Etude de Quelques Equations Diff Erentielles Fractionnaires Avec La D Eriv Ee de Katogampola

Notation et Définition et les théorèmes utilisés
Les dérivés fractionnaires généralisées et leur modification au sens de Caputo

Existence et Stabilité des équations différentielles fractionnaires impliquant la dérivée généralisée de Katugampola
Résultats d’existence et d’unicité pour un problème implicite avec des dérivées fractionnaires généralisées
Etude de quelques équations différentielles

Fractionnaires avec la dérivée de Katogampola
Sàadi Fatiha
Mémoire de master
Promotrice : Dr. Lazreg Jamal Eddine
Département de Mathématiques
Université Djillali LIABES - S.B.A.
Le 20-06-2019
Sàadi Fatiha Mémoire de master 1 / 87


Introduction.
L’histoire du calcul fractionnaire (FC) remonte au XVIIe siècle. En 1695, la
dérivée de l’ordre a = 12 était décrit par Leibnitz. Depuis lors, la nouvelle
théorie s’est avérée très attrayante pour les mathématiciens . Plusieurs
dérivés différents ont été introduits : Riemann-Liouville, Hadamard,
Grunwald-Letnikov, Riesz et Caputo.
Katugampola a initié une nouvelle intégrale fractionnaire, qui généralise les
intégrales de Riemann-Liouville et de Hadamard en une seule forme [37].
Plus tard, Katugampola [38] a introduit un nouveau dérivé fractionnaire,
qui généralise les deux dérivés en question. D’apres [38, 40], nous
appliquons la dérivée de Katugampola-Caputo aux équations différentielles
fractionnaires implicites.

Méthode de travail.
Nous définissons Les dérivés fractionnaires généralisées et leur
modification au sens de Caputo.
Nous étudions Les résultats d’existence et la stabilité pour une classe
d’équations différentielles fractionnaires impliquant la dérivée
généralisée de Katugampola sont présentés .
Nous étudions l’existence des solutions pour les problèmes différentiels
fractionnaires implicites à fracture généralisée.
on utilissons les théorèmes des points fixes de Banach et de Krasnoselskii
pour obtenir les résultats souhaités.

Plan de la Présentation I
1 Notation et Définition et les théorèmes utilisés
Intégrale et Dérivée au sens Riemann-Liouville
Dérivée au sens de Caputo
Intégrale et Dérivée au sens de Hadamard
Généralisation de l’intégration fractionnée et différentiation
Intégrale et Dérivée au sens de Katugampola
Quelques théorèmes des points fixes
2 Les dérivés fractionnaires généralisées et leur modification au sens de
Caputo
Les dérivés fractionnaires généralisés sur l’espace ACγn et Cγn
Modification de Caputo de la dérivée fractionnaire généralisée
3 Existence et Stabilité des équations différentielles fractionnaires
impliquant la dérivée généralisée de Katugampola
Plan de la Présentation II
L’attractivité des solutions
l’existence et la stabilité au sens d’Ulem-Hyers
Stabilité au sens d’Ulam-Hyers-Rassias
Exemple
4 Résultats d’existence et d’unicité pour un problème implicite avec des

dérivées fractionnaires généralisées
Introduction
Résultats d’existence et d’unicité
un exemple
Bibliographie

Notation et Définition et les théorèmes utilisés Dérivée au sens de Caputo
Les dérivés fractionnaires généralisées et leur modification au sens deIntégrale
Caputo et Dérivée au sens de Hadamard
Généralisation
Existence et Stabilité des équations différentielles fractionnaires impliquant degénéralisée
la dérivée l’intégrationdefractionnée
Katugampola et différentiation
Résultats d’existence et d’unicité pour un problème implicite avec des Intégrale
dérivéeset Dérivée au sens
fractionnaires de Katugampola
généralisées
Notations et définitions
Considérons Xcρ (a, b) (c ∈ R, 1 ≤ p ≤ ∞) l’espace des fonctions f qui
vérifié  !1 
 p 
Rb c
Xcρ (a, b) = f : [a, b] → R : kf kxcρ = a |t f (t)| p dt
t < ∞ ,
 
où la norme est définie par
!1
Z b p
c p dt
kf k xcρ = |t f (t)| < ∞, (1 ≤ p < ∞, c ∈ R)
a t
et pour le cas p = ∞
kf kxcp = sup [t c |f (t)|], (c ∈ R).

a≤t≤b
Généralisation
généralisées
Notations et définitions
En particulier, quand c = 1/p(1 ≤ p ≤ ∞), l’espace Xcp coı̈ncide avec
l’espace classique Lp (a, b).
Soit Ω = [a, b](0 < a < b < ∞ et E l’espece de Banach, des fonctions
continues x : Ω → E tel que
kxk∞ = sup kx(t)k)E
t∈Ω
Nous définissons l’espace pondéré des fonctions continues g sur
Ω∗ = (a, b] par
t ρ − aρ 1−γ
Cγ,ρ (Ω) = {g : Ω∗ → R|( ) g (t) ∈ C (Ω)} 0 < γ ≤ 1;
ρ
De la norme
t ρ − aρ 1−γ t ρ − aρ 1−γ
kg kCγ,ρ = k( ) g (t)kC = max |( ) g (t)|
ρ t∈Ω ρ
Généralisation
généralisées
Intégrales fractionnaires de Riemann-Liouville
Definition
[10] Soit [a, b](0 ≤ a 0) sont définies par,
Ia+ b−
Z x
α 1
(Ia+ f )(x) = (x − τ )α−1 f (τ )dτ x > a,
Γ(α) a
et
Z b
α 1
(Ib− f )(x) = (x − τ )α−1 f (τ )dτ x < a,
Γ(α) x
on note Ia+ et Ib− respectivement l’intégrale à gauche et à droite.
Généralisation
généralisées
Dérivés fractionnaires de Riemann-Liouville
Definition
α f et D α f
[14] Les dérivées fractionnaires de Riemann-Liouville Da+ b−
d’ordre α ∈ C, Re(α) ≥ 0 sont définies par,
α d n n−α
(Da+ f )(x) = (Ia+ f )(x), x > a,
dx
et
α d n n−α
(Db− f )(x) = −
(Ib− f )(x), x < b,
dx
respectivement, où n = [Re(α)] + 1

Généralisation
généralisées
Dérivée fractionnaire au sens de Caputo
Definition
[3] La dérivée fractionnaire d’ordre α de f au sens de Caputo est donnée
par :
Z x
1
(c Da+
α
f )(x) = (x − τ )n−α−1 f n (τ )dτ , n−1<α≤n
Γ(n − α) a

Généralisation
généralisées
l’intégrale fractionnaire de Hadamard
Soit [a, b](0 ≤ a < b ≤ ∞) un intevalle fini de la demi droite réelle

positive et α ∈ C
Definition
[6] l’intégrale fractionnaire de Hadamard est donné par :
Z x
α 1 x α−1 dτ
Ia+ f (x) = log f (τ ) ,
Γ(α) a τ τ
pour Re(α) > 0, x > a ≥ 0

Généralisation
généralisées
la dérivée fractionnaire de Hadamard
Definition
[6] La dérivée fractionnelle de Hadamard d’ordre α ∈ C, Re(α) > 0 est
donnée par,
1 d n Z x x n−α−1 dτ
α
Da+ f (x) = x log f (τ ) ,
Γ(n − α) dx a τ τ
pour x > a ≥ 0 oú n = [Re(α)] + 1.

Généralisation
généralisées
L’intégrale et la dérivée fractionnaire généralisée
Definition
[48, 49] Soient α, c ∈ R(α > 0) et f ∈ Xcp (a, b) .L’intégrale fractionnaire
d’ordre α gauche-droite definie respectivement par
p−1 f (t)
α f )(x) = p 1−α x t
(p Ia+
R
Γ(α) a (x p −t p )1−α dt
et p−1 f (t)
α f )(x) = p 1−α b t
(p Ib−
R
Γ(α) x (x p −t p )1−α dt avec p > 0
Les Dérivés fractionnaires généralisés d’ordre α, (p Da+ α f )(x) et
p α
( Db− f )(x),gauche et droite,definie respectivement par
α f )(x) = p 1−n+α x 1−p d n x t p−1 f (t)
(p Da+
R
Γ(n−α) dx a (x p −t p )1−n+α dt
et
α f )(x) = (−1)n p 1−n+α x 1−p d n b t p−1 f (t)
(p Db−
R
Γ(n−α) dx x (x p −t p )1−n+α dt

Généralisation
généralisées
théorème
Soient α ∈ C, Re(α) ≥ 0, n = [Re(α)] et p > 0 .Alors, pour x > a,
Z x
p α 1
1 lim ( Ia+ f )(x) = (x − τ )α−1 f (τ )dτ ,
p→1 Γ(α) a
Z x
p α 1 x α−1 dτ
2 lim+ ( Ia+ f )(x) = log f (τ ) ,
p→0 Γ(α) a τ τ
Z x
d 1 f (τ )
3 lim (p Da+
α
f )(x) = ( )n
p→1 dx Γ(n − α) a (x − τ )α−n+1 dτ
d n x
Z
p α 1 x n−α−1 dτ
4 lim+ ( Da+ f )(x) = x log f (τ ) .
p→0 Γ(n − α) dx a τ τ

Généralisation
généralisées
théorème
soient 0 < α < 1, et f ∈ Xcp (a, b), p > 0.Alors pour a > 0, p > 0, on a
(p Da+
α p α
Ia+ )f (x) = f (x)
théorème
soient α, β ∈ C et 0 < Re(α) < 1 et 0 < Re(β) < 1.Si 0 < a 0,
p α p β α+β
Ia+ Ia+ f =p Ia+ f
Généralisation
généralisées
théorème
(Composition).soient α, β ∈ C et 0 < Re(α) < Re(β) < 1.Si
0 < a 0
p α p β β−α
Da+ Ia+ f = p Ia+ f
α p I β f =p I β−α
et p Db− b− b−

Généralisation
généralisées
Théorème
[9] (Propriété de linéarité).Soit α ∈ C et 0 < Re(α) < 1 et
0 < Re(β) < 1.si 0 < a 0,
p α
Ia+ (f + g ) =p Ia+
α
f +p Ia+
α
g
et
p α
Da+ (f + g ) =p Da+
α
f +p Da+
α
g

Généralisation
généralisées
L’intégrale et la dérivé fractionnaire généralisé
Théorème
[5] Soit p > 0.on a,
∞
p α p α−1 X Γ(1 + pi )
Da+ f (z) = αp i
f i (0)z i
z i!Γ(1 + p − α)
i=0
pour z 6= 0.

Généralisation
généralisées
Dans [5], Gaboury et al.sont obtenu deux représentations de p I0+

α donnée
par le résultat suivant :

Théorème
Soit α ∈ C et p ∈ C tel que Re(α) > 0 et Re(p) > 0,on a
∞
p I α f (z) = p 1−α z p(α−1) (1−α)n −np p(n+1)
P
0+ Γ(α) n! z ×Γ(p(n+1))Dz f (w −z) ; w =z
n=0
∞
p 1−α p(α−1) (1−α)n −np
et p I0+
α f (z) = + 1))Dz−1 z p(n+1)−1 f (z)
P
Γ(α) z n! z .Γ(p(n
n=0
tel que (λ)n le sympole de pochhammer donné par :
(λ)n = Γ(λ+n)
Γ(λ) , (λ)0 = 1

Généralisation
généralisées
Théorème
soit α ∈ C et p ∈ C tel que Re(α) > 0 et Re(p) > 0,on a
p D α f (z) =
0+
∞
pα 1−α d
P (α)k −(α+k)p p(k+1)
Γ(1−α) z dz k! z × Γ(p(k + 1))I0+ f (w − z) ; w =z
n=0
et
∞
p D α f (z) = pα P (α)k Γ(p(k+1))
0+ Γ(1−α) k! . z p(α+k+1) ×
n n=0 o
1−p(k+1) p(k+1)
zD0+ f (w − z) ; w =z − p(k + α)I0+ f (w − z) ; w =z

Généralisation
généralisées
l’intégrale et la dérivée au sens de Katugampola
soit l’espace Xcp (a, b)(c ∈ R, 1 ≤ p ≤ ∞) et kf kXcp (a,b) .
Definition
Soit f une fonction intégrable sur un intervalle fermé [a, b]. L’intégrale
fractionnaire de f au sens de Katugampola est définie comme suit :
(p + 1)1−α x p+1
Z
p α
a Ix f (x) = (x − τ p+1 )α−1 τ p f (τ )dτ
Γ(α) a
oú α > 0 et p = −1 sont des nombres réels.

Généralisation
généralisées
l’intégrale et la dérivée au sens de Katugampola

Remarque
[20, 22, 23] Notons que pour p = 0, l’intégrale fractionnaire de
Katugampola se réduit à l’intégrale fractionnaire de Riemann-Liouville. De
plus, en utilisant la règle de L’Hôpital, nous avons
(p + 1)1−α x p+1
Z
lim + (x − τ p+1 )α−1 τ p f (τ )dτ
p→−1 Γ(α) a
Z x x p+1 − τ p+1 α−1
1
= lim + τ p f (τ )dτ
Γ(α) a p→−1 p+1
Z x
1 x α−1 f (τ )
= log dτ
Γ(α) a τ τ
Ceci est l’intégrale fractionnaire de Hadamard.

Généralisation
généralisées
l’intégrale et la dérivé au sens de Katugampola

Definition
Soient 0 ≤ a −1 et f est une fonction sur un intervalle fermé [a, b]. La dérivée
fractionnaire de Katugampola, correspondant à l’intégrale fractionnaire de
Katugampola, de f est définie, pour a < x < b, par
d n p n−α
p α
a D f (x) = x −p a
I f (x)
dx
(p + 1)α−n+1 −p d n x p+1
Z
= x (x − t p+1 )n−α−1 t p f (t)dt
Γ(n − α) dx a
On peut voir que les dérivés fractionnaires de Riemann-Liouville et

Hadamard sont des cas particuliers de la dérivée généralisée ci-dessus.
Généralisation
généralisées
théorèmes des points fixes
Un théorème de point fixe est un résultat qui affirme q’une fonction F

possède au moins un point fixe moyennant quelques conditions sur F . Les
résultat de ce type sont parmi les plut utiles en mathématique
théorème d’Arzéla-Ascoli
[45] Soit F ⊂ C (J, Rn ) et J un intervalle borné de R.F est relativement
compact si :
1 F est uniformément borné i.e :∃M > 0 tel que |f (t)| ≤ M pour tout
f ∈ F et pour tout t ∈ J.
2 F est équicontinu i.e :∀ > 0, ∃δ > 0,tel que pour tout f ∈ F et pour
tous t, s ∈ J avec |t − s| ≤ δ ⇒ kf (t) − f (s)k ≤ .

Généralisation
généralisées
théorèmes de points fixes
Théorème du point fixe de Banach

[44] Soit X un espace de Banach , et N : X → X un opérateur
contractant
alors N admet un unique point fixe dans X.

Généralisation
généralisées
Théorème du point fixe de Schaefer

[44] Soit X un espace de Banach ,et N : X → X un opérateur continu et
completement continu.
Si l’ensemble D = {y ∈ X : y = λNy , pour un certain λ ∈ [0, 1]} est
borné,alors N admet au moins un point fixe dans X.
Théorème du point fixe de Schauder

[44, 27] Soit X un espace de Banach ,et K un convexe fermé borné de X
et N : K → K un opérateur continu et compact,alors N admet au moins
un point fixe dans K.

Généralisation
généralisées
Théorème de Krasnoselkii
[46, 47] Soit K un sous-ensemble fermé convexe et non vide d’un espace
de Banach X. Soit T et S deux opérateurs tels que
Tx + Sy ∈ K pour tout x, y ∈ K ;
T est compact et continu ;
S est un opérateur contractant.
Alors il existe z1 ∈ K tel que z1 = Tz1 + Sz1 .

Généralisation
généralisées
théorème
[26] Soit Θ : Cγ,ρ → Cγ,ρ être un opérateur strictement contractif avec
une constante de Lipschitz L < 1. Il existe un entier non négatif K tel que
d(ΘK +1 x, ΘK x) < ∞ pour certains x ∈ Cγ,ρ , alors les propositions
suivantes sont vraies :
(A1) la suite {ΘK x}n∈N converge en un point fixe x ∗ de Θ
(A2) x ∗ est un point fixe unique de Θ sur
X = {y ∈ Cγ,ρ (Ω) : d(ΘK x, y ) < ∞};
(A3) si y ∈ X , alors d(y , x ∗ ) ≤ 1
1−L d(y , Θx).

n n
Les dérivés fractionnaires généralisées et leur modification au sens deLes dérivés fractionnaires généralisés sur l’espace ACγ
Caputo et Cγ
Existence et Stabilité des équations différentielles fractionnaires impliquant
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola
fractionnaire généralisée
L’objet principal de ce chapitre est de présenter le tableau général des

dérivés fractionnaires des fonctions absolument continues et continues et
différentiables. Considérons certaines de leurs propriétés qui nous
amèneront à définir la modification au sens Caputo de ces dérivés.

n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola
Les dérivées fractionnaires généralisées sur l’espace ACγn et

Cγn
Rappelons que f ∈ AC [a, b] l’espace des fonctions absolument continues

sur [a, b] si et
R x seulement si
f (x) = c + a ϕ(t)dt, ϕ(t) ∈ L(a, b).
. Notons l’espace de toutes les fonctions réelles continues sur [a, b] par
C [a, b]

n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola
Les dérivées fractionnaires généralisées sur l’espace ACγn et

Cγn
De la norme
kf kC = sup |f (x)|
x∈[a,b]
tel que |.| est la valeur absolue dans R ou la norme dans l’espace de
Banach.
Ensuite nous introduisons un espace de ρ− fonctions continues dans
lesquelles la continuité en a n’est pas assurée. Pour 0 ≤ < 1, nous
définissons l’ensemble
C,ρ [a, b] = {f : (a, b] → R : (x ρ − aρ ) f (x) ∈ C [a, b]} , ρ 6= 0,

n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola
Les dérivés fractionnaires généralisés sur l’espace ACγn et

Cγn
Avec la norme
kf kC,ρ = k(x ρ − aρ ) f (x)kC .
et l’ensemble
C,ρ [a, b] = {f : (a, b] → R : (log x − log a) f (x) ∈ C [a, b]} , ρ = 0,
Avec la norme
kf kC,ρ = kf kC,log = k(log x − log a) f (x)kC .
Convention : C0,ρ [a, b] = C [a, b].

n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola

Cγn
Definition
Soit [a, b] un intervalle fini, 0 ≤ < 1 et AC [a, b] l’ensemble des fonctions
absolument continues sur [a, b]. Nous définissons les ensembles
ACγn [a, b] =
d
f : [a, b] → C et γ n−1 f ∈ AC [a, b], γ = x 1−ρ dx ACγ1 [a, b] =

,
AC [a, b].
n [a, b] =
Cγ,
d
f : [a, b] → C et γ n−1 f ∈ C [a, b], γ n f ∈ C,ρ [a, b], γ = x 1−ρ dx

. tels
que
= n−1 k n
P
kf kCγ,
n
k=0 kγ f kC + kγ f kC,ρ
Convention : Cρ,0n [a, b] = C n [a, b] .
ρ
n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola

Cγn
Lemme
Supposons ρ 6= 0. Une fonction f ∈ ACγn [a, b] si et seulement si f est écrit
sous la forme
(1)
Z x ρ n−1
1 x − t ρ n−1 (γ n f )(t) X (γ k f )(a) x ρ − aρ k
f (x) = ( ) dt +
(n − 1)! a ρ t 1−ρ k! ρ
k=0

n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola

Cγn
Lemme
n [a, b] si et seulement si f est
Supposons ρ 6= 0. Une fonction f ∈ Cγ,
présenté sous la forme
x n−1
x ρ − t ρ n−1 x ρ − a ρ k
Z
1 X
(2) f (x) = g (t)dt + Ck ,
(n − 1)! a ρ ρ
k=0
n k
où g (t) ∈ C,ρ [a, b]. De plus, g (x) = (γ f1−ρ
(x))(x)
et Ck = (γ k!
f )(a)
En particulier, f ∈ Cγn [a, b] si et seulement si f est présenté sous la forme

de 2, où g (t) ∈ C [a, b].
n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola

Cγn
Théorème
Soit Re(α) > 0, n = Re(α) + 1 et f ∈ AC n [a, b] ou f ∈ Cγn [a, b] .Puis les
dérivés fractionnaire généralisées de f existent presque partout et peuvent
être représentés sous la forme
α,ρ f (x) =
aD
1
R x x ρ −t ρ n−α−1 (γ n g )(t)dt Pn−1 (γ n f (a)) x ρ −aρ k−α
Γ(n−α) a ρ t 1−ρ
+ k=0 Γ(k−α+1) ρ
et
(−1)n b t ρ −x ρ n−α−1 (γ n g )(t)dt Pn−1 (γ n f (a)) x ρ −aρ k−α
Dbα,ρ f (x) = Γ(n−α)
R
x ρ t 1−ρ
+ k=0 Γ(k−α+1) ρ

n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola
Introduction
de peut être prouvée de la même manière.

Théorème
[29] . Soit α > 0, 1 ≤ p ≤ ∞ et C ∈ R. pour f ∈ Xcp (a, b) où
a > 0, ρ > 0, on a
aD
α,ρ
aI
α,ρ
f =f Dbα,ρ Ibα,ρ f = f .

n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola
Théorème
Soit Re(α) > 0, n = −[−Re(α)], f ∈ L(a, b) et
α,ρ f ∈ AC n [a, b](I α,ρ f ∈ AC n [a, b].) Alors
aI b
n α−j,ρ f (a) x ρ − aρ
aD α−j
X
(a Iaα,ρ D α,ρ )f (x) = f (x) −
Γ(α − j + 1) ρ
j=1
n
(−1)j Dbα−j,ρ f (b) bρ − x ρ α−j
(Ibα,ρ Dbα,ρ )f (x) = f (x) −
X
(3)
Γ(α − j + 1) ρ
j=1

n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola
Lemme
Soit Re(α) ≥ 0 et Re(β) > 0. Puis,
t ρ − aρ β−1 Γ(β) x ρ − aρ β−α−1

(4) a
D α,ρ (x) =
ρ Γ(β − α) ρ
bρ − t ρ β−1 Γ(β) bρ − x ρ β−α−1

a
D α,ρ (x) =
ρ Γ(β − α) ρ
t ρ − aρ α−i
(5) a
D α,ρ (x) = 0, i = 1, 2, ..., [Re(α)] + 1.
ρ
bρ − t ρ α−i
a
D α,ρ (x) = 0, i = 1, 2, ..., [Re(α)] + 1.
ρ

n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola
Modification de Caputo du dérivé fractionnaire généralisé

Nous présentons ci-dessous la définition de la dérivée fractionnaire
généralisée de Caputo de tout ordre qui diffère de la définition énoncée
dans [30].
Definition
Soit Re(α) ≥ 0 et n = [Re(α)α] + 1. Si f ∈ ACγn [a, b], où 0 < a < b < ∞,
nous définissons la dérivées fractionnaires généralisée de Caputo à gauche
et à droite de f d’ordre α par :
c D α,ρ f (x) = D
Pn−1 γ k f (a) t ρ −aρ k
a a α,ρ [f (t) − k=0 k! ρ ](x)
k k
cD
P n−1 (−1) γ f (b) b −t k
ρ ρ
a α,ρ f (x) =Dα,ρ [f (t) − k=0 k! ρ ](x)
Au cas 0 < Re(α) < 1, on a
c D α,ρ f (x) = D
a a α,ρ [f (t) − f (a)](x)
et ca D α,ρ f (x) =Dα,ρ [f (t) − f (a)](x)
n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola
Modification de Caputo de la dérivée fractionnaire

généralisée
Théorème
. Soit Re(α) ≥ 0, n = [Re(α)] + 1 et f ∈ ACγn [a, b], où 0 < a < b < ∞.
Si α ∈/ N0
c D α,ρ f (x) = 1
R x x ρ −t ρ n−α−1 (γ n f )(t)dt
a Γ(n−α) a ρ t 1−ρ
(6) n−α,ρ n
= aI (γ f )(x)

n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola
c D α,ρ f (x) 1
R b t ρ −x ρ n−α−1 (−1)n (γ n f )(t)dt
b = Γ(n−α) x ρ t 1−ρ
(7)
= Ibn−α,ρ (γ n f )(x)
Si α ∈ N
c α,ρ
(8) aD f = γnf c α,ρ
aD f = (−1)n γ n f
En particulier :
c 0,ρ c
aD f =f a D0,ρ f =f.

n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola

généralisée
Théorème
. Soit Re(α) ≥ 0, n = [Re(α)] + 1 et f ∈ Cγn [a, b], où 0 < a < b < ∞ ,
c D α,ρ f
a et c Dbα,ρ f peuvent être représentées comme dans (6) et (7),
respectivement si α ∈ / N0 . Si α ∈ N, 8 est valide. De plus ca Dbα,ρ , f et
c D α,ρ f sont continus sur [a, b] et
a
c α,ρ c α,ρ
(9) aD f (a) = 0, aD f (b) =0

n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola
Modification de Caputo de le dérivée fractionnaire

généralisée
Théorème
Soit Re(α) ≥ 0, n = [Re(α)] + 1. Si α ∈ / N,ca D α,ρ , est borné de l’espace
Cγ [a, b] dans l’espace Ca [a, b] = {g ∈ C [a, b] : g (a) = 0} et c Dbα,ρ , est
n
borné de l’espace Cγn [a, b] dans l’espace

Cb [a, b] = {g ∈ C [a, b] : g (b) = 0} et
kγ n f knC ρ ρ
kca D α,ρ f kCa ≤ |Γ(n−α)(n−Re(α))|
γ
| b −a
ρ |
n−Re(α)
Et
kγ n f kc ρ ρ
kc Dbα,ρ f kCb ≤ |Γ(n−α)(n−Re(α))| | b −a
ρ |
n−Re(α)
Si α ∈ N,ca D α,ρ et c Dbα,ρ sont bornés à partir de l’espace Cγn [a, b] à

l’espace C [a, b] et
kca D α,ρ f kC ≤ kf kCγn , kc Dbα,ρ f kC ≤ kf kCγn
n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola

généralisée
Théorème
Soit Re(α) ≥ 0, n = [Re(α)] + 1 et f ∈ C [a, b]
1 Si Re(α) 6= 0 où α ∈ N alors
(10) c α,ρ α,ρ

aD aI f (x) = f (x) c
Dbα,ρ Ibα,ρ f (x) = f (x).
2 Si Re(α) 6= 0 et Re(α) ∈ N alors

α+1−n,ρ f (a) x ρρ − aρ n−α
c α,ρ α,ρ aI
(11) aD aI f (x) = f (x) − ,
Γ(n − α) ρ
n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola

généralisée
Théorème
Soit f ∈ ACγn [a, b] ou Cγn [a, b] et α ∈ C, alors
n−1
α,ρc α,ρ
X (γ k f )(a) x ρρ − aρ k
aI aD f (x) = f (x) − .
k! ρ
k=1
n−1
c (−1)k (γ k f )(b) bρρ − x ρ k
Ibα,ρ Dbα,ρ f (x) = f (x) −
X
.
k! ρ
k=1
En particulier, si 0 < α ≤ 1, on a
α,ρc α,ρ
aI aD f (x) = f (x) − f (a)
n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola

généralisée
Théorème
Soit f ∈ ACγm+n [a, b], 0 < a < b < ∞, α ≥ 0 et β ≥ 0 tels que
n − 1 < α ≤ n et m − 1 < β ≤ m. On a
c α,ρc β,ρ
aD aD f (x) =ca D α+β,ρ f (x).

n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola

généralisée
Lemme
Soit Re(α) > 0, n = [Re(α) + 1] + 1 et Re(β) > 0. Alors
c D α,ρ t ρ −aρ β−1 (x) Γ(β) x ρ −aρ β−α−1

a ρ = Γ(β−α) ρ , Re(β) > n
et
c D α,ρ b ρ −t ρ β−1 (x) = Γ(β) b ρ −x ρ β−α−1

b ρ Γ(β−α) ρ , Re(β) > n.
et
c D α,ρ x ρ −aρ k (x) = 0, c D α,ρ b ρ −x ρ k (x) = 0,

a ρ b ρ k=
0, 1, 2, ..., n − 1
En particulier :
c D α,ρ (1) = 0, c D α,ρ (1) = 0
a b
n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola

généralisée
Théorème
Pour et α > 0 et ρ 6= 0, nous avons
n−1
c α,ρ α,ρ
X γ n f (a) x ρ − aρ k−α
aD f (x) =a D f (x) −
Γ(k + 1 − α) ρ
k=1
et
n−1
(−1)k γ n f (a) bρ − x ρ k−α
Dbα,ρ f (x) = Dbα,ρ f (x) −
X
c
Γ(k + 1 − α) ρ
k=1

n n
Caputo et Cγ
Modification
la dérivée
de Caputo
généralisée
de la de
dérivée
Katugampola
la relation entre les dérivées fractionnaires généralisées de

Caputo
Théorème
Soit α ∈ C, Re(α) > 0 et n = [Re(α)] + 1. Alors
1
(14) Z x
c α,ρ 1
lim aD f (x) = (x − t)n−α−1 f n (t)dt = ca D α f (x)
ρ→1 Γ(n − α) a
(15) Z x
1
lim Dbα,ρ f (x)
c
= (x − t)n−α−1 (−1)n f n (t)dt = c Dbα f (x)
ρ→1 Γ(n − α) a
Notation et Définition et les théorèmes utilisés L’attractivité des solutions
Les dérivés fractionnaires généralisées et leur modification au sens del’existence
Caputo et la stabilité au sens d’Ulem-Hyers
Stabilitélaau
dérivée
sens d’Ulam-Hyers-Rassias
généralisée de Katugampola
Résultats d’existence et d’unicité pour un problème implicite avec des Exemple
Introduction
Dans ce chapitre, nous présentons les résultats d’existence, l’attractivité et

la stabilité d’Ulam des solutions pour des équations différentielles
fractoinnaires impliquant des dérivés fractionnaires généralisées de
Katugampola .
Soit le problème fractionnaire impliquent la dérivée généralisée de
katugampola suivant :
(
α,β α,β
(ρ Da+ x)(t) = f (t, x(t), (ρ Da+ x)(t)); t∈Ω
(18) 1−γ
(ρ Ia+ x)(a) = c1 , c1 ∈ R, γ = α + β(1 − α),

Stabilitélaau
dérivée
Introduction
tel que α ∈]0, 1[, β ∈ [0, 1], ρ > 0, f : Ω × R × R → R fonction donnée et

le problème
(
α,β
(ρ Da+ x)(t) = f (t, x(t)); t∈Ω
(19) 1−γ
(ρ Ia+ x)(a) = c2 , c2 ∈ R, γ = α + β(1 − α),
telque α ∈]0, 1[, β ∈ [0, 1], ρ > 0, f : Ω × R → R fonction donné et

ρ D α,β ,ρ I 1−γ
sont la dérivé généralisé de Katugampola (d’ordre α et de
a+ a+
type β) et l’intégrale généralisé (d’ordre 1 − γ)

Stabilitélaau
dérivée
Dénoter BC = BC (I ), I = [a, ∞),soit D(6= ∅) ⊂ BC et soit G : D → D.La

solution de l’equation
(20) (Gx)(t) = x(t)

Stabilitélaau
dérivée
Définition
Nous définissons l’attractivité des solutions pour l’équation (20) comme
suit : la solution de l’equation (20) sont locallement attractive si il existe
boule B(x0 , µ) dans l’espèce BC ,pour solution arbitraire y = y (t) et
z = z(t) pour l’equation (20) appartenire à B(x0 , µ) ∩ D on trouve
(21) lim (y (t) − z(t)) = 0

t→∞
chaque fois que la limite (21) est uniforme par rapport à B(x0 , µ) ∩ D
,solution de l’equation (20) on dit d’être uniformément attractif
locallement.

Stabilitélaau
dérivée
Lemme
[25] Soit X ⊂ BC .Alors X est relativement compact dans BC si les
conditions suivantes sont remplies :
1 X est uniformément bornée dans BC,
2 La fonction appartenent á X sont equicontinue dans R+
i.e.equicontinue dans chaque compact de R+ ,
3 La fonction de X sont equiconvergent i.e.soit > 0 il correspond
T () > 0 telleque |x(t) − lim x(t)| ≥ pour tout t ≥ T () et x ∈ X .
t→∞

Stabilitélaau
dérivée
Maintenant nous discutons de l’existance et l’attractivité de les solutions

de problème (18).tout au long du travail,nous entendons BCγ,ρ = BCγ,ρ (I )
est un espace pondéré de toutes les fonctios bornées et continues donné
par
t ρ − aρ 1−γ
BCγ,ρ = x : (a, ∞] → R ; ( ) x(t) ∈ BC
ρ
avec la norme
t ρ − aρ 1−γ
kxkBCγ,ρ = sup |( ) x(t)|
t∈R+ ρ
.

Stabilitélaau
dérivée
Existence de la solution
Définition
Une solution du problème (18) est une fonction mesurable x ∈ BCγ,ρ
satisfaisant la condition initiale
1−γ
(ρ Ia+ x)(a+ ) = c1
et l’équation
α,β α,β
(ρ Da+ x)(t) = f (t, x(t), (ρ Da+ x)(t)) sur I .

Stabilitélaau
dérivée
lemme
soit γ = α + β(1 − α) où 0 ≤ α < 1, 0 ≤ β ≤ 1 et ρ > 0.Soit
f : Ω × R × R → R le fête que f (., x(.), y (.)) ∈ BCγ,ρ pour tout
x, y ∈ BCγ,ρ . Alors le problème (18) est équivalent à l’équation de genre
intégrale de Volterra
Z t
c1 t ρ − aρ γ−1 t ρ − aρ α−1 g (s)
x(t) = + s ρ−1 ds
Γ(γ) ρ a ρ Γ(α)
où g (.) ∈ BCγ,ρ tel que
c1 t ρ − aρ γ−1
(22) g (t) = f (t, + (ρ Ia+
α
g )(t), g (t)).
Γ(γ) ρ
Stabilitélaau
dérivée
Nous utilisons les hypothèses suivantes dans la suite :

(H1) la fonction t → f (t, x, y ) est mesurable sur I pour un tel
x, y ∈ BCγ,ρ ,et les fonctions x → f (t, x, y ) et y → f (t, x, y ) sont
continues sur BCγ,ρ pour tout t ∈ I ;
(H2) il existe une fonction continue p : I → R+ telle que
p(t)
|f (t, x, y )| ≤ 1+|x|+|y |, pour tout t ∈ I tel que x, y ∈ R.
De plus, supposons que
t ρ − aρ 1−γ ρ α
lim ( ) ( Ia+ p)(t) = 0
t→∞ ρ
Tel que
t ρ − aρ 1−γ ρ α
p ∗ = sup( ) ( Ia+ p)(t).
t∈I ρ

Stabilitélaau
dérivée
théorème
Supposons que les hypothèses(H1 ) et (H2 ) soient vérifiées. Alors le
problème (18) a au moins une solution définie sur I. De plus, les solutions
du problème (18) sont localement attractives.

Stabilitélaau
dérivée
Preuve. pour tout x ∈ BCγ,ρ ,définir l’opérateur Λ tel que

t ρ −aρ γ−1 ρ ρ α−1 g (s)
Rt
c1
+ a s ρ−1 t −a

(Λx)(t) = Γ(γ) ρ ρ Γ(α) ds
La preuve en est donnée dans les étapes suivantes :
l’étape 1 :Λ est continue.
l’étape 2 : Λ(BM ) est uniformément bornée.
l’étape 3 :Λ(BM ) est equicontinue sur chaque sous-ensemble compact

[a, T ] de I,T > a.
l’étape 4 :Λ(BM ) est equiconvergent
l’étape 5 :Attractivité locale des solutions.

Par conséquent, toutes les solutions de (18) sont localement
attractives.
Stabilitélaau
dérivée
la stabilité au sens d’Ulem-Hyers

Dans cette section, nous traitons de l’exisétence et de la stabilité au sens
d’Ulem-Hyers des solutions au problème (19).
lemme
Soit γ = α + β(1 − α),tel que 0 < α < 1, 0 ≤ β ≤ 1 et ρ > 0.Soit
f :Ω×R→R
être tel que f (., x(.)) ∈ Cγ,ρ (Ω) pour tout x ∈ Cγ,ρ (Ω), alors le problème
(19) est équivalent à l’équation de genre de Volterra
c−2 t ρ −aρ γ−1
x(t) = Γ(γ) ( ρ ) + (ρ Ia+
α f (., x(.)))(t). Soit > 0 et Φ : Ω → [0, ∞)
fonction continue et considérons les inégalités suivantes :

α,β
(23) |(ρ Da+ x)(t) − f (t, x(t))| ≤ ; t ∈ Ω,

Stabilitélaau
dérivée
la stabilité au sens d’Ulem-Hyers
Definition
Le problème (19) est stable à Ulam-Hyers s’il existe un nombre réel
Ψ > 0 tel que pour chaque > 0 et pour la solution x ∈ Cγ,ρ de l’inégalité
(23), il existe une solution x̄ ∈ Cγ,ρ du problème (19)avec
|x(t) − x̄(t)| ≤ Ψ; t ∈ Ω.

Stabilitélaau
dérivée
la stabilité au sens d’Ulem-Hyers généralisée
Definition
Le problème (19) est généralisé de Ulam-Hyers stable s’il existe
Ψ : C ([0, ∞), [0, ∞)) avec Ψ(0) = 0 tel que pour chaque > 0 et pour
chaque solution x ∈ Cγ,ρ d’inégalité (23), il existe une solution x̄ ∈ C−ma,ρ
du problème (19) avec
|x(t) − x̄(t)| ≤ Ψ(); t ∈ Ω.

Stabilitélaau
dérivée
Definition
Le problème (19) est stable à Ulam-Hyers-Rassias par rapport à Φ s’il
existe un nombre réel ΨΦ > 0 tel que pour chaque > 0 et pour la
solution x ∈ Cγ,ρ de l’inégalité (25), il existe une solution x̄ ∈ Cγ,ρ du
problème (19) avec
|x(t) − x̄(t)| ≤ ΨΦ Φ(t); t ∈ Ω.

Stabilitélaau
dérivée
Definition
Le problème (19) est généralisé de Ulam-Hyers-Rassia stable par rapport à
Φ s’il existe un nombre réel ΨΦ > 0 tel que pour chaque > 0 et pour la
solution x ∈ Cγ,ρ de l’inégalité (24), il existe une solution x̄ ∈ Cγ,ρ du
problème (19) avec
|x(t) − x̄(t)| ≤ ΨΦ Φ(t); t ∈ Ω.

Stabilitélaau
dérivée
Remarque
il est clair que
(i) Definition 56 ⇒ Definition 57
(ii) Definition 58 ⇒ Definition 59
(iii) Definition 58 pour Φ(.) = 1 ⇒ Definition 57

Stabilitélaau
dérivée

Definition
Une solution du problème (19) est la fonction mesurable x ∈ Cγ,ρ qui
1−γ
satisfait la condition (ρ Ia+ x)(a) = c2 ,et l’équation différentielle
ρ α,β
( Da+ x)(t) = f (t, x(t)) sur Ω.
Maintenant, nous introduisons les hypothèses suivantes avec seront
utilisées dans la suite :
(H3 ) La fonction t → f (t, x) est mesurable sur Ω pour chaque
x ∈ Cγ,ρ , et la fonction x → f (t, x) est continue sur Cγ,ρ pour chaque
t∈Ω
(H4 ) il existe fonction continue tel que p : Ω → [0, ∞) tel que
p(t)
|f (t, x)| ≤ 1+|x| |x| pour chaque t ∈ Ω, x ∈ R. Définir
∗
p = sup p(t)
t∈Ω Sàadi Fatiha Mémoire de master 61 / 87
Stabilitélaau
dérivée

Maintenant, nous allons donner le théorème d’existence dans la suite :
Théorème
supposons que les hypothèses (H3 ) et (H4 ) sont valables. Ensuite, le
problème (19) a au moins une solution sur Ω.
La preuve On considère l’opérateur Λ : Cγ,ρ → Cγ,ρ tel que

t ρ −aρ γ−1 ρ ρ α−1 f (s,x(s))
Rt
c2
+ a s ρ−1 t −s

(Λx)(t) = Γ(γ) ρ ρ Γ(α) ds.
La preuve est donnée en plusieurs étapes
étape 1 :Λ : BN → BN st continue .
étape 2 :Λ(BN ) est uniformément bornée.
étape 3 :Λ(BN ) est equicontinue .
Stabilitélaau
dérivée
théorème
Supposons que (H3 ), (H4 ) et les hypothèses suivantes sont vérifiées :
(H5 ) il existe λφ > 0 tel que pour chaque t ∈ Ω,on a
(ρ Ia+
α
Φ(t)) ≤ λφ Φ(t)
(H6 ) il existe q ∈ C (Ω, [0, ∞)) tel que pour chaque t ∈ Ω,
p(t) ≤ q(t)Φ(t).
alors le problème (19) est généralisé stable Ulam-Hyers-Rassias.

Stabilitélaau
dérivée
Stabilité au sens d’Ulam-Hyers-Rassias généralisée
théorème
Supposons que (H5 ) et l’hypothèse suivante sont valables :
(H5 ) Il existe φ ∈ C (Ω, [0, ∞)) tel que pour chaque t ∈ Ω, et tout
x, x̄ ∈ R, on a
ρ ρ
|f (t, x) − f (t, x̄)| ≤ ( t −a
ρ )
1−γ φ(t)Φ(t)|x − x̄|. Si
ρ ρ
L = ( T ρ−a )1−γ φ∗ λφ < 1, où φ∗ = sup φ(t), alors le problème (19) admet
t∈Ω
une solution unique x0 . Deplus et le problème (19) est vérifie la stable
généralisée au sens d’Ulam -Hyers-Rassia . Et nous avons
|x(t) − x̄(t)| ≤ Φ(t)
1−L

Stabilitélaau
dérivée
Exemple
Exemple
Soit le Problème suivante impliquant la dérivé fractionnaire généralisée
de Katugampola. :
( 1
(ρ Da+ 2
x)(t) = f (t, x) t ∈ [a, b]
(26) 1
(ρ Ia+
4
x)(a) = (1 − a)
tel que α = 21 , β = 12 , ρ > 0, γ = 43 , 0 < a < b ≤ e,et

( 1
θ(t−a)− 4 sin(t−a)
f (t, x) = √
64(1+ t−a)(1+|x|)
; t ∈ (a, b], x ∈ R,
f (a, x) = 0; x ∈R

Stabilitélaau
dérivée
Exemple
la fonction f est continue pour chaque x ∈ R.L’hypothèse (H4 ) est

satisfaite avec
−1
(
4 |sin(t−a)|
p(t) = θ(t−a) √
64(1+ t−a)
; , 0 < θ ≤ 1, t ∈ (a, ∞),
p(a) = 0.
Ainsi, le théorème (62) implique que le problème (26) a au moins une

solution définie sur [a, b]. En outre, l’hypothèse (H5 ) est satisfaite avec
Φ(t) = exp 3, et λφ = Γ(13 ) Par conséquent, le théorème (63)
2
implique que le problème (26) est vérifie la stabilité généralisé au sens
d’Ulam-Hyers-Rassias.

Introduction
un exemple
Introduction
Cet chapitre concerne l’existence de solutions pour les équations

différentieles fractionnaires implicites avec une dérivées généralisée.
Dérivé international (ou dérivé de Katugampola-Caputo).
Le théorème de points fixes de Banach et de Krasnoselskii soit utilisé pour
obtenir les résultats souhaités.
Un exemple est présenté pour illustrer nos résultats.

Introduction
un exemple
Introduction
Introduction
Dans cette section, nous considérons l’équation différentielle implicite
suivante avec la dérivée fractionnaire généralisée :
ρ α
(c D0+ x)(t) = f (t, x(t),ρc D0+ α x(t)) t ∈ j := [0, T ]
(27)
x(0) + g (x) = x0
où ρc D0+
α est le dérivé fractionnaire généralisé de Katugampola.
Soit α ∈ R, 0 < λ < 1, ρ > 0 et f : J × X × X → X , g : C ([0, T ], X ) → X

sont des fonctions continues.
On voit que le problème (27) est équivalent à l’équation intégrale non
linéaire suivante .
1−α R t
x(t) = x0 − g (x) + ρΓ(α) 0 (t ρ − s ρ )α−1 s ρ−1 f (s, x(s), ρc D0+
α x(s))ds.

Introduction
un exemple
Considérons les hypothèses suivantes :

(A1) f : J × X × X → X est une fonction continue.
(A2) il existe des constantes K > 0 et L > 0 telles que
kf (t, u, v ) − f (t, ū, v̄ )k ≤ K ku − ūk + Lkv − v̄ k pour tout
u, v , ū, v̄ ∈ X et t ∈ J.
(A3)g : C (J, X ) → X est continu et il existe b > 0, tel que
kg (x) − g (y )k ≤ bkx − y k, pour tout x, y ∈ C (J, X ).
(A4) il existe l, p, q ∈ C (J, X ) avec l ∗ = sup l(t) < 1 tel que
t∈J
f (t, u, v ) ≤ l(t) + p(t)kuk + q(t)kv k pour t ∈ J; u, v ∈ X .

Introduction
un exemple
Notre premier résultat est basé sur le théorème à points fixes de Banachs
Théorème
Supposons que les hypothèses (A1) − (A3) sont satisfaites.
Si
K T ρα
(28) b+ < 1.
(1 − l) ρρ Γ(α + 1)
alors le probème (27)a une solution unique.

Introduction
un exemple
Preuve. Considrons l’opérateur P : C (J, X ) → C (J, X ).

t
ρ1−α
Z
(29) (px)(t) = x0 − g (x) + (t ρ − s ρ )α−1 s ρ−1 Kx (s)ds
Γ(α) 0
tel que les points fixes de P sont la solution de (27).

À partir de (28), il en résulte que P a un point fixe unique qui est la
solution du problème (27),on utilisons le théorème de Krasnoselskii à point
fixe.

Introduction
un exemple
Théorème
Supposons que les hypothèses (A1), (A3) et (A4) soient vérifiées.
le problème (27) a au moins un point fixe sur J.
Preuve. Soit A et B les deux opérateurs définis sur Br par
ρ1−α< t ρ
Z
(Ax)(t) := (t − s ρ )α−1 s ρ−1 Kx (s)ds
Γ(α) 0
et
(Bx)(t := x0 − g (x);
on utilise le Théorème d’Arezela-Ascoli et le théorème le Krasnoselskii
pour montrer que le problème (27) a au moins un point fixe sur J.
Introduction
un exemple
Exemple
Considérons le problème suivant :
ρ α 1 1
c D0+ x(t) = t
+ (|x(t)| + |ρc D0+
α
x(t)|), t ∈ [0, T ]
4 exp 5 expt
m
X
x(0) + ai x(ti ) = 0, 0 < t1 < t2 < ... < tm < 1
i=1
où α ∈ (0, 1), ρ = 0.4, ai > 0, i = 0, 1, 2, ..., m.

Introduction
un exemple
Exemple
1 1 1
Et f (t, u, v ) = 4 exp t + 5 expt u + 5 expt v , t ∈ [0, 1], u, v ∈ [0, ∞),
Pm
Et g (x) = i=1 ai x(ti ).
Soit u, ū, v , v̄ ∈ [0, ∞) et t ∈ [0, 1], alors nous avons
|f (t, u, v ) − f (t, ū, v̄ )| ≤ 51 |u − ū| + 15 |v − v̄ |
Et
|g (u) − g (ū)| ≤ m
P Pm
i=1 ai |u(ti ) − ū(ti )| ≤ P ai {|u(t
i=1 i ) − ū(ti )|}.
1 1 1
tel que α = 2 , k = l = 5 , ρ = 0.4, T = 1 et ai = 3 .
k T ρα
b+ α
= 0.6447 < 1
(1 − l) ρ Γ(α + 1)
Maintenant que toutes les hypothèses du théorème 70 et 72 sont

satisfaites, le problème (27) a une solution unique.
Introduction
un exemple
Conclution

Conclution.
Dans ce mémoire ,nous avons présenté quelques résultats d’éxistence et
d’unicité et stabilité des solutions pour certaines équations différentialles
d’ordre fractionnaire avec la dérivées de Katugampola .Ce résultat ont été
obtenus par l’application de théorie du point fixe.

Introduction
un exemple
References I
O.P.Agrawal, Fractional variational calculs in terms of riesz fractional

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Introduction
un exemple
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Introduction
un exemple
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Introduction
un exemple
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un exemple
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un exemple
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Introduction
un exemple
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Introduction
un exemple
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un exemple
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Introduction
un exemple
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Introduction
un exemple
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Notation et Définition et les théorèmes utilisés

Les dérivés fractionnaires généralisées et leur modification au sens de Caputo

Etude de quelques équations différentielles

Promotrice : Dr. Lazreg Jamal Eddine

Sàadi Fatiha Mémoire de master 1 / 87

Sàadi Fatiha Mémoire de master 2 / 87

Sàadi Fatiha Mémoire de master 3 / 87

4 Résultats d’existence et d’unicité pour un problème implicite avec des

Sàadi Fatiha Mémoire de master 5 / 87

kf kxcp = sup [t c |f (t)|], (c ∈ R).

Intégrales fractionnaires de Riemann-Liouville

Dérivés fractionnaires de Riemann-Liouville

Sàadi Fatiha Mémoire de master 9 / 87

Dérivée fractionnaire au sens de Caputo

Sàadi Fatiha Mémoire de master 10 / 87

l’intégrale fractionnaire de Hadamard

Soit [a, b](0 ≤ a < b ≤ ∞) un intevalle fini de la demi droite réelle

pour Re(α) > 0, x > a ≥ 0

Sàadi Fatiha Mémoire de master 11 / 87

la dérivée fractionnaire de Hadamard

Sàadi Fatiha Mémoire de master 12 / 87

L’intégrale et la dérivée fractionnaire généralisée

Sàadi Fatiha Mémoire de master 13 / 87

L’intégrale et la dérivée fractionnaire généralisée

Sàadi Fatiha Mémoire de master 14 / 87

L’intégrale et la dérivée fractionnaire généralisée

L’intégrale et la dérivée fractionnaire généralisée

Sàadi Fatiha Mémoire de master 16 / 87

L’intégrale et la dérivée fractionnaire généralisée

Sàadi Fatiha Mémoire de master 17 / 87

L’intégrale et la dérivé fractionnaire généralisé

Sàadi Fatiha Mémoire de master 18 / 87

L’intégrale et la dérivé fractionnaire généralisé

Dans [5], Gaboury et al.sont obtenu deux représentations de p I0+

par le résultat suivant :

Sàadi Fatiha Mémoire de master 19 / 87

L’intégrale et la dérivé fractionnaire généralisé

Sàadi Fatiha Mémoire de master 20 / 87

l’intégrale et la dérivée au sens de Katugampola

soit l’espace Xcp (a, b)(c ∈ R, 1 ≤ p ≤ ∞) et kf kXcp (a,b) .

Sàadi Fatiha Mémoire de master 21 / 87

l’intégrale et la dérivée au sens de Katugampola

Ceci est l’intégrale fractionnaire de Hadamard.

l’intégrale et la dérivé au sens de Katugampola

On peut voir que les dérivés fractionnaires de Riemann-Liouville et

théorèmes des points fixes

Un théorème de point fixe est un résultat qui affirme q’une fonction F

Sàadi Fatiha Mémoire de master 24 / 87

théorèmes de points fixes

Théorème du point fixe de Banach

Sàadi Fatiha Mémoire de master 25 / 87

théorèmes des points fixes

Théorème du point fixe de Schaefer

Théorème du point fixe de Schauder

Sàadi Fatiha Mémoire de master 26 / 87

Sàadi Fatiha Mémoire de master 27 / 87

théorèmes des points fixes

Sàadi Fatiha Mémoire de master 27 / 87

L’objet principal de ce chapitre est de présenter le tableau général des

Sàadi Fatiha Mémoire de master 28 / 87

Les dérivées fractionnaires généralisées sur l’espace ACγn et

Rappelons que f ∈ AC [a, b] l’espace des fonctions absolument continues

Sàadi Fatiha Mémoire de master 28 / 87

C,ρ [a, b] = {f : (a, b] → R : (x ρ − aρ ) f (x) ∈ C [a, b]} , ρ 6= 0,

C,ρ [a, b] = {f : (a, b] → R : (log x − log a) f (x) ∈ C [a, b]} , ρ = 0,

kf kC,ρ = kf kC,log = k(log x − log a) f (x)kC .