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ANNEE : 2020
Edition Préliminaire
1
Daniel MARGUERAT et Yvan BOURQUIN, La Bible se raconte : Initiation à l’analyse narrative, Paris-Genève-
Montréal, Cerf-Labor et Fides-Novalis, 1998, p. 134.
2
Définition donnée par John A. DARR, On Character Building : The Reader and the Rhetoric of Characterization
in Luke-Acts, Louisville, KY, Westminster/John Knox Press, 1992, p. 171.
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exprimées par le même auteur ailleurs ou sa manière d’utiliser le même vocabulaire
ailleurs peuvent donner quelques indices sur sa pensée ou sur son emploie du
vocabulaire dans le texte que nous étudions. Les autres auteurs du Nouveau
Testament écrivaient à la même époque historique et avaient certainement une
expérience et un répertoire plus proche de l’auteur que la nôtre. Leurs idées peuvent
donner d’autres indices.
En général, il faut donner la priorité aux indices des différents contextes dans
l’ordre que nous les avons présentés : contexte littéraire proche, contexte littéraire
large, contexte intertextuel et contexte historique. Il semble peut-être étrange de
donner la priorité aux indices tirés de la Septante avant les indices tirés du Nouveau
Testament, mais il faut se rappeler que les auteurs du Nouveau Testament n’avaient
pas en main une copie du Nouveau Testament. Toutefois, il faut évaluer
l’importance des différents indices pour chaque texte. Pour certains passages, la
priorité des différents niveaux de contexte peut changer. Par exemple, les indices
trouvés dans les autres écrits par le même auteur sont assez souvent plus importants
que les liens du texte avec la Septante.
7) Il faut examiner le contexte moderne. L’exégète doit interpréter le texte pour les
lecteurs modernes. Donc, il faut aussi comprendre le contexte moderne afin de
pouvoir évaluer les différences et les ressemblances entre les deux horizons et de
pouvoir évaluer comment le texte peut s’appliquer au monde moderne.
I. La critique textuelle
En tant que chrétiens évangéliques nous croyons que la Bible est la Parole de
Dieu. C’est-à-dire elle est inspirée par Dieu et utile pour nous instruire dans la foi (2
Tim 3.16). Mais que veut dire cela ? Plus précisément, il faut dire que nos Bibles sont
des traductions des copies de la Parole de Dieu. Certes, Dieu a veillé sur ce processus et
a conservé des traductions qui représentent très bien les textes originaux. Mais l’on
peut facilement constater que certaines phrases se trouvent dans une Bible et pas dans
d’autres. Par exemple, l’explication sur l’ange qui agite l’eau dans la piscine de
Béthesda (Jn 5.4) ne se trouve pas dans la version TOB. Quelle Bible transmet
3
F. F. BRUCE, Les document du Nouveau Testament : Peut-on s’y fier ?, Fontenay-sous-Bois, Opération
Mobilisation, 1977, p. 16-17.
4
Ibid., p. 21.
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2) The Greek New Testament, éd. par K. Aland, M. Black, C. M. Martini,
B. Metzger et A. Wikgren, Stuttgart, United Bible Societies, 1993 (abbreviation UBS).
Pour comprendre l’apparat critique il faut lire l’introduction. L’apparat de NA est plus
complet que celui de UBS parce que UBS a été conçu pour les traducteurs et ne contient
que les variantes qui peuvent changer la traduction.
La critique textuelle est une science très technique et l’interprète doit très
souvent faire confiance aux spécialistes. L’étudiant ne deviendra pas expert en la
matière dans un cours d’initiation à l’exégèse. Mais une connaissance moyenne de la
matière aidera l’interprète à reconnaître les variantes encore débattus et à évaluer
certains choix dans les éditions critiques du Nouveau Testament en grec.
1. Les types de variantes
Les variantes peuvent être accidentelles ou délibérées. Les variantes
accidentelles viennent d’un lapsus de vue, de l’ouïe ou du cerveau. La cause des
variantes délibérées est très souvent le copiste qui veut consciemment ou
inconsciemment améliorer le texte. Il y a 4 types de variantes.
1. Un ajout. Le copiste ajoute un ou plusieurs mots au texte.
2. Une omission. Le copiste omet un ou plusieurs mots du texte.
3. Une transposition. Le copiste change l’ordre des mots.
4. Une substitution. Le copiste substitue un ou plusieurs mots pour un ou plusieurs mots
dans le texte qu’il copie.
2. Les critères employés dans l’évaluation des leçons variantes
Lorsque plusieurs variantes se présentent dans les différents manuscrits et
traductions du Nouveau Testament, l’interprète doit les évaluer afin de choisir celle
qui, selon les probabilités, représente l’original. Un certains nombre de critères ont été
établis dans l’évaluation de ces variantes. La règle de base est de choisir « la leçon qui
explique l’origine des autres »5. Trois types d’indices sont examinés dans ce choix :
1) les indices externes de la fiabilité des manuscrits,
e
5
M.-J. LAGRANGE, Introduction à l’étude du Nouveau Testament, 2 partie, Critique Textuelle II, La Critique Rationnelle,
e
2 éd., Paris, Gabalda, 1935, p. 21. Cf. aussi Bruce M. METZGER, The Text of the New Testament: Its Transmission,
e
Corruption, and Restoration, 3 éd., New York/Oxford, Oxford University Press, 1992, p. 207.
6
METZGER, The Text of the New Testament, p. 209-10.
7
Bruce M. METZGER, A Textual Commentary on the Greek New Testament, Londres/New York, United Bible
Societies, 1975, p. xxv-xxviii.
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de kai. le,gei auvtoi/j. L’apparat signale les parallèles parce que les copistes aimaient
harmoniser leurs textes avec les textes parallèles.
Une liste d’abréviations de différents manuscrits suit. Pour comprendre les
abréviations il faut chercher dans l’introduction. P 75 représente un manuscrit écrit sur
papyrus datant du début du troisième siècle. A représente un manuscrit écrit en
onciaux (lettres capitales) appelé Sinaïticus datant du 4 ème siècle et contenant tout le
Nouveau Testament. La liste des onciaux est suivie d’une liste de minuscules
1 13
(manuscrits écrits en lettres minuscules). f et f représente des familles de
minuscules. La minuscule 28 remplace le,gei par ei=pen, comme dans Jn 20.26. Les
minuscules sont suivies par des textes de lectures hebdomadaires liturgiques, des
traductions et des citations par des pères de l’église.
Deux lignes en parallèle // séparent chaque leçon variante. Plusieurs variantes
ajoutent d’autres mots venant de textes parallèles. Le texte occidental (D) et plusieurs
manuscrits en latin (ii) omettent la phrase.
Si l’on évalue ces variantes selon les critères établies ci-dessus, les indices externes
favorisent le texte plus long adopté par UBS, mais les probabilités de transcription
favorisent le texte plus bref contenu dans les variantes occidentales. Pour ce verset et
d’autres semblables Westcott et Hort ont retenu les textes plus brefs du texte occidental
(Western non-interpolations, Lc 22.19-20 ; 24.3, 6, 12, 36, 40, 51, 52) 8. Le comité de la
Société Biblique a préféré les textes plus longs du texte alexandrin, mais avec un
désaccord fortement exprimé par la minorité9.
8
Introduction, p. 175-77, Appendix p. 63-64, 71-73.
9
METZGER, Textuel Commentary, p. 176-77, 183-84, 186-87, 189-93.
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La ponctuation
La deuxième section dans l’apparat critique donne les différentes possibilités de
ponctuation. En général, les manuscrits n’ont pas de signe de ponctuation et l’exégète
doit les fournir. Un désaccord entre les différents textes est signalé ici. Westcott et Hort,
Bover, l’édition de Nestlé de la British and Foreign Bible Society et peut-être Nestlé
pensent que la construction de la citation est indirecte. Les autres textes suivant les
deux lignes parallèles // pensent que la construction est directe.
Les parallèles
La dernière section dans l’apparat critique donne des textes parallèles : citations,
allusions ou autres.
4. Suggestions pour l’emploi de la critique textuelle dans l’exégèse d’un
passage
1. Comparer les différents textes en grec afin de voir les désaccords (selon vos
possibilités).
2. Examiner l’apparat critique pour les variantes dont l’évaluation de UBS attribue un
doute considérable au choix adopté ({C} et {D}).
3. Lire le commentaire de Bruce M. Metzger sur ces choix, A Textual Commentary on
the Greek New Testament.
4. Evaluer ces variantes dans le contexte de votre exégèse.
II. LA STRUCTURE
Un texte est compréhensible parce qu’il est structuré selon une logique que l’on
peut analyser. Notre communication, orale ou écrite, suit des règles grammaticales et
syntaxiques. Les mots sont assemblés dans des propositions, des phrases et des
paragraphes selon une logique communément établie dans la langue de
communication. Les mots sont liés aux autres mots par des liens logiques. Une
connaissance de ses règles grammaticales et syntaxiques est une nécessité préalable à
une bonne exégèse. L’étudiant n’est pas obligé de maîtriser toutes ces règles, mais il
III. LE VOCABULAIRE
Il faut déterminer la signification des mots importants dans le texte. Il est
extrêmement important de se rappeler que le contexte donne aux mots leur
signification. Un terme peut avoir un certain nombre de significations possibles, mais le
choix entre les significations possibles doit être déterminé par le contexte. C’est
pourquoi nous avons mis la traduction des termes dans la section précédente entre
guillemets. La tâche de l’interprète est de déterminer la signification précise que
l’auteur veut donner au terme dans son contexte. Pour compléter cette étape, il faut
d’abord choisir les termes à étudier. Puis, il faut comprendre comment les étudier. Pour
faire cette étude il faut apprendre à utiliser certains outils de référence.
1. Comment choisir les termes à étudier ? 12
1) Il faut choisir les termes reconnus d’être chargés d’une signification théologique
dans la Bible. Le concept de « la chair » chez Paul, par exemple, n’est pas limité à la
10
Voici 2 outils en français : J. W. WENHAM, « Résumé de grammaire : Syntaxe », Initiation au Grec du Nouveau
ème
Testament, 3 éd., Paris, Beauchesne, p. 249-253, Maurice CARREZ, « La syntaxe », Grammaire grecque du Nouveau
ème
Testament, 6 éd., Genève, Labor et Fides, p. 117-52.
11
Voici quelques grammaires utiles en anglais : James A. BROOKS et Carlton L. Winbery, Syntax of New Testament
Greek, Lanham/New York/Londres, University Press of America, 1979, 179p ; Ernest De Witt BURTON, Syntax of the
e
Moods and Tenses in New Testament Greek, 3 éd., Edimbourg, T & T Clark, 1976, VIII-214 ; H. E. DANA et Julius R.
MANTEY, A Manual Grammar of the Greek New Testament, Toronto, Macmillan, 1957, 368p ; A.T. ROBERTSON, A
Grammar of the Greek New Testament in the Light of Historical Research, Broadman Press, Nashville, 1934, LXXXVI-
1454 ; Daniel B. WALLACE, Greek Grammar Beyond the Basics, Grand Rapids, Zondervan, 1996.
e
12
Ces critères sont tirés de Gordon D. FEE, New Testament Exegesis : A Handbook for Students and Pastors, 3 éd.,
Louisville, Westminster/John Knox press, 2002, p. 80-81.
employé par le même auteur. Ceci exige parfois un travail historico critique. Il faut
établir les œuvres écrites par le même auteur. Pour notre exemple nous acceptons
l’attribution traditionnelle donnée dans le texte des livres du Nouveau Testament.
Donc les écrits pauliniens seraient : Rom, 1 Cor, 2 Cor, Gal, Eph, Phil, Col, 1 Th, 2
Th, 1 Ti, 2 Ti, Tit et Philémon. Il y a deux emplois dans cette littérature. Dans Ro
13.3 il semble se référer à une personne ayant une autorité administrative dans le
est employé dans la LXX. Le terme est employé 576 fois dans la LXX. (Si le nombre
des emplois est trop grand pour analyser dans le temps que l’on peut consacrer à
cette étape, on peut se référer à un résumé des emplois. Le Theological Dictionary of
the New Testament, édité par Gerhard KITTEL, donne de tels résumés pour le
vocabulaire du Nouveau Testament. La suite vient du vol. 1, p. 488-89 (tiré d’un
article de Gerhard DELLING). La majorité des fois il se réfère à un personnage
humain important qui exerce une autorité. Dans Dan 10.13 il semble se référer à un
être céleste qui représente une autorité terrestre. Le chef qui représente Israël est
l’archange Michel.
d. L’emploi dans le Nouveau Testament. Il faut examiner toutes les fois que le terme
est employé dans le Nouveau Testament. Le terme est employé 37 fois dans le
Nouveau Testament (voir l’extrait). Le plus souvent il s’agit des personnes exerçant
une autorité civile ou religieuse. 4 versets dans les synoptiques parlent du « prince
des démons » (Mt 9.34 ; 12.24 ; Mc 3.22 ; Lc 11.15). Jean parle du chef de ce
monde (12.31 ; 14.30 ; 16.11).
13
P. ex., paraboles, discours, récits d’annonce de naissance, récits de miracles, hymnes, etc.
14
Nouveau Dictionnaire Biblique, Emmaüs, 1992, p. 419.
V. LE CONTEXTE INTERTEXTUEL
Selon le schéma suivi depuis le début du cours nous retenons le terme contexte
pour cette section. On pourrait l’appeler « Application ». Nous insistons sur le terme
« contexte » afin de souligner l’importance de la contextualisation du message de Dieu.
Contexte Contextualisation
Contexte ou
Application
Contexte
Contexte
Évaluation et historique
Texte
adaptation moderne
littéraire
intertextuel
historique
1. Évaluation et adaptation
Beaucoup de choses ont changé depuis 20 siècles. Les moyens de transports et de
communication, la manière de vivre, de travailler, d’interagir avec d’autres et même de
penser ont énormément changé depuis le temps du Nouveau Testament. Notre
prédication doit tenir compte de tous ces changements. Par exemple, l’exhortation aux
femmes qu’elles « ne se parent ni de tresses, ni d’or, ni de perles, ni d’habits
somptueux » représente les notions d’être « vêtues d’une manière décente, avec pudeur
et modestie » (1 Tim 2.9) à l’époque du Nouveau Testament et dans le milieu social de
l’empire romain. Le besoin des femmes de se vêtir d’une manière décente, avec pudeur
et modestie n’a pas changé. Mais la manière de définir ce qui convient à cette
description change selon la culture et l’époque. Il est douteux que les tresses de
cheveux aient la même valeur dans une culture africaine au 21 ème siècle. Donc, répéter
cette exhortation dans notre contexte historique aujourd’hui serait une manière de
changer la Parole de Dieu. Par la répétition de la même exhortation dans un nouveau
contexte nous sommes en train d’attribuer à la Parole de Dieu un message qui n’est pas
selon l’intention de son auteur et peut-être même contre son intention.
Mais, d’un autre côté, il ne faut pas laisser la culture définir la « manière
décente, avec pudeur et modestie » de se vêtir. La culture encourage assez souvent une
expression de la chute de l’humanité et ne saurait définir l’éthique chrétienne. La
Conclusion
Le but de ce cours n’est pas de donner aux étudiants un exemple complet du
processus de l’exégèse, mais d’aider l’étudiant à comprendre tout le processus. Nous
pensons que ce cours montre l’impossibilité de donner un exemple complet de
l’exégèse. La tâche de l’exégèse n’est jamais achevée. Personne ne peut étudier tous les
détails disponibles pour l’exégèse d’un petit texte. Personne ne peut maîtriser le
contexte littéraire, intertextuel et historique d’un texte. Personne ne peut sonder toutes
les possibilités d’application d’un texte à la situation historique d’aujourd’hui. Notre
incapacité de compléter la tâche d’exégèse nous conduit vers quatre conclusions.
1) L’exégète doit reconnaître ses faiblesses et écouter la voix d’autres exégètes. Les
autres peuvent trouver les détails pertinents et importants que nous n’avons
même pas recherchés.
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WALLACE Grammar Beyond the Basics
Lectures complémentaires :
En français :
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Delachaux et Niestlé, Desclée de Brouwer et Aubier Montaigne (coll. « Bibliothèque de
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CARREZ (Maurice), Dictionnaire grec-français du Nouveau Testament, Paris, Les Editions
du Cerf, 1995.
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Aix-en-Provence, Editions Kerygma, 1982.
Dictionnaire de culture biblique, Paris, Desclée de Brouwer, 1993.
KUEN (Alfred), Comment interpréter la Bible, St Légier, Editions Emmaüs, 1991.
MARGOT (J.-C.), Traduire sans trahir, Lausanne, L'âge d'homme, 1979.
McKIM (Donald), L'interprétation de la Bible au fil des siècles, (3 vols), Editions Excelsis,
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NICOLE (Émile), « L’exégèse expliquée », Fac-Réflexion, n° 2, 1986, p. 3-6.
ROMEROWSKI (Sylvain) et APPERE (Guy), « Comprendre la Bible », Lien Fraternel, n°
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Une Bible et tant de versions, St Légier, Editions Emmaüs, 1996.
En anglais :
CARSON (D. A.) et WOODBRIDGE (John D.), Hermeneutics, Authority and Canon,
version révisée, Eugene (OR), Wipf & Stock Publishers, 2005.
VANHOOZER (Kevin J.), Is There a Meaning in This Text?, Grand Rapids, MI, Zondervan,
2009