Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Mardi 3 octobre
1. impressions/intuitions/réception :
(métonymie : utiliser un sous mot pour parler de l’ensemble, ici hymen= mariage)
ton très dramatique même tragique : aucun espoir, aucune sortie possible : fatalité de
sa condition, de son amour = grande détresse de Phèdre, instinctivement sonne à
l’oreille comme une plainte, un long et tragique cri vers les dieux, vers l’amour : FOLIE/
PASSION AMOUREUSE
3. Racine : 17ème, connu pour ses tragédies, de type classique avec références
mythologiques, fin de sa vie : pièces chrétiennes.
Grandit avec éducation religieuse, famille modeste, découvre la littérature à travers le
grec et latin. Succès quasi immédiat : // Corneille et Molière, ses contemporains de
l’époque. 1677 : fin du 17ème , Louis XIV, guerres de religion, succès de Molière, en plein
mouvement classique : vient casser le baroque précédent , genre : dramatique / sous
genre : la tragédie classique.
4. une certaine structure : dix premiers vers : narration du coup de foudre , ensuite :
comment a fait Phèdre pour éviter le sort : prières à Vénus, raison etc…
Ensuite : impossibilité d’oublier éviter sa passion : incurable amour : expression
courante de la tragédie. Métonymie +++ dans l’aveu : mon â me ma bouche mon bonheur
mon repos …
Liste des « symptô mes de l’amour » + pour désigner Hippolyte « ennemi » mais aussi
« dieu »
Impossibilité d’oublier : le retrouve dans le physique de son mari : père d’ Hippolyte.
Mais ensuite Liste de « solutions à l’amour » de « remèdes » : rien n’y fait … RETOUR
d’HIPPOLYTE :
« fatal » devant hymen « vaines » devant précautions « cruelles » devant destinée , fin de
la tirade : ennemi avec E majuscule pour désigner Hippolyte
Phèdre : « proie » de Vénus, fait d’elle une victime.
Phèdre : victime de l’amour mais surtout de la fatalité : // EURIPIDE