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Discipline :
Cours Automatismes et
Informatique Industrielle
i
Sommaire
Introduction i
I Première partie 1
II Deuxième partie 43
Bibliographie 55
iii
Première partie
Première partie
1
Chapitre 1
Génération 0
Génération 1
3
Partie I, Chapitre 1 – Systèmes informatisés à vocation industrielle
Génération 2
Génération 3
les circuits intégrés (1965-1980) : Noyce inventa le circuit intégré en 1958. IBM créa
la première gamme unifiée (calcul et gestion) d’ordinateur avec le System/360 qui dota
toute la gamme avec le même langage d’assemblage et instaura la multiprogrammation qui
permet à plusieurs programmes de résider simultanément en mémoire. Le PDP-11, succes-
seur du PDP-8 et d’un rapport coût/performance acceptable, allait assoir la suprématie
de DEC dans le secteur de la mini-informatique.
Génération 4
les VLSI (1980- ?) : Les VLSI (Very Large Scale Integration) permettent, dans les an-
nées 80, l’intégration de milliers, puis de millions de transistors sur une puce, favorisant
ainsi la miniaturisation et l’augmentation de la rapidité de traitement. Les prix chutant,
l’ère de l’informatique personnelle commence. Kildall conçoit le CP/M, un logiciel d’ex-
ploitation dédié au 8080 d’Intel. Apple fut propulsé au rang de leader mondial avec l’Apple
puis l’Apple II conçues par Jobs et Wozniak. IBM répliqua avec le PC (qui utilisa le 8088)
en 1981 et battit tous les records de vente, le système d’exploitation étant le MS-DOS.
IBM et Microsoft développèrent (respectivement) OS/2 (interface graphique concurrente
4
1.1. Définitions et historique.
du MacIntosh) et Windows (utilisant la couche DOS). Au milieu des années 80, l’ar-
chitecture RISC commença à remplacer celle CISC, jugée trop complexe. Parallèlement
les systèmes automatiques se sont implantés en milieu industriel. Ils étaient réalisés, de-
puis longtemps, à base de relais électromagnétiques. L’inconvénient c’est qu’il s’agit d’un
système câblée ce qui impose la refonte complète du câblage et ceci pour la moindre mo-
dification dans l’ordonnancement des séquences. En 1966, l’apparition des relais statiques
a permis de réaliser divers modules supplémentaires tel que le comptage, la temporisa-
tion, le pas à pas ... Cependant cette technologie avait le même problème : technologie
câblée. En 1968 et à la demande de l’industrie automobile nord-américaine, sont apparus
les premiers dispositifs de commande logique aisément modifiable : Les PLC (Program-
mable Logic Controller) par Allen Bradley, Modicom et Digital Equipement. Dans toute
la panoplie d’appareils utilisés pour l’automatisation des processus industriels, l’Automate
Programmable Industriel (API) occupe une place très importante. La création du premier
API remonte à la fin des années 60. L’industrie automobile en est la première instigatrice
et la première utilisatrice. Jusqu’alors, la commande des automatismes industriels était
réalisée à l’aide d’armoires de commande à relais. Les changements annuels de modèle de
voiture impliquaient des modifications fréquentes des chaînes de montage et de leurs ar-
mories de commande. Comme ces dernières étaient complexes, leurs modifications étaient
difficiles et comportaient un risque élevé d’erreur de branchement. L’industrie automobile
a donc amené la création d’un appareil programmable capable de remplacer les armoiries
de commande. Ce fut alors le début d’une grande aventure pour plusieurs compagnies. Les
ordinateurs qui étaient principalement utilisés pour faire de la comptabilité furent modi-
fiés afin de répondre aux exigences de la commande industrielle. Petit à petit la technique
s’améliora et gagna plus d’adeptes. Il a fallu cependant attendre une bonne décennie avant
que le concept soit introduit, de façon systématique, dans l’industrie. Aujourd’hui, l’API
est le principal système de commande utilisé dans l’industrie.
Les systèmes automatisés continus (ou analogique) pour asservir et/ou commander des
grandeurs physiques de façon précise et sans aide extérieure (l’angle d’une fusée, la vitesse
de rotation d’un lecteur CD, la position du bras d’un robot, le pilotage automatique d’un
avion).
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Partie I, Chapitre 1 – Systèmes informatisés à vocation industrielle
Les systèmes automatisés à évènements discrets (ou numérique) pour les commandes
en tout ou rien (les distributeurs automatiques, les ascenseurs, le montage automatique
dans le milieu industriel, les feux de croisement, les passages à niveaux). Ces systèmes se
divisent en deux parties :
Les systèmes automatisés à logique câblée
Les systèmes automatisés à logique câblée pour lesquels la commande est effectuée uni-
quement selon le câblage électrique du circuit. Là également on distingue deux types :
Les systèmes automatisés combinatoires
Ces systèmes n’utilisent aucun mécanisme de mémorisation. A une combinaison des en-
trées ne correspond qu’une seule combinaison des sorties. La logique associée est la logique
combinatoire. Les outils utilisés pour les concevoir sont l’algèbre de Boole, les tables de
vérité, les tableaux de Karnaugh.
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1.1. Définitions et historique.
Ces systèmes sont les plus répandus dans le domaine industriel. L’élément principal
s’appelle l’Automate Programmable Industriel ou l’API. Le pilotage des actionneurs se
fait selon le programme installé dans la mémoire de l’automate. Il existe sur le marché
de nombreuses marques d’automates : Télémécanique, Siemens, Omron, Allen Bradley,
Cegetel, etc.
7
Partie I, Chapitre 1 – Systèmes informatisés à vocation industrielle
un champ scientifique et technique fermé, est transversal dans ses applications : allant de
la régulation de l’économie à celle de la machine électrique en passant par les systèmes
d’alarme, l’automobile, l’aviation, l’instrumentation, le domaine biomédical, la téléphonie
mobile, les terminaux de paiement pour carte bancaire, etc. Voici quelques domaines
d’applications en image.
Fermentation
8
1.2. Avantage et inconvénient des systèmes automatisés.
Figure 1.5 – Exemple de l’industrie du bois avec les opérations de débit, de sciage et
d’usinage du bois
9
Partie I, Chapitre 1 – Systèmes informatisés à vocation industrielle
10
1.3. AUTOMATES PROGRAMMABLES INDUSTRIELS (API).
11
Partie I, Chapitre 1 – Systèmes informatisés à vocation industrielle
Chaque machine réalise une étape dans l’élaboration du produit. La manutention entre
machine, les chargements et déchargements sont nombreux, coûteux et longs. Ils sont le
12
1.3. AUTOMATES PROGRAMMABLES INDUSTRIELS (API).
Un retour aux commandes décentralisées s’est imposé, mais avec une coordination
entre machines ici assurée par liaisons inter niveaux.
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Partie I, Chapitre 1 – Systèmes informatisés à vocation industrielle
La partie commande.
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1.3. AUTOMATES PROGRAMMABLES INDUSTRIELS (API).
— Des mémoires ;
— Un processeur ou unité centrale ;
— Des interfaces d’Entrées/Sorties ;
— Une alimentation (240 Vac → 24 Vcc).
Ces quatre parties réunies forment un ensemble compact appelé automate.
Les trois (3) premières parties sont reliées entre elles par des bus (ensemble de lignes
de transport d’information) La machine est dite UNIBUS lorsque toutes les informations
transitent par un seul BUS. Cependant, les performances des API modernes sont liées en
15
Partie I, Chapitre 1 – Systèmes informatisés à vocation industrielle
général à une structure MULTIBUS, le cas le plus courant consiste à réserver un BUS
d’E/S pour les échanges avec l’extérieur.
L’Unité Centrale
L’Unité Centrale d’un API doit savoir :
— traiter des variables binaires (travail sur BIT) mais aussi permettre le travail sur
MOT pour le traitement numérique et analogique.
— travailler en temps réel ou du moins avoir un temps de cycle très court.
— interpréter le langage utilisateur.
Actuellement la majorité des API sont à base de microprocesseur.
La mémoire.
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1.3. AUTOMATES PROGRAMMABLES INDUSTRIELS (API).
Capteurs deux fils : ils se câblent comme des interrupteurs de position mécaniques.
Leur courant résiduel ou leur tension de déchet peut les rendre incompatibles avec certains
API.
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Partie I, Chapitre 1 – Systèmes informatisés à vocation industrielle
Capteurs trois fils : Attention il en existe de deux types, à sortie PNP pour les auto-
mates à commun de masse et NPN pour les automates à commun d’alimentation.
Constitution fonctionnelle d’une entrée analogique.
On distingue en particulier :
— L’isolement opto-électronique,
— Les protections contre :
— L’inversion des polarités de l’alimentation extérieure.
18
1.3. AUTOMATES PROGRAMMABLES INDUSTRIELS (API).
19
Partie I, Chapitre 1 – Systèmes informatisés à vocation industrielle
20
Chapitre 2
Capteurs industriels et
conditionneurs de signaux
2.1 GENERALITES.
La mesure joue un rôle de plus en plus fondamental dans le développement des acti-
vités industrielles avec la sophistication des automatismes, la robotique, le contrôle de la
qualité, les économies d’énergie, la lutte contre la pollution, e.t.c.
De plus, la mesure, au travers de l’automatisme, trouve maintenant des applications nom-
breuses dans la conception et la réalisation des biens de consommation, l’électroménager,
l’automobile, l’avionique, la médecine,l’agriculture et dans bien d’autres domaines.
La mesure devient un facteur essentiel de l’économie. Elle doit être traitée avec une at-
tention particulière et soutenue. Et rien ne se fera sans le capteur qui se trouve à la base
de l’édifice « mesure ».
Qu’est ce donc un capteur ? En anglais le capteur est appelé sensor. Sens est un terme
d’origine latine qui signifie sentir, percevoir, et désigne à l’origine l’action des sens humain.
L’homme peut ressentir les stimulations de son environnement comme la lumière, les cou-
leurs, les sons, la chaleur, les odeurs ou les goûts grâce à ses yeux, ses oreilles, sa peau,
son nez et sa langue. C’est par ces organes sensoriels que l’homme préhistorique comprit
primitivement la spécificité du monde naturel et apprit à utiliser ce savoir pour tirer profit
de la nature. Mais l’homme de nos jours ne s’appuie plus seulement sur ses propres or-
ganes sensoriels. Ses fonctions sensorielles se trouvent considérablement augmentées grâce
au développement de toutes sortes de capteurs propres à la mesure et l’analyse. On peut
donc dire que seul le capteur permet de prolonger et d’affiner les sens de l’homme.
2.1.1 Définitions.
Capteur : Dispositif chargé de convertir une grandeur physique bien déterminée en
une grandeur physique de même nature ou de nature différente susceptible d’être mesurée.
Mesurande : Grandeur physique objet de la mesure comme, par exemple, la vitesse, le
couple, la force, la température, la pression, le débit, l’humidité, e.t.c.
Le mesurande constitue donc le signal d’entrée du capteur et qui n’est en général pas
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Partie I, Chapitre 2 – Capteurs industriels et conditionneurs de signaux
Corps d’épreuve : Dispositif qui, soumis à une grandeur physique objet de la mesure
(mesurande), assure une première traduction en une autre grandeur physique (mesurande
secondaire) qu’un capteur adéquat traduit alors en grandeur électrique. Elément sen-
sible : Dispositif qui traduit les réactions du corps d’épreuve en une grandeur électrique
constituant le signal de sortie. Module électronique de conditionnement : Cette
partie a, selon les cas, les fonctions suivantes :
— Alimentation électrique du capteur ;
— Mise en forme et amplification du signal de sortie ;
— Filtrage, correction et traitement du signal ;
— Conversion du signal (analogique / numérique, tension : fréquence, e.t.c)
— Mise à niveau du signal de sortie pour sa transmission à distance.
Ce module électronique porte souvent le nom de transmetteur. Il peut être ou non incor-
poré au capteur proprement dit.
22
2.1. GENERALITES.
En conclusion, on peut dire qu’un capteur est un dispositif physique de saisie d’infor-
mations. C’est le premier maillon de toute chaîne de mesure, d’acquisition de données, de
tout système d’asservissement, de régulation, de tout dispositif de contrôle, de surveillance
et de sécurité.
La constitution générale d’un capteur peut être représentée par la figure suivante :
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Partie I, Chapitre 2 – Capteurs industriels et conditionneurs de signaux
— Etendue de mesure (E.M) : L’étendue de mesure d’un capteur est définie par la
différence entre les valeurs limites que peut atteindre et conserver de façon permanente ou
temporaire, la grandeur à mesurer, sans que les caractéristiques métrologiques du capteur
soient modifiées.
— Surcharges admissibles : Les surcharges admissibles relativement à la grandeur à
mesurer correspondent aux domaines de non – détérioration ou de non – destruction selon
le cas. Elles s’expriment généralement en nombre de fois l’étendue de mesure.
Les domaines définis plus haut, l’étendue de mesure et les surcharges admissibles, défi-
nissent les limites d’utilisation du capteur.
— Sensibilité : La sensibilité d’un capteur est définie d’une façon générale par le rap-
port de la variation du signal de sortie sur la variation correspondante de la grandeur à
mesurer pour une valeur donnée du mesurande.
Il résulte que, dans le cas des capteurs linéaires, la sensibilité est constante pour toute
l’étendue de mesure. La sensibilité est rapportée à l’unité de la grandeur à mesurer. Dans
24
2.1. GENERALITES.
25
Partie I, Chapitre 2 – Capteurs industriels et conditionneurs de signaux
26
2.1. GENERALITES.
ont une action sur la grandeur à mesurer. La finesse est d’autant meilleure que cette action
est faible.
Pour certains capteurs, la finesse et la sensibilité sont antagonistes. C’est le cas en particu-
lier pour les capteurs dont le corps d’épreuve traduit le mesurande primaire en mesurande
secondaire qui est un déplacement ou une déformation.
— Rapidité : La rapidité est la qualité d’un capteur qui exprime son aptitude à suivre
dans le temps les variations de la grandeur à mesurer. Selon celle-ci, les caractéristiques
permettant de chiffrer la rapidité sont les suivantes :
— Le temps de réponse et la constante de temps ;
— La bande passante ;
— La fréquence de coupure ou fréquence propre.
3. Utilisation de la mesure. Le signal de sortie du capteur peut être utilisé pour les
objectifs suivants :
— Contrôle ;
— Régulation ;
— Asservissement ;
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Partie I, Chapitre 2 – Capteurs industriels et conditionneurs de signaux
— Affichage continu ;
— Mesure proprement dite ;
Dans les cas ci-dessus, le signal peut être de type analogique ou numérique.
—Surveillance d’un seuil avec ou sans signalisation.
4. Type de signal de sortie du capteur ;
5. Eloignement entre capteur et le matériel de traitement de l’information. C’est une
donnée importante parce que dans la plupart des cas la longueur de la liaison, entre Le
capteur et le matériel de traitement, joue un rôle important au point de vue dynamique
ainsi que du point de vue précision.
6. Caractéristiques métrologiques fondamentales :
— Etendue de mesure ;
— précision ;
— rapidité.
7. Conditions d’utilisations :
— Gamme de température ambiante admissible ;
— Gamme de pression ambiante admissible ;
— Niveau des vibrations, des chocs auxquels on soumet le capteur ;
— Durée de vie ;
— Protection. Un capteur est toujours soumis aux agressions du milieu extérieur.
C’est pour cela que le capteur doit satisfaire, en fonction de l’environnement, les
protections suivantes :
— Protection contre la corrosion ;
— Protection contre la poussière ;
— Protection contre la pénétration de l’eau ;
— Protection contre les vibrations et contre les chocs ;
— Protection contre les atmosphères explosives.
Selon le type de grandeur physique à mesurer, il peut s’avérer nécessaire de préciser
d’autres conditions d’utilisation plus spécifiques.
8. Autres caractéristiques.
Le choix d’un capteur est influencé également par les caractéristiques suivantes :
— Formes et dimensions. Les contraintes d’encombrements sont souvent utiles à pré-
ciser ;
— Alimentation énergétique ;
— Consommation ;
— Masse.
Sélection d’une technologie.
Les caractéristiques principales étant définies, il est alors possible de choisir une technolo-
gie parmi les diverses possibilités. Pour cette phase essentielle, on pourra s’aider de guides
et de catalogues.
28
2.2. CAPTEURS ET DETECTEURS DE POSITION, DE DEPLACEMENT ET DE
PROXIMITE
Choix d’un produit. Cette phase consiste en la consultation des divers fournisseurs.
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Partie I, Chapitre 2 – Capteurs industriels et conditionneurs de signaux
2.2.2 Classification.
On peut classer Les divers types de capteurs de déplacement disponibles sur le marché
selon : Le type de signal de sortie
— logique (tout ou rien) pour les détecteurs ;
— Numérique (absolu ou incrémental) pour les codeurs ;
— Analogique pour les capteurs proprement dit.
Le mode de liaison avec l’objet
— Absence de liaison mécanique pour les détecteurs et les capteurs de proximité ;
— Présence de liaison mécanique pour les détecteurs de position ainsi que les codeurs
et les capteurs de déplacement.
Le type de déplacement de l’objet mesuré
— Rectiligne pour les mouvements de translation ;
— Angulaire pour les mouvements de rotation.
α
Pour le potentiomètre de déplacement angulaire on a : R(α) = Rn . αmax
30
2.2. CAPTEURS ET DETECTEURS DE POSITION, DE DEPLACEMENT ET DE
PROXIMITE
Où :
αmax < 360o pour les potentiomètres circulaires ;
αmax > 360o pour les potentiomètres hélicoïdaux
La résistance peut être constituée soit par un fil bobiné soit par une piste conductrice.
31
Partie I, Chapitre 2 – Capteurs industriels et conditionneurs de signaux
32
Chapitre 3
Convertisseurs analogiques -
numériques et numériques –
analogiques
3.1 Introduction
Le monde physique est par nature analogique (dans la quasi-totalité des cas). Il est
perçu via des signaux analogiques (son, ondes visuelles, etc.) qui peuvent être traités par
des systèmes analogiques (cf. Fig. 3.1).
Depuis une vingtaine d’années, le traitement numérique des données prend le pas sur
les approches purement analogiques. Le recours au numérique permet en effet un stockage
aisé de l’information, une excellente reproductibilité des traitements, la possibilité de
développer relativement aisément des fonctionnalités complexes, une réduction des coûts
de production, etc.
L’interface nécessaire entre le monde analogique et un traitement numérique donné est
réalisé par des convertisseurs analogique – numérique (CAN, ou ADC pour Analog to
Digital Converter en anglais1) et numérique – analogique (CNA, ou DAC pour Digital to
Analog Converter). Le rôle d’un CAN est de convertir un signal analogique en un signal
numérique pouvant être traité par une logique numérique, et le rôle d’un CNA est de
reconvertir le signal numérique une fois traité en un signal analogique (cf. Fig. 3.2).
33
Partie I, Chapitre 3 – Convertisseurs A-N et N-A
Les parties suivantes décrivent les principes de conversion et les architectures des CAN.
Figure 3.3 – (i) signal analogique (ii) signal échantillonné (iii) puis quantifié.
34
3.3. Aspects temporels et fréquentiels de l’échantillonnage.
X
xech (k.Tech ) = x(t).δT ech (t)x(t). δ(t − k.Tech ) (3.1)
k
35
Partie I, Chapitre 3 – Convertisseurs A-N et N-A
36
Chapitre 4
37
Partie I, Chapitre 4 – Mise en œuvre d’un ensemble capteur + conditionneur de signal dans
un contexte industriel
38
Chapitre 5
39
Chapitre 6
41
Partie I, Chapitre 6 – Les chaînes de mesures industrielles
42
Deuxième partie
Deuxième partie
43
Chapitre 7
Microprocesseurs, microcontrôleurs
(architecture et programmation)
Réseaux industriels de
communication
45
Partie II, Chapitre 7 – Microprocesseurs, microcontrôleurs (architecture et programmation)
Réseaux industriels de communication
46
Chapitre 8
47
Partie II, Chapitre 8 – Architecture des systèmes à microprocesseurs et mode de
programmation
— One 16-bit Timer/Counter with separate prescaler, compare mode, and capture
mode
— Real time counter with separate oscillator
— Six PWM channels
— 8-channel 10-bit ADC in TQFP and QFN/MLF package
— Temperature measurement
— Programmable serial USART
— Master/slave SPI serial interface
— Byte-oriented 2-wire serial interface (Phillips I2C compatible)
— Programmable watchdog timer with separate on-chip oscillator
— On-chip analog comparator
— Interrupt and wake-up on pin change
— Special microcontroller features
— Power-on reset and programmable brown-out detection
— Internal calibrated oscillator
— External and internal interrupt sources
— Six sleep modes : Idle, ADC noise reduction, power-save, power-down, standby,
and extended standby
— I/O and packages
— 23 programmable I/O lines
— 32-lead TQFP, and 32-pad QFN/MLF
— Operating voltage :
— 2.7V to 5.5V for ATmega328P
— Temperature range :
— Automotive temperature range : –40°C to +125°C
— Speed grade :
— 0 to 8MHz at 2.7 to 5.5V (automotive temperature range : –40°C to +125°C)
— 0 to 16MHz at 4.5 to 5.5V (automotive temperature range : –40°C to +125°C)
— Low power consumption
— Active mode : 1.5mA at 3V - 4MHz
— Power-down mode : 1µA at 3V
48
8.1. La famille AVR de ATMEL
49
Partie II, Chapitre 8 – Architecture des systèmes à microprocesseurs et mode de
programmation
50
Chapitre 9
51
Partie II, Chapitre 9 – Techniques d’interfaçage des entrées/sorties
52
Chapitre 10
53
Bibliographie
55
Table des matières
Introduction i
I Première partie 1
57
3.2.1 Principe de la conversion analogique numérique. . . . . . . . . . . 34
3.3 Aspects temporels et fréquentiels de l’échantillonnage. . . . . . . . . . . . . 35
II Deuxième partie 43
Bibliographie 55
58