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Dans un contexte de forte croissance, de compétition (concurrence)


accrue et où la permanence et la qualité de service deviennent plus impérieuses
La Sotelco en sa qualité d’opérateur historique se doit d’assurer un déploiement
optimal de son réseau susceptible d’obéir aux exigences actuelles liées à
l’évolution technologique.
La Sotelco, afin de pérenniser la fourniture des services à ses clients se doit de
se remettre en question sur certains choix opérés il y a quelques années. Aussi,
la proposition d’une nouvelle architecture du réseau commuté de Brazzaville qui
est mon thème de stage, rentre dans l’optique de ce qui précède.
Ce projet fédéré rentre dans le cadre de ma formation en télécommunications et
réseaux. Le présent rapport doit répondre aux objectifs ci-après :
- acquisition des connaissances sur les centraux téléphoniques et la
commutation,
- pertinence des analyses utiles à la Sotelco.

Ce rapport comprend les parties suivantes qui seront développées plus bas :
- Présentation de l’entreprise d’accueil,
- Présentation des généralités sur la commutation et les commutateurs
numériques,
- Situation actuelle du réseau commuté de Brazzaville,
- Description du central OCB 283,
- Proposition d’une nouvelle architecture du réseau commuté de
Brazzaville.
En guise de conclusion un bilan global du stage.

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PRESENTATION DE LA SOTELCO ET
DU CENTRAL DE OUENZE (OCB283)

CHAPITRE I

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APERCU ET STATUT JURIDIQUE DE LA SOTELCO

La Sotelco est une société créée après la restructuration de l'office national des
postes et télécommunications(ONPT) par le gouvernement du Congo dans le but
de confirmer son autorité à l'échelle national et internationale.
Le réseau téléphonique de la Sotelco dispose des centraux suivants:
 Le central EWSD Siemens au centre ville de Brazzaville
 Le central Alcatel (OCB283) à Ouénzé
 Le central de type NGN de fabrication chinoise (WAWEI technologie) à Pointe-
Noire.

MISSIONS :

La SOTELCO est chargée notamment:


 de préparer et d'exécuter la politique du gouvernement en matière des
télécommunications,
 d'assurer le respect des principes de l'union internationale des
télécommunications.

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Organigramme de la SOTELCO

AG

AGA
Cabinet

DPRH DR S DC DCZ DFC DCG

D Z OA DZ O C DZO E

ETS OCB
Directeur ETS

DAGB D. EXPL D.MAINTENANCE D. E . E


CHAPITRE II

PRESENTATION DU CENTRAL DE OUENZE (OCB283)

II-1 Situation géographique

Le central OCB283 est situé dans la partie nord de Brazzaville, notamment dans
le quartier Ouénzé dans le cinquième arrondissement plus précisément au rond
point Koulounda ne cote à cote de l'agence de la SNDE de Ouénzé.

II-2 Aperçu historique

Le central de Ouénzé à été inauguré en son ancienne version par son excellence
JEAN DELLO, Ministre des postes et télécommunications, le 23mai 2000.
Conçu en 1983 par Alcatel, l'organe de commutation banalisé (OCB) est un nœud
de commutation de seconde génération des systèmes numériques.
Le système numérique OCB à été mis en service au Congo le 27 mars à ouenze
suite à la destruction de la précédente infrastructure de télécommunication par
les événements sociopolitiques que notre pays à connus en 1997_1998.
Ce central avoisine une capacité de 8000 lignes d'abonnes analogiques et
numériques, extensible jusqu'à 15000 lignes d'abonnés,56 modulation par
impulsion et codage(MIC),60000circuits.
L'OCB de ouenze est relié au CTI/CTN/EWSD situé au centre ville par trois câbles
MIC qui lui permettent d'effectuer des communications interurbaines, nationales
et internationales.
Equipé d'un auto commutateur de grande performance, le centre téléphonique
de ouenze est dirigé par une équipe dynamique.
GENERALITES SUR LA
COMMUTATION TELEPHONIQUE
CHAPITRE I

Généralités sur la commutation et les commutateurs


numériques

La commutation est un des maillons de la chaîne des télécommunications.


L’histoire de la commutation est née pratiquement en même temps que celle du
téléphone. Après une courte période pendant laquelle l’établissement de la
communication s’opérait de façon manuelle par l’intermédiaire d’opératrices, les
systèmes de traitement automatiques d’appels sont apparus.

Au début, la communication était localisée dans une zone de couverture


de l’autocommutateur, puis à une zone dont l’étendue restait limitée par les
problèmes de transmission.
Il a fallu attendre les années 50 pour voir le trafic interurbain se développer et
les années 60 pour que le service international se développe à son tour.

Ce passage à l’automatisation intégrale suppose en effet la normalisation des


échanges entre commutateur d’un même réseau puis entre réseau différents.

I-1 Rappels de quelques dates historiques

- 1913 : apparition des autocommutateurs électromécaniques à


commutateurs rotatifs,
- années 50 : apparition des autocommutateurs électromécaniques à
commutateur cross-bar,
- années 60 – 70 : avènement des systèmes électroniques (d’abord sémi-
électroniques car le réseau de connexion encore proche du cross-bar,
puis très rapidement apparition des systèmes électroniques « purs » avec
la numérisation du signal ou COMMUTATION TEMPORELLE)
I-2 Architecture générale d’un autocommutateur

Collecte d’abonnés locaux


Réseau Téléphonique
URAL
Réseau de données
CONNEXION
ET Réseau Valeur ajouté
COMMANDE
Collecte d’abonnés distants
URM

URAD

EXPLOITATION
DISQUE
ET Réseau Exploitation et
Maintenance (REM)
MAINTENANCE
BM

BSC Application GSM URAL : Unité de Raccordement d’abonnés Locaux


IN
Application Réseau intelligent URAD : Unité de Raccordement d’abonnés Distants

URM : Unité de Raccordement Multiplex


Autres réseaux
I-3 Fonctionnalités d’un autocommutateur

Un autocommutateur est constitué de trois blocs principaux quelque soit la


technologie employée :

a) bloc collecte et raccordement d'abonnées


Il assure :
- le raccordement d’abonnés,
- l’alimentation microphonique des postes en 48 volts continu,
- la production du courant d’appel,
- la conversion analogique/numérique et vice versa,
- la concentration du trafic.

b) bloc connexion et commande


Il assure :
- la connexion des communications bidirectionnelles
- la diffusion des tonalités, des fréquences, annonces parlées
- l’établissement, supervision, taxation d’appel, trafic
- la connexion spéciale, liaison de données.

c) bloc exploitation et maintenance


- il assure :
- la gestion/supervision des incidents
- la supervision de l’exploitation : fichier abonnés, circuits…
- la gestion des taxes
- la supervision des alarmes et des performances

I-4 Signalisation

La fonction de signalisation correspond à l’ensemble d’opérations à réaliser


pour la mise en œuvre des fonctions de commutation.
Signalisation =échange d’un certain nombre d’informations :
d) pour le début ou la fin de communication,
e) pour la gestion d’établissement d’appel,
 Tonalité,
 Numérotation,
 Tonalité de retour d’appel….
f) pour la taxation,
g) entre abonné et autocommutateur de rattachement,
h) entre commutateurs.
I-4-1 Signalisation inter centraux

Deux principaux types de signalisation :

- Signalisation par canal sémaphore (SS7) réalisée par réseau indépendant de


celui de l’établissement de la communication, fonction assurée par un intervalle
de temps (IT) de données à 64Kbits/S permettant ainsi de gérer 2048
communications simultanées.
La signalisation SS7 assure un établissement rapide et hautement sécurisé de
communications.
- signalisation voie par voie (ex : R2, CCITT5) assurée par l’IT16 permettant
seulement la gestion de 30 communications simultanées.

I-5 Energie et environnement

Pour un bon fonctionnement des équipements il est indispensable que certaines


conditions soient remplies :
 énergie secourue permanente
 climatisation permanente et suffisante. Un autocommutateur est conçu
pour fonctionner à température ambiante comprise entre 15°C et 28°C,
toute fois la température nominale souhaitée se situe entre 18°C, 24°C.

 Pour une bonne continuité des services :


 assurer une maintenance préventive adaptée,
 une climatisation fiable,
 une énergie secourue permanente,
 disposer d’un lot de maintenance conséquent.

I-6 Hiérarchisation des autocommutateurs

Notre réseau téléphonique étant hérité du réseau français, il est hiérarchisé à 4


niveaux. Les niveaux 1 et 2 sont ceux des autocommutateurs de transit.

L'autocommutateur de niveau 4 est de petite taille (quelques centaines à


2000 lignes) ; on l’appelle commutateur local (CL). Il est employé dans les zones
de faible densité. La majorité des abonnés sont raccordés sur les
autocommutateurs à autonomie d’acheminement (C.A.A), un CAA dessert de
2000 à 50000 abonnés. Dans les grandes villes on les appelle commutateurs
urbains (C U).
Entre les niveaux 3et 4 le réseau est étoilé. Au dessus, le réseau est
maillé.

Avantages :
 2 itinéraires possibles entre 2 autocommutateurs.
Nécessité de fixer des choix d’itinéraires (règles d’acheminement).
 possibilité de répartir le trafic entre ces itinéraires de façon à obtenir un
meilleur rendement des circuits.
Un réseau national qui peut compter un grand nombre d’autocommutateurs
doit être hiérarchisé.

Exemple d’un réseau hiérarchisé à trois niveaux :

Aux problèmes d’acheminement s’ajoutent donc des problèmes de routage


des circuits.

Niveau 1 CTP

Niveau 2 CTS

Niveau 3 CAA

Niveau 4 CL

Abonné
CHAPITRE II

SITUATION ACTUELLE DU RESEAU COMMUTE DE BRAZZAVILLE

La Sotelco née des cendres de l’ONPT n’a pratiquement pas changé la situation
du réseau commuté hérité de cette grande entreprise d’état ainsi, on peut
retenir que le réseau commuté de Brazzaville reste basé sur deux
autocommutateurs principaux.

- un central EWSD (siemens) faisant office de CTI, CAA, il est situé en plein
centre ville.
 capacité en abonnés 3692 équipements,
 capacité en équipements MIC : 35 pour le R2 et 22 pour le code 5
 signalisation supportées MIC : R2, code 5
- un central OCB283 (Alcatel), faisant office de CTN et CAA, situé au cœur de
Ouénzé.
 capacité en abonnés 8000 équipements
 capacité en équipements MIC : 56 (indifféremment utilisé pour toute
signalisation)
 signalisation supportées SS7, Code 5, R2, RNIS…
- une plate forme de pré payement (NSOFT) située à Ouénzé pour les clients
résidentiels, professionnels, cabines et virtuels.
-une plate forme d’interconnexion du réseau international (C2C) à Binkaroua
(Nkombo)

II-1 ANALYSES ET CRITIQUES

II-1-1 des centraux


Le central EWSD acquit depuis plus de 10 ans reste très arriéré car en version 7
alors que le constructeur allemand (siemens) fourni actuellement de centraux à
une version supérieur à 14.

A cette version, le siemens ne sait pas faire du code 7 au niveau de la


signalisation, ce qui rend moins performant ce central dans la fourniture des
nouveaux services. Impossibilité de fournir des services RNIS.

Le central OCB283 acquit depuis près de 7ans reste lui aussi au palier 22 alors
qu’Alcatel fourni actuellement des centraux au palier 26.
Malgré l’existence de code 7 et du RNIS, ce central ne répond plus aux nouveaux
besoins liés à la grande évolution technologique des réseaux et services actuels.
Ce central qui assure le point d’interfaçage avec d’autres réseaux (MTN, CELTEL)
présente beaucoup d’insuffisances liées aux questions de capacité MIC et de
version.

Un peu partout dans le réseau télécom de la Sotelco, les questions de


redondance sont reléguées au second plan, la preuve c’est que tous ces
équipements de commutation cités ci dessus souffrent de la même maladie.

Le manque de contrat de maintenance avec les constructeurs des centraux est


une chose sérieuse surtout quant on sait qu'un central n’est pas un ordinateur
qui peut être géré sans faire référence au fabriquant.

Au regard de ce qui précède, il y'a un risque d’arriver un jour à une situation cas
trophique.

II-1-1 du réseau local (service lignes)

Le réseau local lui même vétuste, ajouté à cela la non existence des unités de
raccordements d’abonnés distants ce qui pose d’énormes problèmes de
raccordement et de dépannage des clients.
II-2 Architecture actuelle du réseau commuté de Brazzaville

Téléphon
Téléphone e
C/ville Mkkle

Réseau
International
Téléphone
Bcongo

EWSD /Centre

Téléphone
Aeroport

Téléphone
Poto-Poto

Réseaux Mobiles

Sotelco Pointe-Noire
Téléphon
e
Mpila

Abonné
Ouenzé - Mgli

Téléphone
Mpila

OCB /OUENZE

Téléphone
1 Talas
7
PRESENTATION
DU SYSTEME OCB 283
CHAPITRE I

PRESENTION MATERIELLE DE L’OCB283

I-1 vue d’ensemble du système OCB283

Les principaux objectifs de l’ocb283 sont les suivantes :


- proposer des configurations de petite, moyenne et grande capacités (jusqu’à
1million de bhca),
- offrir le raccordement d’abonnés fixes (par le sous système collecte d’abonnés
CSN, CSED et URA2G) et le raccordement aux serveurs GSM et IN (réseaux
Intelligents).
- offrir la possibilité d’assurer l’exploitation et la maintenance de manière locale
et ou distante.
- disposer d’un niveau élevé de sûreté de fonctionnement du système.

I-2 Architecture physique

L’architecture de l’OCB283 respecte l’architecture générale des


autocommutateurs numériques.
Architecture Physique de l’OCB 283

SOUS SYSTEME DE
COLLECTE D’ABONNE
LR
CSNL LR STS
CSND MIC STS
CSED SMT LR
URA2G SMT

MATRICE
CENTRALE
de
STH CONNEXION
BSC STH
RCP
IN
SMX
SMX
SMX
SMX
Applications
SMA
GSM et INet
Circuit SMA
machine
parlante
BSC MAS
RCP
IN
SDH SMC
SOUS- SYSTEME SMC
DE CONNEXION
ET COMMANDE

MIS

Centre de supervision SMM


SMM
REM

Poste de W WWtravail

Sous-système Exploitation & Maintenance


L’architecture matérielle de l’OCB283 est basée sur certains concepts.

I-3 Principaux concepts de l’OCB283

I-3-1 Station multiprocesseur(S M)


Le nœud de commutation OCB283 est matériellement constitué d’un ensemble
de stations multiprocesseurs (SM) inter connectées par un ou plusieurs multiplex
de commutation (MIS, MAS). Une SM comprend un ou plusieurs processeurs, un
ou plusieurs coupleurs intelligents, interconnectés par un bus et échangeant les
données par une mémoire commune.

Il existe 5 types de SM, suivant la fonction assurée et STS:

- SMC: SM de commande,
- SMA: SM d’auxiliaires,
- SMT: SM de terminaison MIC,
- SMX: SM de connexion,
- SMM: SM de maintenance,
- STS: Station de temps et de synchronisation.

I-3-2 Machine logique (ML)

Une SM supporte un certain nombre de fonctions logicielles appelées ML.


On distingue les machines logiques fonctionnelles et les ML de station :

- une ML fonctionnelle est affectée à une application téléphonique de l’OCB,


telle que le traitement d’appel (ML MR), taxation (ML TX), base de données des
analyses et abonnés (ML TR), raccordement multiplex MIC (ML URM)
Une machine logique de station (ML SM) est constituée de logiciels résidents
permettant à une station donnée de fonctionner : logiciel de base,
communication, centralisation, défense.

I-3-2 communication par anneau à jeton (token ring).

Le dialogue entre les stations se fait par un seul type de liaison: anneau à jeton.
Ce système de communication permet à une machine logique de dialoguer avec
une autre sans connaître sa localisation.
I-3-3 chaîne centrale de connexion doublée (CCX)

La chaîne centrale de connexion (CCX) est doublée sous forme de 2 branches A


et B.
Le concept de chaîne centrale de connexion recouvre 3 éléments :
a) la machine centrale de connexion (MCX) doublée,
b) les équipements de sélection et d’amplification de branche (SAB), qui sont
localisés dans les stations ou organes de raccordement (SMT, SMA, CSNL)
et constituent l’interface de ceci avec le MCX,
c) les liaisons (LR), reliant les 2 éléments précédents.

I-3-4 EXPLOITATION ET MAINTENANCE

L’exploitation et la maintenance locale est supportée par la station SMM, située


dans les mêmes locaux que la connexion et la commande. Ceci permet de
simplifier l’architecture et donner à la défense centrale un degré de disponibilité
élevée.
La SMM possède un disque local (double), qui permet la recharge des logiciels et
des données et la sauvegarde des informations de type: taxation ou facturation
détaillée.
L’extension de capacité ne nécessite pas de réarrangement matériel, mais
simplement un changement ou une adjonction de carte, l’évolution fonctionnelle
s’effectue par logiciels chargeables.

I-3-5 SURETE DE FONCTIONNEMENT

La sûreté de fonctionnement (appelée aussi défense) du système OCB283 est


basée sur une répartition de celui-ci en module appelés unités (ou entités) de
sécurité, ces unités sont capables de détecter leurs défaillances, de se
positionner en faute et d’en avertir le reste du système pour être secouru en cas
de défaillance. Les unités de sécurité sont de plus observées de l'extérieur (par
le reste du système) et peuvent être forcées à se retirer du système.

La défense présente ainsi deux niveaux :

a) une défense locale, interne à chaque SM ou à chaque multiplex de


communication (défection et signalisation d’anomalies),
b) une défense centrale, dans la station SMM, qui assure :

 la gestion des SM,


 le basculement sur station de secours,
 la gestion des multiplex (MIS et MAS)
 l’interface avec l’exploitant (alarme, diagnostique) grâce au
PGS
De plus, la redondance en générale :

- au niveau des ML, avec différents types de redondance suivant la ML et


l’application (CAA ou CAS),
- partage de charge dynamique sur 2ML,
- partage de charge dynamique sur ML,
- partage de charge statique sur « n » ML et 1 ML de secours,
- mode pilote réserve,
- Au niveau des multiplex de communication : 2 anneaux fonctionnent en
partage de charge et chaque anneau peut supporter l’ensemble de trafic,
- Au niveau de la distribution du temps : triple distribution à partir de la
STS.
CHAPITRE II

ARCHITECTURE FONCTIONNELLE

Sous système BT
De collecte BT
d’abonnés Matrice
CSNL Centrale
CSND URM de connexion
CSED COM
URA2G COM ETA PU/PE
ETA PU/PE

BSC
Multiplexage
RCP
Sous système
IN Connexion & Commande
Circuit et
machine
parlante
réseau SDH
communication

MQ GX MR/CC TX TR
OM MQ GX MR/CC TX TR
OM

PC GS
PC GS

Sous système
Exploitation &
Maintenance

Centre de supervision
II-1 Sous système connexion et commande

L'architecture fonctionnelle de la connexion et commande est basée sur les


fonctions essentielles suivantes :

 la commande,
 la connexion,
 le raccordement des MIC et auxiliaires,
 la génération du temps,
 la communication.

II-1-2 La commande

L’architecture distribuée de cette commande s’appuie sur des SM standards


appelés SMC, qui accueillent les ML suivantes :

- MLMR : traitement d’appel (élément et rupture des communications entre


abonnés fixes,
- MLCC : contrôle de communication (établissement et rupture des
communications avec les abonnés mobiles),
- ML TR : gestion de la base de données des analyses et abonnés,
- ML TX : taxation des communications, observations des circuits et
abonnés,
- ML MQ : distribution des messages aux ML, URM, ETA et GX,
- ML GX : gestion de la chaîne de connexion,
- ML PC : gestion du réseau sémaphore ccit n°7,
- ML GS : gestion des services.

II-1-3 La connexion

La connexion des voies temporelles (VT) est assurée par la chaîne centrale de
connexion dont le cœur est la matrice centrale de connexion (MCX).
Celle-ci est constituée matériellement de la station SMX qui supporte les ML
COM (gestion de commutateur), chargées d’établir des connexions
unidirectionnelles pour une SMX donnée.

II-1-4 Le raccordement des mic et auxiliaires


Le raccordement des mic est assuré par des stations SMT, qui supportent des ML
URM. Celles-ci assurent le raccordement à la chaîne centrale de connexion (via
les équipements SAB des SMT).
Pour le raccordement des canaux sémaphores à 64kb/S, des connexions semi-
permanentes sont établies dans la SMT et dans la chaîne centrale de connexion
(traitement niveau1 au SS7) jusqu’aux stations SMA. Pour traiter plus en avant le
protocole CCITT n° 7, ces SMA supportent les ML ETA afin de raccorder les
équipements auxiliaires (générateurs de tonalités, réception de fréquence
vocale, ccf,…)

II-1-5 La génération de temps

La génération de temps est assurée par la STS dont l’équipement principal est la
BT tripliquée.

II-1-6 La diffusion de films d’annonce

La diffusion de films d’annonce est assurée par la machine parlante numérique


(30 annonces sur 1 MIC, 30 annonces tripliquées sur 2 MICs ou 60 annonces sur
2 MICs avec une capacité de 128 annonces distincts).

II-1-7 La communication

Le système de communication, sous forme de multiplex de communication sert


à transférer les messages d’une station à une autre.
Ces multiplex de communication assurent des fonctions suivantes :

- échange de messages entre SMC ou entre celles ci et la SMM. Ce multiplex


unique est appelé multiplex inter station (MIS),
- échange de messages entre des stations spécialisées (SMA, SMT, SMX) et
toutes les stations de commande (SMC). Ces multiplex (1à4) s’appellent
multiplex d’accès aux stations (MAS).

II-2 Sous système Exploitation et maintenance


Le sous système exploitation et maintenance est basé sur une station
multiprocesseur appelée SMM. La SMM est composée de deux chaînes de
traitement SMMA et SMMB fonctionnant en mode pilote /réserve.

schéma SMM voir annexes

II-2-1 Architecture fonctionnelle SMM

Le sous système d’exploitation et maintenance constitue avec le sous système


connexion et commande, le nœud de commutation OCB283. Le sous système
d’exploitation et maintenance permet de dialoguer à un niveau régional ou
national.
Les logiciels de ce sous système sont supportés par la station multiprocesseurs
de maintenance (SMM), dont l'architecture est identique à celle des autres SM, à
des coupleurs particuliers près.

Sur le plan matériel, à coté de la SMM, on trouve des périphériques


d’exploitation, soit dans le même bâtiment que la connexion et la commande,
soit dans un bâtiment distant (avec raccordement par modems).
Parmi ces périphériques d’exploitation, il faut tout particulièrement signaler une
interface graphique appelée PGS (poste général de supervision) : cette interface
graphique, conviviale, aide l'opérateur à superviser le système (par exemple,
concernant les alarmes).

En plus des fonctions habituelles offertes par l’exploitation et la maintenance, il


assure :

- le chargement des logiciels et des abonnés, pour la connexion et la


commande et pour les CSN,
- la sauvegarde temporaire des informations de facturation détaillée
- la centralisation des informations d’alarmes issues des stations de
connexion et commande, via des anneaux d’alarmes.
- Il offre également la possibilité de raccordement à des machines de
gestion extérieures telles que le réseau d’exploitation maintenance
pour une gestion centralisée de plusieurs centraux et le centre des
résultats d’observation.
Dans tout ce qui suit, OM désignera la fonction d’exploitation, maintenance ou
l’ensemble des logiciels la réalisant.
II-2-2 Fonction assurées

L’exploitant accède à l’ensemble des équipements matériels et des logiciels du


système Alcatel 1000 E10 à travers les terminaux informatiques du sous
système d’exploitation et maintenance : consoles, supports, magnétiques,
terminal intelligent. Ces fonctions peuvent être regroupées en 2 catégories :

 exploitation de l’application téléphonique,


 exploitation et maintenance du système.

II-2-3 exploitation de l’application téléphonique

a) gestion des données d’analyse et d’abonnés

Les principales actions consistent à créer, modifier, supprimer, interroger les


caractéristiques des abonnés et des circuits (faisceaux de circuits) du central.
Dans l’application centre d’accès au radiotéléphone (GSM), la gestion d’abonnés
est masquée.

b) gestion du réseau sémaphore

Il s’agit d’action du même type que les précédentes, mais appliques » au réseau
CCITTn°7.

c) Taxation

Les principales actions consistent à :

 gérer le calendrier et les caractéristiques de taxation,


 gérer les comptes d’abonnés,
 gérer la facturation détaillée.
Les données de taxation peuvent être transférées directement vers un centre
d’enregistrement de taxation (CET).

Pour les fonctions de centre d’accès au serveur (ou radiotéléphone) :


 dans le cas du radiotéléphone, le système OCB 283 peut effectuer la
valorisation de taxation (sur demande explicité du serveur) et participe à
la notification de taxation vers le radio mobile. Le système élabore des
comptes rendus d’appel, permettant d’établir la taxation par un système
externe.
 dans le cas de l’IN (Intelligent Network), le système OCB283 peut effectuer
la valorisation de la taxation.

d) gestion des liaisons de données

Les principales actions consistent à créer, modifier, supprimer et interroger les


connexions semi-permanentes permettant des liaisons de données à 64kbit/S.

e) observations

Ces observations permettent d’établir des statistiques de charge, soit sur une
période précise (heure chargée), soit sur une période longue (un mois par
exemple).
Elles permettent également de signaler les dépassements de seuils, ceux- ci
pouvant être gêné.

L’observation de charge, qui est permanente, permet d’obtenir des


renseignements complets sur le déroulement des communications dans le
central : temps d’établissement, identité des entités en cause débordement
éventuel de temporisation, nature des messages échangés avec la périphérique
téléphonique).

II-2-4 Exploitation et maintenance du système

Il s’agit de fonctions essentielles de gestion des entités matérielles et logicielles


durant la vie du système dans les domaines suivants :

 logiciels : les opérations de changement, de génération, de changement


de version des logiciels d’exploitation et maintenance sont effectuées
sur commande des terminaux d’exploitation / maintenance à partir de la
référence supportée par des disques magnétiques,

 données : l’intégrité et la cohérence des données d’exploitation est


également assurée par les logiciels OM à partir de leur référence, cela
concerne, par exemple, les fichier des deux stations multiprocesseurs
homologues supportant les ML TR,
 états des organes : les entités matérielles (SM) et logicielles (ML) sont
positionnées, soit automatiquement (mécanisme de défense), soit à la
demande de l'opérateur d’exploitation, dans des états dépendant de leur
aptitude à écouler le trafic. La mémoire de positionnement de ces entités
doit être connue de toutes les autres et est entretenue sous le contrôle de
l’OM.

 terminaux informatiques : l’OM assure la gestion des terminaux de tous


types qui lui sont affectés.

 terminaux spécialisés en sortie,

 terminaux affectés à une fonction ou plusieurs.

II-2-5maintenance du système

Pour maintenir le système, la fonction OM dispose de messages d’anomalie et


de programme de localisation d’avaries
les messages d’anomalies, émis spontanément par les éléments matériels ou
logiciels du système, sont triés et traités statistiquement par les logiciels OM
qui permettent de déterminer la cause précise de l’anomalie et d’accuser l’entité
(matérielle ou logicielle) à l’origine du flux de messages, cela permet aussi
d’éditer les alarmes selon trois catégories : sans intervention, intervention
différée et intervention immédiate.

Les programmes de localisation d’avaries sont activés, en règle générale par


l'opérateur d’exploitation sur un ou plusieurs organes.
Ces programmes hiérarchisés permettent de tester le matériel d’une station ou
d’un organe. les comptes rendus de diagnostic donnés sur le terminal activateur
indique : la liste des éléments enfichables défaillants.
La probabilité de défaillance de chacun des éléments indique (diagnostic
hiérarchisé) et éventuellement, la nature de la faute.

II-3 sous système collecte d’abonnés


Il est constitué de CSNL ou CSND, de CSED ou d’URA2G. Il sert donc à la collecte
et au raccordement d’abonnés analogiques ou numériques.

CHAPITRE III
PRESENTATION DU CSN

III-1 Rôle du CSN

Le CSN est une unité de raccordement d’abonnés s'intégrant dans le système


OCB283. Il permet de raccorder les abonnées tant analogiques que numériques
et les réseaux d’accès (abonnés collectés par BLR par exemple).
Il s’adapte aux zone ou la densité d’abonnés est forte (en ville) et ou la densité
est faible (zone rurale).
Il permet de réduire la longueur moyenne de ligne d’abonnés, donc de
diminuer le cout de leur raccordement au réseau téléphonique.
Le CSN peut être local ou distant de l’autocommutateur de rattachement.
Il peut fonctionner en mode autonome, en cas de coupure accidentelle de la
liaison avec l’autocommutateur (CSN).
En fonctionnement autonome les communications ne sont pas taxées.
Le nombre maximum de communications locales est de 120 (simultanées).

III-2 Raccordement d’abonnés

Le CSN permet le raccordement :


 de ligne d’abonnés analogiques
 de lignes d’abonnés numériques
 des réseaux d’accès de type V5.1 et V5.2A.
Ces raccordements se font à travers des concentrateurs numériques locaux
(CNL) ou distants (CNE).

III-3 Structure générale du CSN


Le CSN est constitué :

a) d’une unité de commande numérique (UCN),


b) des concentrateurs numériques (CN).

L’UCN peut être installée :

 dans les locaux de l’autocommutateur de rattachement (CSNL)


 à distance de celui-ci (CSND).
L’UCN est l’interface entre les concentrateurs numériques et l’autocommutateur
de rattachement.

L’UCN se compose :

1) de deux unités de commande et de connexion (UCX) travaillant en mode


pilote/réserve. L’UCX pilote contrôle la totalité du trafic et met à jour, au fil
de l’eau la logique réserve. En cas de défaillance du pilote, il y'a basculement
immédiat sur la réserve.
2) d’un groupe de traitement auxiliaires (GTA) regroupant les fonctions
annexes de l’ucx :
 génération de tonalités et de film parlants lors du
fonctionnement autonome du CSND
 reconnaissance des signaux bifréqences des postes à
clavier lors du fonctionnement autonome du CSND.
 gestion des alarmes
 essais des lignes d’abonnés raccordées sur les
concentrateurs locaux.
L’UCN peut gérer 20 CN maxi.

III-4 Raccordement du CSN a l’autocommutateur


Ordinateur portable
C
AN N
V5.1 L

LR
AN
V5.2
Téléphone A
U
C
N
Poste de travail C
N
E

Téléphone
CSN L
AUTOCOM-
MUTATEUR

A.N C DE
V5.1 N
L RATTACHEMENT
A MIC
N.
V5
.2 U
A C
Poste de travail
C N
N
E

Téléphone
CSN D
Raccordement local :

- le raccordement se fait par l’intermédiaire de 2 à 16 lignes réseaux (LR)


- le dialogue entre le CNL et l’autocom se fait en code CCITT n°7 sur l’IT16
des deux premières LR,

Raccordement distant :

- le raccordement se fait par l’intermédiaire de 2 à 16 multiplex (MIC)


- le dialogue entre le CNL et l’autocommutateur se fait en code CCITT n°7
sur l’IT16 des deux premiers MIC.
III-5 Les concentrateurs numériques

A chaque type de ligne est associé un équipement spécifique (une carte).


Le CN permet de raccorder à la fois des abonnés analogiques et numériques. Il
y a deux types de CN (CNL et CNE).
Chaque concentrateur permet de raccorder jusqu'à 256 abonnés analogiques ou
64 abonnés numériques.

Abonnés numériques :
- débit de base: 2B+D : 2x 64kb/s +16kb/s =144kb/S.
- débit primaire : 30b+d : 30x 64+64=2MB/S.

Listes cartes d’abonnés et des services (voir annexes)

III-6 organisation matérielle CSN

Baie CNE
- baie CNE (256 ou 256x2)
- deux alvéoles
- une baie CNE complètement remplie accueille 2 CNE soit 512 abonnés
analogiques maximum.

Remarques : ces capacités baissent si à la place des abonnés analogiques on


met des abonnés numériques, car :

- une carte d’abonné analogique a 16 équipements,


- une carte numérique RNIS à accès primaire = un (1) équipement,
- une carte numérique RNIS accès de base = 8 équipements.
PROPOSITION D’UNE NOUVELLE
ARCHITECTURE DU RESEAU
COMMUTE DE BRAZZAVILLE
Téléphone Téléphone Téléphone

CNE /MKKL
CNE/OMS

Téléphone
Téléphone

Téléphone

CSN
OCB /Centre
CNE /MAYA
Téléphone

Téléphone

CNE /MKNDO

Abonné
Réseau
Internationa
l

Téléphone

CNE /BKR

Téléphone

Réseaux Mobiles
OCB /OUENZE
CNE /ACDM
Sotelco Pointe-Noire
Téléphone
Tenant compte de la dispersion actuelle de la clientèle importante de Sotelco et
puis en vue de sécuriser la fourniture du service téléphonique à l’endroit de
cette même clientèle, il paraît intéressant qu’une nouvelle architecture du réseau
commuté de Brazzaville soit conçue.

L’architecture que je propose, repose sur l’acquisition de deux centraux OCB283


qui seront installés respectivement à Ouénzé et au centre ville. Chaque central
sera doté des options CTI, CAA et CTN.

Comme ces deux centraux vont inter changer un volume important de trafic,
deux types de liaisons seront utiles pour les relier à savoir :
 une liaison par fibre optique,
 une liaison faisceau hertzien.
Une des liaisons servira de backup pour l’autre.

La signalisation inter centraux sera en code 7. Afin d’éviter la paralysie de toute


une zone (nord ou sud de Brazzaville) en cas de défaillance de l’un des deux
centraux, des unités de raccordement d’abonnés d’un central vont s’imbriquer
dans la zone géographique supposée appartenir à tel ou tel autre central.

Afin de baisser les coûts de raccordement des lignes d’abonnés, un


rapprochement maximal doit être fait pour que soit raccourcie la longueur des
lignes des clients. Pour cela des concentrateurs numériques distants (CNE) vont
être disséminés partout dans la ville.
Construction ligne d’abonné

S
Téléphone
/ P
R C
E
P

Téléphone

U R P
CENTRAL
R E C
A P

P
C
Téléphone

S
/
R
E
P
Téléphone
P
C

TRANSPORT DISTRIBUTION BRANCHEMENT


DEROULEMENT DU STAGE
CHAPITRE I

Déroulement du stage

Le déroulement du stage à la Sotelco repose sur un système de rotation


hebdomadaire par service technique (commutation et transmission). Dans tous
les services, après accueil de l’étudiant, une présentation générale de la
structure est faite, ensuite commence les étapes de lecture des documents
techniques et le travail réel en compagnie des gestionnaires du site.

En effet, le processus de rotation se présente comme suit :

CTS Centre ville

 Changement d’un émetteur


CHAPITRE V déroulement du stage


1-travail réalisés
1a CTS
_changement d'émetteur planté
-maintenance des équilibres
1b-instructions utilisées
-TTMC
°ENTRETIEN DES EQUILIBRES
 prises des mesures
a) TNL
 b) répartiteurs (circuits)
 Appareil utilisés
11-SIEMENS
 création des lignes abonnées
 déblocage les lignes
 OCB 283
 vérification des équipements de central
 changement des cartes d'abonnées des URAD
 création des lignes d'abonnées
 suppression ; modification, transfert
 traitement des locavars
CHAPITRE II

Remarques et suggestions

II-1 Remarques

A) A l'endroit de l'OCB283 Ouénzé

 Devant les avancées technologiques réalisées dans le domaine de


télécommunications les cadres moyens du central de Ouenze les cadres
ne reçoivent pas une formation aux nouvelles technologies.
 Les cadres du service énergie du central de Ouenze sont exposés à l'acide
sulfurique de la salle des batteries mais ne bénéficient pas des visites
médicales.
 Manque d'un moyen roulent pour les agents du central
 Coupure systématique de la connexion internet au central.

II-2 Suggestions

 S'appuyer sur la formation continue des agents en vue de leur recyclage


 Organiser les visites médicales permanentes pour agents du service
énergie
 Redéfinir la politique de l'entreprise, la sécurité de l'emploi et de la
rémunération, les conditions du travail, le développement des actions
sociales au sein de l'entreprise pour lutter contre la démotivation du
personnel
 La Sotelco ferait mieux de prendre ses responsabilités on achetant un
moyen roulant aux agents afin de se rendre à l'heure sur les lieux de
travail.

B) A l'endroit de L'ECES

Faire la suivi des dossiers de mise en stage des étudiants adressées par
l'école aux Administrations d'accueil afin d'éviter les situations fâcheuses
qu'occasionnent des perturbations dans le déroulement du stage.
Conclusion

Ce stage pratique a été d'un grand apport. Cela nous a permis de concilier la
théorie acquise à l'école, avec la pratique sur le terrain en dehors des
contacts techniques qui nous ont également permis d'acquérir un savoir en
vue de l'évolution des technologies en télécommunication, la familiarité à
certains endroits avec le personnel nous a permis d'avoir une vision de
fonctionnement des services.
Ce qui nous permet en aval de bien nous intégrer dans le futur aux activités
professionnelles

Riche en expérience et très propice à l'acquisition des connaissances, ce


stage pratique a été d'un grand apport dans la conciliation des connaissances
théoriques acquises à l'école avec la pratique ou la réalité sur le terrain.
Annexe 1 :
Annexe 2 :
Annexe 3 :
GLOSSAIRE

ABOIN : Commande d’interrogation des caractéristiques d’un abonné


ABOCR : Commande de création d’une ligne d’abonné
BM : Bande Magnétique
BT : Base de Temps
CCITT:
CSND:
CSNL:
CN: Concentrateur numérique
CNE:
DEE:
IN: Réseau intelligent
IT: Intervalle de temps
LR:
MAS:
MCX:
MIC:
MIS: Multiplex inter station
ML:
ML COM:
ML CC:
ML CX :
ML MQ :
ML MR:
ML OC:
ML PC:
ML PUPE: Machine logique du traitement du protocole
ML TX: Machine logique de taxation
MQ: Marqueur
MR: Multi enregistreur
NE: Numéro equipment
ND: Numéro de designation
OM: Oscillateur
RCP:
RHM:
SS7: Signalisation par canal sémaphore
SDH:
SM: Station multi processeur
SMA: Station multiprocesseur des auxiliaires
SMC: Station multiprocesseur de commande
SMM: Station multiprocesseur de maintenance
SMT: Station multiprocesseur de terminaison MIIC
SMX: Station multiprocesseur de connexion
TR : Traducteur
TX : Taxeur
URAD: Unité de raccordement des abonnés distants
URAL: Unité de raccordement des abonnés locaux
URM : Unité de raccordement multiplex
BIBLIOGRAPHIE

 Documentation CIT disponible au central OCB 283 de Ouenzé


 Documents ESMT (Dakar au Sénégal)
 Exposé sur les bases de la commutation de Mr Jean Pierre NGAKEGNI
TABLE DES MATIERES

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