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Quelles figures de style sont utilisées dans les phrases suivantes?

Elle a des cheveux de soie………………………………..


- La forêt gémit sous le vent…………………………………
- Le temps est un grand consolateur………………………………
- J'ai une faim de loup………………………………
- Rabat organise des festivités à l'occasion de la fête du trône………………………….
- J'ai visité la ville rouge……………………………………………
- Le feu a brûlé des arbustes, des champs, puis la colline entière………………………………
- Mon lit est doux
Mon lit est chaud………………………………………….
- Les uns riaient; les autres pleuraient…………………………………..
- Rappelle-toi, rappelle-toi Barbara……………………………………
- Il savait que la vieille femme et sa faux allait bientôt lui rendre visite…………………………….
- Il s'est passé des jours, des semaines, des mois avant qu'il se décide de lui dire vérité………………………….
- Cet endroit me parlait de toi, de nous, de ces heures passées ensemble………………………………
- Un homme qui me hait près d'un homme qui m'aime…………………………………………
- Paris s'éveille………………………
- Une avalanche de cadeaux……………………………….
- Il prit un train, un bateau, une voiture…………………………………
- Le Poète est semblable au prince des nuées……………………………………
- Ma maison me regarde et ne me connaît plus…………………………………..
- Socrate a bu la mort. (Le poison qui l'a tué) ………………………………………….
- Les casques bleus sont intervenus en Bosnie. (Les soldats de l'O.N.U) (Métonymie)…………………………….
- En plus du mensonge, il a d'autres belles qualités……………………………………..
- Les ténèbres où l'on dort. (= la mort)…………………………………………
- Le maître du naturalisme. (Emile Zola)…………………………………………
- Le soleil noir de la mélancolie……………………………………
- Je sais que c'est la coutume/ D'adorer ces nains géants………………………………..
- Quelle épouvantable catastrophe !......................................................
- Dans un mois, dans un an il oubliera………………………………..
- Il a posé une question et son chapeau……………………………….
- Jean chasse la perdrix et Jacques la caille……………………………….
- Des trains sifflaient et des chiens hurlaient……………………………………………..
- Le désespoir a brisé son cœur…………………………………….
- La cour a rendu son verdict. (Les magistrats)……………………………………..
- A père avare, fils prodigue………………………………………..
- Elle a pris mille précautions……………………………………….
- Il m'a volé. C'est un vrai ami…………………………………………..
- Ce n'est pas désagréable…………………………………………
- Le soir de la vie…………………………………………….
- C'est du joli………………………………………..
- La marée blanche des infirmières descendues dans la rue………………………………………….
- Que tu es belle, ma bien-aimée,
Que tu es belle ! ………………………………………..
- L'île de la beauté. (La Corse)…………………………………….
- Il prépare son épée et son courage………………………………….
- Les crimes engendrent des bienfaits……………………………………….
- Plus l'offenseur est cher et plus grande est l'offense. (Corneille) ……………………………..
- Combien ce tapis?.................................................
- Cette vieille veste déchirée te met en valeur : tu es très élégante !...........................................
- Vous n'êtes pas laide……………………………………..
-Les couleurs sont plus crues, les lignes plus nettes, les angles plus vifs…………………………….
-Les membres de la famille pleurent le disparu………………………………………..
-“ Mais quand il reprend conscience, c’est pour se retrouver immobile, noué, figé dans la souffrance, la soif, la
peur, l’horreur inexplicable ”Barjave……………………………………….
Elle a des cheveux de soie. métaphore
- La forêt gémit sous le vent. (Personnification)
- Le temps est un grand consolateur. (Allégorie)
- J'ai une faim de loup. (Métaphore)
- Rabat organise des festivités à l'occasion de la fête du trône. (Métonymie)
- J'ai visité la ville rouge. (Périphrase)
- ce n'est pas mauvais. (Litote)
- Il n'est plus. (Euphémisme)
- Le feu a brûlé des arbustes, des champs, puis la colline entière. (Gradation)
- Mon lit est doux
Mon lit est chaud (Anaphore)
- Les uns riaient; les autres pleuraient. (Antithèse)
- Rappelle-toi, rappelle-toi Barbara. (Répétition)
- Il savait que la vieille femme et sa faux allait bientôt lui rendre visite. (Allégorie)
- Je suis fatigué de ne rien faire. (Paradoxe)
- Il s'est passé des jours, des semaines, des mois avant qu'il se décide de lui dire vérité. (Gradation)
- Cet endroit me parlait de toi, de nous, de ces heures passées ensemble. (Personnification)
- Un homme qui me hait près d'un homme qui m'aime. (Antithèse)
- Le plus vieux métier du monde. (La prostitution) (Périphrase)
- Paris s'éveille. (Métonymie)
- Une avalanche de cadeaux. (Hyperbole)
- Il prit un train, un bateau, une voiture. (Enumération)
- Le Poète est semblable au prince des nuées. (Comparaison)
- Ma maison me regarde et ne me connaît plus. (Personnification)
- Socrate a bu la mort. (Le poison qui l'a tué) (Métonymie)
- Les casques bleus sont intervenus en Bosnie. (Les soldats de l'O.N.U) (Métonymie)
- En plus du mensonge, il a d'autres belles qualités. (Antiphrase)
- Les ténèbres où l'on dort. (= la mort) (Périphrase)
- Le maître du naturalisme. (Emile Zola) (Périphrase)
- Cet homme n'est pas très généreux. (Litote)
- Il a été remercié. (= il a été congédié) (Euphémisme)
- Une longue et douloureuse maladie. (Le cancer ou le sida) (Euphémisme)
- Le soleil noir de la mélancolie. (Oxymore)
- Je sais que c'est la coutume/ D'adorer ces nains géants. (Oxymore)
- Quelle épouvantable catastrophe ! (Hyperbole)
- Dans un mois, dans un an il oubliera. (Gradation)
- Les ailes d'un avion. (Catachrèse)
- Il a posé une question et son chapeau. (Zeugma)
- Jean chasse la perdrix et Jacques la caille. (Ellipse)
- Des trains sifflaient et des chiens hurlaient. (Parallélisme)
- Le désespoir a brisé son coeur. (Allégorie)
- La cour a rendu son verdict. (Les magistrats) (Métonymie)
- A père avare, fils prodigue. (Antithèse)
- Elle a pris mille précautions. (Hyperbole)
- Il m'a volé. C'est un vrai ami. (Antiphrase)
- Ce n'est pas désagréable. (Litote)
- Le soir de la vie. (Métaphore)
- C'est du joli. (Antiphrase)
- La marée blanche des infirmières descendues dans la rue. (Métaphore)
- Que tu es belle, ma bien-aimée,
Que tu es belle ! (Anaphore)
- L'île de la beauté. (La Corse) (Périphrase)
- Il prépare son épée et son courage. (Zeugma)
- Les crimes engendrent des bienfaits. (Paradoxe)
- Plus l'offenseur est cher et plus grande est l'offense. (Corneille) (Chiasme)
Les couleurs sont plus crues, les lignes plus nettes, les angles plus vifs. (absence du verbe être : sont)L'ellipse
Les membres de la famille pleurent le disparu. (Le disparu = le mort)L'euphémisme
“ Mais quand il reprend conscience, c’est pour se retrouver immobile, noué, figé dans la souffrance, la soif, la peur,
l’horreur inexplicable ”Barjave accumulation

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