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fr] dD Enoncés 1
sin2 θ
r=
cos θ
b) Soit M un point de cette courbe autre que O. On note P l’intersection de la
droite (OM ) avec la droite d’équation x = 1 et Q le point de l’axe (Oy) de même
ordonnée que P . Montrer que le triangle (M P Q) est rectangle en M .
c) En déduire un procédé permettant de construire la courbe étudiée.
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Corrections
−−−−→ −−−−→
J(θ) = M (θ) ⇔ OJ(θ) = OM (θ) ⇔ 1 + cos θ = 0 et sin θ = 0 ⇔ θ = 0 [π]
Exercice 1 : [énoncé]
a) r : θ 7→ r(θ) = 1 + cos θ est définie et de classe C ∞ sur R. e) On a
r(θ + 2π) = r(θ) donc M (θ + 2π) = M (θ).
r(−θ) = r(θ) donc M (−θ) est le symétrique de M (θ) par rapport à l’axe (Ox). −−−−−−→ −−−−→ −−−−→
J(θ)M (θ) = J(θ)O + OM (θ) = (1 + cos θ)~uθ + sin θ~vθ
On peut limiter l’étude sur [0, π]. La courbe obtenue sera complétée par la
symétrie d’axe (Ox). La tangente en M (θ), régulier est dirigée par
On a le tableau de variation −−−−→
dOM
(θ) = r0 (θ)~uθ + r(θ)~vθ = − sin θ~uθ + (1 + cos θ)~vθ
θ 0 π dθ
r(θ) 2 & 0 −−−−−−→ −−−→
Les vecteurs J(θ)M (θ) et dOM dθ (θ) sont donc orthogonaux.
Etude en θ = 0 f) On choisit un point I(θ) (= I(θ + π)) sur ce cercle C autre que O.
r(0) = 2 et r0 (0) = 0. A la distance 1 de ce point, et sur la droite (OI(θ)) on positionne les points M (θ)
Il y a une tangente orthoradiale. et M (θ + π).
Etude en θ = π En introduisant J(θ), point diamétralement opposé à I(θ) sur C, on peut
r(π) = 0. Il s’agit d’un passage par l’origine. construire les normales à Γ en M (θ) et M (θ + π) puis les tangentes en ces points.
θ π
r(θ) + 0 +
M (π) = O est un point de rebroussement de première espèce dont la tangente est Exercice 2 : [énoncé]
la droite d’équation polaire θ = π. a) Soient M un point du plan et (r, θ) un système de coordonnées polaires de M .
plot([1+cos(t),t,t=0..2*Pi],coords=polar); M F.M F 0 = 1 ⇔ M F 2 M F 02 = 1 ⇔ ((r cos θ−1)2 +r sin2 θ)((r cos θ+1)2 +r sin2 θ) = 1, M F
Finalement
b) Puisque I(θ) est le milieu du segment [M (θ)M (θ + π)]
M F.M F 0 = 1 ⇔ r2 (r2 − 2 cos 2θ) = 0
−−−→ 1 −−−−→ 1 −−−−−−−−→ √
OI(θ) = OM (θ) + OM (θ + π) = cos(θ)~uθ Considérons alors Γ la courbe d’équation polaire : r = 2 cos 2θ.
2 2 En vertu de ce qui précède on a déjà Γ ⊂ C.
Le point I(θ) évolue donc sur la courbe d’équation polaire r = cos θ. Celle-ci est le Inversement, soit M ∈ C.
1/2 Si M 6= O alors M possède un représentant polaire (r, θ) avec r > 0 et par
cercle de centre Ω passant par O. conséquent M ∈ Γ.
0
Si M = O alors √ M ∈ Γ car O ∈ Γ (prendre θ = π/4).
Les points M (θ), O et M (θ + π) sont alignés dans cet ordre donc Finalement r = √ 2 cos 2θ est une équation polaire de la courbe C.
b) r : θ 7→ r(θ) = 2 cos 2θ est définie et continue sur les intervalles
1 1
I(θ)M (θ) = M (θ)M (θ + π) = (OM (θ) + OM (θ + π)) = 1 [−π/4, π/4] + kπ avec k ∈ Z.
2 2
La fonction r est de classe C ∞ sur les intervalles ]−π/4, π/4[ + kπ avec k ∈ Z.
c) On a r(θ + π) = r(θ) donc M (θ + π) est l’image du point M (θ) par la symétrie de
centre O.
−−−−→ −→ −−−→ 1 −−−→ −−−→
OJ(θ) = OΩ + ΩJ(θ) = ~i − ΩI(θ) = ~i − OI(θ) = − sin θ~vθ r(−θ) = r(θ) donc M (−θ) est l’image du point M (θ) par la symétrie d’axe (Ox)
2 On peut limiter l’étude à l’intervalle [0, π/4]. La courbe obtenue sera complétée
d) par les symétries de centre O et d’axe (Ox).
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−→ θ 1 −−→
(~i, ΩP ) = = (~i, ΩM ) [2π]
3 3
d) A partir d’un point P sur la médiatrice du segment [Ω, O], on construit la
droite (ΩP ) et le cercle de centre O passant par P . L’intersection autre que P du
cercle et de cette droite est un point M décrivant la courbe étudiée.
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