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Le Mystère d'Orion
LA REVELATION
ORION
ORION n’est pas une constellation quelconque, les sept étoiles les plus brillantes forment un
homme ou un nœud papillon (ou un sablier) facilement identifiable. Quatre étoiles très
brillantes forment un rectangle caractéristique au milieu duquel se trouve un alignement de
trois autres étoiles, les " ROIS MAGES ", qui constituent une signature remarquable.
La constellation ORION a la particularité d'être visible depuis les deux hémisphères, est
c'est certainement la raison de son importance dans le ciel car la constellation domine le ciel
sur l'Equateur céleste. Le lever héliaque de la constellation coïncide avec le solstice d'été.
La constellation TRIANGLE proche des POISSONS représente la SICILE dans le ciel et forme
aussi une ILE dans le ciel qui est aussi une carte de la Terre, le sommet des POISSONS
représente le DELTA du Nil. Ce TRIANGLE est un morceau de l'ancien oiseau Egyptien
enlevé du ciel. La Sicile est une terre d'une grande importance historique et la source de
nombreux mythes et légendes.
Le géant ORION ne fait pas partie des 12 constellations du Zodiaque, mais il touche le
cercle, comme si la figure marchait à proximité, la figure semble marcher sur l'eau et
traverser la constellation ÉRIDAN (Eridanus) qui doit son nom à un fleuve de la mythologie
grecque. A gauche d'ORION il y a un grand ruban pâle qui monte dans le ciel, c'est la Voie
Lactée, notre galaxie, un autre fleuve dans le ciel.
ORION est utilisé dans toutes les cultures car elle fait partie des rares constellations
immédiatement reconnaissables par leur forme, elle a aussi la particularité d'être visible
depuis les deux hémisphères de la terre. Il a été également avancé que le nom de ORION
dérive de l'akkadien « Uru-anna », la lumière des cieux. ORION se trouve à la croisée de la
colure des solstices et de l'équateur céleste, cette position remarquable dans le ciel met en
évidence l'ancien SOLSTICE d'HIVER désormais dans les GEMEAUX pour notre époque
actuelle à cause du déplacement du ciel avec la précession des Equinoxes.
Cet homme dans les étoiles poursuivant les Pléiades pourrait être paléolithique et dater de
la sortie de l'Homme d'Afrique, comme le suggère diverses études en mythologie comparé
ou importé en Egypte et en Orient par un ancien peuple de la mer, c'est à dire les Atlantes
que l'on pourrait situer en CIMMERIE, c'est à dire en Crimée, ce peuple aurait participé à la
propagation d'un culte que l'on a rayé de la carte après leur disparition certainement à
cause d'un changement climatique et des invasions des nomades venant de l'Est (les
mongoles, les Scythes, etc.).
Le culte Egyptien est difficile à comprendre car il est remodelé plusieurs fois, les anciens
utilisent le Soleil pendant la journée, l'année, mais aussi sa course dans la Grande Année
cosmique de 26 000 ans. Pendant un SOLSTICE, le Soleil ne changeait presque pas sa
position pendant 40 jours. Ainsi le dieu HORUS se bat pendant 40 jours en enfer contre son
oncle SETH, tout comme JESUS se bat pendant 40 jours dans le désert contre SATAN avatar
de SETH (Sata). Il est certain que la source de nos religions viennent du ciel.
Orion est Osiris le marcheur sur le zodiaque Gréco Egyptien de Denderah
C'est le combat du jour contre la nuit, dans la journée le Soleil se leve à l'HORUS - ZON le
jour, et se couche au SUN-SETH la nuit. A ce moment là, OSIRIS est aveugle, son ancien nom
AUSAR (Azar ou Asar) est phonétiquement très proche du personnage biblique de LAZARE.
Les constellations visibles sur le Zodiaque Gréco-romain de Denderah sont une
représentation moderne du ceil, elles ne correspondent pas à l'ancien ciel minimaliste
racontant une autre histoire, c'est aussi le cas pour ORION / OSIRIS qui devient un
MARCHEUR sur l'orbite de JUPITER (la planète met environ 12 ans pour faire le tour du
zodiaque).
LA FOUDRE DE MIN
MIN ((Menew, Menu, Amsu) est connu est sans doute une des divinités les plus anciennes de
l'Égypte, c'est un dieu ithyphallique du neuvième nome de Haute-Égypte qui portait le nom
de MINOU (la foudre de Min) et semble être à l'origine le dieu des ORAGES et de la
FOUDRE avant les métamorphoses. L’apogée de son culte remonte à 3150 avant notre ère,
avant le règne des rois eux-mêmes.
Ses premières représentations sont les plus anciens exemples de statuaire à grande échelle
trouvés en Égypte à ce jour. Il était vénéré par le roi Scorpion dès le début de la période
dynastique et son symbole apparaît sur la palette El Amrah (également connue sous le nom
de palette de Min). Son culte s'est peut-être développé à partir du culte de son fétiche, que
l'on pensait être une pointe de flèche barbelée, un coup de foudre ou une bélemnite
fossilisée (un ancien parent de la seiche). Au fil du temps, il a reçu une forme humaine et
représenté par une flèche à deux pointes sur un crochet.
Chez les Egyptiens, c 'est le TAUREAU assimilé à SETH qui arrête la course d’OSIRIS /
ORION, c'est aussi la bête sacrificielle de l’ère astrologique du taureau APIS noyé dans le Nil
puis enterré pour constituer un OSIRIS. Chez les grecs c'est la flèche de NEITH /ARTEMIS
constituant la constellation CANIS MAJOR et l'étoile SIRIUS - très importante en Egypte car
elle était associée à la crue du Nil et donc au principe des cycles de la nature - et à la mort
d'ORION qui disparait du ciel. Dans certaines versions de la mythologie grecque, il fut tué
par le SCORPION, qui a été placé à l'opposé de la voûte céleste par les dieux qui les ont
ainsi séparés afin qu'ils ne soient jamais au-dessus de l'horizon en même temps.
Ces rituels antiques représentent la mort astrale d’ORION, à travers le culte funéraire
d’OSIRIS et le processus d’embaumement du mort de 40 à 70 jours et à la recomposition
d’un corps idéal et immortel suivant 14 MORCEAUX., ce sont les 14 stations du " CALVAIRE "
dans le " CHEMIN DE CROIX ", et cette CROIX est bien évidement celle d'ORION , puisqu'on
a tué la constellation pour un nouveau ciel. Le mot KRST signifiant " enterrement " ORION
est donc comme un ROI mort dans le ciel, celui qu'on a remplacé par un autre, et donc par
un autre système.
Les prophètes qui assistent à la manoeuvre dessinent alors une tombe dans le ciel, elle est
présente dans la'Apocalypse de Saint-Jean, et dans les légendes antiques, cette
CROIX représente EXCALIBUR, une EPEE capable de traverser toute matière insérée dans
un rocher de forme triangulaire. Son nom d est due aux Chrétiens de Troyes, elle s'appelle
CHASTIEFOL dans le conte du Chevalier au papegau, CALEDFWLCH en gallois; etc..
L'altération de l'initiale en Ex- est faite d'après le latin " Ex cal[ce] liber[atus] " (libéré du
caillou).
Cependant, ORION ne ressemble pas à une CROIX, jusqu’à ce qu’elle se relève plus tard
dans la saison, avant l’aube. Les trois étoiles au sommet de la CROIX sont plus faibles que
les autres étoiles qui composent le dessin, ces étoiles représentent aussi la couronne du
CHRIST sur la CROIX bien qu'on l'a simulée aussi à travers la constellation de la Couronne
boréale.
La mort ou la renaissance d'ORION dans le ciel est célébrée dasn les cultes. En Islam il y a un
rite sacrificiel et une réjouissance 70 jours après le ramadan avec la fête de l'Aïd Al Adha. la
« fête du sacrifice », parfois désigné par l’expression « fête du mouton ». Cette fête
commémore la force de la foi d'Ibrahim (Abraham dans la tradition judéo-chrétienne) à son
Dieu, symbolisée par l'épisode où il accepte de sacrifier, sur l'ordre de Dieu, son fils Ismaël
(le Coran ne précise pas s'il s'agit d'Isaac ou d'Ismaël).
Dans la tradition judéo-chrétienne, cet épisode est appelé ligature d'Isaac, car le fils à
sacrifier s'appelle Isaac. Dans le Yom Kippour des juifs ORION est associé à l’exil ou encore
la mort du boucémissaire après 40 jours de privations, un bouc expiatoire est lancé dans le
désert avec les fautes les plus diverses du peuple, ce rituel vient aussi de l'Egypte. Chez les
chrétiens cette période de 40 jours est le jeûne pendant le Carème du printemps, les
religions célèbrent donc la même chose à travers différents rituels.
Cette tombe est le corps spirituel du CHRIST et de l'ancien Dieu SAH avant l'invention des
différentes formes d'OSIRIS (Ausar), puis des cultes modernes. Avant le mythe d'OSIRIS, la
constellation ORION est appelé SAH ou SAHOU (Sahu, Saah or Sahpar) par les anciens
Egyptiens et elle était identifié soit à ATOUM, soit à OSIRIS ou encore à ONOURI-ANHOUR.
Le nom de SAHOU est mentionné plusieurs fois dans le Livre des Morts et plus fréquement
dans les Textes des Pyramides, les plus anciens écrits religieux connus à ce jour. Du mot SAH
pour la constellation d'ORION dérivent Sahara ou Sah-Hor-Râ, « Orion - Horus - Soleil » ou
encore « Sah -Ka - Râ », la célèbre pyramide de Memphis pour « Orion - Cœur - du Soleil ».
" C'est le sang qui sortit du phallus de RA lorsqu'il fut entraîné à se mutiler lui-même, il s'en
est formé des Dieux qui font escorte à RA, ce sont HOU et SAOU qui font escorte à leur Père
TOUM chaque jour ". (Livre des Mort - 1.23-24).
Dans la mythologie égyptienne, SAH ou SÂHOU est le corps spirituel, une des parties de
l’âme humaine. L’âme visite le cadavre dans la sépulture et s’unit au SÂHOU en assurant la
conservation des substances périssables. Il est dit que le défunt est venu pour voir OSIRIS et
demande qu’on lui ouvre le chemin parce que, dit-il, « moi, je suis le fils aîné de mon père, le
Dieu Osiris ; je suis momie (sâhou), je suis khou, je suis muni », et il prie « tout Dieu, tout
khou lui fassent chemin ».
SÂHOU était considéré comme le souverain des étoiles dont il ordonnait la course dans le
ciel nocturne. SÂHOU est l'âme-Bâ d'OSIRIS ou lui-même selon les différentes traditions.
Plusieurs chapitres des Textes des Sarcophages sont consacrés à cette constellation. Le
chapitre 227 permet au défunt de se transformer en successeur d'OSIRIS. Le défunt, après
avoir affirmé qu'il est OSIRIS, enchaîne en parlant d'ORION (Traduction de Paul Barguet) :
« Je suis Orion, celui qui a atteint son Double-Pays, celui qui navigue à l'avant de l'armature
du ciel (les étoiles) dans le corps de sa mère Nout ; elle a été grosse de moi selon son désir,
et elle m'a enfanté la joie au cœur. »
Après une reforge du ciel, ORION traverse désormais le fleuve ERIDAN représenté par un
flamand rose et un autel, mais il semble aussi marcher sur l'écliptique et l'orbite de Jupiter, il
est le marcheur. Le baudrier d'ORION figurait l'OSIRIS visible, le pendant de l'OSIRIS
invisible figuré par la Grande ourse.
L'OSIRIS visible du baudrier d'ORION était entouré par ses quatre enfants dits « les enfants
d'Horus l'ancien » (la version archaïque d'Osiris). Ceux-ci étaient Amset, Hâpi, Douamoutef
et Kébehsénouf et formaient l'astérisme rectangulaire ceignant le baudrier d'ORION. Selon
Bernard Mathieu, Qébehsénouf serait ainsi l'étoile Rigel, Hâpy l'étoile Bételgeuse,
Douamoutef l'étoile Bellatrix et Imséti l'étoile Saiph.
ORION - SAH
C'est un homme marchant à l'horizon. En tant que dieu du ciel, SAH a été connecté avec le
dieu SOPDOU, également une personnification de la constellation d'ORION. Selon les
Textes des Pyramides, HORUS-SOPDOU est le fruit d'OSIRIS-SAH et ISIS-SOPDET.
SAH est appelé " père des dieux ", il est " celui qui marche " et " celui qui est caché ".
A travers ORION il précède SIRIUS et le lever héliaque qui marque le début de l'année
égyptienne, il est le fils de RE (le Soleil) et de NOUT (la Voie Lactée). SAH préside donc au
cours du cycle des festivals tout au long de l'année à travers laquelle les dieux se
manifestent, ORION et SIRIUS sont donc étroitement en relation avec OSIRIS et ISIS mais
contrairement à OSIRIS le " père des dieux " n'est pas lunaire ni solaire, c'est une ETOILE,
c'est un un dieu stellaire et non solaire, il en va de même pour son épouse SOPDET (ou
Sothis), elle représentait l'étoile SIRIUS (étoile du chien) et son fils, SOPDU représentait
Vénus. sous une forme de FAUCON.
SAH était associé au dieu OSIRIS parce que chaque année SOPDET (Sirius) réapparaissait
après une absence de soixante-dix jours juste avant l'inondation qui était associée à la
résurrection d'Osiris. Cette association a été renforcée par l'association de Sopdet avec la
déesse Isis, l'épouse d'Osiris. Cependant, les textes pyramidaux suggèrent que Sahu était le
père des dieux (y compris Osiris) tout en déclarant que sa femme SOPDET était la fille
d'OSIRIS.
SAH signifie " orteil " et il était aussi " celui qui marche ", les 3 étoiles désormais placées
dans son baudrier étaient sa COURONNE. La constellation d’ORION tenait une place
importante car elle représentait OSIRIS, premier enfant de Nout et de Geb. La mort et la
renaissance d’OSIRIS correspondaient avec la période de sècheresse de l’Egypte, toujours
suivie de la crue du Nil.
Selon d'anciens mythes égyptiens, SAH a été avalé par la pègre à l'aube, mais ressuscité
tous les soirs. De toute évidence, il a été associé à OSIRIS parce que chaque année SIRIUS
apparut de nouveau après une absence de soixante-dix jours juste avant l'inondation du Nil,
cela a été associé à la résurrection d'OSIRIS. Cette association a été renforcée par
l'association de SOPDET avec la déesse ISIS, l'épouse d'OSIRIS, cependant, les textes des
pyramides suggèrent que SAH était le père des dieux mais affirment que sa femme SOPDET
était la fille d'OSIRIS. Il y a des confusions entre les les Rois divinisés plus tard en PTAH-
OSIRIS.mais aussi avec SOPDET (Sothis) assimilée plus tard à VENUS.
Selon Robert Bauval (2006), il est question de " mommie ", dans le sens où quand OSIRIS
est mort, il est devenu le corps astral (des étoiles) ou le SAHUsous la forme de la
constellation ORION. C'est le corps de l'esprit, celui que l'on retrouve dans la religion à
travers JESUS, le dieu SAH représente donc JESUS ressuscité après le passage de la porte
de SIRIUS.
Dans le ciel égyptien, juste à côté de SAH nous avons KENEMET et le TRIANGLE, cet
ensemble forme aujourd'hui notre constellation du GRAND CHIEN après avoir été une
archère. L'étoile SIRIUS est le point reliant les deux anciennes constellations. La figure de
KENEMET est souvent associée à la déesse mère égyptienne du début, dont le symbole a
été un SINGE. Elle a ensuite été remplacé par MOUT (la mère), la Reine NEFERTITI sera
parfois assimilée à la Déesse en tant que mère de l'Egypte.
Mais les anciennes tombes ne montrent pas ce dessin. Avant la refome religieuse du nouvel
empire, SAH représentait toujours un homme à travers la constellation ORION, mais
CANIS MAJOR et son étoile SIRIUS représentait la " porte du ciel " que l'on trouve dans le "
Livre des Morts ". L'histoire originale a donc complètement été changée par le Temple
gardien des secrets avec l'invention de nouvelles figures, ORION est l'homme qui a traversé
la " porte des étoiles " de SIRIUS, l'ancienne " porte des étoiles " avant plusieurs reforges du
ciel et des confusions avec les signes.
Les Grecs avaient une confusion avec ORION et BOOTES le laboureur à tête de Taureau. Il
est donc important d'être prudent avec toutes les anciennes représentations de la figure
avec le bras levé ou dans d'autres positions, et de considérer cela comme lié à
l'interprétation moderne d'ORION depuis les changements après les Egyoptiens, Perses,
Grecs et Romains mais aussi les versions sumériennes avec la montagne de l'horizon et
l'endroit où se situait l'entrée des Cieux et des Enfers. Ce n'est pas du tout la même histoire
que l'on raconte dans le ciel.
Sur l'écliptique après SAH et une OIE nous trouvons le dieu NEKHT, un GEANT. Les noms
des étoiles ou des constellations, semblent incertains et tardives. On pourrait les associer à
SETH ou NEPHTHYS, des egyptologues ont tenté d'associer SETH à une constellation
d'étoiles de la jambe de la GRANDE OURSE, quand HORUS, au cours d'une bataille, a coupé
la jambe de SETH, ou quelque chose de ce genre, mais ces constellations arrivent bien plus
tard dans le ciel, bien que la GRANDE OURSE existait déjà elle ne représente pas la patte de
SETH et son étoile POLARIS n'était pas au centre de notre ciel, puisque tout a bougé avec le
phénomène de la précession des Equinoxes.
Les textes et les légendes expliquent les changements dans le ciel et l'invention des
nouvelles constellations, les 14 morceaux d'OSIRIS sont certainement des étoiles de
l'ancienne constellation SAH. Le dessin de NEKHT est une plus grande constellation et est
aussi identifié comme étant un GEANT dans le ciel, il est possible que cette figure
représente OSIRIS après avoir été SAH, le ciel des anciens racontre certainement l'histoire
d'un seul homme à travers plusieurs passages, dont celui de la PORTE de SIRIUS.
Canis Major et Sirius la porte des étoiles des anciens
En comparaison avec les Atlas du ciel, la figure de SAH n'est pas identique au grand
chasseur que l'on connait aujourd'hui, nous constatons que l'emplacement de la
constellation a été décalée, l'ancienne constelaltion était bien plus grande que notre actuel
ORION. La constellation LEPUS (le lièvre) était au centre de la figure de cet homme dans le
ciel.
Cette porte des étoiles se trouve sur des fresques, une barque solaire est parfois
représentée devant le navire des étoiles. Il est possible d'y voir l'origine du drapeau
américain, le rouge et le blanc étaient en peinture sur les rames des barques égyptiennes.
C'est la constellation la plus imoportante du ciel, visible par tous puisque proche de
l'équateur. SI pour les Chrétien c'est une image cachée du Christ avatar de SAH l'ancien,
ORION est aussi marqueur de la fin de l'Hiver, les juifs fêtent sa mort avec leur corne de
TAUREAU, tandis que les musulmans organisent le ramadan dans un calendrier purement
lunaire.
ORION ET SIRIUS
Le Mystère du Grand Chasseur dans le Zoo du Ciel
Cette zone du ciel semble indiquer une traversée des eaux et un passage où un
changement, ce qu'indique la constellation ÉRIDAN (Eridanus) qui doit son nom à un fleuve
de la mythologie grecque, elle est située aux abords d'ORION, du TAUREAU et de
l'HYDRE MÂLE.
Vers 1850, l'égyptologue allemand Brugsch indique que les tableaux astronomiques
représentent les deux étoiles divines à côté l'une de l'autre. SAHOU - ORION est un homme
debout dans une barque, il flotte devant ISIS-SOTHIS (la vache Sopdet / Hathor notre
actuelle Licorne) debout dans une autre barque lorsqu'elle a la figure d'une femme, mais se
tient couchée lorsqu'elle a la figure d'une vache, elle rayonne au ciel comme princesse
(Hiqou) des astres (kitabisou) et protège son frère SAHOU - OSIRIS sur sa route au
firmament, sortant avec lui de sa maison chaque 10 jours (Brugsch, astronomische P. 109).
On concidère généralement que ORION à une forme du Dieu OSIRIS. Avec son étoile
BELTEGEUSE, il forme le GRAND G dans le TRIANGLE d''hiver avec un HORUS
(Ouapouaout) et la vache SOPDET avatar de HATHOR. Mais si historiquement ISIS est
associée à l'étoile SIRIUSavec OSIRIS (Ausar) à ORION et HORUS à la mystérieuse " Etoile
flamboyante " ou au SOLEIL levant, ce n'est pas l'avis de tous !
Les constellations du zodiaque Gréco-Romain de Denderah
Selon les anciens Egyptiens, dans le TRIANGLE D'HIVER c'est SOPDET qui est la mère. Sur le
disque Egpytien nous constatons que CANIS MAJOR représente bien la déesse NEITH -
SOTHIS avec son étoile SIRIUS, l'astre le plus brillant du ciel en dehors des éléments du
système solaire. NEITH est identifiée comme étant la mère nourricière du LION juste au-
dessus.
SOPDET et ensuite ISIS (Aset), n'ont jamais été représenté sous la forme d'un chien à
l'époque de l'ancienne Égypte. La constellation de la vache SOPDET et la constellation de
NEITH - SOTIS l'archère étaient très voisines et il y a plusieurs confusions entre les signes
pendant les reforges du ciel. Les deux figures se confondent , il s'agit certainement de la
même personne, SOTIS est une jeune fille tandis que SOPDET - HATHOR est une vache
couchée sur sa barque, ce symbole de la vache est beaucoup plus maternelle et représente
la mère nourricière, c'est notre actuelle constellation de la LICORNE.
SIRIUS est l'étoile la plus brillante du ciel, voilà pourquoi en Egypte SOPDET - SOTHIS est
représenté avec une étoile au-dessus de sa tête. Avec le cycle de la précession des
équinoxes, les constellations vues de la Terre s'étaient décalées. Le ciel grec n’étant plus
comparable au ciel égyptien avec le basculement de l'axe oblique de la Terre, Claude
Ptolémée a jugé nécessaire de l'adapter à son époque. C'est ainsi qu'il remplaça la déesse
NEITH l'archère par le chien CANIS MAJOR.
Le Triangle d'Hiver dans le Grand G cosmique d'Orion utilise Canis Major / Neith pour
figurer la Mère d'un Horus
L'étoile SIRIUS-NEITH peut alors se référer à une des trois pointes de ce TRIANGLE dans le
GRAND G qu'elle forme avec les étoiles BETELGUEUSE et RIGEL, SIRIUSayant un rôle plus
important car ce triangle équilatéral pointe vers elle. ORION est le dieu en léthargie ; trois
étoiles forment son phallus (vues actuellement comme sa ceinture) pointant vers la
constellation CANIS MAJOR.
Il s'agit bien de TRINITE, mais les symboles sont considérés d'une toute autre façon, HORUS
étant la alors projection de « L'ETOILE DU CHIEN ». Il y a eu une confusion entre la Déesse
NEITH - AKHET et la vache SOPDET-HATHOR juste avant le LOTUS (un rouleau de
papyrusse) et ORION, la vache maternelle est notre actuelle LICORNE et elle n'est pas
SIRIUS.
La déesse NEITH était originaire de SAÏS où elle connut un culte important notamment sous
la XXVIe dynastie, elle est la déesse principale et SAÏS est son lieu de culte premier car ici
elle est l'origine du monde, des prêtres de SAÏS auraient confié à l'Athénien Solon (-640/-
558) le secret de l'ATLANTIDE. NEITH était une déesse de la guerre et de la chasse et elle
avait comme symbole, deux flèches croisées sur un bouclier, parfois représentée avec une
tête de lionne comme sa mère TEFNOUT (l'eau), elle est la déesse de l’inondation.
SIRIUS participe aussi à la momification des Egyptiens. Une période de 70 jours couvre toute
la durée de la momification, elle sépare la mort de la mise au tombeau. C'est une durée
rituelle qui est correspond à la disparition des Étoiles Infatigables, astres qui s'absentent
périodiquement du ciel nocturne égyptien car alignées avec la Terre et le Soleil et qui sont
assimilés à des entités revenant sans cesse à la vie.
Parmi ces astres, c'est l'étoile SIRIUS (ou Sothis) qui est choisie pour servir d'étalon. Sa
réapparition (le lever héliaque), phénomène astronomique annuel, signale la nouvelle année
(ouep renpet) marquée notamment par la crue du Nil. Les Égyptiens appliquent ainsi un
cycle temporel à leurs morts pour s'assurer de leur résurrection. Il fallait donc 70 jours de
travail pour arriver à un résultat parfait, c'est-à-dire pour que le corps du défunt devienne le
réceptacle incorruptible de son âme.
Cette archère du ciel est dans de nombreuses
cultures, avec des variantes. Avant la déstruction
de la Mecque et de ses statues par Mahomet le
prophète, la déesse NEITH était dans les
représentations du culte islamiques.
Entre Mythe et Réalité, voila comment, NEITH se retrouve en Islam dans la légende du
prophète, ou plutôt dans une période pré-islamique avant la déstruction des idoles. En
Orient, les trois filles d’ALLAH sont l’évolution des épouses du Dieu sémitique NERGAL dont
le symbole est un coq solaire, il est un avatar de OSIRIS, le dieu des enfers.
Ces déesses Egyptiennes, devenues dans le Coran les déesses des fameux " versets
sataniques ", étaient les trois épouses de NERGAL, elles deviennent ensuite les trois filles
d’ALLAH. Et puis, la Déesse mère ALAT sera masculanisée en ALLAH. La présence de ces
trois divinités, très improbable dans la vallée de La Mecque, est en revanche certaine en
Syrie. Dans la légende coranique, Mahomet aurait d’abord accepté l’intercession des
divinités secondaires, avant de se rétracter.
SHEN LE MOUTON
En Chine, ORION est connu sous le nom de SHEN, ce qui signifie littéralement le chiffre
trois. Pour l'ethnie amérindienne des Lacandons, les quatre (où trois) étoiles principales du
Baudrier d'Orion constituent la constellation du pécari à collier (k'éékèn). D'autres
civilisations y voient une tortue, une pieuvre, un Cayman ou simplement des étoiles
individuelles.
Dès l'épopée homérique, ORION est mentionné à la fois comme héros des temps anciens
et comme constellation, il est dans les Odes d'Horace, les phénomènes d'Aratus de Soles et
l’Énéide de Virgile. ORION est aussi citée dans la Bible, dans les livres de Job, les étoiles du
baudrier seraient les TROIS MAGES.
Chez les Hittites ORION s'appelait AQHAT. C'était un homme généreux et un grand
chasseur sous le regard duquel la déesse de la guerre ANAT tomba amoureuse. Mais leurs
sentiments n'étaient pas réciproques. Un jour, alors qu'AQHAT avait refusé qu'elle tende
son arc, ANAT envoya un homme de main lui voler son arme. La légende rapporte que le
truand blessa AQHAT à mort et jeta son arc dans la mer. C'est pourquoi ORION et son arc
descendent sous l'horizon au printemps.
Il y a différents mythes de la création dans l'hindouisme, ORION est aussi connu aussi sous
le nom de KARTTIKEYA et de SKANDA, il chevauchait un paon à la tête d'une armée céleste
en lançant des flèches contre la voie lactée. KARTTIKEYA est souvent considéré comme le
fils du seul SHIVA, un dieu du Rig Veda, associé au vent, à la tempête et à la chasse, il est
appelé parfois SHIVA-SHANKAR, il est le Seigneur des Esprits et des Karmas.
Il est également un guerrier en Inde, les Hindous l’appelaient parfois SKANDA (du sanskrit,
skand, « émettre »), l'un de ses noms est MURUGAN, certainement un avatar du Dieu quand
il est enfant, la figure de SKANDA le représente chevauchant un paon à la tête d'une armée
céleste, il lancait des flèches contre la voie lactée.
ERIDANUS ET ORION
ÉRIDAN (Eridanus) est une constellation de l'hémisphère sud, située aux abords d'Orion, du
Taureau et de l'Hydre mâle. C'est la sixième constellation du ciel de par sa taille, elle
contient 300 étoiles principalement disposées selon une longue ligne sinueuse, à la manière
d'une rivière. L'ÉRIDAN était une rivière purement mythique du Nord qui a été plus tard
diversement identifiée avec des fleuves, cela représente probablement une rivière
générique.
Chez les Egyptiens la constellation sous les Pieds d’Orion ressemble à un serpent avec un
bec d’oiseau portant une couronne se trouvant sur ce qui ressemble à un bloc de pierre ou
un autel. Les Égyptiens appelaient le fleuve de l'Egypte NA-EIORE signifiant " Le fleuve
d’Orion ", c'est le Nil. Certains Grecs dont Diodore et Théon d’Alexandrie assurent que le
nom d’ERIDAN remplaça le nom du Nil, Eratosthène dit même qu’Aratus appelle ERIDAN"
Le fleuve d’Orion ". Le fleuve mythique a donc été déplacé par les Grecs dans la
construction de leur Mythes.
En Egypte le Nil est le fleuve de vie, il jouait un rôle très important car tout est organisé avec
les crues du fleuve. Le Fleuve nourricier, fut aussi divinisé sous le nom d’HÂPY (Haapi) dans
la mythologie égyptienne. Le Dieu était représenté sous les traits d'un personnage aux
formes ANDROGYNES. Si son corps est masculin, il n'en a pas moins deux grosses mamelles
féminines qui assurent la prospérité aux Égyptiens.
Son ventre est proéminent et gras, et il porte sur la tête un panache de plantes du Nil, et il
porte sur la tête un panache de plantes du Nil. Il est souvent représenté sous la forme duale
de jumeaux, l'un portant sur la tête des tiges de papyrus (symbole de la Haute-Égypte) et
l'autre portant un nénuphar (symbole de la Basse-Égypte). Parfois, comme la grande Déesse
des Poissons, il est représenté avec un Poisson sur la tête.
HÂPY est la personnification divine plutôt qu'une simple allégorie du fleuve, il pouvait aussi
être représenté avec une tête d'hippopotame, toujours sous sa forme hermaphrodite, c'est
aussi une figure du signe du VERSEAU dont l'eau s'écoule de ses seins ou d'une coupe plus
tard. HÂPY personnifie plus spécifiquement les phénomènes naturels qui lui étaient
associés : la crue en pleine saison sèche et la fertilisation annuelle des sols, auxquelles les
Égyptiens ne pouvaient attribuer d'explication rationnelle.
Selon la légende, HÂPY vivait dans deux lieux cachés. Le premier se situait sous la première
cataracte du Nil, près d'Éléphantine. De là, il versait le contenu de deux jarres pour faire
monter les eaux de Haute-Égypte. L'autre lieu était situé en Basse-Égypte près de Memphis,
et servait à approvisionner le delta en eau féconde. Les Égyptiens attribuaient à HÂPY la
force vitale du Nil qui provenait en fait du LIMON NOIR qu'il transporte qui fertilisait les rives
du fleuve et apportait sa richesse à l'Égypte. Il est également, par extension, le symbole de
la prospérité et de la fécondité.
Chaque année, le Nil débordait de son lit pour fertiliser les rives asséchées par le climat
aride de l'Égypte. Le LIMON NOIR qu'il transportait rendait possible la culture. Symbole de
ces crues annuelles, HÂPY avait un rôle prépondérant dans la vie des Égyptiens de
l'antiquité : du niveau de ces crues dépendait la survie de ce peuple ce qui explique son
caractère ANDROGYNE car il pouvait être positif ou négatif quand les crues étaient faibles,
l'arrivée de l'été et de la crue du Nil apportait aussi les maladies, le Dieu du fleuve verse les
deux eaux (eau de vie et eau de la mort).
Le Professeur Wallis Budge (Les dieux des Égyptiens 1904) sur la DOUBLE CAVERNE
indique que les Égyptiens croyaient que le Nil a augmentait dans la première cataracte
appelée QERI (la Double Caverne) ", et que le Nil du Sud était pour eux que partie de la
rivière qui s'étend de l'île Eléphantine à un endroit quelque au Nord de l'actuelle ville
d'Assiout.
Cette DOUBLE CAVERNE a été comparée à deux seins et toutes les bonnes choses sont
répandues à partir de ces deux mamelles de l'Egypte. La DOUBLE CAVERNE était la "
Couche du Nil " ou la " Maison du Nil " ou le jeune homme vigoureux Dieu du Nil regardait
jusqu'à la saison de l'inondation pour remplir l'ensemble du pays. Le gardien de cette
inondation était le Dieu KNOUM, le potier qui façonne l'oeuf cosmique avec l'aide de la
Grand Déesse du Fleuve.
Le Nil portait des noms différents selon les régions qu'il traversait, le dieu du Nil du Sud a à
sa tête un groupe de plantes de LOTUS tandis que celui du Nil du Nord a un groupe de
plantes de PAPYRUS, le premier Dieu est appelé HAP-RESET, et le second HAP-MEHT.
Lorsque le deux formes du Dieu sont indiqués en un seul caractère,il devient le Dieu HÂPY
le VERSEAU.
Le dieu Hapy " père des dieux " - Temple de Ramsès III - Thèbes
HÂPY tient dans ses deux mains les deux plantes, le PAPYRUS et le LOTUS ou deux VASES,
dont il était censé verser l'eau sur les deux Nils. Un VASE (ou pot) est rempli par l'eau morte
et le deuxième est rempli par l'eau de la vie, l'Eau des vivants et l'Eau des morts. La source
de la eaux du dieu du Nil était inconnu et les Egyptiens à une période de leur histoire, ont
cru que le Nil a augmenté hors de la terre entre deux montagnes qui se trouvaient entre l'île
d'Eléphantine et l'île de Philae, mais ils n'avait aucune idée exacte où et comment
l'inondation commençait.
Les grandes villes de l'Egyptes sont toutes sur les rives du Nil car il il apporte la vie en
fertilisant la terre et l’abondance des récoltes. Chaque été la crue du Nil apportait le
LIMON NOIR permettant la culture de ses rives, c’est de ce LIMON NOIR que vient le nom
antique de l’Égypte KEMET, qui veut dire " la Terre Noire ". KEMETest aussi le nom des
habitants en bordure du Nil, mais ils ne sont pas tous avec une couleur de peau noire
contrairement à ce que l'on pense, l'Egypte est une terre avec toutes les races même des
asiatiques. Le LIMON NOIR du Nil est aussi à l'origine de la figure du Dieu OSIRIS peint en
noir.
La TERRE ROUGE (Desheret) dans le désert était liée au Dieu maléfique SETH car la
traversée n'était pas facile, le désert est aussi associé au pays étranger. C'était un lieu
approprié pour l'enterrement et pour la conservation du corps après la mort, contrairement
aux zones humides. Le mot actuel du " Désert " est originaire du vieux français et de "
Desheret " en Egyptien.
Le Nil a été aussi considéré comme un seuil entre la vie et la mort, l’au-delà dans la
spiritualité en Egypte. Le dieu SHU (ou Shou) fût identifié avec le Dieu ONOURIS, appelé
alors ONOURIS-SHU. Il est était considéré comme le lieu de la naissance et de la croissance
et l’ouest celui de la mort, comme le dieu RÊ, le soleil, qui subit ces trois états : naissance,
mort et résurrection à chaque fois qu’il traverse le ciel, les Egyptiens pensait que durant la
nuit le soleil traversait un tunnel. Ainsi, tous les tombeaux ont été placés à l’ouest du Nil,
parce que les Égyptiens croyaient que pour entrer dans l’au-delà, il fallait être enterré du
côté symbolisant la mort.
Les Egyptiens font une connexion avec les sources d'eau et le paradis dans l'au-delà, le
Paradis Egyptien est encerclé par une rivière (ITRU) qui sortit du ciel mystérieusement, cette
rivière a atteint la surface de la terre à travers deux trous dans la première cataracte entre
Éléphantine et Philae et a émergée comme un fleuve.
C'est ainsi que le Dieu du Nil HÂPY est représenté entouré d'un serpent de protection, il
verse l'eau du Nil à la surface de la terre sur deux vases, symbolisant les sources cachés dans
les deux grottes sous les rochers. Ces représentations stylisées et symbolique combinant le
FLAMANT ROSE et le Nil entourant le dieu HÂPY ressemble à un l'HOMME SERPENT que
l'on retrouve chez les peuples amérindiens et dans la figure de BOUDHA l'éveillé entouré de
serpents.
Hérodote (5ème siècle AV-JC) récusait l'identification au Nil à cause du nom grec du fleuve,
il pensait au Rhin qui se jette dans la mer du Nord ou à la Vistule d'Europe centrale, et
principal fleuve de Pologne. Pour les Athéniens, le nom du fleuve mythique a servi à
désigner un affluent de l'Ilissos coulant à l'ouest de la cité attique, près du Lycée. Elle est
diversement identifié avec le Danube (Istros) en Hongrie et la rivière du Pô en Italie du Nord.
Selon Eschyle c'est le Rhône ou un de ses affluents.
Etymologiquement, ERIDANUS désigne les RIVES d'un fleuve plutôt que de l'eau qui coule,
en français " Rivière " est la terre située le long d'une rivière ou d'un fleuve. Son lointain
ancêtre latin RIPA signifie " ce qui est coupé par la rivière ". Le mot rivière vient de la racine
indo-européenne REI " déchirure " ou " couper ", de la forme étendue REIP dérivé du vieux
norrois (anglo-normand) RIFA " Déchiré " proche du scandinave et du Danois RIFT, du
germanique RIFTI, du vieil anglais RYFE " abondante ".
DANUS est apparenté avec le mot indo-européen DANU " Rivière " et le proto-indo-
européen DANU signifie probablement " l'eau fluviale " ou " l'eau courante ". L'élément
DAN est utilisé dans un certain nombre de noms européens de rivière : Le Don en russie, le
Danube, etc.. Klein voit une relation avec les mots DANUBE et DANAE fille de Acrisius et
mère de PERSEE.
Dans la mythologie grecque, l’ÉRIDAN (en grec ancien Êridanós) est un dieu-fleuve dans
lequel meurt le soleil. Ce fleuve est mentionné par Hésiode dans sa Théogonie comme étant
le fils d'OCEAN et de TETHYS, il coule à l'occident du monde. ERION signifie " sépulcre " ou
" tombeau ", vraisemblablement au sens de " lieu sacré " et DANOS signifie " don " , " ou "
offrande " mais a tardivement été compris comme signifiant " du matin ".
La mythologie indique que l'ambre provenait des larmes versées par les Héliades (peut-être
la constellation de la Baleine à côté) qui se jette dans le fleuve ERIDAN. Les forêts de la
région de la mer Baltique contient 90% de l'ambre du monde et c'est une identification
certaine et géographique en relation avec ERIDANUS qu'il est possible de faire avec la
mythologie.
Les Grecs donnent également le surnom ERIDANUS au fils du Soleil PHAETON. Selon
Isidore le nom ERIDANUS semble avoir été une appellation pour PHAETON (du grec
phaeithein, briller, brûler), dont le corps est tombé dans le fleuve. Dans la légende, le jeune
garçon a tenté de conduire le char solaire et il est tombé en flammes dans les eaux de ce
fleuve mythique après avoir été frappé par la foudre et mourut.
Le fleuve peut avoir été nommé ERIDANOS d'après cette légende, cela est un
avertissement de JUPITER-ZEUS à celui qui essaye d'atteindre la lumière du soleil, le mythe
est semblable à celui d'ICARE. Le nom PHAETON vient du grec phaeithein " briller " ou "
brûler ", dont viennent aussi les mots " épiphanie " une manifestation d'un être divin, prise
de conscience soudaine, la venue des mages à l'enfant Jésus, et " Hiérophante " l'ancien
prêtre grec qui interpréte les mystères, en particulier le prêtre des mystères d'Eleusis; c'est
le chef de la religion et le Pape.
ORION en tant que première forme d'OSIRIS est aussi proche de PTAH et du medecin
architectecte IMHOTEPce qui signifie " la voix de Dieu Im " où Im veut dire " Je suis " en
référence au nom de Dieu, PTAH - IMHOTEP est donc très proche du Yaweh - Jehova de la
bible. Son nom est aussi proche de YOSEPH et de Zaphenath-Paneah, ce qui signifie " la
voix du Dieu vivant ". Mais IMHOTEP n'est pas ORION, il est représenté sur sa barque solaire
en avatar de RÊ (ou RA), il a été divinisé en SERPENTAIRE (Hermes, Thot, Esculape, etc.),
alors qu'ORION représente le Pharaon.
ERIDAN ET LE PHENIX
Dans notre Atlas moderne la constellation du PHENIX est située au-dessus de CETUS au
commencement du fleuve ÉRIDAN, on y a aussi placé au Sud la constellation de la GRUE
avec le TOUCAN, certainement une image de la TRINITE. On trouve même une HORLOGE
(introduites par Nicolas-Louis de Lacaille en 1752).
La position du PHENIX indique qu'il a peut-être lui aussi un rôle à jouer pour la fin du "
Grand Oeuvre " avec la GRUE sacrée. De l'autre côté du fleuve sacré, c'est ORION attaquant
le TAUREAU mais aussi l'édifice de la " Maison Dieu ". La constellation du PHENIX n'est
absolument pas un " oiseau de Feu ", le PHENIX rouge des Alchimistes est habituellement
associé au Sud et assimilé au signe du CANCER marquant le solstice de l'été et les chaleurs
Le PHENIX est donc situé proche du HORUS ancien et de la constellation SELKIS (la Vierge)
avec son " étoile d'eau " avatar de la Nèpe aquatique. TALOS (Icare) de la mythologie tombé
de la falaise et transformé en " perdrix rouge " par Athéna est aussi un avatar du HORUS,
certaines représentations montre TALOS tuant le DRAGON ancien comme plusieurs de nos
Saints.
Selon les mythes et les croyances, le chemin n'est pas identique pour arriver vers CETUS,
mais le monstre marin représentent toujours la bête à tuer. Dans la version ou
ORION attaque le DRAGON dans une grotte, la belle à délivrer est ANDROMEDE, la femme
en chaîne.
La constellation AURIGA en forme de pentagone est le trou et l'entrée de la caverne, le
LIEVRE (Lepus) n'est pas loin. C'est l'entrée de la grotte pour le voyage vers les enfers sur la
rivière Styx, avatar de la constellation ÉRIDAN juste devant. Il y a d'autres LAPINS à
découvrir à travers les mythes et les légendes, cependant ce LIEVRE au pied d'ORION vient
d'une lecture du Zodiaque de Denderah.
Chez les hindous, les 5 étoiles de la constellation AURIGA sont les cinq pierres que SHIVA a
donné à SHANKARA, les " Pierres de Shankara ". C'est aussi les 5 pierres que David utilisa
pour tuer le GOLIATH, avatar de CETUS. Plus tôt dans sa vie, DAVID a tué un LION (Leo) et
un OURS (Ursa Major), il a également essayé une armure avant son combat, c'est ORION, il
s'attaque maintenant à CETUS. Quand le héros est PERSEE, il délivre ANDROMEDE sur le
rocher avec le cheval PEGASE.
Le grand chasseur ORION est aussi assimilé à JESUS dans l'apocalypse dans un combat
contre la nuit et l'hiver. Les TRIANGLES de l'Apocalypse sont aussi des montagnes. Vers l'Est
dans le début de l'été jusqu'à l'automne, nous avons la constellation de CASSIOPEE. Elle
représente dans un sens biblique la vallée de la décision et la montagne de la déstruction
dans un groupe de montagnes au Nord.
Face à l'est, nous avons les sommets de trois montagnes avec les constellations
CASSIOPEE, PEGASE et le VERSEAU, elles ressemblent à des pyramides. Le Dragon antique
est formé par plusieurs constellations, il a donc plusieurs têtes. Les textes anciens s'inspirent
des constellations dans leur course des saisons, cela semble être une référence au peuple
de Dieu, ceux qui vont vaincre SISERA (Satan et ses sbires) avec l'aide du CHRIST.
ORION semble fixe mais alors que l'hiver progresse, il devient de plus en plus verticale.
ORION se situe principalement à la moitié du ciel dans l'hémisphère nord. mais dans des
latitudes plus basses, il apparaît dans le Nord. Dans cette construction, les constellations
fusionnent pour une autre histoire, mais le sens reste identique aux autres mythes, puisque
c'est un combat contre la nuit et l'hiver à travers les saisons, les constellations de l'hiver sont
l'ARMAGEDDON.
Si les hommes codent les batailles à travers les étoiles, le sens archaïque des constellations
est détournée, et cela même depuis le début ! La victoire contre les ténèbres est
certainement mal assimilée, cependant on trouve des traces du culte secret dans les
mystiques.
L'arrivée du tueur ORION par le Nord ou avec la constellation PHENIX par le Sud est
désormais obsolète (comme le soulignait M. Brando lors du tournage d'Apocalypse Now)
puisque le HORUS ancien n'est pas dans ce ciel là, les symboles archaïques sont le socle du
ciel, ils racontent une autre histoire. Avec la précession des Equinoxes, ÉRIDAN (le nil) ne
correspond plus à l'Egypte, mais il est toujours un fleuve générique, il est donc possible
d'adapter le mythe partout en jouant avec les étoiles.
LE MONDE OSIRIEN
On pensait qu’à l’origine OSIRIS avait été un roi humain, celui qui avait apporté la civilisation
en Egypte. OSIRIS est le premier enfant de NOUT (Voie lactée) et GEB (la Terre), il était le
Dieu de la fertilité et du développement végétal puis il est devenu le Dieu des Morts et le
Dieu de la Résurrection à la Vie Eternelle. OSIRIS était le maître, le protecteur et le juge du
défunt.
Le dieu de l'au-delà OSIRIS est figuré comme un homme momifié au visage bleu (avatar de
l'ancien Dieu Ptah) vert (végétation) ou noir (couleurs de la renaissance) portant la couronne
blanche lunaire, les sceptres du pharaon et la barbe postiche. Les anciens Égyptiens ne
voyaient pas le décès comme une chose naturelle, le rôle d'OSIRIS est donc d'éclairer la
région infernale, la demeure des morts, les abysses. Voilà pourquoi OSIRIS est aussi un dieu
lunaire et pafois noir avec une couronne blanche, il a le visage sombre de la LUNE cendrée
qui, en fait, apparaît marron, gris ou vert sombre sur le ciel bleu et il est couronné de la
haute couronne blanche, symbole de la lumière lunaire.
Le Dieu ONOURIS était adoré à Thinis (ou This) proche d'Abydos, dès l'époque Thinite, et
fut le dieu funéraire d'Abydos ou il était la divinité locale la plus importante, il symbolisait la
force cosmique du soleil. Il avait le titre de KHENTAMENTIOU, "celui qui préside aux
occidentaux", et fut par la suite remplacé par OSIRIS.
Dans plusieurs légendes, ONOURIS aurait ramené de Nubie la déesse lointaine, HATHOR-
TEFNOUT, fille de RÊ que celui-ci avait envoyé dans ce pays pour y tuer tous les hommes
avant de se raviser. On le trouve alors sous le nom d'ANHOUR ou ANHURET, il est assimilé à
SHOU. Avec l'oeil de RÊ et sur l'ordre de RÊ, il parvint à convaincre la déesse HATHOR-
TEFNOUT - avatar de la lionne SEKMET - de quitter le désert nubien pour revenir en Égypte,
il est appelé alors ONOURIS-SHU. Dans cet épisode ONOURIS est associé à THOT le Dieu
de la connaissance.
Personnification de l'air, SHOU en relation avec RÊ, il peut prendre la forme d'un LION ou
très rarement celle d'un homme. Son principal attribut est la plume d'autruche de profil,
quelquefois remplacée par les quatre plumes d'ONOURIS. Le Dieu SHOU est donc le
premier Dieu exclusivement mâle, père de GEB et NOUT, nés de la déesse TEFNOUT. mais
cela ne signifie pas pour autant que ORION représenteONOURIS-SHOU qui est déjà
représenté ailleurs sur le Zodiaque Egyptien avec sa compagne TEFNOUT.
LA FOUDRE DE MIN
En 2002, H. Goedicke proposa une tout autre interprétation du signe Min R22 / R23,
s’appuyant pour cela sur l’ithyphallisme du dieu. Il explique à juste titre que le dieu MIN
n’était pas révéré pour ses seules attributions agraires, mais plutôt pour sa force guerrière.
Plus récemment, E. Weiss proposa une identification s’appuyant sur un autre aspect majeur
de MIN et révéré annuellement, à savoir sa puissance agraire.
Plus récemment, E. Weiss proposa une identification s’appuyant sur un autre aspect majeur
de Min et révéré annuellement, à savoir sa puissance agraire. Dans la continuité de
l’interprétation de B. Kemp citant G. Dreyer et interprétant les deux signes verticaux
ceignant l’emblème de MIN sur les colosses coptites comme des « arbres, des plantes »,
l’auteur s’appuie pour cela sur l’ancienneté des représentations de plants de laitue
accompagnant la figure divine dès la VIe dynastie. La sève de la laitue serait donc assimilée
au sperme de MIN. L’auteur s’appuie aussi sur les multiples mentions tout au long de
l’histoire pharaonique des célébrations agraires dédiées à MIN, les « sorties de Min ».
Cette interprétation reste tout à fait cohérente avec les divers rituels agraires attribués à
MIN et mentionnés dès le début de l’Ancien Empire. Elle répond aussi aux images du plant
de laitue qui accompagne la figure du dieu de manière récurrente dès la VIe dynastie. Au-
delà de son rôle agraire, Min est avant tout un dieu des pierres précieuses et des
phénomènes météorologiques et célestes. Les hymnes à MIN les plus anciens, ses aires de
vénération – tout particulièrement le ouadi Hammamat, ce canyon de grauwacke situé au
cœur du désert Oriental – et les textes liturgiques décrivant sa puissance prodigieuse et son
omnipotence sur le ciel permettent ainsi de proposer non pas un sens animal, végétal ou
chirurgical à ce signe, mais minéral et céleste.
Au crépuscule de la XIe dynastie et au début de la XIIe dynastie, MIN est en effet décrit sur
les parois hammamatiennes comme un dieu créateur de théophanies animale, céleste et
chtonienne. Mais c’est l’inscription M191 relatant un prodige apparu sous Montouhotep IV,
qui énonce tout particulièrement la capacité à la fois météorologique et minérale de MIN
exercée au même instant.
Sa force éternelle et sa puissance prodigieuse doivent aussi être mises en relation avec les
Textes des Sarcophages et les hymnes qui lui sont dédiés décrivant ses capacités. MIN y
apparaît comme un dieu météorologique – tout particulièrement lié aux orages – protecteur
des minéraux tombés du ciel. Le sortilège 953 des Textes des Sarcophages compare déjà la
marche du dieu avec le grondement du tonnerre par l’emploi du verbe " mnmn " désignant
« la marche militaire et le tremblement ou le grondement de la terre ».
La puissance grondante chtonienne du dieu y est ici décrite par métaphore sonore de la
marche militaire. Elle se rapproche alors du grondement orageux, vecteur de pluie dans le
prodige, et tonitruant dans ce sortilège. Par ailleurs, le fléau porté au-dessus de la main du
dieu doit lui aussi être considéré comme un élément visuel démontrant les capacités
météorologiques de la puissance de MIN. Le claquement des lanières perlées rappelle en
effet un son spécifique, produit par un phénomène météorologique d’origine orageuse :
l’impact de la foudre. Le claquement des lanières perlées du fléau décrit en effet par une
métaphore visuelle le son du crépitement initial et grondant de l’éclair, tout
particulièrement fort dans le désert.
C’est alors au croisement des attributions chtonienne et céleste de Min qu’apparaît une «
pierre » singulière, principalement recueillie dans les déserts égyptiens, et qui combinent
les capacités à la fois météorologique et minérale de MIN : la FULGURITE ou
PIERRE DE FOUDRE. Résultat de la vitrification du sable lors d’un impact d’éclair, cette «
pierre » d’une extrême fragilité présente de nombreuses similitudes avec le signe égyptien
de MIN.
Lorsqu’un éclair d’orage s’abat sur le sol, généralement sablonneux, il produit de la chaleur
et de l’énergie qui font monter le sable à plusieurs milliers de degrés Celsius. Cette montée
soudaine de chaleur et d’énergie provoque la transformation de matière originelle en
morceaux de silice amorphe. Une fois refroidis, ces morceaux se présentent sous la forme
de tubes cylindriques à l’aspect rugueux. Étant donné qu’il s’agit d’un phénomène très
hasardeux, la pierre FULGURITE peut varier de taille, de forme, de texture et de couleur
selon l’endroit où la FOUDRE frappe. Nées grâce à la FOUDRE, les FULGURITE sont souvent
surnommées « éclairs pétrifiés » ou « éclairs fossilisés ».
Au moment où l’éclair touche et entre dans le sol, la chaleur créée par ce dernier fait fondre
en surface comme en profondeur le sable du désert riche en silice tout autour de lui. Il
forme alors un tube pouvant aller jusqu’à plusieurs mètres sous le niveau du sol. Mais le
choc, la puissance et la chaleur de l’impact sur le sable peut aussi projeter la silice dans les
airs et créer tout autour de l’éclair une vitrification hors sol pouvant aller jusqu’à 80 cm de
haut. Lorsque l’éclair disparaît, le sable ainsi vitrifié forme alors un tube creux et dentelé de
verre grossier et poreux. Cette vitrification naturelle forme alors une sorte de flèche plantée
dans le sable qui peut être brisée dans sa partie hors sol en divers fragments plus ou moins
longs et épars autour du point d’impact.
C’est à partir du Nouvel Empire, et tout particulièrement sous le règne de Ramsès II, que les
graveurs et / ou les dessinateurs témoignent d’une perte mémorielle du sens originel du
signe oblong de MIN. Si la lecture du signe reste connue, en ce sens qu’il désigne toujours
le théonyme MIN, la graphie de ce dernier a été modifiée. Il est ici confondu avec le signe
de l’œil. Cette fusion ou confusion révèle alors une perte du sens originel du hiéroglyphe
MIN au plus tôt sous Ramsès II. Par extension, le sens et les capacités fulgurantes attribuées
à MIN semblent avoir disparu, tout du moins en région thébaine, comme le montre
l’absence d’attribution orageuse dans les passages du Livre des Morts mentionnant MIN , à
l’inverse des Textes des Sarcophages et des prodiges expéditionnaires gravés au ouadi
Hammamat.
La vocalisation actuelle du théonyme MIN s’appuie sur une lecture d’époque romaine
mentionnée par Plutarque. En effet, ils avaient l’habitude d’appeler HORUS MIN, nom
désignant ce qui est perçu par la vision (ou la force physique) par qui perçoit par les sens ce
qui est visible dans l’univers (c’est-à-dire dans le ciel et la terre). Le théonyme MIN ne se
lisait pas Mnw, mais bien Mn, comme Plutarque l’avait lui-même retranscrit 2000 ans plus
tard avec MIN.
Ce signe prend alors sens via la puissance fulgurante du dieu. Par des jeux d’allitérations et
par rapprochement sémantique, le signe doit ainsi être lu mn et non mnw aux époques
anciennes, tout du moins à partir du Moyen Empire. Il conforte aussi u n particularisme
majeur, à savoir que MIN, comme le soulignait avec justesse H. Goedicke et W.A.
Wainwright avant lui, n’avait jamais été considéré comme un dieu de la procréation ou de la
puissance génitrice masculine. Il était perçu dès le Prédynastique comme un dieu de la force
dans son état le plus brut et le plus pur (peut-être une assimilation au k), un dieu des
phénomènes d’impacts météorologiques et célesteset à la marche grondante (tonnerre) et
au crépitement fulgurant (claquement du fouet aux lanières perlées).
Par cette identification et ses attributions, et par croisement avec l’allitération du sortilège,
la présence des compléments phonétiques mn et n déterminés par l’image du dieu à savoir
le signe comme représentation de la PIERRE DE FOUDRE ou FULGURITE. En somme, de par
l’identification du signe théonyme, sa lecture véritable faisant écho par allitération au
grondement du tonnerre, MIN apparaît alors comme un antique dieu de la FOUDRE, de la
puissance céleste sous sa forme la plus brute et la plus dangereuse.
Source : http://www.enim-egyptologie.fr/index.php?page=enim-15&n=2
La figure de OSIRIS le NOIR représenterait le fleuve NIL dans le désert (le désert est associé
à SETH). Cet aspect du Dieu pourrait très bien représenter la constellation ORION traversant
le fleuve ERIDAN et subissant une transformation. Sur le Zodiaque de Denderah nous
constatons que c'est la constellation PERSEUS et donc NEFERTOUM qui est au-dessus de la
figure représentant ORION le géant du disque.
La constellation PERSEUS est une figure coiffée de plumes tenant la tête d’un BOUC (ou
chèvre), elle représente certainement le Dieu NEFERTOUM, le Héros. NEFERTOUM est le "
Seigneur des Parfums ", il était étroitement lié au culte du dieu solaire RE en relation avec la
renaissance solaire et à l'Esprit. Avec PTAH, et la déesse SEKHMET, ils forment la triade de
MEMPHIS.
Sur le disque de Denderah, la constellation PERSEUS est une figure coiffée de plumes tenant
la tête d’un BOUC (ou chèvre), elle représente certainement le Dieu NEFERTOUM, le Héros.
NEFERTOUM est le " Seigneur des Parfums ", il était étroitement lié au culte du dieu solaire
RE en relation avec la renaissance solaire et à l'Esprit. Avec PTAH, et la déesse SEKHMET, ils
forment la triade de MEMPHIS.
Mais NEFERTOUM est déja représenté par la constellation PERSEUS sur le disque de
Denderah, il pourrait signifier une évolution de HORUS après le franchissement du fleuve et
une transformation. NEFERTOUM est aussi lié au fils HORUS devenant MIN-HORUS, capable
de battre le Dieu SETH, il est le " GRAND LOTUS " et le vainqueur.
Il faut donc revoir le ciel autrement, la vache HATHOR semble porter son fils HORUS
/OUPOUAOUT avatar deHAROERIS (Horus l'ancien) avec l'aide de NEITH-ISIS et son arc
dans la direction de la tête d'ORION et de l'oeil du TAIREAU (Aldebaran) afin de traverser le
fleuve de vie ERIDAN et le désert, puisque nous sommes dans cette zone du ciel de l'été.
Paysage avec Orion aveugle cherchant le soleil (1658) - Nicolas Poussin. Metropolitan
Museum of Art, New York.
C'est ce que représente le tableau de N. Poussin dans son paysage avec le géant aveugle
cherchant le soleil portant son fils sur les épaules, le tableau est en inversion par rapport aux
figures et au sens de rotation cu ciel, on y voit les aussi les GEMEAUX, Le grand chien (Canis
Major), se tient debout aux pieds du maître dans un scintillant groupe d’étoiles, le petit
chien (Canis Minor) OUPOUAOUT comme un couple d’étoile est situé aux épaules d’ORION
avec NEFERTOUM. Sur le tableau du Poussin, la Déesse NEITH-ISIS de couleur verte indique
la direction depuis son nuage.
Le nom de l'Egypte, " la terre noire ", de KM : " noir ", d'où KMB " les Égyptiens " provient à
du limon noir, très fertile, laissé par le Nil. Les divinités à chair noire et par l’œil noir
prolongé d'une "goutte" du dieu du ciel et esprit de lumière, HORUS, représenté avec une
tête de faucon à l’œil entouré de noir et dont l'acuité visuelle est incomparable. C'est ainsi
que l''œil OUDJAT ("complet") et noir d'HORUS est le symbole de l'intégrité physique, de
l'abondance et de la fertilité, de la lumière et de la connaissance.
En identifiant tous les morts à OSIRIS, le dieu assassiné, les Egyptiens ont conçu la mort
comme le franchissement d'un seuil situé entre le monde terrestre et le monde de l'au-delà.
Le culte d' OSIRIS s'est diffusé sur l'ensemble du territoire égyptien, cependant les traditions
divergent quant au nombre des membres osiriens dispersés dans le pays ; de quatorze à
quarante-deux selon les différentes versions.
Les premières formes du dieu était d'une flèche ou un ECLAIR de foudre, lié à la fertilité
(Min) et à la sexualité, son PHALLUS est en érection pourrait se rapporter à la victoire sur
l'ennemi. Son corps est gainé dans un linceul, ce qui lui donne la forme d'une momie. On
peut aussi le voir comme étant un homme barbu et pendant l'époque du Nouvel empire il a
été parfois représenté en TAUREAU BLANC, un animal sacré pour le dieu de la fertilité.
MIN a été utilisé pour montrer la suprématie du Roi sur ses ennemis, car il est lié à la fois à la
puissance et la à destruction. Il est représenté sous les traits d'un homme momiforme
debout le phallus en érection, coiffé de deux hautes plumes et tenant un fléau dans sa main
droite levée. Il est représenté ithyphallique, en tant que dispensateur du pouvoir sexuel, un
signe de fertilité et de fécondité, dans la mythologie grecque, c'est Priape qui est représenté
de cette façon.
En tant que Dieu du désert de l'Est, mais toujours un Dieu de la fertilité, MIN-HORUS est
devenu celui qui offre une protection aux voyageurs et aux commerçants. Plutôt que d'être
peint en rouge comme lle maléfique dieu du désert SETH, il a été peint en noir pour
représenter les terres fertiles du long du Nil. MIN était aussi lunaire et lié à l'humidité et à la
fertilité, à ce titre, il était dans le calendrier égyptien le dernier jour du mois lunaire, ce jour
était connu comme " la sortie de Min ". Par syncrétisme, il fut identifié à AMON sous AMON-
MIN, permettant à AMONde récupérer les pouvoirs de fertilité.
AMUN-RA-MIN est devenu un Dieu composite quand son culte s'étend sur l'Egypte. A
l'origine, il était la déification de la notion de l'air, et l'un des quatre concepts fondamentaux
de l'univers primordial dans le mythe de la création. AMON signifie " celui qui est caché ",
comme l'air et le vent, il ne se voit pas. Sa description originale était un dieu à tête de
GRENOUILLE et son invisibilité était représenté par la COULEUR BLEUE, la couleur du ciel.
La couleur bleue est souvent utilisé pour représenter AMON. Il devint rapidement le chef de
Dieu, les identités fusionnées de RA et HORUS, devenant AMON-RA assimilé à JUPITER.
Avec le temps et la création de nouvelles cités, nous trouvons plusieurs types d'OSIRIS en
Egypte. Dans le texte figurant sur la stèle d'inventaire, OSIRIS DE LA PORTE connu comme
étant OSIRIS ROSTA (de Ros Tau ou de Gizeh) se reférait non seulement à la constellation
d'ORION mais aussi à l'astre PLUTON lorsque cette planète était proche de l'étoile
BETELGEUSE de la constellation d'ORION. L'auteur Claude Gétaz indique qu'avec le
déplacement lent dePLUTON ces périodes étaient les années suivantes (Av. notre Ere) :
3581 , 3 329 , 3 083 ,2 833, 2 335 , et 2 085.
Ces années peuvent être des points d'ancrage de périodes plus larges. PLUTON est aussi
lié à la mort et au Chien ANUBIS le fidèle compagnon, l'astre s'est déplacé et on ne sait pas
excatement pourquoi, mais il semblerait qu'à une époque lointaine PLUTON était proche de
NEPTUNE un autre Roi mort depuis l'instauration d'un calendrier de 7 jours dans la semaine.
L'orbite de PLUTON croise celle de NEPTUNE, les deux astres sont donc très proche mais
leurs orbites ne sont pas dans le même plan. et il n'y aura jamais de collision entre ces deux
planètes, quand PLUTON effectue deux révolutions autour du Soleil, NEPTUNE en fait
exactement trois, grâce à cette synchronisation, quand PLUTON traverse l'orbite de
NEPTUNE, cette dernière se trouve toujours ailleurs sur son orbite, les deux corps sont dits
en résonance. Ainsi, PLUTON peut se trouver plus proche de URANUS, mais comme nos
observations astronomiques ne sont pas celles des Egyptiens, il est difficile de reproduire
exactement le ciel d'avant à l'indentique.
L'Egypte antique et la corrélation d'Orion, est une théorie proposée par certains
égyptologues comme Selim Hassan, ou archéo-astronomes comme Robert Bauval, selon
laquelle il existerait une corrélation entre la position des pyramides d'Égypte et la position
des étoiles, notamment entre les trois pyramides de la nécropole de Gizeh.
Le tropique du CANCER porte ce nom car, il y a environ 2 000 ans, le Soleil entrait dans la
constellation du CANCER lors du SOLSTICE de Juin (vers le 21 Juin). À cause de la
précession des équinoxes, le Soleil se situe désormais dans la constellation des GEMEAUX
lors de ce solstice. Les Egyptiens utilisent le 33e parallèle Nord et le Nord magnétique de
l'époque pour délimiter le monde avec le DELTA du Nil au centre, l'étoile SIRIUS indiquerait
alors le Nord magnétique (à ne pas confondre avec le Nord géographique). Tout ce qui
dépasse au Nord / Ouest est en Occident.
Cependant dans le SUD tout est inversé ! Quand nous entrons dans le SOLSTICE d'été dans
le Nord c'est l'hiver qui commence dans le sud. La construction astronomique est
remarquable, depuis le ciel, la Grande Pyramide forme un CUBE astrologique en relation
avec les 4 saisons et les 4 points cardinaux, ce CUBE cosmique deviendra les 4 étoiles
royales à Babylone.
La constellation ORION a la particularité d'être visible depuis les deux hémisphères, et c'est
certainement la raison de son importance dans le ciel antique avec SIRIUS. Il semble donc
que l'élément le plus important dans la construction des édifices en Egypte SIRIUS qui
marquait les saisons et peut être le NORD MAGNETIQUE de cette époque.
Il y a beaucoup de désinformations afin de cacher les mystères, les directions avec les
couloirs est les constellations restent approximatives, la grande pyramide forme dabbord un
CUBE astronomique depuis le ciel, avec les points cardinaux de l'époque et la direction du
NORD MAGNETIQUE, qui a son propre cycle.
Il existe aussi l'hypothèse d'un recouvrement d'un site plus vieux par les Egyptiens, il
faudrait alors regarder le ciel bien plus loin que l'Antiquité de l'Egypte pour trouver la
véritable source de notre civilisation.
LA MYTHOLOGIE ET ORIONS
Dans la mythologie, ARTEMIS / DIANE tua d’une de ses flèches le chasseur ORION. Il y a
des versions différentes de cette histoire. Dans une version, on raconte qu' ORION était
tombé amoureux des PLEIADES, toutes filles d'un roi. Il en était tellement obsédé que, par
compassion envers les jeunes filles, les dieux les avaient chassées sur le dos d'un TAUREAU.
Dans certaines versions de la légende, il fut tué par le SCORPION. Les Chinois voyaient en
lui la figure d'un général ou d'un guerrier suprême dont le nom était SHEN. Ils perçurent
également un conflit avec le SCORPION, mais pour eux, ce n'était qu'une querelle entre
frères, les étoiles du SCORPION représentaient le plus jeune frère de SHEN.
Comme nous pouvons le voir avec les différentes versions, le mythe s'inspire clairement de
la rotation terrestre, car ORION semble poursuivre inlassablement les PLEIADES au travers
du ciel. C'est pour cela que les constellations de ORION et du GRAND CHIEN (et son étoile
Sirius) sont proches l'une de l'autre, et que le SCORPION fut placé de l'autre côté sur la
voûte céleste, se poursuivant sans cesse sans jamais se rattraper.
Sur le zodiaque Egyptien, NEITH tire une flèche vers ORION et son épaule mais aussi vers
l'astre JUPITER
Dans un autre mythe, le roi était persuadé qu'ORION allait échouer, mais le grand chasseur
n'eut aucun mal à remplir sa mission. Lorsqu'il revint demander la main de Mérope,
Œnopion renia ses promesses, l'amoureux se fâcha et saccagea le palais. Celui-ci fut ligoté
tant bien que mal par l'armée lancée par le roi. Pour le punir, Œnopion l'aveugla et
l'abandonna sur le rivage. ORION marcha alors droit devant lui à travers la mer jusqu'à l'île
de Lemnos et fut attiré par les forges d'Héphaistos qui accepta de lui prêter CEDALION, son
assistant.
Le géant guidé par l'enfant rentra dans la mer et marcha vers l'est face au soleil. Pendant sa
marche, ORION recouvra miraculeusement la vue. C'est le sujet du tableau de Nicolas
Poussin (1658) aussi célèbre qu'énigmatique. Il retourna à l'île de Chios pour se venger
d'Œnopion, mais Artémis lui demanda d'oublier sa vengeance et lui proposa de chasser
avec elle. Mais le frère d'Artémis, Apollon, qui avait quelques craintes pour sa sœur, envoya
un monstrueux scorpion à sa poursuite. ORION tenta de le combattre mais il n'y parvint pas.
Pour échapper au monstre, il s'enfonça dans la mer qui formait une barricade naturelle.
Alors APOLLON désigna le géant et dit à ARTEMIS de le tuer, le faisant passer pour un
méchant. Comme le géant était trop loin, ARTEMIS ne put le reconnaître et lui lança donc
une flèche. Elle alla à la nage récupérer le cadavre, mais lorsqu'elle s'aperçut que c'était
Orion, elle plaça son image parmi les étoiles en compagnie de ses chiens, CANIS MAJOR et
CANIS MINOR. On donne à cet épisode le nom de catastérisme.
Dans un mythe Hindou, MAITRIGUPTA, était sur le point de se tuer à cause de la dispariton
de SAVARIPA. C'est à ce moment que le GURU (celui qui dissipe les ténèbres) est apparu
sous la forme d'un chasseur aborigène et sauvage, qui pouvait d'un seul coup et d'une seule
flèche transperçer des milliers de créatures.
Dans un autrre mythe, PRAJAPATI (Brahmä) est le " Seigneur de la Génération ", le
générateur de toutes les créatures, son désir est la multitude et la reproduction. L'Aitareya
Brahmana raconte qu'il fût pris de désir pour sa propre fille l'aurore ROHINI qu'il approcha
sous la forme d'un GRAND CERF. Terrifiée, l'Aurore se changea alors en BICHE (Gazelle ou
une Chevreuil).
Selon une autre version ROHINI avait adopté la forme d'une GAZELLE et PRAJAPATI le
chasseur s'est transformé en CERF pour l'approcher. Dans ce mythe de la création,
PRAJAPATI laissa dans sa poursuite sa semence échapper sur la Terre, donnant ainsi
naissance aux premiers hommes. Une autre version affirme que PRAJAPATI adopte
successivement chaque forme animale, procréant ainsi tous les couples, jusqu'aux fourmis.
ROHINI a différentes formes, elle est considérée comme une incarnation de LAKSHMI, une
Déesse de la beauté dont l'animal est la CHOUETTE, comme la Déesse ATHENA des Grecs.
Cette histoire est similaire en Inde avecSAVARIPA (ou Lubdhak) le chasseur, il est toujours
accompagné de deux femmes chasseresses, les yogini PADMAVALI et JNANAVALI, alors
que dans la mythologie occidentale ORION est toujours accompagné de deux chiens de
chasse, CANIS MAJOR et CANIS MINOR.
Dans une autre histoire de la mythologie grecque d'origine orientale (Adon signifiant « notre
maître »), ZEUS partage le temps d'ADONIS entre deux déesses, il passera les mois d'été
dehors avec APHRODITE-VENUS et les mois d'hiver avec PERSEPHONE sous terre.
APHRODITE s'efforce de le protéger des dangers qui le menace et le met en garde contre
les bêtes qui hantent les forêts. Mais la déesse quitte un moment son amant. ARES (dieu de
la Guerre), l'amant officiel d'APHRODITE, ne supportait pas d'être ainsi délaissé au profit
d'un autre.
LE MAT ET ORION
Le Tarot de Marseille, ce dernier ayant été dessiné par Jean Cassien en 415 pour conserver
la trace des prophéties de Marie-Madeleine. Les 22 chapitres, illustrés par les 22 arcanes
majeurs, décrivent les 22 siècles séparant l'ère chrétienne des Poissons de l'ère du Verseau
avec un enseignement basé principalement en relation avec la Révélation.
Dans l’Arcane 21, XXI, on voit Marie-Madeleine revenir sur terre, après le XXe siècle et son
holocauste, le Tarot représenterait l’Évangile secret de la Sainte. Dans le Tarot, la
constellation d'ORION est représenté par le MAT ou le FOU, mais au début de la ROTA, le
MAT m’apparaît comme étant un FOU, il est un homme qui avance vers l’inconnu et il ne
représente personne, ou encore toutes les figures.
Dans son voyage, le MAT est acconpagné par un petit animal, un CHIEN ou un CHAT, c'est
notre actuelle constellation LEPUS (Lièvre). Dans le tarot, il y a un autre CHIEN BLEU dans la
carte de la Lune, comme le MAT / ORION, il regarde aussi vers les étoiles et symbolise
l'étoile SIRIUS (l'étoiles du chien) et la déesse Egyptienne NEITH, dans les cosmogonies de
diverses traditions occidentales et orientales, il s’agit d’un chemin que l’on appelle le
“ Retour vers Sirius ” en relation avec la déesse ISIS, qui correspond comme la Vierge Marie
chez les chrétiens au culte de la Vierge mère chez les anciens égyptiens.
En ésotérisme, il revient pour signifier que son initiation l’a transformé et qu’il est désormais
un individu accompli et libre. Le MAT désigne peut-être un mort ou un revenant, au sens
symbolique du terme, c’est-à-dire quelqu’un qui a perdu quelque chose. Il participe au
JUGEMENT DERNIER (20 et 21) de l'APOCALYPSE de Jean (la révélation). Comme le Dieu
Egytien ONOURIS, le MAT représente celui qui sauve le soleil, il est " PERSONNE " mais
aussi le " grand héros " et le " grand chasseur ", celui qui va vaincre le ciel et devenir un
demi-Dieu après avoir arpenter le chemin et non pas connaître le chemin comme un initié.
La Lame d'ORION représente le début, la fin et le commencement, l'Alpha et l'Omega. ISIS
est représentée dans la carte du MONDE (21) mais avant doit venir le JUGEMENT DERNIER
et le retour du MAT, c'est à dire du fils de l'HOMME pour l'âge du VERSEAU et la création
d'un nouveau MONDE après une désttruction de la MAISON DIEU (la Tour), et cela
correspond à notre époque éctuelle. Cependant, comme l'indique la Lame du PENDU il y a
des inversions, il faut donc remplacer la figure de l'AIGLE qui représente le SCORPION par
le TAUREAU et Vice Versa pour obtenir la bonne carte du ciel.
A l'exception notables des variantes dites de Rouen ou de Bruxelles, où la lame est non
numéroté ou encore avec le numéro « 0 », la lame porte le numéro « 22 ». Le nombre 22 est
un nombre puissant, c’est un « maître-nombre » et il est considéré comme étant bénéfique. Il
symbolise la manifestation de l’être dans sa diversité et dans l’espace-temps. Bien que le
MAT ne porte pas de numéro, il demeure le 22ème arcane majeur de la ROTA (roue du ciel)
du Tarot. Les kabbalistes quant à eux, estiment qu’elle est la 21ème lame, parce que le SHIN
" que l'on peut rapprocher du chinois SHEN (Orion), est la 21ème lettre de l’alphabet
hébreux.
Source : http://www.camoin.com/tarot/tarot-code-sentier-etoile-sirius.html
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