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L’économie du Burkina Faso, qui repose sur l’agriculture, reste dominée par une production
de subsistance et marquée par la faible productivité des cultures et de l’élevage. Bien qu’en
progression, la diversification reste limitée, tandis que le développement des filières
agropastorales souffre du manque d’entreprises dans le secteur privé formel.
L'Agriculture se trouve donc être le pilier de l'économie au Burkina Faso, et par conséquent le
facteur central de développement du pays. Plus de 84% de la population tire l'essentiel de
leurs revenus des activités agricoles. Cette analyse montre la pertinence du thème choisi pour
la présente conférence : « Agriculture et Développement au Burkina Faso : état des lieux et
perspectives. » La présentation se déroulera selon la chronologie suivante :
L'agriculture est la principale activité économique au Burkina Faso. Cette activité occupe
82% de la population et contribue à hauteur de 35% au PIB. Bien qu'étant la principale
activité de l'économie nationale, l'agriculture n'arrive pas à couvrir les besoins alimentaires de
la population. Dans les circonstances actuelles, seule la mise en œuvre de cette stratégie
gouvernementale est à même d’apporter cette connaissance
Il est évident que les objectifs de développement ne peuvent être atteints que dans la mesure
où le Gouvernement a une connaissance réelle de la structure de l’agriculture
En ce sens, le projet contribue à augmenter la production agricole pour répondre aux besoins
alimentaires de la production et d’améliorer la sécurité alimentaire
Les pratiques ne sont pas nouvelles au Burkina Faso, mais sont en vigueur depuis plusieurs années..
Le Plan d’actions de développement de l’agriculture au Burkina Faso vient s’inscrire dans ce contexte
peu favorable et renforcer l’existant. C’est dans ce même ordre d’idées, que des financements seront
acquis dans le domaine de la gestion durable des terres, par exemple, seront mis à contribution en
faveur de l’intensification agricole.
Les PTBA des différentes structures intervenant dans l’agriculture prendront en compte chaque
année les actions et les activités d’agricoles
La communication sur la Stratégie pourra se faire de différentes manières, notamment par des
mégaphones et par diffusion micro radio portable.
Le Plan d’actions ne pourra produire les effets attendus que s’il est soutenu par des mesures
d’accompagnement efficaces parmi lesquelles il faut citer : une volonté politique clairement affichée
en faveur de l’agriculture ; l’appui aux acteurs de l’agriculture ; la recherche d’un financement
durable ...
Le volet technique du suivi vise à collecter et à analyser des données pour fournir des éléments
d'appréciation sur : l'utilisation des ressources, les progrès réalisés dans la mise en œuvre des
activités les objectifs atteints, à travers le contrôle des dépenses, le suivi de l'exécution financière des
activités, le suivi de l'exécution technique des activités et le suivi des effets du plan d’actions.
Tableau 1 : Coût du plan d’actions par objectif spécifique et par axe stratégique
A2.2 :
S’approvision
ner d’au
moins de 30%
des
équipements
agricoles tels
que les
tracteurs, les
motoculteurs,
motopompe…
Objectif
stratégique
1 : Renforcer
les capacités
des
agriculteurs
Objectifs
Spécifique 2 :
Utiliser des
moyens
technologique
s agricoles
modernes