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Gérard Blintzowsky est diplômé de l’École Supérieure de Commerce
de Paris (ESCP). Ancien Cadre de la distribution et Chargé de cours de
merchandising à Paris I Sorbonne (licence de distribution), il a
longtemps été Consultant en merchandising.
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Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
251
CONSTRUIRE UN ASSORTIMENT
8186
1. Les principes de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
:167
2. Les composantes de l’assortiment . . . . . . . . . . . . . . . . 17
La largeur. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.64 17
19.9
La profondeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
96.1
La cohérence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
Les éléments de décision . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
66:1
18
3. La notion de famille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
8884
Définition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
La nomenclature . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
722:
La segmentation de la famille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
0949
4. La segmentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
:211
Les micromarchés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
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5. Le nombre de références . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
Analyse de l’historique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
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Le Merchandising opérationnel
7. Le contrôle de l’assortiment . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
Analyse de la structure des ventes . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
Analyse des prix de vente . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
Analyse de la structure des prix. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
Contrôle des performances . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
Analyse par marque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56
251
Schéma de décision sur les modifications. . . . . . . . . . . . 57
8186
8. La mise à jour de l’assortiment . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58
:167
Supprimer des références. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59
1.64
Ajouter une nouvelle référence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61
Remplacer une référence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64
19.9
96.1
II
66:1
ORGANISER LE LINÉAIRE
18
1. Le consommateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
8884
Achat suggéré . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70
:211
Achat d’impulsion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70
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2. La séquence d’implantation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72
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Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78
Élasticité linéaire/ventes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78
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Table des matières
5. Le planogramme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91
Les règles d’implantation des références. . . . . . . . . . . . . 91
La création du planogramme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94
III
GÉRER LES PRIX DE VENTE
251
8186
1. Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 103
:167
2. Les problèmes du discount . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105
1.64
19.9
3. Fixer les objectifs de taux de marge . . . . . . . . . . . . . . . 109
La marche à suivre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110
96.1
IV
GÉRER LES PROMOTIONS
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251
5. Les supports promotionnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 150
8186
Les différents types de supports externes . . . . . . . . . . . . 150
:167
Les supports internes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 153
V
18
ET LES MAGASINS
722:
1. Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 159
0949
Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 167
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Glossaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 177
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INTRODUCTION
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• il existe d’une part une extrême concurrence entre tous les distribu-
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teurs ;
:167
• d’autre part le consommateur manifeste des attentes nouvelles en ter-
mes de choix.
1.64
19.9
96.1
L’achat (le référencement) est devenu une opération complexe, car un produit
référencé doit tout d’abord :
66:1
suivants :
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La construction de l’assortiment
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Ceci suppose, en plus d’une parfaite connaissance des produits, une par-
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consommateurs en magasin.
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Le Merchandising opérationnel
Il est donc évident que le référencement proprement dit n’est plus que la
phase finale du processus de construction de l’assortiment.
251
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La création d’un plan-rayon
:167
Ceci suppose une bonne maîtrise des techniques d’allocation du linéaire,
1.64
d’implantation des familles et des produits et, désormais, de bien connaî-
tre les logiciels d’aide à la création d’un plan-rayon.
19.9
96.1
Ceci suppose une maîtrise des différentes techniques et des supports pro-
nitra
motionnels.
Il faut ajouter à cette liste la fonction logistique (comment optimiser la
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L’ensemble de ces missions ne peut plus être assurée par une seule per-
sonne et c’est pourquoi la mise en place d’une politique aussi fine et
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complexe par famille de produits est l’œuvre d’une équipe (que certaines
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Introduction
enseignes ont baptisé « Bureau d’Achat ») dirigée parce que l’on appelle
un « Category Manager ».
Pour la commodité de la lecture, je parlerai le plus souvent d’un
« Acheteur » pour ce qui est maintenant une « Équipe d’achat ».
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CONSTRUIRE
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UN ASSORTIMENT
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251
1 Les principes de base
de l’assortiment
251
les résultats d’exploitation sont largement conditionnés par sa qualité. En
effet, c’est l’assortiment qui commande en grande partie l’organisation
8186
du linéaire, la gestion des prix, la gestion des stocks et la gestion des pro-
:167
motions.
Est-ce que mon assortiment satisfait aux deux exigences qui sont de
96.1
Un assortiment pauvre
:211
- 15 -
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Construire un assortiment
Un assortiment riche
251
Mais un assortiment est toujours évolutif et le nombre de références a
8186
tendance « naturellement » à augmenter : cette augmentation lente mais
régulière est due à la continuelle mise sur le marché de nouveaux pro-
:167
duits.
En raison des coûts supplémentaires (notamment de stockage) générés 1.64
19.9
par un assortiment devenu pléthorique, on est donc ensuite conduit à en
réduire la taille – souvent de façon assez brutale.
96.1
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Les composantes
2 de l’assortiment : largeur,
profondeur et cohérence
251
besoin de chaussures de cette taille) soit comme une préférence (le cho-
8186
colat au lait plutôt que le chocolat noir).
• par sa profondeur : notion de choix.
:167
1.64
A priori, ces deux notions semblent bien floues, mais tout problème de
vocabulaire mis à part, elles s’avèrent indispensables pour analyser et
19.9
construire un assortiment.
96.1
66:1
1. La largeur de l’assortiment
18
8884
À chaque modèle de voiture correspond un type de bougie qui lui est pro-
pre = besoin spécifique.
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- 17 -
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Construire un assortiment
Ces exemples montrent bien que même dans des cas relativement faciles
et où les informations statistiques ne manquent pas, la décision sur la lar-
251
geur d’assortiment n’est pas simple à prendre.
8186
Faut-il opter pour un assortiment large qui couvre largement les besoins
ou pour un assortiment étroit ?
:167
Où se trouve l’optimum de rentabilité ? 1.64
19.9
Quel est le meilleur compromis chiffre d’affaires/marge/stock/linéaire ?
96.1
66:1
2. La profondeur de l’assortiment
18
- 18 -
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Les composantes de l’assortiment
3. La cohérence de l’assortiment
251
donc éliminer.
8186
La question se pose, le plus souvent, dans les termes suivants :
:167
faut-il en priorité élargir ou approfondir l’assortiment ?
1.64
Élargir un assortiment, c’est satisfaire de nouveaux besoins, c’est donc, a
19.9
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Construire un assortiment
251
• l’importance de la demande,
8186
• l’évolution de la demande.
:167
En fonction de ces paramètres, on sera conduit à positionner l’assorti-
ment de chaque famille entre : 1.64
19.9
96.1
« largeur + » ou « largeur – » et
« profondeur + » ou « profondeur – ».
66:1
18
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Les composantes de l’assortiment
Profondeur +
Largeur – Largeur +
251
8186
Profondeur –
:167
☞ Exemple : la position « naturelle » de l’assortiment des types de maga-
sins : supermarché, parfumerie, hard discount, centre auto, peut s’illustrer 1.64
19.9
ainsi :
96.1
Profondeur +
66:1
18
beaucoup de choix
722:
SUPERMARCHÉ PARFUMERIE
0949
Largeur – Largeur +
:211
Commentaires :
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1/supermarché : on peut y faire toutes ses courses (principe du « tout sous le même
toit ») et un grand choix existe.
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Construire un assortiment
2/parfumerie : on ne trouve que les produits de parfumerie, mais le choix est grand car
toutes les marques sont présentes.
3/hard discount : on ne trouve que les produits courants et le choix est réduit.
4/on ne trouve que ce qui concerne l’auto et le choix est souvent limité.
251
Voici quelques repères méthodologiques pour la construction d’un assor-
8186
timent.
:167
La marche à suivre se décompose en 5 parties successives :
1.64
19.9
- 22 -
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3 La notion de famille
1. Définition
251
traiter chaque catégorie de produit de façon indépendante).
8186
Un classement s’est très vite avéré indispensable et la notion de famille
de produits a été adoptée par l’ensemble de la profession.
:167
Une famille est un ensemble de produits qui répondent globalement au même1.64
19.9
besoin.
96.1
66:1
C’est ainsi qu’il existe une famille « eaux », une famille « fromages »,
18
La conséquence de ce classement :
722:
• une famille est une unité de gestion indépendante ayant son propre
0949
assortiment,
:211
L’offre globale d’une enseigne, d’un magasin, est la somme des assorti-
ments créés pour chaque famille.
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Construire un assortiment
2. La nomenclature
251
3. La segmentation de la famille
8186
Une famille recouvre le plus souvent beaucoup de besoins différents
:167
quoique proches.
1.64
Segmenter une famille consiste à identifier toutes les catégories de
19.9
besoin ?
722:
etc.
Lorsqu’une sous-famille recouvre encore trop de besoins « voisins », il
nitra
faut aller encore plus loin dans la segmentation. Par exemple, la sous-
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La notion de famille
☞ Exemple 1 :
☞ Exemple 2 :
251
1. Famille Accessoires auto
8186
2. Sous-Famille Lubrifiants
3. Segment Huile moteur essence
:167
4. Sous-Segment Huile multigrade
1.64
5. Sous/sous segment Bidon 2 L 19.9
timent :
– une offre limitée = une segmentation limitée,
18
• dans tous les cas de figure, une réflexion doit être menée sur le niveau
722:
de segmentation nécessaire.
0949
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Construire un assortiment
251
1. Elle pose souvent problème pour les produits nouveaux. À quelle famille
8186
faut-il rattacher certains produits? Les jus de fruits frais doivent-ils:
• se trouver au rayon « liquides », donc être gérés par le chef de rayon
:167
« Boissons »
1.64
• se trouver dans le rayon « frais », donc être gérés par le responsable pro-
19.9
duits frais ?
96.1
Selon la réponse, ces produits vont être placés à deux endroits différents
dans les magasins.
722:
0949
C’est ainsi que la segmentation des « jus de fruits » est souvent effectuée
selon les dispositions réglementaires en vigueur : (1) 100 % pur jus, (2)
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La notion de famille
251
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La structure d’une famille – ou d’une sous-famille – doit donc être pério-
diquement remise en cause pour s’adapter aux changements.
:167
1.64
19.9
Pour créer un assortiment, il faut travailler EN PREMIER sur la segmenta-
tion de chaque famille en sous-familles, segments, sous-segments, etc.
96.1
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4 La segmentation
251
8186
Segmenter une famille consiste à la diviser en sous-familles, seg-
ments, sous-segments, etc. afin d’identifier toutes les catégories de
:167
besoins qui existent.
1.64
Si la nécessité de segmenter une famille apparaît évidente, par contre la
19.9
Il s’agit de trouver parmi toutes les clés d’entrée celles qui sont les plus
:211
pertinentes.
Pour parvenir à une solution satisfaisante, il faut procéder en trois étapes
nitra
successives :
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La segmentation
251
Le problème vient de la multiplicité des clés d’entrée possibles.
8186
:167
Ainsi, pour le marché des chemises homme on peut, a priori, trouver les
clés suivantes :
1.64
19.9
• 1. chemise ville/chemise sport
• 2. chemise unie/chemise rayée
96.1
• 6. matière
722:
La règle consiste donc à créer une « liste des clés » qui soit la plus com-
0949
1. Une fois établie la liste des clés d’entrée, il faut s’interroger sur la per-
tinence de chacune.
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Construire un assortiment
2. Il faut limiter le nombre des clés d’entrée pour éviter une sur-segmen-
251
tation vide de sens.
8186
Toujours dans l’exemple des « chemises homme », l’utilisation des qua-
:167
tre premières clés conduit à 16 parties (ce qui est déjà beaucoup) ; si on
ajoute une clé supplémentaire, la segmentation devient absurde car vide 1.64
19.9
de sens pour le consommateur.
96.1
de segmentation
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sibilités.
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La segmentation
3. Il faut limiter le nombre de clés à retenir car cela conduit à une struc-
ture inexploitable et sur laquelle les informations statistiques seront
absentes.
251
conciliables – celle du consommateur, celle du fabricant et éventuelle-
8186
ment celle de l’enseigne –, c’est toujours celle du consommateur qui doit
l’emporter.
:167
1.64
3e étape : Hiérarchiser les clés d’entrée
19.9
96.1
Cette hiérarchisation des clés d’entrée est essentielle car lors de la cons-
66:1
naisons qui sont exclusives l’une de l’autre ; il faut décider quelle doit
être la clé n° 1, la n° 2 et la n° 3.
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Construire un assortiment
* Si l’ordre des critères retenus est : 1/3/2/, la structure sera la suivante (1) :
* Si l’ordre des critères retenus est : 2/3/1/ la structure sera la suivante (2) :
251
manches longues manches courtes manches longues manches courtes
8186
:167
ville sport ville sport ville sport ville sport
1.64
À travers cet exemple, on constate que :
19.9
96.1
implantation.
8884
722:
Ceci suppose que l’on connaisse bien son comportement et que l’on
:211
• Quel est le critère d’achat n° 1 : une chemise ville (ou sport) ou une che-
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de décision ?
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La segmentation
Une enquête auprès des consommateurs va, le plus souvent, apporter les
éléments de réponse.
2. Les micromarchés
251
Définition
8186
Un micromarché (ou marché élémentaire) est la plus petite unité de
:167
structuration avant la référence.
1.64
Il en découle que toutes les références d’un micromarché :
19.9
96.1
Dans l’exemple utilisé plus haut des chemises pour hommes, les che-
8884
Réaliser une chronologie c’est, après avoir défini les clés d’entrée, mettre
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en évidence tous les micromarchés qui existent dans une famille. Même
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Construire un assortiment
Visualisation
251
3. L’utilisation des données chiffrées
8186
:167
La nécessité de quantifier
• son évolution.
18
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La segmentation
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Les statistiques générales
:167
Celles de l’INSEE et des syndicats professionnels par exemple qui, bien
que très générales, permettent, dans certains cas, d’orienter la décision.
1.64
19.9
☞ Exemple 1 : bougies automobiles
96.1
15 %),
• mais aussi deux fois plus de linéaire et deux fois plus de stock.
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Construire un assortiment
251
8186
• pour créer un assortiment de bougies automobiles, il faut au minimum
16 références (sinon, la majorité des besoins ne serait pas couverte) ;
:167
1.64
19.9
lures minimum.
Ces chiffres montrent par ailleurs que la présence de références supplé-
722:
Ce sont, bien évidemment, des outils indispensables car ils apportent des
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La segmentation
251
truire un assortiment cohérent.
8186
Les données statistiques des fabricants
:167
1.64
Ceux-ci disposent, en général, des données des panels, mais certains ont
réalisé des études quantitatives et qualitatives poussées.
19.9
• soit reporter leur achat sur un produit équivalent d’une autre marque,
nitra
37
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Construire un assortiment
251
gne sont représentatives du marché et de son évolution.
8186
La réponse est positive si le nombre de magasins considéré et la part de
marché de l’enseigne sont élevés. Mais quand les statistiques ne concer-
:167
nent qu’un faible nombre de magasins, l’analyse devient trop incertaine.
1.64
Malgré ces difficultés, et au prix d’un travail de recoupement parfois dif-
19.9
Le schéma de décision
722:
L’arborescence chiffrée
:211
nitra
élevé de micromarchés.
On obtient ainsi une « photo » très précise de la famille et de son évolu-
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FAMILLE
CA = 100 %
251 progression =
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:167 + 4,2 %
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SOUS FAMILLE 722: SOUS FAMILLE
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ca = 58 % ca = 42 % nitra
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La segmentation
39
Tableau : classement par sous-segments
segment 1 segment 2 segment 3 segment 4 segment 5
ca = 7 % ca = 18,5 % ca = 32,5 % ca = 36 % ca = 6 %
progression = progression = progression = progression =
progression = 0
(+ 2,6 %) (+ 2,8 %) (– 0,5 %) (+ 10,8 %)
sous segment 1 sous segment 2 sous segment 3 sous segment 4 sous segment 5 sous segment 6 sous segment 7 sous segment 8 sous segment 9 sous segment 10 sous segment 11 sous segment 12
ca = 2,3 % ca = 4,7 % ca = 11,5 % ca = 7 % ca = 2,1 % ca = 19,4 % ca = 11 % ca = 3,4 % ca = 26,5 % ca = 61 % ca = 4,6 % ca = 1,4 %
prog. = prog. = prog. = prog. = prog. = prog. = prog. = prog. = prog. = prog. = prog. = prog. =
(– 1,9 %) (+ 4,8 %) (+ 1,2 %) (+ 5,6 %) (+ 1,3 %) (– 0,1 %) (– 0,5 %) (– 2,4 %) (+ 10,4 %) (+ 21,9 %) (+ 0,7 %) (– 2,3 %)
Construire un assortiment
251
S/Segment n° 7 11,0 % 68,4 % –0,5 % 13,3 % – 2,8 %
S/Segment n° 4 7,0 % 75,4 % +5,6 % 5,0 % + 1,4 %
8186
S/Segment n° 10 6,1 % 81,5 % +21,9 % 6,2 % + 8,7 %
S/Segment n° 2 4,7 % 86,2 % +4,8 % 3,7 % + 2,1 %
:167
S/Segment n° 11 4,6 % 90,8 % +0,7 % 6,2 % + 0,5 %
S/Segment n° 8 3,4 % 94,2 % – 2,4 % 3,1 % – 2,6 %
S/Segment n° 1 2,3 % 96,5 % – 1,9 % 1.64
2,3 % – 1,5 %
S/Segment n° 5 2,1 % 98,6 % +1,3 % 2,1 %
19.9
+ 0,6%
S/Segment n° 12 1,4% 100,0 % – 2,3 % 1,7 % – 2,2 %
96.1
on désire satisfaire ;
• de comparer les résultats « du marché » avec ceux « de l’enseigne »
722:
moyenne,
– ceux qui ont une progression supérieure ou inférieure à celle du marché.
G Ke
(60/70 %), d’une couverture moyenne (80 %) ou bien, pour des raisons
d’image, d’envisager une couverture très importante (90/100 %) : c’est
x.com
- 40 -
www
5 Le nombre de références
1. Analyse de l’historique
251
8186
Une bonne façon de cerner la question est d’utiliser la Loi de Pareto (éga-
lement appelée Loi des 20/80) ; elle a de nombreuses applications dans le
:167
domaine économique, par exemple : 20 % des habitants d’un pays détien-
1.64
nent 80 % de sa richesse.
Dans le commerce, on a observé depuis longtemps que :
19.9
96.1
CA
100 %
A
0949
80 %
B
:211
nitra
50 %
G Ke
C
:ENC
x.com
0 20 % 50 % 100 %
larvo
Références
.scho
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