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SOMMAIRES

I. L'histoire de l’empire Kongo

II. Organisation politique

III. Organisation économique et calendrier

IV. Quelques évènements et photographie


INTRODUCTION
Le royaume du Kongo était un royaume mais aussi un empire de l’Afrique
centrale, situé dans ce qui est actuellement les territoires du nord de
l’Angola, dont le Cabinda, du sud de la République du Congo, de l’extrémité
occidentale de la République démocratique du Congo et du Sud-ouest du
Gabon. A son apogée, il s’étendait de l'océan Atlantique jusqu'à l’ouest de la
rivière Kwango à l'est, et du fleuve Congo jusqu’au fleuve Loje au sud.

AUX ORIGINES DE L’EMPIRE DU KONGO


Le royaume du Kongo s’est développé en Afrique centrale particulièrement
le long du fleuve Congo. Ce royaume a été fondé au 14e siècle et s’est surtout
à partir du 15e siècle que ce royaume est connu grâce à l’arrivée des
Européens.

1. Le royaume du Kongo avant l’arrivée des


Portugais : l’ancien empire du Kongo

→ Organisation sociale
L'ancien royaume du Kongo connut une expansion telle qu’il couvrit près de
300 000 kilomètres carrés au moment de son apogée. Centré sur le fleuve
Congo qui fut l’artère vitale, le royaume constitua en réalité plus une
mouvance de langue et de civilisation communes qu'un Etat centralisé dont
il est toujours difficile aujourd’hui de tracer les frontières avec précision, car
elles correspondaient aux possibilités ultimes d’intervention de l’armée.
Dans ces conditions, les marches du royaume connurent une histoire très
fluctuante ; tantôt fortement tenues en main, tantôt dans une situation
d’autonomie qui ressemblait fort à une indépendance.
Ainsi, au Nord, les provinces de Loango et de Kakongo ne furent jamais
totalement soumises et l’on parle volontiers de royaume au sujet de la
première. Celle de l’Anzicana, située au nord-est, finit par rejeter toute
vassalité avec une telle vigueur que le Hollandais Dapper prétendait que son
roi était aussi puissant que celui de Congo. Au sud, l’Angola, qui ne fut
jamais réellement soumis, devint un royaume indépendant au 15e siècle.
Les fondateurs du royaume du kongo ont conçu leur pays comme un grand
cercle ayant quatre secteurs, et pourvu d’un gros noyau. Dans le sens
contraire des aiguilles d’une montre, les secteurs sont la façade atlantique à
l’ouest ; Kongo-Dya-Mpangala au sud ; Kongo-Dya-Mulaza a l’est ; Kongo-
Dya-Mpanza au nord.
Ces secteurs consistent en entités administratives qui sont respectivement
ka-Mbamba, ki-Mpemba et ka-Mbangu. Quant au noyau appelé Zita-Dya-Nya
(nœud du monde), il avait un statut administratif particulier en tant que
province-capitale appelée également Mbanza-kongo, du nom de la ville où
résidait le Mwene, et que les Portugais renommèrent Sao Salvador.
Littéralement, Mbanza (ou Nganda) signifie chef-lieu ou capitale, en sorte
que Mbanza-kongo se traduit par capitale du kongo tout comme Mbanza-
Nsundi signifie chef lieu du Nsundi.
Kambamba, Kimpemba, Kabangu et Mbanza-Kongo formaient une
fédération politique nommée kongo-Dyna-Nza, ou encore Kongo-Dia-Ntolita.
Chacune de ces quatre entités comportait sept Ki-Nkosi (subdivisions).
Chaque Ki-Nkosi comportait plusieurs ki-Mbuku, qui se composaient
chacun de nombreux Ki-Kayi, lesquels étaient constitués à leur tour de
plusieurs Ki-Fuku. La capitale de Kongo-Dya-Mpangala se nomme Mbanza
Mbanba, celle de kongo-Dya-Mulaza est Mbanza Mpemba s’appelle
Mbanza Mbangu.
Ce modèle d’aménagement territorial va se multiplier au fil des siècles, de
manière rhizomique, jusqu'à reproduire quasiment à l’identique sa
toponymie dans les autres régions ultérieurement unifiées au foyer initial.
Ce processus d’expansion territoriale du foyer Kongo aura une structure
fondamentalement ternaire, a l’instar des trépieds d’un foyer :
Les entités politico-administratives du royaume du Congo iront de triade en
triade. Dans chaque triade, disposée toujours en position d’un homme couché
dont la tête se trouve au nord, les descendants de Nzinga occuperont toujours
le Sud, ceux de Nsaku le centre, et enfin ceux de Mpanzu le Nord. Ces régions
ou territoires, selon qu’ils appartiennent aux Nzinga, aux Nsaku ou aux
Mpanzu, portent une des dénominations suivantes :
i. Nzinga: Mbamba, Ngoyo, Mazinga, Kinanga, Mbinda, (Kabinda),
Mpangala (Kikyangala), etc. (Sud)
ii. Nsaku: Mpemba, Kakongo, Mbata, Nsanda, Zombo, Lemba, Kiyaka, etc.
(Centre)
iii. Mpanzu: Mpangu, Nsundi, Vungu, Lwangu, Nsongo, Nsuku, Mpumbu,
Ndongo, Dondo, Yombe, Kibangu, etc (Nord)

Cette originalité et cette complexité structurale de l’organisation structurale


de l’organisation du territoire du Kongo surprendront l’intelligence de
nombreux étrangers européens, ce qui explique beaucoup d’imprécisions ou
erreurs d’appréciation dans les chroniques d’époque, notamment celle de
Filippo Pigafetta.

2.l’arrivée des Portugais : le nouvelle empire du Kongo


Au cours de ses voyages le long de la cote africaine dans les années 1480, le
navigateur portugais Diogo Cao fut le premier Européen à évoquer un grand
empire qui contrôlait le commerce dans la région. Cao remonta le fleuve
Nzadi ou Zaïre qui était selon lui la voie d’accès vers le royaume du prêtre
Jean. En 1483, il rendit visite a Ntinu Nzinga Nkuwu dans sa capitale,
Mbanza-Kongo. Le royaume du Kongo était alors à son apogée grâce à la
production d’ignames et d’echange de houes et d’armes (et de cuivre
transitant par les Batéké) avec les populations de l’intérieur de l’Angola. Le
premier contact fut pacifique et certains dignitaires furent emmenés (ou
capturés par surprise selon les sources) au Portugal. Des échanges
diplomatiques émergent alors.
Grace à l’aide des arquebusiers portugais, Nzinga Nkuwu put vaincre les
Tékés et s’emparer de leurs gisements de cuivre.
Des missionnaires catholiques arrivèrent dans la région en 1490. L'année
suivante, Nzinga Nkuwu fut baptisé et pris le nom de Ndo Nzuawu
(prononciation Kongo de Dom Joao), imité par la famille royale et les
proches du pouvoir. A sa mort, les anciens désignèrent un de ses enfants non
chretiens, Mpanzu, pur lui succéder mais son fils ainé, Mvemba-a-Nzinga,
baptisé Alfonso ou ndo Funsu vers 1491, le renversa en 1509 et devint par la
grâce de Dieu le septième Roi du Congo, de Loango, de Kakongo et de Ngoyo,
sur et sous le Zaïre, seigneur d’Ambundo et d’Aquisima, de Musunu, de
Matamba, de Mulili, de Musuku et des Anziques, de la Conquête, de Pangu,
Alumbu, etc. Il reçut à cette occasion du roi du Portugal des armes et une
bannière d’argent a la croix de saint André alésée de gueules alésées.
Voyant dans le christianisme un moyen de moderniser son pays, il
encouragea les baptêmes et l'éducation et accueillit des jésuites qui l'aident
à ouvrir une école pour 600 élèves.
Par ailleurs, il envoya son fils Lukeni Lua Nzinga étudier au Portugal. Ce
dernier devint plus tard le premier évêque africain de l'histoire de l'Église
catholique moderne sous le nom de Henrique.
La capitale du pays fut reconstruite en pierre et renommée São Salvador
(Saint-Sauveur).
Avec la découverte et l'exploitation du Brésil en 1500 puis le sucre qui y est
implanté vers 1540, les Portugais vont intensifier la traite des Noirs déjà
pratiquée à une échelle modeste vers Madère. Des marchands portugais
traitent directement avec les vassaux du roi et sapaient ainsi le pouvoir
central. En 1526, le Manikongo écrivit au roi Jean III, lui demandant de
mettre fin à cette pratique. Sa requête reçut une réponse cynique et les
relations entre les deux pays s'envenimèrent. À sa mort, en 1548, le royaume
s'affaiblit jusqu'à se disloquer et attirer les convoitises de ses voisins.

3. domination Portugaise et déclin de l’empire du


Kongo
En 1568, le Kongo fut envahi par les Yakas et sa capitale Mbanza-Kongo
détruite. Le roi Alvare Ier du Kongo dut demander de l'aide à Sébastien Ier
qui le rétablit en 1571, la suprématie portugaise devenant alors totale.
En 1665, les colons portugais d'Angola montèrent une expédition contre le
royaume pour s'emparer de ses mines. Signe d'un brassage de deux siècles,
des Portugais servirent le Manikongo Antoine Ier du Kongo et des Kongos
furent alliés aux colons. Les Portugais furent victorieux, le Manikongo
décapité et sa tête enterrée dans une chapelle située sur la baie de Luanda au
cours d'une cérémonie religieuse, tandis que la couronne et le sceptre du
Kongo étaient envoyés à Lisbonne comme trophée. Le métis Manuel
Roboredo, auteur et prêtre capucin métis qui avait essayé d'empêcher cette
dernière bataille, trouva également la mort.
Cependant, le royaume du Kongo continua d'exister comme un État
fantoche durant deux siècles. Des luttes persistèrent jusqu'aux
indépendances, comme celle de la reine Ana Nzinga qui tint en échec les
coalitions portugaise, néerlandaise et britannique de 1626 à 1648 et freina
l'expansion du commerce des esclaves. Ces sursauts nationalistes prirent
parfois une forme religieuse comme lors de la croisade de la prophétesse
Kimpa Vita à qui saint Antoine de Padoue aurait ordonné d'unifier et libérer
les Kongos. Elle fut condamnée au bûcher en 1706 par le Manikongo à la
demande des Portugais.
À la conférence de Berlin en 1884-1885, les puissances européennes se
partagèrent l'Afrique ; le Portugal, s'appuyant sur des traités antérieurs
signés avec l'empire Kongo, revendiqua une souveraineté sur ses territoires.
Léopold II de Belgique reçut, à titre personnel, 2,5 millions de kilomètres
carrés qui sont devenus l'État indépendant du Congo. Dans le Nord-Ouest
de l'État ainsi formé, une superficie de 500 000 km 2 revint à la France (il
s'agit du Congo-Brazzaville). En 1914, après une révolte, le Portugal abolit
le titre de roi du Kongo ; le titre de roi du Kongo est restauré en 1915. À la
suite de la mort du roi Pierre IX du Kongo, Isabel Maria da Gama du Kongo
devient régente du Kongo de 1957 à 1962 puis de 1962 à 1975. Après un
interrègne de vingt-cinq ans, les autorités traditionnelles ont été restaurées
et Afonso Mendes a été désigné chef des autorités traditionnelles de Mbanza
Kongo.

le roi Afonso
ORGANISATION POLITIQUE
L'autorité politique suprême du Kongo-Dyna-Nza pouvait être nommée de
diverses manières :
• Ntinu : chef militaire ;
• Mwene : celui qui pourvoit aux besoins du peuple ;
• Mfumu : désigne quant à lui la notion de responsable au sens
administratif comme au sens social.
Les rois Kongo se distinguaient par leurs symboles de fonction, dont une
coiffe, un tabouret royal, un tambour et des bijoux en cuivre et en ivoire.
À noter que « Mani » est l'expression la plus répandue dans la littérature
occidentale mais ce ne serait qu'une traduction portugaise approximative de
Mwene et non une quelconque autre titulature.
La fonction de Mwene est élective mais tout citoyen ne peut pas y prétendre
car elle est aussi censitaire. On tient généralement le régime politique de
Mwene pour une monarchie constitutionnelle. Toutefois, cette fonction n'est
pas seulement politique. Elle est également sacerdotale ; comme un cas
particulier du modèle africain dit de la « royauté sacrée », ou encore la «
royauté divine ».
En principe, la succession à la tête du Kongo est matrilinéaire. En sorte
qu'originellement, seuls les descendants de Lukeni Lwa Nzinga, la fille de
l'ancêtre-mère primordiale, pouvaient prétendre au poste de Mwene. Les
descendants de Vit'a Nimi ayant pour fonction de veiller au respect, entre
autres, de cette loi de succession. Par conséquent, après avoir été élu par le
Conseil des Sages, un Mwene ne peut être consacré que s'il subit une
cérémonie rituelle organisée et présidée par le gardien des principes
spirituels et politiques désigné nécessairement parmi la lignée des Nsaku.
C'est ainsi que le premier Mwene Kongo attesté dans les annales
traditionnelles s'appelle Nimi'a Lukeni Lwa Nzinga, c'est-à-dire Nimi (du
nom de son grand-père) fils de Lukeni et petit-fils de l'ancêtre-mère Nzinga
Nkuwu. On voit que les fonctions de reine mère ou d'épouse royale sont
cruciales dans les sociétés matriarcales ; elles ne sont guère honorifiques
comme cela peut être le cas ailleurs.
Le cabinet du Mwene comporte divers fonctionnaires, notamment :
• Ma N'Kata, le préposé aux affaires militaires et à la guerre ;
• Né Tuma, le préposé aux armes et à la défense du Kongo ;
• Mbênza Kongo, le préposé aux affaires de la Justice ;
• Ne Mpûngi, chef de la musique du palais ;
• Wavadidi Ntinu, le sculpteur attitré du Ntinu, c'est-à-dire du Mwene.
Cette configuration hiérarchique est reproduite aux échelons inférieurs de
telle sorte que chacune des quatre grandes circonscriptions politiques
possède ses préposés à la Défense, Justice, etc. tout comme les vingt-huit
kinkosi comportent les leurs.
De façon générale, les préfixes Mâ, Mwê ou Nâ, N'introduisent la notion
d'autorité politique et/ou administrative ; c'est-à-dire celle de « chef », « roi
», « maître », etc.
Ainsi le :
• Ne-Nkosi est le « roi » d'un ki-Nkosi ;
• Mwê-Mbuku est l'autorité qui administre un ki-Mbuku ;
• Nâ-Kayi est le « chef » d'un ki-Kayi ;
• Mâ-Fuku (ou « Mafouc » dans les chroniques européennes) dirige un
ki-Fuku, c'est-à-dire le plus bas échelon administratif de la Fédération
Kongo-Dia-Ntotila.
En outre, la personne exerçant l'autorité d'une entité politico-administrative
est souvent désignée par le lieu-dit de sa fonction, plutôt que par son propre
patronyme. Ainsi le Mâ-Nkosi du Nsundi peut être appelé Ma-Nsundi par
ses administrés (ou Mâ-Mbamba pour le Mbamba, Ma-Lwangu pour le
Lwangu). De même qu'on appelle l'autorité suprême Mwene Kongo (« Mani
Kongo » des chroniques européennes) au lieu d'indiquer son nom propre ;
par exemple, Mvemba a Nzinga.

ORGANISATION ECONOMIQUE ET
CALENDRIER

1.organisation économique
Le royaume de Kongo, avec une population de plus de 2 millions d'habitants
à son apogée, prospèra grâce au commerce de l'ivoire, du cuivre, du sel, des
peaux de bétail et des esclaves. Ce dernier commerce était particulièrement
lucratif et bien réglementé, et à tour de rôle. à jour fixe, les villes organisaient
des marchés qui proposaient des esclaves acquis en amont du fleuve Congo.
En plus d'acquérir des biens venus d'ailleurs, le royaume produisait ses
propres biens par l'intermédiaire de groupes spécialisés d'artisans tels que
les tisserands (qui produisaient les fameux tissus de raphia de Kongo), les
potiers et les métallurgistes.
Le niveau des échanges entre les peuples de la forêt et des prairies de
l'Afrique du centre-ouest est indiqué par l'utilisation établie d'une monnaie-
coquille, les nzimbu qui provenaient à l'origine de Luanda, une île hauturière
située à près de 240 km. Initialement utilisés comme moyen de stockage de
la richesse et comme mesure standard de la valeur d'autres biens, les
coquillages furent utilisés comme des pièces de monnaie pour payer les biens
et la main-d'œuvre. N'ayant pas le contrôle absolu sur le commerce de la
région, les royaumes africains équatoriaux concurrents comprenaient le
Loango et le Tio, tous deux situés au nord de Kongo, et la vague
confédération des tribus Ndongo au sud (Angola moderne).

2.calendrier
Comme dans beaucoup de régions de l'Afrique centrale ou de l'Ouest, un
calendrier bâti sur la « semaine » de quatre jours était en vigueur ; trois
jours ouvrables et un jour pour le marché :
→ « Semaine » = 4 jours ;
→ Mois = 7 « semaines » ;
→ Année = 13 mois + 1 jour.
Outre celui du marché, il y a un calendrier agricole Kongo qui comporte cinq
saisons :
→ Kintombo (octobre-décembre) = saison des premières pluies, celle des
semailles (ntombo). On la nomme également ma-sanza, « nourriture »
;
→ Kyanza (janvier-février) = deuxième saison des pluies, celle de la
récolte du vin de palme. On l'appelle aussi mwanga ;
→ Ndolo (mars à mi-mai) = dernière saison des pluies ;
→ Siwu ou Kisihu (mai-août) = première saison sèche, marquée par les
vents froids ;
→ Mbangala (mi-août à mi-octobre) = seconde saison sèche, caractérisée
par de fortes chaleurs, notamment à partir de juillet. Période des
brûlis, mpyaza.
Avec la venue du christianisme, le calendrier chrétien a pris de plus en plus
la place de ce calendrier.

QUELQUES EVENEMENTS ET
PHOTOGRAHIE

Histoire et événements
1526 Alphonse Ier du Kongo tente de mettre fin au commerce
des esclaves en envoyant une lettre au roi du Portugal.
1622 Bataille de Mbumbi
1623 Bataille de Mbanda Kasi
1665-1709 Bataille d'Ambuila
Guerre civile du Kongo
1670 Bataille de la Rivière Mbidizi
Bataille de Kitombo
1709 Réunification du Kongo
1841 Aleixo de Água Rosada (frère du roi Henri III du Kongo)
incite le chef Dembo Nambwa Ngôngo à refuser de payer
l’impôt aux Portugais. Sa capture et son emprisonnement
par les Portugais ont eu lieu quelque temps après son
incitation.
1857 Le Kongo devient vassal du Portugal
Guerre de succession entre Alvare XIII du Kongo et Pierre
VI du Kongo.
1859 Le prince Nicolau (Nicolas) de Água Rosada proteste
contre la vassalisation du Kongo en publiant une lettre
dans le journal Jornal do Commércio du 1er décembre
1859 à Lisbonne et appelle à l’unité des Kongos
1884-1885 Conférence de Berlin
1913-1914 Révolte du Kongo
1914 Le Portugal abolit le titre de roi du Kongo. L’élection
d’Alvare XV du Kongo en 1915 permet la restauration du
titre

Mbanza Kongo
CONCLUSION
Le royaume du Kongo était un grand empire ayant laissé aux nations du
monde et surtout d’Afrique un grand patrimoine pour un développement
croissant et harmonieux de chacune d’elles.

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