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LUBUMBASHI
Faculté Polytechnique
Département des
Mines
3.1.2. Altimétrie............................................................................................................................... 25
3.1.3. Nivellement direct ................................................................................................................. 27
3.1.4. Nivellement par rayonnement ............................................................................................... 33
3.2. Acquisition et traitement de donnée au laboratoire de topographie à l’aide du logiciel AutoCad
civil 2019 ............................................................................................................................................. 36
CONCLUSION ...................................................................................................................................... 38
P a g e | iii
AVANT PROPOS
Dans le souci de nous permettre à approfondir notre connaissance et de pratiquer les
théories vues au cours, la faculté polytechnique nous a envoyés en stage.
C’est dans la même optique que cette faculté nous a été accueillante et nous a permis
de passer notre stage afin de contribuer à notre formation professionnelle au laboratoire de
Topographie.
C’est ainsi avec le sentiment de gratitude que nous adressons nos remerciements les
plus sincères à toutes ces personnes grâce au concours desquelles nous avons pu réaliser notre
stage professionnel.
Nous sommes infiniment reconnaissants en premier lieu à l’éternel des armées et tout
puissant, le seigneur notre Dieu, le clément et miséricordieux, qui nous garde en vie et qui nous
a doté de ce merveilleux don.
Il serait un colossal manquement à notre devoir si nous oublions de coucher sur cette
page notre reconnaissance à l’égard de toute notre famille, tous nos compagnons de lutte, tous
les amis et colocataires de chambres. Trouvez ici l’expression de notre gratitude.
INTRODUCTION
Du 12 février 2021 au 12 mars 2021 (1 mois), nous avons effectué un stage au sein de
la faculté polytechnique au laboratoire de topographie.
Dans le but de faciliter l’entrée de l’ingénieur des mines à la connaissance des outils
et des matériels dans l’industrie et surtout dans le domaine minier et en vue de concilier la
théorie à la pratique, nous avons touché, observé, exécuté et reçu des explications auprès des
hommes expérimentés et compétents, ce qui nous a permis d’acquérir des nouvelles
connaissances sur les constitutions et fonctionnement des appareils et matériels les plus utilises
en topographie.
C’est ainsi que nous avons choisi d’effectuer notre stage d’un mois à la faculté
polytechnique au laboratoire de topographie.
Comme signalé dans les lignes qui précèdent, cette grande université se trouve dans la
ville de Lubumbashi, laquelle est située au Sud-Est de la République Démocratique du Congo
(RDC) avec comme coordonnées 11°39’57’’ et 27°28’36’’ respectivement latitude Sud et
longitude Est.
Lubumbashi, cette grande ville, aussi appelée capitale du cuivre est selon les
estimations, la deuxième ville de la République Démocratique du Congo et le chef-lieu de la
province du Haut-Katanga, se situe dans l’ex croissance sud du pays à quelques 30 Km de sa
frontière septentrionale avec la Zambie.
▪ Zone : 35 L ;
▪ Abscisse : 552999,69 Est ;
▪ Ordonnée : 8715911,54 Sud ;
▪ Altitude : 1291 m.
I.2 Historique
L’actuelle université de Lubumbashi résulte de plusieurs moments de changements.
Ainsi, elle est l’aboutissement d’une longue histoire qui se présente de la manière suivante :
En 1955, le décret royal belge du 26 octobre 1995 crée l’université officielle du Congo et
Ruanda-Urundi, université qui ouvre ses portes en 1956 sur base du décret du 15 mai 1956. Les
objectifs assignés à cette institution furent de dispenser un haut enseignement devant préparer
la jeunesse à certaines professions pratiques et développer la recherche scientifique, faire
progresser et diffuser la culture.
Elle devait former et orienter en même temps que les européennes, l’élite des populations
autochtones leur permettant de créer les conditions d’existence d’une société fraternelle.
I.2.2. Infrastructure
L’Université ne disposait au départ d’aucun local qui lui appartenait. Les services
administratifs et académiques étaient hébergés dans des maisons dispersées à travers la ville et
plus ou moins aménagées. C’est l’époque où on commença la construction des bâtiments
provisoires de la bibliothèque, de la chimie, et des locaux, en 1957-1958. On loua deux Homes.
En l’année 1958-1959, on mit sur pied un service des constructions, on nomina un architecte,
mais par le manque de coordination beaucoup de temps fut perdu stérilement en discussion.
C’est pourtant l’époque où le terrain de la Kassapa fut accordé par l’Université et où on
commença par une longue discussion sur l’emploi d’un important budget de construction dont
on employer une partie à construire des maisons d’habitation, ce pendant que les locaux actuels
de la Géologie, de la Zoologie, de la Botanique étaient achevés, ainsi que le Home de 70
chambres à Kassapa.
Le nombre d’étudiant fit un band prodigieux, ce qui fut à la fois une source de grande
satisfaction et des grandes difficultés. Les installations et les équipements de l’Université
n’étaient pas calculés pour ce nombre d’étudiant brusquement accru, et il y eut des difficultés
très marquées au début, d’où il eut une très grande manifestation estudiantine destinée à
protester contre les conditions de logement. Le sauvetage vint de la province à l’initiative de
Monsieur WATUM, alors président de la commission administrative provisoire, des
négociations furent entre prises avec Monsieur BULUNDWE, alors gouverneur de la province,
dont la très grande compréhension permit à l’Université d’occuper une partie de l’internat du
lycée KIWELE ; ainsi furent réglées les questions de logement les plus urgentes.
Le statut de l’université tel qu’il avait été conçu alors prévoyait différents
organismes des directions, dont le plus important était le conseil d’administration, composé
essentiellement de représentant de chaque Université belge. Actuellement les choses ne se
présentent plus comme avant à cause de différentes réformes qu’a connu cette université.
• Le conseil de l’université ;
• Le conseil de gestion ;
• Le Recteur
• Le conseil des facultés, écoles et bibliothèque
• Le conseil de faculté
• Le recteur ;
• Le secrétaire général académique ;
• Le secrétaire général administratif ;
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• L’administrateur de budget.
Il est l’organe de décision et d’exécution prise à l’échelle supérieur. Il assure la gestion courante
de l’Université et prend toutes les décisions ainsi que des mesures qui ne relevé pas d’un autre
organe. Cet organe se réunit au moins une fois la semaine.
I.3.3. Le Recteur
I.3.4. Organigramme
LE RECTEUR
DIRECTION DU
DIRECTION DES AFFAIRES DIRECTION DU
PATRIMOINE
ACADEMIQUES PERSONNEL
DIRECTION DE FINANCE
DIRECTION DES CLINIQUE DIRECTION DES ŒUVRES
VETERINAIRE ESTUDIANTINES
DIRECTION DES UNITES
DIRECTION DES DE PRODUCTION
BIBLIOTHEQUE, FACULTE DIRECTION DE CLINIQUES
ET ECOLE UNIVERSITAIRES
DIRECTION DE LA REGIT,
DE LA CONSTRUCTION ET
MAINTENANCE
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La topographie permet de mener des travaux à l’échelle, d’un lieu en utilisant une
représentation planimétrique (planimétrie) et altimétrique (altimétrie) identique sur l’ensemble
de son territoire. Ces travaux peuvent être des constructions d’auto routes, des ponts, des
canaux, tunnels, etc.
Dans une perspective linguistique, la topographie sert à décrire l’espace d’un lieu.
Elle fait partie de la topologie descriptive qui regroupe plusieurs types de descriptions
selon l’objet décrit, d’où à ces études topographiques nous associons la géodésie, la topométrie,
la topologie, la cartographie et l’arpentage. Lesquelles sont notées en quelques mots dans les
lignes qui suivent.
➢ La géodésie est la science qui étudie les formes et les dimensions de la terre, mais aussi
ses propriétés physiques (gravité, champ de pesanteur) et dont les travaux aboutissent à
la représentation plane des vastes étendus.
Elle regroupe l’ensemble des techniques ayant pour but de déterminer les positions
planimétriques et altimétriques d’un certain nombre des points géodésiques de repère
de nivellement.
➢ La topométrie : (du grec) qui signifie les opérations des mesures. C’est donc l’ensemble
des techniques permettant d’obtenir les éléments métriques à la réalisation d’un plan ou
d’une carte à grande échelle.
La topométrie concourt à la connaissance des lieux sous forme numérique : le topomètre
mesure pour établir un modèle numérique du terrain dont le plan n’est qu’une image
dressée à une échelle donnée. La topométrie s’appuie sur les points géodésiques et le
repère de nivellement pour représenter la planimétrie et l’altimétrie.
➢ La topologie : science qui analyse les lois générales de la formation du relief terrestre
par les déterminations lentes des aires continentales appelées mouvement épirogénique
obtenu par les érosions.
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Sur ce, l’institut national des mines (INM) en sigle, une école de MONUSCO de
l’Afrique centrale qui se trouvait à Bukavu, qui formait des ingénieurs des mines et des
géologues avait était ramené à Lubumbashi, ainsi associé à la faculté polytechnique, c’est ainsi
que le cours de topographie a été cédé au professeur Polonais FELCZACK JERZY venant de
cet institut national des mines, tout en apportant avec lui, un lot de matériels : topographique.
1981-1982 le cours de topographie est donné par le professeur belge VAN ROGER ROSCUM.
Et on voit en suite le cours être confie aux géographes, le chef de travaux Monsieur NZUZI
MANGA vers 1990. Ainsi il y a eu succession de plusieurs enseignants jusqu’au Professeur
NGOY BIYUKALEZA, qui est jusqu’aujourd’hui à la tête du service de topographie. C’est en
2017 que le laboratoire a été créé sous l’appui un organisme de la coopération belge « Neo-
tech » à travers la banque Africaine de développement (BAD), en équipant ce laboratoire avec
des matériels très performant qui répondent aux normes standards.
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C’est une lunette montée sur deux axes vertical et horizontal. Chacun des axes est
équipé d’un cercle gradué permettant les lectures des angles.
Le théodolite se pose sur un support et doit se caler sur le plan horizontal ; il est souvent
placé sur un trépied, et à la verticale exacte d’un point, à l’aide d’un plomb optique ou laser, et
sa base doit être parfaitement horizontale (utilisation de deux niveaux à bulle orthogonaux).
Figure 2 : Théodolite
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▪ Les théodolites optiques pour lesquels la lecture est effectuée par l’opérateur. Cette
catégorie est en voie de disparition, et remplacée par le type électronique.
▪ Les théodolites électroniques : dans cette catégorie la lecture est automatique, la mesure,
l’affichage et la sauvegarde des angle s sont gérés par le processeur intégré.
Il détermine l’altitude des points sur terrain et mesure de distance entre le point de
station et la mire.
▪ La plaque de base
▪ 3 vis calantes,
▪ Le limbe gradué en degré pour mesurer les angles,
▪ La lunette qui sert à zoomer la distance comprend l’oculaire et l’objectif.
▪ Une touche de la mise au point c’est-à-dire la netteté de l’image,
▪ Touche d’ajustement de mouvement fin
▪ Une bille d’air placée à l’intérieur du repère assure que la base est dans un plan
horizontal.
Il est constitué :
▪ Des rovers, l’un qui joue le rôle de récepteur et l’autre, celui d’émetteur ou considéré
comme la base et le mobile, ensuite les récepteurs ou émetteurs contiennent de places
réservées pour les batteries avec un pot USB pour la réquisition des informations.
▪ Il est également soutenu par un trépied qui est son point de stationnement.
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▪ D’un carnet de terrain, à travers lequel nous mettons les 3 appareils en contact, à l’aide
de l’option Bluetooth activé, ce carnet de terrain contient en son sein le menu et affiche
toutes les informations récoltées sur terrain, ce carnet de terrain est collé à une canne
qui transporte le rover mobile et est muni également des accumulateurs avec une
autonomie d’une durée de 1 jour et demi soit 36 heures.
Ces droites sont tracées entre deux points fixes, ou partent d’un point fixe dans une
direction donnée et elles sont tracées sur le terrain au moyen de piquets, de piliers ou jalons ; et
ce procédé des mesures directes de distances à l’aide du mètre ruban.
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II.3.6 La boussole
Cet appareil est utilisé pour déterminer l’azimut, donc la distance par rapport au Nord.
Il est composé généralement
▪ D’une éguille magnétique qui oscille librement sur un pivot au centre d’un cercle
gradué.
▪ D’une éguille magnétique qui s’oriente automatiquement en direction du Nord
magnétique.
Cette éguille est toujours orientée dans la même direction que le Nord magnétique et en
considérant cette direction comme l’axe de référence, nous la faisons coïncider avec la
graduation zéro de la boussole.
Figure 8: Boussole
II.3.7. La mire
Une mire ou un stadia, en topographie, est une règle graduée de 2 à 4 m qui permet
avec un niveau, de mesurer les différences d’altitudes.
Figure 9:Mire
II.3.8 le trépied
Le trépied ou trépied d’arpenteur est un appareil utilisé pour prendre en charge l’un
des nombreux instruments d’arpentage, tels que les théodolites, les stations totales, les niveaux
laser, les scanners 3D en assurant leur stabilité.
Il est constitué d’un piquet long et mince, en bois ou en métal utilisé lors des levés
topographiques pour marquer un point du terrain que l’On doit voir depuis une certaine
distance.
Sa tige est d’environ 2m de longueur et de couleur rouge-blanc alternée, en acier, en
bois de pin ou en plastique. Le jalon a une section ronde de 25mm de diamètre et une pointe en
acier pour bien pouvoir l’enfoncer dans le sol.
Et c’est grâce à cette peinture bicolore, que les barres d’un jalon sont également bien
reconnaissables de loin.
II.3.12. Le planimètre
Le planimètre est un outil qui permet la mesure mécanique directe de surface sur les
plans, carte géographique etc. en suivant le contour par l’extrémité d’un bras articulé.
3.1.1. Planimétrie
Elle s’occupe de la détermination de la projection, sur un plan horizontal de chaque
point d’un terrain dont on veut lever le plan.
A. Details planimétriques
La présentation sur la carte nécessite que les opérations planimétriques constituées par
les lignes de tracés sur la surface du sol soit artificiel (barrières) voie de communication, les
points, liges téléphonique ou électriques, les contours des mesures et les lignes de culture, les
matériels (cours d’eau, étang, plages, limites de végétation).
Pour représenter sur la carte, les Details planimétriques, il suffit donc de dessiner une figure
semblable à la figure obtenue en projetant un détail du terrain le plan horizontal du point de
station après avoir réduit les dimensions de la nature dans un certain rapport d’échelle.
B. Notion d’échelle
L’échelle d’un plan ou d’une carte est le rapport qui existe entre la longueur réelle sur
la surface de la terre et celle qui la représente sur le plan ou sur la carte.
L’échelle s’exprime ordinairement par une fraction dont la notation représente une
unité de longueur sur papier par un certain nombre d’unités de longueur sur la surface de la
terre.
1 1
Exemple : ,
1000 25000
C’est ainsi que nous avons effectué nos différentes activités sur terrain à l’aide des
matériels vus au chapitre précèdent et ces travaux se résument en trois procédures :
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▪ Le calcul d’angles ;
▪ Le calcul de cotés et
▪ Le calcul de hauteur
Les étapes et les résultats obtenus ont été inscrits dans des carnets en forme de croquis.
Et ces étapes sont :
Ce travail consiste à lire les angles entre le point de stationnement du théodolite et les
différents points qui sont les sommets d’une polygonale et ces points sont matérialises par des
jalons.
Déroulement du T.P. :
Marche à suivre.
Notre mise en station est terminée et notre fil à plomb est positionnée.
Après compensation, on calcule les angles entre le point de stationnement et les jalons.
̂ =B
AB ̂ = 150°49′ 53′′ − 0° 00′ 00′′
̂−A
E• •B
o•
A• •C
•D
̂ =
AB 160° 08’ 01’’ Vérification
̂ =
BC 61° 44’ 33.5’’
̂ = ̂ + BC
AB ̂ + CD
̂ + DE ̂ = 360°00’00’’
̂ + EA
CD 46° 02’ 51.5’’
̂ =
DE 53° 53’ 31,5’’
̂ =
EA 92° 11’ 2.5’’
B: Ls = 15.20 dm ̅̅̅̅
OB = (15.20 − 14.30)x100 dm = 9m
Li = 14,30 dm
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C : Ls = 13.75 dm ̅̅̅̅
OC = (13.75 − 14.39)x100 dm = 5.5m
Li = 14.39 dm
D : Ls = 14.94 dm ̅̅̅̅
OD = (14.94 − 14.39)x100 dm = 5.5m
Li = 14.39 dm
En appliquant la règle de cosinus on peut déterminer les distances entre sommets qui sont les
cotes de la polygonale.
̅̅̅̅ = √OB
AB ̅̅̅̅ 2 + OA
̅̅̅̅2 − 2OA
̅̅̅̅ OB
̅̅̅̅ cos AB
̂
̅̅̅̅
BC = √(9)2 + (5.5)2 − 2(9)(5.5) cos 95°58′ 8.5′′ = 11.025m
̅̅̅̅
DE = √(9.3)2 + (5.5)2 − 2(5.5)(9.3) cos 59°33′ 52.5′′ = 8.063m
̅̅̅̅
EA = √(9.3)2 + (15)2 − 2(15)(9.3) cos 45°37′ 26.5′′ = 10,79m
3.1.2. Altimétrie
Elle est la détermination et la mesure des altitudes d’un lieu ou d’une région donnée.
Elle mesure les figures géométriques formées par les limites des détails rependus sur
le terrain et les projette sur un plan horizontal ; ces détails peuvent être naturels ou artificiels.
Avec nivellement c’est la principale méthode de mesure et de calcul de coordonnées en
topographie.
Altitudes stadimétriques
A : 4158,60cm = 1,5860m
B : 148,40cm = 1,4840m
C : 135cm = 1,35m
D : 146,6cm = 1,466m
E : 154,1cm = 1,541m
Calcul des altitudes des différents points
▪ D’une part, de mesurer les différences de niveau entre deux ou plusieurs points :
▪ D’autre part, de calculer par une opération simple (addition et soustraction), l’altitude
ou la cote de chacun des points concernés par rapport à un niveau de base (plan
horizontal de référence)
•B
A •_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Δ AZB
Figure 18: Nivellement direct
Station (1)
Station (4)
Principe : on trace une polygonale prenant la forme du terrain, et avec une directrice principale
AC.
F I C
A • G
o
E D
Figure 19 : Représention d'un terrain naturellement
accessible
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Lectures
̅̅̅̅
OA: Ls = 143,1cm ̅̅̅̅
OA = (143,1 − 136,55)x100cm
Li = 136,55cm = 6,55m
̅̅̅̅
OC: Ls = 129,1cm ̅̅̅̅ = (129,1 − 122,1)x100cm
OC
Li = 122,1cm = 6,55m
̅̅̅̅
AC = ̅̅̅̅
OA + ̅̅̅̅
OC = (6,55 + 7)m = 13,55m
̅̅̅̅ : Ls = 148,6cm
FE ̅̅̅̅ = (148,6 − 139,39)x100cm
FE
Li = 139,39cm = 9,21m
̅̅̅̅ : Ls = 140,7cm
FA ̅̅̅̅ = (140,7 − 135,1)x100cm
FA
Li = 135,1cm = 5,6m
̅̅̅̅
BG : Ls = 133,3cm ̅̅̅̅
BG = (133,3 − 128,2)x100cm
Li = 128,2cm = 5,1m
̅̅̅̅
GA : Ls = 143,75cm ̅̅̅̅
GA = (143,75 − 137,2)x100cm
Li = 137,2cm = 6,55m
̅̅̅ : Ls = 144,8cm
ID ̅̅̅ = (144,8 − 137,8)x100cm
ID
Li = 137,8cm = 7m
̅̅̅̅
DE : Ls = 143,4cm ̅̅̅̅
DE = (143,4 − 133,45)x100cm
Li = 133,45cm = 9,95m
̅:
IC Ls = 128,95cm ̅ = (128,95 − 127,3)x100cm
IC
Li = 127,3cm = 1,65m
La surface de la polygonale est la somme algébrique des surfaces des triangles inscrits dans la
polygonale.
✓ Pour le triangle ΔABC
Base x Hauteur AC x GB 13,55 x 5,1
S= = = = 34,55m2
2 2 2
✓ Le triangle ΔAFE
Ls = 135,5 cm
Li = 123 cm
AB = (135,5 − 123) × 100cm
= 12,5m
C K D
L Q
O P
M
N
I
J
G U
V H S
R
B A
E F
Figure 21: Représentation d'un terrain naturellement inaccessible
Longueur ̅̅̅̅
AD
̅̅̅̅
CK = 300cm ̅̅̅̅ : Ls = 141cm
BE
= 3cm Li = 139,99cm
̅̅̅ = 677cm
JD ̅̅̅̅ = (141 − 139,99) × 100cm
BE
= 6,77m = 1,01m
̅̅̅̅
KL = 382cm ̅̅̅̅
BG : Ls = 132,1cm
= 3,83m Li = 130,5cm
̅̅̅̅̅
MN = 228cm ̅̅̅̅ = (132,1 − 130,5) × 100cm
BG
= 2,28m = 1,6m
̅ = 129cm
IJ ̅̅̅̅
BF : Ls = 145,2cm
= 1,29m Li = 140,1cm
̅̅̅̅ = 300cm
OL ̅̅̅̅
BF = (145,2 − 140,1) × 100cm
= 3,00m = 5,1m
̅̅̅̅
ON = 597cm ̅̅̅̅
HF = 65cm
= 5,97m = 0,65m
• Surface CKLO
= CK × OC = (3 × 3,82)m2 = 11,46m2
= CK × LK
• Surface KDPL = KD × KL
KD = AB − CK = (12,5 − 3)m = 9,5m
Surface = (9,5 × 3,82)m2 = 36,29m2
IQLQ
• Surface du triagle ILQ =
2
• Rectangle AFHS
Surface = HF × HS = (7,4 × 0,65)m2 = 4,875m2
• Le trapèze EFHU
HV EF
Surface = (HF + EU) = (0,65 + 1,6) ×
2 2
EF = CD − HS − BE = (12,5 − 7,4 − 1,01)m = 4,09m
4,09
Surface = (0,65 + 1,6) × = 4,6m2
2
• Le rectangle BEGU
Surface = BG × BE = (1,6 × 1,01) = 1,616m2
• Le trapeze GMNV
GN GN
Surface = (NM + BE) × = (2,28 + 1,01)x
2 2
GN = AD − BG − CN = AD − BG − OC − ON = (18,9 − 3,82 − 1,6 − 5,97)m
= 7,51𝑚
Surface = 12,25 m2
(236,25 − 11,46 − 8,21 − 36,29 − 3,81 − 12,11 − 15,76 − 1,616 − 49,88 − 4,875 − 4,6
− 11,35)m2 = 79,889m2
• Point A : 119,8cm
• Point B : 145,6cm
• Point C : 162cm
• Point D : 158,1cm
• Point E : 138,9cm
• Point F : 131,5cm
Calcul des dénivellations et des altitudes de trois piquets fixes formant un triangle quelconque
à l’aide d’un niveau d’ingénieur.
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LECTUES
N°STATION POINTS CROQUIS
VISES AR AV
A 128,6cm
• B
B 154,29cm 2
•
B 151,2cm A
• • 1
C 135,80cm
C 150,8cm •
3
A 139,42cm • C
Après levés topographiques sur le terrain avec GPS différentiels, voici les données obtenues et
traitées dans Excel :
CONCLUSION
Nous voici arrivés au terme de notre rapport de stage effectué au service de
topographie de la faculté polytechnique de l’université de Lubumbashi pendant un mois.
Pendant cette période nous avons eu accès à plusieurs services lesquels ont été mis en
exergue de façon détaillée dans ce rapport.
Nous pensons que cette expérience en topographie nous a offert une bonne préparation
à notre insertion professionnelle car elle a été pour nous une expérience enrichissante et
complète qui conforte notre désir d’exercer notre futur métier.
Enfin, nous tenons à exprimer notre satisfaction d’avoir pu travailler dans de bonnes
conditions matérielles et un environnement agréable.