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Université Paris-Est Créteil – Faculté de sciences économiques et de gestion – 1e année de licence Économie et Gestion – 2022-2023 – S1 – QCU 3
Benaouda Benguellaz, Karen Brena, Olivier Ferrier, Pauline Grimaud, Zakia Hidouche, Sandrine Juin,
Khaled Labidi, Julie Lochard, Christine Marineau, Ferhat Mihoubi et Florence Nakache

Questionnaire à choix unique. Une réponse et une seule est exacte.

Une bonne réponse est comptée pour 1 point, une mauvaise pour −1/3 point. L’absence de réponse est comptée pour 0 point.
Ne répondez aux enseignements optionnels (Introduction au droit ou Introduction aux relations internationales)
que si vous avez choisi l’option correspondante.

Introduction au droit 7. Le tribunal de droit commun est le 13. De quand date la création de la cour d’appel d’assises
1. Il existe 7-A - tribunal correctionnel •13-A - 2001
1-A - un code de procédure pénale •7-B - tribunal judiciaire 13-B - 2002
1-B - un code pénal 7-C - tribunal administratif 13-C - 2003
•1-C - un code pénal ET un code de procédure pénale 8. Une plainte peut être déposée 14. Le juge d’instruction
2. La chambre de l’instruction est compétente pour les •8-A - les deux autres réponses sont possibles 14-A - juge
appels des décisions rendues par 8-B - au commissariat • 14-B - instruit
2-A - le juge du tribunal correctionnel 8-C - entre les mains du procureur de la république 14-C - condamne
•2-B - le juge d’instruction 9. La loi Badinter a pour but 15. Il existe en matière pénale
2-C - le juge du tribunal de police 9-A - de prévoir des peines de prison ferme contre les •15-A - trois degrés d’infractions
3. L’avocat est-il obligatoire devant le tribunal correction- auteurs d’infractions 15-B - deux degrés d’infractions
nel ? • 9-B - d’accélérer les procédures d’indemnisation des 15-C - quatre degrés d’infractions
3-A - parfois victimes accidentées de la route 16. Combien de jurés devant la cour d’assises d’appel
3-B - oui 9-C - de protéger les conducteurs de véhicules ter- •16-A - 12
•3-C - non restres à moteur 16-B - 13
4. La partie civile peut-elle percevoir des dommages inté- 10. La loi Badinter date du 16-C - 14
rêts ? 10-A - 5 septembre 1987 17. Combien de jurés devant la cour d’assises ?
4-A - non •10-B - 5 juillet 1885 •17-A - 9
4-B - oui 10-C - 5 août 1986 17-B - 11
•4-C - oui mais seulement si elle prouve son préjudice 11. La victime piéton d’un accident de la route sera-t-elle 17-C - 10
5. La partie civile peut-elle interjeter appel d’un jugement indemnisée dans tous les cas ? 18. Le procureur de la république est un fonctionnaire
correctionnel ?
11-A - non 18-A - faux
5-A - parfois •11-B - oui mais sauf en cas d’erreur inexcusable •18-B - vrai
5-B - oui 11-C - oui dans tous les cas 18-C - cela dépend de son contrat
•5-C - non 12. La preuve est libre en 19. Quelle est la chambre compétente devant la cour de
6. Quel est le code applicable en droit privé 12-A - matière civile cassation en matière pénale ?
•6-A - le code civil •12-B - matière pénale 19-A - la chambre pénale
6-B - le code de la fonction publique 12-C - matière administrative •19-B - La chambre criminelle
6-C - le code administratif 19-C - la chambre correctionnelle

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20. Un juge d’instruction peut 28. People are often reluctant to until they are Introduction à l’économie
20-A - prononcer un non-lieu convinced that their skills are not sufficient to enable them contemporaine
20-B - délivrer un mandat de dépôt to find work.
•20-C - les deux autres réponses •28-A - retrain 35. Dans la théorie des avantages comparatifs, les pays
28-B - downsize ont intérêt à commercer parce qu’ils sont :
21. Doit-on se constituer partie civile pour solliciter des •35-A - Différents en termes de technologies de produc-
dommages intérêts ?
28-C - restructure
tion
21-A - non 29. As the car industry , many are leaving the coun- 35-B - Différents en termes de tailles des firmes
21-B - parfois try in search of work. 35-C - Différents en termes de dotations en facteur de
•21-C - Obligatoirement 29-A - updates production
29-B - deregulates
22. L’enregistrement audio/vidéo est recevable •29-C - relocates 36. De façon générale, le taux d’ouverture est :
22-A - en matière administrative •36-A - Plus faible pour les « grands » pays (en termes de
22-B - en matière civile 30. Choose the prefix that matches all the verbs : orga- taille économique)
•22-C - en matière pénale nise, assess, train
36-B - Indépendant de la taille économique
•30-A - re
36-C - Plus faible pour les « petits » pays (en termes de
23. Quelle est la date d’abolition de la peine de mort ? 30-B - up
•23-A - 9 octobre 1881 taille économique)
30-C - de
23-B - 26 novembre 1981 37. Le premier énoncé du principe des avantages compa-
23-C - 9 septembre 1980 31. Select the correct activity performed by the human
resources department. ratifs est associé à :
24. Le parquet 31-A - Organise transport 37-A - Eli Heckscher
24-A - juger •31-B - Recruitment 37-B - Adam Smith
24-B - condamner 31-C - System maintenance •37-C - David Ricardo
•24-C - peut enclencher une procédure pénale 32. Select the correct activity performed by the R&D 38. Supposons que le Canada peut produire 40 ordina-
teurs par jour ou 40 vêtements par jour alors que l’Argen-
department.
tine peut produire 10 ordinateurs par jour ou 20 vête-
Discovering Economics and 32-A - Organise marketing campaigns
ments par jour. Une seule des affirmations suivantes est
32-B - Keep records
Business English •32-C - Carry out research vraie. Laquelle ?
38-A - L’Argentine a un avantage absolu dans la pro-
25. Which could be the most worrying situations ? 33. Choose the correct word partnership : duction de vêtements
•25-A - Downsizing and delocalisation 33-A - Team models •38-B - L’Argentine a un avantage comparatif dans la
25-B - Retraining and upgrading •33-B - Luxury brand production de vêtements
25-C - Updating and reassessment 33-C - Parent style 38-C - Le Canada a un avantage comparatif dans la
34. Which department is in charge of transport ? production de vêtements
26. What do you call a company at least half-owned by
another company ? 34-A - Public relations 39. La part de la Chine dans les exportations mondiales
26-A - An outlet •34-B - Logistics de produits manufacturés est passée de 2 % en 1991 à
•26-B - A subsidiary 34-C - Sales and marketing quel pourcentage en 2013 ?
26-C - A factory 39-A - Environ 50 %
27. Select the correct phrase : •39-B - Près de 20 %
27-A - Deal assembly lines 39-C - Moins de 5 %
•27-B - Draw up a contract
27-C - Maintain press release

2
40. Les externalités (positives ou négatives) peuvent sur-
venir lorsque :
40-A - L’action d’un agent est toujours coûteuse pour
les autres agents
•40-B - L’action d’un agent est bénéfique ou coûteuse
pour un agent non impliqué dans la transaction
40-C - L’action d’un agent est toujours bénéfique aux
autres agents
41. Les inégalités de salaire et d’accès à l’emploi dans les
pays développés depuis les années 1980 peuvent s’expli-
quer par :
41-A - Le commerce Nord-Sud uniquement
•41-B - Le progrès technique et le commerce Nord-Sud
41-C - Les migrations uniquement
42. Du fait des externalités, les agents tendent à :
42-A - Surestimer le coût de leur action polluante et le
bénéfice de leur action pro-environnementale
•42-B - Sous-estimer le coût de leur action polluante et
le bénéfice de leur action pro-environnementale
42-C - Surestimer le coût de leur action pol-
luante et sous-estimer le bénéfice de leur action pro-
environnementale
43. Le problème du « passager clandestin » peut survenir
lorsque :
43-A - Les biens publics sont rivaux et exclusifs, donc
les consommateurs qui ne paient pas pour un bien ne
peuvent pas le consommer
43-B - Les biens publics sont exclusifs. Par conséquent,
les consommateurs qui ne paient pas pour un bien ne
peuvent pas le consommer
•43-C - Les biens publics sont non exclusifs, donc on ne
peut pas empêcher les consommateurs qui ne paient pas
pour le bien de le consommer
44. La hausse des émissions liée à l’augmentation de la
production correspond à :
•44-A - L’effet d’échelle
44-B - L’effet technique
44-C - L’effet de composition
45. Laquelle de ces propositions ne correspond pas à l’un
des bénéfices attendus du commerce international :
45-A - Le prix moyen diminue
45-B - Les ressources peuvent être allouées plus effica-
cement
•45-C - Les impôts peuvent diminuer
46. Pour mesurer les inégalités de salaire, on peut utiliser
la prime de qualification (skill premium), calculée généra-
lement comme :
46-A - Le nombre de travailleurs qualifiés divisé par le
nombre de chômeurs
46-B - Le nombre de travailleurs qualifiés divisé par la
population active
•46-C - Le salaire moyen des travailleurs qualifiés divisé
par le salaire moyen des travailleurs non qualifiés
47. Remplacer le terme manquant (entre crochets) dans
la définition de la mondialisation selon J. Stiglitz : « inté- 52-C - Droits de douane
gration plus étroite des pays et des peuples permise par la 53. L’OMC est :
réduction des coûts de transport et de communication et
par l’élimination des barrières […] aux échanges de biens,
services, capitaux, connaissances et dans une moindre
mesure des personnes »
47-A - Naturelles
•47-B - Artificielles
47-C - Naturelles et artificielles
48. Depuis une vingtaine d’années, il y a eu une augmen-
tation générale :
48-A - Des droits de douane mais une baisse des bar-
rières non tarifaires
•48-B - Des barrières non tarifaires mais une baisse des
droits de douane
48-C - Des droits de douane et des barrières non tari-
faires
49. La qualité de l’air est un exemple de :
•49-A - Bien public
49-B - Bien privé
49-C - Bien commun
3
50. Le commerce intra-branche est :
•50-A - L’exportation et l’importation simultanées d’un
même type de biens
50-B - L’exportation d’un type de biens sans importa-
tion correspondante
50-C - L’importation d’un type de biens sans exporta-
tion correspondante
51. Les différences de coûts d’opportunité de produire un
bien plutôt qu’un autre bien entre deux pays sont au cœur
du principe :
51-A - De précaution
•51-B - De l’avantage comparatif
51-C - De l’avantage absolu
52. Les quotas et les normes sont des exemples de :
•52-A - Barrières non tarifaires
52-B - Barrières tarifaires
•53-A - Une organisation internationale
53-B - Une Organisation Non Gouvernementale (ONG)
53-C - Un organisme dépendant du gouvernement des
Etats-Unis
54. La baisse des barrières aux échanges et la baisse des
coûts de transport permettent d’expliquer :
•54-A - Les deux vagues de mondialisation
54-B - La première vague de mondialisation unique-
ment
54-C - La deuxième vague de mondialisation unique-
ment
Introduction aux relations
internationales
55. Datez les premiers dommages recensés sur l’environ-
nement ?
55-A - En 1886 avec Haeckel qui traite des relations
des êtres vivants avec leurs milieux
•55-B - À l’empire romain avec le déboisement pour
l’installation des thermes et la capture d’animaux pour
les jeux.
55-C - Aux débuts de la révolution industrielle
56. Qu’est-ce que le PNUE ? (Le Programme des Nations
unies pour l’environnement)
•56-A - Le PNUE est la plus haute autorité des Nations
unies dédiée aux questions environnementales, sa mission
est de coordonner les actions environnementales de l’ONU
56-B - Le PNUE est le plus grand rassemblement de
chefs d’État pour trouver un équilibre entre développe-
ment économique et protection du patrimoine naturel
56-C - Le PNUE est la plus haute autorité du GIEC qui
étudie les questions environnementales., sa mission est de
coordonner les actions environnementales du GIEC
57. Quelle différence entre principe de précaution et prin-
cipe de prévention ?
57-A - La précaution relève d’un domaine où les risques
sont avérés ou suffisamment démontrés pour faire l’ob-
jet d’un calcul de fréquence, permettant de s’assurer. La
prévention relève d’un domaine où subsiste d’importantes
incertitudes quant à l’existence et à l’ampleur d’un risque,
57-B - La précaution relève d’un domaine où ne
subsiste aucune incertitude, la prévention relève d’un
domaine où les risques sont certains.
•57-C - La précaution relève d’un domaine où subsiste
d’importantes incertitudes quant à l’existence et à l’am-
pleur d’un risque, la prévention relève d’un domaine où les
risques sont avérés ou suffisamment démontrés pour faire
l’objet d’un calcul de fréquence, permettant de s’assurer.
58. Un sommet de la terre est :
58-A - Conférence internationale consacrée aux ques-
tions climatiques et environnementales, organisé par les
Nations unies, il a lieu tous les ans et vise à démontrer la
capacité collective à gérer les problèmes planétaires.
58-B - Conférence internationale consacrée aux ques-
tions climatiques et environnementales, organisé par les
ONG, il a lieu tous les dix ans et visent à démontrer la
capacité collective à gérer les problèmes planétaires.
•58-C - Conférence internationale consacrée aux ques-
tions climatiques et environnementales, organisé par les
Nations unies, il a lieu tous les dix ans et vise à démontrer
la capacité collective à gérer les problèmes planétaires.
59. Quelles sont les critiques de l’accord de la COP 21 de
Paris ?
•59-A - L’accord est contraignant mais pas assorti de
mécanisme coercitif ou de sanctions. En raison des com-
promis nécessaires, le pétrole ou le charbon ne sont pas
mentionnés dans l’accord et l’absence de chiffrages pré-
cis sur les émissions de GES.
59-B - L’accord est contraignant et assorti de méca-
nisme coercitif ou de sanctions. En raison des compromis
nécessaires, le pétrole ou le charbon ne sont pas mention-
nés dans l’accord et le chiffrage sur les émissions de GES
n’est pas publié.
59-C - L’accord n’est pas contraignant mais assorti de
mécanisme coercitif ou de sanctions. En raison des com-
promis nécessaires, le nucléaire et le charbon ne sont pas
mentionnés dans l’accord et l’absence de chiffrages pré-
cis sur les émissions de GES.
60. La commission Brutland 1987 définit le dévelop-
pement durable comme « celui répondant aux besoins du
présent sans compromettre la capacité des générations
futures à répondre aux leurs ». Quels sont les trois princi-
paux principes de ce développement durable ?
60-A - L’environnement, les ressources naturelles, l’éco-
nomie
60-B - Le développement, l’environnement, la justice
•60-C - Le développement, l’environnement, la durabi-
lité
4
61. En 2020 quels sont les pays les plus gros émetteurs de
dioxyde de carbone ?
•61-A - La Chine, est responsable de 30,7 %, les États-
Unis sont responsables de 13,8 %, l’Union européenne de
7,9 % et l’Inde de 7.1 % des émissions
61-B - Les États-Unis sont responsables de 40 % des
émissions, la Chine est responsable de 40 % et le reste est
le fait de l’Inde.
61-C - La Chine, est responsable de 30,7 %, la Russie de
13,8 % , l’Union européenne de 7,9 % et l’Inde de 5 % des
émissions
62. Quels secteurs économiques produisent le plus émis-
sion de CO2 dans le monde ?
62-A - Les transports puis le résidentiel puis les indus-
tries de construction.
62-B - La production d’électricité et de chaleur, puis les
industries de construction puis les autres secteurs dont le
tertiaire.
•62-C - La production d’électricité et de chaleur, puis les
transports, puis les industries de construction.
63. Quels sont les pays plus gros producteurs de dioxyde
de carbone en cumulé depuis 1850 ?
63-A - Le Brésil représente 20,3 %, l’Indonésie repré-
sente 11,4 % et l’Allemagne représentent 6,9 %,
•63-B - Les États-Unis représentent 20,3 %, la Chine
(11,4 %) et de la Russie (6,9 %).
63-C - Les États-Unis représentent 50,3 %, la Chine
(21,4 %) et de la Russie (18,9 %).
64. Sur quel principe repose le droit international de l’en-
vironnement ?
•64-A - Il repose sur un principe de solidarité au nom de
la protection du bien commun
64-B - Il repose sur la signature de 300 conventions et
traites multilatéraux
64-C - Il cherche à encadrer les comportements, notam-
ment non étatiques des organisations.
65. Quel est l’auteur ou le document qui a mis en avant le 68. En Europe, en 2019/2020 quelles sont les différents 71. Quels moyens sont à la disposition des COP ?
principe du pollueur -payeur ? types d’énergie utilisées dans l’ordre décroissant ? •71-A - Le moyen principal est l’engagement volon-
65-A - Le traité de l’union européenne dans les prin- •68-A - Énergies renouvelables, énergies fossiles, énergie taire de chaque pays à établir, communiquer et actualiser
cipes fondamentaux de la politique de l’environnement nucléaire tous 5 ans à partir de 2023, les efforts qu’il entreprend
•65-B - L’économiste libéral Arthur Cecil Pigou (1877- 68-B - Énergies fossiles, énergies renouvelables, éner- en matière de développement durable. Le second moyen
1959), gies nucléaires est l’engagement des pays développés à aider les pays en
65-C - La déclaration de la Conférence des Nations 68-C - Énergie nucléaire, énergies renouvelables, Éner- développement, en vue de permettre l’application efficace
Unies sur l’environnement dans la déclaration de Rio gies fossiles de l’Accord.
66. Quel est le rôle du GIEC ? 71-B - Le moyen principal est constitué de sanctions
69. Quel principe innovant, est maintenant utilisé en si le respect des engagements est insuffisant. Le second
•66-A - Le GIEC fait une synthèse de l’état des connais- droit international ?
sances / des informations scientifiques disponibles sur moyen est l’engagement des pays développés à aider les
•69-A - Le principe de précaution formulé pour la pre-
pays en développement en vue de permettre l’application
l’évolution du climat, ses causes, ses impacts, et les pos- mière fois en 1992, dans le principe 15 de la Déclaration
sibilités d’atténuer l’évolution future et de s’adapter aux efficace de l’Accord.
de Rio
changements. 71-C - Le moyen principal est l’engagement volontaire
69-B - Le principe de prévention formulé pour la pre- de chaque pays a débloquer des fonds en matière de déve-
66-B - Le GIEC produit des connaissances / des infor- mière fois en 1992, dans le principe 15 de la Déclaration
mations scientifiques sur l’évolution du climat, ses causes, loppement durable. Le second moyen est l’engagement des
de Rio
ses impacts, et les possibilités d’atténuer l’évolution future pays développés à sanctionner les pays en développement,
69-C - Le principe de gestion des risques formulé pour en vue de permettre l’application efficace de l’Accord.
et de s’adapter aux changements. la première fois en 1992, dans le principe 15 de la Décla-
66-C - Le GIEC fait des recherches sur l’évolution du ration de Rio 72. Quelles sont les caractéristiques de la diplomatie cli-
climat, ses causes, ses impacts, et les possibilités d’atté- matique ?
70. Quelles nuances faut-il apporter à ces chiffres d’émis-
nuer l’évolution future et de s’adapter aux changements.
sions d’aujourd’hui ? •72-A - C’est une notion récente des années 1970. Cette
67. La COP 21 de Paris : 70-A - Ils ne tiennent pas compte de la taille de la diplomatie s’exerce dans différentes enceintes /à différents
•67-A - Est le premier accord international sur le climat population du pays mais des émissions cumulées dans niveaux comme les Conférences des Parties (COP) ou les
à caractère universel entré en vigueur en 2016, constitue temps. Sommets de la Terre. Les décisions prises reposent large-
une étape importante dans la lutte contre le réchauffe- •70-B - Ils ne tiennent pas compte de la taille de la ment sur le consensus. Elle reste dominée par les États
ment climatique et a été ratifié par 183 pays population du pays, ni des émissions cumulées dans le 72-B - C’est une notion récente des années 2022. Cette
67-B - Est le premier accord international sur le climat temps, ni du niveau de développement des pays. diplomatie s’exerce dans différentes enceintes / à diffé-
à caractère universel entré en vigueur en 1996 et constitue 70-C - Ils tiennent compte de la taille de la population rents niveaux comme les Conférences des Parties (COP)
une étape importante dans la lutte contre le réchauffe- du pays et des émissions cumulées dans temps. ou les Sommets de la Terre. Les décisions prises reposent
ment climatique et a été ratifié par 197 pays largement sur le vote à l’unanimité. Elle est maintenant
67-C - Est le premier accord international sur le climat dominée par les ONG.
à caractère universel entré en vigueur en 2006 et constitue 72-C - C’est une notion ancienne des années 1920.
une étape importante dans la lutte contre le réchauffe- Cette diplomatie s’exerce dans différentes enceintes/ à dif-
ment climatique et a été ratifié par 200 pays férents niveaux comme les Conférences des Parties (COP)
ou les Sommets de la Terre. Les décisions prises reposent
largement sur le consensus. Elle est dominée par les Orga-
nisations internationales.

5
73. Quels sont les pays ayant déjà acquis la neutralité car- 76. En quoi consiste, principalement le déclin de la biodi-
bone ?
•73-A - Le Suriname et le Bhoutan sont les deux seuls
pays déjà neutres en carbone
73-B - La Chine, la Russie et l’inde sont les trois seuls
pays déjà neutres en carbone.
73-C - Le Suriname le Bhoutan et la Finlande sont les
trois seuls pays déjà neutres en carbone
74. À quoi est dû la particularité française : Moins d’émis- raient disparaitre mais des terres et sols qui se dégradent,
sions de gaz liés à l’énergie et un pourcentage plus impor-
tant pour les transports ?
74-A - Les transports sont plus importants et plus pol-
luants en France
74-B - La production d’électricité est essentiellement
nucléaire et les transports sont plus développés en France
•74-C - La production d’électricité est essentiellement
nucléaire, le pourcentage est donc inférieur pour la pro-
duction d’énergie.
75. Qu’est-ce qu’une COP aujourd’hui ?
75-A - Est un lieu de négociations politiques et d’évé-
nements parallèles destinés à sensibiliser le public sur les
enjeux de développement durable qui réunit 197 parties
ayant ratifié la Convention (196 États et l’Union euro-
péenne) et des représentants de collectivités territoriales.
75-B - Est un lieu de négociations politiques et d’événe-
ments parallèles destinés à sensibiliser les chefs d’états sur sources renouvelables.
les enjeux de développement durable qui réunit 110 par-
ties ayant ratifié la Convention (100 États et l’Union euro-
péenne), des représentants de collectivités territoriales et
des acteurs non étatiques.
•75-C - Est un lieu de négociations politiques et d’évé-
nements parallèles destinés à sensibiliser le public sur les
enjeux de développement durable. Elle réunit 197 par-
ties ayant ratifié la Convention (196 États et l’Union euro-
péenne), des représentants de collectivités territoriales
et des acteurs non étatiques (la société civile ou commu-
nauté scientifique).
versité ?
76-A - Des abeilles, des dinosaures et des forêts qui dis-
paraissent, des terres et sols qui se dégradent, des pra-
tiques agricoles intensives qui se développent.
•76-B - Des espèces animales et végétales et des forêts
qui disparaissent, des terres et sols qui se dégradent, des
pratiques agricoles intensives qui se développent.
76-C - Peu d’espèces animales et végétales qui pour-
des pratiques agricoles extensives qui se développent.
77. Quel principe a été mis en place par le sommet de la
terre de RIO en 1992 ?
77-A - Ce dernier pose le principe de « responsabilités
communes mais différenciées » des États, en fonction de
leur population.
•77-B - Ce dernier pose le principe de « responsabilités
communes mais différenciées » des États, en fonction de
leur stade de développement.
77-C - Ce dernier pose le principe de « responsabilités
communes » des États, en fonction de leur PIB.
78. Quels autres outils permettent d’évaluer l’évolution
du climat ?
78-A - L’empreinte durable, le calcul du jour d’épui-
sement de la terre en matière de consommation des res-
• 78-B - L’empreinte écologique, le calcul du jour de
dépassement de la terre en matière de consommation des
ressources renouvelables.
78-C - L’empreinte économique, le calcul du jour de
dépassement de la terre en matière de production agri-
cole.
79. Qui a signé les accords de Paris à la fin de la COP 21 ?
79-A - François Hollande pour la France et Mao pour
la Chine
79-B - Emmanuel Macron pour la France et Xi Jin-
ping, pour la Chine
•79-C - François Hollande pour la France et Xi Jin-
ping, pour la Chine
6
Comptabilité financière
80. L’annuité d’un emprunt est égale :
80-A - Amortissement − intérêts
•80-B - Amortissement + intérêts
80-C - Capital de début de période − intérêts
81. Cette écriture contient 2 erreurs de comptes. Les-
quelles ?
81-A - Il y a une erreur sur le compte de TVA et le
compte d’immobilisation.
81-B - Il y a une erreur sur le compte d’immobilisation
et le compte fournisseur
•81-C - Il y a une erreur sur le compte fournisseur et le
compte de TVA
82. Qu’est-ce qu’une immobilisation par composants ?
82-A - Il s’agit d’une immobilisation composée de dif-
férents éléments, que l’on regroupe dans un seul compte
d’immobilisation pour des raisons d’efficacité comptable
•82-B - Il s’agit d’une immobilisation composée de dif-
férents éléments car leur durée d’utilisation (ou consom-
mation des avantages économiques) est différente. Il faut
donc utiliser pour chaque composant un compte spécifique
82-C - Il s’agit d’une liste de différentes immobilisations
à enregistrer.
83. Dans le plan d’amortissement d’emprunt avec amor-
tissement constant, l’amortissement se calcule :
83-A - Capital × taux d’intérêt
•83-B - Capital / durée
83-C - Capital − taux d’intérêts
84. L’enregistrement d’un bien durable utilise :
84-A - Un compte de charge
•84-B - Un compte d’immobilisation
84-C - Un compte de produit
85. Les intérêts de l’emprunt
•85-A - S’enregistrent au débit du compte 661- intérêts
85-B - S’enregistrent au crédit du compte 661- intérêts
85-C - Augmentent le résultat financier
86. L’acquisition d’une immobilisation :
86-A - S’enregistre au passif du bilan
•86-B - S’enregistre au coût d’acquisition
86-C - Diminue le résultat de l’entreprise
87. On considère une immobilisation selon les critères
suivants :
87-A - Si elle est louée
•87-B - Valeur supérieure à 500 € HT et utilisation
durable (long terme)
87-C - Sa valeur est inférieure à 500 € HT et utilisation
durable (long terme)
88. Que contient le coût d’acquisition ?
•88-A - Le montant net de réductions commerciales et
financières plus les coûts directement attribuables (frais de 94-A - Acteurs sont autonomes et utilisent des moyens
transport, frais d’installation…)
88-B - Le montant TTC + les coûts directement attri-
buables (frais de transport, frais d’installation…)
88-C - Le montant net de réductions commerciales et
financières moins les coûts directement attribuables (frais
de transport, frais d’installation…)
89. Les coûts attribuables sur option doivent être :
89-A - Obligatoirement intégrés au coût d’acquisition
89-B - N’entrent jamais dans le calcul du coût d’acquisi- •95-A - Intégrateur
tion
•89-C - Laissés au choix de l’entreprise de les intégrer ou 95-C - Social.
de na pas les intégrer dans le coût d’acquisition
Introduction à la gestion
90. Lorsque le travail de l’un des services ou membres a
besoin de celui de l’autre, nous sommes en présence
90-A - d’un couplage ajusté
•90-B - d’un couplage réciproque
90-C - d’un couplage séquentiel
91. L’organisation innovatrice, regroupe des experts spé- 97. La structure bureaucratique mécaniste se caractérise
cialisés dans des métiers distincts qui collaborent… par
91-A - Par supervision réciproque 97-A - des mécanismes de coordination basés sur la
91-B - Par supervision directe standardisation des qualifications
•91-C - Par ajustement mutuel 97-B - des mécanismes de coordination basés sur la
standardisation des résultats
92. Le cas de la Nasa correspond à
92-A - une structure adhocratique opérationnelle •97-C - des mécanismes de coordination basés sur
la standardisation des procédés de travail
92-B - une structure adhocratique logistique
•92-C - une structure adhocratique administrative 98. Parmi les 4 types de standardisations, on retrouve
93. En termes de symbole pour l’organisation, le pouvoir 98-A - la standardisation des procédés, des qualifica-
tions et des relations sociales
de communication de l’architecture se retrouve dans l’ex-
pression :
98-B - la standardisation des procédés, des pertes et
des résultats
93-A - Les formes transforment
•93-B - Les formes informent •98-C - la standardisation des procédés, des résultats et
des qualifications
93-C - Les formes déforment
94. On peut mettre en place des mécanismes de couplage 99. Pour assurer la cohérence de l’action collective dans
séquentiel lorsque les : une organisation, on peut distinguer 2 types de méca-
nismes :
séparés dans les activités organisationnelles 99-A - Couplage et découplage
94-B - Acteurs (services, fonctions, départements) sont 99-B - Ajustement et désajustement
indépendants et utilisent des ressources non communes. •99-C - Ajustement et couplage
•94-C - Acteurs (services, fonctions, départements) à 100. H. Mintzberg inventorie 6 configurations organisa-
impliquer dans une activité organisationnelle sont interdé- tionnelles principales, parmi lesquelles on retrouve
pendants. 100-A - Structure simple, Structure fonctionnelle, Struc-
95. D’après Blake et Mouton (1987), le meilleur leader- ture bureaucratique mécaniste, Structure bureaucratique
ship est celui de type : fonctionnelle, Structure additionnelle
• 100-B - Structure simple, Structure fonctionnelle, Struc-
95-B - Intermédiaire ture bureaucratique fonctionnelle, Structure divisionnelle,
Structure adhocratique
100-C - Structure modérée, Structure fonctionnelle,
96. Parmi les éléments de base de l’organisation on Structure mécanique, Structure bureaucratique fonction-
retrouve : nelle, Structure adhocratique
•96-A - Le sommet stratégique Le centre opérationnel La
ligne hiérarchique La technostructure 101. Dans la matrice managériale de Blake et Mouton,
96-B - Le sommet stratégique Le centre opérationnel La le score obtenu par le type de management « démocra-
base hiérarchique La technostructure tique et intégrateur » s’élève
• 101-A - à 9,9
96-C - La base stratégique Le centre opérationnel La
ligne hiérarchique Les fonctions de support logistique 101-B - à 1,9
101-C - à 9,1
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 102. Qu’est-ce qui fait qu’on a du « pouvoir » dans une 108. Dans le modèle de Mintzberg on retrouve 3 types 114. Laquelle de ces 3 citations appartient à Elon Musk
organisation ? de dispersion du pouvoir 114-A - « It’s perfectly healthy –encouraged, even– to
102-A - La légitimité La punition La sanction La réfé- 108-A - Centralisation, Centralisation Verticale, Centrali- have an idea tomorrow that contradicts your idea today »
rence Les zones d’incertitudes sation Horizontale 114-B - « Don’t compare yourself to anyone in this world,
102-B - La légitimité La coercition La récompense La •108-B - Centralisation, Décentralisation Verticale, Décen- if you do, you’re insulting yourself »
gentillesse Les zones d’incertitudes tralisation Horizontale •114-C - « Failure is an option here. If things aren’t fai-
•102-C - La légitimité La coercition La récompense La 108-C - Centralisation globale, Décentralisation Verti- ling, you aren’t innovating enough »
référence Les zones d’incertitudes cale, Décentralisation Horizontale
103. Laquelle de ces affirmations est juste ? 109. Le terme de technostructure fait référence aux tra-
103-A - Plus fort est le degré d’incertitude de l’environ- vaux Microéconomie
nement, plus formalisée sera la structure. 109-A - de J.-M. Keynes 115. L’élasticité prix directe est positive pour un bien
•103-B - Plus fort est le degré de certitude de l’environne- •109-B - de J.-K. Galbraith 115-A - pour un bien de luxe
ment, plus formalisée sera la structure. 109-C - de H. Fayol •115-B - pour un bien inférieur
103-C - Plus faible est le degré de certitude de l’environ- 110. L’exemple d’une opération chirurgicale-réanimation •115-C - pour un bien Giffen
nement, plus formalisée sera la structure
permet d’illustrer 116. La droite de contrainte budgétaire du consomma-
104. Selon R. Likert, lorsqu’on est en présence d’une •110-A - Un couplage réciproque teur. Quand le revenu augmente la droite de contrainte
grande confiance envers les salariés, communication par- 110-B - Un ajustement réciproque budgétaire se déplace dans le plan formé par les quantités
fois ascendante, cela permet d’identifier un type de leader- 110-C - Un ajustement communautaire de bien 1 et bien 2
ship
111. La matrice Swot est un outil d’analyse stratégique 116-A - en un point d’intersection avec la quantité de
•104-A - De style « consultatif » qui a pour but de dresser :
biens 2 plus élevé
104-B - De style « participatif » 111-A - Une vision positive de la situation actuelle d’une •116-B - en parallèle vers le haut et la droite
104-C - De style « autoritaire bienveillant » entreprise, d’une partie de celle-ci ou d’un projet
116-C - en un point d’intersection avec la quantité de
105. Lorsque les mécanismes de coordination reposent •111-B - Une vision d’ensemble de la situation actuelle biens 1 plus élevé
sur la standardisation des procédés de travail, et que la d’une entreprise, d’une partie de celle-ci ou d’un projet 117. Une élasticité prix croisée entre le bien la demande
partie clé de l’organisation est la technostructure, on peut 111-C - Une vision d’ensemble de la future situation de bien ℎ et le prix du bien 𝑘 négative correspond à des
identifier d’une entreprise, d’une partie de celle-ci ou d’un projet. biens ℎ et𝑘
105-A - Une structure divisionnelle 112. Le sens des responsabilités et la sociabilité peuvent 117-A - substituables
•105-B - Une structure bureaucratique mécaniste être considérés comme des facteurs d’émergence du :
117-B - indépendants
105-C - Une structure bureaucratique fonctionnelle •112-A - Leader •117-C - complémentaires
106. La structure fonctionnelle, la plus connue est 112-B - Stratège 118. Typologie des biens. On dit qu’un bien est inférieur
•106-A - L’organigramme pyramidal 112-C - Manager quand
106-B - L’organigramme horizontal 113. Laquelle de ces propositions est fausse 118-A - la demande augmente lorsque le prix du bien
106-C - Le sociogramme pyramidal •113-A - Une seule entreprise ne peut utiliser qu’un seul augmente
107. Quelle est la partie clé de l’organisation pour la mécanisme de coordination, car ces derniers s’opposent
•118-B - la demande diminue lorsque le revenu augmente
structure missionnaire ? 113-B - Une même entreprise peut utiliser plusieurs 118-C - la demande diminue lorsque le prix du bien aug-
mente
•107-A - L’idéologie mécanismes de coordination
107-B - La ligne hiérarchique 113-C - Les mécanismes ne s’opposent pas, ils se com-
107-C - La technostructure plètent

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 119. Fonction d’utilité du consommateur. La fonction 124. La demande de biens. L’élasticité-revenu de la 129. L’interprétation géométrique de la dérivée partielle
d’utilité suivante 𝑈 (𝑥, 𝑦) = min(𝑥, 2⋅𝑦) décrit des biens : demande du bien mesure d’une fonction 𝑧 = 𝑓 (𝑥, 𝑦) par rapport à 𝑥, en un point
•119-A - parfaitement complémentaires 124-A - l’accroissement absolu de la demande du bien 𝑀0 (𝑥0 , 𝑦0 ), c’est :
119-B - parfaitement indépendants consécutif à une augmentation d’un euro du revenu 129-A - la différence entre les longueurs des segments
119-C - parfaitement substituables 124-B - l’augmentation absolue de la demande du bien à d𝑥 et d𝑦
120. Une élasticité prix croisée entre le bien la demande la suite d’une augmentation de 1 % du revenu •129-B - la pente de la tangente de 𝐶𝑓 en (𝑥0 , 𝑦0 , 𝑧0 )
de bien ℎ et le prix du bien 𝑘 positive correspond à des
• 124-C - l’accroissement relatif de la demande de bien 129-C - le segment de droite correspondant à la partie
consécutif à un accroissement du revenu de 1 % de Δ𝑦 uniquement due à la variation de 𝑥
biens ℎ et𝑘
120-A - indépendants 130. Grâce à l’application des différentielles au calcul
120-B - complémentaires
•120-C - substituables
Mathématique - I approché, on peut écrire la formule suivante
130-A - 𝑓 ″ (𝑥0 ) ≈ 𝑑 2 𝑓 (𝑥0 )
121. Une élasticité revenu inférieure à 0 correspond à un 125. La dérivée de la fonction 𝑦 = √sin (ln |𝑥|) se fait •130-B - 𝑓 (𝑥 + Δ𝑥) ≈ 𝑓 (𝑥 ) + 𝑓 ′ (𝑥 ) Δ𝑥
0 0 0
bien : par la règle de :
121-A - ordinaire 130-C - 𝑓 ( 𝑥 + Δ𝑥 ) ≡ d 𝑓 (𝑥 0 )
125-A - dérivation d’une puissance avec √ln |𝑥| = 0
•121-B - inférieur 1 131. La différentielle seconde de la fonction 𝑧 = 𝑓 (𝑥, 𝑦)
121-C - de luxe (ln |𝑥|) 2
est
•125-B - dérivation en chaîne 131-A - 𝑑 2 𝑧 = (d𝑧)2 = [𝑓 ′ (𝑥) d𝑥 + 𝑓 ′ (𝑦) d𝑦]2
122. Typologie des biens. On dit que des biens 𝑥 et 𝑦 125-C - dérivation trigonométrique
sont complémentaires quand 131-B - 𝑑 2 𝑧 = 𝑓 ″ (𝑥) d𝑥 + 𝑓 ″ (𝑦) d𝑦
•122-A - le prix du bien 𝑥 augmente et la demande du 126. Une fonction est différentiable en un point si on peut 𝜕2𝑧
mettre Δ𝑦 sous la forme : •131-C - 𝑑 2
𝑧 = 𝑑 ( d 𝑧) = 2
[( 𝜕𝑥2 ) 𝑑𝑥 ] +
bien 𝑦 diminue
122-B - le prix du bien 𝑥 augmente et la demande du 126-A - d𝑦 = 𝑓 ′ (𝑥) d𝑥 𝜕2𝑧
2 ( 𝜕𝑥𝜕𝑦 𝜕2𝑧
d𝑥d𝑦] + [( 2 ) 𝑑𝑦2 ]
bien 𝑦 augmente • 126-B - 𝐴Δ𝑥 + 𝛼 (Δ𝑥) Δ𝑥 [ ) 𝜕𝑦
122-C - le prix du bien 𝑥 augmente et la demande du Δ𝑦
126-C - limΔ𝑥→0 Δ𝑥 = 𝐴 132. L’élasticité-point d’une variable 𝑌 par rapport à une
bien 𝑥 diminue variable 𝑋 mesure :
127. La différentielle d𝑓 (𝑥, 𝑦) de la fonction 𝑧 = 𝑓 (𝑥, 𝑦) 132-A - une variation instantanée de 𝑋 sur 𝑌
123. La droite de contrainte budgétaire du consomma- permet
teur. Quand le prix du bien figurant sur l’axe des abscisses 132-B - une variation d’une unité de 𝑋 sur 𝑌
127-A - de mesurer l’effet de la variation de 𝑥 sur 𝑧 ou •132-C - la sensibilité de 𝑌 par rapport à une variation
diminue
de y sur z
123-A - La droite de contrainte budgétaire se déplace- •127-B - de mesurer l’effet de la variation simultanée de relative de 𝑋
ment parallèlement vers le haut 133. Quelle est la dérivée partielle mixte d’ordre deux de
plusieurs variables sur 𝑧
•123-B - Le point d’intersection de la droite de contrainte 127-C - d’approximer la fonction 𝑓 par un infiniment 𝑧 = 𝑥2 𝑦
budgétaire avec l’axe des abscisses se déplace vers la 133-A - 0
petit
droite 133-B - 2𝑥𝑦
123-C - Le point d’intersection de la droite de contrainte 128. En un point d’inflexion (𝑥0 , 𝑦0 ) d’une fonction : •133-C - 2𝑥
budgétaire avec l’axe des abscisses se déplace vers la •128-A - la dérivée seconde de la fonction s’annule
gauche 134. Selon le théorème de Young :
128-B - la fonction atteint son maximum ou son mini- •134-A - lorsque les dérivées partielles mixtes d’ordre
mum
deux sont continues, l’ordre de dérivation n’importe pas
128-C - la fonction passe de la croissance à la décrois- 134-B - 𝑓 (𝑥0 + Δ𝑥) ≈ 𝑓 (𝑥0 ) +𝑓 ′ (𝑥0 ) Δ𝑥 est toujours
sance
applicable quand Δ𝑥 → 0
134-C - on peut toujours représenter les dérivées par-
tielles avec un arbre de dérivation