Mayers Christophe & Muller Lily 3CB 06.12.

2021

Tp 1 : la loi de Proust

Mayers Christophe & Muller Lily 3CB 06.12.2021

1)Introduction :
Cette expérience est separé en deux parties. Dans la première expérience, nous voulons déterminer la
composition centésimale et la formule chimique du sulfure de cuivre. De l’autre côté, nous essayons à prouver la
loi de Proust et de Lavoisier. C'est-à-dire la loi des proportions constantes et la loi de la masse.

2)Matériel et produits chimiques utilisés

Matériel :
 Tube à essai
 Cuivre
 Soufre
 Bec bunsen
 Pincette
 Ballon
 Balance

Produits chimiques :

 Sulfure de fer

Le sulfure de fer n‘est pas toxique ou dangereux. Néanmoins, nous ne recommandons pas à le
manger,l’assilimer ou à l’introduir dans vos yeux, car il pourrait irriter ou désorienter la personne
concernée.
En cas de contact, nous vous recommandons à laver vos mains ou rincer vos yeux.

 Sulfure de cuivre

Le sulfure de cuivre n’est pas classé comme dangereux ou toxique, mais lors de la production, il
émet de sulfure d’hydrogène gazeux qui est consideré comme toxique. Le sulfure d’hydrogène peut
causer d’irritations concernants les poumons, les yeux ou de la peau.
Similaire pour l’élement prédédent, on ne doit pas l’avaler et de laver vos mains après contact avec.
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3)Mise en œuvre :

Expérience 1 :
Nous avons pris 3,5 g de fer, 2 g de soufre et l’avons mis dans un tube à essai qui était fermé
hermétiquement par un ballon. Puis, nous l’avons pesé et chauffé avec le bec bunsen jusqu’à ce que
nous pouvons constater une incandescence du métal. Après que le produit ait refroidi, nous avons
pris une dernière fois le poids du produit.
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Expérience 2:
D’abord, nous avons pris un morceau de ruban de cuivre d’environ 1 g. Puis, nous avons ajouté
environ 0,5 cm de soufre dans notre tube à essaie avant de placer également ce morceau de cuivre
dans le tube à essai, sans pour autant que les deux produits ne se touchent. Ensuite, nous avons
fermé hermétiquement le tube à essaie avec un ballon et avons d’abord chauffé brièvement le
morceau de cuivre sous une hotte spécialisé. Ensuite nous avons chauffé le soufre jusqu’à ce qu’il
s’évapore. Nous essayons à tenir le tube horizontalement pour que le soufre gazeux puisse passer le
cuivre solide et s’accumule en haut du tube à essai. Même si le soufre montait de position, nous
avons veillé à ce qu’il n’entre pas dans le ballon. Au moment où la réaction se termine et le soufre se
soit évaporé complètement, nous avons déplacé le morceau de sulfure de cuivre dans un autre tube
à essai. Nous avons fermé à nouveau ce deuxième tube à essai puis nous avons évaporé le reste de
soufre en excédent. Après que cela soit fait, nous avons laissé refroidir le sulfure de cuivre.
Finalement, nous avons pesé le sulfure de cuivre et avons calculé la masse du soufre. Par la suite,
nous avons répété cette expérience une deuxième fois.
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4)Observation :

Expérience 1 :

Durant la première expérience, nous avons fortement chauffé le mélange de soufre et fer dans le tube à essai
jusqu'à ce que nous ayons remarqué une incandescence. C'est-à-dire, le mélange émettait une lumière
rougeâtre. Ensuite, lorsque nous avons retiré le tube à essai de la flamme du bunsen, nous avons pu observer
que le mélange ait prit une couleur noirâtre tandis qu'une vapeur jaune s'évaporait vers le haut. Le ballon
empêchait justement à cette vapeur de s'échapper dans l'air.

Expérience 2 :

Dans la deuxième expérience, le soufre en excès se trouve au fond du tube à essai tandis que le ruban de cuivre
se trouve au milieu du tube à essai de façon à ce qu'il ne touche pas le soufre. Une fois que le tube à essai a été
fermé par un ballon, nous avons chauffé le cuivre puis le soufre jusqu'à ce que le soufre devienne de la vapeur
jaune. Du fait que nous tenions le tube à essai horizontalement lorsque le soufre était ébullition, nous l'avons
laissé s'accumuler en haut du tube à essai sans pour autant le laisser entrer dans le ballon. Lorsque la vapeur
jaune, le soufre, est entré en contact du cuivre, le cuivre était luisant. Une fois que le cuivre ne luisait plus, il était
tout noir. Ensuite, nous avons prit le morceau noir dans un autre tube à essai que nous avons chauffé à
nouveau. Une vapeur jaune sortait du morceau et lorsque plus aucune vapeur n'était à apercevoir, nous avons
laissé refroidir le contenu du tube à essai.

5)Résultats:
Expérience 1 :

Tableau des résultats :

Toutes valeures sont en grammes(g)

Masse du fer Masse du soufe Masse du tube à Masse totale après Masse du
essai, ballon etc. la réaction sulfure de fer
Sans élements. (éléments, tube à
essaie, ballon…)
2 3,5 28,82 34,33 5,51

Calculs :
Calcul pour la masse du sulfure de fer :
Masse totale après la réaction – Masse du tube à essaie avec le ballon et additifs
34,33 – 28,82 = 5,51 g

Rapport de masse :
m(fer) 2g
= =4 /7(0,57 g)
m ( soufre ) 3,5 g

Différence entre le produit et le rapport de masse :

5,51 – 4/7 = 4, 94 (valeur approchée)

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Interprétation :
L'incandescence s'est fait remarqué de par la lumière rouge émit au bout du tube à essai. La
vapeur jaune qui s'est créé à partir de l'expérience était le soufre qui s'évaporait. Après que
les produits aient refroidit, nous avons pu les peser comme le soufre s'est lié au fer et ils se
sont transformé en sulfure de fer.
La masse mesuré du sulfure de fer, nous a montré que la somme des deux produits initiaux
est égal au produit final que nous avons produit grâce à de la chaleur. C’est-à-dire que le
sulfure de fer est égal à la somme du fer et du soufre. Cela prouve la loi de Lavoisier, la loi
de la conservation de la masse.
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Expérience 2 :

Tableau des résultats :

Tentative Rapport des masses
de m (cuivre) m (sulfure de cuivre) m (soufre fixé) m(cuivre)
l’expérienc m ( soufre )
e
1 0,94 g 1,2 g 0,26 g 18/5(3,6)
2 1,14 g 1,47 g 0,33 g 7/2 (3,5)

Calculs :

M(S)= 32,1 g/mol

M(Cu)=63,5 g/mol

Tentative 1 :

n(Cu)= 0,94g / 63,5 g/mol = 47/3175 mol ou bien 0,0148 mol

n(S)= 0,26g / 32,1 g/mol = 13/1605 mol ou bien 0,0081 mol

n(CuS)= 13/1605 mol + 47/3175 mol = 0, 023 mol (valeur approchée)

Notre rapport est donc :
n( S) 1
=
n(Cu) 2

2Cu + S  Cu2S

Tentative 2 :

n(Cu)= 1,14g / 63,5 g/mol = 57/3175 mol ou bien 0,018 mol

n(S)= 0,33 g / 32,1 g/mol = 11/1070 mol ou bien 0,01 mol

n(CuS)= 57/3175mol + 11/1070 mol = 0, 028 mol (valeur approchée)

Notre rapport est donc :

n (S ) 1
=
n ( Cu) 2

Donc on a une valence de 1 pour le cuivre et 2 pour le soufre

2Cu + S  Cu2S

Interprétation :
Pendant l’expérience, la réaction produisait du gaz toxique, car l’air dans le tube à essai contenait de
l’hydrogène. L’hydrogène se liait avec le sulfure et formait du sulfure d’ hydrogène qui est cassé
comme gaz toxique.
Les résultats obtenus sont confus et ne semblent pas être clairs ou très correctes. Les mesures ne
varient pas plus que queslques grammes ou moles, mais changent de rapport et valance
énormément.
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6)Conclusions :

Expérience 1 :
Cette expérience nous a montré que la somme des deux produits est égal au produit final
que nous avons produit grâce à de la chaleur. C’est-à-dire que le sulfure de fer est égal à la
somme du fer et du soufre, donc des produits initiaux. Cela prouve la loi de Lavoisier, la loi
de la conservation de la masse.

Expérience 2 :
D’après nos résultats, la loi de Proust est démontré. Les rapports et proportions du cuivre et du
soufre sont constants et nous pouvons obtenir une valence de 1 pour le cuivre. Donc, on peut dire
qu’il s’agit de sulfure de cuivre(I)

7)Sources :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sulfure_de_cuivre
https://etiquette.scienceamusante.net/sgh/index.php?visualiser=401
https://www.sordalab.be/RESSOURCES/documents/FR/141363.pdf
https://www.thpanorama.com/blog/ciencia/sulfuro-de-cobre-propiedades-riesgos-y-usos.html

https://slideplayer.fr/slide/3708363/