression, dans un des carrès dessiné sur l'outils.

En agrandissant l'image avec un "clic", l'outil terminè montre la surface les carrès de poix avec
imprimès les grain de bois servi à faire le moule en siliconec avec lequel ils ont été produits.

DOUTES DU NÉOPHYTE SUR LA COMBINAISON TEMPÉRATURE AMBIANTE /


POIX, ADAPTE POUR LE TRAVAIL
Après sis ans, aujourd'hui, en 2015, Je peux dire que le doute d'alors ne serait pas surgi, grâce à
des tableaux tels que l'image suivante,
qui fournissent (bien qu'à l'origine seulement en degrés Fahrenheit)  la température de
fonctionnement appropriée pour un certain type de poix.
Mais au moment de mon travail, j'écrvais dans mon journal de réalisation comme suit:
Nous sommes en Février et dans la salle de lavage où je travaille la température est 18 degrés. peu
de. la question est: Seraient suffisants pour adoucir avec mon travail de frottement, la poix Gugolz #
55 qui de catalogue adoucit d'environ 50°? Et sur ce sujet, nous avons lu beaucoup de nouvelles sur
le WEB qui souvent, toutefois, vont perdre de vue le côté pratique, de se perdre dans la philosophie.
Je pense donc que je dois accepter le terrain que j'ai choisi et cha a le moindre degré
d'assouplissement du commerce, et avec confiance, tenir d'oeil critiquement l'avancement des
travaux.
Le fait demeure que je suis un technicien et non un philosophe, et donc s'il y a des choses
techniques à comprendre, Ils sont bon pour moi….
Il est écrit que les essais de dureté sont fait avec l'ongle du pouce:…… Methode pour moi trop
empiriqu.
Il est écrit que vous faites avec un bille poussé contre la poix avec un poids... de façon simile à
l'essai de dureté Brinnell... Nous voyons:
le texte (2) pag.106, dit que l'empreinte laissée par une bille d'acier 8 mm de diamètre à une
température de 22° C, pressée contre la poix par un poids de 200 g pour un temps de 30 seconds,
laisserait une empreinte entre 1 e 2 mm profondeur; Si l'impression est plus profonde la poix serait
trop mou, A l'inverse, si moins profonde, trop dur ...
Je vais faire le même test avec une bille Ø7,87 mm, le même poids de 200 g à 17 ° température à
laquelle je suis. Le premier problème que nous rencontrons est l'incapacité de mesurer la profondeur
de la dépression créée par la petite balle.
Et je me demande aussi comment ils ont fait a mesurer la profondeur d'une calotte profonde (par 1 a
2 mm environ) vue que l'erreur introduit de la dimension de la coulissa d'un pied a coulisse
électronique, sont comparables à ceux de la dépression a mesurer.
J'essaie de revenir au fond de la dépression à gauche par ma balle, à partir du diamètre de la bande
de roulement, avec l'aide de la géométrie (et rappelant le test Brinell): profondeur H = rayon de la
bille –  racine carrée de (rayon au carré, moin, rayon de l'empreinte au carré):
Ma bille Ø 7,87, a laissé une empreinte 2,33 mm de diamètre, et l'empreinte a une profondeur
(calculé avec la formule ci-dessus) de 0.17 mm .....
C'est à 10 a 20 fois inférieure à la profondeur décrite dans le livre (même si elle obtient à une
température 5 degrés plus): Donc ma poix semble dure!
Inversement si je reviens, avec calcul inverse, le diamètre de l'empreinte décrite dans le livre en
partand de sa profondeur dénoncé, Je trouve que le diamètre du cratère laissé aurait été de 5,5 mm:
C'est a dir que la bille de 8 mm serait plongée presque à son diamètre.
Et donc je ne peux que conclure que je ne suis pas convaincu par la significativitè de cet essai, que
Je ne peux pas repeter à 22 degrés, et donc je suspends la recherche du vrai, et je vais a l'avant avec
ma poix telle qu'elle est.
NOTE: A distance d'années, aujourd'hui, pour ceux qui souhaitent explorer l'utilisation de la poix
grec beaucoup plus facilement trouvable en vente, (également connu sous le nom de rosin ou
colophane) qui, cependant, ne peut pas être utilisé "comme telle", mais doit être travaillé pour
obtenir le baissement a la juste temperature d'afaissement “nommèe "trempe"” car sa température
de afaissement est trop élevé, Sont reperables plus d'informations. ici dans cet même blog, ou vous
pouvez lire l'intéressant article sur ce sujet titulè“Essai de dureté de las poix” e “Fusion et coulée
de terrain“.

PRESSAGE OUTIL POUR LA FORME INITIALE


Placez l'outil sur la table avec la poix vers le haut; la couvrir d'une pellicule de polyéthylène
transparent de cuisine, et y mettre en contact le miroir et le leter avec un poids de 13 kg.
 
 
 
 
 
 
 
Depuis la première compression devrait durer au moins 30 minutes, à l'échéance, j'enlève lest et
miroir, et je vois qu'il existe encore nombreuse carrès de poix pas en contact (Remarque : L'on note
lorsqu'ils sonts en contact, que leur couleur bien noir prévaut sur le gris du polyéthylène translucide,
. Gris qui découvre au contraire l'absence de contact); Vue ça, Je pense que ma poix soit dure, et je
remet miroir et lest, en ajoutand une “boule” d'eau tiêde à 40°... Cette fois la compression mêne à
un adoucissement qui serait excessif pour plus longtemps, mais maintenant avec des carrés
parfaitement en contact, Vue les sillons reduit a 6 mm de largeur, des 10 Originaux.
Le chagrin d'avoir (peut être) exagérée, m'encourages au pensée, que des deux extrêmes rencontres ,
la presente "voie du milieu" serait presque sûrement celle juste,.. Et donc j'applique cette "voie du
milieu" re faisand la compression a 17° mais sans la «boule» de l'eau tiede, et pour un temps le 50%
plus grande, c'est à dire 45'.
Après les 45 minutes j'ai trouver que les carrés sont tous parfaitement en contact. Mais j'ai décider
que pour aujourd'hui ça suffit; et les surprises et les decision à prendre font assez, . et donc de
continuer, on ne reparlerà demain..

L'outil avec la poix adapté au miroir dans les zones où la couleur est plus noire; tandis que pas
encore ou il y a des petites boulles grises. mais il est tres bien comme ça .
Temps de travail = 6 heures
travail Temps total = 14 heures

Miroir Newton Ø250F5; Journal de réalisation (4)


déc 28, 2014Jules TiberiniRapport constructiveauto-construction, Foucault, miroir parabolique

QUATRIÈME ET DERNIER PARTIE:


NOTE: En cliquant sur les images, l'on obtiendra le grossissement, souvent utile d'apprécier les
détails qui sont dans la pratique l'objet de ce travail.

(Toutes les images peuvent être agrandies avec un clic)


 

Et la 7 mars 2009 COMMENCER LE POLISSAGE


Reprennant le "gratuit" travail amateur abandonné le 4 Février pour le travail « non rémunéré ».
Je reprends en main donc le miroir dont belle la surface "satin" est le resultat du travail de l'abrasif
graine 800
Je vais essayer d'utiliser pour premier l'énergique abrasif oxyde de zirconium , avec dilution d'une
cuillère à soupe avec deux cuillères à soupe d'eau dans un pot, pour le peindre sur l'objet (miroir ou
util) qui va se trouver à son tour sur la table, à partir de l'outil au-dessous et miroir dessus .
Première chose, dans le processus de polissage avec poix (comme aussì en phase de
parabolization) est toujours et indispensable de presser a la main, pour quelques minutes
l'outil en poix bien garni d'abrasif cremeux, en contact sur le miroir , en le tournant et
l'appuyant avec pression dessus pour quelques fois.
C'est essentiel, car les tolérances d'usinage vont se reduire pendent la fin du travail a veleurs
moindre de 68.75 millionièmes de millimètre, et donc l'adaptation parfaite de la forme de l'outil
deformable en poix, à la perfecte forme de celle du miroir, est cruciale afin d'améliorer un travail
difficile, que, a defaut d'une attention méticuleuse, Il est au contraire, facile aggraver.
Une autre remarque importante à garder pour pas sortir des tolérances d'usinage, espèces en
parabolization, est essayer de ne pas charger l'objet en mouvement, (miroir ou un outil que vous
avez en main) , avec le poids des mains,  Mais plutôt faites-le entraînéer le plus possible, en avant et
en arrière en le tirant ou poussant par son bord.
Avec des miroirs minces, la chose est pas facile, mais possible .
Après le travail d'une heure avec l'habituelle course de debordage 1/3 diamètre (1/6 en avant + 1/6
et en arriere), le miroir presente deja bien polie une couronne circulaire de 3 cm, Alors que le centre
et la périphérie sont encore satinèe (Voir photo).
Au bout d'une heure de travail, le vitrage de l'abrasif 800, cède la place à la première réflexion de la
plafoniere, avec 2 tubes néon, sur la couronne circulaire 70% diamètre. (cliquez pour agrandir)
Je change position en mettand le miroir au dessous et travailland pendant deux temps de 45 minutes
chacun. le passé 90 minutes, à nouveau contrôland le miroir l'on voit qu'il est complètement
transparent et brillant (Voir photo).

..Après un 90′ de polissage, la réflexion du miroir montre les details de la plafoniere au neon de la
chambre
BREF PARENTHESE SUL LE GRE DU POLISSAGE REQUIS POUR UN OBJECTIF
OPTIQUE.
Le degré de poli apparemment bon qui est visible sur cette photo est cependant minimale et il est
insuffisant par rapport à ce qui doit attaindre pour réaliser la fonction optique du télescope.
En effet, , le télescope est capable de former dans son point focale, une tres petite image d'un objet
qui se trouve à l'infini.
par exemple, la planète Saturne, dont le disque seul sans anneaux soustend un angle de 20 secondes
d'arc, quand on voit avec un télescope qui utilisera ce 1268mm miroir focal, donnera une image au
point focal de:
longueur focale miroir en mm * (arc sous-tendu par Saturne en secondes d'arc / 206265 arcseconds
par radian) = 1268*(20/206265) = 0.12 mm diametro
Una image si petite doit être élargie beaucoup avec un oculaire, pour pouvoir la observer dans ses
détails.
Mais l'oculaire pour grandement agrandir l'image, agrandirà aussi fortement les défauts de surface
du miroir.
PARENTHÈSE FERMÉE

RETOUR AU TRAVAIL:
J'Essay sa longueur focale approximative, l'application variante avec la source d'éclairage solaire,
au lieu d'une torche a batterie (Voir film de ce même méthode ) Il mesure 1243mm équivalent à
rapport focal F/4.972. Je vais donc re-ouvre les sillons de l'outils, avec fer a souder pistolet,
recueilland les gouttes de poix fusionnèe sur une feuille de téflon pour la récupérer.
Compte tenu du gre de polissage obtenus, Je décide de faire le premier test de Foucault sans masque
de Couder, seul pour mesurer plus précisément la reelle distance focale, et j'ai trouver un rayon de
courbure de 2520mm, qui va correspondre à une longueur focale de 1260 de F/ 5.04
…..Exclamation positive, car la focale desirèe etait F5!
La tendence de la surface du miroir par rapport à la courbe parabolique de référence calculée
sur la focale juste mesurée , se presente avec le centre et le bord du miroir relevès par rapport
à une tres bonne zone qui se trouve au 70% diamètre du miroir, Ça c'est la forme desirable et
"canonique" d'un sphéroïde qui devrà devenir une bonne parabole.
Mais il y a aussi un peu de Halo claire , C'est de la infâme rugosité infiniment petite , visible à
l'épreuve en tant que Foucault “opacité” centrale a peine plus clair du fond du miroir (phénomène
français appelé « mammellonage »).  Ce qui signifie que la température de 17° de la chambre ou
je travaille, est trop faible , ou bien que la couche de poix est trop dur pour cette température
de travail.
Bien sûr, je décide que c'est plus convenable de chauffer la chambre à 20°avec une poêle
électrique ,  plutôt que de refaire l'outil avec autre poix plus souple.
Pour l'instant, je ferme les travaux.
Le temps passé dans le polissage 2 heures 30 ' (2.5 heures décimales) t ° à 17 ° C.
travail Temps total = 16,5 heures décimales
Et la 9 mars 2009
Le chauffage électrique avec ventilation porte bientôt la chambre à t ° 20 ° et je reprand le travail
pour lutter contre les fantômes de rugosité Centrale, Je commence à voir ce qui se passera après le
travail d'une heure avec miroir dessus...... Rappelant que la règle universelle du « gratteverre »:
• Qu’avec le miroir en DESSUS, Il creuse le centre-ville (jusqu'à 70% diamètre) ne pas
touchand le bord;
• Tandis qu'avec le miroir en DESSOUS, Il fouille le bord (du 70% de diamètre en plus)
ne pas touchand le centre.
Comme abrasif cette fois je vais utiliser l'Opaline (Oxyde de cérium refinè).
 Depuis que j'ai d'autres engagements imminents, mais je veux continuer ce travail, Je décide de
raccourcir le temps en faisand le pressage d'adaptation de l'outil sur le miroir, non plus à la
température ambiante mais, « en bain-Marie », C'est a dir avec immersion dans una bassin d'eau
tiede à 35° c, Je vais vérifier ce qui se passe au bout de quelques minutes.
 L'oxyde de cérium, l'oxyde de zirconium contraire, devient effervescent après environt 30 minutes
de travail, mais l'adhérence est à déchirer (c'est a dir..trop d'adherence, et en coup.. plus rien), Il
rend le travail beaucoup fatigant. Qui me fait penser qu'à ce stade du processus est mieux diluer
l'abrasif avec un peu plus d'eau, par exemple en passant de l'actuel rapport Cerium / eau = 1 a 2; à
un rapport de cérium / eau = 1 a 3.
La désirable mousse produite par l'oxyde de cérium, qui, entre les carrès de poix del'outil, va bien
favoriser la circulation d'abrasif
Après une heure de travail avec les courses habituelles 1/3 diamètre, Testez bien sur la surface
brillante, che au microscope 100x montre une dispersion residuelle d'environt 2 tres petits cratères
pour chaque division de 20 micron du reticul du microscope.
Je quitte le travail après 1 heure
Temps total polissage = 3.5 heures décimales
travail Temps total = 17.5 minerai « »
NOTE CURIOUSE SUR “LES SIFFLES” DE L’OUTIL ENTRAÎNANT IRIDESCENCE SUR LA
VITRE.
La rubrique “"Sifflets et iridescence" ” est très intéressant,, et s'inscrit a plein title dans le stade
avancé de polissage..
Dans le traitement de mon 250F5 Pyrex il s'à presentè ( aussi a moi) de produire un leger “arc-en-
ciel” sur la surface du miroir. Et ça était arrivé à la suite de mon desir d'essayer de "tirer" long
temps la durée des sèchèes à l'oxyde de cérium, jus'qu a faire siffler l’outil.
en fait l'on lit aussi dans le livre Texereau “LA CONSTRUCTION DU TÉLESCOPE D'
AMATEUR”, au paragraphe 25 “Conduite du polissage” (dans mon édition à la page 47), que le
coup de sifflet aigu qui arrive pour mettre en garde de la littéral séchage de l'eau d'une sechèe de
travail (Lorsque le processus de polissage est bien avancée outre la demie heure de travail), est un
bon signe qui indique l'efficacité maximale dans l'abrasion ... ..Mais je réalisais que n'est pas une
attitude à prendre à long, et je suis convaincu que ce sifflement à une certaine fréquence (de
comprendre supposer 2 mille hertz) , est l'expression d'un « stop and aller » en raison de (par
exemple 2000 fois par seconde) à autant de grippages de l'élasticité de la poix sèche, suivì
immediatement des nouveaux déclenchement.
Il s'agit d'un phénomène oscillatoire qui se nourrit de lui-même et commence automatiquement
après le premier stop & aller, se répétant identique, aussi longtemps que vous gardez la même
vitesse de mouvement.
Et je crois que l'apparition de ce petit arc réalisé plus tard sur la surface du miroir, était
“l'enregistrement-gravure” sur le verre de ce phénomène du sifflement , que le sechage de l'eau , Je
suppose va créer une série de micro-rugosité gravé dans le verre sur la même fréquence
acoustique.
Rugosité produite en raynures constantes ordonnées par le mouvement rectiligne, qui est en
pratique un reticule imprimès dans le verre du miroir.
Cet reticule va creer l'effet de la décomposition de la lumière aux couleurs de l'IRIS (comment on
voit sur la surface d'un CD-ROM, ou un retucule de 600 lignes / mm pour un spectromètre),
agissant avec la lumière d'une manière équivalente à un prisme.
J'ai réalisé qu'il n'est pas mauvais faire siffler l'outil comme il dit le Texereau, pour favorizer la
disparition de nombreux cratères à la suite de la célèbre spéculé “de transport de verre en fusion”
au niveau moléculaire, qui à ce moment devient maximale. mais après les siffles, Notant possible
lire des legeres iridescences, il faut certains temps de passèes tranquille pour effacer ces micro-
rigositèe evenctuelement engendrèes sur la surface du mioroir.
Bien sûr, ce sont mes déductions accumulées avec les « l'esprit sur mes mains», travailland mon
miroir, mais avec le rappel du temps lorsque dans mon atelier l'outil d'un tour allait siffler aigu, et
le travail mecanique faites dans cette façon ne reussirait pas lisse, mais parce qu'il est
perceptiblement dentelé - vibrèe.
Et la 10 mars 2009
Je rechauffe la chambre a 20° avec pohele electrique , Nettoyer les canaux d'outils avec blitz
soudeur, et j'ai réappuyer le pressage en plongée à environ 35-40° c.
Je reviens à l'oxyde de zirconium qui maintenant je dilute en rapport 1 a 3 avec une cuillère d'oxyde
pour trois cuillères à soupe d'eau.
Je trouve une meilleure adhérence et résistance au roulement qui me font travailler avec moins
d'effort. alternant travail séchée avec du miroir au-dessus et au-dessous. suivant, avec le microscope
et l'éclairage de l'arrière du miroir , Je vois très peu de cratères gris, et presque uniquement sur le
centre du miroir.
Contrôle alors la rugosité de la surface entière avec le Foucault sans masque Couder, et je trouve les
taches sans miroir, signe que la rugosité de surface infinitésimale a été annulée.
Vérification de la différence entre le tirage du centre et celui du bord du miroir, et avec Foucault je
vais lire:
bord 62.53 mm
Centre 61,27 mm
Contrairement à 1,26mm résultat qui me porte à croire que:
1. Compte tenus que, pour un miroir 250F5 la différence des tirages a parabolization complete
serait de 5.16 mm environ
2. et ATTENDU que si la surface eusse une surface de parfait sphère, la différence d'étirage
entre le centre et le bord devrait être nul,
Après avoir mesuré la différence 1,26 mm environ, Je me trouve avoir créé une courbe qui est déjà
un peu évasée vers la parabole.
mais Je suis cependant beaucoup plus proche de zéro que à 5.16, C'est à dir que je suis plus a
proximité de la sphere, plutôt qu'à la parabole.
Donc il s'agit d'un tres bon signe, que dans le travail j'ai bien contenu les debordages « gauche -
droite », évitant avec ça d'evaser trop ma courbe.
Il aurait en effet été bien pire si mon projet de carte du miroir central, etait plus de 5,16 mm,
démontrant avec cela ont d'avoir déjà dépassé la courbure de la parabole, qu'il deviendrait donc déjà
une hyperbole inutilisable dans un télescope de Newton.
Une telle erreur m'aurait obligé “à un game over".” , qui est l'impossibilitè de travailler pour
dépassement de toutes tolérances.
Dans ce cas, la seule chose possible avant de recommencer un nouveau parabolization, serait de
retourner en direction de la sphere avec quelques heures de travail en appliquant des courses en 1/3
diamètre, mais en prenant bien soin du travail, de ne pas dépasser le centimètre de debordage droite-
gauche .
(Voir à ce sujet la famille des coniques progressives, vous pouvez rencontrer pendent le "grattage
du verre"., Selon les valeurs de déformation donnès par le coefficient b +1 et moins -1, souvent
introduit dans les formules).

Temps de travail 1 heure: Content du travail, Je lave toute choses, J'essuye le miroir, et
remand la reprise des travaux à demain.
Temps total polissage = 04:30 ′ (4,5 heures décimales)
Temps total de travail = 18:30′  (18.5 heures décimales)
C'est le 11 Mars 2009
Chauffage du local à 20°C – pressage outil-miroir dans un Bain-Marie à environ 40°C – Dilution
oxyde de zirconium/eau de = 1/3
en fin je vue au microscope 100 x sur Centre miroir, environ 1 parsèment point de cratère chaque
plusieurs divisions de mon réticule de deux centièmes de mm carré , tandis que vers le bord du
miroir ils sonts beaucoup plus rares.
Basé sur ce qu'il dit le livre de Le Cleire (2) « Votre télescope Réalisez » à la page 152, pour un
250mm miroir servant au sujet 6 Polissage heures de travail, et ayand moi en-menée 5.75 (c'est a dir
5h e 45’), da neophite je retiens que je me comportais bien, et également d'être près de rejoindre
destination pour le début de la phase de parabolization.
Temps de travail 1h e 15’ (= 1,25h decimales):
Content du travail, Je lave toute choses et reprendrais demain.
Temps total polissage = 5.75 heures décimales
travail Temps total = 19.75 minerai « «
Et la 12 mars 2009
Chauffage local à 20 ° C - Réouverture de certaines rainures sur l'outil car avec de gorges étroites -
miroir Position au-dessous – Pressage a bain Marie env.40°C pour 1 minutes, lestée avec 5kg +
quelques autres compressions manuelles, a sec, outil-mirroir, avec deux mains pour environ 20”
chacune, tournand a chacune l'outil pour una fractione de tour sur le miroir - Dilution oxide de
zirconium/eau = 1/3
Compte tenus que avec oxyde de zirconium je continue à pas voir la production la mousse (efficace
pour la bonne distribution de l'abrasive), qui bien au contraire produit l'oxyde de cérium. Au cours
du dernier quart d'heure, j'ai essayé d'étirer l'abrasif avec un peu d'eau et une ou deux gouttes de
détergent pour la vaisselle
Excellent résultat qui produit la mousse, désirée pour faire bien circuler de façon continue l'abrasif
sur la poix, avec le surprenant résultat que les sechèes vont persister beaucoup en plus de temps 5
fois plus.
L'examen du tirage général avec Foucault, j'ai trouver que la valeur précédente du -1.26 mm, est
montè à -1.86
Temps de travail 1h e 15’ (= 1,25h decimales):
Temps total polissage = 7 heures
travail Temps total = 21 heures
Et la 13 mars 2009
JE DÉCIDE DE DÉMARRER PARABOLISATION
puis-je mesurer le diamètre du miroir utile, que le biseau est actuellement devenu l'érosion 252mm
environ.
Je prépare une masque à couder 6 ses zones, chacune avec le suivant rayon exterieur:
Zona1 = 51mm; zone 2 = 72mm; zone 3 = 89mm; zona 4 = 102mm;  zone 5 = 116mm; zone 6 =
126mm
Début de la première épreuve de Foucault avec "teinte plate" de la zone 1, qui resulte avoir un
rayon de courbure de 2535 mm = 1267mm focale F = Ratio 5.07
Je vais a transcrire le diamètre utile du miroir dans le feuille de calcul du test Foucault; les
données du masque Couder, et mesurée focale exacte.
J'execute donc la première série de deux mesures par zone (une à l'allèe de la zone 1 jusq'a la 6; et
l'autre en retour de la 6 à la 1), qu'avec médiation fournissent les suivants premiers tirages à inserer
dans ma feuille de calcul:
zone 1 = 56.75 ; = z2 57.05; = z3 57.72; z4 = 58.19; Z5 = 58.61; Z6 = 58.41
Ces valeurs incluses dans ma feuille de calcul au test de Foucault, montrent-moi le graphe d'une
surface équilibrée (autrement dite, avec environ les mêmes valeurs d'aberration au centre et au bord)
avec la forme classique de début; trop élevé au centre (zone 1) de 303 nanomètres; bon dans la zone
4, et trop élevé au niveau du bord (zone 6) de 311 nanomètres.
La séquence des lectures des tirages détectée dans tous 17 Test de Foucault relatives aux 16
retouches de corrections qui m'ont amené à terminer la realization du miroir, On la trouvera
dans le tableau suivant, Qu'il peut être utile à tout lecteur intéressés, Vous pouvez les insérer
dans un quelconque logiciel de gestion du test de Foucault (par exemple, le bien connu «
FigureXP ») pour voir matériellement l'évolution de la forme de la surface, depuis le rapport
initial, à la fin, avec une erreur pic/vallée du miroir mieux que Lambda/10 de la longueur
d'onde 550 nanomètres, en respectand aussi le critère de Couder, qu'impose à faire converger
tous les rayons réflectès dans le feu (qu'il est à la distance de 1267mm du miroir), ce qui les
rend convergentes dans la tache de diffraction du telescope, q'il a diamètre 6.8 Micron .
Cette politique fait en sorte que la TACHE de diffraction qui sera vue en faisad un test d’étoile avec
le télescope, a le “forme canonique” qui concentre en son point central le 84 % lumière, alors que
dans le premier anneau, n'en concentre uniquement que le 7 %. et dans le second la 3%, et ce q'il
reste 6% dans les anneaux plus extérieurs. Ce qui signifie obtenir le contraste maximum du miroir.
En effet, , si ce critère n'a pas été atteint, à savoir si certaines régions se rendit à réfléchir hors de la
tache de diffraction, ne participent pas plus à cette façon de sa formation, Il en résulterait un
transfert d'une certaine quantité de lumière à partir du point central vers le premier anneau de
diffraction externe. Ce transfert produit l'effet de l'agrandissement du diamètre de la tache centrale
pour former un “tache” plus large comprenant le premier anneau de diffraction, et donc moins
lumineux, Perdre le contraste et le pouvoir de résolution de la vision à travers le télescope.
NOTE: Les références aux types de courses sont entrées (comme aII va a2; AIII va, etc. a3) dans le
tableau suivant, à appliquer correction de la surface parabolique dues aux différents types de
défauts rencontrés dans les différentes zones du miroir, se référent à la nomenclature reportèe dans
le tableau/image publiée sur la page 81 du livre de Jean Texereau intitulé “La construction du
télescope d'amateur”, pour la commodité de la compréhension, postèe aussi la fin de cet article.

Lambda /
Premiere verification 56.75 57.05 57.72 58.19 58.61 58.41
0,9
0 – Début de mesure du Lambda /
69.58 70.01 70.29 70.88 71.40 71.17
13/3/2009 0,9
1° retouche: Baisser le centre: Lambda /
69.22 69.64 70.25 70.76 71.37 70.96
7′ ran de type W aII 0,9
2° Retouche: Baisser encore le Lambda /
67.11 67.79 68.26 69.17 69.77 69.54
centre : 15′ ran de type W aII 1,2
3° Retouche: Baisser encore le Lambda /
61.77 62.99 64.03 65.06 65.63 65.57
centre :15′ ran de type W aII 1,9
4°Retouche = 2 tours de table
sur zone 6 pour baissser le Lambda /
63.11 64.10 64.86 65.99 67.03 67.00
bord ave courses en W type 2,6
aIII
5° = 3 tours de table rebaisser
zone 6 (Corse W AIII)+1 tour Lambda /
62.06 62.92 64.15 64.44 65.06 65.97
de table avec courses en W 1,6
type cII
6° Retouche= 2 tours de table Lambda /
61.55 62.99 64.33 64.82 65.75 66.47
– Baisser zone 6 3.6
7°Retouche = 1 tour de table –
Lambda /
Course en W de type c – avec 63.31 64.18 65.46 65.99 66.71 68.20
3.1
miroir dessus
8°Retouche = 2 tours table sur
Z6 et miroir sous 1tour – Lambda /
61.81 63.35 64.09 64.95 65.87 67.36
Course en W de type c, et 5.7
miroir dessus.
9°Retouche = 2 tours de table
sur zone 6 miroir sous 1 tour Lambda /
61.13 62.35 63.37 64.04 64.78 66.63
courses en W type c, et miroir 3,5
dessus
10°Retouche = Retourn vers
la sphere avec courses 1/3D ,
Lambda / 4 61.41 62.81 63.70 64.40 65.22 66.88
centrate:1 tour - miroir dessus
2 tours miroir dessous
11° Retouche = return vers la
sphere avec courses 1/3D, Lambda /
59.62 60.93 62.02 62.51 63.57 65.00
centrate: 2 tours Miroir dessus 4.4
+ 2 tours miroir dessous
12° Retouche = return vers la
sphere avec courses 1/3D, Lambda /
61.31 62.40 63.42 63.66 65.20 66.84
centrate: 2 tours Miroir dessus 3.1
+ 2 tours miroir dessous
13° = Attaque du bord
rabattus en Z6 et creuser Z4 et Lambda /
60.96 62.38 63.28 64.19 64.75 66.65
Z 5; 7′ miroir sous + 2 tours 4,2
en W courses type IIA
14° retouche: Baisser zone 5;
Miroir sous,courses centrée et Lambda /
62.45 63.89 65.01 65.85 66.87 68.44
debordage avant-arrière 1,5 7,9
cm;
15Retouche ° Z5 = 4′ miroir
sous – Course centrée et Lambda /
63.55 64.48 65.69 66.46 67.45 68.90
avant-arrière avec debordage 6.5
maxi 1, 5 cm;
16° retouche: Légère reprise
du bord rabattus avec Lambda /
58.94 59.88 60.60 61.84 62.80 64.03
surperession du Centre jusqu' 5.7
àZ5
17° retouche: Baisser le
centreet un peu le bord avec Lambda /
58.50 59.84 60.61 61.84 62.80 63.80
surpression, sans toucher les 11.9
zones 4 e 5
Les données contenues dans ce tableau sont les mêmes que ceux qui apparaissent à la table grise en
bas sur l'image suivante couvrant l'ensemble de la feuille de calcul à l'épreuve Foucault, dont on
voit quelques grossissements dans les figures suivantes.

L'image suivante est un agrandissement partiel de la précédente, et montre les graphiques du miroir
test final.
Le fond orange dans le diagramme représente l'amplitude % de la tache de diffraction du miroir,
montrant en lui la distribution des points réflexes de toutes 6 zones du miroir. Qui consiste à
satisfaire le critère Couder ;
Alors que le graphique sur un fond jaune indique la tendance des tolérances des zones du miroir
(points de la ligne brisée vert) à l'interieur des tolérances, plus souple dans le centre du miroir (le
côté gauche du graphe), et plus restreintes au bord (côté droit du graphique).
La bonne chose est que tout 6 points de la brisèee verte qui représente les zones du miroir mesurées,
tombent dans les tolérances de fabrication.
grossissement 1
Enfin le suivant élargissement montre dans le graphique a fond vert l'allure pic/vallée de la figure
demi-miroir (Le centre est à gauche et le bord droit est). L'erreur pic / vallée est représentée par la
distance entre les deux copies de la parabole de référence (ligne supérieur rouge et inférieur vert)
qui est donnè d’être 46.9 nanomètres, ou de lambda/11,9 par rapport à la longueur d’onde de 560
nm de la Lumière jaune-vert dont l’oeil humain est plus sensible.
En d'autres termes, la parabole créée diffère de la parfaite parabole de reference d’une valeur
presque 47 millionièmes de millimètre.
qui, pour un test effectué par un amateur comme moi, Je ne pense pas qu'il doit être pris comme
valeur certaine ou absolue(et c’est du a des raisons diverses, comme la subjectivité de l’essai de
Foucault), MAIS il représente toujours un excellent résultat, parce que, tout en possédant une erreur
de quelques points de pourcentage, Il est significatif d’un miroir meilleur de la majorité de ceux
montés dans les télescopes commerciales.
Dans le diagramme sur fond bleu est quantifié l'épaisseur en nanométres du verre qui serait encore
possible d'enlever pour ameliorer encore la surface, mais que très volontiers, je me suis abstenu de
faire.
grossissement 2
L’illustration suivante montre la nomenclature des type des courses des eretouches a la parabole,
qui sont applicables avec un outil ayant plein diametre (egal a celui du miroir).,  publié à la page
81 du livre de Jean Texereau intitulé “La construction du télescope d'amateur”.
Temps de réalisation:
Le temps nécessaire pour achever ce miroir est la somme du temps passé avant de la
parabolisation (21 heures) avec le temps passé à l’exécution des 16 tweaks et 17 tester, Je
pourrais évaluer 10 nombre total d'heures, pour un total de 31 heures de travail réel.
Notez que dans la parabolisation il faut executer a la fois les retouches nécessaires, et ensuite laver e
secher le miroir et le placer sur le support pour l’exécution du test de controle, mais qu'il doit avoir
lieu seulement après que le miroir s'est climatisé perdand sa dilatation thermique due au chauffage
par le travail de frottement, et aussi par le contact avec les mains chaudes de l’opérateur.
Le problème de déterminer combien de temps à attendre est nécessaire pour l’acclimatation , Je l'ai
résolu pour mon confort et ma sécurité, attente "tout court" 24 heures, soit pour les miroirs en verre
normale, que ceux en pyrex. Même si pour ce dernièr il suffirait un temps d'attente plus court, par
exemple, proportionnel à la différence entre les valeurs des coefficients de dilatation Pyrex et verre
normal.
A l'époque où j'ai réalisé ce miroir j'aurais très envie de trouver un journal de travail, afin de
pouvoir avoir une idée des problèmes pratiques que je m’embarquais.
Par conséquent, j’espère que ces quelques casse-cou qui arrivent a lire jusqu'a ici , ils peuvent
obtenir tous les avantages que je me sen de leur souhaiter, Si rien d’autre, par l’accumulation de
connaissances venant des leur engagement et volonté démontrée.

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