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a) Pourquoi recourir à l’arbitrage ?
➢ Les avantages de l’arbitrage
➢ Des avantages qui ne sont pas sans inconvénients
b) Comment recourir à l’arbitrage ?
➢ En amont de tout litige : la clause compromissoire
➢ Une fois le litige né : le compromis
c) Les principes et règles applicables à la procédure arbitrale
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➢ L’exemple du cautionnement en faveur d’une société commerciale : hier
commercialité par accessoire, aujourd’hui commercialité par nature depuis
l’ordonnance du 15 sept. 2021 (cf. art. L. 110-11 ° C. com)
➢ L’exemple des obligations souscrites par le dirigeant d’une société
commerciale
➢ L’exemple des cessions de parts sociales ou d’actions emportant le transfert du
contrôle d’une société commerciale
§. 3. - Le régime des actes de commerce
1) La preuve des actes de commerce et le principe de liberté
a) Un principe qui évince les solutions du Code civil en matière de preuve de
l’acte juridique
b) Un principe qui n’est pas d’OP auquel les parties peuvent donc déroger
c) Une application spécifique en présence d’un acte mixte
2) Le principe de solidarité passive : une garantie pour le créancier d’obtenir
l’exécution de ce qui lui est dû pour le créancier
3) Les sanctions en cas d’inexécution des contrats commerciaux :
a) une spécificité des solutions du droit commercial qui s’est estompée à la
suite des réformes du Code civil
b) l’exemple de la réfaction
4) La prescription applicable aux actes de commerce
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➢ Une présomption qui s’applique jusqu’à la radiation au RCS (L. 123-8
C. com)
➢ Le statut du commerçant non déclaré ou commerçant de fait (art. L.
123-8, al. 1er C. com.)
c) Immatriculation du commerçant personne morale : la condition nécessaire à
l’obtention de la personnalité juridique et l’autonomie (art. 1842 C. civ)
➢ Comment immatriculer une société ?
➢ Quelles informations communiquer ?
➢ Les groupements soumis à immatriculation (art. L. 123-1 C. com.)
Rappel : une association ayant une activité commerciale ne peut
prétendre à l’immatriculation au RCS
§. 2. – Les obligations comptables liées à la qualité de commerçant (art. L. 123-12 C. com.)
1) Le contenu des obligations comptables du commerçant
a) L’obligation d’enregistrer les mouvements liés à l’activité de l’entreprise (livre-
journal/grand livre)
b) L’obligation de contrôler annuellement l’existence et la valeur des éléments actifs
et passifs composant le patrimoine professionnel (inventaire)
c) L’obligation d’établir des comptes annuels (bilan/ compte de résultat) (art. L. 123-
13 C. com.)
2) Les règles relatives à la tenue de comptabilité : (art. L. 123-14 C. com.)
a) La devise comptable : « Régularité- Fidélité – Sincérité »
b) Les sanctions civiles et pénales
3) La force probante des documents comptables (art. L. 123-23 C. com.)
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3) La généralisation du patrimoine affecté ou la nouvelle figure de l’entrepreneur individuel
(EI) depuis l’ordonnance du 14 février 2022
a) La nouvelle définition de l’entrepreneur individuel (art. L. 526-22, al. 1 et al. 4) :
« L’entrepreneur individuel est une personne physique qui exerce en son nom propre
une ou plusieurs activités professionnelles indépendantes » et qui « par dérogation aux
articles 2284 et 2285 du Code civil (…) n’est tenu de remplir son engagement à l’égard
des créanciers dont les droits sont nés à l’occasion de son exercice professionnel que
sur son seul patrimoine professionnel »
b) Les limites au nouveau principe de limitation de responsabilité au seul patrimoine
professionnel
➢ Pas de limitation si des suretés réelles ont été consenties à un créancier
professionnel sur le patrimoine personnel de l’EI (L. 526-22, al. 4 in fine C.
com.)
➢ Pas de limitation en cas de renonciation au profit d’un créancier professionnel
à la séparation automatique des patrimoines prévue par l’art. L. 526-22
➢ Pas de séparation de patrimoines opposable au Trésor public et organismes
sociaux en cas de manœuvres frauduleuses de l’EI (art. L. 526-23 C. com.)
➢ Pas de séparation des patrimoines opposable aux créanciers de l’EI dont la
créance est née avant l’entrée en vigueur de la loi, soit avant le 15 mai 2022
(art. L. 526-23, al. 1er). Les créanciers antérieurs demeurent soumis au principe
de la responsabilité illimitée en vertu des art. 2284 et 2285 C. civ.
c) Les règles relatives à la détermination du patrimoine professionnel séparé
➢ Le critère légal d’utilité et les incertitudes liées à ce nouveau critère
➢ Les biens réputés en vertu de la loi « utiles » à l’activité professionnelle de l’EI :
Le « guide-âne » de l’article R. 526-26 C. com
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Section 2 : Les éléments composant le fonds de commerce
§. 1 – Les éléments exclus de la composition du fonds de commerce
1) L’exclusion des immeubles
2) L’exclusion des créances et des dettes nées de l’exercice de l’activité commerciale
a) Les exceptions légales au principe d’exclusion (ex : contrat de travail/contrat d’assurance/ contrat
de bail commercial
b) La possibilité de déroger conventionnellement au principe d’intransmissibilité dans les conditions
du Code civil (ex : cession de contrat, cession de dettes/ cession de créances)
§ 2. – Les éléments inclus dans la composition du fonds de commerce
1) Les biens mobiliers corporels
2) Les biens mobiliers incorporels
a) Le nom commercial
b) L’enseigne
c) Les droits de propriété incorporelle (ex : brevet/marque)
d) Les autorisations administratives nécessaires à l’exercice de l’activité commerciale
§. 3 – La place particulière du bail commercial parmi les éléments du fonds de commerce
1) Bail commercial et propriété commerciale
2) Le domaine d’application des baux commerciaux
a) L’exploitation obligatoire du fonds de commerce dans les locaux loués
b) Les conditions relatives à la personne du locataire
3) Propriété commerciale et régime du bail commercial
a) La durée du bail commercial et la règle du 3/6/9 (art. L. 145-4 et L. 145-15 C. com)
b) Le refus de renouvellement et le principe de l’indemnité d’éviction (art. L. 145-14 C. com.)