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n−1
X n−1
X
[∆(x)]k = x k+1 − x k = x n − x 0
k=0 k=0
Q 4. La fonction y est solution de l’équation (I.1) si et seulement si y est trois fois dérivable et :
∀t ∈ R, (y 0 )00 (t ) + 3(y 0 )0 (t ) + 2y 0 (t ) = 0.
Autrement dit, y est solution de (I.1) si et seulement si y 0 est deux fois dérivable et vérifie l’équation (I.2).
Q 5. L’équation caractéristique de (I.2) est X 2 + 3X + 2 = 0, dont les racines sont −1 et −2.
Comme l’équation (I.2) est homogène ses solutions sont les fonctions t 7→ Ae−t + B e−2t , avec A, B deux
constantes réelles.
Puis, d’après la question précédente, la fonction y est solution de (I.1) ssi y 0 est solution de (I.2), c’est-à-
dire ssi il existe A, B deux réels tels que :
∀t ∈ R, y 0 (t ) = Ae−t + B e−2t
1
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Ainsi y est solution de (I.1) ssi il existe A, B et C trois réels tels que :
1
∀t ∈ R, y(t ) = −Ae−t − B e−2t +C
2
On remarque donc que les fonctions f : t 7→ e−t , g : t 7→ e−2t et h : t 7→ 1 forment une famille génératrice
de l’espace des solutions de (I.1).
Vérifions que f , g et h sont libres : soient α, β, γ trois réels tels que α f + βg + γh = 0. Autrement dit,
∀t ∈ R, αe−t + βe−2t + γ = 0
En prenant la limite de cette égalité lorsque t tend vers +∞, on obtient γ = 0. Ainsi,
∀t ∈ R, α + βe−t = 0
Son discriminant est δ = h 2 strictement positif. Les solutions de cette équation sont donc les réels :
r 1 = 1 − 2h et r 2 = 1 − h car h est strictement positif.
D’après l’étude des suites récurrentes d’ordre 2, v vérifie (I .4) si, et seulement si, pour tout n :
v n = C 1 (1 − 2h)n +C 2 (1 − h)n , où (C 1 ,C 2 ) ∈ R2
Q 9. Soit u une solution de (I.3). D’après les questions 6 et 8, il existe deux réels C 1 et C 2 tels que
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Or d’après la question 3,
n−1
∀n ∈ N∗ , u n − u 0 =
X
[∆(u)]k
k=0
n−1 n−1
⇐⇒ ∀n ∈ N∗ , u n = u 0 +C 1 (1 − 2h)k +C 2 (1 − h)k
X X
k=0 k=0
∗ 1 − (1 − 2h)n 1 − (1 − h)n
⇐⇒ ∀n ∈ N , u n = u 0 +C 1 +C 2
1 − (1 − 2h) 1 − (1 − h)
1 − (1 − 2h)n 1 − (1 − h)n
µ ¶ µ ¶
⇐⇒ ∀n ∈ N∗ , u n = u 0 +C 1 +C 2
2h h
1 − (1 − 2h)n 1 − (1 − h)n
µ ¶ µ ¶
Pour n = 0, C 1 +C 2 = 0, donc la formule est encore vraie.
2h h
Ainsi, on a C 0 = u 0 .
Q 10. Soit y une solution de (I.1). D’après la question 5, il existe trois réels A, B et C tels que pour tout t ∈
R, y(t ) = Ae−t + B e−2t +C .
Ainsi, y vérifie y(0) = y 0 (0) = y 00 (0) = 1 ssi
A + B +C = 1
A + B +C = 1 A = −3
−A − 2B = 1 ⇐⇒ −A − 2B = 1 ⇐⇒ B = 1
A + 4B = 1 2B = 2 C = 3
Il existe donc bien une unique solution de (I.1) vérifiant y(0) = y 0 (0) = y 00 (0) = 1 : c’est y(t ) = −3e−t + e−2t + 3 .
−4h 2 + 4h
D’après la question 9, on a de plus u 1 = u 0 + C 1 + C 2 , donc C 1 + C 2 = h. Puis u 2 = u 0 + C 1 +
2h
−h 2 + 2h
C2 , donc (2 − 2h)C 1 + (2 − h)C 2 = h 2 + 2h.
h
On obtient le système
(
C 1 +C 2 = h
(2 − 2h)C 1 + (2 − h)C 2 = h 2 + 2h
qu’on peut résoudre à la main, ou bien en utilisant la solution donnée par l’énoncé, on remarque que
C 1 = −2h et C 2 = 3h sont solution du système.
On trouve donc que pour tout n ∈ N,
1 − (1 − 2h)n 1 − (1 − h)n
µ ¶ µ ¶
u n = 1 − 2h + 3h = 3 + (1 − 2h)n − 3(1 − h)n .
2h h
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0 É t − ϕt (N )h N < h N .
Comme h N tend vers 0 lorsque N tend vers +∞, par encadrement, ϕt (N )h N tend vers t .
De plus, ln(1 − 2h N ) ∼ −2h N et ln(1 − h N ) ∼ −h N au voisinage de +∞. Ainsi, ln(1 − 2h N )ϕt (N ) et ln(1 −
h N )ϕt (N ) tendent respectivement vers −2t et vers −t lorsque N tend vers +∞.
Comme l’exponentielle est une fonction continue sur R,
(N )
Q 14. Par définition, u ϕ (N )
= 3 + (1 − 2h N )ϕt (N ) − 3(1 − h N )ϕt (N ) .
t
D’après la question précédente, (1 − 2h N )ϕt (N ) et (1 − h N )ϕt (N ) convergent lorsque N tend vers +∞. Par
(N )
opérations sur les limites, u ϕ (N )
converge aussi et
t
λy 0 + w 0 = λx 0 + z 0
λy + w = λ(x − p y ) + z − p w
1 1 1 1 1 1 1 0
λy 2 + w 2 = λ(x 2 − p 2 y 1 − q 2 y 0 ) + z 2 − p 2 w 1 − q 2 w 0
∀n Ê 0, λy n+3 + w n+3 = λ(x n+3 − p n+3 y n+2 − q n+3 y n+1 − r n+3 y n ) + z n+3 − p n+3 w n+2 − q n+3 w n+1 − r n+3 w n
autrement dit, u vérifie (II.1) avec λx + z comme signal d’entrée. D’après la question précédente, on a
donc u = T (λx + z), et T est bien un endomorphisme de S.
Soit x telle que T (x) = 0. Montrons par récurrence sur n que x n = 0.
— Initialisation : pour n = 0, 1 et 2, 0 = x 0 , 0 = x 1 − 0 et 0 = x 2 − 0 − 0, donc x 0 = x 1 = x 2 = 0.
— Hérédité : soit n Ê 2 et supposons que x n = 0. Montrons que x n+1 = 0.
Comme n Ê 2, on a 0 = x n+1 − 0 − 0 − 0 (dernière ligne de (II.1)), donc x n+1 = 0.
D’après le principe de récurrence, x est la suite nulle.
Ainsi T est endomorphisme injectif de S .
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Q 17. On remarque que H n’est pas vide car la suite nulle est dedans.
Prenons ensuite y et z deux éléments de H et λ ∈ R. Alors pour tout n ∈ N,
(λy + z)n+3 + p n+3 (λy + z)n+2 + q n+3 (λy + z)n+1 + r n+3 (λy + z)n
= λ(y n+3 + p n+3 y n+2 + q n+3 y n+1 + r n+3 y n ) + z n+3 + p n+3 z n+2 + q n+3 z n+1 + r n+3 z n
=0
= λ(y 0 , y 1 , y 2 ) + (z 0 , z 1 , z 2 )
= λψ(y) + ψ(z).
y 0 = x0 = a
y 1 = x1 − p 1 y 0 = b + p 1 a − p 1 a = b
y 2 = x2 − p 2 y 1 − q2 y 0 = c + p 2 b + q2 a − p 2 b − q2 a = c
II.B Méthode algébrique de calcul du signal de sortie y pour un signal d’entrée x ∈ S donné
y n+1 0 1 0 yn 0 0 1 0 0
y n+2 = 0 0 1 y n+1 + 0 ⇔ Yn+1 = 0 0 1 Yn + 0
y n+3 −r n+3 −q n+3 −p n+3 y n+2 x n+3 −r n+3 −q n+3 −p n+3 x n+3
0 1 0
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— Initialisation : comme ψ est un isomorphisme et (a, b, c) est une base de H, (ψ(a), ψ(b), ψ(c)) est une
base de R3 .
Prenons α, β, γ ∈ R tels que αA0 + βB0 + γC0 = 0. Alors αψ(a) + βψb + γψ(c) = 0, donc α = β = γ = 0.
Ainsi, (A0 , B0 , C0 ) est libre.
— Hérédité : prenons n ∈ N et supposons que (An , Bn , Cn ) est libre. Montrons que (An+1 , Bn+1 , Cn+1 ) est
libre.
Prenons α, β, γ ∈ R tels que
αAn+1 + βBn+1 + γCn+1 = 0.
D’après la question précédente,
Comme M n est inversible, on a donc αAn +βBn +γCn = 0, et par hypothèse de récurrence, α = β = γ =
0.
Ainsi, (An+1 , Bn+1 , Cn+1 ) est libre.
D’après le principe de récurrence, pour tout n ∈ N, (An , Bn , Cn ) est libre. Comme M 3, 1(R) est de dimen-
sion 3, c’est une base.
Q 23. On suppose désormais que y est une suite vérifiant (II.1). Prenons n ∈ N. Comme Yn ∈ M3,1 (R) et (An , Bn , Cn )
est une base de M3,1 (R), il existe trois scalaires u n , v n et w n (les coordonnées de Yn tels que
Yn = u n An + v n Bn + w n Cn .
[∆(u)]n An+1 + [∆(v)]n Bn+1 + [∆(w)]n Cn+1 = u n+1 An+1 + v n+1 Bn+1 + w n+1 Cn+1 − (u n An+1 + v n Bn+1 + w n Cn+1 )
= Yn+1 − M n (u n An + v n Bn + w n Cn )
0
= Yn+1 − M n Yn = 0
x n+3
[∆(u)]n 0
Wn+1 [∆(v)]n = 0 .
[∆(w)]n x n+3
Comme (An+1 , Bn+1 , Cn+1 ) est une base de M3,1 (R), la matrice Wn+1 est inversible. Ainsi :
[∆(u)]n 0
[∆(v)]n = (Wn+1 )−1 0 .
[∆(w)]n x n+3
Q 26. — On commence par déterminer trois suites a, b et c qui forment une base de H.
— On peut alors déterminer u 0 , v 0 et w 0 en décomposant Y0 sur la base (A0 , B0 , C0 ).
— On obtient aussi les matrices Wn qu’on inverse pour n Ê 1.
0
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II.C Exemple de mise en œuvre de cette méthode algébrique pour un signal d’entrée de type
rampe
n 1 − q n q − q n+1
Q 27. Soit q ∈ R \{1}. On a : qk = q
X
= (somme des premiers termes d’une suite géométrique).
k=1 1−q 1−q
n (1 − (n + 1)q n )(1 − q) + (q − q n+1 )
kq k−1 =
X
En dérivant cette fonction polynomiale on obtient : et en
k=1 (1 − q)2
multipliant cette égalité par q :
a n+3 − 7a n+1 + 6a n = 1 − 7 + 6 = 0
b n+3 − 7b n+1 + 6b n = (−3)n+3 − 7(−3)n+1 + 6(−3)n = (−3)n (−27 + 21 + 6) = 0
c n+3 − 7c n+1 + 6c n = 2n+3 − 7 · 2n+1 + 6 · 2n = 2n (8 − 14 + 6) = 0
α γ
µ ¶
n n n
0 = α + β(−3) + γ2 = β(−3) 1 + + ∼ β(−3)n ,
β(−3)n β2n
ce qui n’est manifestement pas le cas car la suite de terme général β(−3)n ne tend pas vers zéro. Ainsi,
β = 0.
Si, maintenant, on avait γ 6= 0, on pourrait écrire de même, pour n tendant vers l’infini, 0 = α + γ2n ∼ γ2n ,
ce qui est une nouvelle fois impossible. Ainsi, γ = 0.
La suite αa + βb + γc est donc la suite constante égale à α. Cette suite étant nulle par hypothèse, on en
déduit enfin que α = 0.
La famille (a, b, c) est donc libre ; c’est donc une base de H .
Q 29. On résout le système par opérations élémentaires sur les lignes :
Q 30. eurk
On étudie ici le cas particulier du système (I I .1) avec :
— la suite x définie pour tout entier n par x n = n.
— la suite nulle p, les suites constantes q et r définies pour tout entier n par par r n = 6 et q n = −7.
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n−1
X n(n + 5) 3 (n + 2)(n + 3)
un = [∆(u)]k + u 0 = − − =−
k=0 8 4 8
n−1
X 1
µ
4n + 11
¶
1 1
µ
4n + 11
¶
vn = [∆(v)]k + v 0 = − 11 − = − 27
k=0 20 × 16 (−3)n 20 20 × 16 (−3)n
n−1 µ µ ¶n ¶ µ µ ¶n ¶
X 1 1 4 1 1
wn = [∆(w)]k + w 0 = 4− (n + 4) + = 8− (n + 4)
k=0 5 2 5 5 2
y n = u n + (−3)n v n + 2n w n
(−3)n+3 + 64 × 2n+3 − 40n 2 − 260n − 485
=
320
Remarque : Quel est l’intérêt mathématique de la question ? A-t-on pensé qu’un candidat perdrait du
temps à faire ces calculs ? Quelque-chose doit m’échapper dans une simplification magistrale ?...
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en déduit que les séries u n z n et [τ(u)]n z n sont de même nature ; les deux séries entières u n z n
X X X
OnX
et [τ(u)]n z n admettent donc le même rayon de convergence.
Q 33. La série géométrique (−2)n z n = (−2z)n est convergente si et seulement si | − 2z| < 1. Autrement dit,
X X
1
ρu = .
2
La transformée en Z de u est donc égale, pour tout z tel que |z| > 2, à
+∞ +∞ ¶n
z
µ
2 1
(−2)n z −n =
X X
U (z) = − = 2
= .
n=0 n=0 z 1+ z
z +2
II.E Exemple de mise en œuvre de la méthode analytique pour un signal d’entrée exponen-
tiel
Q 34. Montrons par récurrence sur k ∈ N∗ que la suite τk (y) admet une transformée en Z définie sur D y véri-
fiant :
k−1
∀z ∈ D y , Yτk (z) = z k Y (z) − y i z k−i .
X
i =0
— Initialisation : d’après la question 32, ρ τ(y) = ρ y > 0, donc τ(y) admet une transformée en Z définie sur
D y . De plus, pour tout z ∈ D y ,
+∞
y n+1 z −n
X
Yτ (z) =
n=0
+∞
y n z −n+1
X
=
n=1
+∞
y n z −n
X
=z
n=1
= zY (z) − z y 0 .
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Q 35. Soit n ∈ N :
τ (y) n + τ2 (y) n − τ(y) n − y n = y n+3 + y n+2 − y n+1 − y n = (−2)n .
£ 3 ¤ £ ¤ £ ¤
D’après l’énoncé et la question précédente, la transformée en Z de τ3 (y) + τ2 (y) − τ(y) − y est définie sur
D y et vaut pour tout z ∈ D y :
Yτ3 (z) + Yτ2 (z) − Yτ (z) − Y (z) = z 3 Y (z) − (y 0 z 3 + y 1 z 2 + y 2 z) + z 2 Y (z) − (y 0 z 2 + y 1 z) − zY (z) + y 0 zY (z)
= Y (z)(z 3 + z 2 − z − 1) + z 2 + 2z.
Le polynôme z 3 +z 2 −z−1 admet 1 comme racine simple et −1 comme racine double. Donc z 3 +z 2 −z−1 =
(z − 1)(z + 1)3 .
Ainsi, pour tout z ∈ D y \ {−2, −1, 1},
Q 36. On effectue une décomposition en éléments simples, par identification, pour obtenir, pour tout com-
plexe z 6∈ {−2, −1, 1} :
2
−z(z + 3) −1 −2
= + 3 + 3
(z − 1)(z + 1)(z + 2) z + 1 z + 2 z − 1
1
Q 37. Pour tout réel c non nul, le développement en série entière (usuel) de z 7→ est
1 − cz
1 X k k
= c z
1 − c z kÊ0
1
Son rayon de convergence est R = .
|c|
Q 38. Le rayon de convergence de la série entière précédente étant strictement positif, la transformée en Z est
définie sur le domaine D = z ∈ C∗ ; |z| > |c| par :
© ª
1 z
(−c)n z −n =
X
−1
=
nÊ0 1 + cz z +c
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(−2)n 2 −n
µ ¶
1 X 2 X −n X
(−1)n z −n + − (−2)n z −n − (−1)n + −
X
z = − z
nÊ0 3 nÊ0 3 nÊ0 nÊ0 3 3
1
et en multipliant par , pour |z| > 2, la convergence de :
z
(−2)n 2 −(n+1)
µ ¶
(−1)n −
X
− z
nÊ0 3 3
2 X 2 X −n−1
(−1)n z −n−1 + (−2)n z −n−1 −
X
Y (z) = − z
nÊ0 3 nÊ0 3 nÊ0
(−2)n+1 2 −n−1
µ ¶
(−1)n+1 −
X
= − z
nÊ0 3 3
µ n ¶
(−2) 2
(−1)n − − z −n après décalage d’indice
X
=
nÊ1 3 3
µ n ¶
(−2) 2
(−1)n − − z −n car le premier coefficient est nul
X
=
nÊ0 3 3
D’après l’unicité démontrée dans la question Q31 on en déduit finalement que, pour tout entier n :
(−2)n 2
y n = (−1)n − −
3 3
• • • FIN • • •
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