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LECON 1&2 : LES CIRCUITS A COURANT ALTERNATIF MONOPHASE LECON 1&2 : LES CIRCUITS A COURANT ALTERNATIF MONOPHASE

LES CIRCUITS A COURANT ALTERNATIF MONOPHASE i

1 - Différents formes de courants (et de tension)


Dans l'ensemble des formes de courants, nous pouvons effectuer une première partition : t
0 T
- Les courants unidirectionnels,
- Les courants bidirectionnels,
i i
1.5 - Courant alternatif symétrique

C'est un courant périodique dont la valeur moyenne est nulle, les deux aires hachurées sont égales
t comme précédemment mais en plus elles sont superposables car les courbes A de la première demi
période et B de la deuxième demi période sont identiques,
t
Ce sont les deux alternances du courant (A : alternance positive, B : alternance négative),
0 0
Courant unidirectionnel Courant bidirectionnel i A

Nous pouvons effectuer une seconde partition : i0


- Les courants périodiques, T
t0
- Les courants non périodiques, 2 t
0 t0 T T
1.1 - Courant périodique 2
-i0
Un courant est périodique si son intensité reprend la même valeur à intervalles de temps égaux, B
i Si io est l'intensité du courant à l'instant t0, une demi-période plus tard, l'intensité est -i0,
T
i(t 0 ) - i(t 0 )
2
1.6 - Courant sinusoïdal

C'est un courant alternatif symétrique dont l'intensité est une fonction sinusoïdale de temps,
Ce courant est le plus important, toute l'énergie électrique est produite sous cette forme,
t
t1 T t2 i

1.2 – Période

la période d'un courant périodique est la durée constante qui sépare deux instants consécutifs où le
t
courant se produit identiquement à lui-même, 0 T T
La période est une durée (un temps), elle s'exprime en seconde, son symbole est T, 2

1.3 – Fréquence

La fréquence (f) d'un courant périodique est le nombre de fois que le courant se produit identiquement 2 - Courant/Tension sinusoïdal
à lui-même en une seconde,
1 T en seconde Un courant (ou une tension) est alternatif sinusoïdal s'il varie en fonction du temps selon la loi
f avec sinusoïdal,
T f en hertz
S'il s'agit d'une tension, elle a pour expression :
1.4 - Courant alternatif

C'est un courant bidirectionnel et périodique dont la valeur moyenne est nulle,


Les deux aires hachurées sont égales,

CHAPITRE 2 : LES CIRCUITS EN REGIME ALTERNATIF MONOPHASE 35 CHAPITRE 2 : LES CIRCUITS EN REGIME ALTERNATIF MONOPHASE 36
LECON 1&2 : LES CIRCUITS A COURANT ALTERNATIF MONOPHASE LECON 1&2 : LES CIRCUITS A COURANT ALTERNATIF MONOPHASE

u(t) : valeur instantanée Ce signal peut être représenté par un vecteur OM de module 2 .S placé par rapport à OX origine
UM : amplitude maximale (V) des phases, tel que (OX,OM) Y
u( t ) UM sin ( t 0) avec : t 0 phse instantanée (rd)
M1 (t = t)
0 : déphasage par rapport à l' origine de phase
: pulsation (rd
s) t1+
M (t = 0)
On définit :
2 X
- La période T en seconde (s) avec : T
0
1
- La fréquence f en Hz avec : f
T 2
S'il s'agit d'un courant, il a pour expression : i(t) = IM sin ( t + )
u( )
i
i( )
Le vecteur OM tourne avec une vitesse constante dans le sens trigonométrique,
L'intérêt de la représentation de Fresnel c'est de séparer la partie temporelle ( t) de la partie de
phase ( ),
0
4.2 - Somme vectorielle de deux grandeurs sinusoïdales

Soient deux grandeurs sinusoïdales :


0
S1( t) S1 2 sin( t 1) de module S1 2 et de phase par rapport à l'origine 1,

S 2 ( t) S 2 2 sin( t 2 ) de module S 2 2 et de phase par rapport à l'origine 2,

= - 0 : est le déphasage entre le courant et la tension Y

S
3 - Valeurs moyennes et efficaces du courant sinusoïdal
S1
Soit : i(t) = IM sin t

Intensité moyenne : 2
T T T S2
1 1 IM - cos t IM IM
Imoy i(t) dt IM sin t dt - cos T cos 0 - 1- 1 0 1
T 0 T 0 T 0 T 2 X
0

Intensité efficace : S( t) S1(t) S 2 (t) S. 2 sin ( t )


T T T T
T 2 2
2 1 2 2 2 2 2 2 2 2 2.IM 2 1 - cos 2 t 2.IM sin 2 t 2 2 2 2 2 2
Ieff i (t) dt i (t) dt IM sin t dt dt t- Module : S (S1 sin 1 S 2 sin 2 ) (S1 cos 1 S 2 cos 2 ) S1 S2 2S1S 2 cos ( 2 - 1)
T 0 T 0 T 0 T 0 2 2.T 2 0

2
I T 1 T 1 S1 sin 1 S 2 sin 2 S1 sin 1 S 2 sin 2
- M ( - sin 2 ) 0 IM Ieff IM
Phase : tg arctg
T 2 2 2 2 2 S1 cos 1 S 2 cos 2 S1 cos 1 S 2 cos 2

UM UM
De même pour la tension : Umoy ; U Application :
2 2
4 - Représentation de Fresnel Connaissant les expressions u1(t) et u2(t), trouver graphiquement celle de u(t) = u1(t) + u2(t),
4.1 - Convention de Fresnel avec : u1(t) 8 2 sin t et u 2 (t) 12 2 sin ( t - ) ; Echelle : 1 cm 2V
2
Soit le signal : S(t) SM sin ( t ) 2 S sin ( t )

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LECON 1&2 : LES CIRCUITS A COURANT ALTERNATIF MONOPHASE LECON 1&2 : LES CIRCUITS A COURANT ALTERNATIF MONOPHASE
0 U2
6.2 - Circuit purement résistif
= 56° = 0,98 rd
U = 14,4 V i(t) u( t) U 2 sin ( t 0)
U u(t) 14,4 2 sin ( t - 0,98) i(t ) I 2 sin ( t 1)

U 2 sin ( t 0)
u(t) R D' après la loi d' ohm : u(t) r i(t) i(t)
R
On déduit que le courant et la tension sont phase
U1
= 0 car 1 = 2 et que Z = R, Donc : UR R. I
5 - Représentation complexe
I U
A un signal S(t) S 2 sin ( t ), on peut correspondre un nombre complexe S de module S 2 et 0 X
U
d'argument , I
6.3 - Circuit purement inductif R
j Im ( S ) S sin
S peut s'écrire : S( t) S 2e S 2 (cos j sin ) avec : ,
Réel ( S ) S cos Considérons une bobine d'inductance L et de résistance nulle,
dont le module est la valeur efficace S et l'argument la phase de s(t),
i(t) u( t ) U 2 sin ( t 0)
La pulsation ne figure pas dans les représentations complexes, mais il est sous entendu que toute i( t ) I 2 sin ( t 1)
les fonctions sinusoïdales quelles représentent ont la même pulsation,
di
L On a : u(t) L L I 2 cos ( t 1) L I 2 sin ( t 1 )
5.1 - Somme de deux grandeurs complexes u(t) dt 2

j( 1 )
Soient deux grandeurs complexes : U L I 2e 2 j
Z L e 2 L (cos j sin ) jL
I j 1 2 2
I 2e
j 1
S1 S1 e S1 (cos 1 j sin 1)
On déduit que la tension est en quadrature avant avec le courant ( ). Donc : UL jL I
j 2 2
S2 S2 e S 2 (cos 2 j sin 2 ) UL L I
j
S S1 S2 Se S (cos j sin ) (S1 cos 1 S 2 cos 2 ) j (S1 sin 1 S 2 sin 2 )

2 2 2 2 2
Module : S (S1 cos 1 S 2 cos 2 ) (S1 sin 1 S 2 sin 2 ) S S1 S2 2 S1S 2 cos ( 2 1)
2 I
S1 sin 1 S 2 sin 2 S1 sin 1 S 2 sin 2
Phase : tg arctg 0 X
S1 cos 1 S 2 cos 2 S1 cos 1 S 2 cos 2 Remarque :
Une bobine idéale traversée par un courant continu (i(t) = cte), elle se comporte comme un court-
circuit (Z = 0 car ( = 0),
6 - Loi d'ohm en alternatif
XL s'appelle réactance inductive avec : XL = L en
6.1 - Définition de l'impédance Z et de l'admittance Y
6.4 - Circuit purement capacitif
L'impédance Z est le rapport de la tension appliquée au circuit par le courant qu'elle produit : i(t) u( t) U 2 sin ( t 0)
U
Z
I i( t ) I 2 sin ( t 1)
I 1
L'admittance est par définition : Y en simens (s), du
U Z C On a : i(t) C C U 2 cos ( t 0) C U 2 sin ( t 0 )
u(t) dt 2

j
U U 2e 0 1 -j 1 -2
Z e
I j( 0 ) jC C C
2
C U 2e

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LECON 1&2 : LES CIRCUITS A COURANT ALTERNATIF MONOPHASE LECON 3 : ASSOCIATION DES IMPEDANCES

I
On déduit que la tension est en quadrature arrière avec le courant ( - ). Donc : UC ASSOCIATION DES IMPEDANCES
2 jC
I
0 X 1 - Etude d'un circuit R, L et C série
1.1 - Montage
2 L C
i(t) R

UR UL UC
u(t)
I
UC
C
Remarque :

Un condensateur alimenté par une tension continu (u(t) = cte), se comporte comme un circuit 1.2 - Constitution de Fresnel (méthode graphique)
ouvert (Z car = 0), On considère le courant comme origine de phase : i(t) I 2 sin t
1
XC s'appelle réactance capacitive avec : X C en
C

I L I L I
C 0 I X I
L I
L I RI C
I
=0
C 0 X
0 X I RI
I RI

Circuit inductif Circuit capacitif Circuit résistif

1.3 - Méthode complexe

I 1
U UR UL UC RI jL I - j I R j (L - )
C C
1
On a : U Z I Z R j (L - )
C
1 2
Module : Z R2 (L - )
C
1
L -
Phase : arctg C
R

1.4 – Résonance

En général pour un circuit RLC série, le phénomène de la résonance est due au passage du courant
efficace par un maximum :
U U
I
Z 2 1 2
R (L - )
C
1 2
Le courant I admet un maximum IRes lorsque ( L 0 - ) 0 LC 0 =1
C 0
1
On appelle 0 pulsation propre avec : 0
LC

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LECON 3 : ASSOCIATION DES IMPEDANCES LECON 3 : ASSOCIATION DES IMPEDANCES

Courbe I=f( ) 2.1) Calcul de UL


I
Pic de résonance On a : UL ZL . I et ZL jL UL jL (1 - j) L (1 j) 200 ( 1 j)
U
R uL (t) 400 sin (100 t ) par rapport à u(t)
4

uL (t) 400 sin (100 t ) par rapport à i(t)


2

2.2) Calcul de UC
-j -j -1
0 0 On a : UC ZC . I et ZC UC (1 - j) (1 j) - 100 ( 1 j)
C C C
1.5 - Facteur de surtension
3
u C (t) 200 sin (100 t ) par rapport à u(t)
4
A la résonance si R est très faible devant XL et XC, on aura UC = UL >> UR,
On dit qu'il y a une surtension aux bornes de l'inductance et de la capacité par rapport à la tension u C (t) 200 sin (100 t ) par rapport à i(t)
d'alimentation, 2
Le coefficient de surtension (ou facteur de qualité) est :
UL UC L 0 1 3.1) Calcul de f0
Q
UR UR R RC 0 1
f0 35,36 Hz
1.6 - Application : 2 2 LC

On considère un circuit comportant une inductance L, une résistance R et un condensateur C montés 3.2) Calcul de Q
en série, le tout alimenté par une tension sinusoïdale : u( t) 200 2 sin 100 t . On donne C = 31,8 F, R UC 1 LC
Q 1,415
= 100 et L = 637 mH, U RC 0 RC

On demande : 3.3) Calcul de IRes


U
IRes 2A
1. Le courant fournie par le générateur et son déphasage par rapport à la tension du générateur, R
2. Les tensions aux bornes de la bobine et de la capacité ainsi que leurs déphasages par rapport au
courant, 2 - Etude d'un circuit R, L et C parallèle
3. La fréquence de résonance, le coefficient de surtension et le courant efficace de résonance, 2.1 - Montage R
iR(t)
N.B : Il est recommandé d'arrondir les résultats des calculs des réactances à fin d'obtenir des calculs L
simples, i(t) iL(t)

iC(t) C
Solution : u(t)

1) Calcul de I :
1 U
On a : U Z. I et Z R j (L - ) I i(t) iR (t) iL (t) iC (t)
C 1 On a :
R j (L - )
C u(t) U 2 sin t
200 200 U
I 1- j iR (t) 2 sin t
1 100 j 100 R
100 j(0,637 314 - ) U
31,8 10 - 6 314 Avec : iL (t) 2 sin ( t - )
L 2
Module de I : I 2
i C (t) C U 2 sin ( t )
i(t) 2 sin (100 t ) 2
Phase de I : - 4
4
2.2 - Constitution de Fresnel (méthode graphique)

On considère la tension comme origine de phase : u( t) U 2 sin t

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LECON 3 : ASSOCIATION DES IMPEDANCES LECON 3 : ASSOCIATION DES IMPEDANCES

U Le coefficient de surintensité (ou facteur de qualité) est :


U UC IL IC R
L Q RC 0
R U IR IR L 0
UC 0 X UC
I L
U =0
I L 0 X 3 - Méthode de calcul des circuits sinusoïdaux
0 U
U
U I
R Pour résoudre les circuits à courant sinusoïdal nous pouvons appliquer toutes les méthodes
R
considérées dans les circuits à courant continu,
Circuit capacitif Circuit capacitif Circuit résistif
Toujours au lieu des résistances il faut mettre l'impédance de chaque branche, on peut faire la
transformation étoile triangle et vis versa,
2.3 - Méthode complexe

Û 1
I IR IL IC GU jC U - j U G j (C - )
L L

1
On a : I Ŷ U Y GR j (C - )
L

2 1 2
Module : Y G (C - )
L
1
C -
Phase : arctg L
G

2.4 – Résonance

En général pour un circuit RLC parallèle, le phénomène de la résonance est due au passage de la
tension efficace par un maximum :
I U
U
Y 2 1 2
G (C - )
L
1 2
La tension admet un maximum URes lorsque ( C 0 - ) 0 LC 0 =1
L 0
1
On appelle 0 pulsation propre avec : 0
LC
Courbe U=f( )
U
I Pic de résonance
G

0 0

2.5 - Facteur de surintensité

A la résonance si R est très grande devant XL et XC, on aura IC = IL >> IR,


On dit qu'il y a une surintensité aux bornes de l'inductance et de la capacité par rapport au courant
total,
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LECON 4 : LES PUISSANCES EN ALTERNATIF LECON 4 : LES PUISSANCES EN ALTERNATIF

2
LES PUISSANCES EN ALTERNATIF Pour une capacité pure : - Q -S
-I
et P 0
2 C
1 - Puissance instantanée 2 1 2 2
Pour un circuit RLC série : P R.I ; Q L - I ; S Z.I
C
La puissance instantanée est par définition : p(t) = u(t) . i(t) en W, 7 - Théorème de Boucherot
Pour : u( t ) U 2 sin t et i(t) I 2 sin ( t ) alors : 7.1 - Puissance complxe
On appelle puissance complexe d'un dipôle D particulier S P j Q . Dont la valeur peut
cos ( t - ( t ) - cos ( t ( t )
p(t) 2 U I sin t sin ( t ) 2UI U I cos cos (2 t ) *
2 être calculée par le produit : S U.I
p(t) : la puissance instantanée est une fonction sinusoïdale de pulsation 2 , Soit un dipôle d'impédance Z R j X soumis à la tension U Z . Î :
* * 2 2
On a : S U.I S Z. I . I RI j XI P jQ
2 - Puissance moyenne

La puissance moyenne Pmoy est par définition la valeur moyenne de la puissance instantanée par 7.2 - Théorème de Boucherot
période : Dans un réseau à fréquence constante il y a conservation de la puissance active d'une part et de
T T T T la puissance réactive d'autre part,
1 1 1 1 Dipôles en série
Pmoy p(t) dt U I ( cos cos (2 t ))dt U I cos dt U I cos (2 t ) dt Z1 Z2 Zn
T 0 T 0 T 0 T 0 I

T
U I cos
Pmoy 1 dt U I cos U1 U2 Un
T 0 U

3 - Puissance apparente * * *
On a : U U1 U2 ........... Un U.I U1. I U2 . I ............ Un . I

Le produit U.I est un facteur de dimensionnement de la ligne et des appareillages de distribution Donc : S S1 S2 ............. Sn S P1 j Q1 P2 j Q2 ............ Pn j Qn
d'énergie, n n
Cette grandeur distincte de la puissance P, est appelée puissance apparente, elle est notée S :
S Pi j Qi
S U.I en VA
i 1 i 1
Dipôles en parallèle
4 - Facteur de puissance
I

Pour caractériser le taux d'utilisation d'un réseau, d'un récepteur ou d'une source, on est amené à I1 I2 In
définir le facteur de puissance,
Pmoy U .I .cos Z1 Z2 Zn
Celui-ci est donné par : K cos U
S U.I

5 - Puissance active
* * * * * *
La puissance active est la puissance dissipée dans les résistances, On a : I I1 I2 ........... I Un I I1 I2 ............ In U.I U . I1 U . I2 ............ U . In
Sa valeur moyenne est : P = R.I2 Donc : S S1 S2 ............. Sn S P1 j Q1 P2 j Q2 ............ Pn j Qn
2
On a : R Z cos et U Z.I P Z.I .cos U.I.cos en W
n n
S Pi j Qi
6 - Puissance réactive
i 1 i 1
Conclusion :
La puissance réactive est la puissance échangée entre les éléments réactifs (C et L), La puissance active fournie à un dipôle est égale à la somme des puissances actives consommées
Q U.I.sin en VAR
dans les différents éléments qui constituent le dipôle,
Remarques : La puissance réactive fournie à un dipôle est égale à la somme des puissances réactives dans les
2 2
La puissance apparente peut s'exprimer par la formule suivante : S P Q différents éléments qui constituent le dipôle,
n n
2
Pour une inductance pure : Q S L I et P 0 S Pi j Qi
2
i 1 i 1

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