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14 Juillet – Francis Ponge, 1936

- le mot « joyeux » à la fin du texte rappelle le mot « juillet » (au son, à l’oreille)
- 14 juillet : Révolution française → prise de la Bastille
- « peuplier » → « le peuple y est » il est présent
→ le poète joue avec la sonorité des mots
- « juillet » commence comme « justice »
- le peuple à écrit une date sur une page blanche → le ciel de Paris
→ toutes les armes citées dans le texte forment la date 14 JUILLET, le bonnet phrygien jeté en l’air
est le point sur le i

- cratyilisme : qu’il y a un rapport entre le son et le sens

La valise

« pour ne pas trop savoir ce qu’est la poésie (les rapports dans lequel sont incertains) cette figue
sèche, en revanche… mais ça je peux vous en parler »
- Francis Ponge est un poète qui a finit par publier ses brouillons dans le but de montrer que la
poésie ne tombe pas du ciel, il est contre la théorie de l’inspiration. L’une des tentations de Ponge
est d’arriver à des formules, il veut refaire le monde
- la valise est l’équivalent moderne du reste de cheval (chevalise)
- le 1er paragraphe est très long (il parle de façon personnelle, particulière) alors que le 2nd
paragraphe est très court (il parle simplement du voyageur moderne, que la valise est un reste de
cheval)
- il teste plusieurs hypothèses avant de désigner la valise comme reste de cheval
- odeur de cuir pour la valise et le cheval
- la valise est comme un coffre aux trésors, un coffre fabuleux
- les vêtements blanc dans la valise sont comme les pages d’un livre → la vêture est rapprochée de
la lecture (ils riment → homéotéleute)
- le moderne est rapproché de l’ancien (le livre décrit dans le texte fait penser à une encyclopédie ou
à un gros dictionnaire, ex : le trésor de la langue)
- Ponge aime les objets dont il parle (souvent des affectes positifs)
- encomiastique

C – Louis Aragon

- chaque vers finit par le son « cé »


- distique ( strophe de 2 vers à chaque fois)
- image de violence et de folie

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