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UE 1.

3 Relation soignant soigné


Psychologie : Science de l’âme humaine, du siège des émotions

Représentation de soi-même, des autres dans le monde, du sens/ de ce qui fait sens dans sa vie

Cognitif : s’intéresse aux représentation et à leur stockage dans la mémoire

Thérapie cognitivo-comportementale : comment changer ses représentation par un


changement de comportement

Psycho clinique : ne s’appuie pas sur le médical, s’appuie sur la rencontre avec le patient/ sur
l’expérience. Elle se fonde sur une étude la plus détaillée/approfondie possible de cas, de
phénomène singulier et unique qui fournis la base empirique d’une généralisation/d’une
connaissance scientifique. Elle essaye de ne pas perdre de vu l’unicité de chaque individu.
C’est l’étude de conduite humaine, des disfonctionnement, de tous les secteur de la conduite
humaine, adapté ou non. Peut s’appuyer sur la psychanalyse, qui avance que chaque
symptôme ont une signification, qu’ils expriment des maux, parfois somatique.

Ethnopsychologie : étude psychologique en fonction de l’ethnie, avec une prise en compte de


l’ethnie et de la culture

Le cerveau ne distingue pas le virtuel du réel

A chercher : La charge de Bidermann, le nudge, fenêtre d’overton

Psy différenciel : préfère les stats, sépare des groupes selon les stats

La psychanalyse est un utile pour la compréhension de soi, sans garantir la guérison.


Le psychanalyste permet de répondre différemment à un évènement traumatique passé.

En quoi la psycho clinique peut nous servir en tant qu’ergothérapeute ?

Le transfert :
désigne le processus par lequel les désirs inconscient s’actualisent sur certains objets dans le
cadre d’un certain type de relation établie avec eux et éminemment dans le cadre de la relation
analytique. C’est une répétition de prototype infantile vécue avec un sentiment d’actualité
marqué. Le transfert est facilement reconnu comme le terrain où se joue la problématique
d’une cure psychanalytique (installation, modalité, interprétation et résolution)

La réactions transférentielle consistent en la réactivation/ réactualisation des relations


significative du passé, surtout de l’enfance, (surtout celle avec les parents) projetées sur le
soignant. Ainsi les rapport a autrui du passe sont revécus comme un rapport réel aux
soignants.

Contre-transfert : ensemble des réactions inconsciente de l’analyste à la personne de l’analysé,


et plus particulièrement au transferts de celui-ci. Nom donnée aux réactions émotionnelles
intenses, ressenties vis-à-vis du patient lorsque celui-ci amène le soignant à répondre à ses
propre besoin plutôt qu’à ce du patient.
Le transfert d’un patient sur son soignant est naturel, et n’est pas obligatoirement a
conscientiser.
Le soignant doit toujours faire attention aux contre-transfert pour ne pas impacter le patient
avec ses besoin personnels.
Le transfert du patient influence les réactions du soignant.
La confidence d’un patient vient d’un transfert.

Un accueil chaleureux, moins formel.

Le soignant perçois toujours quelque chose du transfert de son patient.

Reviviscence : fait de revivre/ re ressentir une évènement qui déclenche des émotions, un état
psy

Personnalité hystérique/histrionique : personne qui théâtralise, exagère ses émotions

Les mécanismes de dégagement :


Les mécanisme de dégagement sont eux régis par les processus secondaire, permettant
l’intégration et le contrôle des situations plutôt que leur évitement.
Le dégagement permet de gagner du temps, sans éviter la situations trigger.

L’humour est une forme de dégagement et de défense, pour éviter les situations
risquées.

La projection est une opération d’expulsion dans l’autres des pensées, sentiments et
désirs que le sujet refuse en lui. L’élément gênant fait retour sous la forme d’une
représentation qui concerne le monde extérieur.
C’est celui qui dit, qui est.

L’affiliation recherche de la présence d’autrui pour l’aide et le soutien qu’il peut


apporter

Les mécanisme de défenses :


Les mécanisme de défenses sont inconscient et sont des processus primaires. La défense
constitue l’ensemble de opérations dont la finalité est de réduire ou de supprimer toute
modification susceptible de mettre en danger l’intégrité et la constance de l’individu
biopsychologique. Elle opère, au moins en partie, de manière inconsciente.

La défense est une tricherie envers soi-même/ de ses représentations. C’est une tricherie
contre la souffrance, pour s’en protéger.
C’est une forme d’amputation de connaissance.

Le déni, empêche les gens de faire face, d’entendre/ de vivre les situations.
Consiste a nié une perception pour protéger le soi. Mécanisme mettant en question le monde
extérieur.
On ne veut pas voir ni entendre ce qui nous dérange.

Le clivage du moi division du moi, coexistence de deux attitude, une ancrée dans la
réalité et l’autre dans le déni, attitudes inconsciente de la présence de l’autre. Les deux être
sont dans le déni vis-à-vis de l’autre.
Docteur Jekyll et mister Hyde.

Le clivage de l’objet : l’objet est scindé en deux partie, l’une bonne et l’autre
mauvaise, sans conciliation entre les deux. L’objet est partiel car il ne peut être perçu que
d’une seule manière au même moment T.

Régression retour a des étapes et des modes de fonctionnement antérieurs à l’état du


sujet face à une situation trigger.
Pas de thérapie sans situation de régression.
Vu d’un mauvaise œil par les thérapeutes.

Retrait apathique attitude de replis sur soi, de détachement affectif, de restriction des
relations sociales et activites, abandon passif aux évènements face à une situation de grand
danger/ détresse

Un mécanisme de dégagement a l’excès devient un mécanisme de défense.

Lire : professionnel auprès d’adultes handicapés

Renversement par le contraire : Réponse à une pulsion par le pulsion inverse

Activisme : Recours à l’action plus qu’à la réflexion dans des situations angoissantes

Intellectualisation : Utilisation de la généralisation pour éviter les représentations et de la


charge émotionnelle qui viennent avec.

Toute perception est légitime.

Selon Porter
Ne pas porter de jugement et ne pas interpréter ce que disent les gens
Interpréter : chercher à dire pourquoi la prs ressent, dis, fait.

Le questionnement montre qu’on ne sait pas et que donc on ne comprends pas.

Ne pas donner de solutions mais essayer de recentrer sur la prs sur elle et ses ressenties,
essayer de la guider vers une aide annexe plus apte à l’orienter.

Éviter de consoler et rassurer.


Dire la vérité sur un ton adaptée, reconnaitre le mal-être et sa cause pour permettre
l’acceptation.

Être congruent : être honnête, avoir un discours en accord avec les faits réels

Le deuil – Kubler-Ross (courbe du deuil)


Les enfants sentent la mort a l’avance : dessin de papillon

On vit tous les jours des mini-deuil, des frustrations d’évènement benins.
Traumatisme – impression poignante de risque de mort pour la prs traumatisée
Le déni, des faits ou de ses émotions
La colère, phase de réalisation, la prs en veut au monde entier, refus, sentiment
d’injustice
Le marchandage, cherche un échappatoire, repousse l’échéance
La tristesse, la personne commence à accepter le réalité
Si la prs n’en sort pas, on entre en phase de dépression
L’acceptation dans le deuil, c’est lorsqu’il n’y a plus de remords. On a accès a
l’héritage émotionnel de la personne.
Cheminement entre refus et acceptation, pas forcément logique, chronologique. Les étapes
peuvent se chevaucher.

Fonction contenante : fonction alpha, fonction de détoxication permettant de transformer un


élément psychique brut (élément beta) en élément psychique digérable et appréhendable sans
angoisse ou frustration.

Lors d’un entretien, je me dois d’écouter, d’accueillir la parole du patient, mais je ne suis pas
obligé de cautionner.

Alliance de travail : position face au traitement, avec une intention sincère à y participer, sur
sa motivation sincère de s’y investir et une envie consciente de s’en sortir

Alliance thérapeutique : désir de collaboration au traitement, s’appuyant sur le sentiments


positif du patient envers le thérapeute. Témoigne de la qualité du lien et d’une confiance a se
laisser guider dans la thérapie.

Vulnérabilité : renvoie à la fragilité de la condition humaine. Nous sommes mortels, fragile,


faillible.

Maltraitance : violence se caractérisant par tout acte ou omission commis par une personne si
cela porte atteinte à la vie, l’intégrité physique ou psychique, à la liberté ou à la dignité d’un
tier, qui compromet gravement le développement de sa personnalité, ou nuit à sa sécurité
financière.

Bientraitance : culture de respect de la personne. Manière d’être du thérapeute au-delà de la


série d’acte. Valorisation de l’expression des personnes. Aller-retour permanent entre penser
et agir. Démarche continue d’adaptation a une situation donnée.

Prs vulnérable : personne en état de fragilité, de faiblesse. Manipulable, sous contrainte.


Menacer dans leur intégrité physique et psychique.  du a l’âge, la maladie, l’infirmité, une
déficience, une grossesse. Prs dont la capacité ou la liberté à donner ou reprendre leur
consentement est limité.

Si maltraitance  s’adresser au maltraitant en premier.

Il ne suffit pas de ne pas être maltraitant pour être bientraitant.

Documentaire  maison carpe diem, canada, accueil vieux alzheimer.


L’agressivité w/ Alzheimer n’est jamais dans le but de détruire. L’agressivité montre la
défense de qqc, de soi, de ses biens, de son territoire.
Est-ce que le fait de bien connaitre une personne justifie de prendre un risque ? (risque de
léser l’alliance)

Créer l’environnement autour de la personne, pour sa vie.


On cherche à amener une qualité de vie, pas une quantité de vie.

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