Service Hygiène Sécurité Environnement

Le service HSE a pour mission de sensibiliser le personnel à la sécurité, à la prévention et

au suivi des accidents du travail et des maladies professionnelles, de veiller au respect des
textes législatifs concernant l’hygiène et la sécurité. Il veille également au respect des
procédures environnementales et doit trouver des filières permettant de valoriser les
déchets.

L'Hygiène
Le service HSE réalise un audit hygiène chaque mois sur le site de production, d’après des
critères d’hygiène et de sécurité stricts. A la fin de cet audit une note est attribuée, en
fonction de celle-ci un plan d’action est mis en place.
De plus, il est en étroite collaboration avec le laboratoire pour les différentes analyses (eau,
produit fini, qualité de l’air…).
Les normes d’hygiène, de sécurité et d’environnement concernent les personnes, les
produits mais également le matériel et les biens.
Le personnel doit porter un équipement adapté (blouse, charlotte, chaussures de sécurité)
et respecter les règles d’hygiène (lavage des mains…) et de sécurité.
Le matériel est soumis à une maintenance quotidienne et à des normes strictes.
En tant qu’industrie agroalimentaire, le service HSE a mis en place un zoning, ainsi l’usine
est divisée en plusieurs zones, à chaque zone correspond des règles d’hygiène
spécifiques, ces règles varient en fonction du risque de contamination pour le produit.

La Sécurité
Le service HSE veille à la sécurité des biens, des personnes mais il porte également une
attention particulière à la malveillance (contamination des produits par une tierce
personne).
Pour terminer le service HSE travaille également en collaboration avec le service des
Ressources Humaines pour ce qui concerne les accidents du travail, ou encore les
propositions de formation du personnel. Il existe une interdépendance entre les services de
l’usine.

L'Environnement
 Les déchets sont régulièrement regroupés sur des zones en fin de ligne de
production puis amenés jusqu'au conteneurs à déchets, dans les différents services
de production les déchets sont triés.
 L’air extérieur est filtré, les rejets d’eau et d’air sont soumis aux réglementations
françaises et européennes strictes.
La Direction Régionale de l’Environnement de l’Aménagement et du Logement (DREAL)
réalise une inspection de l’usine chaque année, et analyse le volume de rejet des déchets
dans l’environnement. Ainsi elle œuvre pour réduire les émissions de gaz à effet de serre
dans tous les secteurs d’activité.
Source : Extrait de la loi 83-13

Ce tableau résume les dispositions de la loi 83-13. Ces dispositions qui sont de deux
catégories, d’une part, il y a celles qui concernent les maladies professionnelles, et d’autres
parts celles qui se rapportent aux accidents de travail.

Autres réglementations portant sur la SST :

- Décret n° 86-132 du 27 mai 1988 fixant les règles de protection des travailleurs contre les risques
des rayonnements ionisants ainsi que celles relatives au contrôle de la détention et de l’utilisation
des substances radioactives et des appareils émettant des rayonnements ionisants.

- Décret présidentiel n° 05-117 du 2 Rabie El Aouel correspondant au 11 Avril 2005 relatif aux
mesures de protection contre les risques des rayonnements ionisants.

- Décret exécutif n° 99-95 du 3 moharrem 1420 correspondant au19 avril 1999 relatif à la
prévention des risques liés à l’amiante.

- Décret exécutif n° 05-09 du 8 janvier 2005 relatif aux commissions paritaires et aux préposés à
l’hygiène et à la sécurité.

- Arrêté interministériel du 27 octobre 2003 relatif à la protection des travailleurs contre les risques
liés à l’inhalation des poussières d’amiante.

- Arrête du 10 février 1988 fixant les modalités de détention et d’utilisation des substances
radioactives et des appareils émettant des rayonnements ionisants.

- Arrêté interministériel du 10 février 1988 fixant les limites de dose annuelles d'exposition aux
rayonnements ionisants.
La règlementation Algérienne en matière HSE :

L’Algérie a, depuis l’indépendance, adopté de nombreux textes (ordonnances, lois,

décrets et arrêté) en matière de santé, de sécurité et d’environnement. Elle a également adhéré
à plusieurs conventions internationales ; le processus de veille législative et règlementaire (Cf.
procédure d’identification des exigences légales et des autres exigences) nous a permis de
constituer un recueil des textes HSE à AH. [19]

Ces textes sont repris de façon simplifiée des exigences associées aux articles des lois :
Tableau 2.13 : La règlementation Algérienne. [20]

HSE Contenu des lois, décrets, arrêtés, ordonnances

Loi :
Du 88-07 du 26 janvier 1988 :
Relative à l’hygiène, sécurité et médecine du travail Du 83-13 du 02 juillet 1983
Relative aux accidents du travail et aux maladies professionnelles
Hygiène Titre 4 : maladies professionnelles,
Sécurité Titre 5 : prévention,
Santé Titre 6 : financement,
titre 7 : Gestion. Du 85-05 du 16 février 1985Relative à la protection et à la
promotion de la santé Titre 2 : santé public, Titre 3 : santé mental.
Chapitre 2 : mesure de protection du milieu et de l’environnement Chapitre 6 :
mesure de protection au milieu du travail

33
CHAPITRE II : ETUDE DES CONDITIONS DE TRAVAIL AU SEIN DE LA COMPAGNIE
AERIENNE AIR ALGERIE.

Du 90-03 du 06/02/1990
Relative à l’inspection du travail, modifiée et complétée par ordonnance
n° 96-11 du 10/06/1990.
Décret exécutif :
n°91-05 du19-01-1991relatives aux prescriptions générales de protection
applicables en matière d’HS en milieu de travail.
n°93-120 du 15-05-1993 relatif à l’organisation de la médecine de travail.
n° 96-209 du 05-06-1996 fixant la composition d’organisation et le
fonctionnement du conseil national d’HS et médecine de travail.
n° 97-424 du 11 novembre 1997 fixant les conditions d'application du
titre V de la loi n° 83-13 du 2 juillet 1983, modifiée et complétée, relatif à
la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles.
n°02-427 du 7 décembre 2002 relatif aux conditions d'organisation de
l'instruction, de l'information et de la formation des travailleurs dans le
domaine de la prévention des risques professionnels.
Arrêté interministériel :
Du 22/03/1968
Relative aux tableaux des maladies professionnelles. Du 01/07/1971
relatif à la classification des maladies professionnelles. Du 02-04-1995
fixant la convention type relative à la médecine de travail établie
l’organisme employeur et le secteur sanitaire ou la structure compétente
ou la médecine habilitée.
Du 16-10-2001
*fixant le continu les modalités d’établissement et de tenue des
documents obligatoirement établis par la médecine de travail.
*fixant le rapport type de la médecine de travail.
*fixant les normes en moyens humains, de locaux et l’équipement des
services de médecine de travail.
* fixant les modalités d’application des dispositions de l’article 30 du
décret exécutif n°93-120 du 15-05-1993relatif à l’organisation de
médecine de travail.

34
 CHAPITRE II : ETUDE DES CONDITIONS DE TRAVAIL AU SEIN DE LA COMPAGNIE
AERIENNE AIR ALGERIE.

Ordonnance :
n° 66-183 de 21/06/1966
portante réparation des accidents de travail et maladies professionnelles.
n°76-79 du 23-10-1976
portants code de santé publique
n° 96-11 du 10/06/1990
relative à l’inspection du travail
la loi 83-03 du 05 février 1983 :
Relative à la protection de l’environnement
Environnement Titre : protection des milieux récepteurs chapitre 1 : protection de
l’atmosphère
Titre : protection contre les nuisanceschapitre 5 : le bruit
. Définition d’un déchet selon la réglementation algérienne

D’après loi n°01-19 du 12 décembre 2001 relative à la gestion, au contrôle et à

l’élimination des déchets parue dans le journal officiel de la république algérienne
démocratique et populaire, on entend par déchet ; « Tout résidu d’un processus de production,
de transformation ou d’utilisation et plus généralement toute substance, ou produit et tout bien
meuble dont le propriétaire ou le détenteur se défait, projette de se défaire, ou dont il a
l’obligation de se défaire ou de l’éliminer» (Journal Officiel)

Types des déchets selon la règlementation algérienne

L’article 3 de la loi 01-19 définit les différents types de déchets comme suit :

Déchets ménagers et assimilés : Tous les déchets issus des ménages ainsi que les déchets
assimilés provenant des activités industrielles, commerciales, artisanales et autres qui, par
leur nature et leur composition, sont assimilables aux déchets ménagers.

Déchets encombrants : Tous les déchets issus des ménages qui en raison de leur caractère
volumineux ne peuvent être collectés dans les mêmes conditions que les déchets ménagers
et assimilés.

Déchets spéciaux : Tous les déchets issus des activités industrielles, agricoles, de soins, de
services et toutes autres activités qui, en raison de leur nature et de la composition des
matières qu’ils contiennent, ne peuvent être collectés, transportés et traités dans les mêmes
conditions que les déchets ménagers et assimilés et les déchets inertes.

Déchets spéciaux dangereux : Tous déchets spéciaux qui, par leurs constituants ou par les
caractéristiques des matières nocives qu’ils contiennent, sont susceptibles de nuire à la
santé publique et/ou à l’environnement.

Déchets d’activités de soins : Tous les déchets issus des activités de diagnostic, de suivi et
de traitement préventif ou curatif, dans les domaines de la médecine humaine et vétérinaire.
 CHPITRE III LA GESTION DES DECHETS DE L’ENIEM

Déchets inertes : Tous les déchets provenant notamment de l’exploitation des carrières, des
mines, des travaux de démolition, de construction ou de rénovation, qui ne subissent aucune
modification physique, chimique ou biologique lors de leur mise en décharge, et qui ne sont
pas contaminés par des substances dangereuses ou autres éléments générateurs de
nuisances, susceptibles de nuire à la santé et/ou à l’environnement.

Déchets d’équipement électriques et électroniques : Tous déchets provenant des ménages

fonctionnant avec une alimentation électrique.

Déchets de l’industrie de l’automobile : Tous déchets provenant de l’industrie de

l’automobile (véhicules en fin de vie, accessoires et pièces de rechange usagés, pneus,
huiles de vidange)

Déchets des industries agro-alimentaires : Tous déchets solides provenant des unités de
transformation des produits agricoles en produits Industriels.

Déchets des huileries : Les déchets provenant des unités de transformation des olives en
huile d’olives (Le grignon d’olives, les margines).

Déchets des mines et de l’industrie minière : Les déchets provenant de l’exploitation des
gisements miniers (extraction de charbon, de pétrole et gaz, de minerais,).

Déchets verts : Ce sont les déchets de jardin (branches d’arbres, tonte des pelouses..). Ils
sont biodégradables, mais parfois trop lentement en milieu naturel. (Journal Officiel)

Sources des déchets de la laiterie de boudouaou

Cantine
Service médical
Le service médical a pour mission de contrôler de suivre et de soigner le personnel. Ce
dernier génère des déchets d’activités de soins représentés par la (Figure 14)
Bloc administratif

Le bloc administratif génère des déchets issus des différentes opérations pour assurer
le bon fonctionnement, il faut faire appel à certains produits comme le papier blanc et les
encres de différents types. Ce dernier génère des déchets assimilés aux déchets ménagers
représentés par la figure (15)

Production
Les activités liées aux ateliers (laiterie, C.I.P, fromagerie, F.F.P et F.F.F Laboratoire) tels que :
Génèrent des quantités importantes des déchets qui sont divers et hétérogènes comme : déchets de
POLYTELENE EMBLAGE , de plastiques, chrome,
carton et bois... etc. Ce dernier génère des déchets spéciaux qui sont représentés dans la
(figure 16).

Les déchets solides et leur mode de gestion

Des zones de pré-stockage des déchets au niveau des ateliers sont créées
conformément aux types de déchet, avec des plaques de signalisation avant leur
acheminement vers la zone de stockage.

Ces déchets sont tries puis entreposés sur une aire clôturée située à l’extrémité Ouest
de site industriel, où ils seront vendus à des entreprises de récupération.
Cependant, divers produits et emballage dangereux ne sont pas vendus et sont stokes
sur des aires. (Voir figure 18)

Prise en charge des déchets

a) Déchets mise en décharge

Seuls les déchets DI et les DMA spécialement les déchets de cantine, sont évacués à la
décharge autorisée s bennes sont pesées à chaque évacuation. Les quantités sont portées sur le
bordereau de suivi des déchets industriels communs.

Les déchets valorisables

La laiterie récupère tous les déchets plastique, tôle, Carton, bidon …etc. Elle a signé une
convention avec un prestataire agrée qui prend en charge l’enlèvement de ces déchets et leur
traitement.
Ces derniers sont liés à l’entreprise par des obligations contractuelles établies sur la
base de la législation et de la réglementation en vigueur.

Déchets stockés

Les DSD sont stockés en interne conformément à l’exigence réglementaire et ne

peuvent être remis sauf en cas des exploitants d’installations autorisées.
Le stockage de ces déchets coûte annuellement à la laiterie 7 millions de dinars,
montant de la taxe d’incitation au déstockage des déchets spéciaux.

7 les déchets gazeux et leurs modes de gestion

7.1Origine des rejets atmosphériques.

L’entreprise dégage des gaz qui sont visibles sur les toits des ateliers à certain
moment, ces émissions proviennent :

Des cheminées des chaudières : il s’agit de la vapeur d’eau et de gaz brûlé.

Des cheminées des bains de traitement de surface, dégraissage, phosphatation,

chaine de zingage et de nickelage, il s’agit donc de vapeur des produits chimiques.

Des cheminées des cabines de peinture.

Des cheminées d’extraction d’air ambiants des ateliers : air et poussières.

Les chariots et véhicules de tous tonnages : gaz d’échappement surtout au

gasoil.

Les principales causes de pollution atmosphérique proviennent de la production et

l’utilisation de divers produits chimiques des activités de traitement de surface et l’utilisation
de diverses sources d’énergies.

Note
Nous signalons que les émissions atmosphériques de l’entreprise ne subissent
actuellement aucun prétraitement, à l’exception de présence de filtres et laveur dans quelque
point de rejets. Ces émissions peuvent être à l’origine de multiples effets négatifs sur l’homme
et l’environnement.
Les effluents liquides et leur mode de gestion

L’examen du processus de production a mis en évidence des effluents liquides de

nature variée (les eaux usées industrielles, les eaux usées domestique et les huiles)

8.1 Eaux usées domestiques

Les eaux usées domestique du complexe sont générées au niveau de la cantine, de
l’administration et des différents ateliers (douche et sanitaires). Elles ne sont pas quantifiées
ni analysées. Elles sont mélangées avec d’autres eaux aux niveaux de canal final et s’écoulent
vers l’oued

8.2 Eaux usées industrielles

Les eaux usées industrielles qui proviennent essentiellement d’unité de traitement de

surface, unité froide et cuisson. Ces dernières sont traites grâce à la station de neutralisation
vers laquelle sont achemines par canalisation les effluent liquides pour y être traités.
L’ENIEM procède à leur purification afin d’éliminer les substances dangereuses, et
éliminer leur impact sur l’environnement (VoireChapitre IV)
Note

La laiterie a signé une convention avec le laboratoire ONEED (décret 07-300 de 27 sept 2007
fixant les modalités d’application de la taxe complémentaire sur les eaux usées)

8.3 Huiles
Ce sont principalement les lubrifiants usages des machines, des outils et matériels
roulant. Elles proviennent de la vidange des machines et les outils des ateliers...Etc.
Les huiles usagées ne sont pas recyclées. Mais elles ont récupéré par NAFTAL (qui a
fait une convention avec ENIEM) et une entreprise privé agréé par M.A.T.E.

Le devenir des rejets de la station de neutralisation (boues)

Les boues évacuées sont refoulées dans une fosse comportant deux pompes immergées
d’un débit de 10m3/h chaque une. Puis refoulées vers lits de séchage situe à l’extérieur de la
station puis elles sont extraites manuellement et stockées dans des cuves en PVC à cotes des
lits de séchage.et dont ce cas-là les boues ne subissent aucun traitement voir (figure 21).

La station de Neutralisation
La station de neutralisation des effluents de l’industrie est située au Sud-est de l’ENIEM, d’une surface
de 3500 m2. Elle est mise en service depuis 1988 dans le but de traiter tous les effluents déversés par
les ateliers de traitement de surface du complexe qui arrive par des conduits séparatifs en PVC et de
diamètre spécifique pour chaque rejet, et ces eaux sont traitées par un procédé physico-chimique.

L’installation de cette station est équipée d’un système de commande automatique de

l’injection du réactif. Pour cela il utilise un pH mètre dont la sonde qui est équipée d’électrode
est placée dans la zone fortement agitée, qui commande électriquement l’appareil de
dosage.Cette station n’est pas destinée à produire de l’eau potable mais à réduire les polluants
issus des eaux usées.

3.2. Les effluents traités par la station

Pour accéder à un traitement, il faut avoir la capacité de stoker les rejets industriels dans chaque
bassin de réception spécifique car le mélange des effluents provoque des dépôts qui sont
intraitables.

Pour ce dernier ils sont attachés dans 7 bassins de réception spécifique, comme l’indique le

Figure 9 : schéma de la station de traitement

A-bac de méta- bisulfite H-Bassin
1-alcalin dilués
de pompage
2-acide concentrés B-bac
de l’acide H2SO4 I-floculation
3-chromes dilués C-bac J-Décantation simple
d’alcalinNaOH
D-bac de floculant Poly- électrolyte
4-chromes concentrés
K-Décantation lamellaire
L-Rejet d’eau traitée
5-acides dilués E-bassin de Déchromatation
M-Bassin de pompage des
6-alcalins concentrés F-Neutralisation stade I
boues
7-Eluant G-Neutralisation stade II
N-Vers lis de séchage.
3.3 Le principe de Neutralisation

La neutralisation d’un rejet liquide consiste à ramener sont pH par acidification ou par
alcalinisation à une valeur fixée par l’organisation mondiale de la santé (OMS) qui varie entre
6.5 et 8.5
 Loi n° 88-07 du 26 janvier 1988 relative à l'hygiène, à la sécurité et à la médecine du
travail.
Non
Conforme
Questions Oui Non Observations Ou
Méthodes
remarque
Est-ce que les locaux affectés
au travail sont-ils dans un état Visite
de constant propreté ? des
présentent-ils des conditions locaux
d’hygiène et de salubrité ?
L’ambiance du travail est-elle
confortable ? (cubage,
d'aération, de ventilation,
d'éclairage, d'ensoleillement, Visite
de chauffage, de protection des
contre les poussières et locaux
autres nuisances et
d'évacuation des eaux usées
et déchets.)
Les travailleurs bénéficient-il
des moyens d’assurer leur
hygiène individuelle par la Visite
mise à leur disposition, des des
vestiaires, lavabos, douches, locaux
toilettes, eau potable, et par
l'hygiène dans les cantines ?
Les locaux sont-ils conçus de
manière à garantir la sécurité
des travailleurs : par la Visite
protection contre les fumées, des
vapeurs dangereuses, gaz locaux
toxiques et bruits, et toute
autre nuisance ?

Annexes

CATEL a-t-elle mis en place

des conditions nécessaires,
afin de prévenir toute cause
d'incendie ou d'explosion, Entretient
ainsi que pour combattre
l'incendie d'une façon rapide
et efficace ?
Les travailleurs bénéficient–ils
des vêtements spéciaux,
équipements et dispositifs
individuels de protection
d'une efficacité reconnue ?
CATEL a-t-elle mis en place
un service de médecine de
travail ?
Les travailleurs sont-ils soumis
aux examens médicaux
d’ébauchage (commencement)
ainsi qu'aux examens
 périodiques, spéciaux et de
reprise ?
Existe-il une commission
d’hygiène et de sécurité au
sein de CATEL ?

Annexes
147
Loi 04-20 relative à la prévention des risques majeurs et à la gestion des catastrophes dans le
cadre du développement durable.
CATEL a-t-elle
élaboré un plan
général de
prévention contre
des risques
industriels ?
Existe-t-il un
système de gestion
de catastrophe au
sein de CATEL ?
La Loi n° 83-13 du 2 juillet 1983 relative aux accidents du travail et aux maladies
professionnelles
Les accidents du
travail sont-ils
comptabilisés et
déclarés aux
organismes
concernés ?
Les procédés
susceptibles de
provoquer des
maladies
professionnelles
sont-ils déclarés à

Annexes
148
l’organisme de
sécurité social ?