1. L’A.O. est monté en suiveur. Il permet l’adaptation d’impédance : Zs = 0,
quelle que soit Ze . De plus l’A.O. est idéal, donc v1 − v− = U . Ao Uréf − U A1 Uréf − U 2. Les intensités des courants valnt : i0 = 7 , i1 = , 2R 26 R A2 Uréf − U A7 Uréf − U i2 = 5 , ..., i7 = . 2R 20 R 3. Comme i1 = 0 on a ik = 0 d’où : # $ # $ Uréf Ao A1 A2 A7 U 1 1 1 1 6 1 5 1 ... 1 0 = 1 6 1 .... 1 0 . R 27 2 2 2 R 27 2 2 En multipliant les 2 membres par 27 , il vient : Uréf [Ao 1A1 21 1...1A7 27 ] = U [20 121 1...127 ]. N Le 2e crochet vaut 255 et le 1er vaut N . Finalement : U = Uréf . 255 4. Ce convertisseur est un 8 bits (= 1 octet). Il permet de convertir une grandeur binaire, codée sur un octet et donc comprise entre 0 et 255, en une valeur analogique. Le MSB correspond à A7 (interrupteur d7 ). Le LSB correspond à A0 (interrupteur d0 ). 5. Le quantum correspond au LSB : Ao = 1, tous les Uréf U autres poids Ak étant nuls. Umin = = 19,6 mV. 255 5V Umax = 5 V et 0 < N < 255. On obtient la marche d’escalier suivante où la hauteur de chaque marche vaut 29,6 mV. 6. Les problèmes liés à ce montage sont les suivants : – trouver un lot de résistances telles que Rk = 2k R ; N 100 200 – Rk et Uréf ne doivent pas varier avec la température (alimentation stabilisée, précision des résistances) ; – l’A.O. utilisé est réel et donc limité ; – les interrupteurs ne sont pas parfaits (résistance non nulle quand ils sont fermés).