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Conclusion, dans un premier mouvement nous avons vu que plaisir est un moteur de réalisation

de l'être dès lors qu'il semble avez naturel de désirer Ie plaisir. Toutefois, toutefois, nous avons
emit une limite qui est celle de l'ahrasia Certains plaisirs nous mènent à d'avantage de peines.
Des lors, nous avons dans un deuxième mouvement vu que le bonheur n'est pas l'exercice
ponctuel du plaisir car cela ne nous permet pas d'atteindre un état de satisfaction durable qui
semble nécessaire au bonheur. Il faut donc savoir exercer sa raison ,être sage. Cependant, nous
avons nuancé ,notre propos dans un 3º movement en réabilitant le plaisir comme source de
motivation et comme fin. Ainsi, nous avons enterprit de classer les desirs selon qu'ils sont bons
ou mauvais pour atteindre l'ataraxie .Des lors à la question de savoir si il faut assouvir tout ses
desirs ou au contraire les rejeter, nous répondons que pour atteindre le bonheur il est nuisible
d'assouvire l'intégralité de ses désirs et qu'il faut à l'aide de la raison choisir les désirs qui nous
mènent au plus proche de l'ataraxie.

L'utilitarisme J.S Mill - 1861

'' Le plaisir et l'absence de douleur sont les seuls choses désirables comme fin,et que toutes les
choses désirables soient pour e plaisie qu'elle donne elle-même , soit comme moyen de procurer le
plaisir et d'éviterla douleur ? ''

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