Vous êtes sur la page 1sur 3

UE 1.

1 S2 Psychologie, sociologie, anthropologie


Approche anthropologique et ethnologie du monde de la santé
Anthropologie de la santé : quels sont les savoirs populaires que nous avons et la cohérence de ses savoirs par
rapport aux représentations que l’on peut en avoir. Ex :Il ne faut pas sortir sans manteau, ce n’est pas le fait de ne
pas avoir de manteaux mais comment va réagir ton corps face à une éventuelle contamination. On peut être malade
même avec un manteau. On va détourner le savoir médical au profit des croyances. Pour maigrir il faut fre du sport.
C’est l’association de plusieurs facteurs qui font maigrir. Les remèdes de gds mère reveinent en force car la
médecine a fait croire qu’elle pouvait tt guérir ce qui n’est pas le cas et en plus ce n’est pas ds les savoirs ancestraux.
Les remèdes de gds mère font fctionner ens la nature et la culture.

Nous restons maitre de nos habitudes. On commence à qster le pouvoir du médicament. Avant tous les enfants
malades étaient mis sous antibiotiques. En ayant trop habituer l’enfant au antibio, des résistances se sont mis en
place. Le médoc pouvait avoir des vertus mais aussi des effets indésirable. Ce n’est dc pas naturel et ds nos
croyances ancestrales le naturel est bon.

Comment on s’approprie un savoir en domaine de la santé.

Avant qd les médicaments n’existait pas ,les personnes se soignait avec des plantes. C’est dc ds nos habitudes
anthropologiques.

Anthropologie médicale : quels est la dde que les gens ont sur la santé ? quels regard ont les gens sur la santé ?
C’est un qst autonome pouvant être liée à la dde médicale, on parle d’anthropologie médicale appliquée.

Sociologie de la santé s’intéresse à l’analyse des institutions sanitaires et de leur fctionnement. Comment ns créons
nos capacités à réaliser les soins

Un Qstionnement : non limité aux conceptions et savoirs populaires sur les maladies. S’intéressant à l’offre de soins
ds les structures sanitaires. Articulé aux Qstionnement de santé publique.

La dynamique des représentations traditionnelles :

- Une qst récurrente des médecins aux anthropologues :


Il y a un lien entre conceptions et pratiques. Avant on disait que qd on saignait du nez il fallait mettre la tête
en arrière (afin de ne pas perdre le sang) Les personnes qui le font encore c’est parce que c’est encré ds les
savoirs ancestraux.
Les conceptions populaires sur la maladie ont fausses. Ces conceptions populaires induisent des pratiques
néfastes à la santé.
Comment combattre de telles conceptions ?
L’anthropologue va traduire pq les gens réagissent de tels ou tels manière. On es ds une société stressée et
on veut revenir à des pratiques de zenitudes.

- Les réponses (décevantes ) de l’anthropologue : les conceptions populaires ne s’inscrivent pas ds un


système figé qui s’opposerait globalement à un savoir scientifique. La médecine moderne va s’imprégner des
ddes de la société (mourir chez soi, hospitalisation à domicile…). L’intériorisation d’une bonne information
n’est pas synonymes de changement de comportement.

- Ds les conceptions populaires : un symptôme ne donne pas nécessairement lieu à des interprétations
sophistiquées, ni à une recherche systématiques de sens. Certaines patho sont plus ou moins sujettes à
interprétation. Les personnels de santé peuvent conseiller leurs patients à s’orienter vers des recours non
médicamenteux d’où la nécessité de dépasser une analyse qui oppose tradition et modernité (ex  : la
péridurale).

Personnel en soin de santé


1
UE 1.1 S2 Psychologie, sociologie, anthropologie
Approche anthropologique et ethnologie du monde de la santé
Ils étaient très emprunt ds les techniques traditionnel. Mntnt il y a un savoir professionnel il faut dialoguer avec le
patient, connaitre sa vie, ds l’environnement ds lequel il vit pr comprendre sa pathologie.

L’anthropologie a pr but de comprendre comment les soins infirmiers en sont arrivé la ou il sont et comment ils
peuvent encore évolué.

Anthropologie de la douleur :

Avant le fait qu’une femme ai mal pdt l’accouchement lui permet de devenir femme. La douleur est un passage. Auj
la sté a changer son regard sur la douleur. Avant il était normal de souffrir c’était pr la bonne cause. Mntnt c’est
inhumain. On induit l’idée ds nos valeurs est qu’il n’est plus nécessaire de souffrir. Auj on ne trouve plus normal de
pleurer ses morts, on va donner vite des anti-dépresseurs et ne pas laisser le tps de se remettre c’est un processus
normal. On pense que l’on peux éradiquer la douleur c’est un fantasme. Il y a une utilisation de la douleur par la
religion chrétienne allant même jusqu’à la sublimer. Qd on accepte la souffrance envoyer par le seigneur, on pense
qu’on se fait une place ds l’immortalité (kamicase : fais au nom de la foi) la douleur est un passage nécessaire pr
rejoindre à l’immortalité.

Le culte du martyr : a une dimension mystique : dieu leur parle, sont les élus de dieu. Si on aime on est prêt à se
sacrifier pr l’autre. On retrouve ca ds tte les tragédies grecque, ds les mythes. Ds le crime passionnel on tue l’autre pr
le libérer et pr le garder : absolue amour. Il ne peuvent plus s’abandonner mutuellement.

La douleur a une fct rédemptrice, on se repend de ses pêchers. Pr moins souffrir on doit passer par la souffrance.

Ds notre culture on va voir se mettre en place une multitude de rites initiatiques afin d’arriver à être l’élu de dieu. Ds
certains pays certaines personnes dde à être crucifier pr vivre ce que le christ à vécu (mort d’axficie) La souffrance ne
s’entend qu’au regard du plaisir (plaisir de la chaire). Il faut garder son corps intacte fin de garder la pureté (du corps
et de l’esprit).

La vie sans douleur : a quoi on attribue notre douleur ? qd qqun pleur ces morts est ce que c’est parce qu’il est mort
ou parce qu’il nous laisse, son absence. On devrai être content qu’il soit mort et qu’il ne souffre plus. La douleur est
un symbole ms ds la vraie vie ca traduit d’un dérèglement. Auj mourir dignement c’est mourir sans douleur. Auj on a
le droit de décider de mourir (apaiser la douleur)

La douleur symptôme. C’est la douleur qui viens ns signifier que qqch fait mal. La douleur devient symptôme. Mais
on peut avoir mal et avoir aucune origine.

Supporter la douleur voir l’affronter c’est être fort, plus fort que les autres. Affronter la douleur c’est affronter dieu,
le défier.

La douleur viendrait traduire la défiance entre le dedans et le dehors. Une douleur sur le bras peux traduire un mal
être intérieur. La douleur permet la représentation d’une limite. Tte douleur a une notion nociceptif (nocif) , on
prend conscience de notre corps, on existe par une enveloppe corporelle. Tant que la personne a mal ca signifie
qu’elle ressent encore son corps : processus nociceptif.

Vivre sans douleur ? une utopie ? la douleur est propre à l’être humain, à l’être organique. La souffrance est
inhérente à l’évolution de nos corps. Qd on a une douleur et qu’elle disparait, on s’inquiète on la cherche. On aime
souffrit qqfois. La douleur est jouissive. La douleur est inhérente à notre société. Le stress est un processus par
lequel le corps traduit un sentiment de menaces. Il réagit à la menace extérieure.

La douleur n’est pas perceptible au travers des examens (irm, scanner…)si on dde de dessiner la douleur, o va
dessiner l’expression de la douleur (crie, ou petits aie aie aie.)y peux y avoir des gens qui ne crie pas mais le facies
montre qu’il souffre bcp. Comment la douleur se matérialise dans nos pensées.

2
UE 1.1 S2 Psychologie, sociologie, anthropologie
Approche anthropologique et ethnologie du monde de la santé
Le poids de la culture et de la religion. Il y a une évolution ,avant c’était une épreuve que dieu nous imposait. Ce
sentiment va être renforcé ds le fait que les médecins ne savent pas traduire la douleur. Cela vient donc de plus
grand que nous.

Dans la religion, la douleur est le résultat d’une faute commise. Une personne souffre car elle a douter de dieu, si
elle n’aurai pas douté de dieu, elle n’aurai pas eu de douleur. Il n’est pas digne de l’amour de dieu.

Pr accepter la souffrance envoyé par dieu, il faut se soigner. Se soigner c’est accepter l’épreuve. Ex  : la perte d’un
enfant, si les parents disent ma vie est finie, ils n’acceptent pas l’épreuve que dieu leur envoie. S’il y a des autres
enfants le fait de pleurer est un acte égoïste. Il faut se faire soigner et accepter la mort.

La culpabilité : avoir un enfant handicapé : c’est on doit se relever et l’accepter car dieu doute de nous. L’infirmité
c’est la punition du seigneur sur la descendance (selon lévitique). Il faut relever l’épreuve qui nous a été donné. S’il
l’infirme meurt ca veux dire que dieu nous relève de notre descendance et ns refait confiance.

Souffrance psychique et douleur : le cerveau peut induire sur les représentations à la réalité. Dc il imagine un
membre fantômes sur des personnes. Il peut y avoir douleur sans trouver la cause organique.

Le syndrome d’Ehlers-Danlos : la douleur qui exprime le mal être physique et non psychique d’un corps mal perçu
par la personne concernée et réagissant essentiellement sur un mode douloureux avec une gamme de sensations
très variées. Auj qd les médecins ne trouvent pas ils disent c’est ds la tête. Ds ce syndrome, il y a une perception
interne de la douleur (sensation de brulure, pique..). c’est un corps totalement douloureux.

Mettre tableaux.

Douleur, érotisme et sacré : aimé c’est douloureux. La jouissance n’est possible qu’au prix des limites de la
souffrances et du dépassement des limites. Le sadisme : jouir du mal que l’on va pouvoir fre ou du mal ke l’autre va
témoigné. La jouissance est le mal incarné. Le sadisme est celui qui jouit sans limites (enfants.. peux importe l’objet).
L’orgasme doit se traduire par des cris. La traduction de l’orgasme va être lié au cri

Vous aimerez peut-être aussi