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Pr. A. AKHIATE
Aciers Fontes
Composites
Alliages
non-ferreux
Alliages Alliages
d’Aluminium de titane
Alliages
Les alliages ferreux représentent encore une très grande proportion
dans l’utilisation des alliages métalliques (50% des métaux dans une de Cuivre
09/03/2023
automobile). ENSAM– COM Acier / Pr. A. 2
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Chapitre I - Les aciers
Trois types d’alliages : le fer pur faibles propriétés mécaniques usage industriel
les aciers et
09/03/2023 les fontes. ENSAM– COM Acier / Pr. A. 4
AKHIATE
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Diagramme Fer-Carbone : généralités
Cémentite
Austénite Fe3C
Ferrite
Définition :
En pratique, on ne trouve
qu’exceptionnellement des
aciers à plus de 1,2% C
Aciers
% en masse de C < 2%
09/03/2023 ENSAM– COM Acier / Pr. A. 7
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Diagramme Fer-Carbone
constituants des aciers
Constituants des aciers recuits
La ferrite α à T ambiante c’est du fer presque pur, dont les propriétés sont :
• Faible limite d'élasticité (Re = 150 MPa)
• Faible résistance mécanique (Rm = 280 MPa environ et dureté HV = 80)
• Grande ductilité (A = 35 %)
• Densité ρ = 7,86 g.cm-3
La cémentite Fe3C ( 6,67 % C) est un carbure de fer à ductilité quasi nulle
(comportement fragile), les propriétés sont :
• Limite d’élasticité supérieure à 2 000 MPa (dureté voisine de HV = 700)
• Densité ρ = 7,82 g.cm-3
Fontes blanches :
Le carbone se retrouve
toujours sous forme de
cémentite
Fontes grises :
Le carbone se retrouve sous
forme de graphite libre
Fontes (carbone pur) et de
(2% < %m C < 6,67%) cémentite
09/03/2023 ENSAM– COM Acier / Pr. A. 9
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Diagramme Fer-Carbone : aciers
Alliage particulier :
Il correspond
au point eutectoïde du
diagramme Fe-C (- autres
éléments).
teneur en carbone ~ 0,8%
(teneur variable selon la
présence d’autres éléments
d’alliages).
point eutectoïde
Alliage eutectoïde.
Aciers
% en masse de C < 0,2%
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Diagramme Fer-Carbone : aciers
Aciers hypo-eutectoïdes :
Propriétés : Désignation :
Lettre identifiant
Utilisation : l’emploi de l’acier
Exemple :
Aciers de construction d’usage général EN S235 : acier de construction
Aciers de décolletage à bas carbone Re = 235 MPa
... EN E335 : acier de construction mécanique
09/03/2023
Re = 335 MPa
ENSAM– COM Acier / Pr. A. 20
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Les aciers d’usage général
aciers au carbone non alliés
Aciers pour cémentation : (< 0,2 % C) Désignation :
traitements superficiels d’enrichissement en EN C 30
carbone, d’où une couche trempable et
durcissante Écriture selon la Teneur en carbone
Aciers pour traitements thermiques de trempe et norme NF EN 10020 (30 0,3% en
de revenu pour des teneurs en carbone moyennes masse de C)
de 0,25 à 0,6 %
Aciers à teneurs élevées en carbone Lettre identifiant
ils sont réservés pour des usages exigeant des l’emploi de la
hautes résistances, grande dureté, tenue à l’usure désignation à partir
des compositions
chimiques
Aciers microalliés à haute limite d'élasticité
teneurs moyennes en carbone, Exemple :
faibles additions (moins de 0,1 %) et des
traitements très contrôlés EN C25E (ancien XC25) : acier non allié
ayant 0,25% de C avec une indication
Aciers à très haute résistance à très bas carbone supplémentaire définie dans le fascicule
valeurs élevées de Re et de Rm, une bonne FDR 10260 (info traitement thermique)
ductilité (A > 13 %) et une résilience
09/03/2023 élevéeCOM Acier / Pr. A.
ENSAM– 21
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Les aciers faiblement alliés
Désignation :
Dans cette famille, la règle est qu’aucun
élément n’atteigne 5 % EN 36 CrNiMo 16
L’apport des éléments d’alliage va permettre
d’augmenter la résistance mécanique et
Écriture selon Valeurs de ces
d’augmenter la profondeur de trempe
la norme NF teneurs
Selon le choix des éléments d’alliage, on EN 10020 affectées d’un
favorise : chiffre
- La limite d’élasticité (Si pour les ressorts) multiplicateur
- La résistance à l’usure (Mn et Si) Teneur en fonction de
- La résistance aux chocs (Ni-Cr, Ni-Cr-Mo) carbone (36 l’élément
0,36% en masse
Relativement accessibles par leur prix de C) Symbole chimique
Matériaux de choix pour la construction dans l’ordre croissant
mécanique des teneurs
Exemple :
Eléments Multiplicateur
Cr, Co, Mn, Ni, Si,W 4 EN 36CrNiMo16 : acier allié à 0,36% en
Al, Be, Cu, Mo, Nb, Pb, Ta, Ti, V, Zr 10 masse de C, 4% de chrome et contenant du
N, P, S 100 nickel et du molybdène.
B 09/03/2023 ENSAM–
1000 COM Acier / Pr. A. 22
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Les aciers faiblement alliés
Idée : les propriétés des aciers sont liées à leurs microstructures. Les traitements
thermiques est de faire évoluer la microstructure en fonction des besoins d’utilisation
de l’acier.
Trempe
Les transformations se font hors équilibre diagramme d’équilibre non respecté ici
Pour un acier donné, les deux facteurs qui vont conditionner le résultat de la trempe sont :
- La trempabilité de l’acier dans les conditions d’austénitisation adoptées
- Les conditions de refroidissement de l’austénite
Trempabilité
Définition
La trempabilité de l’acier caractérise les possibilités de réalisation de la structure
martensitique, sans précipitation de carbone, par rapport aux conditions technologiques dans
lesquelles peut être réalisée la trempe
Méthode fixe tous les paramètres qui influent sur la profondeur de la trempe
(conditions de refroidissement, taille et géométrie de l’échantillon)
Échantillon normalisé : forme cylindrique
de 25,4 mm de diamètre
et 100 mm de longueur
100 mm
température sont prédéfinies, l’échantillon est
sorti du four et monté rapidement sur le
support de l’appareil.
Essai de Jominy :
Une fois l’échantillon à température ambiante, on meule un plat de 0,4 mm de profondeur
afin de réaliser des mesures de duretés
La dureté est mesurée par un indenteur Rockwell
sur les premiers 50,8 mm de l’échantillon avec un pas
de 1,6 mm sur une distance de 12,8 puis un pas de 3,2
mm sur 38 mm restant
Courbe de trempabilité
• Exemple
On obtient, une structure purement martensitique à cœur d’un
rond de 10mm :
par refroidissement à l’eau pour l’acier C80,
par refroidissement à l’air pour l’acier 40NiCi17.
La nuance 40NiCr17 a une trempabilité plus élevée que la
nuance C80.
Éviter la présence d’eau dans un bain d’huile : eau qui v de refroidissement à haute T
mais v à basse T apparition de tapures
Trempe au gaz
L’utilisation d’un gaz neutre évite toute altération chimique de la surface de la pièce.
Connaît un grand développement dans le cadre de l’utilisation des fours à vide. Il permet,
avec l’utilisation de gaz performant (azote, hélium, hydrogène) sous pression et le recours à
une circulation intense, d’espérer la réalisation de conditions de refroidissement similaire à
celles obtenues avec la trempe à l’huile avec l’avantage d’une circulation plus maîtrisable du
fluide de trempe
Trempe au brouillard
Réalisée en projetant à la surface de la pièce un fort courant d’air dans lequel de fines
gouttelettes d’eau sont mises en suspension
Le pouvoir refroidissant d’un tel brouillard peut être de 4 à 5 fois plus que celui de l’air
utilisé v de refroidissement obtenues sont grandes lorsque la T de la surface de la pièce est
peu élevée
Trempe en bain fluidisé
Un bain fluidisé pour la trempe est constitué par de fines particules (généralement
d’alumine) en suspension dans un courant gazeux
Trempe en bain de sels fondus
Après trempe, les pièces doivent subir un lavage intense et être protégées contre la rouille
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AKHIATE
Les traitements thermiques des aciers
dans la masse : trempe
Déformations et contraintes résiduelles après trempe
Le revenu
Objectif : Appliqué aux aciers au carbone alliés ou non alliés, après une trempe, le revenu a
pour objet de provoquer une précipitation du carbone sous une forme et dans des
conditions contrôlées afin de parvenir au durcissement optimal.
Cette opération engendre une évolution structurale depuis l’état métastable obtenu
après trempe vers un état plus proche de l’équilibre physico-chimique
Les paramètres qui définissent les conditions d’exécution d’un revenu sont :
- la température de revenu (T maximale à laquelle est porté l’acier)
- la durée du maintien de T maximale
- la loi de refroidissement à laquelle la pièce est soumise à la fin du revenu
Le revenu de détente
Suivant la température de revenu, ces carbures sont plus ou moins fins, dispersés et
durcissants ou globulisés, coalescés et peu durcissants
Suivant la température de revenu, dans le domaine considéré, on provoque une baisse plus
ou moins forte des caractéristiques de résistance mais aussi un relèvement très sensible des
caractéristiques de ductilité
Le revenu de durcissement secondaire
Le choix des conditions de revenu commence par la définition du type de revenu qui est
réalisé (fonction des propriétés recherchées) :
Tenir compte que la périphérie d’une pièce subit toujours un maintien à la température de
revenu plus long que celui auquel est soumis le cœur. Cette différence est d’autant plus grande
que le chauffage est plus rapide et la section de la pièce plus importante
09/03/2023 chauffage lent et contrôlé. 49
ENSAM– COM Acier / Pr. A.
AKHIATE
Les traitements thermiques des aciers
dans la masse : recuit
Le recuit
La vitesse de
refroidissement
conditionne chaque
traitement thermique de
l’acier. Le diagramme
TRC donne pour un acier
préalablement
austénitisé, les structures
et duretés que l’on peut
obtenir selon diverses
vitesses de
refroidissement.
Courbe TRC et
dureté après trempe.
Le diagramme TRC
se lit en suivant les
courbes de
refroidissement
Malgré les différents traitements possibles sur les aciers, les propriétés physiques
demeurent insuffisantes pour certaines utilisations
Limites des propriétés physiques
Résistance mécanique : limité à 700 MPa
Trempabilité : très faible pour les aciers au C (trempe à cœur impossible si > 15 mm
Tenue à chaud : propriétés mécanique s’effondre si T > 400°C
Résistance à l’usure : variable suivant la structure de la matrice
Résistance à la corrosion : bonne uniquement pour des aciers inoxydables
à introduire des éléments d’addition en faible quantité
(Cr, Ni, Mn, Mo, V, W …)
d’obtenir de nouveaux alliages aux propriétés améliorés
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AKHIATE
Influence des éléments d’addition
L’action des éléments d’addition sur les caractéristiques des aciers dépend essentiellement
des deux facteurs suivants :
ENSAM-2016/2017 101
Les traitements de surface
superficiels
Les traitements de surface des aciers
Les traitements thermiques dans la masse améliorent les propriétés mécaniques des aciers
mais ils diminuent la ténacité du matériau
Suivant l’utilisation de la pièce élaborée, ce sont surtout les propriétés de surface qui
prédomine (ex : résistance à l’usure). Pour ces cas, le traitement de surface est préféré afin que
le cœur de la pièce conserve une bonne ténacité et que la peau soit plus résistante
Les traitements de surface sont généralement appliqué sur des aciers ordinaires ou des
aciers peu chargé en éléments d’addition puisque la bonne aptitude à la trempabilité du
matériau n’est alors plus une exigence (contrairement aux traitements dans la masse vu
précédemment)
Deux types de traitements de surface peuvent être identifiés :
Durcissements en phase solide par faisceau laser, faisceau d’électrons, ou torche plasma
chauffer la pièce par interaction directe de la peau avec les photons d’un faisceau laser, les
électrons d’un faisceau électronique, ou le plasma d’une torche
Procédé:
Pour réaliser des durcissements localisés par transformation allotropique, on peut soit :
- balayer la surface avec un faisceau relativement focalisé
- déplacer avec ou sans recouvrement de petites fenêtres irradiées
Il est néanmoins difficile de maîtriser de très fortes densités de puissance compte tenu des
instabilités d’interaction et des risques de début de fusion en extrême surface
Après passage du faisceau, le refroidissent rapidement par conduction vers le cœur de pièce
resté froid, conduit à une auto-trempe martensitique
Longueur d’onde du rayonnement : 10,6 μm Longueur d’onde du laser YAG (1,06 μm)
enduire la surface à traiter (phosphatation, permet d’éviter le revêtement et autorise
spray de graphite, peinture) des transferts de puissance flexibles par
pour améliorer l’absorption et donc le faible fibre optique
rendement de l’interaction,
Avantages par rapport à l’induction:
- zones affectées thermiquement réduites
- d’autoriser une dureté plus forte liée à une structure plus fine
En revanche, les surfaces relativement étendues ne peuvent être traitées que par
recouvrement de pistes durcies relativement étroites (~ 40 mm pour une source CO2 de 25 kW
et 7 mm pour 1,5 kW)
zones adoucies par revenu (présence des contraintes résiduelles)
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ENSAM– COM Acier / Pr. A.
AKHIATE
Les traitements de surface des aciers
trempes superficielles
Les faisceaux d’électrons peuvent être facilement mis en forme et défléchis à HF (balayage
ponctuel, linéaire ou surfacique) par voie électromagnétique pilotée par calculateur
meilleur distribution des fortes densités d’énergie.
Mise en jeux des puissances élevées (plusieurs centaines de kW), ce qui autorise le
traitement de larges surfaces en un seul balayage
La nécessité d’opérer sous vide (< 0,1 Pa) peut exiger des surfaces particulièrement
propres, mais, en contrepartie, la qualité des surfaces traitées permet d’éviter des opérations
de finition
09/03/2023 ENSAM– COM Acier / Pr. A. 110
AKHIATE
Les traitements de surface des aciers
trempes superficielles
Les torches à plasma à arc transféré (PTA) permettent des durcissements de surface de
pièces sans atteindre la fusion car il est possible de moduler la densité de puissance distribuée
par la colonne plasma en jouant sur la distance frontale de la pièce
La pièce à traiter est portée à un potentiel positif par rapport à la cathode de la torche : le jet
de plasma est alors entièrement parcouru par le courant torche-pièce constituant ainsi une
résistance de transfert faible et modulable de l’énergie électrique
La très forte densité d’énergie de la colonne plasma autorise, en fonction des paramètres
courant et tension, de contrôler la profondeur traitée entre 0,5 et 10 mm
Pour les chauffages relativement plus profonds et grossiers des torches plasma à arc
soufflé où le jet de plasma sortant de la tuyère lèche directement la pièce (réglage de la
distance frontale plus critique)
Le faible coût des torches PTA et les larges facilités d’automatisation et de robotisation de
leur déplacement intéressant pour des moyennes séries de pièces exigeant moins de
précision de traitement que celles intéressées par le laser ou le faisceau d’électrons
09/03/2023 111
ENSAM– COM Acier / Pr. A.
AKHIATE
Les traitements de surface des aciers
trempes superficielles
Les traitements les plus connus sont des traitements de cémentation (consiste à faire
pénétrer superficiellement du carbone ou de l’azote (ou les 2) dans un acier afin de le
transformer en surface en un acier fortement carburé susceptible d'être trempé :
Carbonitruration
09/03/2023 (diffusion des deux) 113
ENSAM– COM Acier / Pr. A.
AKHIATE
Les traitements de surface des aciers
traitements thermochimiques
La carburation
Permet d’obtenir des surfaces dures et résistantes à l’usure à partir d’aciers à faibles teneurs
en carbone (0,1 et 0,3% de C).
L’opération de carburation s’effectue dans le domaine
austénitique (900°C). La profondeur du traitement va
dépendre du temps et de la température
La nitruration
La zone traitée est de faible épaisseur : 0,2 mm pour un traitement de 10h à 525°C et 0,6
mm pour 60h à 525°C. Ces faibles épaisseurs sont liées à la température du traitement
Comme la nitruration s’opère sur du fer sous la forme et que le durcissement n’est dû
qu’à la formation de nitrure aucun traitement thermique ultérieur n’est nécessaire
09/03/2023 116
ENSAM– COM Acier / Pr. A.
AKHIATE
Les traitements de surface des aciers
traitements thermochimiques
La carbonitruration
Les milieux de carbonitruration sont des bains de cyanures ou des mélanges gazeux
Les propriétés de la couche traité sont intermédiaires aux propriétés des traitements de
carburation et de nitruration
ENSAM-2016/2017 118
Les traitements de surface par voies
mécanique
Durcissement superficiel par voies mécanique
C'est un procédé mécanique qui consiste à créer des
microdéformations plastiques dans les couches superficielles
des pièces, ce qui peut avoir deux effets :
- Durcissement par écrouissage, introduction de contraintes
superficielles de compression.
- Transformations éventuelles de phases.
L’action mécanique responsable au durcissement de la surface
traitée par voie mécanique est généralement imposée soit par
contact, cas de galetage, de brunissage, de polissage ; soit par
choc comme le cas de grenaillage.
Ce durcissement est surtout appliqué aux matériaux ne prenant
pas la trempe, au cuivre en particulier.
ENSAM-2016/2017 119
Les traitements de surface
par voies mécanique : Grenaillage
ENSAM-2016/2017 120
Les traitements de surface par voies
mécanique : Grenaillage (shot peening)
ENSAM-2016/2017 122
Les traitements de surface
par voies mécanique : Grenaillage
ENSAM-2016/2017 123
Les traitements de surface
par voies mécanique : Grenaillage
Les contraintes internes peuvent être mesurées par deux méthodes :
L'une destructive appelée méthode de SACHS, elle permet de tracer le
profil des contraintes en fonction de l'épaisseur des pièces .
L'autre non destructive utilise les rayon x et ne permet que la mesure des
contraintes en surface.
ENSAM-2016/2017 124
Les traitements de surface par voies
mécanique: Galetage et Brunissage
Le galetage
Sur les pièces de révolution, on applique un galet toroïdal en acier trempé. On
écrouit ainsi les gorges, les congés de raccordement, etc.
Le brunissage
C'est une méthode qui consiste à mater le bord des trous par pression et rotation
d'un outil conique. L'écrouissage superficiel a pour effet de relever l'endurance
en fatigue et s'applique à de nombreuses pièces : ressorts de soupapes, ressorts
de suspension, aubes de turbines, etc.
ENSAM-2016/2017 125
Les traitements de surface par voies
mécanique : Traitements de martelage
ENSAM-2016/2017 126
Les traitements de surface par
voies mécanique : Conclusion
ENSAM-2016/2017 127