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Aspect technique de l’entretien non directif face à une facilité de l’expression du sujet 

:
ses techniques vont être indissociables de l’attitude clinique du clinicien.

 Les attitudes on a la non directivité c.à.d. l’attitude envers le sujet par laquelle la
thérapeute refuse d’orienter le sujet, à penser ce que le sujet doit penser, agir, sentir
d’une manière déterminer. L’attitude où la centration est essentielle, cette attitude
repris par Carl Rogers dans la relation d’aide. Il implique que le psychologue a confiance
à son patient et dans ses capacités d’auto-direction, du ses changements dans ses choix.
Il s’agit d’attitude respectueuse empathique, compréhensive à l’écart du sujet, et c’est la
seule manière de changer le sujet selon Carl Rogers.
o Le respect : est le premier principe de code déontologique de la psychologie, qui
dit le respect de la personne dans toutes sa dimension psychique, est un droit
indéniable sera reconnaissance ou du ses réactions du psychologue. Cela
concerne le respect des droits fondamentaux de la personne, de leurs dignités,
de leurs libertés, de leurs protections du secret professionnel, et implique le
consentement libre et éclairer des personnes concernées. Au niveau de
l’entretien cette position éthique peut se traduire ici par le respect de la
personnalité du sujet, du ses appartenances social, culturel, professionnel, et
certains du ses aménagements défensifs (ses organismes de défenses).
o Les conditions positives inconditionnelles ou ce qu’on appel l’acceptation
inconditionnelle : l’acceptation inconditionnelle de ce qui est dit, de la manière
dont cela était dit exprimer, et de faite que l’autre ne souhaite pas exprimer un
tel ou tel sentiment. Par suite le patient aura une neutralité bien vaillante. La
neutralité bien vaillante est un contenant indispensable à l’acceptation
inconditionnelle. Le clinicien ne doit pas formuler des jugements, ni des critiques,
ou des approbations à l’égard du sujet. Elle n’est pas fondé sur la neutralité
passive sur un refus de s’engager, ce n’est pas à la fois du faire distance mais elle
doit s’associer à une bien vaillance. Donc c’est un engagement positif qui repose
sur l’intérêt porté à l’autre, sur une considération positive qui lui permettra de
s’exprimer librement en toute confiance.
o L’empathie : il s’agit de comprendre de manière exacte le monde intérieur du
sujet dans une sorte d’impression intuitive, il s’agit selon Rogers « non pas de se
mettre à la place de l’autre mais d’essayer de savoir comment on sent s’il en est
l’autre, afin de ressentir non seulement les choses superficiel mais aussi à
accéder à la signification de plus profonde. ». L’empathie se détermine par 2
composantes : la réceptivité de sentiment vécu par l’autre, et la capacité verbale
de communiquer cette compréhension. Si ce climat est crée on pourra se mettre
en place la capacité de tout individus à se comprendre même et du ses propres
problèmes.
L’empathie apparait comme le principe clés de la psychothérapie et de son
efficacité.
o L’authenticité ou cogérance : on s’intéresse à l’autre. L’authenticité d’intérêt
permet d’être disponible pour lui, elle est la condition absolument d’écoute
compréhensive. Cette authenticité peut aller jusqu’à vouloir l’expression du ses
propres sentiments devant la situation d’interaction.
o La disponibilité : le clinicien doit être disponible et est demandé de trouver un
lieu approprié, et être dégagé momentané d’autre tâche au prés des patients et
d’être à l’écoute. C’est une disponibilité psychique et non physique.
 Les techniques favorisant l’expression du sujet :
- Prise du contact avec le sujet : l’accueil : dés 1ère contact, dés l’enceinte dans
l’établissement d’avoir la posture, l’attitude du cliniciens car on peut croiser le patient
dans le parking même ; dès 1ère instant le psychologue doit motiver le sujet à accrocher
son intérêt, à le mettre en confiance pour l’amener à collaborer dans l’entretien donc
créer un climat favorable à l’échange. Une analyse du ton de la voix, mimique de
l’accueil, 1ère main au poigner à l’entrée, le geste de s’assoir…
- L’information donnée : se présenter ; présenter quel organisme ou l’institution ; inciter
l’objectif de l’entretien ; insister sur l’intérêt de l’entretien ; la situation de l’entretien
accepter pour un informer des modalités de réalisation de l’entretien ; si on enregistre
on doit expliquer pourquoi et c’est de même pour la prise de note ; de faire part de
projet thérapeutique
- Explication du cadre te évocation des aspects déontologiques professionnels qui peuvent
contribuer à rassurer le sujet : le respect de l’anonymat, la confidentialité…
- Cette 1ère rencontre venait sans hâte est destinée à dédramatiser la situation d’entretien,
en réalité le sujet ne se sent pas angoissé, et au fur et à mesure du différent entretien le
psychologue resserrer les choses, il faut que le sujet reste et évoque des choses donc
c’est au psychologue d’instaurer les limites. Il faut montrer qu’il n’ya aucun risque à
répondre dans l’entretien. Et avant de commencer l’entretien il faut s’assurer que le
sujet n’a plus d’interrogation sur la situation d’entretien et qu’il est prêt à ce qui va se
passé dans l’entretien, donc il faut se trouver fasse au sujet allaise et sans aucun
appréhension.
- Durant le premier entretien désigne souvent à un échange inaugurale qui va se centré
surtout de la parole entre deux personnes aux fonctions distinctes « un clinicien » et « un
sujet = patient ». En opposition de demande dissymétrique un détient le savoir et l’autre
détient la souffrance. L’entrevue clinique constitue donc un outil d’investigation et
diagnostic. Il vise le changement, il dispose d’une dimension évolutive où il s’inscrit sa
potentialité thérapeutique.
- Le premier entretien peut être unique ou sombre et obscure, sous la forme d’une
consultation motivé d’engagement d’une cure thérapeutique.
- Au niveau de consigne : surtout le consigne initial c’est une question ouverte dès le
départ, c’est celle qui va définir le terme de discours.
- Au niveau d’écoute : il est tactile ou marque d’écoute. Le psychologue doit porter un
certain intérêt au sujet, une attention qui doit donnée au sujet le sentiment qu’il est
entrain de l’écouter. Il réactualise les expressions de rêve qui manifeste de la
compréhension et de l’intérêt, et invite à poursuivre le discours expl : je voix… ; l’attitude
mimique expl: hanchement de tête, je comprends, mmmh…
Les regards sont autant d’encouragement sans verbalisation pour favoriser la poursuite
de son idée.
- La reformulation et réitération : consiste à répéter un contenu déjà exprimer par le sujet.
Elle constitue des extractions du contenu et non des ajouts de sens (c.à.d. une
reformulation toute en l’incitant à poursuivre ses idées). Elle traduise aussi la
confirmation d’écoute, signale au sujet qu’on a bien entendu ce qu’il a dit tout en lui
demandant d’expliquer d’avantage mais réitéré. On différencie deux catégories : l’écho
et le reflet.
 L’écho : ou s’appelle aussi « le miroir » c’est répéter à quelqu’un quelque chose
qui vient d’énoncer en lui montrant qu’on a bien entendu et compris ce qu’il
vient de dire , et qu’on effectue une sélection sur l’ensemble du son discours des
éléments qui nous intéresse en fonction du projet thérapeutique. Ce type
d’intervention peut être stimulante à petite dose et encourage à développer le
sujet. Mais si elle est utilisée systématiquement elle peut bloquer par son aspect
artificiel
 Le reflet : c’est d’expliquer une attitude, des sentiments, des émotions non dits
(ce que le psychologue perçoit et qui n’est pas dit par le sujet c.à.d. les
mimiques, les tonnassions de la voix, le silence, les hésitations...). Ce n’est pas
un simple ‘’oui’’ mais la reformulation qui montre au sujet qu’on a compris ce
qu’il ressent. Ce type d’intervention est parfois nécessaire pour enlever le type
de blocage et favorise l’auto-expression, l’auto-exploration et sa dépend du
psychologue.
- Les résumés : consiste à reprendre l’ensemble du ce qui était dit par le sujet pour faire
un résumé, elle permet de faire ressortir sans déformer le sens les points essentiels. Elles
doivent permettre au sujet de restructurer sa penser toute en gardant l’essentiel de ce
qu’il était dit. Cette relance est souvent utilisée à la fin de l’entretien. elle permet en
outre de réapprécier les choses ou de revenir sur les points incompris. Et si bien faite
cette reformulation est bénéfique, alors que s’il est mal-faite serait gênante car le sujet
peu la ressentir comme extérieur à lui et risque de se sentir incompris.

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