La peur de la sécurité nationale qui s’est produite après le 9/11/2001 a cédé la place à un nouveau type

de brutalité législative aux États-Unis. Les manigances ont commencé avec le « Patriot Act », une
législation dégénérée qui a annulé la Constitution des États-Unis, la Déclaration des droits et les
Constitutions des États de chaque État américain en faveur de contrats sans appel d’offres de mille
milliards de dollars pour secrèter les « entreprises de sécurité », les fabricants de machines de guerre
militaro-industrielles et les profiteurs de guerre de toutes sortes. La brutalité s’est poursuivie avec la
mise en œuvre planifiée mais secrète du harcèlement des gangs, qui est une sorte de brutalité comme
aucun gouvernement n’en a jamais vu, bien que je soupçonne fortement que les États-Unis ont trouvé
un moyen d’influencer la manifestation du harcèlement des gangs dans les nations « alliées » de
l’Amérique, à savoir celles qui suivent les conseils de l’Amérique sur la rédaction de divers textes de
législation sur la sécurité nationale. Le harcèlement de gangs est quelque chose, selon diverses sources
en ligne, qu’une personne vit à la suite d’un certain nombre d’expériences législatives différentes qui
changent la vie qui sont les suivantes: -Vous traversez un divorce amer ou coûteux: -Vous êtes le
bénéficiaire d’un testament: -Vous êtes politiquement franc: -Vous êtes un dissident politique: -Vous
êtes franc lors des réunions du conseil municipal: -Vous avez tendance à « vous démarquer » partout où
vous allez (charisme): -Vous faites le « mauvais ennemi » (ce qui pourrait signifier beaucoup de choses):
-Vous êtes devenu riche rapidement: Ce sont les principales raisons pour lesquelles une personne se
retrouve dans une campagne de harcèlement de gangs financée par les contribuables fédéraux dans
laquelle elle rencontre des voyous agaçants, qui viennent tous de divers milieux socio-économiques, sur
une base quotidienne. (Plus d’informations à ce sujet plus tard.)

( Les États-Unis d’Amérique ont permis et financé le terrorisme intérieur sanctionné par l’État. La peur
de la sécurité nationale post-9/11/2001 a engendré des désastres draconiens, voyous, mal élevés, des
droits civiques comme le harcèlement des gangs, notamment parce que les projets de loi sur la sécurité
nationale adoptés par le Congrès au cours de cette période et au-delà faisaient 9 500 pages, chargés
d’affectations restreignant la liberté civile, et personne au Congrès ou au bureau exécutif du président
ne les a lus attentivement. Les brutalités telles que le harcèlement moral sur le lieu de travail, le
harcèlement communautaire, l’interception des communications électroniques, le théâtre de rue, les
accidents de voiture dérivés ou mis en scène, les meurtres et les tentatives de meurtre, les agressions,
les cambriolages et le vandalisme, qui font tous partie du répertoire violent du harcèlement des gangs,
ont été furtivement légalisés en raison de l’ignorance législative du Congrès. L’engagement des États-
Unis en faveur de l’achat et de l’utilisation de machines de guerre militaro-industrielles a rendu inutile
leur jugement collectif sur la bonne gouvernance. Les États-Unis dépensent près de 1 milliard de dollars
par an pour résoudre l’énigme du complexe militaro-industriel, et parce qu’il n’y a pas de guerres à
mener, les États-Unis ont fait la guerre à leurs propres citoyens. Cette guerre secrète, appelée
gangstalking, utilise bon nombre des machines de guerre militaro-industrielles coûteuses et inefficaces
qui sont assises et ramassent la poussière. Ceci étant fait pour stimuler le complexe militaro-industriel
en l’absence de guerres coûteuses avec des régimes « croque-mitaine ». < Le complexe militaro-
industriel est un donateur important aux campagnes politiques aux États-Unis, et en retour, les
politiciens américains le récompensent avec des contrats gouvernementaux de mille milliards de dollars,
provoquant une explosion des revenus et une augmentation des cours des actions pour les fabricants de
machines de guerre. » >Le harcèlement collectif est une entreprise de profit de guerre utilisée pour
stimuler le complexe militaro-industriel, cela se faisant au détriment de la liberté de ses citoyens. la
liberté, les possibilités de bonne gouvernance et leurs droits constitutionnels. )
Le harcèlement des gangs est quelque chose qui a évidemment commencé dans les années 1960 avec
des personnalités nationales américaines telles que des politiciens, des athlètes, des musiciens, des
acteurs et des militants politiques. COINTELPRO, l’ancêtre du harcèlement de gangs, a été utilisé par le
FBI (qui a depuis renoncé au programme sur FBI.gov) pour utiliser des citoyens américains suppléés afin
de perturber les activités d’un certain nombre de groupes politiques dissidents. Le plan et les protocoles
de COINTELPRO ont été utilisés, en plus, pour « faire taire » les célébrités qui avaient « trop
d’influence » parmi la population américaine. Remarquez comment, depuis la mise en œuvre fédérale
de COINTELPRO, d’innombrables célébrités américaines sont mortes dans des circonstances
mystérieuses alors qu’elles étaient dans la fleur de l’âge? John F. Kennedy, Malcolm X, Marilyn Monroe,
Martin Luther King Jr., Elvis Presley, Sam Cooke, Bruce Lee, Jimi Hendrix et Janis Joplin ne sont que
quelques-uns des noms de cette période qui me viennent à l’esprit. Depuis lors, des centaines d’autres
célébrités sont mortes dans des circonstances bizarres et inhabituelles similaires. Si quelque chose est
trop bizarre pour être une coïncidence, alors ce n’est PAS une coïncidence. Le programme de
perturbation du gouvernement fédéral des États-Unis, COINTELPRO, existe toujours à ce jour, et il ne
cible pas exclusivement les personnes politiquement actives et les célébrités. Le peuple américain est la
cible cette fois-ci, et cela laisse à la spéculation comment et pourquoi un citoyen des États-Unis se
retrouve dans une campagne de harcèlement des gangs dirigée par le gouvernement fédéral qui est
évidemment dérivée des mesures de sécurité nationale post-9/11/2001 qui ont été adoptées par des
politiciens américains effrayés et complaisants qui ont fait ce qu’ils devaient faire pour rester éligibles.
et ce, malgré les dommages qu’ils ont causés et continuent de causer aux États-Unis d’Amérique.

Le harcèlement de gangs n’est pas un jeu. Ce n’est pas amusant; Ce n’est pas un passe-temps récréatif
ou une activité d’amateur. Il s’agit plutôt d’une brutalité dirigée par le gouvernement fédéral, mal
affectée, financée par les contribuables, politiquement inutile et stupide qui vise le démantèlement
structuré, surveillé et holistique d’un citoyen américain. La tactique de harcèlement des gangs la plus
courante qui ciblait les personnes est appelée « synchronisation ». La synchronisation, c’est quand un
harceleur de gangs fait quelque chose exactement « en même temps » que la cible, dans l’intention de
perturber les mouvements de la personne ciblée. Par exemple, vous traversez une place, et la fraction
de nanoseconde que vous entrez dans la zone de stationnement, une voiture arrive à toute vitesse, vous
coupant, vous frappant presque ou vous frôlant. Ce sont des mouvements chronométrés et
synchronisés effectués par un harceleur de gangs qui a pris un signal dirigé par le gouvernement fédéral
pour vous localiser exactement à cette seconde précise; L’objectif est d’entraver le mouvement de
l’individu ciblé, d’étourdir la cible et de la « contenir » psychologiquement (donner à la personne ciblée
le sentiment d’être incapable de « dépasser » ses agresseurs). Une autre forme de synchronisation
qu’un individu ciblé voit souvent est le mécanisme de battement des portes. À la seconde même où une
personne ciblée s’approche d’une porte (pas une seconde trop tôt ou trop tard), la porte s’ouvre, vous
frappant ou vous manquant tout simplement. Ce sont aussi des manœuvres synchronisées
chronométrées. _____ Une personne ciblée fait également l’expérience de la synchronisation lorsqu’elle
conduit son véhicule à moteur. La synchronisation se produit sur la route ouverte sous la forme de
manœuvres de véhicules chronométrées, préarrangées et exécutées à dessein qui visent souvent à:
•provoquer un accident de voiture, (les accidents de voiture mis en scène et dérivés sont extrêmement
fréquents dans les campagnes de harcèlement des gangs; ils sont une tentative de garder l’individu ciblé
hors de la route et d’entraver la capacité de la cible à se déplacer librement. Ces accidents de voiture
mis en scène visent également à stimuler artificiellement les industries américaines de l’assurance
automobile, de la carrosserie, de la location de voitures, des hôpitaux et des services funéraires, car plus
d’accidents de voiture signifie des taux mensuels plus élevés sur l’assurance automobile, plus
d’accidents de voiture signifie plus de réparations pour les entreprises de réparation de carrosserie, plus
d’accidents de voiture signifie plus de locations de voitures pour les sociétés de location de voitures afin
que la personne ciblée puisse se déplacer, Plus d’accidents de voiture signifie également plus de visites
à l’hôpital, car les personnes ciblées qui subissent des blessures dans le cadre de leurs accidents de
voiture devront payer pour plus de visites à l’hôpital et / ou chez le médecin pour retrouver leur santé et
leur vitalité. Plus d’accidents de voiture signifie également plus de cercueils achetés pour les entreprises
de cercueils, et pour les salons funéraires, plus de revenus d’inhumation et / ou de crémation sont
générés à la suite des accidents de voiture dérivés, mis en scène et / ou faux. Bon nombre des industries
susmentionnées sont cotées en bourse sous une forme ou une autre et bénéficieront financièrement
des événements catastrophiques causés par le harcèlement criminel. Oui, mesdames et messieurs, le
harcèlement des gangs est une source de revenus pour certaines industries et un goulag mobile pour les
individus ciblés. La destruction causée par le harcèlement criminel peut être décrite avec précision
comme un mécanisme de « profit », comme on peut le voir avec mes affirmations. Ces accidents de la
route sont également des « avertissements » à la personne ciblée que ses harceleurs sont dirigés par le
gouvernement et protégés par le gouvernement fédéral et qu’ils ne sont pas leurs « amis » et qu’ils
peuvent vous tuer et qu’ils vont.) ___ Il convient également de noter que les personnes ciblées
obtiennent également plus d’infractions aux feux de signalisation que les non-cibles, notamment parce
que les feux de signalisation sont commandés par ordinateur et peuvent être piratés, détournés et
contrôlés à distance de manière à virer au rouge « à droite lorsqu’une cible l’atteint », de manière à
provoquer une contravention générée par une caméra ou à se faire arrêter par un patrouilleur qui peut
se trouver à proximité. ---Je devrais noter que les feux de signalisation seraient télécommandés par
quelqu’un d’autre que le patrouilleur qui vous arrêterait pour faire fonctionner le feu rouge, mais la
patrouille peut ou non savoir que le feu rouge est truqué. (Un nombre suffisant de ces types de
contraventions entravera la capacité de la personne ciblée à se déplacer librement, car son permis de
conduire sera suspendu, ou pire, révoqué complètement.) Les contraventions au code de la route
génèrent également des revenus pour les villes, les municipalités, les villages et les cantons, et font
partie de « l’aspect générateur de revenus du harcèlement criminel des gangs. Plus une ville reçoit de
contraventions, plus elle a d’argent dans son trésor pour attribuer des contrats à des sociétés tierces qui
font affaire avec la ville ou l’État. ____ Leur existence sur cette terre ne vaut pas la peine d’être vécue.
Ce mode de guerre psychologique est quelque chose que le gouvernement fédéral des États-Unis a
permis à divers de ses auxiliaires d’utiliser sur des « indésirables » tels que des individus ciblés pendant
vingt ans définitivement, et soixante ans probablement.

La farce est que le gouvernement fédéral des États-Unis se tourne les pouces en attendant que le
prochain budget de 5 000 000 000 000 000 $ soit adopté et n’a aucune connaissance du protocole de
trahison après le 9/11/2001 sur le harcèlement communautaire et la brutalité qu’il a signé et qu’il a
continuellement financé et mis en œuvre depuis 2003. Sans orientation et orientation fédérales, les
harceleurs de gangs ne se mobilisent pas; En fait, ils redeviennent des citoyens privés, ce qui est une
perspective qu’ils détestent. Les harceleurs de gangs et les harceleurs communautaires sont le genre de
têtes de poing qui aiment se sentir comme s’ils étaient « branchés » à quelque chose de « spécial ». Il
est dommage que ce mécanisme « spécial » de signalisation, de mobilisation et d’interception qu’ils
pratiquent soit à la fois un crime contre l’humanité et une trahison inconditionnelle. Le gouvernement
fédéral des États-Unis est une aubaine pour la civilisation humaine. Son mécanisme législatif facile à
pénétrer est un danger pour tous les peuples de tous les coins du monde. Les congrès des États-Unis, au
cours des 20 dernières années, ont négligé et effrayé vendu le gouvernement fédéral des États-Unis,
ainsi que tous les États et municipalités de l’Union, au complexe militaro-industriel, à ses intérêts et aux
intérêts de ceux qui en profitent. Le harcèlement des gangs est un échec du Congrès, un singe de guerre
militaro-industriel et un facilitateur de milices américaines violentes et brutales dirigées par le
gouvernement fédéral.

Si l’un de ces voyous (les gangstalkers) donne le bon « signal », ils vont cracher dessus, respirer
fortement près, briser le vent contre, tomber, renverser, éclabousser, laisser tomber du cérumen ou
contaminer votre repas. Cela est particulièrement vrai dans les restaurants s’il y a des serveurs qui y
sont des harceleurs, mais les clients de ce même restaurant feront de même s’ils reçoivent le signal de
contaminer votre nourriture. Les maisons des individus ciblés sont de plus en plus souvent cambriolées
par des harceleurs et leur nourriture contaminée en leur absence. J’ai demandé à des harceleurs de faire
cela à ma maison en rangée il y a quelques années et j’ai juré intérieurement que si jamais j’attrapais
l’une de ces basses vies dans ma résidence pendant que j’y étais, j’utiliserais une force mortelle contre
eux. Au plus fort de la pandémie de COVID-19, les harceleurs du sud de la Floride propageaient
intentionnellement des maladies par les méthodes susmentionnées. Les États-Unis d’Amérique ont, par
leurs mesures de sécurité nationale traîtresses, légalisé les attaques biologiques, la contamination des
aliments et la guerre contre les maladies. La guerre contre les maladies et les attaques biologiques font
partie du protocole de voyous dirigé par le gouvernement fédéral appelé gangstalking. Il y a à peine
vingt minutes, ici en Floride du Sud, cinq voyous jouant au basket-ball, transpirant et puant de leur
précédent match de streetball, se sont dirigés vers ma zone générale et celle de mes proches, essayant
d’entrer dans une bibliothèque fermée, l’un d’eux a commencé à parler fort alors qu’il passait devant
moi en pulvérisant de la broche, du mucus ou de la salive dans l’air alors qu’il passait. Les gangstalkers
sont des cafards. Les bactéries aéroportées et leur propagation font partie du répertoire d’attaque du
harcèlement de gangs. Si une personne ciblée tombe malade d’une maladie transmissible causée par un
gansgtalker hostile, la personne ciblée aurait une haute montagne à gravir pour remédier au problème
ou exiger un recours contre la racaille d’étang qui a commis l’infraction. Si vous ne connaissez pas le
nom de la personne, ou si vous êtes choqué et décontenancé par le geste de réagir immédiatement,
alors vous ne pouvez pas. Une grande partie du harcèlement des gangs, l’opération du protocole
américain de brutalité consiste à prendre l’individu ciblé par surprise et à faire dandiner la personne
fautive, ou à trouver rapidement un autre harceleur avec qui « converser » afin d’éviter la colère ou les
représailles des personnes ciblées. Les États-Unis d’Amérique ont pollué leurs désignations territoriales
(les 50 États) avec une erreur législative brutale, lâche, coûteuse et stupide. Le Congrès, le peuple
américain et les « juges » de la Cour suprême devraient suspendre leurs têtes collectives dans la honte,
la culpabilité et le dégoût de soi. Le protocole de lutte contre les gangs relève du gouvernement fédéral.
Ce ne sont pas les citoyens des États-Unis qui se mobilisent. Suggérer que les citoyens des États-Unis,
dont la plupart n’ont aucun antécédent dans la mobilisation du personnel, les stratagèmes militaires, les
applications de communications secrètes interpersonnelles, la signalisation et les protocoles de recours
et d’intervention organisationnels clandestins, se trompe eux-mêmes.

Les membres du Congrès des États-Unis, beaucoup d’entre eux, ne connaissent tout simplement pas la
Constitution, la loi, le processus législatif ou la politique. Ils sourient simplement aux caméras, débitent
des points de discussion approuvés par le parti et espèrent que rien de ce qu’ils disent ou font ne nuise à
leurs efforts de réélection. Dans les métrobus, les gangstalkers montent à bord et en sortent dans des
unités. Lorsqu’un individu ciblé emprunte un moyen de transport en commun, son emplacement est «
indiqué » par des harceleurs de gangs dans son voisinage, à d’autres personnes qui peuvent se trouver
au prochain arrêt de la route. Les méthodes utilisées par les harceleurs de gangs pour signaler une
personne ciblée varient. Certains utilisent des gestes physiques tels que gifler la fenêtre de l’autobus
après être descendus de l’autobus pour indiquer que la cible est à bord; d’autres harceleurs signaleront
un autobus, monteront dans l’autobus et poseront au conducteur une question inutile et redescendront
immédiatement de l’autobus; D’autres harceleurs de gangs feront un autre geste physique
indéchiffrable à la sortie de l’autobus, qui consiste à « alerter » les autres harceleurs de gangs de la
région qu’il y a une personne ciblée à bord. La communication secrète fait partie du harcèlement
criminel des gangs. Lorsqu’une personne ciblée entre dans un magasin de détail, les harceleurs de gangs
qui l’ont suivie jusqu’à l’établissement signalent aux autres harceleurs à l’extérieur de l’immeuble qui
sont les cibles. À l’intérieur, la personne ciblée est régulièrement obstruée, entassée, écrasée et
harcelée par les harceleurs de gangs qui lisent le signal. Le harcèlement des gangs est la grande
démonstration de l’incompétence législative des États-Unis d’Amérique. Après le 09/11/2001, les
projets de loi sur la sécurité nationale, dont beaucoup font 5,000+ pages, ont été adoptés par un
congrès inquiet, effrayé et anxieux, ignorant que les affectations dans ces projets de loi contenaient des
protocoles, des mécanismes et des procédures anti-liberté et pro-brutalité. Comme Commentaire
Partager La contamination alimentaire est un autre mécanisme d’attaque autorisé par le gouvernement
fédéral que les harceleurs de gangs ont le « pouvoir discrétionnaire » d’utiliser contre des individus
ciblés.

Le but ultime du harcèlement des gangs, la catastrophe législative du Congrès des États-Unis, est de
blesser, de mutiler, d’incarcérer ou d’institutionnaliser l’individu ciblé, mutilé, incarcéré ou autrement
institutionnalisé, démuni, isolé ou tué. Ces mérites, protocoles ou objectifs de ce programme américain
puant n’ont pas été examinés, étudiés, vérifiés ou même lus. Lorsqu’une « préoccupation de sécurité
nationale » se pose devant le Congrès des États-Unis, ils votent en faveur des « mesures » proposées ; Et
ce, malgré le coût ou les dommages qu’elle cause à la liberté, à la démocratie, au constitutionnalisme, à
la primauté du droit, au moral des citoyens ou à sa conception collective du bon sens. Le harcèlement de
gangs s’appuie sur des voyous, des bandits, des aliénés criminels, des saboteurs d’entreprise, des agents
provocateurs, des instigateurs, des imitateurs hostiles, des haineux ou des personnes follement jalouses,
des martinets, des personnes corrompues, des fanatiques religieux, des étrangers illégaux, des acteurs
politiques hostiles, des sécessionnistes, des analphabètes, des psychopathes à moitié d’esprit, des
criminels violents, des criminels violents, des membres de gangs violents ou des membres de milices, et
d’autres citoyens américains et non-citoyens délétères, dégénérés, violents, hostiles ou terroristes. Ce
pays a autorisé le harcèlement des gangs, qui est une marche de voyous qui utilise comme point
d’ancrage la législation sur la sécurité nationale post-9/11/2001. Ce programme ne fait rien d’autre que
nourrir le complexe militaro-industriel et les industries qui profitent du mal causé aux individus ciblés. Le
Congrès, la Cour suprême, le ministère de la Justice et le ministère de la Défense devraient avoir
collectivement honte de leur rôle dans la mise en œuvre de ce crime national. Dans le protocole de
harcèlement des gangs autorisé par le gouvernement fédéral des États-Unis, la propagation
intentionnelle de maladies, les attaques biologiques et la communication appliquée des maladies
contagieuses abondent. L’individu ciblé n’est pas un citoyen américain reconnu une fois qu’il est mis sur
écoute pour une campagne de harcèlement des gangs. Tout rapport qu’il envoie au ministère de la
Justice (y compris le FBI ou la CIA), au ministère de la Défense ou à toute organisation locale, étatique ou
fédérale d’application de la loi ou militaire sera accueilli avec une impertinence timide et sera rejeté
comme « non concluant ». Je suis pleinement conscient que mon projet dénonçant le harcèlement des
gangs est surveillé par les forces de l’ordre locales, étatiques et fédérales, les semi-forces de l’ordre et
les factions militaires. Je soupçonne que l’écrasante majorité d’entre eux ne sont pas d’accord, ne
croient pas ou sont désillusionnés par mes affirmations, et les forces de l’ordre fédérales des États-Unis
qui m’ont secrètement observé et / ou surveillé pendant une période spécifiée pour examiner mes
affirmations ont rendu soit un diagnostic « négatif » de harcèlement de gangs, soit un diagnostic « non
concluant ». Les États-Unis d’Amérique ne sont pas capables d’admettre une erreur législative de cette
ampleur. Les États-Unis ont légalisé le terrorisme, c’est-à-dire les attaques biologiques contre leurs
propres citoyens. Les États-Unis envoyaient régulièrement une unité de voyous engourdis, voyous et
harceleurs ressemblant à des crapauds contre ma personne, cela n’ayant cessé de durer depuis vingt ans
maintenant.

Le harcèlement des gangs est une atrocité de guerre dirigée par le gouvernement fédéral qui est
légalement et légalement perpétrée contre les citoyens des États-Unis dont les noms, les statistiques de
l’état civil, les variations de leurs noms et les variations de leurs statistiques de l’état civil ont été entrés
dans les bases de données de sécurité nationale comme « dangereux », « subversif », « violent », « à
risque » ou « gênant ». Les personnes qui ont été choisies de façon extrajudiciaire pour être victimisées
dans le cadre de ce programme vicieux, hostile, violent, meurtrier, lâche et écervelé sont appelées des
individus ciblés. Les individus ciblés sont ciblés par les résidents et les non-résidents de la communauté
dans laquelle ils se trouvent, à savoir par un certain nombre de délabrés engourdis appelés gangstalkers.
Les harceleurs utilisent un système de « signaux » pour savoir où aller, quand aller, et qui déranger,
perturber, attaquer, obstruer etc. Ces indices se composent d’indices verbaux, d’indices physiques et
gestuels, d’indices véhiculaires, d’indices codés par couleur, de signaux de bruit, de signaux musicaux et
d’un certain nombre d’autres indices. Ces indices sont la façon dont les harceleurs dirigés par le
gouvernement fédéral suivent secrètement, parlent, harcèlent, entassent ou engagent violemment une
personne ciblée. Les voyous qui participent au harcèlement criminel des gangs appartiennent à de
nombreuses catégories socioéconomiques différentes dans tout le spectre démographique. Il est difficile
de savoir pourquoi ils font ce qu’ils font. Ils ne sont certainement pas payés financièrement pour ce
qu’ils font, car il y a un risque que leur protocole de haine clandestin soit révélé comme le crime qu’il
est. Il y a cependant un gain certain pour eux, même si c’est quelque chose d’aussi simple que « avoir
l’air dur devant leur femme, leurs enfants, leur petite amie ou leur famille », ou peut-être que les
aspects corporatifs et gouvernementaux dirigés par le gouvernement fédéral et profondément
enracinés de ce programme leur donneront « comme par magie », une augmentation au travail, ou
peut-être une meilleure note dans un cours collégial. ou favoriser à l’église, ou une meilleure affaire sur
une voiture etc...,. Le harcèlement criminel est une catastrophe 24 heures sur 24. Une personne ciblée
peut quitter sa résidence (ou sa non-résidence) à toute heure du jour ou de la nuit et rencontrera
certainement des harceleurs de gangs. S’il conduit, les harceleurs utilisent des indices de véhicule pour
piéger, contenir et obstruer sa trajectoire de véhicule, et les feux stop télécommandés truqués donnent
à la personne ciblée le danger constant de brûler un feu rouge et de recevoir une contravention (les feux
stop sont commandés par ordinateur et peuvent être piratés ou contrôlés à distance comme n’importe
quel système informatique. Il n’est pas difficile, en particulier avec la surveillance GPS autorisée par le
gouvernement fédéral, la technologie de piratage à distance et l’équipement de synchronisation
militaro-industriel, de faire passer rapidement un feu rouge du vert au jaune puis au rouge quelques
secondes plus rapidement que le module informatisé standard, de manière à « provoquer » un feu
rouge à l’individu ciblé, souvent en présence d’un soldat de l’État ou d’un agent de police local.) Le
harcèlement criminel par les gangs est, à la base, un mécanisme clandestin de harcèlement, de
perturbation, d’obstruction, de harcèlement moral en milieu de travail, de confinement des véhicules,
de troubles, de meurtre et de tentative de meurtre. Il s’agit d’une activité coopérative entre harceleurs
de gangs de divers endroits (par exemple, un harceleur dans la rue peut communiquer avec un harceleur
dans un immeuble de bureaux en klaxonnant dans un mécanisme de communication en code Morse au
harceleur dans l’immeuble, le harceleur dans l’immeuble peut ensuite communiquer avec les harceleurs
dans le hall en faisant une annonce sur l’interphone ou un autre mécanisme, Les harceleurs dans le hall
peuvent communiquer avec les harceleurs dans la rue en faisant divers appels téléphoniques ou
messages texte à diverses autres personnes dans la rue dont le téléphone peut sonner dans un certain
arrangement musical qui sera près d’un individu ciblé, que le harceleur le plus proche saura attaquer.
C’est mon interprétation des divers moyens de communication que les harceleurs de gangs partagent
entre eux, mais « ground zero » (le harceleur de gangs qui identifie en premier la personne ciblée est
toujours un agent de liaison avec le gouvernement). Cela étant vrai parce qu’une personne doit être
identifiée par le gouvernement comme une personne ciblée identifiée par le gouvernement fédéral pour
que le confinement, l’obstruction à la prise de signaux et d’autres brutalités de communication puissent
commencer.