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BRGM
L'ENTREPRISE AU SERVICE DE LA TERRE
Avril 1994
R 37 979
BRGM
Service Géologique National
Centre de Gestion des données Géologiques et Géophysiques
BP.6609-45060.ORLEANS CEDEX 02 FRANCE
Tel. (33) 38.64.34.34
Le projet Banque de données de la carte Géologique Nationale, bilan et perspectives.
Résumé 3
1.Introduction 4
2.Etat des lieux 5
2.1.Rappels techniques .' 5
2.1.1.Architecturedela base 5
2.1.2.Modèle de données "objets géologiques" 5
2.1.3.Bilan de la maquette Montmorillon et du prototype Paris 6
2.1.3. l.Description succincte 6
2.1.3.2.Bilan Modèle de données 6
2.1.3.3.Bilan organisation 7
2.1.3.4.Bilan financier du protorvpe Paris 8
2.1.3.5.Bilan technique 8
2.1.3.6.Bilan Compétences et Formation 9
2.1.3.7.Bilan Qualité 10
2.1.3.8.Bilan outils informatiques 10
2.2.Etude juridique 11
2.3.Position par rapport aux autres banques de données 12
2.4.Position par rapport au carnet électronique de terrain 12
3.Définition des produits livrables 14
3.l.Description du contenu 14
3.2.Format de livraison des données 14
3.3.Support de livraison 15
3.4.Coût de la donnée pour l'usager 15
4.Perspectives offertes a u B R G M 16
5 .Plan d'actions pour 1994 17
5.l.Validation finale du modèle de données 17
5.2.Création des lexiques 17
5.3.Créationdu projet 18
5.3.1.Organisation du projet 18
5.3.2.Composition du comité de pilotage 18
5.4.Choix définitif des outils informatiques de données géologiques 19
5.5.Communication et publicité 19
5.6.Test complémentaire 19
5.7.Montage du projet 19
6.Chiffrage du projet 1994 20
ó.l.Gestion et montage du projet pluriannuel de chargement 20
6.2.Conception, architecture, évaluation et choix des outils 20
6.3.Validationfinaledu modèle de données 20
6.3.1.Communication/publicité 20
6.3.2.Réalisation des lexiques 20
6.3.3.0rganisation de l'équipe de projet 21
6.3.4.Formation des personnels 21
6.3.5.Grille de saisie pour les géologues codeurs 21
6.3.6.Procédures informatiques 21
6.3.7.Mise en place d'une procédure qualité 21
6.3.8.Récapitulatiffinancierdes actions 1994 préalables 22
6.4.Investissements informatiques 22
6.5.Coût m o y e n de réalisation d'une carte à 1/50.000 22
6.6.Coût m o y e n de réalisation de la nouvelle carte à 1/1 000 000 23
7.Conclusion 24
Résumé
C e rapport présente u n bilan des travaux réalisés jusqu'à aujourd'hui sur le projet de constitution
de la banque de données de la carte géologique : analyse de la donnée carte géologique sensu
stricto et l'organisation prévue de la banque de données.
U n chapitre dresse le bilan technique des actions réalisées et fournit les estimations des coûts de
chargement établis d'après deux expériences de réalisation portant sur 11 cartes géologiques
(Montmorillon et région parisienne).
Le produit livrable à l'issue de la constitution de la banque est décrit et les perspectives nouvelles
offertes au B R G M sont évoquées.
L'organisation du projet industriel en terme d'équipe opérationnelle est proposée assortie d'un plan
d'action et d'un budget pour l'année 1994. L'objectif final est de monter un projet pluriannuel de
constitution et de de chargement de la banque de données pour faire du B R G M l'organisme
français serveur des données géologiques.
1.Introduction
Dans le cadre du programme de recherche scientifique Ti35 GéoloGIS 1993, une réflexion sur
la constitution de la banque de données de la carte géologique nationale a été menée par un
groupe de travail. Cette action a débouché sur:
• un modèle de données "objets géologiques",
• une proposition d'architecture de base de données décrivant la carte géologique,
• une maquette réalisée à partir de la carte géologique à 1/50 0 0 0 de Montmorillon
Début 1994, u n prototype incluant les deux feuilles à 1/25000 de Paris et les huit feuilles
périphériques a été réalisé dans le cadre d'une opération financée sur les crédits ministère de
l'industrie sous l'intitulé "Borne de consultation des données géologiques de Paris".
D e nombreuses démonstrations de ces deux prototypes ont été réalisées aussi bien en interne au
B R G M qu'en externe (Comité de la carte géologique de France, Société Géologique de France,
Comité de la Carte Géologique du M o n d e , différents visiteurs de services géologiques nationaux,
U S G S , Belgique). U n premier article a été déposé et accepté dans la revue Comité Français de
Cartographie. D'autres articles sont prévus en 1994 dans la revue Géomatique et dans
Géochronique.
Les avis recueillis sont unanimes: le B R G M se doit de fournir l'information carte géologique sous
forme numérique.
L'objectif affiché est de monter d'ici la fin 1994, un projet industriel de chargement de la banque
de données de la carte géologique et de faire ainsi du B R G M le serveur de données géologique
tout c o m m e l'IGN est le fournisseur national de données géographiques.
Il est important de préciser dès cette introduction que le présent rapport ne concerne que la
banque de la carte géologique stricto sensu. Les données thématiques (BSS, inventaire minier
etc.) constituent d'autres gisements d'informations existants et ne sont pas décrites dans ce
rapport, bien que devant faire partie du m ê m e système d'information.
2.1.Rappels techniques
U n e grande partie des résultats exposés ci-dessous (architecture, modèle de données, maquette de
Montmorillon, évaluation des outils) ont été réalisée dans la cadre de l'action de recherche 1993
(projet Ti35 GéoloGIS).
2.1.1.Architecture de la base
- U n e banque des données "images numériques géoréférencées" des cartes papiers et de leurs
légendes, coupes et "imagettes" associées.
La mise en banque de données numériques de la carte géologique de la France ne résout pas les
problèmes de raccords entre cartes jointives réalisées à des périodes différentes (la résorption
progressive de ces désaccords peut d'ailleurs constituer un des objectifs des futures éditions du
1/50 000).
Le modèle de données des objets géologiques est décrit en annexe de façon détaillée. C e modèle
n'est pas encore à ce jour validé. Cette validation doit être effective pour la fin de l'année 1994.
Il faut retenir que le modèle de données et les données elles-mêmes reflètent le plus fidèlement
possible les données figurant sur la carte éditée et sur sa notice. L e principe adopté est de
n'ajouter, ni retrancher aucune information, de ne pas se livrer à une interprétation.
En revanche, le modèle de données doit permettre de satisfaire le besoin des usagers, que l'on peut
résumer en consultation des cartes, sélection en fonction d'un ou plusieurs critères (lithologie,
age...)
Le schéma des objets doit pouvoir être appliqué à toute carte géologique à une m ê m e échelle.
Lors de la phase d'analyse du contenu de la carte géologique à 1/50000, les objets suivants ont été
recensés :
• les contours géologiques
• les formations du substrat
• les formations superficielles
• les zones métamorphiques
• les éléments structuraux
• les observations et sites ponctuels remarquables
En plus de ces objets, nous n'oublions pas l'objet carte géologique lui-même caractérisé par :
• son numéro
• son n o m
• son échelle
• son(ses) auteur(s)
• sa date d'édition
2.1.3.1.Description succincte
La maquette "Montmorillon" a permi d'implémenter le modèle de données et de valider
l'architecture image/objet géologique sur une feuille à 1/50000. L'objectif est de montrer la
faisabilité de la banque et de prouver que l'information contenue dans la carte géologique peut
être valorisée par utilisation des techniques Système d'Information Géographique. Les
informations contenues dans d'autres banques de données ont ainsi été extraites (Banque des
données d u sous-sol, géochimie inventaire, gravimétrie, modèle numérique de terrain) et
rapprochées des données cartes géologiques sensu-stricto.
D e u x versions successives de cette maquette ont été réalisées en suivant les évolutions d u modèle
de données "objets géologiques". Les observations ponctuelles remarquables n'ont pas été traitées
dans cette maquette.
Le prototype région parisienne (9 cartes à 1/50 0 0 0 et 2 cartes à 1/25 000) est réalisé dans le
cadre d'une fiche service public "Borne de consultation des données géologiques de la région
Parisienne". Cette opération a pour objectif d'installer à la maison de la Géologie à Paris un
poste informatique permettant au public d'accéder de manière rapide et conviviale, au patrimoine
de données géologiques du B R G M : cartes géologiques, données de la B S S , données
gravimétriques. L'installation de cette borne prototype est en cours. S o n exploitation est prévue
pour la fin du premier trimestre 1994. C e prototype constitue u n second exemple d'illustration de
l'architecture de la banque de données et d'implémentation du modèle de données sur une échelle
régionale. Elle permettra de recueillir l'avis des usagers sur les données géologiques numériques.
C e modèle n'est toujours pas officiellement accepté c o m m e étant celui normalisant la donnée
carte géologique numérique : il doit être validé.
Cette absence de normalisation a perturbé le travail des différents ateliers et il est nécessaire de
disposer d'une première version d u modèle de données officielle avant de passer à un stade
industriel de production.
Le C C G F , qui est évoqué dans ce cadre, a pour mission principale de procéder à l'examen pour
agrément définitif des cartes et notices avant publication. Il est également consulté sur la
programmation et le choix des auteurs de la carte géologique. Enfin, il propose toute mesure
destinée à améliorer la qualité de la carte géologique ou à en faciliter son évolution. Dans ce
cadre, le C C G F peut être consulté pour la validation du modèle conceptuel de données.
Mais, du fait des produits dérivés attendus par l'utilisation de la banque de la carte géologique, il
importe surtout de garder au C C G F sa mission première de validation des données géologiques
sensu stricto. U n groupe de validation doit être crée pour valider ce modèle. Ces travaux
peuvent s'intégrer dans les travaux actuels du C C G F sur la réactualisation des notes de 1975.
2.1.3.3.Bilan organisation
La réalisation des opérations Paris/Montmorillon a permis de définir précisément les différents
acteurs concourant à la réalisation de la banque de données. N o u s ne parlerons pas ici du travail
considérable de lever de la carte proprement dit.
Ces trois ateliers doivent être placés sous la responsabilité d'un coordonateur qui organise le
travail des différentes équipes.
Sur les cartes "Paris", les observations ponctuelles n'ont pas été rentrées dans la base de données.
U n e estimation basée sur l'expérience acquise, fixe à 3 F le point digitalisé auquel s'ajoute en
moyenne une journée de codage pour renseigner les attributs.
Le prix moyen de revient d'une carte est estimé à 55-60 K F H . T .
2.1.3.5.Bilan technique
Atelier Numérisation
Le travail demandé a été réalisé en respectant les contraintesfinancièreset les délais imposés.
Etant donné le caractère expérimental, cet atelier a travaillé pratiquement librement à savoir
qu'il a défini seul quelles étaient les unités cartographiques à numériser. Le format de livraison
des données n'a pas été clairement défini. Il en résulte que les unités cartographiques numérisées
n'étaient pas en concordance parfaite avec les unités géologiques décrites par l'atelier de codage
géologique (taux de 80-90%) et que les fichiers obtenus étaient les fichiers de traits avec
plusieurs points labels et non pas de zones avec points labels unique.
Dans une optique industrielle, il faudra donc impérativement ajouter une étape préalable de
préparation des documents à numériser, étape à réaliser par le géologue codeur. Des
spécifications claires des types defichiersà fournir (définis par C 3 G ) et de leur format (idem)
devront à l'avenir être fourni à l'atelier numérisation.
Le besoin d'un outil standardisé de saisie sur micro-ordinateur interdisant l'entrée de termes non
autorisés (n'appartenant pas aux lexiques) est indispensable. Cet outil permettra aussi d'éviter
l'utilisation de caractères "spéciaux" : caractères accentuées, symboles grecs. Les outils SIG
d'origine anglo-saxonne ( A R C / I N F O , O R A C L E , S M A L L W O R L D ) du marché ne savent
toujours pas gérer ces caractères...
U n respect strict du modèle de données est nécessaire pour pouvoir garantir le label "carte
géologique numérique". Les produits de sortie de l'atelier Codage Géologique doivent aussi être
clairement spécifiés.
Géologue codeur
Son rôle est de fournir pour chaque formation géologique, linéament ou donnée ponctuelle
présents sur la carte géologique, u n tableau renseigné des informations disponibles sur la carte
ou dans sa notice d'accompagnement. C e géologue doit savoir interpréter les documents fournis
par les auteurs sans se laisser influencer par ses propres connaissances et sa perception de la
géologie.
Pour les cartes à 1/50 0 0 0 de première génération (c.à.d. la couverture actuelle en cours
d'achèvement), le géologue codeur doit être u n géologue qui a une expérience en cartographie
géologique mais qui n'est pas forcément celui qui à levé la carte. U n e partie des géologues
codeurs pourraient être choisie parmi des cartographes qui ne font plus de terrain pour diverses
raisons.
Dans cette optique, on considère que les rubriques qui resteront vides d'information après codage
ne pourront être complétées que dans le cadre d'un programme d'acquisition de données
indépendant, à rattacher au cahier des charges des rééditions de cartes épuisées.
Pour ces cartes de deuxième génération, le géologue codeur pourra être celui qui a effectué les
levés, ceux-ci étant en partie conditionnés par les compléments à fournir dans la banque de la
carte géologique à partir de la première édition.
Contrôleur Qualité
U n e instance de contrôle qualité indépendante doit
- vérifier la conformité des informations digitalisées à C A R avec les contours géologiques,
- vérifier le codage effectué par les géologues,
- vérifier la conformité de l'ensemble avec la carte et la notice des auteurs.
- Emettre le "bon à charger" à l'atelier banque de données.
Pour réaliser ces deux dernières tâches, on peut proposer deux organisations possibles :
- soit un (ou des ) contrôleurs spécialisés
- soit un contrôle effectué par un autre géologue codeur que celui qui a réalisé le codage
L a première solution semble à priori la plus fiable.
Ingénieur/Technicien B a n q u e de données
Son rôle est de
• préparer les images scannées et de les charger dans la base,
• gérer la base de données,
• assurer la diffusion des données.
Ses compétences doivent lui permettre un bonne pratique des outils de la g a m m e A R C / I N F O des
outils S G B D retnus.
Cette fonction peut être découpée sur plusieurs techniciens préparant les données, un
administrateur gérant la base de données (mise à jour) et un technicien réalisant la mise à
disposition. C e découpage est fonction de l'importance du programme de chargement.
2.1.3.7.Bilan Qualité
D'un point de vue qualité, nous devons nous poser la question "Comment assurer la conformité
des données livrées avec les données figurant sur la Carte Géologique , sachant que les cartes
géologiques sont très diverses (générations, régions, écoles d'appartenance des auteurs, etc.)"?
Lors des tests déjà effectués, l'aspect qualité n'a pas été détaillé, mais il est impératif de définir
des procédures permettant de donner le label "Carte Géologique Numérique du B R G M " aux
données fournies. Une définition des procédures qualité à mettre en oeuvre devra être effectuée
avec la délégation qualité.
1. Géosabrina : cet outil est un noyau de gestion de données géographiques qui utilise
c o m m e langage de requête le S Q L avec des extensions géographiques (extension à S Q L
non standardisées). Le type de données "géométrie" a été ajouté aux types de données
classiques (caractères, numériques, booléen, date). Des opérateurs géométriques de
requêtes (proche de, traverse, à l'intérieur, etc) ont été ajouté aux opérateurs classiques
du S Q L (>, < , = , . . . ) . Une visite de la société I N F O S Y S startup de l'INRIA et proposant
le produit a eu lieu en novembre 1993. Le produit parait fonctionnellement satisfaisant,
mais des inconnues subsistent quant à sa capacité à gérer de gros volumes de données
(performance de l'indexation spatiale). D e plus, ce produit ne semble pas avoir de suivi
commercial réellement organisé.
2. 0 2 , Object Store, Versant, Ontos, O R A C L E (Version 7) , Objectivity, U R I A H : ces
outils sont à étudier. Ces outils sont des système de gestion de données plus ou moins
orienté objet. Ces produits sont des produits bruts, c'est à dire que les opérateurs
spécifiques à la manipulation des données géographiques n'ont pas encore été ajoutés. U n
développement qui peut être important, est nécessaire pour les adapter à la problématique
de la gestion d'information géographique.
2.2.Etude juridique
Une étude réalisée par le département C 3 G en liaison avec le département juridique2, sur la
propriété des données est disponible. Cette étude précise :
Le B R G M ne transfère pas son droit de propriété sur la carte géologique, par contre il
peut concéder des droits d'usage qui doivent être définis en fonction des éléments
cartographiques qui sont mis à disposition de l'usager. "
Les modalités de diffusion et en particulier les prix de vente au public doivent être précisés et
figurer dans le catalogue des données géologiques.
2
M é m o guide concernât les bases de données au B R G M . Rapport B R G M R37 907 classé non public.
Pour consultation, s'adresser à JP. Lepretre S G N / C 3 G / A G I R .
Le schéma fonctionnel ci-dessous montre le lien de la banque de la carte géologique avec les
autres banques existantes et applications. Une telle organisation nécessite que le contenu de
chaque base soit clairement défini, connu et accepté par tous. Il n'est pas envisageable de
retrouver la description des carrières dans la B S S et dans les observations ponctuelles de la carte
géologique.
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Le carnet de terrain électronique est une application autonome et indépendante facilitant le travail
du géologue de terrain qui n'a pas de lien avec la banque de données de la carte géologique dont la
constitution constitue le maillonfinalde l'élaboration d'une carte.
Cependant, il est nécessaire que les applications de type "carnet électronique" soient compatibles
avec le contenu de la banque de la carte géologique (lexiques c o m m u n s , format d'échanges
identiques, modèle des données correspondant au m i n i m u m à celui de la banque de la carte
géologique...).
3.1.Description du contenu
Cette forme de données est destinée à une combinaison de la donnée géologique avec des
informations d'autres provenances et pourra servir par exemple de base aux modélisations 3 D des
corps géologiques.
Les informations ponctuelles acquises lors du lever des cartes géologiques et mentionnées sur le
document imprimé sont du domaine d'autres banques de données. Il s'agit de:
1. Banque du Sous Sol : sondages, coupes, carrières,
2 . Banque inventaire minier : analyses chimiques, minéraux lourds,
Les formats proposés aux usagers de la donnée géologique devront respecter les standards
(ARC/INFO, M A P I N F O , A U T O C A D , M I C R O S T A T I O N / D G N ) ou normes (EDIGEO).
3.3.Support de livraison
Il faut ensuite ajouter le coût de la donnée proprement dite. Aujourd'hui, il n'existe pas de tarifs
officiels pour :
• Image géologique
• Contours géologiques
• Objets géologiques renseignés
Le catalogue des produits et prix devra être établi de façon précise et claire et pouvoir être ainsi
être disponible à tous public.
4.Perspectives offertes au B R G M
Le feit de disposer et de pouvoir fournir l'information géologique sous forme numérique offrira au
B R G M des perspectives nouvelles pour son développement. Aujourd'hui la démarche dite S I G se
banalise et l'information circule de plus en plus sous forme numérique. Les principaux
fournisseurs d'information se sont d'ailleurs organisés. Par exemple, en France l'IGN et S P O T -
image sont en train de négocier pour que les spatiocartes établie à partir des images S P O T
deviennent la 9 e m e couche de la BD-carto de l'IGN. C'est dire l'importance accordée par ces deux
organismes aux données et à leur rôle respectif de fournisseur d'informations.
E n plus de ce rôle de serveur, le B R G M pourra valoriser cette donnée au travers de services qu'il
offrira à ses différents clients dans les thématiques des Sciences de la Terre. Cette opération
"banque de donnée cartes géologique", point de départ et noyau d'un système d'information gérant
toutes les données géologiques, peut lui permettre en effet d'occuper des marchés où la donnée
géologique est utilisée et sous-jacente. U n e telle banque constitue un vecteur économique non
négligeable ainsi qu'un outil de promotion et d'explication des usages de la géologie.
I o phase :
Le modèle actuel de données, complété des lexiques manquants, doit être validé par un groupe
d'experts choisis parmi des géologues et parmi des utilisateurs. Ce groupe de dimension réduite
mais représentatif des usagers d'informations géologiques doit rapidement certifier le modèle de
données.
A titre de proposition, ce groupe pourrait être constitué de :
• le chef de projet Banque de données Cartes Géologiques,
• le représentant de S G N / I 2 G / C G 2 ,
• le représentant C C G F permettant de recueillir l'avis du comité,
• des représentants des différents métiers géologues,
• des représentants des différents usages : matériaux, hydrogéologie, applications
régionales, géologie de surface, géotechnique, exploration minière).
• quelques représentants "extérieurs" issus de l'INRA, de l'équipement , du ministère de
tutelle.
Le chef de projet serait chargé de leur présenter à chacun le modèle de données et de recueillir
leur avis. Une synthèse rédigée par ses soins serait présentée au comité de pilotage pour décision
définitive.
5.3.Création d u projet
5.3.1.Organisation du projet
L'organisation proposée est la suivante:
Organisation d u projet " B a n q u e d e d o n n é e s Cartes géologiques"
HZ
Avis sur Scandes Numérisation Validation du Préparation •Organisation -Définition Expression des besoins en données pour -Conception
modèle de cartes des objets modèle de des cartes du travail des programme orienter le programme de chargement et architecture
données et couleurs Identification données et -Codage ateliers de -Evaluation et
évolution. géologiques des objets évolutions, des objets -Rassembleme chargement choix des
papiers Dêfintion d u -Controle nt et rrîse e n en fonction outils
programme d e qualité forme des delà informatiques
chargement données demande sgbd
Responsabilité géologiques et Mise à
duoorrtenu géométnques disposition
- Décision d e -Correction des usagers
modification géométrique -Spécifications
des images et écriture des
• Correspondant
scannées procédures de
g Coréalisateur
-Chargement saisie, de
dans la banque chargement,
-Administration administration
d e la banque
Durant 1994, un choix définitif des outils informatiques impliqués doit être réalisé. D e u x outils
sont d'ores et déjà impliqués; Microstation pour la numérisation et Accès pour les grilles de
codage. Par contre, il y a encore des évaluation et choix à réaliser pour l'outil de gestion de la
base de donnée ( A R C / I N F O , S M A L L W O R L D , O R A C L E V 7 . . . ) . Cette action est à mener en
collaboration avec la D R dans la cadre du projet P21, ce réservoir contenant la matière première
pour les modules P21 de modélisation tri-dimensionelle.
5.5.Communication et publicité
5.6.Test complémentaire
U n test complémentaire devra être effectué sur un cas de figures qui n'a pas été pris en compte
lors de la réalisation des prototypes Montmorillon et Paris. Il s'agit du cas d'une région
géologiquement c o m p l e x e ( D e u x feuilles à 1/50 000 jointives dans les Alpes).
5.7.Montage du projet
A l'issue de ces différentes actions, le projet définitif pourra être monté et chiffré. Néanmoins,
cela nécessitera une position officielle du B R G M et de sa tutelle sur la stratégie à adopter en
temps que serveur de données géologiques ainsi que sur un programme de chargement étalé dans
le temps.
Durant 1994, u n choix définitif des outils informatiques impliqués doit être réalisé. D e u x outils
sont d'ores et déjà impliqués; Microstation pour la numérisation et Accès pour les grilles de
codage. Par contre, il y a encore des évaluation et choix à réaliser pour l'outil de gestion de la
base de donnée ( A R C / I N F O , S M A L L W O R L D , O R A C L E V 7 . . . ) . Cette action est à mener en
collaboration avec la D R dans la cadre du projet P21, ce réservoir contenant la matière première
pour les modules P21 de modélisation tri-dimensionelle.
5.5.Communication et publicité
5.6.Test complémentaire
U n test complémentaire devra être effectué sur un cas de figures qui n'a pas été pris en compte
lors de la réalisation des prototypes Montmorillon et Paris. Il s'agit du cas d'une région
géologiquement complexe ( D e u x feuilles à 1/50 0 0 0 jointives dans les Alpes).
5.7.Montage du projet
A l'issue de ces différentes actions, le projet définitif pourra être monté et chiffré. Néanmoins,
cela nécessitera une position officielle du B R G M et de sa tutelle sur la stratégie à adopter en
temps que serveur de données géologiques ainsi que sur un programme de chargement étalé dans
le temps.
Les éléments ci-après indiquent une partiefixeestimée à environ 1 , 5 M F et une partie à tiroir dont
le montant est fonction du nombre de cartes à charger dans la banque .(programme de
chargement).
soit : 320 K F
U n coût de 3 mois doit être envisagé pour l'évaluation des outils. Cette action est prévue,
planifiée et doit être terminée avant la fin 1994 et est inscrite dans le projet P21 de R & D
1994.
soit : 320 K F
6.3.Validation finale d u m o d è l e d e d o n n é e s
soit 4 0 K F
6.3.1 .Communication/publicité
6.3.2.Réalisation d e s lexiques
soit : 4 0 0 K F
Atelier géologue
Pas de formation spécifique mais une phase de compagnonnage estimée à 5j par géologue codeur
à former, soh 100 K F pour la formation de cinq géologues. Le principe est de numériser quelques
cartes en tandem, le temps de prendre en compte la logique de codage et l'emploi du logiciel de
saisie.
Atelier numérisation
Pas de formation spécifique
Plusieurs grilles de saisie des renseignements "objets géologiques" sur P C avec contrôle des
paramètres sont à réaliser sous Microsoft A C C E S S . Le temps de spécifications des écrans et
contrôles, de réalisation et de documentation est estimée à environ deux mois. L e pilotage de
cette opération est à réaliser par S G N / C 3 G en collaboration avec le géologue responsable de
S G N / I 2 G . Cette activité peut être sous-traitée.
6.3.6.Procédures informatiques
U n groupe de 1 ou 2 personnes doit être désigné pour effectuer le contrôle des données (cartes
digitalisées et tables de codage) à fournir à C 3 G . Ces personnes auront un travail de contrôle
comparable au bureau de préparation des cartes et notices et permettra au géologue responsable
de signer le "bon à tirer" à l'intention de C 3 G .
6.4.lnvestissements informatiques
Atelier de numérisation
Les investissements informatiques sont fonction de l'importance du programme de numérisation.
U n poste supplémentaire Microstation est estimé à environ 150 K F (PC 4 8 6 D X 6 6 , table A 0 ,
Microstation).
Ces coûts ont été détaillée dans la partie "bilan" en début de ce rapport.
3
L e coût de numérisation est ici considéré c o m m e nul. Il est inclus dans le processus de fabrication
normal de la carte. Par contre les autres étapes n'ont été ni planifiées, ni budgétées.
7.Conclusion
Les travaux de recherche menés en 1992-1993 ont permis de concevoir le contenu la banque de
données de la carte géologique, et de proposer une organisation technique humaine compétente
pour réaliser une telle banque de données au niveau national.
Cette banque de données doit pouvoir s'inscrire dans le cadre d'un système d'information
géologique global, ouvert, solide, intègre et fiable et sauvegardant notre patrimoine de données.
La carte géologique en constitue le c œ u r . Les données de la B S S , de la géochimie inventaire et
gravimétriques (...) ainsi que des données externes indispensables c o m m e les modèles numériques
de terrain, les limites administratives, les données topographiques, compléteront ce système. Il est
raisonnable d'imaginer que les données bibliographiques, rapports et ouvrages, rejoignent un jour
ce patrimoine organisé.
La conception d'un tel système et la réalisation d'un prototype opérationnel est un des objectifs
du programme de recherche P21 intitulé "Système d'information géologique à référence spatiale".
L'évaluation des outils candidats y est prévu. L e département C 3 G du S G N intervient dans ce
projet à hauteur d'une centaine de jours en 1994 pour concevoir et architecturer ce système,
évaluer les outils et réaliser le prototype. Cette action constitue un point extrêmement important
pour asseoir le système d'information de l'entreprise sur des bases saines, solides, bien conçues et
évolutives. Mais ce projet de recherche, par définition, ne se préoccupe pas du chargement des
données, ni de l'aspect organisation des équipes de C 3 G .
C'est pourquoi, afin de pouvoir profiter pleinement de cette action de recherche appliquée (P21),
d'éviter la dispersion de nos efforts et de conserver une synergie fructueuse entre D R et S G N , il
est nécessaire de former parallèlement au déroulement du projet, deux ou trois personnes de
S G N / C 3 G et de les faire participer activement à la conception, la réalisation de ce système qui
contribuera fortement à la mise en application pratique de la mission de service public dévolue au
S G N et à l'avenir du département C 3 G : Cette action permettra en outre de remettre à niveau le
patrimoine technologique "banque de données" de C 3 G , les technologies "banque de données"
ayant considérablement évoluées.
Les différentes actions de communication et maquettes réalisées autour d'un projet de constitution
d'une banque de données numérique de la carte géologique ont suscité un vif intérêt exprimé par
tous les usagers potentiels et personne aujourd'hui ne conteste l'importance de ce projet pour le
B R G M , les activités de Service Public, les activités de recherche, l'enseignement en particulier.
Pour qu'une décision soit prise et afín d'apprécier les retombées économiques d'un projet de
serveur de données géologiques (vente de données, services drainés), il est suggérer de faire
réaliser une étude de marché par un intervenant extérieur ayant une bonne connaissance des
systèmes d'informations géographiques et de leurs applications.
• N o m de la carte
• Auteurs(s)
• numéro de la carte
• édition
• date d'édition
8.2.Contours géologiques
• Définition
L e contour est la ligne fermée délimitant une formation géologique, c'est-à-dire une zone au
contenu homogène. Parfois, la limite entre deux formations géologiques n'est pas observée. C'est
pourquoi un attribut renseignant sur les conditions d'observation est attaché aux contours.
Type de contour
U n contour est une limite entre deux formations géologiques, que cette limite soit normale (limite
de couche) ou tectonique (limite par faille ou chevauchement).
Numéro de carte
C'est le numéro de la carte. Il permet de reconstruire le cadre de la carte et de faciliter la gestion
des cartes présentes dans la banque de la carte géologique.
8.3.Formations géologiques
• Définition
U n e formation géologique est bordée par un contour géologique fermé. L a zone ainsi délimitée a
des caractéristiques géologiques homogènes définies par le (ou les) auteurs de la carte éditée.
. Chaque zone géologique est décrite par des attributs thématiques rassemblés dans une table. U n e
table attributaire est attachée à chaque zone.
Unité cartographique
Correspond à u n identifiant de caisson utilisé par l'atelier de numérisation et qui permettra
d'établir le lien entre la géométrie des formations et leur signification thématique.
Lithologie dominante
C'est la (ou les) lithologie la plus fréquemment observée.
Les n o m s lithologiques utilisés dans les bases de données doivent faire partie d'un glossaire
unique basé sur celui actuellement utilisé dans la banque de données du sous-sol.
Lithologie secondaire
C'est une (ou plusieurs) lithologies parfois observée dans la formation.
Qualificatif lithologique
L e n o m lithologique d'une roche étant parfois trop général, granite par exemple, il est nécessaire
d'y attacher un qualificatif direct.
Exemple : à biotite, à deux micas.
C'est aussi une plage de commentaires permettant de préciser l'assemblage lithologique repréenté
sous un m ê m e n o m . Par exemple, les marnes et masses de gypse de la région parisiennes souvent
regroupées sous la m ê m e formations sont constituées de niveaux différents dont l'existence et
l'ordre de superposition peuvent être précisées dans ce commentaire.
Age stratigraphique
Cet attribut correspond à l'étage ou à l'ère à défaut.
U n lexique est associé. C e lexique permet de déduire un intervalle de temps. Sa mise à jour en
fonction des décisions du Comité international de stratigraphie doit faire l'objet d'une procédure
de décision à définir ( C C G F ?)
Age absolu
C'est un intervalle de valeur en millions d'années.
Mode de datation
L e m o d e de datation indique comment l'âge a été obtenu : soit par analyse radiomètrique, soit
directement par l'observation d'un ou plusieurs éléments déterminants (paléontologie,
stratigraphie) qui fournissent une datation relative, soit déduite d'éléments non déterminants
(corrélation de faciès, cadre géomorphologique).
• radiomètrique
• relative
• déduite
Technique de datation
C'est la technique utilisée pour dater la formation soit directement, soit relativement. C'est un
lexique multiple (à compléter):
• radiomètrique
• radiomètrique C 1 4
• radiomètrique Rh/Sr
• radiomètrique U / T h
• radiomètrique U
• Thennoluminescence
fluor
racémisation acides aminés
géomorphologique
stratigraphique
paléontologique
malacofaune
ichtyofaune
avifaune
mammafaune
reptile
foraminifêres
microfaune
ostracodes
nannofaune
nannoflore
palynoflore
flore
Nature
C'est la nature de la roche observée. L a nature est l'un des mots clés suivants :
• magmatique
• métamorphique
• sédimentaire
• altération météorique
• dépôt anthropique
Genèse
si nature ^magmatique alors plutonique o u volcanique
si nature=sédimentaire alors lacustre, marin, lagunaire, laguno-lacustre, fluviatile,
glaciaire, éolien, dépôts de versant
si nature=métamorphique alors régional, dynamique , contact
si nature-altération météorique alors altérite, clastiste
si nature = dépôt anthropique alors remblai, remblai de surrélévation, remblai de comblement,
haldes de mines, ordures
Minéralogie dominante
O n trouvera ici une liste éventuellement multiple des principaux minéraux rencontrés.
Minéralogie secondaire
O n trouvera ici une liste éventuellement multiple des minéraux secondaires (en volumes o u
traceurs de la roche) rencontrés.
Granulométrie dominante
O n trouvera ici la granulométrie la plus importante. C'est u n m o t clé parmi :
blocs
cailloux
graviers
sables
sables grossiers
sables moyens
sables fins
silts
argiles.
Granulométrie secondaire
O n trouvera ici la granulométrie secondaire. C'est un m o t clé parmi :
• blocs
• cailloux
• graviers
• sables
• sables grossiers
• sables moyens
• sables fins
• silts
• argiles.
Texture
C'est u n m o t clé choisi dans u n lexique qui tient compte de la subdivision entre les roches
magmatiques, les roches sédimentaires et les roches métamorphiques.
C e lexique est à définir.
Commentaire
C e c h a m p correspond à une zone libre dans laquelle on peut faire figurer des commentaires sur la
formation.
Commentaire Puissance
C'est u n commentaire sur l'épaisseur de la formation observée (différents niveaux éventuels,
m i n i m u m et m a x i m u m , points d'observations etc.).
• Définition
Les formations superficielles constituent u n ensemble de formation qui se positionnent en
recouvrement du substrat qui est souvent connu par ailleurs (y compris ses contours masqués).
Pour maintenir la qualité de rinformation fournie par les cartes géologiques, il apparaît utile de
dissocier les formations de surface du substrat (travaux du groupe de travail P . L E B R E T , projet
P14d, publication in Géologie ed la France, 1993)
Elles disposent de tous les attributs qui décrivent le substrat avec, en plus, des attributs
particuliers.
• Attributs thématiques
• Définition
Les zones de métamorphisme sont représentées en surcharge sur les cartes. Ces zones
métamorphiques ne sont pas des formations.
Dénomination de l'Auréole
C'est un commentaire libre inspiré des informations fournies dans la notice et pouvant fourni par
exemple des indications sur l'itinéraire métamorphique de la roche par exemple.
Type de métamorphisme
C'est le type de métamorphisme observé indépendamment de l'histoire antérieure de la zone
considérée. C e type est l'un des mots clés suivants :
• régional
• de contact
• d'impact
Paragenèse minérale
C'est l'assemblage minéralogique qui caractérise le métamorphisme indépendamment de la
minéralogie de chaque roche concernée par ce métamorphisme. Les espèces minérales sont à
prendre dans le lexique minéralogique
8.6.Eléments structuraux
• Définition
C e sont les éléments de la géologie structurale, c'est-à-dire les éléments d'extension linéaire
(failles, limites de chevauchement,filons)et ceux d'extension zonale (klippe, brèche, mylonites,
cataclase).
Dénomination
C'est le type d'accident structural identifié. C e type est l'un des mots clés suivants :
• faille
• chevauchement
• filon
• linéament
• axe de pli
Type
C'est le type de mouvement identifié sur u n accident structural. C e type est l'un des mots clés
suivants :
• normal
• inverse
• décrochant
• chevauchant
• combinaison de types
• anticlinal
• synclinal
Conditions d'observation
Cette rubrique est à renseigner par l'un des mots clés suivants :
• observé
• masqué
• supposé
Rhéologie
C'est le type de milieu (mécanique) qui a généré la structure. C e type est l'un des mots clés ductile,
cassant
Sens du mouvement
C'est le dernier type de mouvement reconnu de l'accident structural. C e renseignement est à
choisir parmi les mots clés suivants :
• dextre
• senestre
• vertical
• horizontal
Epaisseur
Cela ne concerne que les filons dont l'épaisseur doit être donnée en mètres.
Remplissage
C'est un texte libre qui décrit la nature lithologique du remplissage de l'accident ou du filon
Type
C'est une description de l'élément structural zonal. C e type est à choisir parmi les mots clés
suivants :
• klippe
• fenêtre
S h e d'observation lithologique