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Thermique Du Bat111
Thermique Du Bat111
Social Environnemental
Durable
Viab
u itable le
Eq
Economique
Comment ?
Pour assumer toutes ces contraintes, on peut
jouer sur 4 facteurs seulement :
➡ 1896 : Arrhenius décrit l’effet des combustibles fossiles sur la température terrestre.
➡ 1967 : Première prévision d’un réchauffement planétaire
➡ 1992 : Sommet de la Terre à Rio : 2500 recommandations d’action pour le 21ème
siècle…
➡ 1995 : COP1 à Berlin : principe des quotas d’émissions de GES
➡ 1997 : COP3 à Kyoto : objectif de réduction de GES
➡ 2005 : COP11 à Copenhague : objectif commun de limiter le réchauffement à +2°C
➡ 2010 : COP16 à Cancun : Création d’institutions dédiées (par exemple le fond vert
pour le climat)
➡ 2014 : COP20 à Lima : 9 milliards pour les fonds vert
➡ 2015 : COP21 à Paris : accord universel sur le +2°C et recueil de promesses de
dons pour le fond vert…
On avance…
Etat des lieux
➡ En France :
➡ Plan Climat ➟ Objectif facteur 4 (GES horizon 2050)
➡ Loi POPE (Programme d’Orientation de la Politique
Energétique) ➟ réduire de 30% la consommation énergétique
d’ici à 2030
➡ Durcissement des réglementations successives (RT) et
adaptation à l’existant
Etat des lieux
➡ Depuis 2006 ➟ Les fournisseurs d’énergie ont obligation de
réaliser (ou de faire réaliser à leurs clients) des économies ➟
Mécanisme des Certificats d’Economie d’Energie (CEE)
Le Grenelle :
Approche plus globale du «développement soutenable»
organisé en groupes de travail, dont le #1 :
Le concept bioclimatique
facestocker
au vent. la chaleur, et éviter les déperditions Le confort d’hive
3. Principes thermiques : 3 murs / évolution des tem
Les protections solaires fixes ont des coûts non négligeables. C’est pour cette raison
qu’il est nécessaire de calculer leurs dimensions Effet de serre
en fonction de :leur
schéma de principe
utilisation.
Par exemple, un auvent orienté au sud doit laisser passer les rayons du soleil en Pour profiter au ma
hiver et les bloquer en été pour éviter les surchauffes.
remplit les fonction
D
Capter la chaleur
Baie H
ce www.ideesmaison.com
vitrée
L’enveloppe du bâ
53° dans une serre, les
Configuration HIVER
atteignent les mur
couleurs. Cet échau
situé au sud fournit une protection solaire naturelle,
e dans une véranda bioclimatique pour empêcher les
n hiver,
tre doubles et les vitrages entre la véranda et le logement
érieur sont préconisées pour favoriser la circulation d’air,
ature, pas de différence de niveau entre logement et
Bon sens...
pour assurer une meilleure homogénéité thermique.
‣
nt des coûts non négligeables. C’est pour cette raison
enensaison
er leurs dimensions chaude
fonction de leur utilisation. : se protéger du rayonnement
té au sud doit laisser passer les rayons du soleil en
solaire, éviter les gains et d’évacuer l’excès
éviter les surchauffes.
Source www.ideesmaison.com
53°
Configuration ÉTÉ
Bon sens...
Echanges
Conduction 1%
Convection 35%
Rayonnement 35%
Evaporation 24%
Ingestion 6%
Confort thermique
cf. TD...
http://www.cnrs.fr/aquitaine-limousin/IMG/pdf/Confort_Thermique.pdf
Confort thermique
‣Température de l’air : Ta P
T p,i ·S i
‣Température résultante des parois) : Tr = Pi
S
i i
xCO2 ⇡ 0.05
Confort Thermique 2
Transpiration :
Deux mécanismes :
✓ ◆
Qm
Qt = Askin · max 0; 0.42 · 58
Askin
Flux radiatif :
⇥ ⇤
Qrad = Acl · ✏ · F (Tvet + 273)4 (Tw + 273) 4
Aire de la vêture
Acl = Askin · (1.05 + 0.1 · Icl )
Température moyenne de
rayonnement de l’ambiance
(approximativement la
moyenne pondérée par les
Emissivité moyenne de la facteurs de forme des
peau et de la vêture Facteur de réduction d’aire
(concavités du corps) températures des parois
✏ ⇡ 0.95 visibles)
F ⇡ 0.71
Confort Thermique 2
Flux convectif :
Qconv = Acl · hc · (Tvet Tamb )
Donc :
Askin
Qvet = · (Tskin Tvet )
Rvet Tskin Tamb
Qvet =
Req
Qconv = Acl · hc · (Tvet Tamb )
1
1 1
Req = Rvet0 + +
Qrad = Acl · F · hr (Tvet Tamb ) Rconv Rrad
Tskin Tamb
Tvet
Confort Thermique 2
Bilan :
Q = QR + Qp + Qt + Qvet
La différence : L = Qm Q
Confort Thermique 2
Quantification du confort :
Quantification du confort :
L
PV M = C ·
Askin
Qm
C = 0.303 · exp 0.037 · + 0.0275
Askin
4 2
P P D = 100 95 · exp 0.03353 · P M V 0.2179 · P M V
directement en %
Au final…
Parois en régime stationnaire
Paroi plane
= ·(TsI TsE )
L
= hcE ·(TsE TaE ) + hrE ·(TsE TrE )
= constante
Paroi plane
Le terme de résistance
de conduction peut bien
entendu être étendu au
cas où la paroi est
composée de plusieurs
couches.
RT = Rse + R1 + R2 + R3 + R4 + Rsi
Paroi plane composée
Angles...
Ponts Thermiques
Problème avec les bâtiments ☞ pas que des
parois planes !
Jonctions...
Ponts Thermiques
("transparent
,) surface solar Conduction
external radiant and \ radiation
l
9convection ,
/ ~
convective
Pl'~ant ~ ' - " ~ " ~ ~l • outside air node Convection
extemal longwave ~[ / / / ~ (, \ ~
radiation ~ , - x . . / ~ _ / - ~ / ~ . . / / / / . ~
~ ~ ~ . _ ~ ~
/ ~ / /
/)\
\\
~
~r
~ //.~ I~.\ ~
~~"
opaque surface
/solarradiation
Rayonnement / IR
Rayonnement / VIS
infiltration ~/ / intemal~ ~ ~'~7 ~ I "~\ / / / / / "
and/or ~ k,<,/ c'otnvec~ion~ \ .,~/ .~ ] ,,~ "~ok"x/ / / / / ( ...
natural. ~ .......... ~ \ ~/ :~ j\ ~0~_ -%dk,,./\/ \ \t . outslae
ventilation /X, ~ ~ \ ~,/ I\~ - - ~ r air none
adjacent
zone~
\
~ ..
\/*r \
internal .
.,W~--------surlace node _.....,.
mechanical~
, air ooint
,.. ~ [ ~
I ~
node-,-.._ convection ~\' ,
1/\ / / /
I, \ \ \ \ \
[ - ~ . ) \ \\ \ \
Apports internes
radiation- ~ \ ventilation /c/, ~ . ! ~o [ ~( //// /
9 \ .~ n //\c~ ~ ~~) \\\\ \
x ~
\ / "
II
-
casualn ~ .t - components I ~'~(
~ _.--\ \ /\ \ \
I I ~ b"
_
gains
door. e ~ ' ~ (~/--7 T ! latent gain ~ /
conduction U//N ~ t I ~~ Ventilation
x radiativek, ~,~ ~ ," , ~V P
)(
~'~
qr , \
\
~
components ~ k,, ~
' ~
i]
\. ~ 9 {transmitted
.,; direct solar /
",~'.._ / transient
/ ~
~
conduction
(storage
Infiltration
r radiation - a nand lag)
co e ~adjacent zone-"
air node Air Humide
Figure 1.2: Building energy flowpaths.
Qmax = 24 · UG · DJ
Le coefficient 24 permet d’exprimer l’énergie en Wh.
Régime stationnaire
i
C=B·
⌘
Ventilation Infiltrations
Parois
Opaques
Ponts thermiques
Surfaciques
Linéiques
Ponctuels
Menuiseries
Mouvements d’air
Walton :
↵
Au vent : Cp = 0.75 1.05 ⇤
90
Sous le vent : Cp = 0.45
Mouvements d’air
Renouvellement d’air
Lorsque l’aération est assurée par un
salle de séjour et une chambre, la pièce
dispositif mécanique qui module
unique ainsi créée est assimilée à deux
automatiquement le renouvellement d’air du
pièces principales.
logement, de telle façon que les taux de
pollution de l’air intérieur ne constituent aucun
Si, de construction, une hotte est
danger pour la santé et que puissent être
raccordée à l’extraction de la cuisine, un débit
évitées les condensations, sauf de façon
plus faible est admis. Il est déterminé, en
passagère, les débits définis par le tableau ci-
fonction de l’efficacité de la hotte, suivant des
dessus peuvent être réduits.
modalités approuvées par le ministre chargé
U.R.E. Bâtiment : Guide d’audit énergétique 1999 4. VENTILATION ET INFILTRATIONS L’emploi d’un tel dispositif doit faire
Réglementaire : de la santé.
Des cabinets
débit
d’aisances
en
sont
m 3
/h
l’objet d’une autorisation du ministre chargé
de la construction et de l’habitation et du
considérés
DEBITS EXTRAITS EXPRIMES commeen multiples
m3/h s’il en existe au
moins deux dans le logement, même si l’un
z}|{ ministre chargé de la santé, qui fixe les débits
minimaux à respecter.
En tout état de cause, le débit total
nt : Guide d’audit énergétique 1999
DEPair = 0.34 ⇥
Nombre
de pièces
principales
Cuisine
Salle de bains
4. VENTILATION ET INFILTRATIONS
d’entre eux est situé dans une salle d’eau.
ou de douches
commune ou non salle
Autre Cabinet d’aisance q̇v extrait est au moins égal à la valeur donnée
par le tableau suivant :
avec cabinets
Art. 4 – d’eau
Des dispositifs individuels de réglage
du logement Unique Multiple Nombre de pièces
ajoute le fait que depuis 10 ans, la réglementation a beaucoup évolué, permettant d’aisancespeuvent permettre de réduire les débits
des débits moyens plus réduits. De sorte que selon l’année de réalisation du principales
définis à l’article 3, sous les conditions
t des équipements, il est possible de rencontrer des systèmes 3 de75 1
ventilation de 15 suivantes15 1 2 3 4 5 6 7
0.34 Wh · m
très variables et des débits assez différents.
s évolutions analogues s’étant produites dans les locaux
1
2
3
·K
90
tertiaires,
15 : produit ⇢C pour l’air à 20 C
105 avec des 30 et le débit
:
En15
15
15
règle générale,
15 réduit 15
15
15 total extrait
le débit
de cuisine 15
sont au moins
Débit total
minimal
3
en m /h
10 10 15 20 25 30 35
différentes
U.R.E. Bâtimentou: Guide
non, d’audit
le diagnostiqueur
énergétique 1999risque de se trouver4 face à une
4. multitude
VENTILATION
120 de
ET INFILTRATIONS
30 égaux aux 15valeurs30 15 le tableau
données dans
Dans tous les cas, le diagnostiqueur ne peut se désintéresser 5 et plus des problèmes 30 suivant : 15
135 30 15 Art. 5 – Les entrées d’air, complétées par la
et doit veiller à maintenir une ventilation suffisante. perméabilité des ouvrants, doivent permettre
Nombre de pièces d’obtenir les débits définis à l’article 3.
Nominal/Max
its de ventilation
DEBITS EXTRAITS EXPRIMES en m3/h
principales
Salle de bains 1 2 3 4 5 6 7 Pièces principales = toutes sauf les
Nombre
Dans lesetAutre
nettement les secteursderésidentiels
ou douches logements ne d’aisance
Cabinet comportant
aut séparer très
de pièces
Cuisine qu’une
commune pièce
ou non
tertiaires,
principale,
salle la
auxquels
salle de
ne
bains ou Débit total secondaires
nt pas les mêmes règles.
principales minimal en
4
de douches
avec cabinets et led’eau
cabinet d’aisances peuvent 35 60 75 90 105 120 135
du logement Unique Multiple 3
m /h
NTS avoir, s’ils
d’aisances sont contigus, une sortie d’air
réglementation ayant beaucoup évolué, commune située dans le cabinet d’aisances.
et concernant habituellement les Débit minimal Pièces secondaires = cuisines, salles
Le débit d’extraction à prendre15 en compte 15 est
urs (et non les gestionnaires), aucune règle ne15
1 75 peut vraiment15 être considérée comme en cuisine en
de 1515mètres cubes 15par heure.
On peut toutefois prendre comme première référence les règles qui s’appliquent 15
2 90 15 aux
3
m /h
20 30 45 45 45 45 45 d’eau, cabinets d’aisance
3
bâtiments, actuellement 105 de construction.
en cours 30 15 15 15
sont les suivantes4: 120 30 En cas d’absence
15 de
30cloison entre
15 la Lorsque l’aération est assurée par un
5 et plus 135 salle30de séjour et 15 une chambre,
30 la 15
pièce
dispositif mécanique qui module
unique ainsi créée est assimilée à deux
LOGEMENTS automatiquement le renouvellement d’air du
pièces principales.
(Arrêtés du 24 mars 1982 et du 28 octobre 1983) logement, de telle façon que les taux de
pollution de l’air intérieur ne constituent aucun
Si, de construction, 1 2 une3 hotte 4 5 est 6 danger
7 Exemple : 4 pièces principales, cuisine, bains, WC :
pour la santé et que puissent être
L’aération des logements doit d’aisances,
raccordée àréalisées
l’extractionpar de ladescuisine,conduits
un débit
Dans les logements ne comportant évitées les condensations, sauf de façon
re générale et permanente au verticaux à Débit
plusoufaible tirage naturel Ilouest
esttotal
admis. desdéterminé,
dispositifs en
qu’une pièce principale, la salle de bains les débits3 définis par le tableau ci-
(m /h)
dant la période ou la température mécaniques. En installation collective de passagère, Cuisine Bains WC Total
obligeAttention ! la réglementation est beaucoup
de douches et le cabinet d’aisances peuvent
à maintenir
avoir, s’ils les fenêtres
sont contigus,
fonction
ventilation,
une sortie d’air si
modalités
de
3
l’efficacité
minimal
une
en
/h pièce de
mapprouvées
de la hotte,
35 60 75possède
parservice
suivant
le ministre chargé
des
90 105 120 dessus135 peuvent être réduits.
Toutefois dans dansles lebâtiments une L’emploi d’un tel dispositif doit faire
desortie d’air mécanique, toutes les autres
la santé.
plus complexe...
commune située
unLeisolement acoustique
débit d’extraction
cabinet d’aisances.
renforcé,
à prendre piècesest
en compte
Débit minimal
de service doivent en posséder une.
en cuisine en
l’objet
de la
d’une max
construction
120
autorisation du ministre chargé
et de l’habitation et du
30 30 180
ion
de de l’arrêté cubes
15 mètres du 6 octobre 1978,
par heure. L’air
Des doit
3 pouvoir 20
cabinets circuler
d’aisances
30 45 librement
45 45 sont45 45
(et je ne tiens pas compte des infiltrations...)
doit pouvoir être générale et desconsidérés
m /h
pièces principales
comme multiples vers les s’il pièces de au
en existe
ministre chargé de la santé, qui fixe les débits
mini
minimaux à respecter. 45 - - 90
e en toute saison. service.
En cas d’absence de cloison entre la moins deux dans le logement, même si l’un
circulation Lorsque foisl’aération
salle est etassurée par un En tout état de cause, le débit total
salle de de l’air et
séjour doitunepouvoir se
chambre, Une
la d’entre
pièce euxpièce à ladans
est situé principale
une de
d’eau.
extrait est au moins égal à la valeur donnée
palement par entrée d’air dans les service telle dispositif mécaniqueayant qui
qu’une chambre un module
Parois
RT = Rse + R1 + R2 + R3 + R4 + Rsi
Ponts Thermiques
Angles...
Ponts Thermiques
Problème avec les bâtiments ☞ pas que des
parois planes !
Jonctions...
Ponts Thermiques
1 : liaisons murs-plancher
2 : liaison refends-façades
3 : linteaux
4 : appuis des baies
5 : liaison entre tableaux des
baies et huisserie
6 : angles des murs
· Si la nécessité de renouveler l’air est essentielle, il faut chercher à maîtriser les dé-
perditions énergétiques dues à la ventilation, en :
-contrôlant les flux d’air et les débits (et donc les infiltrations parasites),
-recherchant des solutions techniques économes en énergie (récupération sur air
Ponts Thermiques
Règles Th-U
Fascicule 1/5
Réglementation Thermique 2005
Règles Th-U - Fascicule 2 : Matériaux - Sommaire I
20 pages
Coefficient Ubât
Règles
DéterminationTh-U
du coefficient moyen de transmission à travers les parois
84 pages
1.1
2.2 Références
Conventionsnormatives .............................................. 1
............................................................... 6 2.5.4 Liège......................................................................... 7
Fascicule 4/5
1.2
2.2.2
Termes
Réglementation
Valeur
Parois
et défi
thermique
déperditives
nitions,
Thermique
utile
symboles
2005 et unités .................
2.2.1 Dimensions ................................................................ 6
1.2.1 ................................................
....................................................
1
1
7
2.5.5 Paille comprimée. ..................................................... 7
2.6 Matériaux isolants manufacturés.............................. 8 I
Règles Th-U - Fascicule 5 : Ponts thermiques - Sommaire
1.2.2
2.2.3 Symboles et unitésde
Ponts thermiques ....................................................
liaisons .................................... 2 9 2.6.1 Balsa......................................................................... 8
1.3
2.2.4 Caractéristiques
Maisons accoléesthermiques ..................................... 2
...................................................... 9 2.6.2 Laines minérales ...................................................... 8
Parois opaques
1.3.1 Cas général ...............................................................
2.3 Formule générale ...................................................... 9
SOMMAIRE
2 2.6.3 Liège......................................................................... 8
Règles Th-U
1.3.2
2.3.1 Cas
Calcul
1.3.3
2.4 Produits
des isolants
Détermination
desréfl
Rapport
Chapitre
1.3.4
duthermiques
coefficient b
caractéristiques
manufacturés ..............
................................
thermiques
échissants opaques ...............................
...................................................................
I : Introduction
Maçonneries ..............................................................
10
12
.................................................... 2
2
1
2.6.4 Matières plastiques alvéolaires ................................ 9
2 des parois
2.6.5
2.6.6
Plaques
Chapitre
opaques
à base de perlite expansée...................... 10
III : Valeurs
Plaques homogènes par défaut
de verre .....................................
cellulaire. ................ 10 18
172 pages
1.1 Références normatives ............................................. 1 3.1 Produits
2.6.7 Coefficient Ug des vitrages
manufacturés à base en partie courante,
Fascicule 5/5
1.2 DéfiIInitions,
Chapitre : Valeurs symboles
tabulées et indices ............................... 3
........................................... 2
3.1.1
en fiW/(m
de bres .K)
Vitrages
2
.............................................................
végétales
simples
18
.................................................. 10
...................................................... 18
2.1 Pierres ...................................................................... 3
Chapitre
2.1.1 II : Méthodes
Roches plutoniques deetcalcul ......................................
métamorphiques ................. 33 3.1.2 Produits
2.6.8 Vitrages manufacturés
doubles verticaux à base ..................................... 19
Ponts Thermiques
2.1 Roches
2.1.2 Principevolcaniques
.....................................................................
................................................. 4 3 3.1.3 de
Vitrages
fibres doubles
animaleshorizontaux ................................. 10
................................................... 20
2.2 Pierres
2.1.3 Calcul de la paroi
calcaires vitrée ............................................ 3
....................................................... 3.2 Matières
2.7 Coefficient ψ de la jonction
plastiques synthétiques élément
2.2.1 Grès
2.1.4 Fenêtres, portes, et portes-fenêtres.......................... SOMMAIRE
.......................................................................... 3 de remplissage
compactes, mastics- menuiserie,
et produits end’étanchéité.
W/(m.K) .............. 21
....... 11
Calcul
2.2.2
2.1.5 Paroides
Silex, vitréeponts
meulièresavecetfermeturesthermiques
ponces et stores....................... 3
....................................... 4 3.3 Matières
2.7.1 Coefficient Uw des parois
synthétiques vitrées courantes ........... 21
compactes
2.2.3
2.2 Coeffi
Chapitre I : cient
Bétons moyen U
Introduction .......................................... 4
......................................................................
....................................................
jour-nuit
5
1 3.3.1 d’usage
3.3 Menuiserie
Planchers àmétallique
courant dans le
entrevous àbéton
rupture
bâtiment ..........................
ou terre cuite (R) ..... 11 39
2.2.4
2.2.1 Blocs-baies
1.1 Bétons
Références ...............................................................
de granulats
normatives courants siliceux,
............................................ 6
1 2.7.2 de pont pour
3.3.1 Mastics
Planchers thermique
joints,..................................................
à entrevous étanchéité
en terre cuite ..................... 39 22
2.2.5 Façades rideaux
1.2 silico-calcaires
Définitions, symboles .......................................................
et calcaires ......................................
et indices 6
............................... 4
2 3.3.2 Menuiserie
etPlanchers
coupure à en PVC
thermique. ..................................................
entrevous............................................
en béton ........................... 11 23
40
2.2.6
2.2.2 Présentation
1.3 Bétons des
de granulats
Conventions résultats
courants .........................................
de laitiers
............................................................. 7
3 3.3.3 Produits
2.7.3
3.4 Menuiserie
Planchers àen BOIS ................................................
d’étanchéité
entrevous .............................................
polystyrène (R) .................. 11 25
42
Règles Th-U
Réglementation Thermique 2005
Règles Th-U - Fascicule 1 : Coefficient Ubât - Chapitre I : Introduction aux règles Th-Ul
Quelques définitions :
α < 60°
Local : Un local est un volume totalement séparé de
l’extérieur ou d’autres volumes par des parois fixes ou
Plancher haut
mobiles.
Plancher haut
Plancher intermédiaire Plancher haut
Espace chauffé : Local ou volume fermé chauffé à une
température supérieure à 12 °C en période d’occupation.
Plancher bas Plancher intermédiaire Plancher bas
Paroi verticale ou horizontale : Une paroi est dite verticale
lorsque l’angle de cette paroi avec le plan horizontal est
Plancher haut
Plancher intermédiaire
Plancher haut
supérieur ou égal à 60 degrés, elle est dite horizontale
lorsque cet angle est inférieur à 60 degrés.
Plancher intermédiaire
Plancher bas : Paroi horizontale (α < 60°) donnant sur un
local chauffé uniquement sur sa face supérieure.
Plancher bas Plancher intermédiaire Plancher bas
Plancher intermédiaire : Paroi horizontale (α < 60°)
donnant, sur ses faces inférieures et supérieures, sur des
Plancher bas
locaux chauffés
Extérieur Espace non chauffé
Plancher haut : Paroi horizontale (α < 60°) donnant sur un
Intérieur Sol
local chauffé uniquement sur sa face inférieure
Figure 1 : Planchers bas, intermédiaires et hauts
dont l’une au moins donne sur l’extérieur ou est en contact avec le
sion thermique de la paroi déper-
sol, sont considérés comme donnant sur l’extérieur.
né selon les fascicules « Parois
», il s’exprime en W/(m2.K) et se Les coffres de volets roulants, intégrés dans la baie, doivent être
calculés comme faisant partie de la paroi vitrée, les autres doivent
en contact avec le sol ou donnant
sur un sous-sol non chauffé,
opaques,
portes et les portes-fenêtres non
« Parois vitrées » Règles Th-U
être calculés comme des parois opaques. La méthode générale
de calcul des coffres de volet roulant est donnée dans le fascicule
Paroi verticale
Si la paroi donne sur un local non
inclinaison ≥ 60 °
chauffé, il faut utiliser Rsi des deux
0,13 0,04 0,17
côtés
'MVYIPSJ[POUBM
0TTBUVSFNÊUBMMJRVFàMBOUF
0TTBUVSFFOCPJT àMBOUF
3BJMNÊUBMMJRVFàMBOU
que 2005
Dans le cas de parois planes constituées de
arois opaques - Chapitre II : Méthodes de calcul 15
couches homogènes, on fait simplement la
somme des résistance (en incluant les lames
es et toitures double peau d’air)
Pour les"UUBDIFQPODUVFMMF
parois contenant des ponts thermiques
Figure 10
intégrés (i.e. paroi non homogènes) on calcule
une résistance moyenne équivalente....
Information Description
– Partie courante Y – Couches d’isolants + lames d’air éventuelles + revêtements
C
– Ponts thermiques intégrés
C
– Ossatures filantes : ψ
– Pattes d’attache : χ
On trouve les cas courants dans le fascicule 4/5
– Vis de fixation : χ Y
6
– Méthode de calcul 1
D 1 - Calcul direct de Up (modèle 3D + formule (16))
Le
56 Exemple : Plancher sur vide sanitaire
Planchers
0,0calcul
bas
≤ h < 0,4
sur vide sanitaire (U )
Réglementation Thermique 2005
Règles Th-U - Fascicule 4 : Parois opaques - Chapitre III : Valeurs par défaut
e
27
m .K/W
2
516
0,25
0,31
0,24 0,23 0,3
v =0,24
0,21 0,290,2 0,270,19 0,250,18 4,00
0,28
m/s0,21
0,170,32 m0,3.K/W
2
0,26
0,28 0,19
0,2
0,24
0,26 0,25
0,18
0,23
0,34
0,18
0,31
0,31
0,22 0,29
0,28
0,21 0,27 m0,2.K/W
0,26
2
0,250,19
0,25
0,18
0,23
R618
f 0,3
0,2 0,28
0,19 0,260,18 0,24 0,17 0,23 0,17 0,31 0,20,29R 0,27
f 0,19 0,25
0,19 0,24
0,18 0,32
0,17 0,3
0,21 0,28
0,2 0,26 R0,24
0,19 f 0,18 0,17
26Sol 0,25720 0,23
0,29
0,19 0,27
0,220,250,17 0,29 λ =0,22
0,240,17 2,00
0,27 W/(m.K)
0,3 0,25
0,28 0,240,18
0,26 0,24 0,220,23 0,29 0,29 0,27
0,31 0,27 0,26
0,19 0,25 0,24 0,24 0,170,23
,25 2,50 2,75 0,183,0 2,00 2,25 0,192,500,19 2,75
0,16 3,0 0,16 2,000,2 2,25
0,17 2,50 0,17 2,75
0,18 3,0
25 0,248 0,28
0,22 0,26
Les valeurs intermédiaires 0,21
de
0,24 0,23
0,28
U peuvent être
0,22
0,26
obtenues par
0,29 0,27
0,24
interpolation
0,25
linéaire avec 0,23
0,24 0,22
0,22
suffisamment de
etc...
0,3
précision. 0,28
0,28 0,26
0,26 0,25
0,25 0,23
0,23 0,22
,32 0,29 0,27 0,25 0,26 0,36 0,21 0,33 0,3 0,24 0,28 0,26 0,29 0,37 0,34 0,24 0,31 0,29 0,27
e
9 0,27 0,24 0,22 0,28 0,26 0,23 0,22 0,27 0,25 0,23
24 0,23
10 0,22
0,26 0,24 0,210,23 0,27
0,22 0,20,25 0,27 0,23
0,25 0,22
0,24 0,22 0,21
0,21 0,27
0,28 0,26 0,26
0,25 0,24
0,23 0,22 0,23 0,21
d’après les formules suivantes :
2.2.2.2 Planchers ∆ψ est un$terme LT % %
Verticale Y ¢ correctif
MO qui tient
¢ MOcompte dela présence
(26)
d’une
P E
isolation périphérique :U E U Eh
a• Plancher
- Planchers sur continue
à isolation terre-plein
(figure 17)
LT
d’ étant l’épaisseur supplémentaire « équivalente » %
% résultant de la
$Y ¢
LT
MO
% Figure 17 %
¢ MO DIBVGGÊ 3G
Verticale P EU E U Eh (26)
X
3G Le coefficient de transmission surfacique « équivalent » Ue d’un
•d’Plancher à isolation périphérique plancher bas en sous-sol chauffé s’exprime en W/(m².K) et se cal-
étant l’épaisseur % «(fiéquivalente
supplémentaire gure 18) » résultant de la
cule d’après les formules suivantes :
couche d’isolant périphérique, elle s’exprime en mètre et se cal-
cule d’après la$formule
Y suivante :
6 6
d’ F= λs RD n - dn#h (27) (22) [ L T P #h
% EO Avec Si E U
isolation # 6F
[
MO
[
(28)
Figure 19
P#h E U EU
3O
périphérique
X chauffé
b - Planchers bas de sous-sol
3G Le coeffi
EU
[ cient de transmission surfacique
Si plancher ö# 6F
LT « équivalent » Ue d’un
Figure 18 [ en W/(m².K)(29)
bas en sous-sol chauffé s’exprime et se cal-
% #h E U
cule d’après les formules suivantes :
où X
Uc est le coefficient surfacique « équivalent » du plancher sans
l’effet de l’isolation périphérique : [ L T P #h
EO Si EU # 6F MO (28)
%
[ 4PVTTPM
P#h E U
[
EU
[
DIBVGGÊ 3G
LT P #h 3 O
Si dt < B’ 6 D P#h E MO E (23)
U U
[ LT
LT Si EU ö# 6F (29)
Si dt ≥ B’ 6D Figure 18 (24) [
#h E U #h E U
où
Uc est le coefficient surfacique
Figure 19« équivalent » du plancher sans
etc...
l’effet de l’isolation périphérique :
Exemple : Rampants
Même méthode mais nécessite un peu de vocabulaire
Exemple : Rampants
Il est obligatoire de laisser une
circulation d’air sous la couverture
étanche (parce que justement elle ne l’est
pas toujours)
Parois vitrées
2. la jonction entre la menuiserie et l’élément de remplissage.
Elle se caractérise par un coefficient linéique dû à l’effet ther-
mique combiné du bord de l’élément de remplissage et de la
menuiserie. Ce coefficient s’applique au périmètre de la partie
ou porte-fenêtre, peut être déterminé soit par calcul conformément
à la norme NF EN ISO 10077 parties 1 et 2, soit par mesure à la
boîte chaude gardée selon la norme NF EN ISO 12567-1.
En absence de valeurs mesurées ou calculées selon ces normes,
visible de l’élément de remplissage. des valeurs par défaut sont données aux paragraphes 3.3 et 3.5.
3. la menuiserie.
Les dimensions à prendre en compte pour le calcul du coefficient
Elle se caractérise par un coefficient de transmission surfaci-
surfacique moyen Uw, sont les dimensions hors tout de la fenêtre,
que moyen valable sur toute la surface de la menuiserie.
de la porte ou de la porte-fenêtre, prises indépendamment de la
Pour calculer le coefficient moyen de la paroi nue, on procède mise en œuvre. Tout débordement dû aux recouvrements éven-
tout d’abord au calcul des trois coefficients correspondants aux tuels est à exclure (voir figure 1).
trois zones, puis on détermine
le coefficient moyen de la paroi
par la pondération respective de
Af Af Af
chaque coefficient par l’aire ou le
Ag Ag
linéaire correspondant.
Quant au coefficient moyen
Ujour-nuit, il sera calculé après
détermination de la résistance
complémentaire totale ∆R
apportée à la paroi vitrée par la lg lg
résistance thermique propre de
la fermeture et celle de la lame Figure 1
OB-V.2006
Vitrage Cadre Linéaire
z }| { z }| { z }| {
indd Sec1:3
Ag · U g + Af · U f + g · ` g 11/01/2007 09:30:23
: thermique
(10) fermetur
∆R = 0,80 R + 0,14 (m .K/W) (10) Figure
fermetures 2 ∆R
fermées a tée
est
pour la par
valeur l’ensemble
résistance
: fermeture - lame
additionn
∆R = 0,95 R∆R
2
est la
la résistance
résistance thermique
thermique additionn
additionn
Haut
• Classe 5 - Fermetures de très faible perméabilité : e
Classe de perméabilité : = e1 + e2 +0,20e3×∆R + 0,17 est par la résistance (m .K/W) thermique
fermetureaddition
(11)
f 2
Le coefficient U des fenêtres équipées d’une fermeture extérieure w 2.2.2.2 Stores extérieurs, intérieurs
tant bois, (e ≤ 22 mm) Th-U Th-U Fasc 3.indd Sec1:5
Fasc 3.indd
Th-U Fasc 3.indd
wf • Persienne coulissante PVC et volet battant bois,
Sec1:5
Sec1:5
0,25
Nota est donné par formule : mm)
(e > 22 vitres
Les fermetures de classe 2 et plus ne doivent pas comporter d’ajours • Volet roulant PVC (e > 12 mm) 0,25
en partie courante, sinon elles doivent être considérées en classe 1. 1 e étant l’épaisseur du tablier
Parois vitrées : Volets
Quelques définitions :
Quelques définitions :
Liaisons périphériques : Liaisons situées au pourtour d’un plancher donné. Réglementation Thermique 2005
4 Règles Th-U - Fascicule 1 : Coefficient Ubât - Chapitre I : Introduction aux règles Th-Ul
α < 60°
intermédiaire
Plancher haut
périphérique
Plancher bas Plancher intermédiaire Plancher bas
Plancher intermédiaire
is-
(à
ue
c – Indices
i
e
p
Intérieur
Extérieur ou LNC
Plancher
Ponts thermiques
m Mur
tie
r Refend
c chaînage
tie
). po Poutre
f Feuillure
fa-
d - Légendes
Maçonnerie courante
Quelques définitions :
Béton
Maçonnerie courante : Maçonnerie couramment utilisée (à base de
K) Maçonnerie isolante de type b béton ou de terre cuite) de conductivité thermique équivalente λ ≥ 0,7 W/
K)
(m.K).
Maçonnerie isolante de type a
Isolation répartie en béton cellulaire Maçonnerie isolante type a : Maçonnerie à isolation répartie de
W
W
Isolation répartie en terre cuite
conductivité thermique équivalente λ ≤ 0,2 W/(m.K).
K)
Isolant
Maçonnerie isolante type b : Maçonnerie à isolation répartie de
Sol conductivité thermique équivalente 0,2 < λ < 0,4 W/(m.K).
Entrevous béton ou terre cuite
Plancher en béton plein : Dalle de béton ou plancher préfabriquée en
W Isolation répartie béton plein avec prédalle.
W
Ponts thermiques
Plancher en béton plein : Dalle de béton ou plancher préfabriquée en béton plein avec prédalle.
Ponts thermiques
(Mur de) Refend : Mur porteur situé à l’intérieur de la structure (i.e. pas un mur en contact
avec l’extérieur !)
Feuillure : Entaille dans laquelle vient s’insérer une porte ou une fenêtre
Chainage : Élément de construction en béton armé, qui solidarise les parois et les planchers
d'un bâtiment
Poutre : Elément porteur horizontal et linéaire faisant partie de l'ossature d'un plancher de
bâtiment
Linteau : Elément servant à soutenir la maçonnerie ou les matériaux du mur au-dessus d'une
baie, d'une porte, ou d'une fenêtre.
Ponts thermiques
Ponts thermiques
Ponts thermiques
Valeurs tabulées Ouvertures
Réglementation Thermique 2005
Règles Th-U - Fascicule 3 : Parois vitrées - Chapitre III : Valeurs par défaut
26 Règles Th-U - Fasci
3.5
e Coefficient Uw des portes courantes
Tout est dans le fascicule Th-U
3.4 3/5 !!
Ne sont concernés ici que les portes courantes; Pour les por- 3.5
mplé- tes comportant une isolation spécifique et d’une manière géné-
rale, pour toutes les portes particulières, on peut se reporter aux
Coefficient de transmission thermique Coefficie
,25
Avis Techniques les concernant ou effectuer le calcul selon le moyen Ujour-nuit Ne sont con
NF EN ISO 10077 parties 1 et 2 ou la norme NF EN ISO 6946.
1,1
Ujn pour une résistance thermique complé- tes comport
1,1 Nature de la Type de portes Coefficient U Uw
menuiserie W/(m2.K)
Paroi nue mentaire ∆R de : m2.K/W rale, pour to
1,2
Portes opaques : W/(m2.K) Avis Techniq
1,3 - pleines 3,5 0,08 0,14 0,19 0,25
- pleines avec montants de 45 mm 3,3 NF EN ISO 1
1,4 Réglementation Thermique 2005
Portes équipées de vitrage simple :
1,2 1,1 1,1 1,1 1,1
Portes Règles Th-U - Fascicule 3 : Parois vitrées - Chapitre III : Valeurs par défaut 25
1,4
simples
- proportion de vitrage < 30 % 4,0
1,3 1,2 1,2 1,2 1,1 Nature de l
- proportion de vitrage comprise en- 4,5
1,5 en bois
tre 30 et 60 %
menuiserie
1,6 1,4BOIS
3.3.3 Menuiserie en 1,3 1,3 1,3 1,2
Portes équipées de vitrages doubles 3,3
1,7 à lame d’air de 6 mm quelle que soit
la proportion du vitrage
1,5 1,4
Uw de la paroi vitrée nue
1,4 1,3 1,3U de la paroi vitrée nue
1,7 en fonction de la conductivité
w
en fonction de la conductivité
1,8 Portes opaques 5,8 Type de la 1,6
Ug du vitrage 1,5
thermique utile du bois 1,5 Type de la 1,4U g
du vitrage 1,4thermique utile du bois
paroi vitrée W/(m2.K) paroi vitrée W/(m2.K)
W/(m2.K) W/(m2.K)
Portes équipées de vitrages simples 5,8
1,9
quelle que soit la proportion du vi- 1,7 λ = 0,13 W/(m.K) 1,6
λ = 0,18 W/(m.K) 1,5 1,5 1,4
λ = 0,13 W/(m.K) Portes
λ = 0,18 W/(m.K)
Portes simples
2 trage 1,2 1,8 1,9 1,2 1,8 2,0
simples 1,8 1,7 2,0 1,6 1,6 1,5 1,9
2 en métal Portes équipées de vitrage double : 1,3 1,8 1,3 en bois
2,1
- proportion de vitrage < 30 % 5,5 1,4
2,1 - proportion de vitrage comprise en- 4,8
1,9
1,4 1,9 1,8 2,1 1,7 1,6 1,6 2,0 2,1
1,5 2,0 2,1 1,5 2,0 2,2
2,2 tre 30 et 60 %
2,0
1,6 2,0 1,9 2,2 1,8 1,7 1,6 1,7 2,1 2,2
2,2 Portes en
1,7 2,1 2,2 1,7 2,1 2,3
verre sans Portes en vitrage simple 5,8 2,1 1,9 1,9 1,8 1,7 2,2
2,3 menuiserie 1,8 2,2 2,3 1,8 2,4
Éléments 2,2
1,9 2,2 2 2,4 1,9 1,9 1,9 1,8 2,3 2,4
souples 5,8 2,0 2,3 2,4 Portes-fenêtres 2 2,3 2,4
Fenêtres battantes avec
battants battantes 2,12,3 2,3 2,1 2,4 2 soubassement
2 2,1 1,9 2,3 2,4
es par 2,2 2,4 2,2 2,3 Portes
2,5
Tableau XXVIII 2,4 2,2 2,5 2,1 2 2
2,3 2,4 2,5 2,3 2,4 simples
2,6
ée par 2,5
2,4 2,5 2,3 2,6 2,2 2,1 2,4 2 2,5 en métal
2,6
graphe 2,5 2,6 2,7 2,5 2,5 2,7
Réglementation Thermique 2012
nement : poursuivre la dynamique impulsée
Evolution des RTs
sommation » pour faire un saut énergétique en 2012
ergétique des
Principes Généraux
Les exigences de la RT 2012
• Perméabilité à l’air
• Traitement des ponts thermiques
Des exigences • Comptage de l’energie
de moyens
Bbiomax=Bbiomaxmoyen*(Mbgéo+Mbalt+Mbsurf)
Bbiomax=Bbiomaxmoyen*(Mbgéo+Mbalt+Mbsurf)
SHONRT=
Surface plancher - Surface non chauffé
Cep ≤ Cepmax
• La condensation en surface
• La condensation en masse
Qui sont toutes les deux à l’origine de problèmes...
Pourquoi ?
La condensation en surface intervient lorsque un air «chaud
et humide» entre en contact avec une surface «froide» : Une
partie de l’eau «vapeur» passe à l’état liquide et se dépose
sur la surface.
8 ✓ ◆
>
> 17.269 · T 4717.03
< 610.5 · exp pour T 273.15 K
✓ T 35.85 ◆
pv,sat (T ) =
>
> 21.875 · T 5975.16
: 610.5 · exp pour T < 273.15 K
T 7.65
A la saturation, on a r=rsat
Rappels sur l’Air Humide
r pv (T )
' = 100 · = 100 ·
rsat pv,sat (T )
L’air dans ma pièce est à 20°C avec une HR de 80%. Quelle est
la température minimale de paroi que je dois maintenir pour
éviter la condensation en surface ?
0.9
0.9
0.9
0.9
0.9
(kg d'eau/kg d'air sec)
4m
2m
6
5
3
m/
3
/kg
3
3 kg
/kg
h
/kg
/ kg
0.9
J/gk 35
1m
135
kJ/k
g
/kg3
130
k
0 .9
J/kg
0m
100%
125
3
k J/kg
/kg
30
ré (=
0.8
120
k
=Cte
J/kg
9m
satu
3
%)
/k g
115
(
k J/kg
0.8
)
ide
(%
th=
8
th=
Ct
25
um
e 110
jc.castaing@free.fr
http://jc.castaing.free.fr
m/
Ct e
ve
k
3
J/kg
C te
ati
h=C
rh
kg
te
rel
)=
0.8
105
é
k
dit
(%
J/kg
7
h=C
mi
m
te
Hu
100
/kg
h=C k J/kg
0.8
te tr=Cte =Cte
20
6m
95 k
3
th= J/kg
/kg
Ct
V ol
0.8
e
ts=Cte
um e
90 k
m/
J/kg
3 kg
spé
0.8
t 85 k
c
15
4m
J/kg
ifiq
3
0. 8
ue (
/kg
(°C)
tr th ts 80 k
3m
m3/
J/kg
3
0 .8
/kg
kg d
0% 75 k
2m
10 J/kg
'air
0.8
%
3
90 80 %
/kg
10
se
1
% 70 k
0.8
c)
m/
70 % J/kg
3
60
0
%
kg
50
0.7
m/
3
% 65 k
9
40
0.7
kg
J/kg
m/
30 %
3
8m
0.7
kg
60 k
7
Ent
0 .7
3
/kg
halp 20 % J/kg 5
m/
0 .7
6m
3
0.7
i e sp
0 .7
5m
kg
écif
4
i que 55 k
/kg
3m
m/
(kJ/ 10 % J/kg
/kg
3 kg
kg
3
/kg
d'ai
r se 50 k
c) J/kg
-15 k -10 k -5 kJ
/kg
0 kJ
/kg
5 kJ
/kg
10 k
J/kg
15 k
J/kg
20 k
J/kg
25 k
J/kg 30 k
J/kg
35 k
J/kg
40 k
J/kg 45 k
J/kg
0
J/kg J/kg
-20 -10 0 10 20 30 40 50
19/21
Deux difficultés :
• pv,sat est une fonction de la température et on voit donc
apparaître le couplage entre transfert de chaleur et
d’humidité
Solution → Calculer le profil de température
• Il faut connaître le profil de pv à l’intérieur du matériau
Solution → Calculer le profil de pv ! (j’aime le solutions simples)
Calcul du profil de pv
correspond àà la
Elle s'apparente résistance
la conductivité thermique λ. à la diffusion de la vapeur Rd.
11,6083
10° 2.3 Épure
Le tracé des trois courbes formant le diagramme de Glaser est
té délivré pour le compte de 7200034122 - universite pau et pays adour // 194.167.156.15
1,3670
14,2840
2.4 Fissuration
0°
Au niveau de l’enduit hydraulique :
-2,7295
– le choc thermique estival ∆T été e.h. = 24,2203 oC ;
-5°
-3,7537
– le choc thermique hivernal ∆T hiver e.h. = 24,2541 oC.
14,2558 Ppi = 9,8880 mmHg
Ces chocs entraînent des variations linéaires, respectivement :
9,4688 HRi = 60 %
– d’allongement : ∆ℓ été e.h. = 0, 2422 mm / m ;
-9,0168
Te = -10 °C -8,8743 – de retrait : ∆ℓ hiver e.h. = 0, 2425 mm / m ;
7,2538 et des contraintes :
– de compression : σ c été e.h. = 9,69 kg/cm2 ;
– de traction : σ ′t hiver e.h. = 9,70 kg / cm2.
5,0601 5 mmHg
S’il y a « pathologie », vous trouverez ci-après les remèdes à
apporter en fonction du cas considéré.
3,6512
2,6641 3,3539
2,1266
Pse = 1,950 mmHg 2,1551
2.4.1 En travaux neufs
Ppe = 1,7550 mmHg Cond. interne Nous pouvons reprendre ici les mêmes remarques faites au
HRe = 90 % 0,2338 g/m2.h paragraphe 1.4.1.
Cond. interface 0 mmHg
0,1521 g/m2.h
Cond. totale : 0,3859 g/m2.h
2.4.2 En réhabilitation
Figure 2 – Diagramme de Glaser pour une paroi de béton cellulaire Les remarques énoncées au paragraphe 1.4.2 sont également
de 25 cm valables ici.
Modélisation en dynamique