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Bruce Lee

acteur et artiste martial sino-américain (1940–1973)

Bruce Lee

Photographie
promotionnelle de Bruce
Lee pour le film
The Big Boss (1971).
Nom de Lee Jun-fan
naissance
Surnom « le Petit Dra
Naissance27 novembre
San Francisc
États-Unis
Nationalité Américain
Décès 20 juillet 197
Hong Kon
ProfessionRéalisateur
Acteur
Producteur
Scénariste
Professeur e
concepteur d
Jeet kune do
Films The Big Boss
notables La Fureur de
vaincre
La Fureur du
dragon
Opération Dr
Séries Le Frelon ver
notables
Site www.brucele
internet (http://www.
ee.com/)

Lee Jun-fan (李振藩), dit Bruce Lee, né à San Francisco (États-


Unis) le 27 novembre 1940 et mort le 20 juillet 1973 à Hong Kong,
est un artiste martial, acteur, réalisateur, producteur et scénariste
sino-américain.

Parallèlement à sa carrière d'acteur, Bruce Lee crée son propre art


martial, le jeet kune do. Considéré comme le plus grand maître
d'arts martiaux du cinéma mondial du xxe siècle, il a ouvert la voie
à d'autres acteurs asiatiques de films d'arts martiaux comme
Jackie Chan, Jet Li ou Tony Jaa, voire occidentaux comme Chuck
Norris, Steven Seagal, Jean-Claude Van Damme ou Scott Adkins
et afro-américains tels que Wesley Snipes et Michael Jai White.

Grâce à ses contributions au cinéma et à la télévision, Bruce Lee


incarne pour beaucoup l'homme fort atteignant le sommet de la
perfection physique et l'invincibilité au combat à mains nues. Sa
notoriété a eu un rôle important dans l'intérêt du grand public
occidental pour les arts martiaux chinois.

Sa mort prématurée, à l'âge de 32 ans, a contribué à le faire entrer


dans la légende du cinéma et des arts martiaux et, à Hong Kong,
donna naissance à toute une mode de films essayant de se
vendre comme des « films de Bruce Lee » : la « Bruceploitation ».

En 2014, il est la dixième célébrité décédée ayant généré le plus


de revenus après sa mort[1].

Biographie
Enfance

Né Lee Jun-fan ( 李振藩), son prénom Bruce [2] lui aurait été donné
par une infirmière ou un médecin de l'hôpital chinois de San
Francisco (en) où il est né (lors de l'année du dragon) alors que son
père, Lee Hoi-chuen, une star de l'opéra chinois est en tournée en
Californie[3]. Sa mère, Grace Ho ( 何愛瑜), avec des origines
chinoises et germaniques, est la demi-nièce de Sir Robert Hotung,
homme d’affaires et philanthrope de Hong Kong[3].

Bruce Lee (Li, selon l'orthographe pinyin officielle pour le


mandarin, Lee étant en jyutping pour le cantonais) est élevé à
Hong Kong, auprès de ses deux frères Peter et Robert (né en
1948), ainsi que ses deux sœurs Agnès et Phoebe. Lee Hoi-chuen,
né dans le district de Shunde (Guangdong) était comédien,
vedette de l'opéra de Canton, ce qui permet à Bruce d'apparaître
dans plusieurs films asiatiques durant son enfance.

C'est à l'âge de 13 ans, vers 1953[4],[5] ou 1954[6],[7], après avoir été


initié au tai-chi-chuan que Bruce Lee commence à étudier un art
martial chinois, le wing chun, dans l'école du célèbre maître Yip
Man auprès de Wong Shun-leung.
Bruce Lee bébé, entouré de ses parents.

Bruce Lee en 1946.

Retour aux États-Unis

Bruce Lee et son fils


Brandon, vers 1966.

Pour valider sa nationalité américaine, et parce que sa mère veut


l'éloigner des gangs de rues chinois où son fils se bat
régulièrement[8], Bruce Lee est envoyé à 19 ans aux États-Unis où
il entre à l'Edison Technical School (en) de Seattle. Par la suite, il
entame des études de théâtre[9] à l'université de Washington. C'est
là qu'il rencontre sa future femme, Linda Emery, une jeune
étudiante, en lui donnant des cours de kung-fu. Ils se marient à
Oakland en Californie le 17 août 1964[10]. Le couple aura deux
enfants, Brandon (1965-1993) et Shannon (née en 1969).

C'est à cette époque que Bruce Lee commence à enseigner


sérieusement les arts martiaux en ouvrant une école. Il enseigne à
tous ceux qui veulent apprendre son style de kung-fu, qu'il appelle
« jun fan gung-fu », basé essentiellement sur le wing chun. D'après
le témoignage de sa femme, cet enseignement est mal perçu par
les autres écoles d'arts martiaux, qui jugent que le kung-fu ne doit
être enseigné qu'à des Chinois. Selon elle, c'est pour cette raison
que Bruce Lee a dû relever un défi : combattre le maître Wong
Jack-man ; s'il perdait, il devrait fermer son école [réf. souhaitée].

Selon plusieurs sources controversées, Bruce Lee remporte le


duel. Toutefois, le maître Wong Jack-man se plaignit que Bruce
Lee, en l'absence d'arbitrage, s'était battu de manière non sportive,
et proposa cette fois un combat public. Bruce Lee ne donna pas
suite. Selon son épouse, Lee remporta le combat avec difficulté,
ce qui le motiva à réfléchir sur un art martial efficace et fit naître
dans son esprit un nouveau sport de combat : le jeet kune do[11].

Création du jeet kune do : la lignée martiale


Logotype de la fondation
Bruce Lee.

Bien que victorieux [réf. souhaitée], le jeune maître est déçu par sa
prestation. Il se croyait capable de mettre un adversaire KO en
quelques secondes mais le combat a sollicité toute son énergie.
C'est cette mésaventure qui va le conduire à remettre en doute
l'enseignement traditionnel et à s'intéresser à la musculation.

Bruce Lee en train de pratiquer les


arts martiaux avec Yip Man.

Il créera alors le jeet kune do (« la voie du poing qui intercepte »),


utilisant des techniques extérieures au kung-fu. Le jeet kune do
visait à être plus pratique, plus fluide et plus rapide que le kung-fu
traditionnel mais surtout plus adapté au combat réel, en intégrant
des techniques tant de la boxe anglaise, la savate (boxe
française), la lutte européenne, le judo, le ju-jitsu, la boxe thaï, de la
self-défense (hapkido, qu'il apprend de Ji Han-Jae), de l'escrime
ou du kali (art de combat philippin auquel il a été initié par son
ami, Dan Inosanto). Il a également été pensé comme système de
renforcement musculaire. Il écrit plusieurs livres expliquant ses
techniques, qu'il qualifie d'« auto-défense ». Plus tard, le jeet kune
do (ou JKD) sera intégré au close quarters combat enseigné aux
forces spéciales américaines.
Il essaye également de poursuivre une carrière
cinématographique, entamée dans l'enfance en Chine, mais
l'essentiel de ses revenus vient de l'enseignement.

Début 1970, lors d'un exercice de musculation, il se blesse


grièvement au dos[12]. Il s'était déjà blessé plusieurs fois à cet
endroit entre 1964 et 1970[13]. L'accident se serait produit dans sa
salle d'entraînement alors que, sans s'être préalablement
échauffé, il entame une série de « good-morning », un exercice
particulièrement éprouvant pour les lombaires, avec une charge
d'environ 60 kg — approximativement son propre poids[14],[15]. Le
médecin consulté diagnostique une lésion du quatrième nerf
sacré. On lui interdit alors de pratiquer toute forme d'exercice. On
lui dit même qu'il ne pourra plus jamais pratiquer les arts martiaux
comme avant. Il gardera des séquelles douloureuses de cet
accident toute sa vie[16]. Il reste alité quelques jours, et pendant
six mois il abandonne tout exercice physique et en profite pour
mettre par écrit des réflexions et croquis sur sa vision de l'art du
combat et sur les relations entre celui-ci et la sagesse orientale.
Sa veuve publiera ses écrits sous forme d'un livre, Tao of Jeet
Kune Do, en 1975.

Depuis, le Mixed martial art et le free fight reprennent les mêmes


principes que Bruce Lee : utiliser plusieurs arts martiaux ou sports
de combats en même temps[17].
Carrière d'acteur

Début aux États-Unis : Le Frelon vert

Van Williams et Bruce Lee dans la


série télévisée Le Frelon vert.

En 1964, Bruce Lee fait une démonstration de kung fu durant le


tournoi international de karaté de Long Beach, sa performance est
filmée par Ed Parker. Quelque temps plus tard, le producteur
William Dozier découvre le film grâce à Jay Sebring, célèbre
coiffeur de stars.

Début 1965, il est contacté pour passer le casting d'un projet qui
ne se fera finalement jamais, mais il obtient quand même un rôle,
celui de Kato, dans la série télévisée Le Frelon vert (The Green
Hornet). N'ayant pas grand impact aux États-Unis, au bout d'une
seule saison, de 1966 à 1967, la série s'arrête, mais la
performance de Bruce Lee a tout de même marqué le public, et
des stars comme Steve McQueen, James Coburn, Kareem Abdul-
Jabbar, ou encore Roman Polanski deviennent ses élèves. Il fait
trois apparitions en tant que Kato dans trois épisodes de Batman.

Par la suite, le cinéma américain acceptant mal les acteurs non


blancs, sa carrière stagne rapidement. Il est cantonné à de petits
rôles secondaires (L'Homme de fer en 1967, Blondie en 1969, Cent
filles à marier en 1969, La Valse des truands)[18] et parfois juste
chorégraphe des combats (Matt Helm règle son comte, La Pluie de
printemps). Le coup le plus difficile à encaisser, c'est d'être écarté
de la série The Warrior (rebaptisé plus tard Kung Fu) alors qu'il en
avait écrit le synopsis, le rôle principal étant donné à David
Carradine, un acteur qui connaît très peu les arts martiaux.

En 1970, il subit une grave blessure au dos, provoquée par une


surcharge de poids à l'entraînement. Il reste immobile durant plus
de six mois, passant beaucoup de son temps à peaufiner sa
théorie et sa philosophie des arts martiaux. Après beaucoup
d'efforts, il finit par se rétablir, le risque de se trouver quasiment
handicapé faisait partie du pronostic médical, mais il gardera tout
de même jusqu'à la fin de sa vie des douleurs régulières au dos.

Pendant ce temps-là, du côté de l'Asie, la série Le Frelon vert


(rebaptisée The Kato Show) est un succès et le producteur
Raymond Chow, du studio Golden Harvest, le démarche pour qu'il
vienne tourner à Hong Kong, par l'intermédiaire de l'actrice Liu
Liang-hua (épouse du réalisateur de la Golden Harvest Lo Wei),
qui se rend à Los Angeles pour le rencontrer[19],[20],[21].

Retour à Hong Kong : succès au cinéma


Logo de Concord Production Inc., une
société de production
cinématographique fondée en partie
par Bruce Lee.

Étoile de Bruce Lee sur le Hollywood


Walk of Fame de Hollywood
Boulevard.

En 1971, la carrière de Bruce Lee commence vraiment avec le film


Big Boss, qui raconte les malheurs et la vengeance d'immigrés
chinois en Thaïlande, ayant découvert le trafic de drogue dont est
coupable leur employeur. L'acteur avait auparavant refusé une
proposition de la Shaw Brothers pour se tourner vers la plus
modeste Golden Harvest. Toutefois, le climat de tournage est
difficile pour Bruce Lee, en raison d'incompatibilité d'humeur avec
le réalisateur Lo Wei et seul le succès du film lui fait poursuivre sa
carrière hong-kongaise. La même année, il fera un retour rapide
aux États-Unis pour tourner dans la série Longstreet, où il joue le
rôle d'un instructeur d'arts martiaux qui entraîne le détective
aveugle Mike Longstreet (James Franciscus).

En 1972, il tourne dans La Fureur de vaincre le rôle d'un étudiant


chinois qui revient à Shanghai pour venger la mort de son maître
(le célèbre Maître Huo) qui, selon lui, s'est fait assassiner par un
traître. Ce film inspirera Fist of Legend de Jet Li. La même année, il
tourne dans La Fureur du dragon, premier film asiatique tourné en
Europe (en Italie). Il joue le rôle de Tang Lung, un Hongkongais
envoyé à Rome pour aider la famille d'un ami victime de racket.

En 1972, dans le film Le Jeu de la mort, il interprète un champion


d'arts martiaux qui doit affronter dans une pagode toute une série
d'adversaires, avec un style différent à chaque étage, le dernier
étant réservé au jeet kune do, pratiqué dans le film par son élève
le basketteur Kareem Abdul-Jabbar. Bruce Lee interrompt le
tournage pour se consacrer à la superproduction hollywoodienne
de la Warner Bros, Opération Dragon réalisé par Robert Clouse qui
fera de Lee une star internationale. Mais malheureusement, il ne
verra jamais ce succès car il meurt quelques semaines avant la
sortie du film.

Cinq ans plus tard, Le Jeu de la mort reprend sans lui ; le scénario
est alors modifié et raconte l'histoire de Billy Lo, un acteur célèbre
qui se fait menacer de racket par la mafia chinoise. Le film est
rafistolé de toutes les manières qui soient (un acteur porte même
dans un plan un masque en carton avec la photo de Bruce Lee).
Des images des véritables funérailles de Bruce Lee sont utilisées
pour la scène des funérailles de Billy Lo. À la fin du film, Bruce Lee
réapparaît car il avait tourné trois scènes de combat.

Mort
Bruce Lee meurt le 20 juillet 1973 à Hong Kong, dans le studio de
l'actrice taïwanaise Betty Ting Pei, situé à une rue de la maison de
l'acteur[22]. Raymond Chow, cofondateur des studios Golden
Harvest, explique que l'acteur a pris un médicament (cachet
d'Equagesic , un mélange d’aspirine et de méprobamate) contre
(en)

le mal de tête auquel il était très sensible[23]. Il se déclare


également personnellement effondré par la mort de Bruce Lee, un
drame qui l'a amené à suspendre la préparation du Jeu de la mort,
dernier film de l'acteur.

D'après l'autopsie, la cause officielle de la mort de l'acteur est un


œdème cérébral, consécutif à une réaction allergique à un
analgésique, un cas rare d'hypersensibilité à l'Equagesic[24],[25].
Les rumeurs qui suivent sa mort (amplifiées à la suite de la mort
de son fils Brandon, due à un pistolet chargé accidentellement)
évoquent différentes causes et motifs fantaisistes (mafia chinoise
et collusions avec Raymond Chow, son producteur de l'époque ;
milieu des arts martiaux ; surnaturel ; prise de cannabis)[26].

Deux mois avant sa mort, il avait déjà subi une crise d'épilepsie
avec perte de connaissance[27] ; les céphalées qui ont motivé sa
prise d'analgésiques étant souvent présentes avant la rupture
d'anévrisme, le médicament en lui-même pourrait ne pas être
incriminé ; par ailleurs, l'œdème cérébral est classiquement lié à
ces accidents vasculaires cérébraux.
Selon une autre théorie, avancée par le légiste Michael Hunter,
Bruce Lee serait mort des suites d'un abus de cortisone, que
l'acteur prenait depuis 1970 après s'être blessé au dos au cours
d'une séance de musculation[28].

Dans une interview, son ami Chuck Norris raconte qu'en 1968, Lee
s'était blessé au dos après avoir soulevé des poids de
musculation. Il s'en est suivi trois semaines d'hospitalisation. Les
médecins se demandaient même s'il allait pouvoir remarcher un
jour. À partir de cet évènement, bien qu'il se soit rétabli
rapidement de sa blessure, Lee avait régulièrement besoin de
prendre des médicaments anti-douleur. Selon Norris, le jour de sa
mort, Lee a eu de violents maux de tête. Il décida alors de prendre
un autre médicament puissant pour ces douleurs mais la réaction
produite par l'administration simultanée de ces deux
médicaments provoqua un anévrisme qui le tua[29].

En 2022, pour les médecins il ne fait aucun doute : un œdème


cérébral dû à une surconsommation d'eau a tué l'acteur. Il
paraîtrait en réalité qu'il soit décédé d'hyponatrémie – une faible
concentration de sodium dans le sang –, qui peut être causée par
une présence excessive d'eau ou de liquide dans le corps. « Nous
émettons l'hypothèse que Bruce Lee est mort d'une forme
spécifique de dysfonctionnement rénal. L'acteur a dû être dans
l'incapacité d'excréter suffisamment d'eau par son urine pour
maintenir l'homéostasie – la régulation – du liquide. Dans ces
conditions, cela peut conduire à une hyponatrémie », explique
l'équipe de recherche dans le Clinical Kidney Journal.

Il avait d'ailleurs mentionné qu'il avait adopté un régime à base de


liquide, essentiellement composé de jus de carotte et de pomme,
et d'une quantité astronomique d'eau[30].

Les tombes de Bruce et Brandon Lee


au cimetière de Lake View à Seattle.

Il repose au cimetière de Lake View à Seattle[31],[32], aux côtés de


la tombe de son fils Brandon, mort en 1993. Lors de ses
funérailles, son cercueil est porté par James Coburn, Taky Kimura,
Dan Inosanto, Robert Lee (en) et Steve McQueen[33].

Filmographie

Acteur

Cinéma

1941 : Gum Moon Lui / Golden Gate Girl / Golden Gate Woman /
Tears of San Francisco : un bébé qui pleure (non crédité, Bruce
n'a que 3 mois et joue un bébé fille)
1946 : The Birth of Mankind
1948 : Foo Gwai Fau Wan / Wealth is Like a Dream (Bruce Lee est
crédité sous le nom de « Cow Boy »)
1949 : Mung Lee Sai Si / Sai See in The Dream : Yam Lee
1949 : Faan Lee Dut / The Story of Fan Li Hua
1950 : Dut Hoi Dip Moon Chi / Blooms and Butterflies
1950 : The Kid (Sai Lo Cheung, Kid Cheung, My Son Ah Cheung) :
Kid Cheung (Bruce Lee est crédité pour la première fois sous le
nom Lee Siu Lung : « le petit dragon Lee »)
1951 : Yun Chee Chor / Infancy / The Birth of Mankind / The
Beginning of a Boy / The Beginning of The Human Being : Ngau
Tsai
1953 : Foo Hoy Ming Dung / Haine et Passion / A Son is Born : Ah
Sang
1953 : Chee Mu Liu / A Mother's Tears / A Mother Remembers :
Ah Leung
1953 : Fu Chee Chor / Blame it on Father / The Bad Boy / Boys on
The Street : Big Eye Dog
1953 : Cheen Man Yun Ga / A Myriad Homes / Countless
Families : Ah B
1953 : Al Lull Chun Heel / In The Face of Demolition : le fils d'un
vendeur de journaux
1955 : Ngoi I / Love I
1955 : Ngoi II / Love II / Carnival
1955 : Gu Sing Lui Huet / An Orphan's Tragedy / Orphan Ah Sam :
Wong Fuk-kwan
1955 : Sull Duk Wun Hoy Geen Yuet Ming / The Faithuful Wife :
Hung Tsai
1955 : Gu Yee Hung / Orphan Song : Chung-hing
1955 : Yu Lui Jai / We Owe It to Our Children / The More The
Merrier : Tam-jai
1956 : Ja Deen Lap Fok / The Wise Guys Who Fool Around /
Sweet Time Together : Yeung Siu-lung
1956 : Jo Jee Dong Ngaw Mmga / Too Late For Divorce
1957 : Loy Yu / Thunderstorm : Chow Chung
1957 : Tian Jie Er / Darling Girl : un camarade de classe
1960 : L'Orphelin : Ah Sam
1969 : La Valse des truands de Paul Bogart : Winslow Wong
1971 : The Big Boss de Lo Wei : Cheng Chao-an
1972 : La Fureur de vaincre de Lo Wei : Chen Zhen / Chen Jeh
1972 : La Fureur du dragon de Bruce Lee : Tang Lung
1973 : Opération Dragon de Robert Clouse : Lee
1973 : Le Jeu de la mort de Robert Clouse : Hai Tien (film
inachevé de 1972) / Billy Lo (version de 1978)
Télévision
Bruce Lee en 1967, dans le rôle de
Kato de la série télévisée
Le Frelon vert.

1966-1967 : Batman (série télévisée) : Kato (saison 2, épisodes


7, 51 et 52)
1966-1967 : Le Frelon vert (série télévisée) : Kato (26 épisodes)
1967 : L'Homme de fer (série télévisée) : Leon Soo (saison 1,
épisode 7)
1969 : Blondie (série télévisée) : Mr Yoto (épisode 13)
1969 : Cent filles à marier (série télévisée) : Lin Sun (saison 1,
épisode 25)
1971 : Longstreet (série télévisée) : Li Tsung (épisodes 1, 6, 9 et
10)

Scénariste

1971 : The Big Boss (non crédité)


1971 : Longstreet (série télévisée) (participation pour l'épisode
1)
1972 : La Fureur du dragon
1978 : Le Jeu de la mort (film incomplet de 1972)
1978 : Le Cercle de fer / La Flûte Silencieuse
Réalisateur

1972 : La Fureur du dragon

Chorégraphe des combats

1966 : Le Frelon vert (série télévisée) (participation pour les


combats de son personnage Kato)
1968 : Matt Helm règle son comte (participation)
1969 : La Pluie de printemps (participation)
1971 : The Big Boss (non crédité)
1972 : La Fureur de vaincre
1972 : La Fureur du dragon
1973 : Qi Lin Zhang / Fist of Unicorn / The Unicorn Palm
(participation)
1973 : Opération Dragon
1978 : Le Jeu de la mort (film incomplet de 1972)

Philosophie du jeet kune do


Article détaillé : Jeet kune do.

L'emblème du jeet kune do.


Héritage du wing chun / jeet kune do

Sifu de Wing Chun Yip Man ( 葉問)


Autres instructeurs Sihing Wong Shun-leung ( 黃惇樑) Ji Han-jae
Sparring partner principaux Toe Dai, Hawkins Cheung (Note : Il était ami avec Bruce Lee à cette époque.)

Bruce Lee ( 李小龍)


Créateur du Jeet Kune Do

Jesse Glover
Steve Golden
Dan Inosanto
Élèves principaux en Jun Fan Taky Kimura
Gung Fu/Jeet Kune Do Jerry Poteet
Ted Wong
James Yimm Lee
Et de nombreux autres ...

Kareem Abdul-Jabbar
James Coburn
Joe Lewis
Élèves célèbres en Roman Polanski
Jun Fan/Jeet Kune Do Lee Marvin
Steve McQueen
Chuck Norris
Et de nombreux autres ...

Quoiqu'étant reconnu pour son talent dans les arts martiaux,


Bruce Lee a aussi étudié le théâtre[9] et la philosophie à l'université
de Washington. Il aimait la lecture et avait une ample collection
littéraire. Ses propres livres traitant des arts martiaux, de combat
et de leur philosophie, sont reconnus pour leur contenu
philosophique pertinent non seulement dans le contexte des arts
martiaux, mais aussi dans la vie courante[34].

Sa philosophie éclectique reflétait souvent sa philosophie de


combat, mais il affirmait fermement que son art martial n'était
qu'une métaphore pour sa pensée. Il affirmait que toute
connaissance était une forme de connaissance de soi et disait
que sa principale façon de l'exprimer était les arts martiaux[34].
Quelques-unes de ses influences sont le taoïsme, Jiddu
Krishnamurti et le bouddhisme[35]. Cependant, il se déclarait
athée : dans une entrevue accordée en 1972 concernant son
affiliation religieuse, il affirma : « aucune » (« none whatsoever ») ;
et quand on lui demanda s'il croyait en Dieu, il répondit : « En toute
honnêteté, non, pas du tout » (« To be perfectly frank, I really do
not »)[36].

Voici quelques citations de Bruce Lee qui informent sur sa


philosophie de combat, notamment l'adaptation[37],[38] :

« Faites le vide dans votre esprit. Soyez sans forme,


déformé, comme de l'eau. Maintenant, vous mettez
de l'eau dans une tasse, elle devient la tasse. Vous
mettez de l'eau dans une bouteille, elle devient la
bouteille. Vous la mettez dans une théière, elle
devient la théière. Maintenant, l'eau peut s'écouler
ou elle peut s'écraser... Soyez comme l'eau, mon ami.
(Empty your mind. Be formless, shapeless, like water.
Now you put water into a cup, it becomes the cup.
You put water into a bottle, it becomes the bottle.
You put it in a teapot, it becomes the teapot. Now,
water can flow or it can crash. Be water my
friend.)[39] »
Mais aussi[37] :

« Toute forme de connaissance devient finalement


connaissance de soi. »
« N'utilisez que ce qui fonctionne, et puisez-le partout où vous le
trouvez[40]. »
« Ne pas nier l'approche classique, simplement par réaction,
sinon pour dupliquer le motif, et y rester pris[41]. »
« S'emporter trop facilement vous jouera des tours un jour ou
l'autre. »
« Soyez fidèle à vous-même, exprimez-vous, ayez confiance en
vous-même, ne cherchez pas chez autrui un modèle de succès
à imiter. »
« Non pas l'accumulation au quotidien mais la perte au
quotidien. Supprimez le superficiel. »
« Si vous parlez de sport, c'est une chose. Mais quand vous
parlez de combat, et c'est le cas, alors vous feriez mieux
d'entraîner chaque partie de votre corps » - Bruce Lee[B 1]

Entre le 27 mai et le 10 juillet 1965, Bruce Lee réalisa quatorze


séances de musculation au gymnase Hak Keung lors de vacances
à Hong Kong. Les fiches d'entraînement détaillant les exercices
réalisés et les mensurations prises, avant et après la période
d'entraînement, ont été publiées par Linda Lee en 1989[A 1] et
commentées par John Little dans The Art of Expressing the
Human Body[B 2].
Héritage et influence
Bruce Lee a marqué toute une génération de créateurs et
d'artistes.

Cinéma

Statue en bronze de Bruce Lee sur l'Avenue


des Stars de Hong-Kong.

Dans Le Tigre rouge (1985) de Corey Yuen, le personnage de


Jason (Kurt McKinney), un jeune élève de karaté et grand
admirateur de Bruce Lee, est amené à affronter Ivan
Kraschinsky (Jean-Claude Van Damme). Une nuit, le fantôme de
Bruce Lee (Kim Tai-chung) rend visite à Jason et commence à
l'entraîner au jeet kune do. À force de courage et de volonté, de
pratiquant moyen, Jason devient rapidement un combattant
hors pair.
Dans Last Action Hero (1993) de John McTiernan, le
personnage de Benedict (Charles Dance) dit à Jack Slater
(Arnold Schwarzenegger) « Vous ne cassez pas des briques »,
ce à quoi Slater lui répond : « Non, je laisse ça à Bruce Lee ».
Dans La Tour Montparnasse infernale (2001) de Charles Nemes,
une scène pastiche revisite la rencontre entre Kareem Abdul-
Jabbar (Ramzy) et Bruce Lee (Bô Gaultier de Kermoal) du film
Le Jeu de la mort.
Dans Shaolin Soccer (2001) de Stephen Chow, un des acteurs
est le sosie de Bruce Lee, possède la même gestuelle que lui et
porte sa combinaison jaune et noire du Jeu de la mort.
Dans Kill Bill : Volume 1 (2003) de Quentin Tarantino, Beatrix
Kiddo (Uma Thurman) porte une combinaison jaune qui
rappelle celle de Bruce Lee dans Le Jeu de la mort.
Dans Ip Man 2 (2010) (interprété par Jiang Daiyan), Ip Man 3
(2015)[42] et Ip Man 4 (2019) (interprétés par Danny Chan),
réalisés par Wilson Yip.
Dans Once Upon a Time… in Hollywood (2019) de Quentin
Tarantino, Bruce Lee (Mike Moh) apparaît dans une scène et
affronte Cliff Booth (Brad Pitt) lors d'un combat amical.

Bande dessinée et manga

Poster de fan figurant Bruce


Lee dans une pose
caractéristique de ses rôles
au cinéma.

États-Unis

Une biographie dessinée de Bruce Lee apparaît dans le no 28 du


magazine The Deadly Hands of Kung Fu (en) (septembre 1976),
publié par Marvel Comics, scénarisé par Martin Sands et
dessiné par Joe Staton et Tony DeZuniga.
Par ailleurs, deux personnages de Marvel Comics s'inspirent de
Bruce Lee :
le super-héros Iron Fist ;
le super-héros Shang-Chi, surnommé « The master of Kung
Fu », en parallèle avec Iron Fist.

Le personnage de Gin Seng, héros de la série Phantom Force


(1993)[43], l'un des derniers comics produits par Jack Kirby, est
inspiré de Bruce Lee. Les pages dans lesquelles il apparaît sont
directement recyclées d'un projet de comic book consacré à
Bruce Lee datant des années 1970, mais qui n'a jamais vu le
jour[44].
En 1995, Malibu Comics publie une série de six comics sous le
titre Bruce Lee, une histoire fictive dont le personnage principal
n'a que peu de points communs avec Bruce Lee en dehors de la
pratique des arts martiaux. Les auteurs de cette BD, Mike Baron
(scénariste) et Val Mayerik (en) (dessinateur) avaient
préalablement travaillé sur deux séries de BD consacrées à
Kato, le personnage qu'interprétait Bruce Lee dans Le Frelon
vert[a].
Japon

Hokuto No Ken (en France : Ken le Survivant) : le personnage


principal de la série est très librement inspiré de Bruce Lee, que
ce soit dans son apparence (coupe de cheveux, sourcils noirs,
muscles saillants...) ou dans sa voix dans l'animé (notamment
ses cris) qui rappellent ceux de Bruce Lee [réf. souhaitée]
Détective Conan : le personnage de Masumi Sera est adepte du
style de combat de Bruce Lee, qui est le jeet kune do.
Naruto : le personnage de Rock Lee est un clin d'œil à Bruce Lee
et son maître Gaï Maito en est très inspiré.
Shaman King : le personnage de Lee Pyron est aussi très inspiré
de Bruce Lee.
Great Teacher Onizuka : le personnage d'Onizuka porte à un
moment un costume identique à celui de Bruce Lee dans le film
Le Jeu de la Mort.
Cowboy Bebop : lors de l'épisode 8, « Waltz For Venus », le jeune
Rocco Bonnaro est impressionné par le style de combat du
héros Spike Spiegel, qui n'est autre que le jeet kune do de Bruce
Lee. Dans l'épisode 2 (« Stray dog strut »), Spike est dans un
magasin et impressionne le vendeur avec sa connaissance des
arts martiaux, notamment en reconnaissant un nunchaku
modèle « Way of the Dragon », nom anglais de La Fureur du
dragon.
Eyeshield 21 : le personnage Seijuro Shin est un quasi « copié-
collé » de Bruce Lee.
France
Dans l'album « Menaces sur l'Empire » de la série Les Aventures
de Philip et Francis, Philip Mortimer revêt une tenue jaune qui
ressemble fortement à celle de Bruce Lee dans Le Jeu de la
mort.

Jeux de société

Bruce Lee est un personnage jouable dans le jeu d'affrontements


de figurines Unmatched.

Jeux vidéo

Plusieurs jeux vidéo s'inspirent directement du personnage de


Bruce Lee :

1984 : Bruce Lee (Atari XL, existe également sur MSX, ZX


Spectrum, Amstrad CPC, BBC Micro, C64 et MS-DOS).
1993 : Dragon: The Bruce Lee Story (Super Nintendo, Mega Drive,
Atari Jaguar). Ce jeu est directement tiré du film Dragon,
l'histoire de Bruce Lee.
2002 : Bruce Lee: Quest of the Dragon (Xbox).
2003 : Bruce Lee: Return of the Legend (Game Boy Advance).
2010 : Bruce Lee Dragon Warrior (jeu sur téléphone mobile[45]).

On trouve également des clins d'œil dans :

Pokémon : le pokémon Kicklee est très librement inspiré de


Bruce Lee.
Grand Theft Auto: Liberty City Stories : le personnage peut
débloquer la combinaison jaune que porte Bruce Lee dans Le
Jeu de la mort.
Sleeping Dogs: le personnage peut débloquer la combinaison
jaune que porte Bruce Lee dans Le Jeu de la mort.
Urban Rivals : le clan Fang Pi Clang veut donner le pouvoir à un
clone de Bruce Lee élevé en secret.
EA Sports UFC : le joueur peut débloquer Bruce Lee en contenu
téléchargeable en précommandant le jeu avant sa sortie sur
PlayStation 4 et Xbox One.

Dans diverses sagas de jeux de combat, certains personnages


sont inspirés de l'acteur :

Soulcalibur : le personnage de Maxi


Dead or Alive : le personnage de Jann Lee (il y est d'ailleurs dit
qu'il pratique le Jeet-Kune-Do)
Tekken : Marshall et Forest Law
Street Fighter : Fei Long, lui aussi star de cinéma
World Heroes, Kim Dragon, lui aussi star de cinéma (chinoise
dans le premier opus, mais coréenne dans les suivants, ADK
ayant eu peur de poursuite de la part de la famille Lee)
Mortal Kombat : Liu Kang
League of Legends : le champion Lee Sin
Virtua Fighter : le personnage de Jacky Bryant pratique le Jeet
kune do, art martial créé par Bruce Lee.

Musique

Dans la chanson Kick It du groupe coréen NCT 127 , plusieurs


(en)

références sont faites à Bruce Lee et à son sport.

Voix françaises
À l'exception d'Opération Dragon, il existe deux doublages sur les
films de Bruce Lee :

Bernard Murat dans :


Le Frelon vert (série télévisée - 1re voix)
La Valse des truands
La Fureur du dragon (1er doublage)
Opération Dragon
Le Jeu de la mort (1er doublage)
Pierre Tessier[46] dans :
The Big Boss (2e doublage)
La Fureur de vaincre (2e doublage)
La Fureur du dragon (2e doublage)
Le Jeu de la mort (2e doublage)
Philippe Ogouz[46] (*1939 - 2019) dans :
The Big Boss (1er doublage)
La Fureur de vaincre (1er doublage)
Et aussi :

Frédéric Pieretti dans Le Frelon vert (série télévisée - 2e voix)


Jacques Bernard dans Le Jeu de la mort 2 (images d'archives)

Notes et références

Notes

a. Voir l'article Liste des différents médias consacrés à Bruce


Lee .
(en)

Source principale

(en) Linda Lee, Jack Vaughn et Mike Lee, The Bruce Lee Story,
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(en) Bruce Lee, John Little, The Art of Expressing the Human Body,
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1. « If you are talking about sport, that is one thing. But when you
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2. page 41 et 42 (https://books.google.fr/books?id=UwlpC-S3j-gC
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Autres sources utilisées

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7. Wing Chun Warrior: The True Tales of Wing Chun Kung Fu
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Inc., 2008 - 331 pages. Note : Norman Borine que l'accident se
produit chez Bruce Lee, dans sa salle d'entraînement, alors
qu'il montre à un élève comment réaliser correctement un
« good-morning ». Bruce charge la barre à 125 livres - environ
son propre poids - et, pressé par le temps, débute l'exercice
sans échauffement préalable. Sur le coup il ne ressent qu'une
simple gêne, mais la douleur augmente rapidement et deux
jours plus tard il doit se résigner à consulter un médecin.
15. Bruce Lee, John Little. The Art of Expressing the Human Body.
p. 53 (https://books.google.gp/books?id=UysOWSloKBgC&pg=
PA53&dq=bruce+lee+back+nerve&hl=fr&ei=JdRHTo-MO4fOsgb
Z_unFBw&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=2&ved=0C
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f=false) [archive]. Tuttle Publishing, 1998 - 256 pages. Note :
John Little rapporte que la barre faisait 135 livres et que Bruce
débuta sans échauffement son entraînement habituel,
consistant notamment en deux séries de huit répétitions de
« good-morning ». À la dernière répétition de la première série,
il ressentit un élancement douloureux dans le bas de son dos,
et un « pop » [Quoi ?].
16. The Bruce Lee Story. Par Linda Lee, Jack Vaughn, Mike Lee. p
89 (https://books.google.gp/books?id=2NAuMRjSUSIC&pg=PA
88&dq=bruce+lee+back+nerve&hl=fr&ei=JdRHTo-MO4fOsgbZ_
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25. À propos de la controverse entourant la mort de Bruce Lee, le
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part-2.htm) [archive]
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Last Hours of..., série télévisée, narration Eric Meyers,
producteur exécutif Taylor et Michael Kelpie. Diffusé sur la
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29. https://www.youtube.com/watch?v=8-b-CPn1Ex4 [archive]
30. Aurore Maubian, « Bruce Lee est mort d'avoir bu trop d'eau,
selon des médecins », Slate,‎22 novembre 2022 (lire en ligne
(https://www.slate.fr/story/236603/bruce-lee-mort-bu-trop-eau
-consommation-liquide-arts-martiaux-acteur#xtor=RSS-
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36. (en) John Little, The Warrior Within - The philosophies of Bruce
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(ISBN 0-8092-3194-8)
37. Bruce Lee, Tao du jeet kune do, éditions BudoScope, 1997.
38. (en) Nicholas Raymond, « Bruce Lee's "Be Like Water" Quote
Explained » (https://screenrant.com/bruce-lee-be-like-water-qu
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39. (en) « La citation en version originale » (https://www.optimize.m
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mars 2005.
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dragon-warrior.htm [archive]
46. « Comédiens ayant doublé Bruce Lee en France » (http://ww
w.rsdoublage.com/acteur-3858-Lee-Bruce.html) [archive], sur
RS Doublage.

Annexes

Livres écrits à partir des recherches de Bruce Lee

Chinese Gung-Fu : The Philosophical Art of Self Defense (Le


Kung-Fu chinois : une philosophie de la self défense). L'unique
ouvrage édité du vivant de l'auteur : Bruce Lee.
Pensées percutantes ou la Sagesse du combattant philosophe,
Budo Éditions.
Hommage au dragon éternel, Budo Éditions.
Bruce Lee's Fighting Method 1-4, écrit par Bruce Lee.
The Tao of Jeet Kune Do, écrit par Bruce Lee. (édition Budo
L'éveil)
The Art of Expressing the Human Body, à partir de notes de
Bruce Lee compilées par John Little. Éditeur : Tuttle Publishing,
1998, (ISBN 0804831297 et 9780804831291), 256 pages.
Aperçu (https://books.google.gp/books?id=UysOWSloKBgC&pri
ntsec=frontcover&source=gbs_navlinks_s#v=onepage&q=&f=f
alse) [archive] sur books.google.gp.

Films sur Bruce Lee

1976 : Bruce Lee & I, de John Law Ma avec Betty Ting Pei et Li
Hsiu-hsien dans le rôle de Lee
1993 : Dragon, l'histoire de Bruce Lee de Rob Cohen avec Jason
Scott Lee dans le rôle de Bruce Lee.
2008 : La Légende de Bruce Lee (série tv) de Li Wenqi avec
Danny Chan Kwok Kwan dans le rôle de Bruce Lee.
2010 : Bruce Lee, naissance d'une légende de Raymond Yip et
Manfred Wong avec Aarif Rahman dans le rôle de Bruce Lee.
2016 : Birth of the Dragon de George Nolfi avec Philip Ng dans
le rôle de Bruce Lee.

Documentaires sur Bruce Lee

1973 : Bruce Lee : The Man and The Legend (Bruce Lee :
L'homme et sa Légende)
1973 : The Real Bruce Lee / Bruce Lee : The Little Dragon
1977 : Bruce Lee : The Legend (Bruce Lee Story / La Légende de
Bruce Lee)
1993 : Bruce Lee : Martial Arts Master
1993 : The Curse of The Dragon (La Malédiction du Dragon)
1993 : Death by Misadventure : The Mysterious Life of Bruce Lee
(Bruce Lee : Mort par Accident)
1995 : Bruce Lee's Jeet Kune Do
1996 : Bruce Lee : The Immortal Dragon (Bruce Lee : Le Dragon
immortel)
1998 : Bruce Lee : The Intercepting Fist (Bruce Lee : La Fureur des
poings)
1998 : Bruce Lee : The Path of The Dragon (Bruce Lee : La
Destinée du dragon)
1999 : The Lees : Action Speaks Louder (The Lees : Place à
L'action)
2000 : The Unbeatable Bruce Lee / Bruce Lee : Immortal Dragon
2000 : Bruce Lee : A Warrior's Journey (Bruce Lee : Itinéraire d'un
combattant / Bruce Lee : Le périple d'un guerrier / Bruce Lee :
L'épopée du dragon, version en français parue en 2011)
2009 : How Bruce Lee Changed The World (Bruce Lee : La
Légende)
2010 : Bruce Lee : In Pursuit of The Dragon (Bruce Lee : À la
poursuite du dragon)
2012 : I Am Bruce Lee
2020 : "Be Water!" - L'histoire de Bruce Lee

Livres sur Bruce Lee et le jeet kune do


Bruce Lee : The Man Only I Knew (La vie et la mort tragique de
Bruce Lee / Bruce Lee, mon mari) - écrit par Linda Lee.
Bruce Lee, My Brother - écrit par Robert Lee.
Absorb What Is Useful - Écrit par Dan Inosanto, sur la pratique du
jeet kune do.
Bruce Lee Between Wing Chun and JKD - Écrit par Jesse Glover.
Bruce Lee: Dynamic Becoming - Un livre sur la philosophie de
Bruce Lee.
Bruce Lee: Fighting Spirit - Une biographie de Bruce Thomas.
Striking Thoughts - Pensées et citations de Bruce Lee écrit par
John Little.
The Tao of Bruce Lee - Écrit par Davis Miller, sur la vie de Bruce
Lee.
Bruce Lee: The Art of Expressing the Human Body - Livre orienté
sur la préparation physique et l'entraînement de Bruce Lee.
Jeet kune do "Toutes les Techniques de Bruce Lee" - Livre écrit
par Salem Assli et publié aux Éditions Chiron.
Opération Dragon - Un essai sur Bruce Lee comme acteur écrit
par Bernard Benoliel et publié en 2010 aux Éditions Yellow Now.
»Bruce Lee inédit « Éditions Rene Château
»Bruce Lee la vie et la mort tragique de Bruce Lee par sa femme
LINDA « Éditions Rene Château
»Bruce Lee la légende du petit dragon « Éditions Rene Château
»Le livre d or de Bruce Lee »Hors série Karaté

Liens externes

(en) Site web de la Fondation Bruce Lee (http://www.bruceleefoun


dation.com/) [archive]
Eric Monsinjon, « Bruce Lee et la synthèse des arts » (https://blo
gs.mediapart.fr/eric-monsinjon/blog/200221/bruce-lee-et-la-sy
nthese-des-arts) [archive], Club Mediapart, 2021. L'article
aborde l'inventeur du jeet kune do.
Eric Monsinjon, « La diffraction du corps de Bruce Lee » (https://
blogs.mediapart.fr/eric-monsinjon/blog/301021/la-diffraction-d
u-corps-de-bruce-lee) [archive], Club Mediapart, 2021. L'article
étudie la scène finale d'Opération Dragon selon le concept de
corps-cristal.
Bases de données et notices

(en) Site officiel (http://www.brucelee.com/) [archive]


Ressources relatives à l'audiovisuel : Allociné (https://www.all
ocine.fr/personne/fichepersonne_gen_cpersonne=1986.html) ·
(en) AllMovie (https://www.allmovie.com/artist/p41139) ·
(en) American Film Institute (http://catalog.afi.com/Catalog/Pers
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www.rottentomatoes.com/celebrity/bruce_lee)
Ressources relatives à plusieurs domaines : Radio France (htt
ps://www.radiofrance.fr/personnes/bruce-lee) · (en) Metacritic (h
ttps://www.metacritic.com/person/bruce-lee)
Ressources relatives à la musique : Last.fm (https://www.las
t.fm/music/Bruce%2BLee) · (en) MusicBrainz (https://musicbrain
z.org/artist/6413abb6-755c-4fa8-8401-43ee23e60d70)
Ressource relative à la bande dessinée : (en) Comic Vine (http
s://comicvine.gamespot.com/wd/4005-35606/)
Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
American National Biography (https://doi.org/10.1093/anb/97
80198606697.article.1801347) [archive] · Britannica (https://w
ww.britannica.com/biography/Bruce-Lee) [archive] · Brockhaus
(https://brockhaus.de/ecs/enzy/article/lee-bruce) [archive] ·
Deutsche Biographie (http://www.deutsche-biographie.de/11857
0803.html) [archive] · Nationalencyklopedin (https://www.ne.s
e/uppslagsverk/encyklopedi/l%C3%A5ng/bruce-lee) [archive] ·
Proleksis enciklopedija
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