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COURS D’AUTOMATIQUE
(BAC3 RT et ISI)
ANNEE 2018
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V. METHODE D’EVALUATION
1. Travaux dirigés et pratiques ;
2. Interrogations ; et
3. Examen
VI. PLAN DU COURS
- Chapitre 1 : Introduction à l’Automatique ;
- Chapitre 2 : Les systèmes automatisés linéaires et logiques ;
- Chapitre 3 : Les automates programmables industriels ;
- Chapitre 4 : Automation et instrumentation ;
- Chapitre 5 : Introduction aux réseaux des locaux industriels et à l’Internet industriel ;
- Chapitre 6 : Système d’information industriel et la supervision industrielle.
VII. BIBLIOGRAPHIE
1. BARTHELEMY F. : cours sur les automates , Département informatique,
CNAM/ France, Année 2015.
2. NOUVEL DAMIEN : cours d’introduction aux automates , Département informatique ,
Université François Rabelais, TOURS / France, Année 2015.
3. BERGOUGNOUX L. : cours sur les automates programmables industriels , POLYTECH Marseille,
année 2014.
4. LONGEOT ET AL. : Automatique industrielle, Edition DUNOD , Paris, 2006.
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ROBOTIQUE INDUSTRIELLE
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I.1.2.1 PRESENTATION
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1. LA PARTIE OPERATIVE
2. PARTIE COMMANDE
2- Pourquoi l'automatisation ?
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Compact ou modulaire
Tension d’alimentation
Taille mémoire
Sauvegarde (EPROM, EEPROM, pile, …)
Nombre d’entrées / sorties
Modules complémentaires (analogique,
communication,..)
Langage de programmation
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5- Fonctionnement :
Elle est conçue pour recevoir, gérer, stocker des informations issues des
différents secteurs du système que sont le terminal de programmation (PC
ou console) et le processeur, qui lui gère et exécute le programme. Elle
reçoit également des informations en provenance des capteurs.
Il existe dans les automates deux types de mémoires qui remplissent des
fonctions différentes :
- La mémoire Langage où est stocké le langage de programmation. Elle est
en général figée, c'est à dire en lecture seulement. (ROM : mémoire morte)
- La mémoire Travail utilisable en lecture-écriture pendant le
fonctionnement c’est la RAM (mémoire vive). Elle s’efface automatiquement
à l’arrêt de l’automate (nécessite une batterie de sauvegarde).
6.2- Le processeur :
Son rôle consiste d’une part à organiser les différentes relations entre la
zone mémoire et les interfaces d’entrées et de sorties et d’autre part à
exécuter les instructions du programme.
I.1.4.1 GENERALITES
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2. BRUIT DE QUANTIFICATION
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3. PROBLEME D’ECHANTILLONNAGE
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1- Introduction
2- Pourquoi l'automatisation ?
Compact ou modulaire
Tension d’alimentation
Taille mémoire
Sauvegarde (EPROM, EEPROM, pile, …)
Nombre d’entrées / sorties
Modules complémentaires (analogique,
communication,..)
Langage de programmation
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5- Fonctionnement :
Elle est conçue pour recevoir, gérer, stocker des informations issues des
différents secteurs du système que sont le terminal de programmation (PC
ou console) et le processeur, qui lui gère et exécute le programme. Elle
reçoit également des informations en provenance des capteurs.
Il existe dans les automates deux types de mémoires qui remplissent des
fonctions différentes :
- La mémoire Langage où est stocké le langage de programmation. Elle est
en général figée, c'est à dire en lecture seulement. (ROM : mémoire morte)
- La mémoire Travail utilisable en lecture-écriture pendant le
fonctionnement c’est la RAM (mémoire vive). Elle s’efface automatiquement
à l’arrêt de l’automate (nécessite une batterie de sauvegarde).
6.2- Le processeur :
Son rôle consiste d’une part à organiser les différentes relations entre la
zone mémoire et les interfaces d’entrées et de sorties et d’autre part à
exécuter les instructions du programme.
Tous les automates actuels sont équipés d'une alimentation 240 V 50/60
Hz, 24 V DC. Les entrées sont en 24 V DC et une mise à la terre doit
également être prévue.
7- Jeu d'instructions :
Chaque automate possède son propre jeux d’instructions. Mais par contre,
les constructeurs proposent tous une interface logicielle de programmation
répondant à la norme CEI1131-3. Cette norme définit cinq langages de
programmation utilisables, qui sont :
8- Sécurité :
8- Réseaux d'automates
8.1- Principe
Pour diminuer les coûts de câblage des entrées / sorties des automates,
sont apparus les bus de terrains. L'utilisation de blocs d'entrées / sorties
déportés à permis tout d'abord de répondre à cette exigence.
Avantages :
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Inconvénients :
Avantages :
Inconvénients :
OMRON :
TELEMECANIQUE :
TSX 17/20 :
Nombre d'entrées et de sorties variable : 20 à 160 E/S.
microprocesseur 8031.
langage de programmation PL7.2.
TSX 67.20 : La compacité d'un automate haut de gamme, à E/S
déportables par fibre optique:
1024 E/S en six bacs de huit modules;
extension de bacs à distance par fibre optique à 2000 m;
16 coupleurs intelligents;
24 K RAM data on Board;
32 K RAM / EPROM cartouche utilisateur;
structure multifonctions;
structuration multitâche;
langage PL7.3 (Grafcet, Littéral, Ladder);
programmation sur IBM PC/PS.
FESTO : Architecture modulaire : carte de base; carte processeur;
carte de mémorisation; carte E/S.
FPC 202 :
16 entrées 24 V DC;
16 sorties 24 V DC - 1 A;
8 K RAM, 8 K EPROM;
interface série, 20 mA boucle de courant pour imprimante;
console de programmation externe : console ou IBM PC;
programmation : grafcet, langage Festo, schéma à relais.
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SIEMENS:
S7 – 200.
64 entrées 24 V DC;
64 sorties 24 V DC - 1 A ;
8 Entrées anlogiques AEW0
AEW14 ; - 8 Sorties anlogiques AAW0
AAW6 ; - interface série,
console de programmation externe : PG 702;
Les bus de capteurs et des actionneurs sont connus surtout avec leur
appellation en anglais Actuator Sensor Interface (ASI) :
V.7 LE RFID
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L'apport des nouvelles technologies de l'Information (NTIC) est à l'origine du regain de la notion de
système d´information. L'utilisation combinée de moyens informatiques, électroniques et de
procédés de télécommunication permet aujourd'hui -selon les besoins et les intentions exprimés-
d'accompagner, d'automatiser et de dématérialiser quasiment toutes les opérations incluses dans les
activités ou procédures d'entreprise.
Ces capacités de traitement sont également fortement appréciées par le fait qu'elles renforcent le
caractère « systémique » des données et traitements réalisés : la cohérence et la consolidation des
activités lorsqu'elle est recherchée et bien conçue permet d'accroître la qualité du contrôle interne
de la gestion des organisations, même lorsque celles -ci sont déconcentrées ou décentralisées.
un ERP - Enterprise Resource Planning (en français : PGI pour progiciel de gestion
intégré) - qui intègre tous les systèmes informatisés permettant de soutenir le
fonctionnement de l'entreprise ;
des systèmes appelés « spécifiques » (ou encore : non standards, de conception
« maison », développés sur mesure, que l'on ne trouve pas sur le marché, ...), où l'on
rencontrera davantage d'applications dans les domaines du calcul de coûts, de la
facturation, de l'aide à la production, ou de fonctions annexes.
La proportion entre ERP et systèmes spécifiques est très variable d'une entreprise à l'autre.
L'urbanisation traite de la cartographie des systèmes de l'entreprise et donc de son système
d'information.
Dans les ERP, on trouve des modules couvrant différents domaines d'activité (comme la gestion de la
production, la gestion de la relation commerciale avec la clientèle, la gestion des ressources
humaines, la comptabilité, ...) autour d'une base de données commune.
Il est fréquent qu'une entreprise soit équipée de plusieurs progiciels différents selon ses domaines
d'activité. Dans ce cas, les progiciels ne s ont pas totalement intégrés comme dans un PGI, mais
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interfacés entre eux ainsi qu'avec des applications spécifiques. On trouvera par exemple des
applications de :
D'autres composants peuvent être inclus dans un système d'information pour offrir des
caractéristiques techniques ou des fonctionnalités spécifiques :
Applications métiers,
Bases de données de l'entreprise,
Contrôle d'accès,
Dispositifs de sécurité,
Infrastructure réseau,
Postes de travail informatique,
Accès aux réseaux Internet, Intranet ou Extranet,
Serveurs d'application,
Serveurs de données et systèmes de stockage,
Système de paiement électronique,
Système de sécurité (protection et chiffrement),
Outils de Groupware, agendas,
espace de partage de documents ,
échange d'informations (forums électroniques),
gestion de contacts,
conférence électronique (chat, vidéoconférence).
VI.1.2 E-BUSINESS
extérieures. Ces méthodes permettent de travailler plus étroitement avec les fournisseurs et
partenaires, dans le but de satisfaire au mieux les besoins et les attentes des clients.
L'e-business ne se réduit pas au commerce électronique. Il couvre également tous les processus
impliqués dans la chaîne de valeur : les achats électroniques (e-procurement en anglais), la gestion de
la chaîne d'approvisionnement avec le traitement électronique des ordres, le service à la clientèle, et
les relations avec les partenaires. Cela s'applique aux organisations traditionnelles et virtuelles. Les
standards techniques propres à l'e-business facilitent les échanges de données entre les entreprises.
Les solutions logicielles intégrant ces standards permettent l'intégration des processus au sein des
entreprises mais aussi entre les entreprises.
B2B (Business to Business) permet aux entreprises de faire des affaires via des moyens
électroniques
B2C (Business to Consumer) permet aux entreprises de vendre des biens, à travers un
site web par exemple
C2C (Consumer to Consumer) permet aux personnes de faire des affaires entre
particulier (enchères par exemple)
B2E (Business to Employee), sous forme d'intranet par exemple, permet à l'entreprise
de communiquer avec ses employées
G2B (Government to Business), permet aux gouvernements de communiquer avec les
entreprises
G2C (Government to Consumer), permet aux gouvernements de communiquer avec
ses concitoyens
A2A (Administration to Administration), Permet aux administrations de
communiquer entre elles.
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Cette liste n'est pas exhaustive, mais ce sont les catégories que l'on retrouve le plus souvent dans la
littérature.
marketing électronique
marketing en ligne
traitement en ligne des transactions
commerce mobile (M-Commerce)
VI.3.1.1 DEFINITIONS
VI.4.1 GENERALITES
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VI.4.3 CONCLUSION
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FONCTION3 : ALARMES