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RESUMES DES ARTICLES

Table des matières


LECTURE 1..............................................................................................................................................2
Article 1 : didactique du texte littéraire..............................................................................................2
Premier niveau de lecture : l’approche globale..............................................................................2
Deuxième niveau de lecture : l’étude des invariants génériques et typologiques..........................2
Lecture approfondie : l’étude du traitement particulier des invariants et des spécificités de
l’écriture.........................................................................................................................................2
Article 2 : Retour au texte...................................................................................................................3
Faciliter l’accès au texte..................................................................................................................3
Que faire avec un texte littéraire ?..................................................................................................3
Article 3 : La littérature française : un précieux outil interculturel pour l’enseignement et
l’apprentissage du français.................................................................................................................3
Article 4 : Un atout pour la construction dune conscience linguistique de la langue cible chez les
apprenants de FLE : l’exemple des écrivains « venus d’ailleurs »........................................................4
LECTURE 1
Article 1 : didactique du texte littéraire (de Isabelle Gruca)
Le texte littéraire n’est pas comme les autres types de textes : il condense et simplifie des marques
langagières, discursives, textuelles,… Et son but principal n’est pas de transmettre l’information. Dans
une classe de langues, une approche plus méthodique est conseillée (en parlant des spécificités des
différents texte littéraires et en abordant différentes lectures de livre). Cela facilite la compréhension
du sens et le développement de l’analyse à l’apprenant.

Premier niveau de lecture : l’approche globale


Dans ce premier niveau, il est traditionnel de faire un questionnaire au apprenants avec les questions
qui parle ? à qui ? où ? Quand, comment ? pourquoi ? pour s’assurer qu’ils aient bien compris un
texte. Elle ne doivent pas obligatoirement être posées toutes à chaque fois, cela dépend du texte
littéraire choisit. Il est aussi judicieux d’analyser le texte d’un point de vue scriptural (l’iconique et le
typographique) surtout pour les textes poétiques. La phase de prélecture et Le paratexte sont
également intéressants puisqu’ils permettent de se faire des hypothèses sur le récit et d’avoir une
certaine attente, mais cela est critiqué, car l’attente que l’on se fait ne correspond surement pas au
récit. Le questionnaire quant à lui, ne suffit pas, il faudrait varier ce dispositif en utilisant aussi une
grille de lecture par exemple ou encore un questionnaire à choix multiple etc.

Deuxième niveau de lecture : l’étude des invariants génériques et typologiques


Dans la pédagogie en FLE, il n’y a pas grand choses qui permet d’apprendre les spécificités textuelles
d’un certain type de discours (argumentatif, descriptif, narratif). Il faudrait les mettre en avant dans
les questionnaires de lectures, activité qui leur permet de développer leur sens du FR. Beaucoup de
travaux typologique ont mis en avant les régularités linguistiques discursives et textuelles que l’on
rencontre dans les différents types de discours, parfois certaines caractéristiques sont identiques d’un
certain genre narratif à un autre. Ces régularités et caractéristiques peuvent être relevés par les
apprenants s’ils lisent plusieurs textes d’un même genre (ex : le conte). Il en va de la même
méthode pour un texte descriptif, mais pour les textes argumentatifs on se focalisera plus sur les
connecteurs logiques et la ponctuation. Ce type d’activités active les connaissances qu’un apprenant
possède surement déjà dans sa propre culture, et d’avoir des outils d’analyses qu’il peut utiliser d’un
texte à l’autre.

Travailler le conte et la nouvelle ont les avantages de souvent avoir les mêmes structures littéraires
et d’être courts

Lecture approfondie : l’étude du traitement particulier des invariants et des spécificités de


l’écriture
La littérature est un sujet complexe qui a engendré de nouvelles définitions et approches. C’est le cas
de l’intertextualité, qu’il faut d’abord repérer puis analyser pour comprendre mais sans aller trop
loin. Le motif/topos, les pratiques scripturales et les marques particulières sont importants pour une
bonne compréhension de la lecture, ils permettent de distinguer ce qui est régulier ou non (et de
voir s’il l’auteur a respecté les invariants ou non du type de texte), et donc de mieux comprendre le
texte. Un apprenant FLE ne peut pas comprendre un texte ou reconnaitre les variations linguistiques
d’un texte, s’il ne maitrise pas suffisamment la langue. Ainsi, l’analyse de textes leur permet de
comprendre le fonctionnement d’un texte, à mieux développer leur rédaction et à mieux aborder le
système linguistique.

Le but n’est pas de catégoriser au maximum les différents types de textes, mais plutôt de guider les
apprenants vers une meilleure compréhension du sens (découverte d’un nouvelle culture) et à leur
fournir des outils d’analyse qu’ils peuvent utiliser d’un texte à l’autre=> connivence entre le texte et
l’apprenant.

Le grand but est donc de faire des apprenants de vrais lecteur.

Article 2 : Retour au texte


2 questions à se poser en tant que prof de FLE : Pourquoi enseigner la littérature ? et Quelles sont les
caractéristiques propre au texte littéraire ?

L’auteur passe en revue les différents types de textes et en donne les caractéristiques

Faciliter l’accès au texte


On partait du texte le plus petit vers celui où l’on transcrit beaucoup.

1) la publicité, on en trouvait beaucoup dans les années 70

2) la poésie figurative (Apollinaire), le calligraphie est utilisée de manière à imager le poème.

3) le texte d’un manuel, pour lequel on expliquait le cotexte (souvent un titre, des paragraphes et des
images )

4) un article de journal ou de magazine, on mettait en avant le contenu des textes, le chapeau, et les
sous-titres

5) une page de pièce de théâtre, dans laquelle on trouvera une image de mise en scène avec le nom
des personnages et une explication de la scène. Les explications sont en italiques.

6) la poésie, la mis en forme du texte

7) la prose, pas facile, car pour les apprenants FLE on choisit un texte simple ce qui a affaiblit l’analyse
sémantique

Que faire avec un texte littéraire ?


Il y a une concentration linguistique dans le texte littéraire qui en fait quelque chose de complexe
et original

Pour un public FLE, il ne faut pas prendre un texte trop difficile au niveau du lexique ou de la
grammaire. Il ne faut pas choisir un texte facile à résumer comme un texte journaliste, car cela est
proche de la réalité des apprenants. Il faut éviter les textes qui enseignent la civilisation, car aucun
auteur n’écrit avec une réalité objective. Eviter les textes qui parlent de l’évolution de la littérature
(c’est ennuyant pour les apprenants). Ne pas prendre de texte qu’on présente comme un « bon
français » et que les apprenants doivent imiter (car cela réduit à dire que seuls certains écrivains
savent écrire et qu’il faut suivre leur modèle).

Le texte choisi doit servir à comprendre l’écriture et à éventuellement aider à l’expression écrite. Pour
cela il est judicieux d’aborder les types de discours non littéraires appris en classe et les discours
littéraires que l’apprenant connait dans sa langue maternelle.

L’objectif de l’enseignement de la littérature est de montrer que l’on va au-delà d’un locuteur natif
moyen lorsqu’on écrit (par ex. la fonction poétique), et de voir quels sont les acquis linguistique à
avoir pour analyser un texte littéraire. La métalinguistique est ainsi importante pour les apprenants,
car elle permet de comprendre l’explication grammaticale et à effectuer des exercices qui mènent
implicitement à la conclusion voulue par le professeur.
Article 3 : La littérature française : un précieux outil interculturel pour l’enseignement
et l’apprentissage du français
La classification qui définit le statut du français chez une personne se subdivise en 4 : FLMS1, FLMS2,
FLES1, et FLES2 +voir le fluo (c’est le cours 2-3)=> le professeur doit s’adapter à la pluralité de sa
classe

Article 4 : Un atout pour la construction dune conscience linguistique de la langue


cible chez les apprenants de FLE : l’exemple des écrivains « venus d’ailleurs »
Voir fluo (cours 3-4)

Les écrivais FLE nous intéressent par l’explicitation qu’ils ont avec le FR ?

Qu’est-ce que la conscience linguistique ? La motivation des différents auteurs FLE sur la manière
d’écrire, elle peut être motivante pour les apprenants FLE.

La conscience c’est lorsque un apprenant FLE ce qui se dit ou ne se dit pas, ce qui se fait ou non. Ce
que un locuteur natif ne sait pas voir.

Conscience de la langue, se dire que la langue est belle, claire,…

><Conscience de la parole, l’utilisation des propres mots que l’on va utiliser

Surconscience : Vouloir corriger à tout prix sa production écrite car on est pas à l’aise. Ils prennent le
langage au sérieux et son exploitation aussi, ils confrontent le FR à leur langue maternelle.=>
intéressant pour les classes de FR et pour la construction de la propre conscience linguistique

Article 5 : Textes littéraires et enseignement du français ( de Isabelle Gruca)


Il met en évidence l’intérêt dans les genres de littéraires, de sélectionner le conte (car il a des
invariants et une exploitation littéraire du FR). Il met aussi en évidence certains points de techniques
(de narratologie) qui permettent de comprendre l’objet littéraire. Pour cela il faut métalangage, on ne
peut pas parler de littérature si on ne maitrise pas un minimum le métalangage. Elle met en évidence
la pertinence de faire découvrir le schéma actanciel du conte.

La littérature permet aussi de donner des outils d’analyse littéraire dans le but de s’intéresser au texte
en lui-même. L’intérêt du conte est qu’il est riche avec beaucoup de références intertextuelle,
l’activité de lecture se fait donc dans toute son étendue. L’entrée en litté. Avec le conte propose une
analyse du texte, une approche critique, et réflexive. Et, toutes ces caractéristiques du conte, on peut
les retrouves dans d’autres types de textes.

Article 6 : Ecrivains plurilingues et étudiants de FLE : rencontres et résonnance


Activités entre des apprenants et des auteurs FLE. Pour voir le bénéfice de ces litté et écrivains FLE,
voir leur propre motivation sur la langue et le fait de revenir au FR. Cela permet de rassurer
l’apprenant sur l’écriture d’une œuvre et d’écrire sur sa biographie langagière.

Une activité intéressante est de traduire un texte en Fr ver leur langue maternelle, les apprenants ont
vu que ce n’était pas chose facile. Ils ont donc retransformés les phrases de manière à écrire à leur
manière.
LECTURE 2
Article 7 : Enjeux : l’évaluation de la lecture
Il existe plusieurs manières d’enseigner un texter aux apprenants FLE. On se concentre ici sur le texte
simplifié en le rendant plus court et plus facile. On se base sur la comparaison du livre originale et la
version simplifiée de Le Petit Chose d’Alphonse Daudet.

Description de la collection
Le premier critère est le vocabulaire, on voit que la version simplifié se trouve dans la collection rouge
de « Textes en français facile », cela indique qu’il faut au moins maitriser 1300 du Français
fondamental 1er degré pour le lire. Dans ce livre simplifié on retrouve aussi une rubrique intitulée
« qui cherche… trouve », dans laquelle se trouve une rubrique grammaticale sur l’utilisation de bien,
mais on fait l’impasse sur les qualités quantitatives et qualitatives de l’adverbe , et on prive lecteur
d’avoir une explication suffisamment claie sur l’expression idiomatique de bien (importante d’un point
de vue sémantico-culturelle). La présentation de la conjugaison de certains verbes au subjonctif+que
est aussi critiquable (car on y ajoute le que). Dans le livre on retrouve aussi une rubrique « Pour
mieux lire », dans laquelle se retrouve des questions sur le récit, mais aussi sur les expressions
imagées de celui-ci, par ailleurs il n’y a pas de correctif… On retrouve aussi des images (photos réelles
ou dessins) pour faciliter la compréhension du récit.

2. Version originale VS version simplifiée


Quatre critères essentielle pour la version simplifiée : le lexique, la syntaxe, le style et le culturel.

Pour le lexique, on a recours à l’élargissement par extension, mais on perd de la précision


sémantique, et on confina aussi l’apprenant à des contextes limités et à une limitation de la
polysémie des mots. On porte aussi atteinte au style en supprimant les parenthèses, les affirmations
spontanées, etc. rendant le texte éloigné de l’original. On constate aussi beaucoup de verbes, et cela
se ressent beaucoup (selon les auteurs c’est pour éviter les périphrases). Par ailleurs, le texte est
assez proche du niveau attendu puisqu’il ne compte que 12 notes de pages sur 70 pages de texte.
Certaine fois on recours aussi à la synecdoque, mais elle peut être trompeuse si elle ne suit pas une
logique rigoureuse. Le choix d’un vocabulaire contemporain est justifié, car l’œuvre date du 19 e. mais,
dans l’œuvre du 19e on retrouve un régionalisme et pareil dans l’œuvre simplifiée (mais pour un autre
terme : cafards, terme employé seulement dans le Nord). Il est aussi porteur de contresens et
d’ambigüités. Le manque de périphrases conduit aussi à un manque d’expressions idiomatique, cela
s’oppose au Français fondamental

Pour la syntaxe, on a beaucoup à la suppression non-indispensable à la compréhension du récit dans


le version simplifiée. Il y a aussi beaucoup de phrases courtes (logique), et on a remplacé les
subordination par des coordinations, et supprimé les relatives (même celle de où et qui alors qu’elles
sont enseignées dans le Français fondamental 1er degré ). On retrouve des subordonnées
conjonctives, mais employé de manière simple. Ainsi, le texte est très éloigné de la réalité écrite et
on se rapproche trop de l’oralité. Il y a aussi une simplification abusive des interrogations, le Français
fondamental conseille les directes (est-ce que…), ce qui alourdit le texte. La suppression d’éléments
introductifs pour les remplacer par des signes de ponctuations, rend le texte « sec » et le sens peut
parfois porter à confusion. On ne respect pas non plus l’ordre des mots.

Pour le style, il y a une grosses perte de figure de styles dans la version simplifiée, et un énorme
emploi du passé composé plutôt que le passé simple (or on enseigne dans les manuels que le passé
simple est le temps des récits). Dans la version simplifié, le moment de la déclaration semble moins
importante que dans la version originale.
Pour la culture, simplifier celle-ci est la moins acceptable, car elle a une perte de la richesse culturelle
et ne contribue pas à la civilisation des apprenants. Elles sont fortement réduite dans la version
simplifiée et on les retrouve + dans les commentaires et entre parenthèses. On a supprimé des
passages humoristiques qui auraient pu rendre le texte plus joyeux à lire.

Dans la classe il faut lire pour écrire, lire pour découvrir (choses culturelles), et faire de nos élèves de
vrais lecteurs (d’après L. Vincent) => ce n’est pas vraiment le cas pour la simplification de Petit Chose.
La professeur est censé être un passeur de langue te lecture quand il apprend la lecture à ses
étudiants. Il doit aussi montrer que les auteurs se permettent de jouer avec la langue et que rien n’est
figé. Queneau est un exemple pour les exercices de style d’écriture, il fait aussi parti de l’OULIPO.

// à l’article 8, c’est très difficile de simplifier un texte, c’est un travail titanesque

Article 8 : Enjeux de la lecture et de quelques pratiques langagières en FLES


L’auteur s’est mise en contact avec un auteur de texte simplifiée. Ce texte est écrit pas une ancienne
étudiante de madame Delbart (benedicte Wauthiez), en réaction à l’article 7. Benedicte se dit au fond
que dans les classes de FR langue maternelle, on peu parfois lire des version simplifiée alors pourquoi
pas en FLE (la prof est pas trop d’accord).

L’enjeux était de simplifier et d’avoir 800 mots, et parfois il y a des notes de bas de page.

Ce texte est beaucoup moins critique que les autres, elle arrondi juste les angles.

Article 9 : La simplification : un rapprochement linguistique et culturel (Valderama)


L’auteur n’est ni contre les textes authentiques, ni contre les textes simplifiée, le plus important
c’est l’accompagnant que le prof fait aux apprenants pour qu’ils puissent comprendre le texte.

Possibilités et limitations des textes simplifiés


Les textes littéraires simplifiés ne répondent pas toujours aux besoins des apprenants, très souvent
ces derniers ne vont étudier le français que 2 ou 3 ce qui est très court. On propose alors souvent des
œuvres simplifiée pour que cela se lise vite et facilement, mais le problème c’est qu’on a alors
tendances à enlever des éléments culturels, historiques, sociologiques et idéologique dans ces
versions simplifiées. Peut-on alors réellement faire coïncider ces éléments avec les différents niveaux
de lectures simplifiées ?

Simplification et lecture : deux voies qui n’ont pas évolué parallèlement


Article 10 : transversalités
Pas besoin de résumés car c’est à nouveau ce que la prof avait dit au cours de mercredi
(quadripartition,..)

FIN DE L’INTRODUCTION

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