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1. Soulignez les expansions du nom et indique s'il s'agit d' un adjectif qualificatif épithète ou si
c’est un groupe prépositionnel complément du nom
a) Elle pose son fer sur la table à repasser. > C’est un groupe prépositionnel complément du nom
«table »
b) Il mange une assiette de soupe. > C’est un groupe prépositionnel complément du nom
« assiette »
c) Ces jeunes enfants entrent à l’école. > C’est un adjectif qualificatif épithète du nom
« enfant »
d) La vieille dame monte les escaliers. > C’est un adjectif qualificatif épithète du nom «dame »
a) Maman l’utilise pour changer la couche de ma petite sœur. Je suis une table à langer
b) Les dames m’utilisent pour se faire de jolis sourcils. Je suis une pince à épiler
c) On nous utilise pour jouer à la belotte. Nous sommes des cartes à jouer
b) Ses cheveux blonds, qui ne se sont jamais décidés à blanchir, tombaient en boucles
sur le cou. (E. About)
phrase 2 : Dans la cheminée, le feu de chêne brûlait en dégageant une odeur de clairière
d’automne.
d) Un jour, dans le chemin à peine praticable aux voitures, et dont j’avais moi-même tracé à la
hache la plus grande partie, nous rencontrâmes, ma mère et moi, un bel ours noir. (M.
Constantin- Weyer)
phrase 1 :Un jour, dans le chemin à peine praticable aux voitures, nous rencontrâmes, ma
mère et moi, un bel ours noir.
e) Une vieille dame polonaise habitait, en Autriche, un domaine forestier où l’on trouvait encore
des loups et des ours. (Colette)
Phrase 2 : Dans ce domaine forestier, on trouvait encore des loups et des ours.
g) Pas une ride ne plissait la surface immobile de l’océan sur laquelle le soleil à son coucher
versait sa lumière d’or. (G. Flaubert)
Phrase 2 : Sur la surface immobile de l’océan, le soleil à son coucher versait sa lumière
d’or.
h) Une voiture passa, découverte, basse et charmante, traînée au grand trot par deux
minces chevaux blancs dont la crinière et la queue voltigeaient. (Guy de Maupassant)
phrase 1 : Une voiture passa, découverte, basse et charmante, traînée au grand trot par
deux minces chevaux blancs.
i) La question qu'il allait poser changea sur ses lèvres. (Louis Hémon)
j) Catherine marchait vite, vite ; elle faisait claquer le plus fort possible les sabots
lui avait donnés la patronne. (G.E. Clancier)
phrase 1 :
phrase 2 :
k) Au ciel d’un étrange bleu pur, des nuages fuyaient, masses tourmentées brillait une lune
froide. (Maxence Van der Meersch)
phrase 1 :
phrase 2 :
l) Le mal dont j’ai souffert s’est enfui comme un rêve. (A. de Musset)
m) Dans son rêve, qu'il oublia plus tard, il se trouvait dans la décharge municipale de son
enfance, en train de passer au crible une montagne de détritus. (Paul Auster)
phrase 1 :Dans son rêve, il se trouvait dans la décharge municipale de son enfance, en train
de passer au crible une montagne de détritus.
n) Le père et le fils s’étaient arrêtés près du bassin où s’ébattaient les deux cygnes. (V. Hugo)
o) Il y a des gens très tristes et très pauvres aussi, des vieux perdus cherchent avec angoisse le
quai d’ part leur train, des femmes ont trop d’enfants et clopinent avec leur cargaison le long
des wagons trop hauts. Il y a tous ceux la pauvreté a conduits ici. (Le Clézio)
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