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(Saint-Georges-d’Oléron, Charente-Maritime)
par Luc LAPORTE
1. Présentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
comment naviguer
La stratigraphie
Un grand fossé occupe le centre du secteur fouillé (photo 5). Il est peu pro-
fond – un peu plus d’un mètre de profondeur – et large d’environ deux mètres.
Son plan n’a jamais été révélé par les photographies aériennes si bien que
nous ne pouvons pas situer le tronçon dégagé dans un contexte plus large : en
particulier, le fossé s’interrompt au sud sans que nous puissions être certain de
sa reprise au-delà du secteur fouillé. Au nord il est recoupé transversalement
par un petit fossé historique (st. 101 ; plan 6) qui coïncide également avec la
limite de la fouille. Le tronçon fouillé se décompose en trois longues fosses
successives accolées.
Le comblement basal de chacune de ces unités est différent, mais il semble
résulter d’une même dynamique de remplissage (illustration 7). En revanche
un seul comblement terminal vient clôturer l’ensemble du remplissage (Co 5).
Ce dernier, épais de plus de 50 cm, est très riche en mobilier. Il contient
d’ailleurs parfois des catégories de mobilier qui ne sont que très faiblement
représentées dans la couche archéologique environnante, en particulier des
restes de poisson et autre microfaune. Le sédiment semble homogène sur tou-
te son épaisseur. Pour A. Ghebardt (étude micromorphologique) ce niveau relè-
ve pourtant d’une dynamique de remplissage lente et continue.
Viennent ensuite des niveaux sableux, pauvres en mobilier archéologique
(Co 75 et 93), plus ou moins épais et plus ou moins continus suivant les sec-
teurs. Par endroits ils sont surmontés par des éboulis de pierres sèches. Ces
éboulis sont localisés préférentiellement sur la face ouest du fossé et sont plus
développés près de l’interruption. Nous avons interprété cet ensemble comme
résultant de l’érosion des parois sableuses du fossé ; érosion entraînant parfois
des constructions en pierres sèches situées sur son bord ouest. Ces niveaux
sableux reposent sur des niveaux beaucoup plus sombres, riches en mobilier
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archéologique (Co 77, 91 et 94). L’étude micromorphologique permet de voir
dans la couche 77 le résultat d’un remplissage lent et naturel du fossé. Ces
niveaux sont très riches en patelles qui forment de véritables amas où les
coquilles sont encastrées les unes dans les autres (photo 8). Ils présentent
également des restes de céramique, de lithique, d’ichtyofaune, etc. Ils se sont
accumulés préférentiellement sur la face est du fossé ; celle donc qui est oppo-
sée à l’emplacement supposé du talus (photo 9) (notice 4).
Parfois, comme dans le cas de l’unité la plus au nord, ces niveaux sont séparés
des éboulis sous-jacents par d’autres niveaux d’érosion, sableux ou argileux
(Co 96). Il est clair que ces derniers sont difficiles à distinguer des sédiments
qui constituent les parois du fossé. Ils se détectent par leur texture, par leur
structure interne (non ordonnée en lits horizontaux comme dans le cas des
dépôts quaternaires) et par la présence de contacts anormaux. Tous ces sédi-
ments ne peuvent provenir de la seule érosion des parois du fossé 86. La
couche argileuse 96 en contact avec la paroi sableuse du fossé en est un bon
exemple. Cette dernière est concentrée le long de la paroi ouest de cette struc-
ture. On peut donc imaginer qu’elle était au départ stockée à proximité du
bord ouest du fossé.
Viennent ensuite des éboulis de pierres, plus ou moins organisés. Comme dans
le cas des empierrements toutes ces pierres proviennent du littoral (Gruet,
Laporte à paraître). A quelques rares exceptions près dont nous reparlerons, ce
sont toutes des pierres roulées par la mer et donc simplement récoltées sur
l’estran. La dissymétrie du remplissage, très nette dans la stratigraphie de
l’unité centrale, suggère là encore l’origine du dépôt. La couche 95 (unité la
plus au nord) et les parties supérieures des couches 98 (unité centrale) et 81
(unité la plus au sud) semblent être le résultat de l’effondrement d’une
construction située sur la face ouest du fossé. Cependant à la base de la Co 98
nous avons été intrigué par des pierres d’un calibre beaucoup plus important
que les précédentes et qui reposent, disposées bien à plat, sur le substrat argi-
leux (photo 10). De même la couche 81 est composée de plusieurs couches de
pierres plates posées les unes sur les autres. Dans les interstices une argile
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finement stratifiée est venue se déposer. Entre les rangs de pierres, qui ne
constituent pas toutefois un parement, et la paroi argileuse du fond du fossé,
se trouvait un vide, rapidement comblé par l’effritement des parois sableuses
(Co 55). Une telle disposition ne nous paraît pas compatible avec une figure
d’éboulis. Nous pensons qu’il faut plutôt envisager l’existence d’aménagements
réalisés au fond du fossé. La disposition et la nature des blocs observés au
niveau de l’interruption appelle également quelques commentaires. Dans
l’éboulis qui surmontait la couche 81 se trouvaient quelques gros blocs de
taille beaucoup plus importante que les autres pierres. Elles seules présentent
une ou deux arêtes vives qui indiquent qu’elles n’ont pas été récoltées mais
extraites. Toutefois au moins une des faces témoigne toujours de l’action mari-
ne. Elles ont donc été extraites du banc rocheux de l’estran. Ce dernier servait
d’ailleurs encore de carrière au siècle dernier. Une seule de ces grosses pierres,
longue et étroite, disposée verticalement, se trouvait profondément ancrée
dans la masse de la couche 81 (photo 11). En fait elle repose même directe-
ment sur l’argile géologique. Ses dimensions sont de 1,10 m de long pour
0,25 m de large et 0,15 m d’épaisseur. Elle s’appuie, légèrement inclinée, sur la
paroi du fossé au niveau de l’interruption. Un peu en avant, sur les trois côtés
restants, quelques grosses pierres plates superposées forment une sorte de
muret grossier que nous avons interprété comme un calage. Si l’on redresse
alors la grande dalle inclinée dans une position verticale elle occupe l’axe cen-
tral du fossé au niveau de son interruption. Sous les pierres plates ont été
retrouvées trois cornes de bovidés, reposant directement sur le fond du fossé.
Elles constituent le seul mobilier recueilli dans cette position stratigraphique
pour cette longue fosse.
Dans l’immédiat nous ignorons si le fossé 86 participe à un vaste système d’en-
ceintes comme on en connaît tant dans la région ou s’il constitue une unité
isolée. Il diffère par sa profondeur des ensembles de fossés artenaciens qui
barrent le site de Diconche (Burnez, Fouéré 1993) mais s’en rapproche cepen-
dant de par l’existence de creusements successifs adjacents qui alignés dessi-
nent le plan du fossé. La structure dégagée à Ponthezières se rapprocherait
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plus, par ses dimensions, du petit fossé aménagé par les artenaciens sur les
sites de Biard à Ségonzac (Burnez, Pautreau 1988). J. Roussot-Larroque signa-
le également sur le site de La Fontaine de la Demoiselle (Roussot-Larroque
1984, 160), dont la monographie est toujours inédite, des segments de fossés
empierrés qu’elle propose d’interpréter comme des structures de combustion ou
des vidanges de foyers.
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Notice 3
La parure
LA PARURE EN CALCAIRE
La parure en calcaire se compose d’une unique pendeloque à pointe typique-
ment languedocienne, provenant de la couche archéologique (Co 3) (noti-
ce 13) (photo 23) et d’un fragment d’anneau issu du comblement de la palis-
sade 72. Il présente un diamètre estimé à un peu plus de 2 cm pour une épais-
seur de 0,7 cm. La perforation qui semble conique est d’un diamètre de
0,8 cm. Le bord extérieur de l’anneau possède un profil arrondi.
LA PARURE EN TEST
Il convient de dissocier les coquilles qui ont pu être utilisées telles quelles,
comme les dentales (notice 14), les coquilles de Triviae (notice 15), de Littori-
na obtusata (notice 16) et peut-être de cardium simplement perforées, et les
objets en test qui résultent d’un façonnage plus élaboré (Barge 1982) repré-
sentés par des milliers d’ébauches de perles discoïdes (notice 12) (photo 24)
et par une unique barrette multiforée (notice 17). Les deux premières catégo-
ries impliquent des processus relativement courts qui laissent peu de rebuts.
Sur un lieu de production, on peut donc s’attendre à ce qu’elles soient moins
bien représentées que des parures qui résultent de chaînes opératoires plus
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longues, plus complexes, dont on retrouvera de nombreux déchets correspon-
dant à chaque stade d’élaboration. C’est bien ce que nous observons à Ponthe-
zières.
Sur les 1 600 perles étudiées, 95 % sont en test de cardium (note 1) ; c’est
dire la prédominance de ce type de support (diagramme 25). La pourpre
(Nucella lapillus) a été également utilisée dans 3 % des cas (49 pièces). La
rareté des objets réalisés sur des coquilles de moule (ou mytilidés) (note 2)
peut partiellement s’expliquer, mais en partie seulement, par la fragilité de ces
vestiges (moins de 1 % du total avec onze pièces). Ces trois espèces ne sont
pas les seules rencontrées sur le site, bien au contraire. Selon l’étude de
Y. Gruet (Laporte et al. à paraître a) deux espèces, patella et monodonta, col-
lectées exclusivement à des fins alimentaires, représentent plus de 95 % des
coquilles recueillies sur le site. La matière première utilisée pour la fabrication
d’objets en parure correspond donc à une sélection très stricte parmi les très
nombreuses espèces de coquilles marines identifiées par Y. Gruet.
Il semble bien que quelques pièces aient été fabriquées avec des fragments de
coquilles fossiles : de nombreux fragments de bivalves fossiles ont été ramas-
sés dans les niveaux archéologiques. De ces fossiles, il ne reste le plus souvent
que la partie proximale, l’essentiel de la valve ayant été détaché par fragmen-
tation. Or, 19 ébauches ont été réalisées dans un matériau différent des précé-
dents, qui présente à la binoculaire une structure identique à celle des
coquilles fossiles. Si l’usage des coquilles fossiles dans la parure était admis sur
des sites continentaux, comme ceux du Bassin Parisien (Taborin 1971), il est
étonnant de retrouver un phénomène semblable en bord de mer.
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Notice 6
De nombreux galets allongés (53 ex. dans la Co 3) ont été recueillis dans les
niveaux archéologiques (photo 37 ; illustration 38). Ramassés sur l’estran, les
galets sélectionnés sont principalement en calcaire, en quartzites, en roches
métamorphiques, et pour quelques-uns dans un grès très fin qui s’est assez mal
conservé. Parmi ces différentes roches se trouvent également des grès carboni-
fères et des amphibolites – détermination M. Colchen, Université de Poitiers,
Laboratoire de tectonique et géodynamique – qui affleurent actuellement dans
le sud du Massif Armoricain. Les courants marins ont-ils rejeté ces galets sur la
côte oléronnaise, ou ont-ils été recueillis sur le littoral vendéen ?
Tous ces galets sont le plus souvent de forme allongée et leur plus grande lon-
gueur est comprise entre 5 et 10 cm, pour une largeur comprise entre 3 et
6 cm et une épaisseur de 1 à 2 cm. Leur présence sur le site résulte donc d’un
choix sélectif qui privilégie une forme bien particulière.
La plupart d’entre eux présentent des traces d’abrasion ou de percussion à l’une
au moins des extrémités du galet. L’abrasion peut porter sur une seule (31 ex.)
ou sur les deux extrémités (6 ex.) de la pièce. A chaque extrémité, elle peut
affecter une seule face de la pièce produisant une usure latérale (11 ex.), ou
bien encore chacune des deux faces qui se rejoignent alors en biseau (20 ex.).
Certaines pièces présentent des traces de percussion à l’extrémité opposée à
celle usée en biseau. Quelques galets calcaires présentent exclusivement des
traces de percussions (14 ex.) alors que d’autres pièces identiques ne portent
aucun stigmate visible à l’œil nu. Nos propres expérimentations, comme celles
effectuées par C. Ricoux à qui nous devons cette explication, accréditent l’idée
d’une utilisation dans le façonnage des perçoirs fusiformes (notice 11).
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La répartition spatiale de ces pièces, souvent associées à des perçoirs en cours
de fabrication, au sein du poste de travail des coquillages comme au sein de la
petite construction en e8, tend à confirmer cette hypothèse.
Il nous faut également signaler 7 galets de grande taille (supérieure à 10 cm) et
de forme arrondie, dont la périphérie est totalement bouchardée par percussion.
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Notice 9
Meules et polissoirs
Expérimentations
Sur plus de 1 600 ébauches de perles recueillies à la fouille, seuls 114 exem-
plaires peuvent être considérés comme des perles finies ; 95 % des perles dis-
coïdes et ébauches sont réalisées en test de cardium ; occasionnellement la
coquille de pourpre ou de moule, voire même parfois des coquilles fossiles sont
utilisées.
Les dimensions des perles en cardium, en cours de finition ou finies, ainsi que
leurs proportions varient peu. Le diamètre moyen d’une perle est de 5,4 mm ;
80 % d’entre elles mesurent entre 4 et 6 mm. La perle la plus petite fait 3 mm
de diamètre et la plus grosse 8 mm (diagramme 49).
Leur épaisseur est dans l’ensemble proportionnelle à leur diamètre selon un
rapport de 1 à 4 ; 85 % des perles sont épaisses de 1 à 2 mm avec une moyen-
ne de 1,4 mm. La perle la plus fine mesure 0,5 mm alors que la plus épaisse
mesure 3,5 mm. En revanche les perles les plus larges ne sont pas systémati-
quement les plus épaisses.
Le diamètre de la perforation est en moyenne un peu plus large (2,4 mm) sur
la face interne, face de départ de la perforation, que sur la face externe
(2,1 mm). Le diamètre de la lumière est presque toujours compris entre 1,5 et
2 mm. Les traitements de surface sont variés ainsi que la forme des bords. Ces
derniers sont, par ordre de fréquence, en biseau, droits, en double biseau ou
convexes.
Les dimensions des perles en pourpre semblent assez proches de celles en car-
dium. En revanche les trois perles, ou ébauches en cours de finition, en
coquille de moule sont plus larges (6, 7 et 10 mm) et plus fines (1 mm) que
les précédentes.
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Produits d’une chaîne opératoire particulièrement standardisée, ces produits
répondent à une norme extrêmement contraignante. Dans plus de 80 % des cas
ce sera une perle discoïde en test de cardium dont le diamètre est compris
entre 4 et 6 mm pour une épaisseur de 1 à 2 mm. Le diamètre de la lumière de
la perforation sera compris entre 1,5 et 2 mm pour un diamètre moyen de la
perforation qui sera de 2,4 mm sur la face externe et 2,1 mm sur la face inter-
ne (photo 24).
A la grande standardisation de la majorité des produits finis s’opposent toute-
fois quelques exemplaires dont la taille diffère sensiblement. La perle en test
de cardium la plus petite mesure 3 mm pour une épaisseur de 1 mm alors que
la plus grosse présente un diamètre de 7,5 mm pour une épaisseur de 2,5 mm
(carte 50).
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Notice 13
Pendeloque à pointe
Dentales
Triviae perforées
Cinq Triviae perforées sur leur faces latérales ont été recueillies sur le site
(photo 53). Le façonnage consiste exclusivement dans la réalisation des per-
forations. Un travail préparatoire a consisté à découper une ouverture par inci-
sion sur chacune des faces latérales de la coquille. Dans un second temps les
lèvres de l’ouverture ont été régularisée par abrasion. La lumière de la perfora-
tion est le plus souvent ovale. Aucune trace de lien de suspension n’a été
observée à la loupe binoculaire.
Aucun exemplaire similaire ne semble avoir été rencontré dans des sites
contemporains du Centre-Ouest. Elles se distinguent des Triviae Europa perfo-
rées par abrasion provenant des sépultures mésolithiques de Téviec et Hoèdic,
où les perforations sont pratiquées aux deux extrémités distales de la coquille
(Taborin 1971, 522). Nous retrouvons une disposition analogue sur la seule Tri-
via présentant une double perforation répertoriée par H. Barge dans le Midi de
la France (Barge 1982, fig. 80 n° 8), retrouvée en contexte Néolithique final.
Les Triviae perforées sont en revanche nombreuses dans certaines sépultures
collectives du Bassin Parisien, en particulier dans la vallée de la Marne (Taborin
1971 ; Burnez-Lanotte 1987). Comme sur les exemplaires de Ponthezières, les
perforations y sont pratiquées de chaque côté de la coquille, puis complétées
par une abrasion des faces latérales (carte 54). Cette espèce n’existe pas dans
les gisements de coquillages fossiles du Bassin Parisien. Elles proviennent donc
du littoral atlantique où elles vivent en grand nombre sur les côtes bretonnes
et normandes. Malheureusement l’acidité des sols dans cette région n’aurait
pas permis la conservation de ce type d’objets dans les sépultures collectives
du massif armoricain, et nous ne saurons pas si de telles parures faisaient par-
tie des offrandes associées au rituel funéraire des populations armoricaines.
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La présence de quelques Triviae perforées par abrasion sur le site de Ponthe-
zières témoigne sans nul doute de l’existence de réseaux d’échange ou d’allian-
ce à longue distance avec des groupes plus septentrionaux. La direction de ces
échanges – vers le cœur du Bassin Parisien pourtant bien éloigné, ou vers les
marges du Massif Armoricain, plus proches, mais où ce type d’artefact ne se
serait pas conservé – reste cependant difficile à préciser.
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Notice 16
Littorine perforée
Une littorine (Littorina obtusata ; dét. Y. Gruet) a été perforée par une abrasion
intentionnelle pratiquée à la base de la dernière spire, au bord du labre dans sa
partie proche de la columnelle (zone E1c d’après Taborin 1993). Cette unique
perforation, de forme ovale, est en communication directe avec l’ouverture par
laquelle on peut faire passer un lien. Aucun stigmate de travail préparatoire n’a
été observé sur les bords de la perforation, mais ces derniers ont fort bien pu
être effacés par l’abrasion postérieure de la surface (photo 55).
Une littorine perforée par abrasion à la base de la dernière spire a été trouvée
dans les niveaux de comblement attribuables à l’Artenacien des fossés de
Diconche (Saintes, 17) (fouilles C. Burnez et P. Fouéré, inédit).
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Notice 17
Barrette multiforée
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Taborin 1993 : TABORIN (Y.). — La Parure en coquillage au Paléolithique.
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des animaux sauvages à travers le temps. Juan-les-Pins, APDCA, 1993,
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retour page-écran n° 57
sommaire
Notes (récapitulatif)
note 1
Lorsque nous parlerons de cardium, terme le plus usuel dans la littérature
archéologique, il s’agit sauf mention contraire de Cerastoderma edule, ancien-
nement dénommé Cardium edule.
note 2
Mytilidés : famille comprenant à la fois des moules au sens strict (Mytilus édu-
lis ou Mytilus galloprovincialis) et des modioles (Modiolus).
retour page-écran n° 58
Illustration 1
Stratigraphie du site de Ponthezières ; sondage 1986 en c10.
1 et 2 : couche arable ; 3 : couche archéologique ; 4 : horizon supérieur
humique des dépôts sablo-limoneux ; 5 : dépôts sablo-limoneux ; 6 : structure
en creux ; 7 : argiles vertes cénomaniennes.
Photo 2
Effet de paroi reliant plusieurs trous de poteaux (c10) sur un sol de galets
aménagé.
Photo 3
Vue de détail du sol de galets aménagé.
Photo 4
Céramiques écrasées en place au sein de la couche 3 (e11).
Photo 5
Vue d’ensemble du fossé 86. Amas de pierres, résultant pour partie de l’effon-
drement d’une murette située sur son bord occidental et présence de nom-
breuses coquilles à la base du remplissage.
Plan 6
Niveaux intermédiaires du comblement du fossé 86.
Illustration 7
Dynamique de remplissage du fossé 86
page-écran n° 59
Photo 8
Amas de coquillages encastrés et les uns dans les autres et rejetés dans le
comblement inférieur du fossé 86. Etaient-ils stockés dans des sacs en matière
périssable ?
Photo 9
Coupe du remplissage du fossé 86 à un endroit où il est peu profond. Noter la
dissymétrie très nette du remplissage avec les pierres éboulées qui viennent du
bord occidental et les déchets alimentaires qui proviennent en revanche de son
bord oriental.
Photo 10
Pierres disposées à plat à la base du remplissage du fossé 86 à proximité de
son interruption.
Photo 11
Grande dalle verticale disposée au niveau de l’interruption du fossé 86 et son
massif de calage. Sur le sol l’une des trois cornes de bovidés, déposées sous les
pierres de la murette et qui constituait l’unique mobilier archéologique
recueilli dans cette position stratigraphique.
Plan 12
Une petite construction quadrangulaire desservie par un empierrement en
arrière du fossé 86 et de son talus – niveau supérieur.
Plan 13
Une petite construction quadrangulaire après démontage des niveaux supé-
rieurs.
Photo 14
Vue des soubassements de cette petite construction
page-écran n° 60
Plan 15
Plan général du secteur fouillé.
Plan 16
Répartition des perles discoïdes en coquillage.
Plan 17
Répartition de la céramique.
Plan 18
Répartition de l’industrie lithique.
Plan 19
Répartition des coquilles (couche 3).
Plan 20
Détail de la petite construction quadrangulaire.
Plan 21
Détail sur le bord est du fossé 86.
Plan 22
Répartition des restes osseux.
Photo 23
Pendeloque à pointe en calcaire de type T2 selon Barge 1982.
Photo 24
Perle discoïde en coquille de Cardium.
Diagramme 25
Espèces malacologiques utilisées pour la confection de parures.
page-écran n° 61
Illustration 26
Variabilité des processus techniques mis en œuvre dans l’élaboration de perles
discoïdes en coquillage (Grotte de Riaux et Germignac, d’après Taborin 1974,
Gaillard et al. 1984).
Illustration 27
Les ébauches de perles discoïdes à différentes phases d’élaboration.
Photo 28
Préforme.
Photo et illustration 29
a : préforme en cours de polissage.
b : orientation des stries de polissage sur la face externe de la préforme.
Photo 30
Préforme en cours de perforation.
Photo 31
Préforme en cours de finition.
Photo 32
Ebauche en coquille fossile.
Photo 33
Ebauche en Nucella Lapillus.
Photo 34
Ebauche en moule.
Photo 35
Perçoirs fusiformes.
page-écran n° 62
Illustration 36
Une partie de l’outillage lithique provenant du site de Ponthezières. 1 : perçoir
de type moulin de vent : 2 à 35 : pièces à bords abattus dont une mèche de
forêt simple (2) et des perçoirs fusiformes (3 à 16) ; 36 et 37 : fragments de
poignard en silex d’aspect pressignien ; 38 et 39 : flèches tranchantes ; 40, 42,
43, 45, 46 : flèches perçantes dont une pointe de flèche à ailerons équarris
(42) ; 41 et 44 : racloirs à encoche dont un brûlé (41).
Photo 37
Galets à extrémité en biseau.
Illustration 38
Galets utilisés, les plages polies par l’usage sont indiquées en grisé.
Photo 39
Polissoir portatif recueilli en e11.
Illustration 40
A : polissoir portatif recueilli en e11 ; B : polissoir portatif recueilli en surface.
Photo 41
Poste de travail du coquillage (d11).
Photo 42
Poste de travail du coquillage (d11)
Photo 43
Poste de travail du coquillage (d11).
Photo 44
Expérimentations : fragmentation de la coquille.
page-écran n° 63
Photo 45
Expérimentations : polissage de la face externe de l’ébauche.
Photo 46
Expérimentations : perçoirs expérimentaux.
Photo 47
Expérimentations : perforation de l’ébauche.
Photo 48
Expérimentations : ébauches de perles expérimentales.
Diagramme 49
Dimensions des ébauches de perles en cardium à différents stades d’élabora-
tion.
Carte 50
Répartition des perles discoïdes en test à la fin du Néolithique et au début de
l’Age du Bronze.
1 : zones littorales où les Cardium (Cerastoderma sp.) sont plus particulière-
ment abondants. Cette espèce est toutefois des plus communes sur toutes nos
côtes depuis la Méditerranée jusqu’à la Mer du Nord (d’après des informations
aimablement fournies par Y. Gruet).
2 : lieux de fabrication de perles discoïdes en cardium sur la côte méditerra-
néenne ; il s’agit des sites de la grotte de la Madeleine à Villeneuve-les-Mague-
lonne (Hérault) et de la station de la Caumette à Saint-Pierre-des-Champs
(Aude), ainsi qu’une quarantaine de sites récemment identifiés dans les Cor-
bières.
3 : perles discoïdes en coquillage marin (principalement cardium) ; 4 : perles
discoïdes en nacre d’unionidés. Mal calés chronologiquement, car souvent
recueillis au sein de sépultures collectives, ces deux types peuvent ne pas être
page-écran n° 64
exactement contemporains (d’après Ancien, Lebolloch 1987, Bailloud, Burnez
1962, Barge-Mahieu 1991, Burnez 1976, Burnez-Lanotte 1987, Cordier, Riquet
1958, Cordier et al. 1972, Crubezy, Mazières 1991, Desgrange et al. 1988,
Devignes 1992, Jourdain 1991, Nouel et al. 1965, Patte 1971, Richard 1980,
Roussot-Larroque 1985).
Carte 51
Répartition des perles à ailettes dans la moitié sud de la France.
1 : la perle à pointe en calcaire de Ponthezières ; 2 : perles à ailettes tous
types confondus d’après Barge-Mahieu, Bordreuil 1992, fig. 3 complétée.
Photo 52
Dentale.
Photo 53
Triviae perforée avec abrasion des flancs latéraux.
Carte 54
Répartition des Triviae perforées avec abrasion latérale. Sur cette carte, nous
avons également reporté le résultat d’un rapide inventaire des pendeloques
biforées à perforation centrée, en os ou en test, attribuables à un Néolithique
récent-final au sens large.
1 : zones littorales où les Triviae (sp.) sont plus particulièrement abondantes.
Cette espèce vit sur des côtes rocheuses. Bien qu’actuellement présente sur
toutes nos côtes, elle ne serait très commune qu’en Bretagne (d’après des
informations aimablement fournies par Y. Gruet) ; 2 : Triviae perforées avec
abrasion latérale ; 3 : pendeloques biforées à perforation centrale, en os ou en
test, quelle que soit sa géométrie (d’après Barge 1982, Burnez 1976, Burnez-
Lanotte 1987, Costantini 1984, Crubezy, Mazières 1991, Jourdain 1991, Gau-
rond, Massaud 1983, Richard 1993, Roussot 1973, Roussot-Larroque 1976).
page-écran n° 65
Photo 55
Littorine perforée avec abrasion latérale.
Photo 56
Fragment de barrette multiforée.
Photo 57
Vue générale du site de Ponthezières.
Photo 58
Vue aérienne du décapage en 1990.
Photo 59
Le fossé 86.
Carte 60
Perles discoïdes en coquillage dans le Centre-Ouest de la France.
1 : sites ayant livré de la parure ; 2 : sites ayant livré des perles non métal-
liques ; 3 : sites ayant livré des perles discoïdes en nacre d’unionidés ; 4 : lieu
de fabrication de perles discoïdes en coquillage ; 5 : sites ayant livré des perles
discoïdes en coquillage marin.
Carte 61
Situation du gisement de Ponthezières (Saint-Georges-d’Oléron, 17).
Tableau I
Outillage lithique du site de Ponthezières (Saint-Georges-d’Oléron, 17).
Remerciements
Ces travaux n’auraient pas pu avoir lieu sans le soutien du Service Régional de
l’Archéologie de Poitou-Charentes, du Conseil Général de la Charente-Maritime,
de la Mairie de Saint-Georges-d’Oléron. Le propriétaire, M. Marchegay, nous a
toujours accueilli avec beaucoup de bienveillance.
De nombreux bénévoles se sont succédé sur le site de Ponthezières, y consacrant avec
ardeur une partie importante de leur temps libre. I. Laporte a pris une part active dans l’or-
ganisation matérielle du chantier. Y. Gruet, J. Gomez et R. Joussaume nous ont entouré de
leurs conseils amicaux. Que tous en soient ici chaleureusement remerciés.
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n° 12
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suite
13
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p. 18
n° 13
(légende)
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12
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p. 18
n° 14
(légende)
c d e
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p. 20 11 Poste de travail
du coquillage
Palissade
10
N
Construction
n° 15
(légende)
8
Talus (?)
Fossé
Empierrement
Construction
6 0 5m
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p. 20
n° 16
(légende)
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p. 21
n° 17
(légende)
retour
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p. 21
n° 18
(légende)
retour
texte
p. 21, 22
n° 19
(légende)
retour
texte
p. 21
n° 20
(légende)
retour
texte
p. 22
n° 21
(légende)
retour
texte
p. 22
n° 22
(légende)
retour
texte
p. 10, 23,
41
n° 23
(légende)
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texte
p. 2, 10,
23, 40
n° 24
(légende)
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p. 24 Espèces utilisées pour la parure
Nb
900
800
700
600
500
400
300
n° 25
200
(légende)
100
Coque
Pourpre
Fossile Co 3
Moule
Trivia Co 5
Dentale
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p. 7, 25
n° 26
(légende)
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p. 25, 41
n° 27a
(légende)
suite
27b
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27a
n° 27b
suite
27c
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27b
n° 27c
suite
27d
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p. 25, 41
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27c
n° 27d
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p. 2, 25
n° 28
(légende)
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p. 2, 26
n° 29
(légende)
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p. 2, 26
n° 30
(légende)
retour
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p. 2, 26
n° 31
(légende)
retour
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p. 26
n° 32
(légende)
retour
texte
p. 26
n° 33
(légende)
retour
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p. 27
n° 34
(légende)
retour
texte
p. 2, 28
n° 35
(légende)
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p. 28
n° 36
(légende)
retour
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p. 31
n° 37
(légende)
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p. 31
n° 38
(légende)
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p. 9, 33
n° 39
(légende)
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p. 33
n° 40
(légende)
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p. 22, 34
n° 41
(légende)
■➟ ■
DETAIL
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p. 34
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image
n° 42
(légende)
■➟ ■
DETAIL
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p. 34
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n° 43
(légende)
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p. 37
n° 44
(légende)
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p. 37
n° 45
(légende)
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p. 37
n° 46
(légende)
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p. 38
n° 47
(légende)
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p. 38
n° 48
(légende)
Longueur des ébauches de perles en Cardium
70
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texte 60
p. 8, 39 50 Préforme
Polissage
40
Nb Perforation
30
Finition
20
10
0
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15
mm
60
50
Préforme
40
Nb Polissage
30
Perforation
n° 49
20 Finition
(légende) 10
0
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15
mm
60 35
30
50
25 Préforme
40
Polissage
Nb 20
30 Perforation
15
Finition
20
10
10 5
0 0
0,5 1 1,5 2 2,5 3 3,5 4 4,5 5
mm
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p. 40
n° 50
(légende)
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p. 11, 41
n° 51
(légende)
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p. 42
n° 52
(légende)
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p. 10, 43
n° 53
(légende)
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p. 43, 46
n° 54
(légende)
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p. 10, 45
n° 55
(légende)
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p. 46
n° 56
(légende)
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p. 6
n° 57
(légende)
interprétation
des
vestiges
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p. 6
n° 58
(légende)
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p. 6
n° 59
(légende)
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p. 10
n° 60
(légende)
5m
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p. 2 Les Sables Vigniers
..
. .. ..
.. . . .. .
... .. . . . .
.
. .
. . .
. . ...
.. .
.
5m
Marais de Ponthezières
5m
5m
n° 61 L'Ileau
(légende)
N
5m
0 500 m
0
m
N
Occupations néolithiques. G
F
Tourbière littorale.
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p. 28
1 2
3 4
(accès aux
légendes)
CATALOGUE
5 6
7 8
(accès aux
légendes)
CATALOGUE
9 10
11 12
(accès aux
légendes)
CATALOGUE
13 14
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légendes)
CATALOGUE
17 18
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légendes)
CATALOGUE
21 22
23 24
(accès aux
légendes)
Nb
Espèces utilisées pour la parure
CATALOGUE
900
800
700
600
500
400
300
200
100
Coque
Pourpre
Fossile Co 3
Moule
Trivia
Dentale
Co 5 25 26
27a 27b
(accès aux
légendes)
CATALOGUE
27c 27d
28 29
(accès aux
légendes)
CATALOGUE
30 31
32 33
(accès aux
légendes)
CATALOGUE
34 35
36 37
(accès aux
légendes)
CATALOGUE
38 39
40 41
(accès aux
légendes)
CATALOGUE
42 43
44 45
(accès aux
légendes)
CATALOGUE
46 47
Longueur des ébauches de perles en Cardium
70
60
48 49 Nb
50
40
30
Préforme
Polissage
Perforation
Finition
20
10
0
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15
mm
60
50
Préforme
40
Nb Polissage
30
Perforation
20 Finition
10
0
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15
mm
(accès aux 60 35
30
50
25 Préforme
40
Polissage
Nb 20
légendes)
30 Perforation
15
Finition
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10
10 5
0 0
0,5 1 1,5 2 2,5 3 3,5 4 4,5 5
CATALOGUE
50 51
52 53
(accès aux
légendes)
CATALOGUE
54 55
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(accès aux
légendes)
CATALOGUE
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5m
60 61
Les Sables Vigniers
..
. .. ..
.. . . .. .
..
... ..
. .. .
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. . ...
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5m
Marais de Ponthezières
5m
5m
L'Ileau
5m
(accès aux
légendes) 0 500 m
Occupations néolithiques.
0
m
N
G
F
Tourbière littorale.
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Abstract
This study addresses the problem of the emergence of specialised forms of production, using the
example of neolithic finery. A centre for the manufacture of disk-shaped beads from shells, which
has been extensively excavated, is going to allow a more precise definition of the various aspects
of this activity. The study of the production lines and the technical system will yield information
on the degree of technical specialisation of the persons involved in the process. The available data
on the spatial organisation of the production and the distribution of the finished products, as well
as those on the subsistence economy and the ways of acquiring the raw material, will inform us
about the context of the production and its impact on the economy. The conclusion attempts to
approach the economic system as it emerges from production and trade activities. In this way it
contributes to the debate on the extent of the socio-economic transformations that affected the
neolithic societies in the course of the IVth and IIId millennia B.C.
Key words : finery, Late Neolithic, Artenacien, Central Western France, shells, technical system,
specialisation.
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Résumé
suite
LANGUE
ANGLAISE