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SBC2
SBC2
- Déclenchement de procédures
- Hypothèse – action …
2
BC ou BR M.I. Un Sys à
règles de
production
B. de FAITS
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1. Recherche des règles applicables
partie condition est vérifiée à partir de la BF
2. Sélection d’une règle parmi les candidates
résolution de conflits
3. Application de la règle sélectionnée
les éléments de la conclusion vont enrichir la BF
Le cycle va reprendre jusqu’aucune règle n’est plus
applicable saturation de la BF (Échec)
Ou on a réussi à prouver le but (Succès)
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Raisonnement guidé par un but
Utilise les règles dans le sens Conclusion Condition
(D G)
Le MI fonctionne à partir d’un but initial à prouver
(rangé dans une pile)
Utilise un cycle de 3 phases :
1. Détection des règles qui concluent sur le but courant
( sommet de pile)
2. Sélection d’une règle
3. Application de cette règle
la partie condition de la règle devient un nouveau
but à atteindre
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Si cette condition est déjà dans la BF le travail est
fait
Sinon, elle est empilée dans la pile des buts
Le cycle reprend (en traitant le sommet courant de
la pile)
Jusqu’à ce que :
La pile soit vide le but est atteint (Succès)
Aucune règle n’est plus envisageable (Échec)
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L’homme met en jeu une démarche dirigée par les
données (tirer des conclusions à partir d’infos)
Et d’une démarche dirigée par les buts (tenter de prouver
une idée)
ceci se traduit par un chaînage mixte (combine les 2)
Remarques :
1. Lors de la recherche des R à appliquer dans un chaînage
avant le MI utilise le filtrage dans le cas où les règles
contiennent des variables MI d’ordre 1 (comme la
logique)
2. Lorqu’à une variable on ne peut substituer qu’une
constante (non une autre variable) MI d’ordre O+
3. Si la R admise ne renferme pas de variables on parle de
MI d’ordre O (une R sera tuée dès qu’elle est appliquée)
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Exp de règles de production
« Rappeler soi-même au téléphone tout demandeur important
dans les 24 heures »
SI appel téléphonique de X et X important
ALORS dégager une période dans les prochaines 24 heures
ET inscrire « téléphoner à X »
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La résolution de Pb se fait par inférences déductives
(c’est une déduction par Modus Ponens)
Exp : BF
F1 : père (Jacques, Charles)
F2 : frère (Charles, François)
F3 : frère(Jacques, Pierre)
BC
R1 : père (x, y) frère (y, z) père (x, z)
R2 : père (x, y) frère (x, z) oncle (z, y)
BUT
oncle (x, François) « trouver l’oncle de François »
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1. Inférence en chaînage avant
R1 : (F1, F2) père (Jacques, François) = F4
R2 : (F1, F3) oncle (Pierre, Charles) = F5
R2 : (F4, F3) oncle (Pierre, François) But
efficacité limiter les inférences inutiles (exp : F5)
il faut aussi que l’inférence ne boucle pas
R3 : frère (x, y) frère (y, x)
frère (François, Charles) frère (Charles , François)
(donc il faut détecter les cycles)
2. Inférence en chaînage arrière
R2 : But SB1 = père (y, François)
SB2 = frère (y, x)
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R1: SB1 SB2 = frère(y, x)
SB3 = frère (w, François)
SB4 = père (y, w)
SB3 w = Charles
SB4 y = Jacques
w = Charles
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2 possibilités :
(y = Charles, x = François) (w = Charles) y = Jacques,
w = Charles)
(y= Jaqcues, x= Pierre) (w = Charles) (y = Jacques,
w = Charles)
x = Pierre résultat
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Il existe des systèmes qui admettent la présence de variables dans
les règles
À la place d’écrire :
Si sensibilité = 100 Si sensibilité = 200
et éclairage = soleil et éclairage = soleil
alors vitesse = 127 alors vitesse = 270
Condenser ces règles :
Si sensibilité = SENS
et éclairage = ECLAI
et calcul (SENS, ECLAI)=VITESSE
alors vitesse = VITESSE
avec un tableau :
calcul ( 100, soleil) = 127
calcul ( 200, soleil) = 270
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Élargir le formalisme des R de Pb pour prendre en compte
l’incertitude de certains faits
Technique des coefficients de vraisemblance (E. H.
SHORTLIFFEa ) dans MYCIM
Un fait a un coefficient de vraisemblance (c.v.) noté « cf » :
- 1 : fait faux
+1 : fait vrai
[-0,2 , +0,2] : fait indéterminé (ni Faux ni Vrai)
Exp : Fièvre (Patient) = oui (cf = 0,7)
« il est pratiquement certain que le patient a de la
fièvre »
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L’incertitude peut affecter la relation entre prémisses et
conclusion
« si le patient a de la fièvre, il est à peu près certain qu’il
a la méningite »
Si fièvre (P) = oui
Alors maladie (P) = méningite (cf 0,6)
Règle de calcul ? (pour propager l’incertitude dans
l’inférence)
Exp : de MYCIN (3 règles) :
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R1 : Si plusieurs règles concluent sur un même fait avec des coef
différents
Exp : Si P1 alors F 0,6
Si P2 alors F 0,5
FONCTION DE COMBINAISON (calcule le coef résultant) :
Coef 1 – 0,6 = 0,4
de 1 – 0, 2 = 0,8
certirude 0,4 * 0,5 = 0,2
0 0,5
1
Coef résultant = 0,8
1ère règle 0,6
(2ème règle) 0,5
0 0,5
1
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R2 : * Si P1 (cf 1) P2 (cf 2) Alors …
Prendre le max des 2 coef
* * Si P1 (cf 1) P2 (cf 2) Alors …
Prendre le min des 2 coef
R3 : Si la conclusion comporte un coef et que les Faits
qui satisfont les premisses ont aussi des coef
Exp : Si fièvre(P) = oui
ou maux-de-tête (P) = oui
Alors maladie(P) = méningite (cf 0,8)
et dans la BF nous avons :
fièvre (P) = oui (cf = 0,6)
maux-de-tête (P) = oui (cf 0,4)
0,6 * 0,8 = 0,48 Nous prenons
0,4 * 0,8 = 0,32 le Max
résultat : maladie (P) = méningite (cf 0,48)
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La nécessité d’organiser de façon structurée des Cs.
disponibles
Dans la littérature sont apparus des formalismes de
SCHEMAS ou PROTOTYPES :
FRAMES (pour la vision)
SCENARIOS (pour le traitement du langage) (scripts)
Récemment, ces formalismes ont été intégrés dans les L.
O. O
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DEF : Un FRAME regroupe de façon structurée
l’ensemble des Cs. :
- d’un objet physique
- d’un concept
- d’une situation typique
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EXP : Le concept boisson gazeuse
... : …
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Au cours du raisonnement vont apparaître des instances
de ce concept
EXP : Instance
appellation : coca
couleur : noir
rangement : 25
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Scénario :
25
Exp : Frame ou objet (information déductive)
OBJET : VEHICULE
O : Produit
industriel Type : classe
Milieu : Terre / Air / Eau Procédure
Masse : un nb un objet (information
Vitesse : un nb procédurale)
Puissance : un nb METH-Calc-Puiss
O : Automobile
Type : Sous classe Age : un nb
Milieu : Terre
Marque : Renault / Fiat / … O : Camion
Hérite de véhicule
Couleur : une couleur Type :
Un ou de produit Ind.
Propriétaire : Perso.
objet
Héritage multiple
O : R25
Type : sous-classe
Marque : Renault O : MA R25
Type : Instance O : OM
Puissance : 9 cv Type :
Couleur : Gris
Propriétaire : Ali
Age : 7 ans
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Nous allons faire le Frame Table qui décrit une catégorie qui est sous-
ensemble de meuble et faire le Frame « Table-de-Charles » qui est une
instance de la catégorie « Table »
Frame Table
Sorte-de : Meuble
Nombre-de-pieds : doit être entier
par défaut 4
Forme : doit être carré, rectangulaire, ovale
Nbre-de- rallonges : doit être 0, 1 ou 2
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• La représentation des connaissance ou objets
structurés est issue de travaux différents où il y a eu des
applications variées :
Schémas, frames, scripts, prototypes, objets, …
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Idée : L’homme devant une situation nouvelle :
Il choisit dans son esprit une structure substantielle
appelée FRAME.
C’est un cadre de travail qui doit être adapté pour coller à la
réalité (en modifiant les détails nécessaires).
● ● ●)
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Exemple ((ATOME
: Sorte-de
(valeur OBJET))
(valence
(Un entier)
(Intervalle [1 7]))
(liaison
(liste-de
Liaison))
(Charges
(un entier)
(défault 0)
(
(atomesliés
(liste-de ATOME)
(si-ajout - saturation)
(si-enlève - saturation))
(saturation
(un entier)
(si-besoin calcul-satura)) ) 31
Remarque :
Les facettes dépendent du langage (Déclaratives, Procédurales
Facettes déclaratives
Utilisées pour caractériser un attribut dans son env. sémantique
statique
1. Facettes de typage
caractérisation des valeurs admissibles par un l’attribut
• Un autorise une valeur élémentaire
• Liste-de autorise plusieurs valeurs en même temps
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1. Réflexes a posteriori :
ensemble de procédures postérieures à un accès à
l’attribut
• Si-ajout introduit une procédure activée après
une modification de la valeur de l’attribut
exp : -saturation
• Si-enlève introduit une procédure activée après
une suppression de valeur de l’attribut
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3 types :
1. LIRE : (Lire Frame Attribut)
lecture de la valeur d’un attribut
• La lecture repose sur l’utilisation de la hiérarchie et les
facettes (valeur, défaut et si-besoin)
• La façon de consulter ces facettes permet des stratégies de
parcours différentes
a. Lecture en I : chercher une valeur en remontant dans la
hiérarchie
(et ce pour l’une des 3 facettes [- en général la facette
valeur-]
b. Lecture en N : réaliser une lecture en I sur chacune des 3
facettes suivant l’ordre : Valeur, si-besoin, Défaut
c. Lecture en Z : consulter dans l’ordre les facettes valeur,
Si-besoin, Défaut avant de remonter la hiérarchie et
recommencer
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2. ECRIRE, AJOUTER
affecter une valeur à un attribut
(ECRIRE Frame Attribut Valeur)
attribution d’une valeur à un attribut par substitution de
l’ancienne
(AJOUTER Frame Attribut Valeur)
attribution d’une valeur à un attribut dont la valeur est de
type Liste
Ces deux opérations se déroulent en 3 temps :
A. Vérification a priori :
a. nouvelle valeur différente de l’ancienne
b. Si oui elle doit satisfaire :
o Les contraintes de type (facette Domaine) de tous
les frames de la hiérarchie (général ou particulier)
o Les réflexes si possible sont activés (s’ils existent)
B. Ecriture
• la valeur est mise en place dans la facette valeur de
l’attribut si elle existe
• sinon la facette est crée avec la valeur
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C. Réflexes a posteriori :
les réflexes Si-ajout sont déclenchés dans le même ordre
que les vérifications a priori (la valeur écrite ne doit pas être
mise en cause)
3. DETRUIRE, ENLEVER
supprimer une valeur de l’attribut
(DETRUIRE Frame Attribut)
supprimer la valeur de l’attribut
(ENLEVER Frame Attribut Valeur)
supprimer la valeur indiquée de la liste des valeurs de
l’attribut
o Si la valeur n’existe pas au niveau de l’attribut la
procédure rend la main
o Sinon la facette est détruite (dans le cas de la procédure
DETRUIRE) ou la valeur est enlevée (pour la procédure
ENLEVER)
o Les réflexes Si-enlève sont ensuite déclenchés dans l’ordre
ascendant de la hiérarchie
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Dans le formalisme orienté objet (O.O) l’univers d’une
application se compose
o De classes génériques
o D’instances d’objets Muni du mécanisme d’héritage
Chaque objet est un frame
Les objets sont indépendants et communiquent par un mécanisme
de transmission de message
EXP : objet structuré pour VEHICULE
Rqs :
o une classe objet générique (sous-classe, s-s-classe, …)
o un modèle particulier de la classe instance
oLa transmission de message les objets sont réactifs
oLes classes ont un ordre qui définit une hiérarchie
(raisonnement) 38
Mécanisme d’héritage (transmission de Connaissances d’un
concept vers ses fils)
Raisonnement local (paquets de règles, procédures, …)
Raisonnement global :
1. Classification d’un nouvel objet
2. Comparer une instance à une classe (pour interpréter cette
instance)
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Dans les systèmes experts
En vision (les objets sont des objets physiques présents dans une
image)
En traitement de la parole …
40
41
C’est l’introduction directe de procédures algorithmiques dans les
système d’IA
Une BC peut donc contenir des représentations procédurales
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Appel direct: une R. de P. peut déclencher directement une
procédure (figurant en conclusion)
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« tous les militaires Américains sont astucieux »
1. En logique du 1er ordre
x (Militaire (x) et Américain (x)) Astucieux (x)
2. Procédural
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(1) Accord (géromé, pinot-noir) ^
(2) Accord (X, Y) fromage-chèvre (X) même-région (X, Y)
(3) Accord (X, Y) pâte-molle(X) robe (Y, rouge) corps (Y, étoffé)
(4) Fromage-chèvre (Charolles)
(5) Pâte molle (camembert)
(6) Robe (morgon, rouge)
(7) Robe (fleurie, rouge)
(8) Corps (morgon, étoffé)
Il répond L=morgon
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Le raisonnement
Soit le théorème :
X = x [I (x) s (x)] certains être intelligents ne savent
pas lire
Question :
X est-elle une conséquence logique de {F1, F2, F3}
{F1, F2, F3} x ?
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Réponse
1) Je pose FBF {X} = C
F1 =
x [s (x) L (x) ] s(x) L (x) (C1)
x
F2 =
x [D (x) L (x) ] D(x) L (y) (C2)
y
F3 =
x [D (x) I (x) ] D (A) (C3 a)
A = cte de SKOLEM I (A) (C3 b)
Z=A
x=A
S(A)
y=A
L(A)
y=A
D(A)
NIL
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Ex1 : possède
animal peau
s possède
Oiseau ailes
s
couleur
canari Jaune
Oiseau
s
e
KiKi Rouge-gorge
e
étudié naturalistes
Espèce par
en
danger
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Ex3 :
1) Jean
instrument marteau
agent
frapper objet
lieu Marie
parc s
Actions Nuit
violentes dernière
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2) Jean Mohamed
agent
agent
frapper
objet objet
Marie
Fatma
Jean Mohamed
agent agent
e e
frapper-1 frapper frapper-2
objet objet
Marie Fatma
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Ex : chaînage mixte
B. C. :
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Session d’interprétation (consultation)
État de la B. F. Raisonnement
Données initiales Guidé par les données
R1
ROND LOURD R1 Applicable
BF VERT COMESTIBLE
Chaînage Avant
ROND LOURD
BF VERT COMESTIBLE
R2 R2 Applicable
LEGUME
Guidé par le BUT
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Guidé par le BUT
Chaînage arrière
But : objet chou ?
R4
Nouveau But : possède-feuilles
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Certitude d’une conclusion d’une règle
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• Chaque R. de production est indépendante des autres
•Expression naturelle pour l’expert
•Une R. P. est facilement modifiable
•Lisibilité :
•Pour l’homme le savoir est modulaire
•Pour la machine :
relative facilité de vérifier la cohérence
Contradiction Redondance
ABC Traitement EFG
ABC syntaxique D E F G
•Auto-explication
•Efficacité : MYCIN , PROSPECTOR , XCON
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Difficulté de concevoir les systèmes :
Dégager les « bonnes règles » en évitant un niveau de détail très
fin
Difficulté d’exprimer et d’écrire une règle complexe :
• lourdeur dans l’expression des membres gauches
• répétition des prémisses pour des situations semblables
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• Combinaison procédural / déclaratif
•Liens avec les bases de données
• Évolution de la base de connaissance :
• propagation par héritage
•mécanismes d’inférence multiples :
•Héritage de valeur
•Héritage de valeurs par défaut
•Attachement procédural
• structuration de la connaissance
•Objet •Objet
instance ensemble des prototype ensembles des
valeurs des « attributs » propriétés structurelles et
déclarés procédurales qui diffèrent
de son prototype
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Objet
Attribut
Descripteurs :
Mode monovalué multivalué
Type la ou les valeurs possibles
Défault valeur par défaut
Inhéritance mode d’héritage
Askable True/False : possibilité d’obtenir Data
Question description de la question
WhenFilled ajout d’une valeur dans l’attribut
WhenRemoved suppression d’une valeur dans l’attribut
ToCompute calcul automatique de la valeur d’un
attribut
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Objet : Personne
Nom ( )
Mode Mono
Date-de-naissance ( )
Mode Mono
Type String
Liste-rouge ( )
Mode Mono
Type [oui, non]
Default non
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Objet : Comptechèque
Signataires : []
Mode Multi
Type Personne
Askable yes
Question « entrez la liste des titulaires du compte »
Solde ( )
Mode Mono
Type Number
WhenFilled{vérification solde}
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1. Les représentations logiques
+ Se fondent sur de solides bases théoriques
+ Adaptées au raisonnement exact avec données
complètes (démonstrations de théorèmes, résolutions
d’énigmes, …)
Rigueur du formalisme (V, F) ne permet pas :
1. De représenter des infos. nuancées
2. De prendre des décisions quand l’info. Manque
Ne fournit pas une organisation des C. (exploitation
difficile quand la B. C. est grande)
difficile de représenter des connaissances procédurales
ou heuristiques
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2. Les réseaux sémantiques
+ bien adaptés à la représentation d’un ensemble
hiérarchique de concepts
le mécanisme d’héritage un raisonnement rigide
(R. S. utilisés en complément d’autres modes)
il n’existe pas de terminologie standard (dans les types
de relations)
ne permet pas d’exprimer des C. procédurales
(résolu par les réseaux d’objets structurés)
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3. Les règles de productions
+ moyen simple et naturel de traduire la C. heuristique
(car elles sont indépendantes)
+ les coefficients permettent de prendre des C.
imprécises
+ c’est un système aisé à modifier et à compléter
nécessite un contrôle de la cohérence et de la B. R.
il faut affecter des priorités pour la résolution de
conflits (grande B. R.)
permet de représenter des connaissances « de surface »
et non « profonde »
on associe aux règles de P. d’autres modes de
représentation
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4. Les objets structurés
Largement utilisés car beaucoup d’avantages :
+ structuration d’un univers (le modélisé)
+ rassemblement de l’ensemble des C. relatives à un
concept
+ couplage des aspects déclaratifs et procéduraux
+ hiérarchisation des C. et des raisonnements
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5. Les représentations procédurales
+ quel que soit le mode de représentation il faut un
interpréteur (un noyau procédural –MI-)
+ Quelques C. s’expriment facilement de façon
procédurale (calcul)
+ mieux appropriées à la traduction des C. et du
raisonnement humain (calcul)
ne sont pas souples ni modulaires
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