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SOMMAIRE
SOMMAIRE ................................................................................................................................. 2
REMERCIEMENTS ....................................................................................................................... 6
RESUME ...................................................................................................................................... 7
INTRODUCTION ........................................................................................................................ 8
CHAPITRE 1 : PRESENTATION DU PROJET ET DE L’ORGANISME D’ACCUEIL ............................ 9
1.1 Presentation de novec ................................................................................................... 9
1.2 Presentation du projet................................................................................................... 13
1.2.1 Contexte général du projet ...................................................................................... 13
1.2.2 Principaux intervenants ........................................................................................... 16
1.2.3 Données géotechniques .......................................................................................... 16
1.2.4 Schématisation de la structure étudiée ................................................................... 17
1.2.5 Paramètres de calculs sismiques ............................................................................. 18
CHAPITRE 2 : CONCEPTION GENERALE DU PROJET ................................................................. 23
2.1 Introduction ................................................................................................................... 23
2.2. Conception et choix structural des elements ............................................................... 23
2.2.1 Normes et règlements en vigueur ........................................................................... 23
2.2.2 Conception vis -à- vis des contraintes architecturales ............................................ 24
2.2.3 Critères de conception parasismique ...................................................................... 24
2.3 Systèmes de contreventement des structures en bâtiment ......................................... 26
2.3.1 Système de portiques ............................................................................................. 26
2.3.2 Système de voile en béton armé ............................................................................ 29
2.3.3 Système mixte voiles-portiques .............................................................................. 31
2.4 Pré dimensionnement des éléments de la structure .................................................... 31
2.4.1 Caractéristiques des matériaux ............................................................................... 31
2.4.2 Choix de type de plancher ....................................................................................... 32
2.4.3. Poutres .................................................................................................................... 33
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REMERCIEMENTS
commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui nous ont beaucoup aidés au cours
de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable.
ingénieur de structures et aménagement extérieur au sein de la société Novec pour son encadrement
tout au long de cette période de stage, ses conseils, et l’expérience enrichissante qu’il nous a
transmis.
Nous remercions également tous les ingénieurs et les techniciens de Novec qui nous ont
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RESUME
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INTRODUCTION
Afin de répondre aux objectifs fixés dans notre structure en béton armé, qui présente des
irrégularités en plan et en élévation, et qui se situe dons une zone de sismicité moyenne, on
va chercher non seulement d’avoir une rigidité capable de limiter les déformations, mais
aussi éviter les risques de rupture fragile. On doit adopter un système de contreventement par
voiles couplés qui permet de résoudre les problèmes de réalisation des nœuds des portiques.
Il faut que les désordres structuraux majeurs, et les dommages mineurs y restent contenus
dans des limites acceptables.
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Novec est le fruit de la fusion entre les sociétés Ingéma et Scet-Scom, dont la Caisse de
Dépôt et de Gestion (CDG) est l’actionnaire principale.il regroupe les activités des deux
bureaux d’étude, dont il convient de rappeler les plus importantes :
- Scet-Scom (fondé en 1958) : Ces principales activités sont liées aux : bâtiment,
aménagements urbains, agriculture et développement rural, alimentation en eau et
assainissement.
- Ingéma (fondé en 1973) : Il opère dans le secteur des grandes infrastructures
(barrages, autoroutes, ouvrages d'art, ports, tunnels), ressources en eau, énergie et
environnement.
Fort de l'expertise reconnue de ces deux bureaux, Novec est désormais un acteur de
premier ordre dans le domaine de l’ingénierie, employant près de 600 collaborateurs,
intervenants dans des domaines d’activité variés.
Novec assure l’ensemble des processus des métiers de l’ingénierie, depuis les études de
faisabilité jusqu’à l’assistance à la réalisation et à l’exploitation.
Ainsi, Novec, dont le siège social est à Sala El Jadida –Technopolis, opère également à
l'international, où elle est appelée à devenir l'un des bureaux de référence, notamment en
Afrique et au Moyen-Orient.
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1.1.1 Historique
1973 : Création d’INGEMA par COYNE et BELLIER en tant que bureau d’ingénieurs
2004 : Fusion entre SCET Maroc et SCOM international donnant naissance à SCET-SCOM.
Novec est une entreprise à Conseil d’administration, constituée d’une direction générale,
de quatre pôles métier et un de support, de 13 départements et 9 services techniques.
Mon Projet de Fin d’Etudes est effectué au pôle bâtiment, et plus précisément dans le
Service structure et aménagements intérieurs dirigé par Monsieur Abdelwahab.
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Selon le zonage sismique du Maroc, notre site (ville Fès) fait partie de la zone 2 .
Zones A= A max / g
Zone 1 0,01
Zone 2 0,08
Zone 3 0,16
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Le RPS 2000 répartit les bâtiments selon leur usage principal en deux classes de priorité, à
chaque classe de bâtiments correspond un facteur d’importance ou de priorité I, donné dans
le tableau2, qui est un facteur additionnel de sécurité.
Toutefois, le maître d’ouvrage peut surclasser un ouvrage particulier par sa vocation.
Classe I : Sont groupées dans cette classe les constructions destinées à des activités sociales
et économiques vitales pour la population et qui devraient rester fonctionnelles, avec peu de
dommage, pendant le séisme ex : hôpitaux, réservoirs d’eau, établissements scolaires...
Classe II : Sont groupées dans cette classe les constructions n’appartenant pas à la classe1,
tels que les bâtiments courants à usage d’habitation, de bureaux ou commercial.
Le bâtiment est à usage établissement scolaires, il est donc de classe I, ce qui donne le
coefficient de priorité : I = 1.3
L’intensité avec laquelle un séisme est ressenti en un lieu donné, dépend dans une large
mesure de la nature des sols traversés par l’onde sismique et des conditions géologiques et
géotechniques locales. Les conditions locales du sol sont très importantes en effet si la
fréquence du sol est proche de celle de la structure, on est en présence d’une amplification
dynamique du sol.
Pour tenir compte de ces effets sur le spectre de réponse du mouvement du sol, un
classement des sites en trois types est adopté en fonction de la classe des sols. Le choix du
site tient compte à la fois de la classe de sol et de son épaisseur.
En cas de manque d’informations sur les propriétés du sol pour choisir le type de site
adéquat, on adopte le coefficient et le spectre du site S2.
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Type de structure ξ
La ductilité d’un système structural traduit sa capacité de dissiper une grande partie de
l’énergie sous des sollicitations sismiques, par des déformations inélastiques sans réduction
substantielle de sa résistance. La ductilité dépend des caractéristiques des matériaux de la
structure, des dimensions des éléments et des détails de construction.
Le tableau suivant illustre le niveau de ductilité requis pour les deux classes de bâtiments en
fonction de l’intensité du séisme :
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La structure est de classe I et de Amax = 0,08g, donc d’après le tableau, le niveau de ductilité
requis pour la structure est ND1.
Systèmes de
ND1 ND2 ND3
contreventement
Portiques 2 3,5 5
Murs et Refends 2 3 4
Notre structure est peu ductile avec un système de contreventement par voile donc K=1.4
D’après la formule 6.5 du RPS, la période fondamentale : T = 0.09H/√L
Où H : hauteur totale du bâtiment
L : longueur du bâtiment selon chacune des directions X et Y.
Tableau 7: Période fondamentale de bâtiment T
H (m) 34.55
Lx (m) 27.2
Ly (m) 34
Tx (s) 0.59
T y (s ) 0.53
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La période fondamentale dans les deux sens Tx= 0.59s et Ty= 0.53s est comprise entre 0.4 et
0.6 avec un site de type S2, donc on conclure d’après le tableau ci-dessus que le facteur
d’amplification dynamique prend la valeur de : D = 2.50
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2.1 INTRODUCTION
Tous les calculs effectués dans ce travail sont basés sur les règlements suivants :
C’est un règlement officiel qui s’applique aux constructions nouvelles et aux bâtiments
existants subissant des modifications importantes telles que changement d’usage,
transformation pour des raisons de sécurité publique ou construction d’un ajout. Il est pour
objectif de :
- Définir l’action sismique sur les bâtiments ordinaires au cours des séismes.
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L’art de la conception du projet est de trouver des solutions techniques, tout en répondant
aux exigences de stabilité et de résistance, et aux contraintes architecturales de viabilité de
sécurité et d’esthétique. La conception a été ainsi réalisée en collaboration avec l’architecte,
les conditions architecturales prises en considération se résument à :
- Eviter d’avoir des poteaux qui débouchent au milieu des chambres et des salons...
- Eviter d’avoir de grande retombée de poutre ou de sorti de poteau dans les coins du
bâtiment.
2.2.3 Critères de conception parasismique
- Simplicité
- Continuité
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la structure devrait être maximale, ce qui est obtenu en faisant intervenir le maximum
d'éléments, de manière à constituer un mécanisme de ruine global et non local.
- Régularité en plan
- Régularité en élévation
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Le principe « poteaux forts – poutres faibles » pour la formation des rotules plastiques
dans les poutres plutôt que dans les colonnes des ossatures en portique.
Dans les bâtiments dont l’ossature primaire est faite de portiques qu’on souhaite faire
travailler dans le domaine plastique sous séisme de projet, il est fondamental pour la
sécurité de développer les déformations plastiques dans les poutres et non dans les poteaux.
Par ce que dans ce cas-là les planchers et les poutres même forts endommagés ne s'effondrent
pas individuellement, ils restent suspendus par les armatures ou les parties restantes
des assemblages, alors que les dégâts aux poteaux entraînent facilement un
effondrement d'ensemble.
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Les modes de rupture indésirables souvent observés dans les structures contreventées
par portiques auto-stables sont dus à la formation de rotules plastiques dans les poteaux
mal dimensionnés au niveau des zones critiques d’un étage souple, ou dans les nœuds
(jonctions poteaux-poutres), la rupture est due à la concentration des contraintes à ses
endroits à cause de leurs rigidités élevées.
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Les dégradations dues au cisaillement alterné de poutres ou poteaux rendent les structures
inutilisables ou causent leur effondrement.
Ces dégradations résultent de fissurations inclinées alternée à 45° en cas de cisaillement pur,
générées par l’alternance des mouvements de la structure.
Le volume des nœuds doit être fretté afin de prévenir leurs gonflements et l’éclatement du
béton ainsi que pour lui assurer une bonne ductilité, l’insuffisance de frettage a souvent
entraîné l’éclatement des nœuds ou la rupture des têtes de poteaux.
La rupture par cisaillement de ce qu’il est convenu d’appeler des «colonnes courtes» est une
cause majeure d'effondrement lors de tremblements de terre. Il s'agit de colonnes trapues,
qui sont souvent encastrées dans de solides poutres ou sommiers, ou qui sont rigidifiées par
le remplissage ultérieur d'un cadre.
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Au fur et à mesure que la nécessite de construire des immeubles de plus en plus hauts se
faisait sentir, les portiques ont commencé à être remplacés par des refends disposés au droit
des cages d’escalier et des ascenseurs.
Le système est constitué de plusieurs murs isolés ou couplés, destinés à résister aux forces
verticales et horizontales. Les murs couplés sont reliés entre eux par des linteaux
régulièrement espacés et adéquatement renforcés.
Les bâtiments avec voiles en béton armé ont montrés un excellent comportement sous l'action
sismique même lors des séismes majeurs. Ils ne comportent pas de zones aussi vulnérables tel
que les nœuds de portiques et la présence de murs de remplissage n'entraîne pas de
sollicitations locales graves.
La rigidité et la résistance des voiles diminuent avec le nombre et l'importance d'ouvertures,
par ailleurs, elles devraient être superposées afin de préserver les trumeaux résistants.
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Les modes de ruptures des voiles élancés sont représentés sur les figures ci-dessus :
- Rupture en flexion
Mode a : rupture par plastification des armatures verticales tendues et écrasement du béton
comprimé.
C’est le schéma de ruine le plus satisfaisant qui correspond à la formation d’une rotule
plastique dans la partie inférieure de voile avec une importante dissipation d’énergie. On
observe que ce mode de ruine dans les voiles très élancés soumis à un effort normale de
compression faible et à cisaillement modéré.
Mode b : rupture par écrasement du béton. Ce mode de ruine se rencontre pour les voiles
assez fortement armés soumis à un effort normal important. Le mode b est moins ductile
que le mode a, surtout dans le cas d’une section rectangulaire.
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Mode c : rupture fragile par ruptures des armatures verticales tendues. C’est un mode de
rupture qui se rencontre dans les voiles faiblement armés, lorsque les armatures verticales
sont essentiellement réparties et non concentrés aux extrémités. La ductilité et la capacité
d’absorption d’énergie peuvent être améliorées en concentrant les armatures verticales aux
extrémités.
- Rupture en flexion – Effort tranchant
Mode d : rupture par plastification des armatures verticales de flexion et des armatures
transversales. C’est ce qui se produit dans les voiles moyennement élancés où la flexion n’est
plus prépondérante et où les armatures horizontales sont insuffisantes.
- Rupture par effort tranchant
Mode e : rupture des bielles de compression développées dans l’âme du voile. On observe
dans les voiles munis de raidisseurs fortement armés longitudinalement et transversalement
et soumis à des cisaillements élevés.
Dans certains cas ou les voiles ne suffisent plus à assurer le contreventement pourvu que
les charges verticales sont, à 80% et plus, prises par les portiques. Une liaison avec des
portiques permet d’augmenter leur capacité de résistance. Le calcul manuel est laborieux
mais les avancées informatiques ont rendu possible l’étude d’exécution de telles structures.
Les difficultés d’exécution dues à la complexité de la structure de résistance confèrent à ce
type de construction un caractère assez limité.
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Pour remplir ces rôles, notre plancher doit satisfaire quelques exigences :
- Ne pas être trop long et étroit pour éviter sa flexibilité dans le plan horizontal.
- Dans le cas où la rigidité du diaphragme est moins importante que celle des éléments
de contreventement verticale (voile), se limiter à des portées modérée afin de limiter
la flexibilité du plancher.
- Placer les trémies et les ouvertures au milieu des diaphragmes et non à leurs
extrémités.
- Les éléments constructifs du plancher doivent impérativement être solidarisés entre
eux pour assurer la continuité mécanique.
Le pré dimensionnement se fera par panneau de dalle. On retiendra une épaisseur uniforme
pour l’ensemble du plancher.
L’épaisseur h de la dalle n’étant pas fixée, nous devons choisir une valeur permettant
de respecter les conditions de résistance à la flexion, d’isolation acoustique et de sécurité
incendie. Il s’agira de pré-dimensionner la dalle sur des appuis continus.
Pour cette raison nous allons identifier le panneau de dalle continue qui possède la plus
grande surface.
Leurs épaisseurs dépendent d’une part des conditions de :
La résistance à la flexion :
- 1/30 à 1/35 de la portée pour une dalle reposant sur 2 côtés.
- 1/40 à 1/50 de la portée de la dalle reposant sur 3 ou 4 côtés.
L’isolation acoustique : h ≥ 15 cm à 20 cm
La sécurité incendie :
- h ≥ 7 cm pour 1h de coupe-feu
- h ≥ 11 cm pour 2h de coupe-feu
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Pour les dalle on prend un ép=15cm pour les panneaux de faible dimensions et ép=20cm
pour les panneaux de grande dimensions.
2.4.3. Poutres
N.B : Les sections des poutres sont précisées dans les plans de coffrage présentés dans
l’annexe. Le règlement parasismique Marocain impose que la partie sortante de la poutre doit
être inférieure à la largeur du poteau divisée sur 4.
2.4.4 Poteaux
Le pré dimensionnement des poteaux se fait par la descente de charges pour le poteau le
plus sollicité.
Les poteaux sont pré dimensionnés à l’ELS en compression simple en supposant que seul le
béton reprend l’effort normal Ns tel que : NS = G + Q
La section transversale du poteau le plus sollicité est donnée par : Ap= Ns ⁄Sigma b
et
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2.4.5 Voile
L’épaisseur des voiles a été fixée sur la valeur de 20cm pour tous les niveaux.
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N.B : Les murs de façade seront pris en considération en tant que charges linéaires
appliquées par des cloisons de 20 cm d’épaisseur et 2700N/m2, avec enduit de 1,5 cm
d’épaisseur sur les deux faces. Ce qui donne une charge linéaire de :
- 9.72 KN/ml au niveau de RDC et les niveaux
- 10.80 KN/ml pour le RDJ
- 3.88 KN/ml pour la charge appliquée par l’acrotère.
Pour mieux organiser les résultats, et standardiser les calculs des éléments de structures
on a choisi d’utiliser le tableau EXCEL.
En premier lieu on fait la descente de charges des éléments structuraux en non structuraux,
en distinguant la charge permanente et la charge d’exploitation.
Apres le calcul des efforts normaux (ELU et ELS) sollicitant les sections : dalles, poutres,
poteaux….. ,afin de faire une étude dynamique et sismique pour pouvoir déterminer le
ferraillage de ces derniers.
Exemple de pré-dimensionnement de poutre
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Les surfaces de chargement des poteaux sont des surfaces curvilignes, toutefois pour
simplifier les calculs on les considérera rectangulaires. Ces surfaces sont calculées
manuellement.
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On exposera d’abord la démarche de calcul pour un seul poteau, puis on donnera les
résultats de chaque poteau sous forme de tableaux.
N.B : Dans les calculs concernant les poteaux avoisinant les poteaux de rive, on tiendra en
Compte la majoration de 10%(si le poteau est voisin une seul fois un poteau de rive) ou 15%
(si le poteau est voisin plus d’une fois un poteau de rive) dans la valeur de la surface de
chargement.
La surface de chargement :
La surface d’influence est : S = 4.03×6.45 = 25.99 m2
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Q = 2.5×25.99 = 64.97KN
Avec Ns =2.74MN et
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2.4.7 Descende de charges effectuées par ROBOT et partie de structure par CBS Pro
Les calculs effectués sur ROBOT et CBS PRO donnent les valeurs de la descente de
charge pour la combinaison ELU (1.35 G + 1.5 Q) et la combinaison ELS (G + Q).
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3.2.2.1 Principe
D’après RPS 2000 l’approche statique équivalente a comme principe de base de substituer
aux efforts dynamiques développés dans une structure par le mouvement sismique du sol,
des sollicitations statiques calculées à partir d’un système de forces, dans la direction du
séisme, et dont les effets sont censés équivaloir à ceux de l’action sismique.
3.2.2.2 Condition d’application
D’après l’article 6.2.1.2 du RPS 2000, L’approche statique équivalente, est requise dans les
conditions suivantes :
- Le bâtiment doit être régulier conformément aux critères définis dans l’article 4.3.1.
(On vérifiera ce critère dans la suite).
- La hauteur du bâtiment n’excède pas 60 m et sa période fondamentale ne dépasse
pas T= 2 sec.
3.2.2.3 Vérification de régularité de bâtiment
En effet, le bâtiment ne présente pas une forme simple, et les dimensions des parties
rentrantes ne vérifient pas la condition , tel qu’illustré dans la figure :
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Les valeurs des masses participantes dans les deux directions restent inférieurs aux
celles recommandées par les règlements en vigueur (inférieures à 90% pour le sens y).
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Nous constatons que la fréquence est inférieure à 33Hz, donc on peut augmenter le nombre
de modes jusqu’à que la participation des masses dans les deux directions approche de 90%
Nous avons augmenté le nombre de modes jusqu’aux 30 modes et nous remarquons que les
masses participantes approchent de 90%.(Règles PS 92 applicable aux bâtiments (Déc.1995).
Tableau 15:Résultat de l’analyse modale pour 30 modes
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On constate, d’après le tableau suivant qu’au bout de 30 modes, que 92.46 % de la masse du
bâtiment a été mobilisée dans la direction horizontale X, et dans la direction horizontales Y
environ 91.10 % avec une fréquence de 19.41 Hz au 21ème mode.
Finalement, nous avons arrivé à une participation des masses supérieure à 90% avec un
nombre de modes égale à 21 (mode convergeant) sans que la fréquence dépasse 33Hz.
Les figures montrent les allures des principaux modes de vibration du bâtiment :
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Avec :
h : la hauteur de l’étage ;
K : coefficient du comportement. Ce coefficient étant K = 1.4 (structure par voile).
Notre structure étant de classe I, donc les déplacements inter-étages ont été calculés par le
logiciel ROBOT. En ce qui concerne notre cas, nous avons :
séisme X séisme Y
Etages hauteur Δel RPS 2000(cm)
Ux Uy Ux Uy
RDC 3,6 0,3 0,2 0,1 0,1 1,80
RDJ 4,0 0,2 -0,1 0,1 0,2 2,00
1er étage 3,4 0,4 -0,1 0,1 0,3 1,70
2éme étage 3,4 0,5 0 0,2 0,2 1,70
3éme étage 3,4 0,4 0 0,1 0,3 1,70
4éme étage 3,4 0,5 0 0,2 0,3 1,70
5éme étage 3,4 0,5 0 0,2 0,4 1,70
6éme étage 3,4 0,6 0 0,2 0,3 1,70
7éme étage 4,0 0,4 0 0,1 0,3 2,00
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Ux 32 3,8 12,8
séisme X
Uy 32 0,2 12,8
Ux 32 1,1 12,8
séisme Y
Uy 32 1,4 12,8
Séisme sens X
Dépmax hauteur
Niveau K W(KN) Fx(KN) θ
(cm) (cm)
RDC 1,4 7846,9418 0,3 193,33 360 0,0474
RDJ 1,4 8796,8754 0,2 534,45 400 0,0115
1er étage 1,4 7354,1553 0,4 688,48 340 0,0176
2ème étage 1,4 6947,4879 0,5 851,10 340 0,0168
3ème étage 1,4 6555,3871 0,4 1007,84 340 0,0107
4ème étage 1,4 6014,4483 0,5 1142,87 340 0,0108
5ème étage 1,4 5648,7434 0,5 1338,23 340 0,0087
6ème étage 1,4 4652,7685 0,6 1380,80 340 0,0083
7ème étage 1,4 4401,7403 0,4 1666,91 400 0,0037
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Séisme sens Y
hauteur
Niveau K W(KN) Dépmax (cm) Fy(KN) θ
(cm)
RDC 1,4 7846,9418 0,1 182,39 360 0,0167
RDJ 1,4 8796,8754 0,2 462,09 400 0,0113
1er étage 1,4 7354,1553 0,3 602,77 340 0,0151
2ème étage 1,4 6947,4879 0,2 724,10 340 0,0079
3ème étage 1,4 6555,3871 0,3 848,37 340 0,0095
4ème étage 1,4 6014,4483 0,3 985 ,97 340 0,0075
5ème étage 1,4 5648,7434 0,4 1190,69 340 0,0078
6ème étage 1,4 4652,7685 0,3 1266,28 340 0,0045
7ème étage 1,4 4401,7403 0,3 1528,66 400 0,0030
L’effort latéral sismique V servant au calcul des éléments de la structure obtenu par l’analyse
modale est pour valeur :(obtenue par Robot).
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W= charges prise en poids de la structures (c’est la charge totale de tous les niveaux)
Donc :
On remarque que :
On remarque que la valeur de l’effort sismique obtenu par l’analyse modale est inférieure au
seuil limite obtenu par l’approche statique équivalent.
Donc pour pouvoir dimensionner les éléments de la structure il faut utiliser l’effort
provenant de la méthode statique équivalente, mais l’inconvénient c’est que l’approche
équivalente nous donne seulement l’effort sismique repartie pour chaque étage et non pour
les éléments structuraux de l’étage.
Alors dans le cas fréquent on calcule un coefficient correcteur ŋ de l’effort obtenu par
l’analyse modale, ce coefficient rend l’effort sismique modal servant au calcul comme il est
produit de la statique équivalente. (Règles PS 92 applicable aux bâtiments (Déc.1995).
On relance le calcul sur Robot on introduit ces valeurs dans la barre de type
d’analyse (définition de direction de séisme), afin d’obtenir les efforts réduits servant au
calcul.
50
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RDJ 12657,7 192,42 1028,88 11628,82 21,32 171,1 8,13 91,87 11,08 88,92
1er étage 11872,1 167,24 1219,42 10652,63 6,55 160,69 10,27 89,73 3,92 96,08
2ème étage 10860 138,2 1119,36 9740,63 4,74 133,46 10,31 89,69 3,43 96,57
3ème étage 9608,88 113,87 1002,29 8606,58 3,56 110,3 10,43 89,57 3,13 96,86
4ème étage 8127,34 98,28 1166,88 6960,47 3,15 95,13 14,36 85,64 3,21 96,79
5ème étage 6447,33 92,8 970,9 5476,43 2,71 90,09 15,06 84,94 2,92 97,08
6ème étage 4480,13 92,21 1018,16 3461,97 3,66 88,55 22,73 77,27 3,97 96,03
7ème étage 2450,36 71,47 70,64 2379,71 0,52 70,95 2,88 97,12 0,73 99,27
Séisme sens Y
Tableau 21:Répartition de l’effort sismique Y sur voiles et poteaux
% de % de % de % de
FX sur FX sur FY sur FY sur
FX FY l'effort pris l'effort l'effort pris l'effort pris
Niveau poteaux voiles poteaux voiles
(KN) (KN) par les pris par par les par les
[kN] [kN] [kN] [kN]
poteaux les voiles poteaux voiles
RDC 254,33 12933,59 50,96 203,37 717,32 12216,27 20,04 79,96 5,55 94,45
RDJ 317,76 12630,82 25,67 292,09 258,87 12371,95 8,08 91,92 2,05 97,95
1er étage 303,22 11863,76 22,05 281,18 459,71 11404,05 7,27 92,73 3,87 96,13
2ème étage 305,78 10863,15 16,62 289,16 440,09 10423,07 5,44 94,56 4,05 95,95
3ème étage 233,98 9661,14 14,44 219,54 373,35 9287,79 6,17 93,83 3,86 96,14
4ème étage 281,57 8252,86 15,76 265,8 356,84 7896,02 5,60 94,40 4,32 95,68
5ème étage 189,59 6616,14 13,75 175,84 294,32 6321,82 7,25 92,75 4,45 95,55
6ème étage 155,79 4639,6 14,4 141,4 350,13 4289,47 9,24 90,76 7,55 92,45
7ème étage 187,21 2537,58 1,22 185,99 36,09 2501,48 0,65 99,35 1,42 98,58
Pour les deux tableaux on observe que les voiles prises une grande portion de l’effort
sismique dans les deux directions de séisme, c’est-à-dire que la résistance aux efforts
latéraux est assure par les refends donc il s’agit d’un système de contreventement par
voiles(RPS2000).
51
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4.1.2 Actions :
Les charges sur dalle pleine sont déjà calculées (voir descente de charges pour dalle).
Pour : ELU on a Pu = 12.85 KN/m2
ELS on a Pser = 9.24 KN/m2
4.1.3 Méthode de calcul
Les armatures sont déterminées à partir des moments isostatiques au centre de la dalle M x
et My correspondant respectivement aux sens Lx et Ly et évalués pour des bandes de 1 m de
largeur.
Figure 24:Moments isostatique évalués pour des bandes de 1m de largeur
52
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- Moment en travée :
- Moment en travée :
En travée :
53
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On calcul :
On a le coefficient α :
( √ ) ( √ )
Et le bras de levier Z:
( ) ( )
Donc :
ELS :
- puisque les fissurations sont peu préjudiciable on doit uniquement s'assurer que la
54
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D’où
4.1.6 Vérification de l’effort tranchant par unité de langueur sur le contour de la dalle
Il faut que :
( )
Selon Lx :
Selon Ly :
Donc
Le Ø des armatures
55
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Section minimales
( ( ) )
Et
⁄
sens Lx sens Ly
Appui Travée Appui Travée
Moment (KN.m) 3.968 26.454 1.618 10.79
Acalculée (cm2/m) 0.50 3.40 0.21 1.40
Amin (cm2/m) 1,39 1.39 1.2 1.2
Areel (cm2/m) 3HA8 5HA10 3HA8 4HA8
56
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Une poutre continue est une poutre reposant sur plusieurs appuis simples, et dont les
moments sur appuis, hormis les appuis de rives, ne sont pas nuls.
Cette partie présente le calcul manuel de la poutre ci-dessous du plancher haut RDC (voir
figure).
Travée T1 T2 T3 T4 T5
G 42 35.74 36.72 35.74 42
Chargement (KN/ml)
Q 12.42 9.57 9.57 9.57 9.57
L (m) 5.4 6.75 8.10 6.75 5.4
Dimensions b (m) 40 40 40 40 40
h (m) 50 50 60 50 50
57
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Méthode à utiliser
conditions
N° Caquot
satisfaites Caquot Forfaitaire
minoré
conditions à satisfaire
1- Q ≤ 2xG
toutes oui oui oui
2- Q ≤ 5KN/m2
3- charges localisé max {2KN ;
0,25Qt} toutes sauf
oui oui non
4- inertie cte le long de chaque 4,5,6
travée
5- rapport des portés successifs
compris entre 0,80 et 1,25
autres cas oui non non
6- Fissuration peu préjudiciable
Pour notre cas, toutes les conditions ne sont pas remplies, donc la méthode valide est la
méthode de Caquot (car la plus généralisée).
Dans ce schéma, les portées réelles sont remplacées par des portées fictives, l w’ et le’ avec
l=l’ pour une travée de rive, et l’=0 ,8l pour une travée intermédiaire.
Si non
( ) ( )
avec :
58
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( ) ( ) . /
µ(x) : est le moment dans la travée isostatique de référence correspondant au cas de charges
étudiés.
( )
59
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Effort tranchant
N° l' x µser (x) µu (x) Mtu Mtser
(KN)
Travée (m) (m) (KN.m) (KN.m) (KN.m) (KN.m)
Vw Ve
1 5,4 2.26 193.1 267.3 193.64 140.37 -170.79 235.99
2 5,4 3.34 258.02 356.48 173.56 123.62 -209.20 213.35
3 6,48 4.05 379.64 524.22 334.72 236.64 -258.99 258.76
4 5,4 3.4 258.03 333.11 173.56 123.62 -213.2 209.35
5 5,4 3.13 193.13 267.61 193.62 140.37 -235.98 170.8
= 0.168 ˂ 0.186
Et aussi ( √( ) ( √( ) = 0.231
( ) ( ) = 0.408 m
= 50-(3+0.8+1.6) = 44.6cm
= 0.171 et ( √( )
60
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( ) 0.404 m
= 0.153 ˂ 0.186
Et aussi ( √( ) 0.208
( ) m
La section d’armatures tendues As est au moins égale à la valeur minimale fixé par la règle du
millième et la condition de non fragilité :
* +
* +
61
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choix du diamètre :
On a * + = 14mm
Prend: Ø= 8mm
( )
( )
- At = 2.01cm2
- Section minimale:
( ) ( ) donc
On prend: St =12cm
Le premier cadre est placé à St/2 de nu d’appui puis on adopte pour l’écartement des cadres
suivants en centimètres la suite des nombres (à partir de la valeur St) :
7 – 8 – 9 – 10 – 11 – 13 – 16 – 20 – 25 – 35 - 40
- La vérification des contraintes en ELS
D’autre part : ;
62
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( ) =0
( ) = + ( )
D’où: I = 2.06.10-3 m4
et
63
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Les règles B.A.E.L n’imposent aucune condition à l’état limite de service pour les pièces
soumises en compression centrée .Par conséquent, le dimensionnement et la détermination
des armatures doivent se justifier uniquement vis à vis de l’état limite ultime. Cette méthode
permet de dimensionner le poteau de façon à qu'il ne flambe pas (car les aciers
longitudinaux pallient la fragilité du béton et résistent aux efforts éventuels de flexion et les
aciers transversaux empêchent le flambement des aciers longitudinaux).
4.3.1 Exemple de calcul détaillé sur le poteau P2
- L’état limite de calcul de poteau se fait par l’analyse de résultats sismique (différents
combinaison de charges) afin de conclure que la section du poteau et totalement comprimé
donc le calcul se fait en compression simple.
- Dans ce qui suit on va calculer le poteau P2 en tenant compte de l’état limite ultime ELU.
D’après le tableau, le poteau P2 subit un effort ultime au niveau du plancher haut de RDC
Nu = 3.7 T.
Dans notre cas Lf = 0.7 l0 (poteau est encastré dans le massif de fondations).
Avec l0 =3.6 donc Lf =2.52m
Puisque : donc : =
. ⁄ / ( ⁄ )
N u Br f c 28 s
Ath = avec ( )
0.9 b f e
64
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L’effort normal de compression Nu doit être équilibré par la section du béton et par la
section de l’acier en tenant compte aussi du phénomène de flambage.
Avec
Nu : Effort normal ultime en MN : Coefficient de flambage
Lf : langueur de flambage Ath : section d’acier théorique en m²
Br : section réduite de béton en m² Asc : section d’acier calculé en cm2
et
( ) m2
D’autre part:
( )
Finalement :
sup ( ; ) = 29.68cm2
4.3.5 Vérification de
Il faut que
= = 98.17 cm2
Condition vérifiée
La section à retenir est A’=29.68 cm2 de 15HA16 d’une section réelle égale 30.16cm2.
65
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Diamètre :
Zone critique ( ) = 12 cm
Zone courante ( ) = 19 cm
Lr = 50 Ø = 50 × 1.6 = 80 cm.
Puis en refais les calculs et pour alléger le calcul on a programmé les relations du
BAEL91dans Microsoft Excel. Le tableau ci-après résume les résultats obtenus.
Les résultats des autres étages sont résumés dans le tableau suivant :
Nu Ø Lf Br As choix de
P2 L0 λ α
(KN) (cm) (m) (cm2) (cm2) section
PH 7ème 326,99 25 4 2,8 44,80 0,042 0,640 3,14 6HA10
PH 6ème 759,10 25 3,4 2,38 38,08 0,042 0,687 7,72 10HA110
PH 5ème 1191,21 30 3,4 2,38 31,73 0,062 0,730 11,32 11HA12
PH 4ème 1623,31 35 3,4 2,38 27,20 0,085 0,758 12,82 12HA12
PH 3ème 2055,42 40 3,4 2,38 23,80 0,113 0,778 12,48 12HA12
PH 2ème 2487,53 40 3,4 2,38 23,80 0,113 0,778 25,25 17HA14
PH 1er 2919,63 45 3,4 2,38 21,16 0,145 0,792 22,95 15HA14
PH RDJ 3361,14 50 4 2,8 22,40 0,181 0,786 21,36 14HA14
PH RDC 3793,24 50 3,6 2,52 20,16 0,181 0,797 32,42 15HA16
N.B : les autres poteaux sont calculés de la même façon et sont résumées sur plan dans le
tableau des poteaux.
66
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4.4.1 Introduction
Un voile de section rectangulaire se comporte comme une console verticale, encastrée en
pied dans ses fondations et soumise à des charges réparties ou concentrées à chaque plancher.
Donc le voile est sollicité par :
- Moment fléchissant et effort tranchant provoqués par l’action du séisme.
- Effort normal du à la combinaison des charges permanentes, d’exploitations ainsi
que la charge sismique.
Ce qui implique que les voiles seront calculés en flexion composée et au cisaillement. Ce qui
nécessitera une disposition du ferraillage suivant :
- Sur le plan vertical (aciers verticaux)
- Sur le plan horizontal (aciers horizontaux)
Le ferraillage des voiles s’effectuera selon le règlement BAEL91 et les vérifications selon le
règlement parasismique RPS 2000.
- L’effort de traction engendré dans une partie du voile doit être repris en totalité par
les armatures dont le pourcentage minimal est de 0.20% de la section horizontal du
béton.
- Les barres verticales des zones extrêmes devraient être ligaturées avec des cadres
horizontaux dont l’espacement ne doit pas être supérieur à l’épaisseur du voile.
- A chaque extrémité du voile l’espacement des barres doit être réduit de moitié sur
(1/10) de la largeur du voile, cet espacement doit être au plus égal à 15cm.
- Les chaînages verticaux aux extrémités sont constitués au moins de 4T12 ligaturés
avec des cadres avec un espacement de 10 cm.
- Les barres verticales du dernier niveau doivent être munies de crochets à la partie
supérieure. Toutes les autres barres n’ont pas de crochets (jonction par recouvrement).
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- Les chaînages horizontaux doivent avoir une section minimale d’acier égale à 3cm².
- Dans le cas où il existe des talons de rigidité, les barres horizontales devront être ancrées
sans crochets si les dimensions des talons permettent la réalisation d'un ancrage droit.
- Prescription communs
L’espacement des barres horizontales et verticales doit être inférieur à la plus petite des
deux valeurs suivantes :
En zone courante : S = min (1,5 e ; 30cm)
En zone critique : S = min (1,5 e ; 20cm)
Avec e : épaisseur de voile
- Les deux nappes d’armatures doivent être reliées avec au moins quatre 4 épingles au
mètre carré. Dans chaque nappe, les barres horizontales doivent être disposées vers
l’extérieur.
Le diamètre Øt des épingles est :
− Øt = 6mm lorsque Øt ≤ 20 mm.
68
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( ) ( )
Avec :
N : effort normal agissant sur le refond considéré.
M : moment de flexion agissant sur le refond considéré.
I : moment d’inertie du refond considéré.
Ѵ : centre de gravité de la section du voile dans le sens du plan moyen.
Ԑ = e/L: coefficient en fonction de l’excentricité (e=M/N) et (L).
Remarque
Si a et b sont des signe négatif on aura une section entièrement tendue (SET).
Si a et b sont des signe positif on aura une section entièrement comprimée (SEC).
Si a et b sont des signe contraire on aura une section partiellement comprimée (SPC).
Pour connaître la zone tendue et la zone comprimée, il faut calculer la longueur de la zone
tendu en utilisant les triangles semblables :
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( )
La section d’acier nécessaire est donnée par :
Dans le cas on a deux contraintes de traction longueur tendue est égale à (L) l’effort de
traction est égale à :
( )
Les efforts réduits sur la section déterminante au RDC sont obtenus à partir robot sont :
70
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N (KN) M (KN.m)
Poids propre 1729,16 1729,24
Permanente 532,44 382,28
Exploitation Q 557,41 401,24
Sismique X 296,56 7093,49
Sismique Y 7598,17 1212,31
On fait introduire les combinaisons des cas simples dans un tableau Excel, pour trouver les
combinaisons accidentelles résumés ci-dessous :
Tableau 31:les valeurs de l’effort normal et moment pour les cas accidentel.
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On prend exemple de calcul pour le cas 6, pour déterminer les contraintes extrêmes :
( ) ( )
On a :
Donc:
( ) ( )
( ) ( )
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Les résultats des autres cas sont résumés dans le tableau suivant :
,( ) ( ( )]
( )
( )
( )
73
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Donc :
( )
D’où :
C’est-à-dire :
( ) ( )
Alors il faut assurée que la section d’acier est de As,min = 17.2cm2/m dans les deux côtés.
* +
( +
* +
74
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Avec ( )
75
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̅
̅
Donc si on utilise la proportionnalité des cotes entre poteau et semelle : A/B = a/a =1
On trouve que A= B = √ ̅
Avec :
̅ : Contrainte admissible au sol.
P : Effort vertical transmis à la semelle
* , -+
76
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En utilisant la méthode des bielles avec des calculs analogues à ceux de la semelle filante, on
obtient les sections d’armatures As//A , dans le sens de la largeur et As//B dans le sens de
longueur :
( ) ( )
( ) ̅ ( )
̅ ̅
4.5.2 Ancrages de barres
- Si ls > B/4 toutes les barres doivent être prolongées jusqu’aux extrémités de la
semelle et comporter des ancrages courbes.
- Si B/8 ≤ ls ≤ B/4 toutes les barres doivent être prolongées jusqu’aux extrémités de la
semelle mais peuvent ne pas comporter des crochets.
- Si ls ≤ B/8 les barres ne comportent pas des crochets et on peut arrêter une barre sur
deux à 0.71B ou alterner des barres de 0.86B.
- Dimensions de la semelle
√
̅
=√ 2.91m
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Il est obligé d’augmenté la section de la semelle jusqu’à la condition de contrainte soit vérifié
On prend : 3.00 × 3.00 m
PP = 0.70 × 3.00 × 3.00 × 25 = 0.157MN
Soit : Pser + PP = 2.55 + 0.157 = 2.707MN
On choisit d = H-5=70-5=65cm
Pu=3.52 + (1.35 × 0.162) =3.73MN
Donc :
( ) ( )
( )
( )
Pour les deux directions A et B ou adopte un nombre de barres de 22HA16 avec 44.23cm2 .
78
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- Calcul de l’espacement
* , -+ ;
* , -+
* +
La longueur des barres dans les deux directions est déterminée en comparant la longueur de
scellement ls à la dimension de la semelle A :
Puisque :
Donc toutes les barres doivent être prolongées jusqu’aux extrémités de la semelle mais
peuvent ne pas comporter des crochets.
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Données :
4.6.1 Pré-dimensionnement
On ajoute des débords de 1,5m de part et d’autre de la semelle, ainsi on aura une longueur
de semelle égale à L= lvoile+1.5 = 4.3 +1.5 = 5.8 m.
On choisit B = 3 m et H= 0,6 m
Le poids de la semelle sera de : PPsemelle = 5.8 x 3 x 0,6 x 2.5 = 26.10 T
L’effort normal reprise par le voile (descente de charges) : Nv= 66.85 T
80
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Donc L’effort normal total sur la semelle est de N = PPsemelle + Nv + Nsol = 152.49 T.
4.6.2 L’excentricité
M 266.18 L 5.8
Nous avons e 1.74 0.96 , donc une partie de la semelle est
N 152.49 6 6
soulevée.
L
La longueur comprimée est égale à L' 3 ( e) est-à-dire L’ = 3.48m.
2
L' 3.48
Or on a : 60%
L 5.8
On déduit que 60% de la semelle est comprimée ce qui veut dire que la semelle est stable
sachant que dans un cas accidentel on peut admettre jusqu'à 70% du soulèvement de la
semelle.
Or on doit avoir : ̅
Etat accidentelle
( )( )
( )
82
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Le calcul des moments d’encastrement se fait en utilisant les formulaires RDM suivants :
* +
Donc :
Pour l’excentricité :
- ELU :
Pu = 432.9 T
( ) ( )
83
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- ELS :
On remarque que l’ELU est la plus défavorable pour attribuer le ferraillage dans la direction
transversale de la semelle vaut :
La longueur des barres dans les deux directions est déterminée en comparant la longueur de
scellement ls à la dimension de la semelle.
Dans les deux sens de la semelle, toutes les barres doivent être prolongées jusqu’aux
extrémités et doivent être munies de crochets courbes.
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85
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( )
( )
On trouve n=9
( )
5.1.2 Epaisseur de paillasse : de deux volés doit vérifier la condition suivante :
√ √
86
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ELU :
Pour paillasse : Pv=1.35G×1.5Q= (1.35×7.26)+(1.5×2.5)=13.55 KN/m2
Pour palier : Pp=1.35G×1.5Q= (1.35×3.52)+(1.5×2.5)=8.50 KN/m2
ELS :
Pour paillasse : Pv = G + Q =7.26 + 2.5 = 9.76 KN/m2
Pour palier : Pp = G + Q = 3.52 + 2.5 = 6.02 KN/m2
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Avec :
( √ )= ( √ )
( ) ( )
Donc :
- Armatures de répartition
- Armatures de chapeau
( ) ( )
( ) ( )
88
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Avec : b = 1m ; d = 0.108 m
D’autre part : ;
( ) =0
Moment d’inertie :
( ) = + ( )
D’où : I = 8.58.10-5 m4
et
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L’acrotère est assimilé à une console verticale encastrée à sa base dans le plancher
terrasse, elle est soumise à un effort G dû à son poids propre et à un effort latéral Q dû à la
main courante, engendrant un moment de renversement M dans la section d’encastrement.
Le ferraillage sera déterminé en flexion composée pour une bonde de 1m de longueur.
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L’acrotère est exposé aux intempéries, donc la fissuration est préjudiciable, dans ce cas le
calcul se fera à l’ELU, et à l’ELS.
- E L U : 1,35 G + 1,50 Q
Effort normal de compression dû à : Nu = 1,35 x G = 1,35 x 2.87 = 3.88 KN/ml
Moment de renversement dû à Q : Mu = 1,50 x MQ = 1,50 x 0,5 = 0,75 KN.m
- E L S : G +Q
Effort normal de compression : Ns = G = 2.87 KN/ml
Moment de renversement : Ms = 0,5KN.m
C : enrobage(3cm)
Donc :
D’où Le centre de pression se trouve à l’extérieur de la section limitée par les armatures, et
l’effort normal (N) est un effort de compression, donc la section est partiellement
comprimée, elle sera calculée en flexion simple sous l’effet d’un moment fictif M f puis on se
ramène à la flexion composée.
- Calcul en flexion simple
- Moment fictif
( √ ( √( )= 0.00055
β = (1-0.4α) = 0.99
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- Vérification à l’ELU
Avec :
Donc :
- Armatures de répartition
- Vérification au cisaillement
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- Vérification de flambement
élancement max : { ( )}
donc
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Un isolant Thermique, selon la NF P 75-101, est un produit qui réduit par sa présence, les
échanges thermiques à travers la paroi sur ou dans laquelle il est placé. Un produit isolant
thermique est caractérisé par sa résistance thermique exprimée en m 2 K/W et par sa
conductivité thermique, exprimée en W/m K.
Dans le passé, l’utilisation des matériaux d’isolation au Maroc a été plutôt limitée, étant donné
l’absence d’un cadre réglementaire qui oblige la mise en œuvre des actions appropriées en
matière d’efficacité énergétique dans les bâtiments. Les matériaux utilisés ne diffèrent pas
significativement de ceux que l’on trouve sur les deux rives de la Méditerranée: laine minérale,
de roche et de verre, mousses en polyuréthane ou en polystyrène, etc
Le Polystyrène Expansé (EPS) : est un matériau plastique cellulaire et rigide fabriqué à partir
du moulage des billes pré-expansées (en utilisant du gaz pentane) du polystyrène.
Le Polystyrène Extrudé (XPS) : est une mousse rigide, isolante, à caractère thermoplastique
et de structure cellulaire fermée.
Le Polyuréthane ou Polyisocyanurate (PUR/PIR) : sous forme de panneaux rigides revêtus
sur une ou deux faces d’un film synthétique.
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6.1.4.2 Comparaison technique entre les isolants avec même épaisseur (4cm)
Tableau 36:Isolation par le polystyrène expansé (EPS)
Conductivité( Masse
Les couches L'epaisseur(cm) U(m²K/W) Cp(J/kg·K)
W/mk) volumique(kg/m³)
Enduit de finition 0.10 1.100 0.001 590.0 1300
Enduit de base 0.40 1.500 0.003 1.0 1008
Plaques moulées en continu et
4.00 0.044 0.909 17.0 1450
conformes à la norme NF EN 13163
Brique rouge 12 trous 20.00 0.207 0.966 664.0 741
Enduit intérieur à base de plâtre et de
1.00 0.800 0.012 800.0 1000
sable
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Conductivité( Masse
Les couches L'epaisseur(cm) U(m²K/W) Cp(J/kg·K)
W/mk) volumique(kg/m³)
Enduit de finition 0.10 1.100 0.001 590.0 1300
Enduit de base 0.40 1.500 0.003 1.0 1008
Plaques sans gaz occlus autre que l'air
4.00 0.041 0.976 34 1450
et le CO2
Brique rouge 12 trous 20.00 0.207 0.966 664.0 741
Enduit intérieur à base de plâtre et de
1.00 0.800 0.012 800.0 1000
sable
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U
0,6
0,5
0,4
0,3 PUR
0,2 Polystyrène expansé
0,1
0 Polystyrène extrudé
laine de verre
laine de roche
En l’absence d’insolation directe, les parois extérieures ainsi que les parois intérieures
transmettant de la chaleur résultant de l’écart de température entre le local climatisé
et l’environnement.
Par transmission : ( )
Par rayonnement :
S : Surface m2 de mur.
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6.1.5.2 Charge externe avant l’application du RTCM pour vitrage (simple vitrage)
- Par transmission
Tableau 40:l’apport de chaleur pour vitrage par transmission
- Par rayonnement
Tableau 41:l’apport de chaleur pour vitrage par rayonnement
6.1.5.3 Charge externe après l’application du RTCM pour les murs (avec isolant)
Tableau 42: l’apport de chaleur pour mur avec isolation
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6.1.5.4 Charge externe après l’application du RTCM pour vitrage (double vitrage)
- Par transmission
- Par rayonnement
Tableau 44:l’apport de chaleur pour vitrage double par rayonnement
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Dans ce projet, l’estimation du prix se fera sur la base de métré exactes, en se basant
sur le plan de coffrage et les ratios d’acier des éléments structuraux (semelles, poteaux,
poutres, voiles, dalles….) et sur les quantités de terrassement. On présente ci-dessous les
tableaux de bordereaux des quantités établies dans le calcul, avec les prix de marché.
A TERRASSEMENT
1-Fouilles en masse dans terrains de toutes m3
220,98 60,00 13258,80
natures
2-Fouilles en puits et en tranchées: m3 198,98 70,00 13928,60
3-Remblai m3 111,13 35,00 3889.55
B BETON DE PROPROTE m3 37,18 800,00 29744,00
C DALLAGE m2 99,90 250,00 24975,00
TV 20% 668632.77
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CONCLUSION
Pour conclure, nous tenons à remercier encore une fois toutes les personnes qui ont participé
Nous avons pu tester nos capacités à gérer les projets, le temps, et le stress, ainsi nous
Sans oublier l’opportunité incontournable qui nous a été offerte pour l’application des savoirs
communication et de contact humain qui demeurent désormais aussi décisifs que les compétences
Enfin, nous pensons que ce stage a pu remplir son but, à savoir la découverte du milieu
professionnel auquel est destiné l’ingénieur. Nous avons aussi compris que le Maroc a besoin
d’ingénieurs compétents qui seront à la hauteur des taches qu’elles leur attendent.
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