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UNION-DISCIPLINE-TRAVAIL

THEME :
LE DEFI DE LA SECURITE DES
ESPACES AQUATIQUES ET
DES COUVERTS VEGETAUX,
TANT AU PLAN NATIONAL,
QUE DANS LE CADRE DE LA
COOPERATION
INTERNATIONALE.
Dr. TIESSE BI ATTE CYRILLE
1
© Octobre 2023
THEME :

LE DEFI DE LA SECURITE DES ESPACES


AQUATIQUES ET DES COUVERTS
VEGETAUX, TANT AU PLAN NATIONAL,
QUE DANS LE CADRE DE LA COOPERA-
TION INTERNATIONALE.
PLAN
INTRODUCTION
REVUE SYNOPTIQUE DES ACTIONS MIS EN OEUVRE
1 MENACES SUR LES 2
BIOTOPES : 1 ERE ET 2 EME
3 DANS LE CADRE DE LA
COOPERATION
PARTIE INTERNATIONALE

STRATEGIES ET ACTIONS MIS


CADRE JURIDIQUE, SECURITAIRE
2 EN OEUVRE AU PLAN
NATIONAL
4 ET INSTITUTIONNEL

CONCLUSION 3
INTRODUCTION

4
INTRODUCTION
A l’instar des défis liés à la
préservation de la planète, la Côte-
d’Ivoire est manifestement
confrontée aux enjeux sécuritaires
de menaces, sur ses espaces
aquatiques et couverts végétaux.
Ce sont en autre :
la Déforestation, la Croissance
démographique, la Pollution de l'eau
et de l’air, la Surexploitation des
ressources halieutiques,
l’Urbanisation accélérée, la Création
de nouvelles zones industrielles,
etc.. 5
Par ailleurs, la diversité́ biologique
en Côte-d’Ivoire est repartie entre
deux types d’écosystèmes :

 les écosystèmes terrestres :


12.647 espèces réparties entre ;
5.413 végétaux ; 6.019
invertébrés et 1.215 vertèbres ;

 les écosystèmes aquatiques :


4.696 espèces réparties entre
2.102 organismes, 375 végétaux
aquatiques et 2.219 animaux
aquatiques
6
REVUE SYNOPTIQUE DES
1 MENACES SUR LES DEUX
BIOTOPES

7
1 ERE PARTIE :
CAS DU COUVERT VÉGÉTAL

8
01. REVUE SYNOPTIQUE DES MENACES SUR LES COUVERTS
VEGETAUX
La déforestation est l'une des
principales menaces à la
préservation des couverts
végétaux en Côte d'Ivoire. Les
superficies de plantations
agricoles situées en forêt classée
se chiffraient à 630 119 ha en
1999.

Ainsi, de nombreuses forêts


classées dont celle de la Niégré,
entre 2002 et 2014 ont été
quasiment rasées en 12 ans ; 9
01. REVUE SYNOPTIQUE DES MENACES SUR LES COUVERTS
VEGETAUX

- Les espaces protégés (forêts classées, et réserves naturelles) sont


fortement infiltrées par des agriculteurs, les orpailleurs clandestins etc.;.
- Le niveau d'infiltration des parcs nationaux notamment, reste faible (5
%) dans l'ensemble, à l’exception de ceux de la Marahoué (80%) et du
Mont Péko (67 %) ;

- Le rythme de la déforestation a ralenti entre 2000 et 2015 mais reste


toujours largement supérieure aux capacités de régénération de la forêt
naturelle.

10
01. REVUE SYNOPTIQUE DES MENACES SUR LES COUVERTS
VEGETAUX

La couverture forestière est


passée de 7,85 millions
d’hectares en 1986 à 5,09
millions d’hectares en 2000, puis
à 3,4 millions d’hectares en 2015.

Les taux de perte annuels


respectifs sont de 3,04 % (soit
238 812 hectares / an) et 2,66 %
(soit 135 392 hectares / an) .
11
01. REVUE SYNOPTIQUE DES MENACES SUR LES COUVERTS
VEGETAUX

- En outre, environ 12% des émissions mondiales de gaz à effet de


serre résultent de la déforestation ;

- Sachant que le règne végétal renferme 7243 espèces dont 4117


espèces de plantes supérieures réparties en 1473 genres et 276
familles. ;

- Il existe 89 espèces endémiques et 59 espèces menacées ;

- Depuis 1960, au moins 26 espèces de plantes vasculaires ont disparu


ou ne se rencontrent qu’exceptionnellement et 170 espèces sont en
voie d’extinction.
12
STRATEGIES ET ACTIONS
2 MIS EN OEUVRE AU PLAN
NATIONAL

13
02. STRATEGIES ET ACTIONS MIS EN OEUVRE AU PLAN
NATIONAL

Elles visent à terme : à contribuer à l’amélioration de la couverture


forestière, en passant d’un taux de couverture de 11% en 2015, à un
taux d’au moins 20% en 2030 (soit 300 000 ha de forêts par an) .

 STRATEGIES ET ACTIONS
 Adoption par le Gouvernement en 2018 d’une Politique forestière,
de Préservation, de Réhabilitation et d’Extension des Forêts
(PREF) ; évaluée à plus de 616 milliards de francs CFA.

14
02. STRATEGIES ET ACTIONS MIS EN OEUVRE AU PLAN
NATIONAL

La PPREF s’étend de
2020 à 2030 :

 Avec une phase


transitoire de 2020 à
2021 et ;

 Une phase opération-


nelle de 2021 à 2030.

15
02. STRATEGIES ET ACTIONS MIS EN OEUVRE AU PLAN NATIONAL
 Création d’une Direction générale chargée des forêts, et plusieurs
services déconcentrés, pour un maillage plus serré du territoire afin
d’en optimiser la surveillance ;
 Création d’un Fonds National de Développement de la forêt et la
mise en place de mécanisme d’incitations de type paiements pour
services environnementaux (P.S.E) ;

 Instauration en 2018 par le Président de la République, de la


journée nationale de planting d’arbres le 15 novembre de chaque
année ;

 Lutte contre les feux de brousse ;


 Lutte contre l’orpaillage clandestin ; 16
02. STRATEGIES ET ACTIONS MIS EN OEUVRE AU PLAN NATIONAL

 Gestion des forêts classées suivant une approche différentielle


centrée sur le taux de dégradation ; approche qui a donné
naissance aux Agro-Forêts, le tout formalisé par la nouvelle loi ;

 Mise en oeuvre de plusieurs projets thématiques (1 école, 5ha de


forêt, Restauration des forêts dégradées du domaine rural,
reboisement des flancs de Montagnes, Réhabilitation et protection
des forêts sacrées, etc.) ;

 Instauration du reboisement compensatoire qui vise à faire reboiser


environ 3 000 hectares par an et par les exploitants, pour la
reconstitution des forêts.
17
ACTIONS MIS EN OEUVRE
3 DANS LE CADRE DE LA
COOPERATION
INTERNATIONALE

18
03. ACTIONS MIS EN OEUVRE DANS LE CADRE DE LA
COOPERATION INTERNATIONALE
Le cadre de coopération avec les Nations Unies et l’UE s’articule
autour des objectifs mondiaux relatifs aux forêts 2017-2030.

Les actions mis en œuvre, dans le cadre de coopération portent sur :

 Signature en Mars 2017, de la déclaration d’intention collective


«Initiative Cacao-Forêt» (ICF), qui vise à éliminer la déforestation
dans la chaine de production du cacao ;
 Engagement en juin 2013 dans le processus de négociations APV
FLEGT, en vue de l’amélioration de la gouvernance forestière, la
réduction de l’exploitation et du commerce illégal du bois, et
l’implementation d’un système national de traçabilité. 19
03. ACTIONS MIS EN OEUVRE DANS LE CADRE DE LA
COOPERATION INTERNATIONALE
 Engagement en juin 2011 dans le mécanisme international REDD+,
matérialisé par la prise du décret N°2012-1049 du 24 octobre 2012,
portant création d’une commission nationale REDD+ ; elle s’articule
autour de huit (8) options stratégiques majeures, visant à traiter
l’ensemble des moteurs de déforestation et de dégradation des
forêts, en vue de la lutte contre le changement climatique, et la
restauration du couvert forestier national fortement dégradé ;
 Signature en 2018 d’une lettre d’intention entre le MINEF et le
Ministère de l’Environnement et de l’Energie du Costa Rica ;
 Engagement de limitation des émissions de GES de 80% d’ici 2030,
via la Contribution Nationale Déterminée (NDC).
20
CADRE JURIDIQUE,
4 SECURITAIRE ET
INSTITUTIONNEL

21
04. CADRE JURIDIQUE, INSTITUTIONNEL ET
SECURITAIRE

 AU NIVEAU JURIDIQUE

La réglementation forestière en Côte d’Ivoire s’appuyait jusqu'en


2014 sur deux importantes lois :

► La loi n° 65-255 du 4 août 1965, relative à la protection de la faune


et à l’exercice de la chasse ;

► La loi n° 65-425 du 20 décembre 1965, portant code forestier


Plusieurs autres textes ont été pris, en de vue renforcer le cadre
juridique 22
04. CADRE JURIDIQUE, SECURITAIRE ET
INSTITUTIONNEL

 La loi n°98-750 du 23 décembre 1998 portant Code foncier rural ;

 La loi n°78-231 du 15 mars 1978 créant un domaine forestier


permanent ;

 La loi n° 2002-102 du 13 février 2002 relative à la création, à la


gestion et au financement des parcs nationaux et des réserves
naturelles ;

 la loi n° 65-425 du 25 juillet 2019 portant nouveau Code forestier.,


dont les textes d’application sont en quasi totalité mis en vigueur
(8 décrets et un arrêté sur 12). 23
04. CADRE JURIDIQUE, INSTITUTIONNEL ET
SECURITAIRE

 AU PLAN INSTITUTIONNEL

 Nous avons au niveau national, le Ministère des Eaux et forêts et


ses organismes sous tutelle, dont la SODEFOR .

 Idem, pour le Ministère de l’Environnement, avec l’OIPR ;

 Le Ministère de l’Agriculture et du développement rural, avec le


Conseil Café-Cacao.

24
04. CADRE JURIDIQUE, INSTITUTIONNEL ET
SECURITAIRE

 Et au niveau de la coopération internationale, pour les accords ci-


après. Ce sont en autre :
 Le Secrétariat exécutif permanent de la REDD+ (SEP-REDD) ;

 La World Cocoa -Foundation ;

 La Banque Mondiale, la BAD, le PNUD et le FMI ;

 La Commission des forêts et de la faune sauvage pour l'Afrique


(CFFSA), qui est l'une des six commissions régionales des forêts
créées par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et
l'agriculture (FAO) ; à l’instar de l’OIBT et du FNUF. 25
04. CADRE JURIDIQUE, SECURITAIRE ET
INSTITUTIONNEL

 L’Adoption en mars 2018 du Programme d’investissement Forestier


(PIF), mis en place par le Fonds d’Investissement Climatique (FIC),
pour un apport financier de 28,5 millions $US ; en vue de la
conservation des Parcs et la réalisation de reboisements au sud-
ouest et au centre du territoire ;

 L’octroie d’un financement de 4,4 milliards de FCFA au secteur


forestier, pour le financement de l’inventaire forestier et faunique
national. Pour les périodes 2012-2015 et 2014-2020 un montant
global de plus de 14 milliards FCFA .
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04. CADRE JURIDIQUE, SECURITAIRE ET
INSTITUTIONNEL
 AU PLAN SECURITAIRE
 La Loi de Programmation de Sécurité Intérieure (LPSI), en son
volet « Eaux et Forêts », qui prévoit entre autres, le recrutement
de 3 573 agents ;
 La dotation des services de l’administration forestière en
équipements techniques et de mobilité, via le budget de la LPSI
de plus de 20 milliards FCFA (environ 30,5 millions d’euros) a
permis.
 03 Directions centrales en charge des forêts dont la BSSI, la
DPFE et la DPIF ; 12 Directions Régionales et 31 Directions
Départementales, 98 cantonnements et 170 Postes Forestiers. 27
04. CADRE JURIDIQUE, SECURITAIRE ET
INSTITUTIONNEL
Sous réserve d’un inventaire plus exhaustif, nous avons les
dotations suivantes :

 144 véhicules doubles cabines ;


 14 véhicules cabines simples ;
 10 véhicules Land Cruiser et 23 véhicules Duster ;
 450 motos ;
 Cargos de transports de troupes ;
 Armement (700 armes, GPS, gilets pare-balles, casques
 Une Navette, etc). 28
2 EME PARTIE :
CAS DU MILIEU AQUATIQUE

29
L’eau, source de vie et de
biodiversité, est un bien mondial et
sa préservation constitue l’un des
principaux défis environnementaux
du XXIè siècle. En effet, cette
ressource est déjà sous pression et
particulièrement vulnérable au
changement climatique (AFD,
2014).
Dans un tel contexte, la Gestion
Intégrée des Ressources en Eau
(GIRE) apparaît comme une
nécessité pour toute activité de
développement économique et
social. 30
La situation des eaux de surface, se présente comme suit :,

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REVUE SYNOPTIQUE DES
1 MENACES SUR LES
ESPACES AQUATIQUES

32
01. REVUE SYNOPTIQUE DES MENACES SUR LES
ESPACES AQUATIQUES
 Pollution de l'eau et des  Certains cours d’eau et réservoirs
sédiments : provenant présentent des signes
essentiellement des activités d’eutrophisation caractérisés par la
industrielles, agricoles et présence de végétaux aquatiques
urbaines. envahissants.

33
01. REVUE SYNOPTIQUE DES MENACES SUR LES ESPACES
AQUATIQUES

- La situation est d’autant plus grave, que l’Etat a dû se tourner vers


d’autres sources d’approvisionnement, notamment la nappe phréatique
de Bonoua et la lagune Aghien, pour assurer la disponibilité de l’eau
aux ménages ;

- La qualité des eaux et la productivité sont à craindre, avec la fermeture


des embouchures de la Bia à Assinie, du Comoé à Grand Bassam et
du Bandama à Grand Lahou ;

- A titre d’exemple à Dabou, en 2013, des pollutions issues des effluents


des déchets ménagers, industriels et des pesticides ont été constatées.
34
STRATEGIES ET ACTIONS
2 MIS EN OEUVRE AU PLAN
NATIONAL

35
02. STRATEGIES ET ACTIONS MIS EN OEUVRE AU PLAN NATIONAL

 La GIRE, politique Nationale de l’Eau (MINEF, 2010). Cette


politique s’articule autour de treize (13) axes stratégiques et
s’appuie sur les enjeux du développement durable ; à savoir l’équité
sociale, l’efficience économique et la durabilité écologique.

 L’identification des habitats et écosystèmes, des zones marines


d’importance écologique et biologique; et la sensibilisation aux
bonnes pratiques ;

 La mis en œuvre du Plan Directeur de Gestion Intégrée des


Ressources en Eau en janvier 2001 ;
36
02. STRATEGIES ET ACTIONS MIS EN OEUVRE AU PLAN NATIONAL

 La réalisation du Bilan et Perspectives, de la Gestion Intégrée des


Ressources en Eau, en octobre 2003 ;
 La production du document de politique et de stratégies en matière de
gestion intégrée des ressources en eau en 2004 ;
 Etat des lieux des ressources en eau en mars 2010 ;

 Hiérarchisation des problèmes des ressources en eau en mars 2010 ;

 Formulation de la vision nationale de l’eau à l’horizon 2040 en mai


2010 ;
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02. STRATEGIES ET ACTIONS MIS EN OEUVRE AU PLAN NATIONAL

 Élaboration et Validation du document de Politique nationale de l’eau


en mai 2010 ;

 Élaboration et Validation de l’étude relative au Cadre Institutionnel de


Gestion Intégrée des Ressources en Eau en juillet 2011 ;

 Élaboration et Validation de l’étude relative au Financement de la


Gestion Intégrée des Ressources en Eau en juillet 2011 ;

 Restitution des résultats des études sur la Lagune Aghien en mai


2018 ;

 • Création de la Direction Générale des Ressources en Eau.


38
ACTIONS MIS EN OEUVRE
3 DANS LE CADRE DE LA
COOPERATION
INTERNATIONALE

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03. ACTIONS MIS EN OEUVRE DANS LE CADRE DE LA
COOPERATION INTERNATIONALE

 Signature en 2003, après ratification en 1998 de la Convention des


Nations Unies sur le Droit de la Mer de 1982 ;

 Maîtrise des contraintes techniques et sanitaires des produits


halieutiques destinés aux marchés des pays développés et notamment
ceux de l'UE, la Côte d’Ivoire fait partie de quelques pays (29 sur 79
du groupe ACP) présentant une conformité sanitaire reconnue et
disposant de l'agrément européen

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03. ACTIONS MIS EN OEUVRE DANS LE CADRE DE LA
COOPERATION INTERNATIONALE
 Utilisation d’un certificat de capture attestant que les règles
internationales en matière de conservation et de gestion des
ressources halieutiques sont respectées

 Promouvoir des espaces maritimes sécurisées, sûres et durables


Elle s’articule autour des six axes : (i) renforcement de la
gouvernance de l’AEM, (ii) la sécurité et la sureté de l’espace
maritime national, (iii) la gestion de l’environnement marin, (iv)
l’optimisation de l’économie maritime, (v) la sensibilisation, la
communication, la formation et la recherche dans le domaine de
l'AEM, et (vi) l’établissement et le renforcement de la coopération
bilatérale, régionale, continentale et internationale.
41
CADRE JURIDIQUE,
4 SECURITAIRE ET
INSTITUTIONNEL

42
04. CADRE JURIDIQUE, SECURITAIRE ET
INSTITUTIONNEL

 AU NIVEAU JURIDIQUE

La réglementation en matière de l’eau en Côte d’Ivoire s’appuie sur


les textes suivant :

• Loi n°98-755 du 23 décembre 1998 portant Code de l’eau ;

• La validation de quinze (15) décrets d’application de la


loi portant Code de l’Eau en février 2008 ;

• La prise de (06) décrets d’application de la loi portant Code de


l’Eau 2012-2015 ; 43
04. CADRE JURIDIQUE, SECURITAIRE ET
INSTITUTIONNEL

 AU PLAN INSTITUTIONNEL

 Nous avons au niveau national, le Ministère des Eaux et forêts, à


travers sa Direction Générale de Gestion des Ressources en Eau
;

 Idem, pour le Ministère de l’Environnement, avec l’ANDE et le


CIAPOL ;

 Le Ministère des ressources animales et halieutiques

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04. CADRE JURIDIQUE, SECURITAIRE ET
INSTITUTIONNEL

 CADRE SECURITAIRE

Du point de vue sécuritaire, il est à noter que la DGRE est tributaire


de :

• Des Agents de la Brigade Spéciale de Surveillance et d’Intervention


(BSSI) ;

• et de ceux de la Direction de la Police Forestière et de l’Eau (DPFE).

Beaucoup reste donc à faire, pour le renforcement de son cadre


sécuritaire. 45
CONCLUSION

46
CONCLUSION
La Côte d’Ivoire a fait et continue de faire des progrès en matière de
protection de la diversité biologique, notamment dans la protection des
espaces aquatiques et des couverts végétaux.
Cependant, des difficultés sont à relever dans le cadre la garantie de ces
ressources vitales, pour les générations futures.
Elles se situent au niveau technique, financier, gouvernance forestière
politique et stratégie, mise en œuvre de manière cohérente, dans un
environnement institutionnel et réglementaire approprié,
Toutes ces actions contribueront certainement à résorber les menaces
sérieuses qui pèsent sur le riche patrimoine biologique national.
47
JE VOUS
REMERCIE

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