BAC 2015 SVT

PARTIE A

Original :

En vue d’étudier la corrélation entre les organes dans le cas de la reproduction,

l’expérience suivante est réalisée chez un mammifère mâle.

Expérience : Chez un rat castré, on greffe sur les oreilles d’un côté un ovaire et de
l’autre un fragment d’utérus (document 1). Après un certain temps, il y a
apparition des follicules mûrs, dans l’ovaire et le fragment d’utérus s’hypertrophie.

1. En utilisant vos connaissances, expliquer les résultats de cette expérience.

2. Quel est le rôle du rat mâle dans cette expérience ?

3. Récapituler par un schéma simple, les informations déduites de ce qui précède

concernant les relations entre les organes cités chez la femelle.

4. On a pu observer, dans l’expérience précédente, l’apparition du corps jaune au

niveau de l’ovaire greffé.

a) Quel événement a permis l’apparition du corps jaune ?

b) Préciser le rôle du corps jaune dans ces conditions expérimentales.

c) Expliquer l’hypertrophie observée au niveau de l’utérus.

Exercice 1 :

En vue d’étudier la corrélation entre les organes dans le cas de la reproduction,

l’expérience suivante est réalisée chez un mammifère femelle. Expérience : Chez
une rate ovariectomisée, on greffe sur les oreilles d’un côté un testicule et de
l’autre un fragment de prostate (document 2). Après un certain temps, il y a
apparition des spermatozoïdes dans le testicule et le fragment de prostate secrète
du liquide séminal.
1- En utilisant vos connaissances, expliquer les résultats de cette expérience.

2- Quel est le rôle de la rate femelle dans cette expérience ?

3- Récapituler par un schéma simple, les informations déduites de ce qui précède

concernant les relations entre les organes cités chez le mâle.

4- On a pu observer, dans l’expérience précédente, l’apparition du tube séminifère

au niveau du testicule greffé. a) Quel événement a permis l’apparition du tube
séminifère ? b) Préciser le rôle du tube séminifère dans ces conditions
expérimentales. c) Expliquer la sécrétion observée au niveau de la prostate.

Exercice 2 :

En vue d’étudier la corrélation entre les organes dans le cas de la reproduction,

l’expérience suivante est réalisée chez un mammifère mâle. Expérience : Chez un
rat castré, on greffe sur les oreilles d’un côté un ovaire et de l’autre un fragment
d’utérus (document 1). Après un certain temps, il y a apparition des follicules
mûrs, dans l’ovaire et le fragment d’utérus s’hypertrophie.

1- Quels sont les hormones impliquées dans le développement des follicules et

l’hypertrophie de l’utérus ?

2- Quelle est l’origine de ces hormones dans cette expérience ?

3- Quel est le rôle du rat mâle dans cette expérience ?

4- On a pu observer, dans l’expérience précédente, l’apparition du corps jaune au

niveau de l’ovaire greffé. a) Quelle est la structure qui donne naissance au corps
jaune ? b) Quelle est la fonction du corps jaune dans ces conditions
expérimentales ? c) Quel est l’effet du corps jaune sur l’utérus ?

Exercice 3 : (lis celui la pour voir si c'est bon)

En vue d’étudier la corrélation entre les organes dans le cas de la reproduction,

l’expérience suivante est réalisée chez un mammifère femelle. Expérience : Chez
une rate ovariectomisée, on greffe sur les oreilles d’un côté un ovaire et de l’autre
un fragment d’utérus (document 3). Après un certain temps, il y a apparition des
follicules mûrs, dans l’ovaire et le fragment d’utérus s’hypertrophie.

1- Quels sont les facteurs qui influencent le développement des follicules et

l’hypertrophie de l’utérus ?

2- Quelle est la différence entre cette expérience et celle réalisée chez le rat mâle
castré ?

3- Quel est le rôle de la rate femelle dans cette expérience ?

4- On a pu observer, dans l’expérience précédente, l’apparition du corps jaune au

niveau de l’ovaire greffé. a) Quelle est la différence entre le corps jaune et le
follicule mûr ? b) Quelle est la conséquence du corps jaune sur le cycle ovarien ?
c) Quel est l’effet du corps jaune sur l’utérus ?

Exercice 4

En vue d’étudier la corrélation entre les organes dans le cas de la reproduction,

l’expérience suivante est réalisée chez un mammifère mâle. Expérience : Chez un
rat castré, on greffe sur les oreilles d’un côté un testicule et de l’autre un fragment
de prostate (document 4). Après un certain temps, il y a apparition des
spermatozoïdes dans le testicule et le fragment de prostate secrète du liquide
séminal.

1- Quels sont les hormones impliquées dans la production des spermatozoïdes et

la sécrétion du liquide séminal ?

2- Quelle est l’origine de ces hormones dans cette expérience ?

3- Quel est le rôle du rat mâle dans cette expérience ?

4- On a pu observer, dans l’expérience précédente, l’apparition du tube séminifère

au niveau du testicule greffé. a) Quelle est la structure qui donne naissance au
tube séminifère ? b) Quelle est la fonction du tube séminifère dans ces conditions
expérimentales ? c) Quel est l’effet du tube séminifère sur la prostate ?

PARTIE E

Original

Chez une race de lapin, l’hybridation entre une femelle à poil bouclé et un mâle à
poil dressé donne toujours des lapins à poil dressé. Un éleveur croise deux lapins
P1 et P2 ayant les caractères suivants : P1 a un pelage gris, des poils bouclés et P2
a un pelage noir, des poils dressés. Après plusieurs portées, on compte en F1 : 92
mâles gris aux poils bouclés, 89 mâles gris aux poils dressés, 94 femelles bicolores
aux poils bouclés et 90 femelles bicolores aux poils dressés.

1. Que peut-on déduire de ce résultat en ce qui concerne la localisation des gènes

qui déterminent les caractères étudiés ? Justifier la réponse.

2. Quel est le sexe du parent P1 ? Justifier la réponse.

3. Quel rapport existe-t-il entre les caractères bouclé et dressé, puis entre les
caractères gris et noir ?

4. On convient de représenter chaque caractère par son initial.

a) Donner les génotypes des parents P1 et P2.

b) Démontrer que ces génotypes rendent compte de la répartition phénotypique

des individus F1.

5. Donner le résultat statistique du croisement de deux lapins F1 ayant tous des

poils dressés.

Exercice 1

Chez une race de lapin, l’hybridation entre une femelle à poil dressé et un mâle à
poil bouclé donne toujours des lapins à poil bouclé. Un éleveur croise deux lapins
P1 et P2 ayant les caractères suivants : P1 a un pelage noir, des poils dressés et P2
a un pelage gris, des poils bouclés. Après plusieurs portées, on compte en F1 : 91
mâles noirs aux poils dressés, 88 mâles noirs aux poils bouclés, 93 femelles
bicolores aux poils dressés et 89 femelles bicolores aux poils bouclés.

1- Que peut-on déduire de ce résultat en ce qui concerne la localisation des gènes

qui déterminent les caractères étudiés ? Justifier la réponse.

2- Quel est le sexe du parent P1 ? Justifier la réponse.

3- Quel rapport existe-t-il entre les caractères dressé et bouclé, puis entre les
caractères noir et gris ?

4- On convient de représenter chaque caractère par son initial. a) Donner les

génotypes des parents P1 et P2. b) Démontrer que ces génotypes rendent compte
de la répartition phénotypique des individus F1.

5- Donner le résultat statistique du croisement de deux lapins F1 ayant tous des

poils bouclés.

(tous les autres exo se ressemblent)

PARTIE D

Original

En vue de détecter les anomalies de la régulation de la glycémie, on fait ingérer à

deux personnes à jeun A et B une même dose de 50 grammes de glucose. Toutes
les demi-heures puis toutes les heures, on dose le glucose dans le sang. On
obtient les résultats suivants :
Date du dosage 0h 0h30 1h 1h30 2h 3h 4h 5h 6h 7h 8h

Glycémie de A 0,9 1,3 1,25 1,1 1 0,9 0,9 0,9 0,9 0,9 0,9

Glycémie de B 1,45 1,65 1,85 2,05 2,2 2,2 1,9 1,65 1,60 1,55 1,50

1. Définir la glycémie.

2. Représenter sur un même graphe, les variations de la glycémie de ces deux

personnes.
3. Le glucose est directement assimilable par l’organisme. On peut estimer
qu’après 1heure, il est totalement passé dans le sang et le liquide interstitiel, ces
deux milieux ayant ensemble un volume de 20 litres.

a) De combien devrait s’élever la glycémie du sujet A une heure après l’ingestion

du glucose ?

b) De combien monte-t-elle en réalité ?

c) Que peut-on conclure de cette observation ?

4. Comparer les courbes relatives aux sujets A et B. Que peut-on dire de l’état de
santé de B ?

5. Le sujet B ne risque-t-il pas de présenter des anomalies d’excrétion urinaire ?

Justifier.

Échelle : glycémie (ordonnée): 5 cm pour 1 g/L ; Temps (abscisse) : 2 cm pour 1

heure.

Exercice 1 :

En vue de détecter les anomalies de la régulation de la glycémie, on fait ingérer à

deux personnes à jeun A et B une même dose de 75 grammes de glucose. Toutes
les demi-heures puis toutes les heures, on dose le glucose dans le sang. On
obtient les résultats suivants :

Date du dosage 0h 0h30 1h 1h30 2h 3h 4h 5h 6h 7h 8h

Glycémie de A 0,8 1,2 1,15 1 0,9 0,8 0,8 0,8 0,8 0,8 0,8

Glycémie de B 1,4 1,6 1,8 2 2,2 2,2 2 1,8 1,7 1,6 1,5

1- Définir la glycémie.

2- Représenter sur un même graphe, les variations de la glycémie de ces deux

personnes.

3- Le glucose est directement assimilable par l’organisme. On peut estimer

qu’après une heure, il est totalement passé dans le sang et le liquide interstitiel,
ces deux milieux ayant ensemble un volume de 15 litres. a) De combien devrait
s’élever la glycémie du sujet A une heure après l’ingestion du glucose ? b) De
combien monte-t-elle en réalité ? c) Que peut-on conclure de cette observation ?

4- Comparer les courbes relatives aux sujets A et B. Que peut-on dire de l’état de
santé de B ?

5- Le sujet B ne risque-t-il pas de présenter des anomalies d’excrétion urinaire ?

Justifier. Échelle : glycémie (ordonnée): 4 cm pour 1 g/L ; Temps (abscisse) : 2 cm
pour 1 heure

Exercice 2

En vue de détecter les anomalies de la régulation de la glycémie, on fait ingérer à

deux personnes à jeun A et B une même dose de 50 grammes de glucose. Toutes
les demi-heures puis toutes les heures, on dose le glucose dans le sang. On
obtient les résultats suivants :
Date du dosage 0h 0h30 1h 1h30 2h 3h 4h 5h 6h 7h 8h

Glycémie de A 0,9 1,3 1,25 1,1 1 0,9 0,9 0,9 0,8 0,8 0,8

Glycémie de B 1,5 1,7 1,9 2,1 2,3 2,3 2,1 1,9 1,8 1,7 1,6

1- Définir la glycémie.

2- Représenter sur un même graphe, les variations de la glycémie de ces deux

personnes.

3- Le glucose est directement assimilable par l’organisme. On peut estimer

qu’après une heure, il est totalement passé dans le sang et le liquide interstitiel,
ces deux milieux ayant ensemble un volume de 20 litres. a) De combien devrait
s’élever la glycémie du sujet A une heure après l’ingestion du glucose ? b) De
combien monte-t-elle en réalité ? c) Que peut-on conclure de cette observation ?
4- Comparer les courbes relatives aux sujets A et B. Que peut-on dire de l’état de
santé de B ?

5- Le sujet B ne risque-t-il pas de présenter des anomalies d’excrétion urinaire ?

Justifier. Échelle : glycémie (ordonnée): 6 cm pour 1 g/L ; Temps (abscisse) : 2 cm
pour 1 heure

PARTIE C 2(vu que c'est basé sur le shéma et que je sais pas comment le copier,
c'est chaud. Et même quand je fais un copier collé, bing me donne rien)

PARTIE C1

Original

Chez un chien anesthésié, on réalise l’expérience suivante : on pince les deux

carotides primitives comme le montre le document 6 ci-contre. Les nerfs de Cyon
ont été sectionnés. On exerce sur la carotide un pincement de plus en plus élevé
et on enregistre l’activité du nerf de Héring, la variation de la pression artérielle
générale du corps, le rythme cardiaque et le calibre des vaisseaux. Les résultats
sont consignés dans le document 7.

1. Analyser le document 7 et donner tous les renseignements fournis par cette

expérience.

2. Quelles sont les structures, présentées dans le document 6, qui interviennent

donc dans la régulation de la pression artérielle ?

3. Expliquez le rôle de chacune de ces structures dans la régulation de la pression

artérielle.

Exo 1

Chez un chat anesthésié, on réalise l’expérience suivante : on pince les deux

carotides primitives comme le montre le document 6 ci-contre. Les nerfs de Cyon
ont été sectionnés. On exerce sur la carotide un pincement de plus en plus élevé
et on enregistre l’activité du nerf de Héring, la variation de la pression artérielle
générale du corps, le rythme cardiaque et le calibre des vaisseaux. Les résultats
sont consignés dans le document 7.

1- Analyser le document 7 et donner tous les renseignements fournis par cette

expérience.

2- Quelles sont les structures, présentées dans le document 10, qui interviennent
donc dans la régulation de la pression artérielle ?

3- Expliquez le rôle de chacune de ces structures dans la régulation de la pression

artérielle.

(Tous les autres exo sont pareils)

PARTIE B

Original

Dans les muscles, il existe des récepteurs sensoriels : ce sont les fuseaux
neuromusculaires (document 2).

1. Chez un chat, on étire expérimentalement le muscle M1 par les poids p1, p2 et

p3 de masses m1, m2, m3 (m1 < m2 < m3). Le dispositif représenté sur le
document 3 permet d’enregistrer les variations d’activités d’une fibre nerveuse N1
issue du fuseau neuromusculaire, pendant l’étirement du muscle M1.

Que montrent les enregistrements présentés dans le document 4 ?

2. L’activité de la fibre N1 est enregistrée pendant les phases de repos, d’étirement

et de raccourcissement du muscle M1.

a) Analyser les résultats correspondant à cette expérience et présentés dans le

document 5.

b) Comment l’information est-elle codée dans la fibre nerveuse ?

c) Obtiendrait-on le même enregistrement avec un nerf ?

3. A partir des résultats des expériences décrites, indiquer quel est le stimulus
physiologique des fuseaux neuromusculaires dans l’organisme.

Exo 1

Dans les muscles, il existe des récepteurs sensoriels : ce sont les fuseaux
neuromusculaires (document 2).

1- Chez un chat, on étire expérimentalement le muscle M2 par les poids p4, p5 et

p6 de masses m4, m5, m6 (m4 < m5 < m6). Le dispositif représenté sur le
document 6 permet d’enregistrer les variations d’activités d’une fibre nerveuse N2
issue du fuseau neuromusculaire, pendant l’étirement du muscle M2. Comment
évolue la fréquence des potentiels d’action dans la fibre N2 en fonction de la
masse des poids utilisés ?

2- L’activité de la fibre N2 est enregistrée pendant les phases de contraction et de

relâchement du muscle M2. a) Analyser les résultats correspondant à cette
expérience et présentés dans le document 7. b) Quel est le rôle des fuseaux
neuromusculaires dans le contrôle de la contraction musculaire ? c) Quelle est la
différence entre un potentiel d’action et un potentiel de récepteur ?

3- A partir des résultats des expériences décrites, expliquer comment les fuseaux
neuromusculaires participent à la régulation du tonus musculaire.

Exo 2

Dans les muscles, il existe des récepteurs sensoriels : ce sont les fuseaux
neuromusculaires (document 2).

1- Chez un chat, on étire expérimentalement le muscle M3 par les poids p7, p8 et

p9 de masses m7, m8, m9 (m7 < m8 < m9). Le dispositif représenté sur le
document 8 permet d’enregistrer les variations d’activités d’une fibre nerveuse N3
issue du fuseau neuromusculaire, pendant l’étirement du muscle M3. Quelle est la
relation entre l’intensité du stimulus appliqué au muscle M3 et l’amplitude des
potentiels de récepteur dans la fibre N3 ?

2- L’activité de la fibre N3 est enregistrée pendant les phases de stimulation

électrique et de repos du muscle M3. a) Analyser les résultats correspondant à
cette expérience et présentés dans le document 9. b) Quel est le mécanisme de
transduction des fuseaux neuromusculaires ? c) Comment se fait la transmission
de l’information nerveuse entre la fibre N3 et le système nerveux central ?

3- A partir des résultats des expériences décrites, décrire le fonctionnement des

fuseaux neuromusculaires en tant que capteurs de longueur musculaire.

Exo 3

Dans les muscles, il existe des récepteurs sensoriels : ce sont les fuseaux
neuromusculaires (document 2).

1- Chez un chat, on étire expérimentalement le muscle M4 par les poids p10, p11
et p12 de masses m10, m11, m12 (m10 < m11 < m12). Le dispositif représenté sur
le document 10 permet d’enregistrer les variations d’activités d’une fibre nerveuse
N4 issue du fuseau neuromusculaire, pendant l’étirement du muscle M4. Quelle
est l’influence de la durée de l’étirement du muscle M4 sur la fréquence des
potentiels d’action dans la fibre N4 ?

2- L’activité de la fibre N4 est enregistrée pendant les phases de flexion et

d’extension du muscle M4. a) Analyser les résultats correspondant à cette
expérience et présentés dans le document 11. b) Quel est le type de récepteur
sensoriel dont fait partie le fuseau neuromusculaire ? c) Quelle est l’unité de
mesure de la fréquence des potentiels d’action ?

3- A partir des résultats des expériences décrites, montrer comment les fuseaux
neuromusculaires contribuent à la coordination des mouvements.

Exo 4
Dans les muscles, il existe des récepteurs sensoriels : ce sont les fuseaux
neuromusculaires (document 2).

1- Chez un chat, on étire expérimentalement le muscle M5 par les poids p13, p14
et p15 de masses m13, m14, m15 (m13 < m14 < m15). Le dispositif représenté sur
le document 12 permet d’enregistrer les variations d’activités d’une fibre nerveuse
N5 issue du fuseau neuromusculaire, pendant l’étirement du muscle M5. Quelle
est la relation entre la longueur du muscle M5 et le nombre de potentiels de
récepteur dans la fibre N5 ?

2- L’activité de la fibre N5 est enregistrée pendant les phases de stimulation

mécanique et de relaxation du muscle M5. a) Analyser les résultats correspondant
à cette expérience et présentés dans le document 13. b) Quel est le nom du
phénomène qui permet aux fuseaux neuromusculaires de s’adapter à la longueur
du muscle ? c) Quelle est la différence entre un potentiel de récepteur et un
potentiel gradué ?

3- A partir des résultats des expériences décrites, déterminer le seuil de sensibilité

des fuseaux neuromusculaires en fonction de la longueur du muscle.