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fr] dD Enoncés 1
r = 1 + 2 cos 2θ
r = tan θ
sin θ
r=
θ
b) Montrer que les pieds des normales à cette courbes issues de O sont cocycliques.
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] dD Corrections 2
M (0) = O est un point ordinaire dont la tangente est la droite d’équation polaire Exercice 5 : [énoncé]
cos θ ∞
θ = 0. r : θ 7→ r(θ) = 1−cos θ est définie et de classe C sur le domaine
−
Etude quand θ → (π/2) . [
r(θ) → +∞ ]2kπ, (2k + 1)π[
d(θ) = r(θ) sin(θ − π/2) = − sin θ → (−1)+ k∈Z
La droite d’équation x = 1 est asymptote à la courbe et celle-ci est à gauche de
l’asymptote La fonction r est 2π-périodique donc M (θ) = M (θ + 2π)
La fonction r est paire donc M (−θ) est le symétrique de M (θ) par rapport à l’axe
plot([tan(t),t,t=-Pi..Pi],coords=polar,view=[-2..2,-2..2]); (Ox).
On peut limiter l’étude à l’intervalle ]0, π]. La courbe obtenue sera complétée par
la symétrie d’axe (Ox)
r0 (θ) = − (1−cos
sin θ
θ)2 .
Exercice 4 : [énoncé] θ 0 π
r : θ 7→ r(θ) = 1/sin(2θ) est définie et de classe C ∞ sur le domaine r0 (θ) || − 0
[ kπ (k + 1)π r(θ) +∞ & −1/2
, Etude en θ = π/2
2 2
k∈Z
r(π/2) = 0, il s’agit d’un passage par l’origine.
La fonction r est π périodique et impaire, on peut limiter l’étude à l’intervalle θ π/2
]0, π/2[. r(θ) + 0 −
Puisque r(π/2 − θ) = r(θ), les points M (π/2 − θ) et M (θ) sont symétriques par M (π/2) = O est un point ordinaire dont la tangente est la droite d’équation
rapport à la droite d’équation polaire θ = π/4. polaire θ = π/2.
On peut limiter l’étude à l’intervalle ]0, π/4]. La courbe obtenue sera complétée Etude en θ = π
par la symétrie d’axe la droite d’équation θ = π/4, la symétrique d’axe (Oy) et r(π) = −1/2 et r0 (π) = 0
enfin la symétrie de centre O. Il y a une tangente orthoradiale.
On a le tableau de variation Etude quand θ → 0+
r(θ) → +∞
θ 0 π/4 d(θ) = r(θ) sin θ = 2 sincos θ
2 (θ/2) sin θ =
cos θ cos(θ/2)
→ +∞
sin(θ/2)
r(θ) +∞ & 1 Il y a une branche parabolique horizontale.
Etude de en θ = π/4
r(π/4) = 1, r0 (π/4) = 0 plot([cos(t)/(1-cos(t)),t,t=-Pi..Pi],coords=polar,view=[-1..3,-2..2]);
Il y a une tangente orthoradiale.
Etude quand θ → 0+ .
r(θ) → +∞.
1 1+
d(θ) = r(θ) sin(θ) = y(θ) = 2 cos θ → 2 . Exercice 6 : [énoncé]
La droite d’équation y = 1/2 est asymptote à la courbe avec la courbe au dessus. a) r : θ 7→ sinθ θ est définie et de classe C ∞ sur R? .
r(−θ) = r(θ) donc M (−θ) est le symétrique de M (θ) par rapport à l’axe (Ox).
θ
r(θ + π) = − θ+π r(θ) donc M (θ + π) est l’image du point M (θ) par l’homothétie
plot([1/sin(2*t),t,t=-Pi..Pi],coords=polar,view=[-2..2,-2..2]); de centre O et de rapport k = θ+π θ
∈ ]0, 1[ (notons que ce rapport dépend de θ)
On peut limiter l’étude à l’intervalle ]0, π], la courbe obtenue sera complétée par
les homothéties de rapport k ∈ ]0, 1[ (fonction de θ) et la symétrie d’axe (Ox).
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] dD Corrections 4
Etude en θ = π
r(π) = 0, il s’agit d’un passage par l’origine.
θ π
r(θ) + 0 −
M (π) = O est un point ordinaire dont la tangente est la droite d’équation polaire
θ = π.
Etude quand θ → 0+
r(θ) → 1 et r0 (θ) → 0 (via développement limité)
On peut donc prolonger r en une fonction de classe C 1 sur R avec r(0) = 1 et alors
r0 (0) = 0.
On en déduit que l’on peut prolonger la courbe par un point limite où la tangente
est orthoradiale.
plot([sin(t)/t,t,t=-10..10],coords=polar,xtickmarks=2,ytickmarks=3);
b) La droite normale en un point M (θ) passe par O si V = π/2 [π] i.e. r0 (θ) = 0.
Le paramètre θ déterminant un tel point vérifie alors θ cos θ = sin θ et donc
r(θ) = sinθ θ = cos θ.
1/2
Ainsi les points considérés se situent sur le cercle de centre Ω et de rayon
0
R = 1/2..