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Travailler le conte et la nouvelle ont les avantages de souvent avoir les mêmes structures littéraires
et d’être courts
Le but n’est pas de catégoriser au maximum les différents types de textes, mais plutôt de guider les
apprenants vers une meilleure compréhension du sens (découverte d’un nouvelle culture) et à leur
fournir des outils d’analyse qu’ils peuvent utiliser d’un texte à l’autre=> connivence entre le texte et
l’apprenant.
L’auteur passe en revue les différents types de textes et en donne les caractéristiques
3) le texte d’un manuel, pour lequel on expliquait le cotexte (souvent un titre, des paragraphes et des
images )
4) un article de journal ou de magazine, on mettait en avant le contenu des textes, le chapeau, et les
sous-titres
5) une page de pièce de théâtre, dans laquelle on trouvera une image de mise en scène avec le nom
des personnages et une explication de la scène. Les explications sont en italiques.
7) la prose, pas facile, car pour les apprenants FLE on choisit un texte simple ce qui a affaiblit l’analyse
sémantique
Pour un public FLE, il ne faut pas prendre un texte trop difficile au niveau du lexique ou de la
grammaire. Il ne faut pas choisir un texte facile à résumer comme un texte journaliste, car cela est
proche de la réalité des apprenants. Il faut éviter les textes qui enseignent la civilisation, car aucun
auteur n’écrit avec une réalité objective. Eviter les textes qui parlent de l’évolution de la littérature
(c’est ennuyant pour les apprenants). Ne pas prendre de texte qu’on présente comme un « bon
français » et que les apprenants doivent imiter (car cela réduit à dire que seuls certains écrivains
savent écrire et qu’il faut suivre leur modèle).
Le texte choisi doit servir à comprendre l’écriture et à éventuellement aider à l’expression écrite. Pour
cela il est judicieux d’aborder les types de discours non littéraires appris en classe et les discours
littéraires que l’apprenant connait dans sa langue maternelle.
L’objectif de l’enseignement de la littérature est de montrer que l’on va au-delà d’un locuteur natif
moyen lorsqu’on écrit (par ex. la fonction poétique), et de voir quels sont les acquis linguistique à
avoir pour analyser un texte littéraire. La métalinguistique est ainsi importante pour les apprenants,
car elle permet de comprendre l’explication grammaticale et à effectuer des exercices qui mènent
implicitement à la conclusion voulue par le professeur.
Article 3 : La littérature française : un précieux outil interculturel pour l’enseignement
et l’apprentissage du français
La classification qui définit le statut du français chez une personne se subdivise en 4 : FLMS1, FLMS2,
FLES1, et FLES2 +voir le fluo (c’est le cours 2-3)=> le professeur doit s’adapter à la pluralité de sa
classe
Les écrivais FLE nous intéressent par l’explicitation qu’ils ont avec le FR ?
Qu’est-ce que la conscience linguistique ? La motivation des différents auteurs FLE sur la manière
d’écrire, elle peut être motivante pour les apprenants FLE.
La conscience c’est lorsque un apprenant FLE ce qui se dit ou ne se dit pas, ce qui se fait ou non. Ce
que un locuteur natif ne sait pas voir.
Surconscience : Vouloir corriger à tout prix sa production écrite car on est pas à l’aise. Ils prennent le
langage au sérieux et son exploitation aussi, ils confrontent le FR à leur langue maternelle.=>
intéressant pour les classes de FR et pour la construction de la propre conscience linguistique
La littérature permet aussi de donner des outils d’analyse littéraire dans le but de s’intéresser au texte
en lui-même. L’intérêt du conte est qu’il est riche avec beaucoup de références intertextuelle,
l’activité de lecture se fait donc dans toute son étendue. L’entrée en litté. Avec le conte propose une
analyse du texte, une approche critique, et réflexive. Et, toutes ces caractéristiques du conte, on peut
les retrouves dans d’autres types de textes.
Une activité intéressante est de traduire un texte en Fr ver leur langue maternelle, les apprenants ont
vu que ce n’était pas chose facile. Ils ont donc retransformés les phrases de manière à écrire à leur
manière.
LECTURE 2
Article 7 : Enjeux : l’évaluation de la lecture
Il existe plusieurs manières d’enseigner un texter aux apprenants FLE. On se concentre ici sur le texte
simplifié en le rendant plus court et plus facile. On se base sur la comparaison du livre originale et la
version simplifiée de Le Petit Chose d’Alphonse Daudet.
Description de la collection
Le premier critère est le vocabulaire, on voit que la version simplifié se trouve dans la collection rouge
de « Textes en français facile », cela indique qu’il faut au moins maitriser 1300 du Français
fondamental 1er degré pour le lire. Dans ce livre simplifié on retrouve aussi une rubrique intitulée
« qui cherche… trouve », dans laquelle se trouve une rubrique grammaticale sur l’utilisation de bien,
mais on fait l’impasse sur les qualités quantitatives et qualitatives de l’adverbe , et on prive lecteur
d’avoir une explication suffisamment claie sur l’expression idiomatique de bien (importante d’un point
de vue sémantico-culturelle). La présentation de la conjugaison de certains verbes au subjonctif+que
est aussi critiquable (car on y ajoute le que). Dans le livre on retrouve aussi une rubrique « Pour
mieux lire », dans laquelle se retrouve des questions sur le récit, mais aussi sur les expressions
imagées de celui-ci, par ailleurs il n’y a pas de correctif… On retrouve aussi des images (photos réelles
ou dessins) pour faciliter la compréhension du récit.
Pour le style, il y a une grosses perte de figure de styles dans la version simplifiée, et un énorme
emploi du passé composé plutôt que le passé simple (or on enseigne dans les manuels que le passé
simple est le temps des récits). Dans la version simplifié, le moment de la déclaration semble moins
importante que dans la version originale.
Pour la culture, simplifier celle-ci est la moins acceptable, car elle a une perte de la richesse culturelle
et ne contribue pas à la civilisation des apprenants. Elles sont fortement réduite dans la version
simplifiée et on les retrouve + dans les commentaires et entre parenthèses. On a supprimé des
passages humoristiques qui auraient pu rendre le texte plus joyeux à lire.
Dans la classe il faut lire pour écrire, lire pour découvrir (choses culturelles), et faire de nos élèves de
vrais lecteurs (d’après L. Vincent) => ce n’est pas vraiment le cas pour la simplification de Petit Chose.
La professeur est censé être un passeur de langue te lecture quand il apprend la lecture à ses
étudiants. Il doit aussi montrer que les auteurs se permettent de jouer avec la langue et que rien n’est
figé. Queneau est un exemple pour les exercices de style d’écriture, il fait aussi parti de l’OULIPO.
L’enjeux était de simplifier et d’avoir 800 mots, et parfois il y a des notes de bas de page.
Ce texte est beaucoup moins critique que les autres, elle arrondi juste les angles.
FIN DE L’INTRODUCTION