Ann e GIVAUDAN

ovec lo colloboraflon
du Docteur Antoine Achram

eefui qtti LtÙ!irl - ~ 2

•
Les Doss1ers
sur le
Gouvernement
Mondial
 Anne Givaudan

Celui qui Vient, tome 2

LES DOSSIERS

Editions SOIS
Ouvrages de Anne Givaudan et Ouvrages de Anne Givaudan
Daniel Meurois Sommaire
RECITS D'UN VOYAGEUR DE LES DOSSIERS *
L'ASTRAL** Préface à la nouvelle édition . ............................. ·······.............................. ..................................... ..
LECTURES D'AURAS ET SOIN.S
9
TERRE D'EMERAUDE* ESSENIENS* Introduction .............. ...................................... ... .... ............................... ................................................... 19
Témoignages d'outre-corps Thérapies d'hier et d'aujourd'hui
DE MEMOIRE D'ESSENIEN (roME 1) ** CELUI QUI VIENT (TOME2) * l - Le Gouvernement MondiaL.....·-··-······-- ··..······--···-···········-···..················ 25
L'autre visage de Jésus Les dossiers sur le Gouvernement DOSSlER........... ....................................... ...... ............................. ........... ..................................... 33
Mondial
CHEMINS DE CE TEMPS-LA **
2 - La Mafia '"'' '''"" ' " '''' ' ' " "'' ' ' " '' '' ' ' • --"" "" ' " ' ' " '''-~'• • • •• • • --•""'''' ' ' ''' "' ' - • o • o.o •--• • • • • ••-- · -u -~.. ...,, , ,, _ 77
De mémoire d 'Essénien (TOME 1) ALLIANCE* DOSSIER ......... ....................................... ................................... ........................................................ 85
LE VOYAGE A SHAMBHALLA ** WALK-IN * 3 - L'Opus Dei ou Octopus Dei
Un pèlerinage vers Soi La mafia du Vatican ..... ................ .................................................................................-.... Ill
PAR L'ESPRIT DU SOLEIL* DOSSIER ................................ .. .. ......... .......... .................. .................................................. ~--·---··-
119
4 - La Santé : ou comment soumettre la population
LES NEUF MARCHES*
Histoire de naitre et de renaÎtre mondiale par Je biais de thérapeutes de bonne volonté ................... 137
DOSSIER................................................................................................................................................... 143
WESAK *
L'heure de la réconciliation 5 ~ Les Recherches...... ..... ................ ........................................................................................... 217
DOSSIER..--...........-................- .........................................................................................................·-··· 223
CHRONIQUE D'UN DEPART *
Afin de guider ceux qui nous 6 - Les Etres de l'espace
quittent ou : un boycott très explicable..................................................................................._ 279
LE PEUPLE ANIMAL** DOSSIER................................................................................................................................................... 293
CELUI QUI VIENT (TOME 1) DOSSIER. .....................................................................-........................................................................... 317
7 - Conclusions............... ...................................................... .......................... ............................... 321 ,

Lexique.................................................................................................................................................................... 346
• 1996 Editions SOIS . Tous droits Bibliographie et Sources...... ................................................................................................................ 349
réservés pour tous pays.
•• Editions le Pérséa

Le catalogue des Editions SOIS esl adressé

frcmco sur simple demande
Editions SOIS
24 S80 - Plazac - Fraoce
Tél./ Fu: 05.53.51.19.50

Ma vie, comme pour beaucoup d'entre vous, est faite de hauts et de bas et
jusqu 'à présent, j'ai connu beaucoup de hauts.
Cette fois pourtant, je remercie tous ceux qui, parents et ami(e)s, m 'ont
permis de rester debout et celui qui m 'a donné le courage nécessaire à
l'écriture de cel ouvrage. .
6 7
Avertissement au lecteur
Dans ce livre-dossier vous trouverez des articles dont le style est très
catégorique. Bien que partageant l'avis des auteurs je sais que la Vérité ne
peut être un bloc monolythique... elle n'est pas Une et ses multipleS fa~
cettes font que 1'être qui la cherche est en perpétuelle quête.
Ces dossiers proviennent en grande partie de journalistes dont M. Hugo
NHART, certains autres rn' ont été donnés par des chercheurs scientiftques,
d'autres encore sont extraits d'ouvrages de spiritualité. L'ensemble peut
donc paraître hétéroclite et je m'en excuse mais c'est là le principe même
d' un livre-dossier.
Si je livre ces documents à votre réflexion, ce n'est pas pour vous
convaincre que tout ce qu'ils contiennent est vrai. C'est pour que vous
ayez un aperçu de ce qui se passe actuellement sur notre Terre. La liberté
de pensée et d'opinion est pour moi la sauvegarde de toute Liberté avec
un grand L. Vous êtes bien sûr en droit de douter du contenu de ce livre.
Doutez jusqu'à ce que vous ayez vos propres certitudes et que vous soyez
vous-mêmes convaincus. Vous ne devez être assujettis à rien de ce qui est
dit ou écrit. "Le discernement ne sert pas à rejeter mais à comprendre pour
aider". Cela fait partie de votre Liberté mais alors, j 'émets le souhait que
votre esprit critique s'exerce jusqu'au bout et que vous puissiez mettre
aussi en doute ce qui nous est quotidiennement livré pour information.
Mon autre souhait est que vous puissiez vous donner les moyens de
chercher comme de véritables cherche~, sans a priori ni dans un sens ni
dans un autre, avec l'esprit libre de toute volonté de polémique ou de pou-
voir. C'est l'un des moyens d'éviter 1' ignorance qui entraîne tant de maux.
Peut-être aussi trouverez-vous ces éléments déprimants et propices à
faire "baisser les bras". Je sais pourtant qu'il y a toujours, au bout de
chaque épreuve, de chaque malversation, une lumière pour celui qui
accepte de transformer l'obstacle en tremplin. Tout est dans l'œil de celui
qui regarde. Savoir que la Vie jamais ne s'arrête et qu'il nous est demandé
de jouer au mieux le rôle qui nous est proposé pour un temps, peut nous
permettre d'avoir un autre regard, un regard d'altitude qui dédramatise les
événements et prend l'humour et l'amour comme ses meilleurs partenaires.
 Préface à la nouvelle édition

Aujourd'hui si je reviens sur le devant de la scène avec une nouvelle

édition du livre " tes Dossiers " c'est afin de refaire avec toi, lecteur, le
point de ce qui a pu se passer en nous et autour de nous durant tous ces
• • A. ,

mo1s vo1re meme ces annees.

Années, où pour la première fois et dans plusieurs pays les agissements du
gouvernement mondial ont été publiquement mises à la portée de tous.
. Nul ne peut ignorer la loi, nous dit-o~ de même ~ul ne peut ignorer la
façon dont certains êtres essaient d'asseoir un pouvoir qui ne concerne
qu'eux et pourtant, ... nous sommes nombreux à ignorer la loi et encore
plus sans doute à méconnaître, volontairement ou non, les actes posés par
ceux qui gouvernent nos dirigeants à qui nous avons donné notre pouvoir !
Lorsque j'écris " volontairement ",je pèse ce mot ... En effet, tous les
renseignements contenus dans des livres comme celui-ci sont de plus en
plus à la portée de tous mais comment lire le contenu qu'ils transmettent
sans changer une partie de sa vie, de ses actes, de ses choix? L'inconfort
de cette situation qui oblige en quelque sorte à faire des choix et ne peut
permettre de rester en attente ou comme le dit le bon sens populaire "
assis entre deux chaises " fait que, certaines personnes déjà fatiguées de
leur quotidien préfèrent ignorer ce qui se passe dans le monde ou délibé-
rément détruire ce qui pourrait contribuer à déranger leur confort du
moment.
Se réveiller d'un rêve ordinaire, cesser de rêver sa vie, se lever et
accepter de vivre ce pour quoi nous sommes tous venus, demande du

9
courage, de la persévérance, de la volonté et aussi de la Joie. La Joie de
participer par notre quotidien à l'avance de notre monde et de ceux qui
vivent dessus.
Ce n'est pas de grandes actions ou de grands sacri fi ces qui sont
demandés mais plutôt u ne prise de conscience et les actes qui en
découlent.
Tout a déjà été dit par les sages, les philosophes, les écrivains de
spiritualité ou de livres de croissance intérieure, Tout a déjà été proposé à
travers, des ateliers, des stages, des conférences . Nous avons pu voir,
entendre, expérimenter et pourtant '' quelque chose " ne s'est pas encore
éveillé à l'intérieur de nous. Ce" quelque chose" qui nous fera nous lever
non pas en serrant le poing mais en ouvrant la main, ce " quelque chose "
qui n'attendra plus que l'extérieur fasse à sa place mais qui saura ce qui
est juste, pour lui dans les mondes des mondes. Ce " quelque chose " qui
ne demande qu'à éclore mais qui n'est pas encore là.
Quel est-il demanderez·vous alors, sceptique ou bien curieux? Nul ne
pourra vous le dire car il vous appartient de le découvrir seul et si certains
vous font croire qu'ils savent ce qu'est ce" quelque chose " ne les croyez
pas. Votre route est unique et en même temps reliée à tout ce qui peut
avoir forme de vie sur Terre et ailleurs. Soyez simplement convaincus que
" ce que vous ferez au plus petit d'entre les miens, c'est à vous que vous
le faites ". Les lois Humaines sont interchangeables et éphémères, les Lois
Divines Sont et Seront au delà des mondes et au delà des Temps. Les
transgresser cela signifie se blesser encore et encore, tourner autour de
nous sans jamais trouver la porte ou le sas qui enfin nous ménera à " Soi ".
Et pendant ce temps de léthargie où nous nous posons encore la
question de savoir quel itinéraire choisir, les êtres du gouvernement de
l'ombre agissent vite ct fort et qui plus est, à visage découvert puisqu'il .
n' est plus besoin de se cacher.
Ils sont infiniment plus déterminés et mieux organisés que nous ne le
sommes, nous qui nous disons " spirituels " et qui cherchons un monde
plus juste.
Eux aussi sont en quête d ' un monde meilleur mais à chacun ses
critères. Dans leur monde il y a les vainqueurs et les vaincus, les maîtres
10
et les esclaves, l'argent et le pouvoir. Dans le nôtre, nous aimerions plus
de justice et de paix, d 'égalité et de fraternité faite de joie et de tendresse,
des richesses naturelles mieux partagées et une économie différente qui
loin d'asservir puisse libérer .. .
Mais et il y a un grand MAIS, ... même si nous savons comment faire,
nous nous contentons bien souvent de rêver à ce futur en espérant que
d'autres, nos enfants ou des personnes plus courageuses le concrétiseront.
Seulement voilà, il n'est plus temps d 'attendre le voisin ou l'enfant ou
l'être courageux qui "fera" à notre place. Le choix est imminent!
Le gouvernement de l' Ombre a fait son choix depuis longtemps et met
en application ce en quoi il croit . Aucune perturbation ne peut le
détourner de son but . Il connaît tous les grands principes et les lois de la
Vie qu'il utilise sans relâche à son profil Ces êtres ont le courage et la
· volonté d ' aller là où ils o nt décidé de se rendre et c ' est une de leur
principale Force.
Jamais ils ne baissent les bras devant 1'adversité et considèrent les
"échecs" comme des stimulants à leur avance. Avec perséverance, ils
apprennent, mettent en pratique tout ce qui peut être utile à leur but.
A divers niveaux, leurs objectifs sont : L'Argent. le Pouvoir et à un
niveau plus élevé, la domination de la planète Terre qui donnera ainsi un
réservoir d 'esclaves à ceux qui sont assoiffés de possession et pour qui la
Terre représente un moyen de v ie et surtout de Survie.
Il est cependant essentiel de savoir que les êtres humains qui font partie
du gouvernement mondial, sont loin d'être seuls dans ce processus
d'invasion physique et psychique de la planète Terre. Depuis des milliers
d ' années des êtres d 'autres planètes ont envahi et habité la planète bleue.
Depuis la première g uerre mondiale les " gris '' ont demandé de
pouvoir procéder à des expérimentations indispensables à leur survie
contre une technologie avancée. Les mouvements nazis ont été induits par
eux mais ce qu' ignorent la plupart des humains qui les aident et aspirent
au pouvoir c'est qu'un plan plus grandiose est entrain de se mettre en
place dont ils seront peu à peu exclus. En fin de compte, l'un des buts de
ces Etres qui ont dévitalisé leurs planètes est d'asservir un monde pour
leurs propres nécessités. Ne resteront donc " en piste " que quelques
Il
personnes utiles.
Il s'agit donc bien ici d 'une " Guerre des étoiles " mais pas dans le sens
o ù les médias la mentio nne. Si nous avons ouvert la porte par nos
comportements, nos énergies et nos torpe urs à des Etres qui nous
considèrent comme du bétail , à nous de renverser le scénario. Il n'est
aucunement ici question de combattre qui que ce soit. Le seul combat à
mener est tout à fait intérieur et encore s'agit-il réellemefit d 'un combat ?
A nous donc de transformer, de transmuter ces énergies de 1'ombre en.
redevenant enfin ces êtres lumineux que nous sommes.
La lumière ainsi émise est seule capable de transmuter l'ombre quelle
qu 'elle soit, en dehors de tout combat dérisoire ...
Dans ces nouveaux dossiers, j'aborde les mêmes domaines que
préccdemment et nous verrons ensemble " qu' en est-il aujourd'hui " et"
maintenant que faire ? "
Dans cette dernière rubrique en fin de chaque chapitre, je cite des
exemples de personnes qui agissent dans un sens lumineux ,qui apportent
à leur façon leur contribution à ce monde en changement qui n'a d'autre
opportunité que de changer avec ou sans nous.
" A chaqu~ fois que vous chuterez, sachez donc que vous en êtes
doublement responsables... Celui qui est apte à se hisser jusqu 'à une
certaine qualité de lumière commet un manquement plus important
lorsqu ïl sombre dans les désordres du coeur... " Nous soufflent les êtres
du Shambhalla de lumière, dans un éclat d'Amour.
Certains penseront peut-être que je suis devenue pessimiste ! Il n'en est
rien, et si je l'étais j'aurais depuis longtemps cessé d'écrire, de faire des
conférences ou des ateliers. Si avec Antoine Achram nous parcourons le
monde, c 'est aussi notre contribution pour cette Terre et ses habitants que
nous aimons car nous savons que tout est encore possibl ~.
Les Etres de l'ombre ne sont pas une assemblée mythique. Ils utilisent
le sexe, ta drogue et tout ce qui peut nous disloquer tels la jalousie, l'esprit
de domination ... Tous les jours nous les croisons, tous les jours aussi nous
leur donnons la main pour un peu de temps ou plus longtemps à chaque
fois qu' en nous l'ombre se réveille.
La putrefaction de notre monde est nécessaire à l' émergence d'un
12
monde nouveau. Nous ne pouvons bâtir sur de l'ancien aussi, ne dirigeons
ni colère ni haine vers ce qui se passe autour de nous. Nous sommes
attendus à un autre niveau.
"Savez-vous qu 'à chacune de vos pensées de paix, la vie d'un être est
sauvegardée, allégée sur terre ?
Savez-vous qu 'à chacune de vos angoisses. qu'à chacune de vos
manifestations d'égoïsme ou de colère un être meurt un peu plus vite et
souffre davantage ?
La Vie est le bien qui se préserve entre tous. Même la vie sur cette
Terre. Maîtrisez vos pensées comme vous êtes par.venus à maÎtriser la
violence physique qui vous a animés dans des temp.Y recu/és... Les
bavardages des personnalités doivent s'évanouir de: vos vies. "continuent
les êtres de la Lumière sans Ombre.
Notre haine, notre colère, notre désespoir nourrissent l'égrégore des
noirceurs de notre monde. Que 1'ombre soit en nous ct autour de nous est
sans importance, acceptons simplement de la voir et de ne plus lui tendre
la main, sans jugement autre que la décision de dire " maintenant çà
suffit''.
" Un égrégore de noirceur a des implications directes dans la matière
que vous co/oyez chaque jour. Nous ne parlons pas de ces esprits
élémentaires qui s 'en repaissent quotidiennement et qui vous donnent la
sensation de se heurter à la matière ou qui impriment en vous la not;on
d 'échec, de lassitude. Nous voulons vous parler des répercussions liées
directement à des micro-organismes .... La Non-Lumière peut prendre
corps d'elle-même. "(Souvenez-vous de l'origine des virus et des tiques
dont il est question dans le livTe Alliance)
Dans ces nouveaux dossiers tu verras, toi lecteur comment chaque
organe de ce gouvernement au-delà des gouvernements étend son action,
son pouvoir avec un savoir faire inégalé : ·
- Le Monde Diplomatique de Janvier 2002 titre " Adieu Libertés " de 1.
Ramonet
Aux USA après l'attentat du I l Novembre un " ouragan de mesures
liberticides ont été adoptées ... des procès secrets pourront sc tenir ... ct
l'unanimité ne sera pas nécessaire pour condamner l' accusé à mort .. . "
13
 - La consommation de drogue augmente dans des proportions inégalées
jusqu'à présent...
- La Banque mondiale privatise les droits d'accès à l'eau dans le tiers
monde ....ceux qui ne pourront pas payer mourront.
-Les Médias officiels falsifient l'information notamment dans tout ce
qui touche aux conflits.
-La Justice Américaine blanchit l'argent.
- La FMI loin d'aider les pays en difficulté les rend exsangue afin de
mieux les contrôler.
- Vatican, Cia et Mafia Liaisons. secrètes
-Le Père de l'Opus Dei vient tout juste d'être sanctifié par l'organisme
adéquat du Vatican. Mais aucun miracle n'est à son actif autre que celui
d'avoir créé 11 la Pieuvre 11
- Dans le Monde diplomatique de Février 2002, nous pouvons lire " ces
profiteurs du Sida"
- L'implant n'est plus à rétude expérimentale. Il est actif et utilisable.
Nous pouvons donc suivre à la trace tout individu suspect ou non
- Utilisation à la CNN de militaires spécialistes d' "opérations
psychi'lues".
- Nous sommes tous contrôlés à distance.
- Les Extra-terrestres ne peuvent plus être niés mais comment créer le
doute et la suspicion pour que la peur soit toujours au rendez-vous ?
Voici quelques titres des documents que vous allez lire dans cet
ouvrage.
Il y a aussi des êtres qui se lèvent et il y en a toujours eu mais cette fois
une mobilisation générale est indispensable.
Dans cet ouvrage mon but n•a pas été et ce, depuis le début de créer la
peur ou le désespoir, il n'est pas non plus dans mon intention de vous ren-
seigner avec précision sur chaque fait de ce "gouvernement Mondial".
D'autres le font et le feront bien mieux que moi.
Ce que je te demande à toi lecteur par dessus tout c'est de. ne pu
survoler les pages que tu vas lire. Prends le temps de lire et de
comprendre chacune d'elle, de lire chaque dossier, les anciens comme les
nouveaux, sans peur, sans découragement, de lire avec attention, ce que
14
d'autres ont eu le courage de faire, de lire aussi les enseignements qui
nous ont été donnés à travers les expériences que j'ai vécues et que je vis
encore. Les êtres de lumière avec lesquelles je suis en contact connaissent
parfaitement ces Hommes de l'Ombre, leurs agissements et leurs buts,
aussi sont-ils les mieux placés pour nous proposer des solutions, des
réformes intérieures totales.
Je te demande à toi lecteur de ne pas juger, de ne pas condamner mais
simplement de jouer ton rôle au mieux, c'est-à dire de lire vraiment.
Combien de lecteurs m'écrivent après la lecture d'un livre pour me poser
des questions dont la réponse est écrite noir sur blanc dans les pages.
Ne perdons plus de temps. Ne tournons plus en rond et cessons de
demander à l'autre de nous aider ou de faire à notre place.
" Vos capacités sont immense et votre coeur peut tout mener à bien,
... mais passez donc le portail de vos émotions. "nous enseignent les êtres
qui aident la planète Terre.
Après cette lecture si tu le ressens, regarde les pages de bibliographie
en fin de cet ouvrage. Ces ouvrages sont tous porteurs d'un message : Les
uns sont des enseignements pour nous lever dans notre quotidien. d'autres
donnent des modèles d'espoir, certains font connaître les agissements du
gouvernement mondial.
" Il est beaucoup demandé à ceux qui peuvent donner beaucoup...Nul
ne peut plus, surtout lorsqu 'il a beaucoup reçu, s'économiser ou rester
par trop spectateur du Grand Acte.... On se construit aussi et sans doute
avant tout sur le terrain de l'Amour des autres.C'est le terrain où l'on
apprend d'abord à connaître un peu mieux tes·mots que l'on utilise et les
émotions que J'on suscite. C'est le terrain où 1 'on oublie aussi son
orgueil, sa fierté pour redécouvrir sa propre noblesse et celle d'autrui. "
continuent-ils.
Après avoir fait ton choix, prie ou médite peu importe mais ensuite agit
selon ton cœur et ne perd plus le but quoi qu'il advienne.
"Les forces de l'Anti-shambhalla ...s 'enracinent dans votre volonté de
ne pas unifier puis engraissent par le plaisir que vous prenez à classer
chaque élément de la vie derrière des rubriques bien cloisonnées. Elles
sont enfin forces de récupération de la moindre des potentialités. c'est-à
15
dire, habiles dissimulatrices, capables d'emprunter le vocabulaire de la
lumière ...
C'est parce que vous avez répondu "présents " à l'Ombre depuis des
millions d 'années jusque dans les actes les plus insignifiants de vos vies,
parce que les reflexes de cette ombre se sont imprimés en vous que vous
seuls êtes capables de faire jaillir de vos cœurs 1'·antidote exact .au poison.
L 'antidoteau soi-disant démon extérieur. fourchu et cornu s'adresse en
jàit au démon intérieur de chacun.
Les premiers pas que vous pouvez accomplir vers lui sont dans la façon
dont on pousse le balai chaque matin, dans la manière dont on saisit le
volant de son véhicule, dans le sourire gratuit que l'on peut offr ir au
milieu d'une foule qui attend
L'itinéraire de la Lumière est simple, voyez-vous ; le contre-poison que
vous cherchez passe par ces " insignifiances "plus que par les grandes
théories que vous souhaitez souvent mettre en pratique et qui absorbent
parfois 1'énergie de toute une vie.
Les Forces de lumière noire vous comptent parmi leurs rangs à chaque
fois que vous maudissez votre existence et celle d'autrui. Elles engraissent
par les regards de tristesse, d 'impuissance et de peurs. Vous les fabriquez,
cellule après cellule, par les résistances souvent si futiles dont vous con-
strnisez les jours de votre vie. "
..Par l'Esprit du Soleil"
Alors cessons une ·bonne fois pour toutes de nous considérer comme
des victimes, de nous lamenter et de trembler devant un éventuel
bourreau. Ce qui nous est demandé à l'heure actuelle, ce n'est pas de nous
faire des muscles physiques uniquement mais aussi et surtout des muscles
faits de volonté, d'espoir, de joie, de persévérance et de confiance dans ce
que la vie nous propose. Je sais que cet entraînement est difficile. C'est
l'entraînement des " JEDI "de l'Amour.
" Tout doit se résoudre dans la Joie qui devrait prendre possession de
vous en tant qu'acteurs du réseau de paix qui émerge aujourd'hui. Voyez
simple... cette simplicité sera une clé qui dans la confusion grandissante
du monde à laquelle il faut vous attendre. "
Vous tous qui en avez assez, de passer d'un enseignant à un autre,
16
d 'une lecture à une autre, d'un stage à un autre, dîtes-vous qu'il n'y a
personne qui vous donnera la Force qui est en vous et que vous devez
aujourd 'hui réveiller.
Il est facile pendant un stage de méditer, de pratiquer et après que fait-
on dans le quotidien ?
Nous trouvons le temps de manger, de discourir ou de nous laver tes
dents mais où ct quand trouvons-nous le temps d'aimer, de sourire, de
penser ct d'offrir son cœur à celui qui est mal,?
Nous trouvons le temps de faire des exercices physiques mais quand
vient le moment de méditer, de clarifier sa pensée puis de la poser en
parole ou en acte alors le temps nous manque.
Nous allons au ciné ma, au restaurant mais que d'excuses et
d'impossibilités sont nôtres lorsqu' il s'agit d'entraîner sa pensée comme
un instrument de paix.
Pour acquérir de la transparence et de l'efficacité, cela demande un
apprentissage.
Lorsque nous dison·s à nos élèves de " respirer le prâna " il s'agit là de
bien plus qu ' une technique mais combien la pratiqueront par la suite;· rie
serait-ce que quelques minutes par jour?
On se pl a int que la Terre soit malade . . . il y a de très efficaces
méditations pour nettoyer son aura. Ce n'est ni long ni complexe et
pourtant combien prennent réellement le temps des quelques minutes à y
consacrer?
Ces exemples ne sont que parmi bien d'autres mais prenez quelques
instants de silence pour aller au fond de vous, sans vous trouver d'excuses
et sans vous mentir. Demandez-vous. est-ce que j e prends réellement Wle
parcelle de mon temps chaque jour pour envoyer de l'amour ? est-ce que
dans ma journée mes paroles et mes actes contribuent au mieux être de la
planète ou est-ce moi que je protège et que je défend en permanence ?
Tout est encore possibl~ et si je m'adresse à vous en ces termes c·est
auss i parce que je sais qu'en chacun il est une force de lumière
incommensurable et que cette seule force est apte à tout changer, à tout
transformer. ·
17
 " Centrez-vous. Et qu'est-ce que cela signifie se centrer ? Et bien
savoir tout simplement ce que l'on veut et la façon dont on le veut. Nous
ne vous demandon.'l pas de sacrifier votre vie personnelle pour une cause,
pour la cause, la belle cause de la Lumière, comme certains d'entre vous
diraient... i/ ne s'agit pas de sacrifices. Ils 'agit simplement de savoir
quelle part vous voulez laisser en vous mêmes à cette Lumière, justement
pour qu'elle soit autre chose qu'un mot, qu'un concept philosophique
qu'on se plait à évoquer et qui tranquillise. JI s'agit de savoir par quel
biais vous incarnez la Force qui vous a été remise, confiée... vous ne
Introduction
travaillez réellement pas pour autre chose que pour vous mêmes et vos
semblables. "
Certains lecteurs me disaient " Que faire lorsque l'on a reçu une « Quand 1'ordre établi vous commande de faire
vaccination de masse ct que peut-être un implant de cristaux liquide se ce que la morale réprouve, ilfaut savoir dire non. >>
trouve dans notre corps. ? '' Elie de St Marc
Et bien même s'il en est ainsi, je peux vous affirmer que 'si votre état
vibratoire est au-delà d'une niveau moyen, c'est à dire si vous avez une
prise de conscience qui vous pennet d'agir en dehors de ce qui crée les
mouvements de masse, votre implant ne pourra jamais être activé. C'était un jour ou plutôt. .. un soir, un de ces soirs apparemment banals
Pour cela, soyez au-delà des énergies psychiques qui parcourent la où rien ne semble pouvoir arriver d'autre que ce que l'on connaît déjà. Un
planète et à cette fin, il n'y a qu'une solution: la conscience d'Amour. soir comme ceux que je connais peu, ni froid, ni chaud, incolore. inodore,
Il en est de même pour tout et la peur n'est plus de saison. Elle seule est un soir qui ne sait pas ce qu'il veut, semblable en cela à une multitude
à même de baisser votre niveau vibratoire mais lorsque 1' on sait d'humains qui veulent sans vouloir, qui aiment sans aimer, qui ont mal et
font mal sans même savoir pourquoi.
qu'Amour et peur ne peuvent coexister longtemps, je vous propose
Ce soir donc, à l'époque où Daniel et moi-même étions en pleine
simplement de choisir
écriture de "Celui qui vient", un appel hors de nos corps de chair se fit
Je ne sais ce que vous choisirez de faire après cette lecture mais pour
sentir, pesant, lancinant, impératif; or il n'avait rien de commun avec ce
ma part j'ai une infinie confiance que ce qui doit être Sera et que la que nous connaissions de nos guides habituels. Non. cette fois. l'appel
planète Terre regagnera la place qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'avoir ressemblait plus à une convocation, à un ordre.
dans la grande ronde de notre système solaire... Quant à son Humanité là Certes, nous n'étions pas "obligés" de nous rendre à cette demande
aussi j'ai confiance car nous ne sommes pas seuls même si le chemin et mais, mus par une certaine curiosité, un besoin de savoir, de comprendre,
les choix nous appartiennent. nous sortîmes de nos enveloppes de chair. C'est alors que nous avons eu
La Liberté que je revendique ici ne tient pas à des lois, ni aux humains, LA Rencontre et qu'un spectacle étrange s'offrit aux yeux de mon âme sur
elle se place à un niveau où au-delà des masques et des ombres brille une un plan très proche du plan terrestre. Un spectacle que je ne puis oublier
lumière sans nom enfouie très profondément en nous, aux confins d'un car il a fait depuis basculer ma vie d'une curieuse manière.
univers intérieur qui pourtant n'a pas de limite. Imaginez une sorte de tribunal sans décor, sans chaleur. une estrade
avec trois chaises sur lesquelles sont assis trois hommes. une chaise

18
19
placée face à eux. Daniel y prend place ... je suis sur le côté, je regarde.
Ces trois hommes, je les connais, nous les connaissons, nou~ les avons vus
signer des décrets, prendre des décisions mortelles, agir en secret ... nous
allons parler d'eux dans les derniers chapitres de "Celui qui vient". Je les
regarde attentivement et les flammèches qui se dégagent d'eux ne nous sont
aucunement bénéfiques. Elles ont les couleurs de la colère et d'une féroce
détermination. Je sais dès ce moment qu'ils ne nous laisseront plus jamais
en paix ... Je sais ce qu'ils ne veulent pas ... ils ne veulent pas de nous !
Ils s'adressent alors à Daniel pour lui demander de cesser d'écrire,
Dan iel se balance sur sa chaise, l'air moqueur et sans concession. Ce à
quoi ils rétorqueront ces mots sybillins :
«C'est ce que nous verrons ! »
Ils se sont adressés à Daniel, non à moi et je n'en comprendrai que bien
plus tard la raison. Nous ne sommes, cela est évident, pas les seuls à ecrire
sur le sujet que je vais aborder dans cet ouvrage, nous sommes même
moins précis que nombre d'auteurs dont le travail spécifique est de dénon-
cer les agissements du "GOUVERNEMENT MONDIAL", (ce gouvernement
secret, caché mais puissant qui "tire les ficelles" de nos gouvernements
officiels) ... alors, pourquoi écrire encore sur ce sujet ? Est-ce par désir de
combattre une énergie que nous redoutons ? Est-ce parce que le thème est
à la mode et nous fait frissonner comme pour un mauvais film de science-
fiction?
Rien de tout cela ne m'habite à l'heure où j'écris ces mots sur le papier.
Je ne sais de quoi demain sem fait car je ne sais jusqu'où ira ma détermi-
nation mais je n'ai pas peur de perdre, d'autres gagneront après moi. en~
core et encore. 11 me reste si peu, qu'en creusant au plus profond de moi. je
sais seulement ce que je ne veux pas ... Je refuse l'ignorance. L'ignorance est
une maladie de l'âme, insidieuse et perverse, elle coule en nous les prémices
de nos lavages de cerveau, de nos faiblesses, de nos lâchetés involontaires.
Je ne fais ici le procès de personne, je ne rentre en guerre contre per-
sonne mais l'enjeu qui se joue sur la terre est aujourd'hui capital ct par
quelques exemples précis. dans des domaines choisis, je souhaite que le
lecteur de ce livre-dossier puisse prendre conscience d'une certaine mani-
pulation dont il est l'objet, involontaire bien souvent.
Le véritable travail est toujours intérieur. Lorsque nous serons de plus
en plus conscients que nos goûts, nos choix, nos pensées, nos actions sont
dirigés par d'autres que nous, par ceux que nous acceptons commt: diri-
20
g~nts de nos vies, de nos Etats, de nos Pays, alors peut-être que dans un
ult1me sursaut vers la Vie, nous chercherons à retrouver notre "souverai-
neté". A':'ec une conscience plus vaste, nous acquerrons peu à peu une
~utonom_te, celle de pouvoir dire OUI, de savoir dire NON, afin que ce
libre-arbitre que nous revendiquons tous ne soit pas un vain mot Choisir
c'est reconnaître que nous ne saurons jamais tout mais qu'au moins nou~
prenons conscience que cc qui nous est dit n'est pas toujours la vérité
n'est pas souvent la vérité. '
~orsque nous saurons lire un journal en sachant que tour n'y est pas
vra1, lorsque nous pourrons écouter la radio, regarder la télévision en
faisant le tri entre les nouvelles objectives et les subjectives qui tentent de
nous faire penser et agir comme certains le souhaitent si intensément
alors et alors seulement nous aurons suffisamment grandi pour être de~
h~~~es et des femmes sans béquilles et sans peur et, à cet instant précis,
telev1seurs et revues cesseront de nous offrir leurs spectacles fabriqués !
Il est des moments dans la vie où il faut faire des choix. Les motiva-
tions sont ce qu'e lles sont et ces choix sont ce qu'ils sont. Ces motivations
so~t multiples mais nous ne pouvons continuer à fermer les yeux. . . par
cramte de devoir agir, de devoir choisir et peut-être de perdre.
_La p~ur de perdre, le voilà, 1: grand mot, l'un des grands maux qui
hab1tent 1homme de la Terre et lu1 font accepter n'importe quoi au risque
de perdre
. réellement sa dignité d'être humain. Nous sommes tous, sans ex-
ceptlon aucune, habités un jour ou l'autre par des peurs. Celles-ci, comme
les tentacules d'une pieuvre géante, envahissent tout, nos plans physiques,
affectifs, mentaux et spirituels. Elles sont là, sous des formes larvées, ca-
chées, déguisées. Elles nous font croire que "l'impossible" et "le hasard"
existent ... elles nous persuadent même que s i nous perdons notre travail, ta
personne aimée, notre confort, nos amis, notre santé, notre ascendant s ur
autru~ notre crédibilité, nous ne serons plus rien. Elles nous font oublier la
d~fTérence entre l'être et l'avoir, elles nous conduisent à croire que notre
vte est p lus précieuse que nos idéaux, que notre pouvoir d'achat est plus
grand que nos pensées. Elles nous incitent à accepter l'inacceptable et à
penser que rèver notre vie est plus confortable que vivre nos rêves. Elles
nous portent à prendre nos pulsions pour des réalités et nous entraînent
vers l'oubli de l'essentiel au risque de nous perdre.
Ce n'est pourtant pas là un appel au combat ni la mise en évidence
d'un~ dualité tàite de blanc ct de noir. Il serait trop simple de penser que s'il
21
existe aujourd'hui un "gouvernement mondial" nous n'y sommes pour rien.
Nous en sommes tous responsables ct nous y avons collaboré à notre
façon car l'humanité a oublié sa dignité !
Dans "Celui qui vient" l'un de nos instructeurs, à ce sujet, s'adresse à
nous en ces tennes : « Tant qu'une partie de vous demeure en servage, il y
aura une place sur cette Terre pour une organisation telle que vous la
voyez ici. Ces hommes sont la résultante de vos faiblesses et de vos obs-
curités. ils puisent leurs forces dans votre incapacité à percevoir la trame
de ce qui se passe sur un plan mondial en raison de la paresse el de /'in-
fantilisme du fonctionnement de la pensée individuelle. »
Peut-être est-il maintenant essentiel de prendre de l'altitude. Si ce "gou-
vernement mondial" s'est mis en place depuis si longtemps et si aujour-
d'hui il en est à une phase o uverte de son développement, c'est parce
qu'une partie de nous l'a voulu ainsi. "Prendre de l'altitude" ne veut pas
dire" se battre" ni "juger", mais connaître afin de ne pl us dire OU I à
l'inacceptable, afin de ne plus tendre la main à ce que l'on refuse au plus
profond de soi.
Savoir, c'est expérimenter la confiance, non la confiance aveugle mais
celle qui n'ignore pas ce qui se passe, celle qui, consciente des possibles
manipulations, accepte de jouer le jeu avec ses propres cartes et non avec
des cartes truquées.
A travers les divers articles et documents mis à notre disposition nous
allons essayer de comprendre comment des êtres peuvent mode ler le
pouvoir en place, comment ils influencent les esprits par des moyens très
technologiques, de quelle façon ils favorisent les confl its entre ethnies au
sein d'un même pays ou les guerres entre pays. Comprendre ne signifie
pas "excuser" mais n'est-il pas essentiel de savoir préserver le Bien qui nous
est acquis et qui a pour nom "liberté". Celle dont je parle tient plus de la
liberté de penser et donc d'agir en conséquence, que d'une liberté physique.
Même derrière des barreaux, l'Homme qui peut penser sait aussi qu'il peut
agir. Je correspond actuellement avec deux êtres, l'un en Inde, l'autre en
France. Ils sont en prison depuis des années. L'un depuis bientôt deux ans.
l'autre depuis sept ans environ mais à travers leurs pensées, leurs lettres,
l'impact qu'ils ont sur ceux qui les approchent, ils sont plus actifs qu'une
bonne partie d'entre nous. Conscients de cela, les êtres de pouvoir ne
cherchent pas simplement à supprimer une liberté physique, ils savent
créer des épidémies, nous faire douter les uns des autres, instaurer de
22
nouveaux cultes et mettre les anciens à leur service ...
Nous, nous n'avons rien de pareil à notre disposition ct pourtant. .. sans
nous, sans notre collaboration, sans notre passivité, ce "gouvernement" ne
peut exister. Sans nous, ils ne sont plus que des ballons gonflés d'air, sans
aucun pouvoir.
Dans les chapitres qui suivent nous reprendrons un à un, à titre d'exem-
ple, les éléments majeurs dont se sert cette "société dans la société" pour
fonctionner car, souvenons-nous en, même J'ombre est au service de la
lun:tière et rien ne peut se fa ire sans notre accord (même tacite). Comme il
est dit dans l'ouvrage "Les Messagers de l'Aube" :
« JI y a une certaine complaisance SUl' terre. La conscience de cette
planète est caractérisée par une attitude se résumant à ceci : faiJes-le à
ma place. Je ne tiens pas à assumer quelque responsabilité que ce soit.
Vous allez être mon fonctionnaire. mon patron, mon professeur et vous
déciderez à ma p lace. »
Ernest Hemingway a écrit un jour : « Le monde est un endroit bien et
vaut la peine d'être défendu. »
Défendre n'es t pas le mot que je choisirai ici, mais, préserver, sans
aucun doute et mieux connaitre de toute façon. Comme chacun d'entre
nous, le Monde porte en lui les racines du Bien et du Mal mais, surtout
sans nulle hésitation, il porte aussi au-delà de cene dualité le nom d'Amour
avec un grand A . Si je dénonce ici la façon dont les inventions, les lois,
les décrets peuvent être détournés au profit de quelques-uns, ce n'est certes
pas pour créer plus de dualité encore ou d'animosité mais pour démonter
les rouages grossiers ou subtils d'une machine et d'une machination que
nous pouvons et devons cesser d'alimenter.
Aujourd'hui et par expérience vécue, j e sais que l'idée vient avant l'acte
et que si l'on veut agir sa vie, il fau t avant tout la penser. .. mais, pour
penser "juste'', il est indispensable de connaître. La pensée nous conduit là
où nous en sommes et transformera notre vie comme elle l'a toujours fait,
ainsi que celle de la planète-terre. A nous donc de jouer juste !
23
 -1-

Le Gouvernement Mondial

«Tous les dictateurs et tous les tortionnaires du monde

vivront en vous et par vous tant que vous n'aurez pas
intégré l'essence du mot" liberté". »
Celui qui vient

Je suis là, assise panni une multitude de dossiers, les uns rn' ont été
remis en mains propres à l'étranger, d'autres m'ont été envoyés, certains
viennent de France ... et je ne sais par où commencer. J'ai tout à coup une
immense impression de solitude plus intérieure encore qu'extérieure.
Solitude face au choix que je vais devoir opérer panni tous ces renseigne-
ments, solitude face à la façon dont je vais devoir les transmettre. Je n'ai
pas pour habitude de traiter ce type de sujet même si cela m 'intéresse au
plus haut point; je n'aime pas le ton polémique de quelques-uns de ces
documents mais leur intérêt compense largement cet aspect. Les Etres de
Lumière avec lesquels je travaille jusqu'à présent m'ont confié cette tâche
mais bien que je sente régulièrement leur présence je n'ai aucun doute sur
un fait : Ils ne feront jamais le "travail" à ma piace.
Je m'interroge : «Comment aborder un tel sujet sans créer de peur ?
Comment montrer des documents sans induire de dualité ? »
Alors peu à peu la réponse s'insinue en moi comme une onde de paix.

24
25

C'est toi, lecteur, qui fera le choix de la peur ou de l'Amour, de la mort ou
de ta Vie. Je vais livrer certains documents exclusifs tels que je les ai
reçus. 1l me faudra bien sûr élaguer, choisir, mais de ton regard va dé-
pendre la suite ... et de toute mon âme, j'espère que cette suite sera ta
volonté de rejoindre le "Grand Courant de Vie".
Quel est donc ce "Gouvernement Mondial" ? Par quels moyens agit-il ?
Que pouvons-nous faire ?
Je suis consciente que toutes ces questions commencent à trouver leurs
réponses à travers d'excellents ouvrages que je citerai à la fin de ce dossier.
Pourtant, si je tiens à y apporter ma pierre c'est aussi que notre moyen ··
d'investigation, le voyage astral, est tout à fait privilégié et confirme ce
que d'autres disent déjà. Les définitions tendant à permettre de mieux
cerner ce "gouvernement" sont nombreuses. En voici quelques-unes dont
la plupart sont tirées de nos ouvrages. donc de nos contacts avec les Etres
de lumière qui nous ont servi de guides jusqu 'à présent.
''L 'aspect incarné des énergies de l'ombre n'est pas du domaine du
mythe", nous dirent-ils un jour en nous fai sant comprendre combien il est
tàcile d'augmenter la puissance d'un mouvement, d'une personne ou d'une
idée en lui donnant plus d'importance que nécessaire, et pourtant.. . nous
ne pouvons plus fermer les yeux car ignorer les forces qui sc jouent de
notre ignorance, nier les ombres qui grandissent chaque jour sur notre
planète, c'est refuser d'emblée l'action qui construit et anime toute entité
avançant sur la route de la Vic.
Les paroles de 1' Etre de lumière rencontré en Syrie et retransmises
dans notre livre "Par l'Esprit du Soleil" sont éloquentes à ce sujet et en
ce qui conccm~ L'ORIGINE DE CE "GOUVERNEMENT" :
(< Il y a, depuis furt longtr!mps sur l'VIre monde. un peuple d'êtres dont
l'ego est comparable à un h/oc de pierre non encore dégrossi. Ces êtres
som non seulement semhlables à mus tous mais aussi viwnr un peu en
vous tous de par la puissance de leur psychisme. Ils sont issus des cm~{lns.
de I'O/re univers. et la déstahi/isarion de leur sphère de 1·ie les a contraints
à s'incarner sous d'autres cieux pour pm:fi:Jire leur évolution.
26
« Ces hommes sont un test pour l'ensemble de votre humanité... sans
même le savoir. ils obligent votre cœur à la réaction, à la tension ou à la
floraison complète. Voilà pourquoi mon Père a p ermis leur implantation
sur cette planète, pour que toute maturation s'accomplisse, pour que le
libre arbitre enfin en soit le fantastique agent.
(( L'ombre se base aussi et surtout sur le peu de résistance physique et
émotionnelle d'un grand nombre d'êtres en résonance avec ce que l'on
pourrait appeler ''une certaine longueur d'onde".
«L'obscurité, la souffr ance sont donc des résultantes issues de deux
forces qui se confondent en une à la surface et jusque dans les
profondeurs de votre monde. L'une est de nature bien incarnée et agit
sous la forme d'une organisation puissante aux immenses ramifications
dans les milieux politiques, scientifiques, économiques et même religieux,
l'autre est d'origine plus subtile mais non moins efficace ; elle provient de
chacun de vous dont les pulsions nocives vont à tout instant grossir un
sombre réservoir énergétique. >>
Quelques années plus tard, notre contact avec le moine Cambodgien de
"Celui qui vient" nous a permis de mieux comprendre encore LES
ACTIONS DE CE "GOUVERNEMENT MONDIAL":
« Vous venez d'avoir un aperçu de la maladie qui frappe actuellement
l'humanité, reprend aussitôt l'un des trois Etres blonds. C'est une sorte
d'infection savamment préparée puis entretenue. Elle a été semée sur un
terrain fragile, réceptif et malléable, celui de la conscience humaine
endormie. piégée dans ses propres théories. Voilà pourquoi elle s'est si
bien étendue ; parc e qu'elle est a ccueillie à force de faiblesse et
d'aveuglement.
<< Par qui les germes sont-ils entretenus aujourd'hui ? Par un très petit
nombre d'êtres qui se sont regroupés sous la forme d'environ trois cents
Organisations ou '1amilles". Ces dernières se situent très au-delà des
Gouvernements officiels.
« Vous ne devez p as ignorer plus longtemps que leurs rouages sont
basés sur Je contrôle de la génétique et de tout le secteur de la recherche
m édicale. sur la maitrise de la circulation de toutes les drogues, concrètes
27
ou abstraites, de toutes les onnes et évidemment sur la possession de la
"Banque mondiale''.
« Declarons-le donc sans hésitation, il existe une conspiration
mondiale qui, depuis cinq ou six de vos décennies, orchestre
méticuleusement la déchéance de l'humanité terrestre. Dans quel but ?
Nous y reviendrons.
"fis ne représentent aucun Etat. Ils sont derrière les Etats, derrière
les gouvernants qui font la "une" des médias. Ce sont ces hommes, el
d'autres encore, qui imposent des dictateurs en tel point du globe ou qui
font élire un président en tel autre point. Un certain nombre de vos
dirigeants eux-mêmes en sont les dupes en ne mesurant pas l'étendue de
leur capacité décisionnelle. Ces hommes sont en quelque sorte 1~
matérialisation du ... subconscient de l'humanité terrestre. Ils ont
cependant une conception de l'avenir terrestre qui dépasse l'entendement
de /"'homme ordinaire". Celle conception se base sur la manipulation et
l'asservissement de l'individu.
"Par exemple ? "
" ... L'Organisation mondiale de la Santé, les Nations Unies, le Club de
Rome, l'Institut Tavistock des relations humaines, la CfA ... >>
Sur les pages correspondant au dossier de ce chapitre, vous trouverez à
titre indicatif deux tableaux éloquents tirés de l'excellent ouvrage des
"Sociétés Secrètesu sur la mainmise de quelques-unes de ces organisa-
tions à des postes clés.
Les causes de la présence du gouvernement mondial sont multiples,
his toriques et interplanétaires. Il y a l'histoire révélée et celle que l'on
nous cache. Il y a les loges secrètes et le reste. Elles ont dans leurs mains
d 'énormes pouvoirs, des technologies beaucoup plus avancées que ce que
nous pouvons imaginer mais n'ont aucun intérêt à nous les faire partager,
de façon à garder un ascendant sur ceux qu'elles veulent dominer.
Les "Illuminati" sont de celles-là.
Leurs agissements sur terre remontent à 3000 siècles av. J.-C. quand ils
infiltrèrent "la Fraternité du serpent" en Mésopotamie et s'en servirent à
des fins qui n'étaient guère positives.
28
Le fonctionnement des ''llluminati" comme de tout être avide de pouvoir
se présente comme suit;
• Provoquer des conflits
• Ne pas s'en montrer l'instigateur
• Soutenir financièrement tous les partis en conflit
• Se faire passer pour le bienfaiteur qui peut mettre fin aux conflits.
Ainsi, les hommes en arriveront à implorer un gouvernement mondial
dont l' instance bienveiHante sem I'O.N.U.
Ils font partie des êtres les plus riches du monde ct contrôlent les mé-
dias sans jamais y apparaître. Leur réussite réside dans l' ignorance qu'ils
entretiennent chez les hommes.
Dans l'une de ses conférences, le Dr Guilaine Lanctôt donne un exem-
ple des plus évocateurs : à Haïti le vote populaire désigne Aristide comme
gouverneur. Pendant huit mois, celui-ci est au pouvoir puis la junte mili-
taire le renverse ; mais qui finance ces militaires ? : les financiers mondiaux !
Le coup d'Etat crée la terreur dans la population qui anend des sauveteurs.
Ce sauveteur sera l'armée américaine et, à la té lévision. on annoncera
sans sourciller : "invasion pacjfique" ... le terme lui-même est une aberra-
tion mais personne ne le relèvera. L'armée américaine laisse sur place
l'année personnelle des financiers mondiaux : l'O.N.U. Le monde entier
est soulagé et les haïtiens remercient !
Un autre fait mérite d'attirer notre attention: Que penser de nos gou-
vernements qui peu à peu refusent tout ce qui tavorise l'expression per-
sonnelle, notamment l'identité ethnique ... Pour ne citer en France que la
Corse et la Bretagne qui, en dehors de faits plus politiques, souhaitent pré-
server une culture riche et qui leur est propre.
Dans cet ordre d'idée, pourquoi incite-t-on à mettre les enfants de plus
en plus tôt à l'école ? Pourquoi les retirer aux parents dès leur plus jeune
âge et les former d'une certaine façon ? bans un pays du Moyen-Orient,
nous avons assisté à de curieuses scènes où les enfants très petits, en rangs
serrés, répétaient avec enthousiasme des phrases qu'ils ne comprenaient
pas encore mais qui s'inscrivaient en eux pour longte mps ... Certains
documentaires émettent l'idée qu' i 1 s'agit là de deux des moyens uti 1isés
par les hommes du "gouvernement secret" pour réduire peu à peu notre
autonomie. Je les soumets à votre réflexion !
29
 Deux expériences vé<:ues lors de voyages, l'une en Syrie, l'autre au
Zaïre ont été pour moi révélatrices et je souhaite vous les faire partager
ici. Il y a quelques années, nous étions avec Daniel en Syrie pour une
quinzaine de jours. A l'époque notre visa ne pouvait être plus long. Nous
vivions ce qui allait nous permettre d'écrire "Par l'Esprit du Soleil" et
étions tous deux très attentifs à ce qui se déroulait autour de nous. Nous
mangions ce soir-là dans le restaurant d' une petite ville et une vieille
femme s'approcha de nous pour réclamer quelques sous. Habitués aux
pays pauvres nous n'étions pas étonnés... mais les serveurs la chassèrent
,aussitôt. Ils s'excusèrent auprès de nous et cela nous sembla tout à fait
inhabituel. Puis ils nous expliquèrent qu'en Syrie, "il n'y avait pas de
mendiants ... parce qu' ils étaient tous dans des centres!"
Cette année nous étions les invités d'un congrès de spiritualité se
déroulant au Zaïre, à Kinshasa. Après les journées de conférences, les
conférenciers furent invités dans une réserve proche du Rwanda. Nous
ignorions à ce moment-là que nous allions avoir à traverser les "camps de
réfugiés". Nous étiqns accompagnés par des amis Zaïrois très au fait des
évènements politiques car autrefois placés à des postes clés du pays. la
traversée des camps de réfugiés fut éprouvante pour tous. Voir une popu-
lation aussi nombreuse ou presque que celle de Paris, donnant dans des
conditions épouvantables sous des bâches plastiques ne pouvait nous laisser
en paix. Les camps étaient gardés par des militaires armés de façon im-
pressionnante. Les Hutus réfugiés là avaient beaucoup tué et pouvaient
s'avérer dangereux ... mais le coup de grâce nous fut donné lorsque nous
apprîmes que les problèmes du Rwanda avaient été prévus six mois avant
qu'ils ne se déclenchassent et sans doute il y a beaucoup plus longtemps.
Par un curieux "hasard" un article à ce sujet parut peu de temps après.
Dans les ouvrages intitulés "les Messagers de l'Aube" et "les Sociétés
Secrètes" vous trouverez une documentation tout à fait étonnante au sujet
de ces manipulations diverses.
Nous ne pouvons nier les nombreuses causes qui ont permis l'instal-
lation et le développement du gouvernement mondial mais il en est une si
proche de nous que nous ne la percevons plus.
Tout ce dont vous entendrez parler dans cet ouvrage existe, se perpétue
30
et s'amplifie par et pour la seule raison du "Moi-je", cc "Moi-je" qui veut
la guerre en l'homme, qui a soif de montrer qu'il existe et qui veut pro-
clamer qu'il est le premier de tous. Ce "Moi-je" dévoreur de chair et d'âme
le grand complicateur, le chercheur de prétextes, d'excuses, d'arguments:
celui qui nous pousse à être vénéré, admiré, respecté, obéi pour gonfler les
muscles de l'ego, de notre ego.
Abraham Lincoln a dit en substance : « Vous pouvez tromper quelques
personnes tout le temps el tromper 10111 le monde quelque temps, mais,
vous ne pouvez tromper tout le monde loulle temps. » A plus forte raison,
nous ne pouvons nous tromper "nous-mêmes" tout le temps.
Lorsque nous achetons le dernier gadget à la mode, la dernière télé,
chaîne hi-fi ou voiture, lorsque nous agrandissons notre maison indéfi-
niment, lorsque nous recherchons des terrains de plus en plus vastes. lors-
que nous voulons montrer que nous soignons mieux, que nous vivons mieux
que notre voisin, nous ressemblons à tous ces conquérants, à tous ces dicta-
teurs qui s'approprient tel pays, te l territoire et dont nous réprouvons les actes.
En nous travaille alors Je "mental intellect", celui qui "pinaille", "veut
réussir", "complique tout". Celui qui fait de nous un être intelligent de
notre époque mais si peu intell igent sur une octave plus vaste. Pourtant, si
pour nous tous ici, Paix et Sérénité ne sont pas de vai ns mots, en nous
dépouillant du "mental-intellect", nous toucherons la robe du "men tal-
lumière" et nous nous poserons alors cette question primordiale:
"Qu'est-ce qui est essentiel?"
En répondant à cette question, nous répondrons à l'une des causes du gou-
vernement mondial sur Terre et à notre volonté de ne plus lui tendre la main.
Les êtres qui composent ce gouvernement possèdent depuis l'aube des
temps des moyens d'action hors du commun. En voici un aperçu succinct
avant de les développer, documents à l'appui :
-La mafia : répandue de par le monde. elle tient pour cc gouvemcmcnt
les domaines de la drogue, du jeu ct du sexe.
- Les finances de la Banque Mondiale : C'est elle: qui décide de la
fluctuation des cours de toutes les monnaies, des variations boursières et
des différents moyens de contrôle de l'économie mondiale.
- Les laboratoires de recherches : avec des chercheurs de pointe qui
31
 n'appartiennent à a ucun gouvernement particulier ct dont nous sommes
très loin d 'imaginer les découvertes et la technologie.
- L' Opus Déi, parfois appelé "Octopus Déi": communément baptisée
"la mafia du Vatican". C'est elle qui signe des décrets déstabilisatcurs. La
banque du Vatican paraît d 'après diverses sources entretenir de nombreux
liens avec la mafia.
-La peur: le gouvernement mondial s' en sert pour sc jouer de nous et
pour assouvir sa soif de pouvoir.
- Le mutisme face à la vie extra-terrestre : évite que les esprits ne
s'ouvrent à d ' autres dimensions et à une compréhension plus vaste qui
entraînerait une libération et une autonomie de pensée ct d'action.
Certes, les moyens sont nombreux et efficaces, pourtant, sans notre -DOSSIER-
accord, sans notre paresse et notre incapacité à voir loin, ce gouvernement
est inopérant. Nous aussi, nous avons des moyens et même des solutions
pour que l'inévitable en apparence, devienne évitable en réalité.
Ces moyens d'action tiennent en peu de mots mais ces mots sont révé-
lateurs et porteurs d' une force sans nom :
• Notre pouvoir d'achat
LE GOUVERNEMENT MONDIAL
• Notre connaissance des faits
• Le dépassement de nos peurs et notre sens des responsabilités
• Notre volonté de ne pas participer à ce qui n'est pas voulu par nous
• Le pouvoir de décider, de choisir
et finalement
• Notre Amour qui est la clé de tout lorsqu'il se décline sur le mode
du A majeur.
Dans les chapitres qui suivent nous aborderons plus en détail ces points
multiples qui sont les vecteurs susceptibles de nous rendre peu à peu la
maîtrise de nous-mêmes, nous les insoumis de l'Amour. Mais les "Pour-
quoi" restent entiers. ·Pourquoi cette ingérence du gouvernement mondial
lui-même téléguidé de plus haut ou de plus loin ? (le terme paraît plus
juste). Quels sont ses buts visibles ou invisibles? Pourquoi veut-il créer
la peur et la division ? Pourquoi veut-il réduire la population terrestre à
une race d'esclaves sur laquelle il est facile de régner au profit d 'une race
de "seigneurs" ?

32 33
 Document relatif au contrôle des Individus.
DOSSIERS PROVENANT DE L'OUVRAGE "LES SOCIETES
SECRETES"

LA SITUATION ACTUELLE

Les Illuminati tiennent le monde dans leur filet par l'intermédiaire des
banquiers internationaux qui sont en liaison avec les .w ciétés d'élite déjà
mentionnées et par les empires qu'ils ont construits. Ils sont sur le point de
renforcer encore plus leur mainmise sur cette planète. Leur contrôle
principal s'exerce grâce aux dettes nationales des pays. En outre, il existe
une force de police internationale qui maintient, dans les rangs "les Etats
indépendants, tels que la Libye et l'Iran : ce sont les troupes de l'ONU. La
Libye qui manifeste son indépendance par rapport au contrôle
international représente un défi pour le Nouvel Ordre mondial,
Mu'ammar al Kadhafi est présenté dans les médias comme un terroriste,
ce qui justifie d'autant plus les agressions contre son pays.
George Bush fut un des meilleurs partenaires que les Illuminati aient
jamais eu, et il devra le rester jusqu'à son dernier souffle, car il est
fo!"fement impliqué dans le trafic illégal de la drogue (&8 des Protocoles).
(123)
George Bush est un ex-chef de la CIA, un ex-chef du CFR, membre de
l'ordre, Skull & Bones", membre de la "Commission trilatérale" et
membre du "Comité des 300".
Son concurrent aux dernières élections présidentielles, Bill Clinton, le
président actuel, est membre du CFR, des "Bilderberger" et membre à vie
de !'"Ordre de Molay" franc-maçonnique. Il est membre aussi de la
"Commission trilatérale" depuis le début des années quatre-vingts.

34
 TABLEAU REPRIS À PARTIR DE CELUI DE L'AMERICA WEST
P.O. Box 986- Tehachapi, CA 9358 )

Quelques-uns des organismes faisant partie du comité des 300.

CointiWIIC8

L'Institut Ropl pour

ConMit.!.
6tnng. . .
...Wtlons
les Affaires Internationales
/ "-._
u.s. Oouw-••1 llltdll

COMITÉ DES 300 8 rltlsh lnteUigence

/
1 Traflc.d e drogu•
4---..,.---...J' ~
~
..... rpol
1
CJA
"'
Mo...d

llllllllt Eut ~.. Compa.ny L'Institut Tavlstock

1
Hong Kong/Lj,.don Councll des Relations Humaines lnsdtutlorw
M.I.T.
op/ """ Cocalne

L.e Club de Rome

NATO
1
u.s. .. Hlltity

c;.., /('.\'Smt...·/u tradti<'(Ùm ,f.• t't:TI,IÎII.'i c/t• cY,,. Ol:'f,llliSmt•.ot ,'

• Interpol : poliç~ intcrruuiooal~ si.:O~c a lyon .
. M08:!8d : Ag~e !IA:\'f (tc lsrnehennc.
• Brit ilÙI Etil lndia (',)1nran~ : C>n>pa~nic de~ ln.k.'l' <'<i~malcs.
- M. I.T.: Massad>llssctln~tirutc ,,rr,...·hnoh•sic.

35
Le livre "Les Sociétés Secrètes" publie à titre indicatif une liste de noms qui
seraient membres du comité des 300. Je les soumets au lecteur sans autre Bernard, sont l'institution d'un gouvernement mondial d'ici l'an 2000 et
partie pris que celui d'une information. d'une armée globale sous le couvert de l'O.N.U. On l'appelle aussi le
"gouvernement invisible".
Le conseil des 33 Un comité consultatif composé d'une commission de direction (avec 24
Européens et 15 Américains) décide des personnes à inviter à leurs
"Y sont représentés les francs-maçons des rangs les plus élevés du rencontres. Johannes Rothkranz écrit que seuls sont invités ceux qui ont
monde de la politique, de l'économie el de l'Eglise. Ils sont l'élite du fait preuve d'une indéfectible loyauté envers les Rockefeller et les
"Comité des 300". " Rothschild.
(D'après Todd et Coral/)
Quelques-uns des représentants INTERNATIONAUX les plus
.. o;. des membres sont importants sont ou ont été les suivants :
..· che:l les chrcucns, 90 ' 0
. . lons uc chc·r. les francs-maçOflS et a~~~ s .la :noindre idée de cc qui :e t~ame au.
... Stgna q ''1 n'ont pour la ma)ontc, pa " t (L' 'nlincnt !ranc-maçon Agnelli, Giovanni patron de Fiat
. l' •l'le et qu 1 s
uti\is~.:s par < 1 'l • le "Lions Club" • 1e "Rotary • cc.
. , . " 1905 il Chicago:
C' ·xactemcnt parei pour d 1 1 ge B'nat B roth en Brzezinski, Zbigniew président de la Commission trilatérale et
summ~:t. . ~~ c : 1 Rotary International sur l'ordre e. a o" en 1917. (Code liSS p.47).
l'au! Harns fonda e . 1 é •alcmcnt a Cllll::ago, agent Rockefeller le plus important
. 1, Lions lntcmauona • ~
cette même loge crea "' Bush, George ex-chef de la CIA, ex-chef du CFR, ex-
président des Etats-Unis, membre du Comité des 300
Carrington, lord (GB) membre du Comité des 300, des Kissinger
Associates, ex-président de I'OTAN
Le comité des 300 Dulles, Allen ex-chef de la CIA
Clinton, Bill président des Etats-Uni, membre du CFR et
Créé en 1729 pat la BEIMC (British East lndia Merchant Company) de la Commission trilatérale
pour s'occuper des affaires bancaires ct commerciales internationales et Ford, Henry IL
soutenir le trafic d'opium, le "Comité des 300" est dirigé par la Couronne Gonzales, Felipe secrétaire général du parti socialiste
britannique. li représente le système bancaire mondial dans sa globalité et espagnol et, plus tard. Premier ministre
compte, en plus, les représentants les plus importants des nations Jankowitsch. Peter (A)
occidentales. Toutes les banques sont reliées aux Rothschild par le Kennedy. David
"Comité des 300". ( 128) Kissinger, Henry aussi membre de la loge P2 italienne
Luns, Joseph ex-secrétaire général de I'OTAN
Le Dr John Coleman publie dans son livre "Conspirators Hicrarchy : Lord Roll of lpsden ex-président du S.G. Warburg Group Pic.
The Committee of 300'' (La hiérarchie des conspirateurs : Le Comité des Mc Namara. Robert Banque mondiale
300) tes noms de 290 organisations, 125 banques ainsi que ceux de 341 Martens, Wilfried (B)
membres actuels ou anciens du Comité des 300. Reuther, Walter P.
Rockefeller, David
Rockefeller, John D.
Les Bilderberger Rockctèller, Nelson
Rothschild, baron Edmund de
Cette organisation secrète fut créée en mai 1954 à l'hôtel de Bilderberg Tindcmanns, Jan ex-premier ministre de la Belgique
à Oosterbeck, en Hollande, par Je prince Bernard des Pays·Bas. Elle e$l Warburg, Eric D.
composée de 120 magnats de la haute finance d'Europe de l'Ouest, des Warburg, Siegmund
Etats-Unis et ùu Canada. Ses buts principaux. formulés par le prince Womcr, Manfred OTAN

36
37
 Ci-dessous un texte montrant le mépris du gouvernement
pour l'opinion publique.

2.2 "Poli t ique Mili t aire ct Loi Hartialc" :

j~ ci te , cu 1i•tre "Cn •,IJtch", ce 1 'f.;;ùa 1

"Kissir.çer c?.:larJ: ..\?crois <;'Je le pe<;;>le è.1ÙiCJin n'c! p~; la voler.!:~ de fai ,·- '1-o>eS r.kessain:·
p:rur atteindre à la parité, et ~ur r.<)in~~nir lJ sq::-Sriorit§ IT'ilritir.e . .Je crois c;ce nous ae•' ,
d'obtenir le rreilleur arrarçarent çossible cJns nos nC:scx:iations avant que les Etats-Unis et 1 'U.R.S.S.
ne perçoivent ces chanc;eTCnts, et 1'é~ilibre <;"Ji en d?.:oo;le. Lorsc;~:e ces perceptions seront ir.cl ues
éans les accorés, et qt.oe les éeoJx pJrt ies Sèurcnt <;"Je les Et~ts-Unis sont inférieurs , nous devrons avoir
cbt~nu le r.eilleur arrar.çeTEnt c;-..:e OOJS pcwcns. A ce r.arent-là, les ·arericains re seront pas heun:•Jx
c;t.:e j'aie opté pour un arrançg;ent en SE?':orod, rrais il sera trop tc!n:l.-

· "Zu:Yoalt c~~a: D.!ns ce c!s, ~c;ooi n? pas l'a.er.er ce-tant le peo~?le a'Tédcain? Ils n'accepteront
pas la d:?o::islon de devenir les ceuxit!res r.eill eo.;rs f:-2XJnt C;ue nous sorrres dans une çosition ée Revenu
National 13rut double de celui de 1 'U.R.S.S.

Kissinçer ré:;cndit: C'est une c;t.!esticn ée juç;;;.er.t. Je juçe c;ue nous n'aurons pas leur av,:ui,e~ si I'IO'JS
le ée7andions , et dévoilions ce fait_corrre r.ous devrions le faire_, alcrs nous perdrions notre force
ée n§sociation avec les Soviets .

Ztr.nalt demnéa donc : ~·ais n'est-<:e pas là 1'ultiœ Îilr.tlralité éans notre ërocratle: Ce prendre lD1e dé-
cision d 'aussi grande i!!JXIrtance çour le petJple, rra is sans le consulter?

"Kissinçer ré;lcndlt alors: Probablerent , r.ais je écute qu'il y ~lt un million ce personnes c;vi pcx..r-
1:
raient llâre ccrrprendre issue é~ la quest ion.

·n Zurwalt de r~re: H~-e si cette préscr.ption est correcte , ce r.:illion peut toot de rràre Influencer
l'cjJinion ée la rrajorité. ,'e crois çu'il estée r.cn éevoir d'opter pcx.r l'autre choix.

"Et Kissin-;er de concl ure: Vous devriez prenére garée que vos paroles ne provoq~.'€flt une r~uctlon du
bOOç<?t de la 1-'<!rine" .

loos voyons éonc ~~~t l'opinion du Oé?drtClTCflt. d'Etat par rapport au peuple. Un a:Jtre falt:le )) dé-
cemre 1975 , la Garée Ni!tior.ale ée Callfomle annonça, dans un ccmnmic;ui:! de presse_dont je possèée une
CC?ie_, c;o.e les bJtaillcns de la Foliee Hilitaire ée 1 'Etat étaient crganisés , et entrafr.és pour fa ire
face i~iat::m2nt A pratiçJeTent t ot."t. désastre civil ou çrcv~ ée rmin d'hcnr.e, aussi bien ç;e pour
assister l es forces pol ici~res dans des situJtions d'urçeoce , ou rti:Te pour achever aussi bien leoJr mis-
sion d'assistance pollci~re ou militaire . .:e cl•::rr.:mcal A qvJtre ées accusés clans cette affaire c;vèl s é-
taient le-JrS ordres de crission; ils ne le éévoilêrer.t 1\lS , bien <;'J'il s aient affi~ que cette lnfonre-
t ion éta 1t du éara 1ne pl.lb1ic.

L'e:~tra Trerent en G\-'€Sticn pc1.1r la G.lrée fQtionJle ée Cal ifcrnie CO\J\"'"'e ées sujets tels cr;e: avoir A
faire avec ées indiviét:s et/ou ées pc:~Jla~icns civiles , av~ les prcc§:t.res ée détention, av~ les
droits des citoyens , et ett.res affa ires si:nilaires. F't vrv1s ~a·:f.'z aussi bien <;"Je rrol que lo~q;e la loi
~'.!rtiale est dé-::rétée, cu er.core les R~-glerents ~~rt iaux , les citoyens n' ont pas ce droi ts, tout sirrple-
r.t=!'lt parce c;t.oe la ConstittJticn est st:SP'?Ilél.'(? . ~L'lE les unifor.res des Gèrées Nation.:!vx c;ui particiçent c!
C;? prosranr.e sont diffè"'ents -!es uniicr.res r{-;ul i.:rs. les ;:r.rte-p.;rcles ce 1'1-rTré refusent ée èévoiler
plus d' infornuticn c;-Jant A ces l.nifcrr.es . ~'.!is lt:s unit~s çara-;rrilitaires du CÉ?<!rtcm:nt du Sheriff d~
los t..ngeles , qui eux aussi ont reçu cttentra Tnemr.t , ont des I.Jn ifonrcs de ccr.tat teints en noir.

38
 Document relatif au contrôle des Individus.

U{Jlj)p~~ll
a\l-<\~~'rcr.m ion est ercore ph:s tnxbl~'lte lcr>o.... c:qwfe .!.-<:<: d'a:r.res prover.Jnt œ ch'!i:lJt
n~es . Pu- ex le, cette infol'l"ation datant de rrai 19'33, et traitant de l'~~niSJtion l'crdiale
de lJ Sa-.~~ fais3. · partie ées l!aticrs-!.ilies, a savoir qu.~ c~lle-<1 rapportait, é~mg~t. 'c.e la
v d.;r.ce d .Tli• t e trait fe a.-~ l"S ~~ C(Y:tr61~ r'-:<Jl ;~r:; C'Je C'!'JX exist•nt éar:s lt> c•s~
~e.' :___2...!Ition alors prmsC-e ~!r l'Crgl!lis::-e serait 'Un c::ntr61e é~s arw', et poo.n-,c~­
,. ,'"11 1·.·r~i·_ ~ J'IJir. tO<;j.:x;rs sel.;:-~ ce~~" é-.mi?~. 'L"~ ~~;~ rt~·,.~Je ~rioil"e é" 1m St.'l': h
~-n•e ée tCl'Jt~>s les art>s et ~'lltlc,s ,'L(:o)

_ro·a~tre part , et ayant trait ~ ~.re infcr-aticn exch:~ive c=teow.:! !1'1.:ne Al;~e ée Pre•se !-~-J­
tfOOJle c;v: sera publll-e, en entier, dans r.otre IUoéro Sp':.:IJI de Se?tt:Mlre 1933,., SJ~'Oir : "les~...
cho>rches et trls<?S au cofnt Tecrmloolco.JC?s, l!~t,... la Cl:\ et l~s Forcos k'rt.-es t.-n'rinil1f"s, oo;:],.
C011tr6le d!~ lndivio:!u~ '. Cette ir,fo.-oJ~ion-E:q~te lVI encore dis;:>enible aux Etats-tnis, se ra~,.llre
aux rwvelles ted'lr.oiOCjies déj! explri.-ent{-es avec S'JCœs sur ées êtres )'u;-.)ins, c! leur trsu,e~ par -
t~~t ée l'inti"\X!ucttoo de Mini~oo~rells (rê:eotellT'S-~-:t!l '!'JI"S) éans C~S Z~ or~ises éu ce.-,"'!IJ
lurnin , jusc;u'4 l' in!!'Ction de "Cristaux liovides• , p?r votes tntra~ireuses, sous fcnre d'! svp,,·..,sts
va~cins selon certains__, ou d'Injections di~cteS.JreiNes à l'appui_; cristaux ava~t é!?s çro-
çri~~~ ~lrw:tro--aonétiç...s w.rnnt ~~re cc~~rolfk c! r:>rtt ~ ~ H~ell ites, et d~q orv.:-an~ !':V
·~ lc-::er d'eo.r<·n...
\-es d•'ls les !c~es c~ la r-:!"''ire du c~~ ... ~·J h<.r.1in. 11 ne s ' a',Jit plus Ici de scie'"-
c!!-fiction; au contraire, c'est rnin:enant lli1C rwlittl r.~ilitaire ay.mt dPj.! êt~ plus d'UI1C fois e.<-
. p(rir.cntfe avec, suÇ~s~Ulj~~es êtres lu:'ains_sans leo.;r consenterent_, dans ~s hlpitaux et é~s
Cer:~s ~lcaux 'reccnrus ~!ans diff:~nts ~ys . 11 est l!}s lcrs possitlle ée se rendre ca,: te c!e l'f-
\'Oivtion tro2s r~pide ée la technologie 1:1ilitaire ~ce daraine c~puis les anno:-es ïS': de ri.--e c;-."
les dernières dGI:C~~JV"ertes éans le écr.aine Mil it~lcal nous per::-cttent de prendre cons !cere!: 1.1
contlnui t~ des tnt~rêts et des effGrts du "Carplexe Mllitaro- lndustriel A'mricaln" dans cette ~'O!Cll­
tê d'en arrivl!r 4 contrôler directc:t?nt les indiviéus! ~'.Jis contrôler les populations en fonction de
.GIJOl au juste?L(i7)

81 rra! 1975, la "l.E.A.Il. l'bslcttcr-" dê::rivit l es fonctions de l'une de {t': organisations: "l'lr.s-
tHL't NJtion.Jl c!e 1'1-ppllcation de la Loi et de la J.zstlce Criminelle" . Cette orçaniSJtlon st.~!'l­
t lonre c;o.:el<;u! chose ccm.r sous le I10'J ée: "Centre ée LIQJidatiC'l des Nations-l.hfes~. ~ 1?0"1:!, en I-
talie . La fonction ée cette org3nlsatlon, er.tre tutres c.hoses , est l'kharçe de 1'infcn-ation C:=s
Systùres ée J.zstice Crlmimlle avec l'U.Il.S. S. Et 11 va sans dire que nous n'avons rien.! apçrm!re
dl! l'U.Q.S.S. en rratl~ro de .Nstlce Cri;ninelle. Ces projets Inconcevables fl.ll"ent payês ~r nos tax!3 .

les ners ée Coée pot.T ces projets salit:. "Srô:::nl'lot" et "'CCOle Splia:r" . Garde n Plot ert le pro-
ÇI"lr.n?de •cootrole de la Population" . Cable Spl icer est le prc<Jrir.T'l? pour U'lE! Prise du Pcu-.-oir
_n;ttlOdique_ des Gouvcmorents locaux et d'Etat par le Gouvcrnerent F'ê1éf"a1.
Lhe enc;u;~e fut C0'1llétl-:! en novcr.tn! 1975 p.!( QJJtre S..."U'CeS différentes: La publication c:onw-.J-
trice "1.-reriC.!II Challence• , le g~uchiste "t~ Ti-es" ; la Fondation finançant l es slb..-entlons peu' le
.rnrnJl iSTC d'(nc;vête; et , lk4! \.b:xl éU fia!>le "Ozaric Sur~ri" . Celle-cl COI'ICI'rre la Crf.-Jtion C<'• ~;
tielle d' un Etat Pol !cler a travers !'~til iSJtion é•J Pe~~Jçcœ et é.! son"CQssler d'lntelll~eocc J~­
for.mtisl>e" lOCj{<:! é.1ns le sous-sol d-J Pen~__, portant sur des llllll !ers de citoyens fic.'·& par
la GJrée l.:.ltlon.Jle , par l es ~rtcr'Crts ée Police lc:c\o'X ct des E~.1ts, la L.E.Il.A., les Forces ~~­
lltaires "en civil" , les Escouades Tactiq,Jes et l e C>1-?Jrta;-ent de la J.zstice.
le Bri~ldier C~~l J.L. JJlenlc, Officier mil luire s":ôlcr éu Bureau ée 13 GJrée l~tionale êJ Pi!.~­
tJ:;ore a ad-ts : ·~e m comJis ax..n E~t <;Ji n'ait p.!S c:n::Jit ce ~enre d'exercices au cours :!e la
demlêre aml-e" .
Aujourd '"llf , le "~·a~l ée Cable ~:~llcer" est ca:po~ de six clrtables .! anneJux qJI r.2 re;:r~senter.t
q.Je l es Sl'.l~s llg~s de l'i-rirlo!l':e prise c!e f~..e et de c!estru:tlon de notre Cor.stit l.ttion. La Ee
;.n.-("1 auti11s~ le te~ · cablc Splicer• peur iwt1f ~~ l'Cç.Iation , ~TJis le 11CT1de l'~J~Icn
n'a pas Hê n~.,.êlê ço.n- les al.ttros rt-;ions mil ital res sit1...,..s a11leurs .! 1'1nt~leo.;r écs Etats-Lnls .

39
 A la ça;e 4, paragraphe 19 de l' InfCit'IMtion P\bllqJe, les instructions prê:tsent:
d'~ la publicit! négative ou ses effets psydlologi
"Came auyen ~--
~~ J.la coord1nat1cn, la planifkatlœ et la teœe de œs ele'C\œs ~-... ?liiiN.A
.f.."'
~!!J.rJ1!ntS militai~ i1111HcoJés s'acauitteront de letn Uc:tll5 en b!lu! dY1· 't(
~.. k i01~ les exen:1ces ~t Cilnduits dans des êtab tsseœnts pc> tc .Oins ê-
~ Vl!fltualtt! ~des q.I!StiDfiS soient scui!Mes CDlCemlltlt œs De"C1ces,
devra atre 1fllritée J identifier l'ellel't'lœ CQIIIII faisant partie d'll'l effO"t
de liaison lltlitaro-pol1c1ire, et CCIIII8 êtant, amt, 11 ccntirutfon • la c:conU-
nation ftablle l'an dernier. &! ~ 6, les bases &1 lllidl de 5a:lrit~ 54:1\t ~lf­
CJ!ées de snanih cp! s1 Ql1 ~a soit pose des ~cm, alcn l'tnfcnation di-.
wlguêe se Hllriten,l b base, au fait qJe les e.rcfœs ser1t faits dans 1' •Jnttnt
National• {la Slariti).

_rrc:i. " la lecbn de œ èu1: l!llllD$!, r·cwa peut se .rewh tmpte, par la anin ~ l'tnfOI"JJIItf(IQ ~
rait rappartê!par 111 jcumliste,de la li~ 'de dl atlan~ le 11n1i •.brnaHSIIIe d'~
cfl.l siaple ~dt llllUW111esi œ dernier ttR ....fe CJ.III'IIQ dans nos Ndfa d'lnfcnatian.UUU

tans les festtvl tês ·dl &nnt Te· SI Ccli$ des ele"Cbs CXJllllft!s, 1e Glnlnl Stanly R. l.arsen,Colnndant
de la Slxtêre h1li!e d!clara: "le défi le ?1115 ~ aJ~P!l nous faisœs tous faœ est œlu1 de se 6!-
f.,ire dg ros resoonabi1 itb lfoit!gn. Car potr 1111 pcrt1œ si9'tf1c:at1ve de la sociW en gln6 at ,œl-
le-<i va probableœnt naus mn5idlnr avec lllf1anœ, et nftttn cil liée a:q, m cp5Uon,volre dœ ~
fier notre autarlti m" la bue dat dR JQtr. pdessfG'I. Jtlus dewls etre prtts 1 affrœte" ... partie
œ œ ~n: me p:rtfon Ji US41 tlomellaœnt cianglnslse de notre socittl (Jit. en rillit!. !XUI'!!Jt bien·
.
devenir"' 1 'entoe!rl fnt!rfa.-•

le f.'aroel renfenre des fnstruc:t1cm str l'~tiCII d'Etablisseœ11ts de llêtentfcwa•• le trl1taent et l'i-
dentification des piSOIIitn-œci COip'1Mit la rœille 1 11 tr•lijXii t, 1'a1illent.ttion1 le logm&&t tt
le traiterent d'1ft classe sp&;iale de pnomes ~lias '"di!teus•. Le Pl~n trpl1~ auss1. d'ln! anff-
re spêcifi!p!, 111e ji"q))$Itian CXJnQ!I"nnllt la c.anf!pUm m
t!'BS rt Nlftions apœrten!lnt · en ~
pre " des D!N tttafm.

40
 Article provenant du Monde ~u. 11~12 novE7mbre 95_ ,
montrant comment le conflit a ete prevu plus1eurs mo1 s a
l'avance.

Bélgl: et l'ONU ont été

~. la prépa~ion.d'un
g~ide au Rwanda .
Lcsawori~belgesctlesiè- Oelcroix, limogé depui~
ge des N&tions unies à New dans le con texte d'un ~·an­
York étaient"avertis de la da.lcimmobilicr. Cede~r.
préparai ion Ju génocide au p<L'i plus q uc ~on l'nlli:gu<.'
Rwanda ITOÎS mois avam des Affaires ~Lr.m!!i:n:~. ~~ ·
queccluH:ineseprodui<;e. a l'époque Willy dacs. n'a
confirmé le mini~ belge pri!' de disposition!. ~·· ·
de Ja~Jean..Pol Poo- lièreo;. Egalemenl dt..~inatai­
celet. l~)é jendi par Je re des rapports de rco.~i~
s6ialecK~kHœtdcint.à menL~ le siège de I'O"'l J
. lasuitodédéc:larabOOs fai1es · n'a pas jugé n«.C!.sairc de
p~ le ·,~iiéral can11dien modifter le manda!- stricte-
Roméo DaUaire, l'ancien ment défensif - des 2.700
commandant en chef des Ca.-;ques bleus de l'ONU
CasquesbleusdeJ'ONUau dqlloy~:au Rwanda. Or.
Rwanda.leniinisaean:con- (ièt\ le lendemain de rattcn-
nu qu'en janvier 1994, un tat contre l'avion du prési-
officic:.rbelge~remcigne- dent Habyar imana, di x
!'1lmtSavait prévem des~ Casque5 bk us hclges, char·
paratifs·en coond'un mas- gés de la prolectioo du Prc-
s.tcrcorgani~de la minorité micr ministre Agathe llwi-
luC.Sie. SelonJcaJFPol Pon- lingiyimana. ont été faits
celet, CCS mise\ en gJJ"dc Ont rnsonniers d a.<;,<;(L<;Sjflé~ par
~IC:cotrut\Ut~au~i- . Je ~ soldats de Ltrrnc.!t•
nct~~dela~f~ rwandaise. - ·
sedcMJn~seur,Uo an.-"!" •:~

-Il
 Article tiré du magazine "LE MONDE DIPLOMATIQUE"
"Génocide planifié au Rwanda"- Février 1996
Colette Braeckman
.... au
Rwo.~nda. en cenr jours. plus de cinqcent
mille hommes. fern mes et enfants ont été
ma~sacré.~. moins en fonction de leur
appartenance politique ou à cause de leur
participiltion à la guerre que par le fait
lJUÏis avaient été définis comme Tursis.
ou comme opposants hutus alliés des pre-
miers. On a pu ainsi e;..rerminer sans
remords les vicrimes. qua 1i fiées
d'" ennemi intérieur"···
P..lr r érendue des tueries. par la prépa-
rai ion mi nutieusc qui ks a préc~dées. par
l'imention surtoul. c-'est bien d'un géno-
cide qu ï 1 s·est agi à nouveau dans ce
~iède. aprè:. celui des Arméniens. des
juifs d'Europe et des Cambodgiens. Et
cd a dnqu:mte :1ns après que \'humanité
r:ut ju r~ « plu~ jamais ça ,,. sennenr solen-
nel ()Ui a fondé la plupart des institut ions
mises en place après la seconde guerre
mondiale.
Le génocide du Rwanda représente.
non ~~ulemcnt en Afri4uc centrale mai:;
pour r ensemole de r humani ~~. l'un des
év~nements maryuants de celle lin de
siècl c:. Te lie m~ nt mar4 ua ni. par sa
n;u ure et !'Oil amplt>ur. qu~: déji• tout est
fa ir pour le banalisa. pour bmui lier les
pistes de réfle:<ion. entretenir la confusion
des espri rs. afin sans dome d·occulter les
responsabi 1itês. nationales et étrangères
i2)... Cc:st pourquoi il importe de rappe-
ler une rois encore - et à la vei Ile de
ranniversaire de ranentai contre J'avion
du présidenr Juvénal Habyari mana qui, le
6 avril 1994. mit le feu aux poudres - à
quel point la tragédie était annoncée. pré-
paré~: ...
•••Les rapj)orls d~s organisations de
défense des droits de l'homme auraient
dù alerter l'opinion internarionale : à
chaque fois. ils relevaient le car;~crère
planifié, volontarisre. des violences. le
fait qu ·elles aient été organisées par les
autorités communales. qui encadraient la
population. la conditionnaient pendant
des semaines, prêtaient parfois des véhi-
cules aux équipes de tueurs... Mais la
France qualifia de « rumeurs ,. les rap-
por1S qui s·accumulaient et i ntensitia sa
présence militaire aux côtés de l'armée
rwandaise. tandis que la Bdgique ne su~­
pendit jamais sa coopération.••
... "Génocide planifié au Rwanda"
Colette Braeckman
••J.,a préparation du crime fut également
matérielle ; des armes. venues d•Egypte,
d'Afrique du Sud mais aussi de France.
furent massivement importées et distri-
buées à la population. En décembre 1993.
alors que les « casques bleus » belges et
bangladais censés garantir l'applicarion
de~ accords d•Arusha s·installaient dans
Kigali. et que le contingenl militaire fran-
çais ayant pris part au;~~ opérations de
guerre qui tt ait le pays, les mai res distri-
buaient les armes dans les communes.
arteignaot jusqu'aux pl us petils ni veau x
de pouvoir. les secreurs ct les cellules. En
même remps. des jeune.~ gens. chômeurs.
délinquanrs. paysans sans ferre et sans
avenir dans ce pays surpeuplé. étaienr
recrutés pour devenir des miliciens. les
/11/erhmmve.
Ils devaient recevoir, en plus d'une
paire de chaussures neuves, une forma-
tion mi 1itaire très panicul ière : dans la
région du Mutara comme sur les collines
voisines de Kigali. on leur apprit à ,, tra-
vailler " avec la machette. à frapper sys-
tématiquement le front, la nuque, à sec-
tionner les articularions... Depuis le début
de 1994. les «casques bleus "• dont la
mi:;sion se limitait au " maintien de la
paix"· a~sistaient impuissants à l'arme-
ment de la population. et les observateurs
à Kigali savaient qu'une ,, machine à
tuer » s ·était mise en place. Ils n'ig1
raient que le jour et l'heure.
Le 6 avril 1994. alors que le président
Habyarimana renrrair de Tanzanie. son
son érait scellé. Pressé par le.~ Occiden-
taux. qui menaçaient de couper rous les
crédiu. il avail finalement accepté
d'ouvrir son gouvernemenl au Front
patriotique et se préparait à Il re. dès son
retour, un discours consacrOJnl le partage
du pouvoir. Cene reddition apparai!\.~air
comme une rrahison aux yeux des ultras
du régime, et d'abord de sa propre bdle-
f<~mi Ile. Le rex te de ce dis~ou rs di sp;uut
dans les débris de ra vion falcon offert
naguère par la coopérarion française, tou-
ché dt: plein fouet par deux missiles tirés
par des mai os d'expert. vraisemhlablc-
mcnr blanches. et françaises selon cer-
lai nes sources.
L' auentat marqua le début du géno-
cide. Avec une efficacité effroyable, la
<< mac hi ne à tuer » se mi 1 en mouvement.
Dès h:s prcm ières mi nu tes qui sui vi rent
lt cra~h de l'avion. les équipes de tueurs
dress~n:nt Je.~ barrages dans Kigali. triant
Hurus el Tutsis d'après les papiers
d'identité, liquidant systémariquement
les seconds. Dix « casques bleus » belges
commis à la défense du premier ministre.
M'"' Agarhe Uwilingyimana. furent mas-
sacré!'. Dan~ les jours qui ~uivirenr. alors
que 1a presse inrernat ion ale parlait de
<< massacres interethniques», définissant
la tragédie comme une explosion de
"haines tribales)> séculaires, le Rwanda
était ravagé par un plan d'exrerrninarion
systématique de l'" ennemi intérieur"·
« Coupe~ les pieds de.~ enfams pour
qu'il.ç marcheflt toute leur l'ie sur les
genoux. » « Tuez les filles ptmr qt~ 'il n'y
ait pas de g,1nirations fu/ures. » « Les
fosses communes ne smrl pas mcore
plei11es. » " Tuet-les. 11e cmmnetums pas
la même erreur qu 'e11 /959 "• répétait
« Radio /1-/aclrette "• la Radio des Mille
Collines. La machine était bien program-
mée, et sous contrôle: dans la ville de
Bulare. trois semaines après le début des
massacres à Kigali. le calme régnait
encore. car le préfet. membre de l'op po-
si rion. multipl ialr les ré un ions de pacifi·
cation. Il fut destilué. puis tué et rem-
placé par un « dur>) du régime, tandis
que J'armée. suivie par les miliciens,
dépéchair des renforts dans la ville uni-
vcrsiraire. Un discours du présidenr par
int~rim. Théodore Sindikubwabo, devait
déclencher les opérations. et les équipes
de Médcci ns sans front i~rcs assistèrcnr
au ma~sacre de leurs malades tutsis sur
teu r.; 1its d'hôpital ...
 D OSSIER
Ils sont le nouveau pouvoir mondial

Les hommes
les pl us influents
de la planète
Ils som imellectuels ou mafieux, chercheurs ou banquiers,
créateurs ou espions. Ils sont raremem sur le devant de la
scène et pourtant, dans le village mondial, leurs décisions
ou leurs conseils influencent la vie de milliards d'écres
humains. Aux Etats-Unis, en Europe mais aussi au
Japon ou en Chine_, •le Nouvel Observateur •
a sélectionné 50 chefs de file de ces nouvelles \
Internationales de la finance_, des médias_, de la mode,
de la recherche ou du cn'me
PAR LAURENT JOFFRIN
<'llnU'IIf'f,ltvr <1lnp<. klif \'!Nknre ne <<>Jttll rc-mtn• dnaaa..
de: faue lo rmnc d'- II(TUJ!nc p4us tdcnrc que: nquc • fan l'hiS·
-"L'~ d"o.lcnblc, qw croîr • llltWlc """ . . IDIXn 60.
c1c 11 ~ ..lmlilr.....,._. d'- CI.:!IOtl " E!UIJIC
•tOOtO<.-x ,..,_ n ~ doionr • daeq-ot ,...
~t.- ... ptlll ~- k fu lll!"ldl!n> A•tt coaprcr .a•tc lu
~ole l'mxlc dn rd•- .,,..,.,.,....,., ....... olet.. ......... _
n:ncnCf. J'ef&onr(llld( dn Eurt l'~ ole dili<,""" lts malle< de b
l'lmiOitemodcmt 0106 IID UtdlctU h,c, • le dr~rac ou~~~ cnmc, evcc ln
Booaltvm....,r rfrl•~ • (Il, \hneol Tn-
,_, I"'f....... . " " " - d'&o.lo peiiiJqws,
- t.m ... r~ .i"Jllard rco-
._.;. dc: r-.
mtncun rn~ de: l'~t~rcnu­
do c•lll< ou""
wclliu OD a d.ru P"->• ........_..
-..qo;.c, n1 dc>'CliD< c•l111rclk •• polnoq~~e t'l del • D<!wMI • IIDCIIOJIS ain r.:cm
.....an dc: lo mon:cccn ~dn- mc- dn &ru~<n 90, œ ln k u en Socubc. Qœ
d!al>il\><t rnan.lsoul. dc: lo Clltllllooa dc:1 >den cr cbn le raid< dc:1 rnfiqo.:&M d'uma n Je dtcrac
c~cr-dn-'"'mrous~~ dom k aiNiol dc: Tc:t..:chcnoc ou lll<lliC dw alla
C1 ~- k ~..... alfroo. de: ba...) Qoa --.n ~les r-ws
ct.oooo ... bora ln<:.»\ p;>oDU ..,..,.,,. Ul<
r--..-..,. • .... J'•""""""' ---ln~...... d... ...
pon dr ~ Quo~ dl.o"-u ur&Joo.ln , . _ ~·- ~
nuit ~av r J' ... a \\.,.rJ:.-, .. !l, 1 t m=:t .;t rul:s:t loa~~o.:~ e~oJtltnl lt (Orps ~u
l..on4!n, dt :-itw Y •• tl d< H qbq, '"' ln Ocndtntau.s, ct-~at:tro.lltun vllfn ou mod.Jia1t
OIJI!Il<IM >nil.,.~ nnc ct IIIJIIqo< • 1• (;Ms, l•o kur <Iii J 'npm '
qw poos<.lc k • T11r.n •, lt • Scw Y><k l'ost • ct k C'cu pour'4UOI nooat avont 'dtC'lionne (ln·
.,.,.,.le
pnii<IIIOI utc. .t dr ........,., d< 1 E>l Ju > qun•t rrpmcnwus J< Cctt< -•·tlk dit< ...,.
Qas a a:u.'Jv rc!,o(1)C< ~"" ctn ~ .blt quo"' • rm .lo ......... ca""""' rtd. .t<o
c.-.drmnu ~...,~dr ~'"' • ·n boc:lcot •~d.u n Jn WI'<J><1
..,._ cm-n CUlai< Jn ~..-..-- .:c • ~~O...' ca l'l""' .....,., mdrm-
tpeeW:>Cft' Q... 1 '"-..,.,.rtL .c q'..t ln l!'.f.;>- r:<:U.Ilnl:ro< 1 :t.:< <<ll"pm>.lrc, 1 ~ pl.n
~"·· trer.'.>Cf Sl\1<11\1~. CtfiiiiiS
hommn mtnqucnt, ttrcunt
q.wum dr cc • Yllbatl!»-
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On le consiJicn i laltc1111t: par leur ltan<t1arr,
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avruglr dan• l'mdovodu ou la commun1u1r dr
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qur <<Il< hbcnr-la n'nt P"' lorc<mrnt
crtir du (IIO)~n. 1.11• a bnolft lk la loi
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~-aml'...-wdrla
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P*Jsr rdupDI da... ln,.,.,..
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mrnl <lbAoqw .. ....,.,.. s..sa-
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cm.a-lr•IICII'<Jupw L1
(1) '"'a-k..-
...JT-,S.W, J~-IIOF
J. ~ •• ,.. .~

45
 DOSSIER "LA DOMINATION DU MONDE PAR LES
ILLUMINATIS" DE HUGO NHART (RÉDACTEUR EN CHEF)
CET ARTICLE NE REPRESENTE QU'UNE PARTIE DU DOSSIER COMPLET (30
PAG ES ENVIRON) PRESENTE PAR HUGO NHART DANS "ETRANGETES ET
MYSTERES Na 4 DE SEPTEMBRE 1992".
Qui sont les illuminatis ? Comment cette société secrète prit-elle
naissance?
L'ordre des illuminatis fut fondé le 1" Mai 1776 par le Docteur Adam
Weishau pt, professeur en droit cano ni q ue catholique à l'un ive rsité
d' ln gols tad. Weishaupt, juif de na issance con ve rt i plus tard au
catholicisme, rompit avec l'ordre j ésuite auquel il appartenait en tant que
prêtre, puis il fonda sa propre organisation. Après son interdiction en 1784
par le prince-électeur de Bavière, l'ordre des illuminatis fut ofticiellcment
dissous en 1786 et passa alors dans la clandestinité.
. . . Bien q ue les révolutions et les guerres soient très uti les aux
banquiers internationaux pour gagner ou étendre leur contrôle sur des
gouvernements, les clés véritables pour un tel contrô.le résident toujours
dans les fi nances, car, « un bailleur de fonds est en mesure d'exiger d'un
gouvernement les privilèges d'un monopole ». Des gouvernements en
quête d'argent accordent des monopoles dans le système bancaire de l'état,
dans le domaine des ressources naturelles.
... La clé de la puissance des illuminatis réside dans le contrôle du
cap ital. Nous ne citerons pour exemple de cette manière d'agir que deux
évènements historiques ; l'établissement du communisme en Russie et la
mise au pouvoir de Hitler.
··.Celui qui veut voiler ses intentions et travailler à l'arrière-plan a
besoin à cette fin d'assemblées particulières, puisque celles qui ont un
caractère officiel ne sont évidemment pas adéquates à des règlements
secrets et à des accords spéciaux. Ainsi, dès le début, les illuminatis
46
s'occupèrent de créer de nouvelles assemblées p arallèlement à cell es
existant déjà. Néanmoi ns ces organisations ne sont pas restées à tel point
secrètes que l'on ignorerait encore tout à leur sujet.
. .. ALYKHAN, chef du gouvernement albanais en exil dit ceci ; «Une
poignée de personnes de la Commission Trilatérale et du Council on
Foreign Relations (CFR) prennent toutes les décisions d'importance
mondiale. C'est un club très privé, puissant, qui domine tous les
gouvernements du monde entier. lls sont tous de connivence. Qu'on le
veuille ou non, on doit faire ce q u'ils veulent. Ils disent combattre le
cornm unisme, mais en même temps. ils sympathisent avec lui ».
L'Organisation d es Nations Unies, instrument des illuminatis?
Qui s'étonne encore que l'ONU aussi soit une œuvre des illuminatis ct
qu'elle se trouve fern1emcnt entre leurs mains '?Au moins 47 membres du
C FR étaient parmi les dé!ëgués américains lors de la fondation de l'ONU
à San Francisco en 1945 .. .
... Appartiennent à l'ONU le « Fonds Monétaire International » (FM I)
ct la « Banque Mondiale».
Voyons maintenant le plan de construction codé du NOM (Nouvel
Ordre Mondial).
En observant le verso d'un billet de 1 dollar nous y trouvons sur te
côté gauche k symbole franc-maçonnique de la pyramide. Le sommet de
la pyramide fonnc un triangle où se trouve l'œil du « Grand Architecte du
Monde » ou « Grnnd In itié ». Au sommet de la pyramide nous lisons les
deux mots « An nu it coept is » cc qui veut dire à peu près : « Notre
entreprise est couronnée de succès ». Sous la pyramide se trouvent les
mots « Novus Ordo Seclorum ». Ces mots expliquent la nature de
l'entreprise : la créat ion d'un Nouvel Ordre Mo ndial. Les chiffres
MDCCLXXVI figurant au bas de la pyramide se rapportent à la fondation
dt! l'ordre des i l!uminatis k 1·• mai 1776.
47
 Selon de nombreux auteurs la pyramide montre la structure des
illuminatis. Suivant cette attribution. l'œil placé au sommet de la pyramide
est l'œi l de Luci fer. Directement en dessous se trouve le niveau RT qui est
interprété par Rothschild ou Rocke feller, qui peut cependant également
représenter les deux. Puis vient le consci l des 13 qui est recruté dans les
rangs placé en dtssous, le Conseil des 33. Celui-ci présente à son tour une
sélect ion restre inte issue des top-francs-maçons du « club des 500 » ,
également appelé par certains auteurs « Club des 300 ». En dessous sc
trouve la grande loge, B'nai B'rith. un ordre élitaire qui n'admet comme
membres que des j uifs. Avec la loge du Grand Orient sc termine la moitié
supérieure de la pyramide et avec elle le groupe des illuminatis. A la
partie inft:ricure de la pyramide du dollar sont associés tous les francs -
maçons.

i
.l

. .
..
.
•
-· .. J;...~·.

49

Aujourd'hui qu'en est-il ?
LES ARMES GÉNÉTIQUES ET BACTÉRIOLOGIQUES DE
PLUS EN PLUS SOPHISTIQUÉES
Le projet du génome humain pourrait aujourd'hui ouvrir la porte au
développement et à l'utilisation d'armes génétiques prenant pour cible
des groupes ethniques sp éc[jiques. Ce projet est actuellement mené sous
les auspices du Ministère américain de 1'Energie, qui supervise aussi
l'arsenal d'armes nudéaires de l'Amérique.
Les estimations actuelles du cotit du développement d'une "arme
génétique .. frôle nt les 50 millions de dollars - hien en deçà des
possibilites des programmes gouvernementaux secrets.
Le 15 novembre 1998. le London Times a rapporté qu 'Israël aj}lrmair
avoir rém;si à développer une "halle ethnique .. spécifique d 'un point de
vue génétique, prenant pour ci hie les Arabes. Lorsque 1'on a interrogé un
porte-parole du gouvernement israélien. il n'a pas nié le fai t qu ïls
possedaient de telles armes.
Réjërences
• i?o.v Blake, "Des balles génétiques. des armes biologiques sp(;c'!fiques ù
certaines et/mies", Washington Free Press. jan(fëv 2000
• Greg Bishop. "Des armes ethniques pour une purification ethnique",
Konformist, mars 2000, 11'\l'll'.konformist.com
AR TIC!.l'TIRÉ DE LA REVUE NF.XCS FRA:-JCF: :-i 0 lti (P.31)
50
ARTICLE TIRÉ DE LA REVUE NEXUS FRANCE N°11 (P.l0-11)
LA BANQUE MONDIALE PRIVATISE
LES DROITS D'ACCÈS À l'EAU DANS LE TIERS MONDE
Il y a quelques années, fsmail Scragcldin, vice-président de la Banque
Mondiale, disait que les guerres du vingt et un ième siècle concerneraient
l'cau. Il faisait allusion au fait que les sources d'eau douce s ' épuisent à
une vitesse alarmante partout dans le monde, et qu'un conflit au sujet de
ce qui reste sera inévitable.
Pour répondre à la crise, la Banque Mondiale a récemment adopté une
politique de privatisation de l'cau ct de tarification à prix coûtant. Cette
politique alarme de nombreux pays du Tiers Monde, qui craignent que
leurs citoyens ne puissent pas se payer l'eau privatisée.
li Y a 2 ans, la Banque Mondia le (dont le responsable assiste aux
conseils des ministres du Gouvernement Bolivien en tant que participant
titulaire) a imposé ses conditions avant de se porter caution pour une
avance de fonds de 25 millions de dollars américains destiné à refinancer
la distribution de l'eau à Cochabamba, la troisième ville de Bolivie: elle a
exigé que le gouvernement vende le réseau d'eau publique au secteur
privé et répercute les coûts sur les consommateurs. Une seule offre a été
étudiée, et le seiVice a été remis entre les mains d'une fi liale appartenant à
un conglomérat dirigé par Bcchtel - la compagn ie en ingénierie géante
impliquée dans le barrage tristement célèbre des Trois Gorges en Chine,
qui obligea 1,3 million de personnes à déménager.
En janvier 1999, avant mê me de ~'ê tre instal\ée, la compagnie a
annoncé le doublement du prix de l'eau. Pour la plupart des Boliviens,
cela signifiait que l' eau coûterait désormais plus que la nourriture ; pour
ceux qui percevaient des salaires minimums ou étaient sans emploi, tes
factures d'eau représentaient soudain près de la moitié de leurs budgets
mensuels.
Et comme si cela ne suffisait pas. la Banque Mondiale a accordé des
monopoles à des concessionnaires en eau privés, annoncé son soutien en
faveur de la fixation du prix de l'eau en fonction du coùt, indexé cc coût
51
de J'eau sur le dollar américain, et déclaré qu'aucun de ses prêts ne
pourrait servir à s ubventionner la distribution de l'eau aux pauvres. Toute
l 'cau, même celle provenant des puits publics, nécessitait des permis
d'accès, et les paysans et les petits agriculteurs devaient même acheter des
permis pour recueillir l'eau de pluie sur leur propriété.
De nombreuses parties du monde vivent des histoires similaires. Alors
que l 'h umanité commence préci sément à affronter les dimensions
effrayantes de la crise imminente de l'eau douce, une poignée de sociétés
transnationales spécialisées dans ['eau et l'alimentaire commencent à
s'installer dans les pays du Tiers Monde avec le soutien de la Banque
Mondiale et, au nom de la charité humaine, à rendre leur eau accessible
pour le profit. Ces sociétés ont nettement dominé le Forum sur l'Eau
Mondi ale qui s'est tenu à La Haye en mars, à l'initiative des Nations
Unies et de La Banque Mondiale.
La privatisation de la distribution municipale de J'eau n 'a pas bonne
presse, et pour cause. Les impôts locaux de la clientèle doublent ou
triplent ; les profits des sociétés augmentent jusqu'à 700 % ; la
dépravation ct la corruption règnent ; les standards de qualité de l'eau
diminuent, parfois dramatiquement ; la surexploitation est encouragée
pour faire de l'argent ; et les consommateurs qui ne peuvent pas payer se
retrouvent privés du liquide vital. Lorsque la privatisation atteindra le
Tiers Monde, ceux qui ne pourront pas payer mourront.
Mais l'histoire de la Bolivie a au moins une fin heureuse (pour Je
moment en tout cas). Par centaines de milliers, les Boliviens ont manifesté
contre le gouvernement jusqu 'à Cochabamba. Le l 0 avril, ils ont gagné :
le gouvernement a renvoyé Bechtel et annulé ses lois sur la privatisation
de l'eau.

ISùurc~ de Mande Barlow. T(tronro Glohc and Mail, Canada. Il mai 2000, sit~ lntcrn.:t
w ww. t h.:g 1vl:>.:andma i1.~om)

52
 regard sur l e monde
Un rapport qui va bien plus loin qu 'une simple fiscalité mondiale : il propose
de donner aux Nations-Unies le contrôle sur toute l'activité économique...
C
clo~ n\tf'fi\Cf'lp.rrta•' • cuu b I'\1)0MC ~Uo.b•·un,\cncl·.
le .1 no< pmno<n rq>O<U"" "" une ti,.Jhk rn.on.J Jk:
tl y a~ d" 31\S t~L -"'' ,.,.,....lOI<'
on t;f'OII Q« ce-l~ \a .J..m\ct ~~ ~ unkf l-n 1)11. un< alft:
Conkmlcc M<'<ldo.\lc nt rmuc du 18 ... :! mon ::OJO! a
\1~• .., \lcuquc. pour <um-. k< " " ' - . , . _
d"un •"Omllè •p«ool forme de bouts '<'!""'..bics sur le
Fonona:m<nt rour k: Oê'<klj>pcmcnL quo l1ll•>oll< wr la qun.
1>011 dq>u" k: Sotnmt1 du Moll<mum Je l"onlkmoa le raJ'POO
rrthml~l~ .Ju ',Jmtl~ N tmlnte1W1t rendu t"Ubl~ \.'1 oh ""'"
pn~ 1.1 ft...c .dtlc mot'kJtJit: f.;ut p;~rttc c.k.~ r«,,..lnu.nJ.atk.-n'
1 cur r;appun ' ' htcn plu) lum ~u·u:nc 'unpl~ ti .... .aine mc.,~ulc
tl ~ de donner aut "ottkXb.. Untc:1 tc: ""~'lfl.tn\k: .. ur t~'Uh:
I'M:II\o'IIC économ.quc Le r.tpp fO cSl COO'-Uh.&~lc: ~n1 "-"' tnt.c·
•"'""'' r...n- .....wun'"ll-'""'-rrd.
A I"<'PO'IU<, bcml..-oup 001 <"l:>n< lo IM:I.u>l""' du Molknoum.
]Upnl que un 'd~•t que du ' eni bt:b.sc p;u \k."'\ burc3u..:r1t...""J J
l"<co do!mc:wtc 1n n:•h~e, .,_,.., ""' ""'-'fil""' p;or ln ,hel>
d"C1al ..., plll\ ..., 1 ~ p:o)"l. dk .lcnn< <JIU" t>bnchc "''
N-Untct pour r.,n: « qu"ol f.IUI olin 11".ormn ~ ,.. ,.,.,.
'~' mondul le nppon <"OR'Ipo<IC 1! ""...........UO"""
pnncopoln. dqNJS l"obhpuon pour ln po)'< l'''"""'
de tn<t!n'
<le: l"onln: d.JM leut S)"km< ~ l""'"'•
lo « ..II<WI
d"une <><pnowl""' liseak mondQI< ln ""'" ~wl.jun
uanplcs
• t"a.wm que ln poys n•dustruh<n con1nt....n1 a '""'"' Jc
0.7 •• de k:,. PlO .laodor 1<$ p:I)S <11 ' ""'<le: JcHk'f'l'<'l'<lll
dans le cûc d'un* (~commun ",Jc\..1n1 c:trc: .J1~n~ f'tl
k:o NJIIO<Is·\lniC'I •
• (1'\."('f un ("~)M(tl de s~urnc l:.cononuquc ttll~hal. "'~'lof'nn'k:
l"l'PO"é p.or l;a {·oonm'"'""' pour un G<Mcmcn>Cnl Mon.lo• l .
• t:rt..."f une 0r"lfU\3110ft Ftscotle l ntc::t'NIIK>n.lk
• éubl1r une • IUUI'\!'e ~·tmpt~IIIIOn mtctnôllWO.ÛC .apprupn-.~ • •
• ..,.,.,_"'
ru~o,. T<rt""'..,.
<"<:lunga de de\ o-n Cl un omr-~
mondo;ol<•" 1< car!lc>nc: ll"crnpto. d< <Oml>oJ>hl'o nf''"'""'
c.. """'"' «<•"""'-'-- "" OOObltiU<nt ~... ln p-.ao.ln
1o.,_ du •-onwl< ''"'"'"""""' mondwl l>"•wn
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re<....-.J.o·
I.I!Oftf, \"k.~"lit ~\1 \.W'IIC 411 \.~"-lfdrn..lk,.
dn ............., ..... ~.... """ .. a..n.,...: \l,...wuk k 1•..w.
\.VIiN~ "' -."fttn"
MUM:t.a•rc lnt.:rn..atk-..ul. r<~.;.ntwht.lG \l<iHhi•.ak Ju
('UtTVTM:"f"-C• k rr,.,r,ammc ~ '~Il Wh·l n•<~ f"IIW le:
Ot\tlt~'111 l-'1 J...... 411 pv1(1'&01ln:l " l ... '-4l... Ju ""\fllk J....,
aff.urt". dcll\lttt.:k.1c ~t\llt; c..1 \1\autrn Of~Jn ...UK-n' mt-..,l:~o11U•
\C~ntaac-.
Le Con~~~~ dt Skurit~ .:: conomi(IUe
l c n:tf!POn......, IJ ( t'f1111l1'311Un p.'IW' un (1\)U\~·m.:M\·nl \ 1 ... J al,
NEXUS N" 18
tc: 'Oirr VO*JH\3gc ITk..,o.,hal •· t.'Un'-"';tc: plu-. tk lO Pli:'"-"" ~ur ..a W
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~k'\.-1II!Jiln(S selon un pnnc1pc \!'~h..."f'n..nu:, '-llh 'fU·.J~un ne
J'IO'»>."\k le drote de \t.."tt ct '-lib mcrnhf\.' ('ll(f11'\.l""--nl,., ct rn..-u....
ftfl.C t.ane mcdlode de • ~ • rki",...,.,·un \ote' pow
,....n ln d<clsoons s.- ln OU'i>"C' Il< •<Il< .....,<lk ,.,.,..
uon dn "-J.auom-LnJCS. tcr~-..•tn D,.._"f"nbk~ hltl:\ k"' •lfJan~
n IOUIC'S ks orpmsauc:wü Jl).;uM une 11"11~"'-"'C' wr r ..,on..WTU~.:"
lnltnuiiORJ.Ic. La rccomr'l\anJ.u,...n ..k. 1• ( (.(J f('ntrc- dub !o.k."'
..icu1J.. ~""'tdér3NC" \Or le l~ut d\-n •14.n..T l1 mhc \!n JPrh,·ôJ·
Ut.lft &..~ tr.uk-s ..ur l·c..·rhU\M'U'k."llt\."111 ~Ll1h k.' f~'f't\tl,lhllll~~ tht
ntiJU\f.."ilU [.SC ct de I'(~Jnl'-lhttn ~hJind1,1k: du ( 't'f'lln"-'f~,·
r ous tc.. nw,'cJn l<l"'-"" d'\.~h...ln•\.""' IÎU.If'k.h.',.. hNnh-:f"Jk:ftl ._...,,
l'.eutontc de cc.1tc nou\c:Hc ~ntth:. t.:Of'kiUkW'II'f~JI.thk JU lk."'"''•
ft'IJ'Pi."n'k."nl ..J'un fll(..'c;.ar\l'tHlC t.J..• u~II\!ILIC '"'"' 1111/"tf' m()nlii.&U, ,
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lJ.hle • C1 QUe ks pa)' """-=t3h'I ~"'C. tS.'If11 h; IJU\ .J'empt .....IKlft \01
JU~IJ·J. 70 ct m.:mc )(.() • •• ne ~tk.*f\1 P..'' J~"'--l...tnt.u..-........ ttat r.t("-
f'lC1 .lUl F.I3U•Una~ ou k: IJu' d"mlfk~llh'f1 ....... ~~' ro., Hic
,.n,hJJ:,'"C de-s poiiiKfli'L"' pn:\u\Jnl \IU'un r\"'-'OOf'""an' '"1rant:~,...,,
qu• )C." t ro\1\ C UOt113tlk:t en Allk"J"'tk:, l'J'~ J.:, nnp•h J.tn' ""'"
p;a'' n;at;el sur la f'C\ctlUS Jl'.'f\Ull 4.:n ;\n~r"&~ llk: t:nu.... ~c
.lli»J Je (ormukf un 1~ RkllfkJ,.JI 'llf k ft.."'"'tlU (~"tt.: f\."CtN»-
mJ.tkLliK>n aodut .. k p;;aru,..: •J'•nhlfflUII•tn ... •to.."ntn: "-"' R.IIK.IftS.
"'"~"Wlnc pœ l'tn.IC'flni'..~a.urc:J..."'' UMtft.' l n''""' .Jtin t.l.! -.utH.:.
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lwfr 1'\U/r,,~-t""l: .i ...~llfi/IIWJI J:loU , ,..,,
Page 8
53

Coulisses de 1ïnfo
• Le meeting Bilderberger 2000
• Les fausses promesses des O.G.M.
LE MEETING BILDERBERGER 2000
Le Groupe secret Bilderberger, composé d'éminences grises des élites
d'Europe et d'Amérique du Nord, s'est encore rassemblé pour discuter et
influencer, le paysage politique, économique et social du monde.
haque année depuis
C 1954, la société secrète
Bilderberger, composée
d'éminences grises des élites
d'Europe et d'Amérique du Nord,
se rassemble pour discuter et
influencer le paysage politique,
économique et social du monde.
Le groupe, qui compte environ
120 parlicipants ou obseNateurs
(on ne les désigne pas sous le
nom de membres}. varie d'année
en année, avec un probable.
cercle interne fort de 30 per-
sonnes, le Comité
d'Organisation qui se réunit
avant le meeting annuel et à une
autre occasion durant !'année.
Comme les médias- à l'exce~
l ion de quelques représentants
triés sur le volet et contraints au
secret - ne sont pas autorisés à
réaliser des reportages sur le
meeting annuel, les suppositions
vont bon train durant la période
qui le précède concemantle lieu
précis où il se déroulera et les
questions qui seront a l'ordre du
jour. Puis pendant et après, les
spéculations continuent quant â
l'identité des participants et aux
sujets débattus destinés ou non
! cussions sur r Amérique du Nord
:«rus :1# 11
L_----------------------------------------------------------------------~
54
à être appliqués.
La période qui a précédé le
meeting Bilderberger de cette
année 2000 n'a pas fait excep-
tion à la règle. Le lieu de l'événe-
ment ayant été maintenu dans le
pfus grand secret jusqu'au der-
nier moment à l'approche de la
date prévue. du 1 au 3 juin.
Pendant des mois. les partici-
pants et observateurs des
Bilderberg er ont cru que ça se
passerait en Autriche ou en
Suisse, mais cela s'est finale-
ment tenu en Belgique à l'Hôtel
du Château du Lac à Genvel,
près de Bruxelles.
Le «communiqué de presse»
el la liste de participants qui sui-
vent ont été communiqué par le
Groupe Bilderberger à l'heure du
déjeuner le samedi 3 juin, à la lin
de l'assemblée. Cette liste n'est
pas un rapport officiel exact de
toutes les personnes qui ont
assisté à fa réunion. car les parti-
cipants oot la possibilité de refu-
ser que leurs noms soient
mentionnés. Cette liste compte
98 noms. (Bill Clinton se trouvait
officiellement à Bertin à cette
période. A-t-il effectué une visite
• • •• - 24 · · ·· - - - - -- · ·
imprévue à Bruxelles, mime s'il
n'est pas mentionné sur la liste
des participants Bilderberger ?)
Le photographe free-lance
Tony Gosling et d'autres ont sur-
veillé les lieux et pris, de loin, des
clichés rapides des spectateurs
(voir le site Internet :
www.bilderberg.org/2000pics.ht
rn). Beaucoup de ces personnes
ne sont pas faciles â reconnailre,
et il est probable que les toutes
premières soient arrivées au
Comité d'Organisation. (l'hôtel
fournissait des masques en toile
afin de dissimuler l'identité des
invités qui arrivaient ou repar·
tal ent.) Ces «photos d'identité»
sont maintenant sur Internet
pour que ceux qui sont au cou-
rant puissent mettre des noms
dessus. Le slte Internet est tenu
par Grattan Healy, Conseiller en
Énergie et Recherche au sein du
Groupe Vert 1 EFA au Parlement
Européen.
Pour vo<r la •Uste Rect>ercllêeo. allez
sur http://our wor1d.compuserve.com/
homepageslgtatlan_ heatylwamed.html.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
BILOERBERGER
l)uin 2000
Le quarante-huitième meeting
Bildert>erger s'est tenu à
Bruxelles, en Belgique, du 1 au 3
juin 2000. Durant la Conférence,
ont été débattus des sujets tels
que les Élections Américaines, la
Mondialisation, la Nouvelle too-
nomie, les Balkans, l'Agrandis-
sement de l'Union Européenne,
et !'Extrême-Droite Européenne.
Environ 100 participants venus
d'Amérique du Nord et d'Europe
assistaient aux débats. la réu-
nion était secrète et confid enliel-
Ie afin d'encourager une
discussion franche et ouverte.
Bilderberger est le nom de
l'hôtel hollandais où s'est tenu le
tout premier meeting en mai
1954. Ce meeting complètement
nouveau est né de l'inquiétude
exprimée par les élites des deux
côtés de l'Atlantique portant sur
l'opinion que l'Europe Oociden-
tale et l'Amérique du Nord ne col-
laboraient pas ensemble autant
qu·elles le devraient des pro-
blèmes communs d'une impor-
tance cruciale. On avait
l'impression à l'époque que des
discussions sans caractère offi-
ciel et régulières aideraient à ins-
taurer une meilleure
compréhension des forces com-
plexes et des principales ten -
dances affectant les nations
occidentales durant la période
difficile d'après-guerre.
La Guerre Froide est à présent
terminée. Mais dans pratique-
ment tous les domaines il y a
beaucoup plus que moins de pro-
~èmes~uns-ducomme~
à l'emploi, de la politique moné-
taire aux investissements. des
défis écologiques au développe-
ment de la sécurité internationa-
le. Il est difficile d'imaginer l a
résolution unilatérale d'un pro-
blème majeur quelconque. en
Europe par exemple. sans réper-
et inversement Ainsi le concept Les participants se sont mis
d'un forum Euro-Américain est d'accord pour ne pas accorder
toujours à l'ordre du jour. Le dia- d'interviews à la presse pendant
logue entre ces deux régions du le meeting. Et lors des contacts
monde est plus crucial que avec les mèdias après la confé-
jamais. rence. il est de coutume de.ne
Ce que le mee ting
Bilderberger a d'unique . c'est le
jamais attribuer à des partici-
pants individuels ce qui a été dit
vaste éventail de citoyens impor· .
tanis qui sont réunis pour
durant ie meeting.
Il n'y aura pas de conférence
presque 3 jours de discussions
de presse. Une liste de partici-
infonnelles et non-officielles sur
pants est jointe en annexe.
des sujets d'actualité. en particu-
lier dans le domaine des affaires
étrangères et de l'économie
internationale ; les participants
sont persuadés que. vu les diffé-
rences d'attitudes et d'expé-
riences des nations occidentales,
il faut développer un accord dans
lequel ces préoccupations puis-
sent avoir leur place ; l'intimité
des meetings n'a pour seul but
que de permettre aux partici-
pants de dire ce qu'ils pensent
ou vertement et librement. En
somme. Bilderberger est un petit
forum international souple, infor-
mel et sans caractère officiel
dans lequel différents points de
vue peuvent être exprimés ella
compréhension mutuelle amé-
liorée.
Sa seule activite est sa confé-
rence annuelle. Durant les mee·
tings, on ne propose aucune
solution, on ne vote pas et on ne
fait pas de déclarations de princi-
pe. Depuis 1954, quarante-sept
conferences ont eu lieu. Les
noms des participa nts sont mis a
la disposition de la presse. Les
participants sont choisis pour
leur expérience. leur savoir et
leur rang ; tous assistent à
Bilderberg à titre personnel et
non à litre officiel. Il y a habituel-
lement environ 120 participants,
dont les deux tiers viennent
d'Europe et les autres
d'Amérique du Nord. Près d'un
tiers viennent des milieux gou -
vernementaux et politiques, et
deux tiers des milieux financiers.
industriels. ouvriers. ensei-
gnants. et des communications.
5.'1
 Coulisses de l'info
MEETINGS BILDERBERGER
-.Bolgoque
t-3,., 2000
USTF. DE PARTlCIPAHTS
3 jUin 2000

Abrhltrion.s
A Autncbe: 8 O.lgoquc. CH : Sunse: CNO : Canada, 0 Allcmagno: OK 0oncnwt: E E.p.gne; F ; Fronte; FIN:
Fonl•nde: GB : Grandc-Brcragne: GR : Grèce: INT : lnrcrn•nonal: 1; Ital~ IRL ; Irlande: KS · Kosovo: N : N<l<'~ge, Nl
: Pay•· &s: P : Ponupl: S : Suède: TR : Turquie; USA : Rtats·Unis d'An~riquc

Président d' Honneu r ancien Directeur. CJA

a : Dav1gnon. Etienne - P.O G., Société Génér3lc de
Belgique Secré1airc Généml d'llonneur
GB :Taylor, J. Martin - P.D.G .. SARL W.H. Smith Group,
ct Conseiller International. Goldmnn Sochs lntomational
1 : Agnclh, Goovanni - P.O G d'Honneur, Fiat SpA
1: Agnello. Umberto- P.O G. !FIL
E : Aguirn: y Gol de Bied ma • Président. Sénat Espagnol
USA : Alloire. Paul - P.D.G. de la Chambre des Directeurs
et P.O.G .. Xerox Corporation
1: Ambrt»ctt1. Alfredo- Amb<mctti Group
DK : An<J,'I'S<-n. BoJtl "!~boe- Goo•emeur, Banque
Centmlc du Danemark
CON : A.'pcr. lsmcl - P.D.G .. SARL CanWcst Capital
Group
IN : A~. Gr-.dwn - COOSCIIIcr Pnnc1pal en
Ac•orotSS<:ment. Comrnun;~utc Europeenne
P : Balscrrmo, Francisco Pinto - Enseignant en Scu!ncc <Je
la Communication, Nouvclio Université. Lisbonne, ét
P.D.G .. lmprcsa SGPS
S : Bomc"k. Perey - P.D.G .. ln,<:Slor AB
NL: &'11Sc:hop. Didc - Secrélairc d' Ew oux Affaires
Europ.."enoc-s
1: BemabJ, Franco- Rcpr.!,cntant Spécial de l'ltahc pour
les Initiatives de Reconstruction dans les Balkans
D: Betz. litll>YGr:ocg· Proros~ur Associé, Etudes
EuropQ:nnc:s. Caure D'Etu<k-s Ewopécnncs, Uni,ersilés
de Columb1a ct N,ow York
INT : Bildt. Carl· Envoyé Sp..'<:oal du Secrétaire Général
des Balluln~. Nations Umco
CON : Blll(;k. Conrad - Prl'>ul<nt. Telegraplt Group SA
IR.l: Brulon, John -le:Jd<!r <lu Fux Gael (patto de roppo-
\ltion)
GB: Buchanan. Robm w:r. - A.socié Prîncopal. SARL
Bain & l'o.
GB : Clruitc, K~'tlllCtb - Membre du Parlement
(C~f' 3tcur)
TR : Colakoglu. Nuri - P.O.G . NTV
F: Collomb, Bertmnd. P.D.G , Lafarge
D : Cronunc. Gerhard - P.D.G. du Conseil de Olrt'Ction.
f'hysseo Krupp AG
GR : DaVld. George A.• P.O G .. llellenic B<>tthng
Company SA
USA : Ocutch, John M.· Prùfcsseur de Drd1t, MIT. el
GR: Diamandoutos. P. Nduroro< ·Médiateur National
USA : Dodd, ChriSiopher J. · Sén:neur (o.!mocrate.
Conocclicut)
USA: Domlon, Thomas E. • Premier Vicc-Pn:sidcnt. Avocat
Gênéral et Sccrétain:. FannœMae
USA: Dyson. &ber - P.O G. SARL Edvcntun: Holdings
INi: Fréchette. Louise- S..-cr<~aore Gén.!r:~lc 1\djomte,
Nations Unie-s
1 : f'resco. Paolo- P.D.G .. Foat SpA
CND: Frum. Dam- Chroniqu.:ur.joomal du Nut1onal Post
P : Gouvaa. Tcrcs;, Patriao • Membre du Parlement (PSD}
USA : Graham. Donald E. - &lueur. The W3shmgton Post
USA : llagcl. Chuck - Sénateur (Républicain, Nebraska)
NL : Hal~ V~etor- Prof= d'Economoc, UnivcTSitt
de Leidrn. <t anacn S..'CTrt!ue Génètal HO<IOOlln:. Mc:etmgs
Bild~
N : Hambro. Chri,tian - Dorecteur Génér:1l, Conseol de la
Re-<: herche de NO<Vêge
A : Hampe!, Ench- P.D.G.• Crcdotanstah-Bnnkvcrcon
USA : Hwrh1son.. Kay Booky- Sénateur (Répubhc:ain. Te:u.)
8: Huyghc:bxrt.. Jan· P.D.G.. Almanij NV
B : Janssen, Damel E. - P.O.G .• Solvoy SA
S: Johansson. Lcir- P.D.G .• Volvo AB
USA : Johnson. James/\. - P.D.G., Johnson Capual P:u1ner-.
USA : Jor\bn Jr, Vernon E - P.O G.• l.azard f'rcn.-s &: Co.
LLC
TR : Kayhan, Muharrcm • Vocc-Président du Conseil. Sôktas,
ct ancit'1l PréSident. Tusiad
USA : Kissmgc-r. Henry A.- P.D.G .. SARL K~onger
Assoc~
0 : KOI'P"'.Ihlm:ar- P.D.G <lu Conseil de Sur":~IIJooe.
Ocutschc Bank A<i
USA: Kmvii,lk-nry R.- 1\so;ociê Fondateur. Kohlbcrg Kmvis
Roberts & Co.
USA : KraviS. Marie-JOS<.-c • P""mère Assoc~<-e. SARL
Hudson lnsmute
INi : lamy, Pascal -Membre de la Comrni>.:ooon Europ..'enn.:
F : Lêvy-Lnng. André- ancocn P.D.G.. Paribas
B : Lippens, Maurice • P.D.G , Bunquc Fonu
fl"' : Lipponrn. I'Œs'V • Prerm•"< \lin1stn:
USA : ~br~s. Jessie.> T. - Pfi.'Stdente. fondllloo Cameg1c
pour la Paox lnlml:llionale

NEX\JSN' tl - - -- - -- - -- - -- - - 26

56
USA McDonough. Wolham I · Prc"dent. Banque de la
R~~ Fedc:rnk Amcnc:une de /'.cw Yorl<
f Monlbnal,lboeny de . Oorec1cur. ln,utut Fnmçaos des
R~lations lnlanationalcs
INT. M-.,, Mtke. Olrccteur-Gco><:rul. Orgamsauoo du
Commerce Mondial
0 : Nass, Mullhias. Edncur AdJ'"'"· Doc Zeit
NL : La ~conc Beatrix · Sa Majc,ll!, ln R~ine des Pay<-Bas
cl de la Maoson d'Orange
fiN Ollola. Jorma · PDG du Conscrl de Oirtttoon.
Nokia Corpom~ion
I''T Pa.Jœ-Sc:hooppa. fomlli3SO . \kml>rc du COO><"ol de
Ol=uon. B.JnqUC Ccn1r.1k: Eurorccnnc
S Pagrot,ky. U,if · Mml\tr< du Commcnx
(iR · Papamlreou. George A • Mon l'Ire des AITaorc>
fotmng\.':rcs
S l'ct~wn. L:u-s-Eric • l' 0 G.. SbnJ~a
A . Pctrrts;.h, Wolfgang. Le Repré'Cnlanl Otftcoel de la
no,nic Cl 0..: I"Hcrzégovme. Cl NCgucnncur Principal de
I'Unoon l'ump6:nne lor.; Je< Pou.,.orlcn pour la Pa~< au
l...o-o'o .1 Rombouilld '" Pa"'
( l'ury. I>J' od de · P.O ( , de Pul') Po<t~t Tum·ttono & Co
'ii\
OK ltlsmU»Cn. Andcr. Fogh • P 0 <, •P3tu Lob<-r.ll
' Rcll<'ll. 1·" ond • Yocc· l'r<>od..'llt "'''ur:111t des Foocuons
de Oo~-ctoon G<'nirale. Gc,uun J 'l'nln:pnsc. Norsk lfydro
SA
USA : ~odwd>on. Br li · Mon""" de I'Fnergoe.
1 Rootoa. GoaMo · Edncur AdJOint. La Stampa
LSA · Rock deller. OJvod • P O.G • C'on<c•l Cunsult;~tof
lnlcmaiÎOI\31 de la Chase \13nhàuan lllnk
f Rodnguc1 lnciarte. \hi13S • Y~<:c·Pn:sodcnt assunnt
des Fon..toons de Direçtoon C..-nc'r.llc. BSCH
GO : Roll. Fnc · Conseollcr Pnncop:ol. UBS Warburg
1 . Ru~~~;ocro. Renato· v;,., l'rosoJcnl. 'ichroder SJiomon
Smnh Barney. ct P.D.G . Schmdcr SJiomon Smolh Burney.
l~loe
A Sc:hohcn. Rudolf · f\1cml>r~ du C'nn-..-ol
d'i\dminl\lrJilon. O.,..terrcocho•.chc Jo.. \lnlrollbank ·\G
8 Schouthc\.'le de Tef'<-amJI. PhohNJÇ de· 3ncoen
R~nt P~t de b BclgKJUC a n:noon
Europeenne
OK · Sc,.Jcnf><k'tl. Toycr . hJncur cn th.:f. Polout...:n
I~T Solana M...Jariag:~. J." rer · 5<-.:M~Irc C'"''ll<tal
Con<col Je I'Unoon Europccnnc
USA . Sorus. Cicurgc. P r> G.. Surus l· und M.lll.l)!~lll<nl
USJ\ Slcmbcrg. James FI • \JjtiOIII <lu Pr.·sodml ûc<
•\ll:.o~-s de o;...-curite 'l;uoon.olc
F Sorau,.. Kahn. Dom•n~<~uc • ""'''"' \hn~<IR de>
FonJnc"'· <'1 Professeur. Unl\cr<o!C Je r.ons
KS Surroo. \'eton · Edol<:ur. Koh3 Oolorc
IKL Soth.:rl.md. Petctl) P 0 G (,.>IJnwl S.....h,
lnlcmJuon.ol. '" P.O.G_ ~ \Rt BI' \llkX'O
USA . Tllrullu. O'Jnid K. • l'rllk'>coor ''''"''" <k Drtm.
Ccntr-: de Otult Univc("(lf.llrt.• de Gc:(lf~Ctu\\ n
li'> \ TOOmton. John L • P 0 Ci • ~ \~l GoiJnun Slcbs
Gmup
1 Trcmonll. (imlio- Mcmhr~ de l..1 ('~)fnrm_:,.sh.m Je!'~
--
Finances. Clumbrc des Oépulés
F : Tr~<:heo. Jean-Claude· Gou'cmcur. Banque de France
Cil : Vasella. Damel L. • P.D.G.. Novartis AG
NL · Vcer, Jeroen \1lll der· P 0 G. des sociê1ts du groupe
Royal Dutcb Sbell el Président Desognè. Royal Dutch
Petroleum Company
USA · Vink. LodcwiJk J. R. de · r.D.G .• Wamer·Lambert
Company
A : Vrnnotzky. Fran< · sncoen Chancelier Fédéral
S : Wallcnberg, Jacob· Présodent du Conseil.
Skandonaviska En,ki lda Bankcn
GB Wolf. :1.1arton • Edneur "-''•'-OC:IC Commcnt;lleut en
Economoc, The Fonancoal rïm.""
1 r 1 USA : Wolfen>Ohn., Jam~ 0 ., Prë.mlcnt, Banque
Mundiolc
D · Wolff von Amcnlf11:cn. Otto · P D.G.• Otto WoiiT
Gmbll
USA: Wolfowo~. Ptnol · Doyen. lnslitut d'Eludes
lnternouonalcs Supérocures de Nille. UnivcNill! John
llopk1115
Joumalo~ 1 Reportet\
GB • Mocktethwaot. R J<1hn • tidolcurs des flats-Un15, The
Economrsl
G B Wooldridge. AdnJn 0 • C""""fl(Jld:oot ,; l'Etranger.
The EcO<IOillisl
NOUV EAU P, D.G. 8 1LDERBERG
Vicomte Etienne Davignon
Vice-président de la Commission Européenne
dans les années 1980. le Vicomte Etie nne
Davi~non est le P D.G. de la Société Générale de
Belg1que- un immense conglomérat bancai re et de
service public en Bclg1que. Il est également
Préside nt de la Tab le Ronde Européenne des
Indus triels, q ui élnbon: une polit ique nnridémo-
cra uque que la Commisston Euro péenne doi t
mettre en application.
Da vignon est membre fonda teur ct Président de
l'Associatio n pour l'Un ion Mo nétaire de
l'Europe. membre de la Commission Trilaté rale
de David Rockefeller ct de lïnstirut Européen de
Washmgton, ains1 que 01rccteur des Activués
Minières Anglo-Amcric:unes. Il étaiî, et il est pos-
sible qu'il soit encore, Gouverneur de la
Fondauon Ditchlcy. ct panoc1pe à la direction de
Kiss1ngcr Associafl.:·s.
(Source : . Site lollc rn .:t de Tony ÇJ os lin g .
htt://www.blldcrhcrg.org/2000.hun plus liens vcf'l!
d'autrl'S sites en rapport .J\CC le sujeL)
27
57
: EXTRAITS DE l 'ARTICLE DE NEXUS 11(p.
YOUGOSLAVIE
LES· «HORREURS» DES MÉDIAS
ou comment falsifier et diriger les informations
Dans une guerre, la vérité est souvent la première
victime, ainsi que le montrent les nombreux mensonges
proférés par les médias pour le profit du camp qui les contrôle
lors du conflit dans les Balkans.
LES SERBES PRIS POUR CIBLE
endant près de dix ans. le publtc américain n élé
P bombardé par une camp:tgne médiatique orches-
trée d~ns le but de diaboli...,r le peuple serbe et ses
chefs élus. Dur:tnt cene période. le gouvcm.:ment
américain a poursuivi son objeCllf qui était de scind~r la
Yougoslavie en un groupe de petites princopautès raoblcs.
dépendantes. dotées d'une 1..'conomie de marche. La
Yougosla.vie était le seul pays d·Europe de l'Est à ne pas
vouloir démanteler son état-providence ct son économie
de secteur pubhc. C'éuut le seul pays qui ne supplinot pas
d'entrer dans l'OTAN. La Yougoslavie suova11- et ce qu'il
en reste continue à le faire- un chemin indépendant c:n ne
s'alignant pas sur te Nouvel Ordre Mondoal.
Parmi tes do rTéreniS peuples yougoslaves, on a pns les
Serbes pour co ble er\ les diabolisant parce que c'était la
nationalité ta plus nombr~'USe et c.:llc ta plus opposée :i t •~­
clatcmem de ta Yougoslavie. Mao< que dore des atroc11és
qu'ils om commises? Tous tes camps ont commts des
atrocotés dans le combat qut a etc cncourag~ par lc:s puis-
sances occidentales au cours de ta d~mtère décenmc, mais
le compte-rendu qui en a ~lé fait a ét~ immanquablement
pantal. Les ciTroyablc.s atroctu!> des Croates ct des
Musulmans contre tes Serbes ont rarement été rapponées
dans ta presse américaine. et lorsqu'elles l'onr été, on ne
les a mcntionné<'S qu ·en p3SS3nt ' Pendant ce temp.<. on
inst>tatl sur les "uocilé$ des S<-rbcs èl parfois mèmc on en
invcntaiL comme nous le verrons.. J...
«Où étaient les cam.!rns de t~lc' tsion pendmt que des
ccntamcs de Serbes <e faisatcnt massacrer par des
Musulmans à cil~ de Srcbrenica ?>~ La reponse ofticictte.
fidèlement rappon.X dans ks media am<'ncatns. c ·L~t que
les forces serbes bosmaqu<'S ont commis toutes ces atro-
cités à Srcbrcnica.
Dcvons.-nous faire confiance ault dirigeants aménL-ntns
et au.~ méilia d'onlormauons detenus par des corpornuons
lorsqu 'tls nou$ scrvem des récits d'arrocirés "! Vous sou-
venc;:-vous des 500 bébés prématurés que les soldats tro-
kiens om arrachés de leurs COU\~u,cs en nam au Ko"eït
? Onu répété ct cru celte histoire J"~qu'à ce qu 'on n:,efe.
des années plus tard. qu ·elle avall eté inwntf-e de toutes
NEXUSN'II
58
---=---- Par Michael Parenti,
Docteur en philosophie
02000
.......__-
$<~ , _ - orth<Yfl pof-""
Michi>el Pareffli: HYPERt.ONK
'hltpJ/WWw mOc:hae<p"""'" on)/'
- -"""'""'"""'"" Otgl
pièces ... ) ...
Pendant la guerre en Bosnie. en 1993. on a accU><: les
Serbes de suivre une pol11ique ofticielle prônant le 'ool.
«Allez-y et violez», aurai t publiquement ordonne à ses
troupes un commandant serbe bosniaque. On n·a jamais
pu remonter jusqu'à la source de cene ht>Cotre. On n'a
jamais donné le nom du commandant Pour ce que nous
en savons. de telles paroles n'ont JamaiS cté prononcée-s.
On a accusé les Serbes de t 'inf:imc maSS3<.'1"C du marché
de Sarnjevo. Mois selon le reporwgc divulgué à la télévi -
sion française. les servtccs secrets occidentaux s:J\;IIt:nt
que des agentS secretS musulmans avaient prepare l'ancn-
tat dont furent vtctimes des civtiS bosniaqucs sur la place
du marché aftn de provoquer l'intervention de 1'0 rAN.
Mème le nêgociateur international Lord (David) 0"''"·
qui travaillait avec Cyms Vance, a reconnu dans ses
mémoires que les puissances de l'OTAN savaient depuis
toujours qu'il s'agi.o;.'lait une bombe musulmane.' Barry
Lituchy relève que te New York Times a puhlié une photo
supposée représenter des Croates s'anligcant des atro-
cités serbes. quand en faot les me un res avatenl êtê comm"
par des Musulonuns bosmaques. Le Times a publo~ unc
vague rétractation la semame suivantè'....l ...
LE TAPAGE MEDIATIQUE AUTOUR DE LA PUR I-
FICATION ETIINIQUE
Nous devrions garder à l'esprit que des dizatn<'S de mol-
liers de gens se wnt auss• enfuis du Koso\0 p:uw qu'tl
était bombardé tmpitoyablcmcnl par l'OTAN. ou p.orce
que c'étaitle théâtre d'un coonbaltcrrc:strc entre kc:~ forces
yougoslaves ct l'Armée de Lib<'rauon du Koso' o la KL'\.
ou just~ parce qu'ils étatent tcrronsé$ ct utTanl~5. Vne
equipe de joum:t 1istes s·est empressee de demander à une
Albanaise qut pénétrait en Macédoine si elle a\ ait ctê
chassée de force par la pohce serbe. Ette a répondu : «I l
n'y avait pas de Serbes. Nous avion~ ~'UC des bombes (de
I'OTAN).'»II a fattu queJ~ lise cela dans le San FranctS<.'O
Bay Guardian. un hebdomadaire paratl~lc - Cl pas daM tc
New York Times ou le Washington Post. ..'...
Au début de la guerre. Newsday a rJppone que 1•
16
Grande-Bretagne ct la Frunce cnvisagc;uem séneuscment
de la ncer do;;; «assauts de commandos au Kosovo pour bn-
ser le scénario des ma_~sacrcs serbes en vers les
Albanais»." Quel scéna n o visible de massacres ? Bien
.:ntendu, aucun a_o;.saut de commando n'a été lancé. mais
l'aruclc a aucint son bu1 qui était de promouvoir une
image de tueries ... J...
Un article du New York Times diiTuse dan~ le monde
entier, in1i1ul.! «Le rappo rt des Elats-Unis ex pose les
attaques serbes au Kosovo», nous apprend que le
Départcmenl d'Etal a publié « le roppon écrit le plus com-
plet sur les nlrocités jusqu ':1 ce joum. Le ruppon a conclu
qu'il y aval! cu des viols organisés ct des cx.!cuuons sy•l.!-
mati\llh.:s. Mais au fur et a mesure qu'on nvanœ dm1s l',tr-
ucle cl qu ·on le Iii avec plus d'attcnuon. on découvre que
les r.oppons du Départe ment d'Etat 'ur de tels crimes
« ... dépendenl presque entièrement d'infom1a11ons
rceuc1llies dans les récits des réfugiés. On nc sugg~ran
Jl'lS que les agences des services sec reiS améric:uns a' a1"nt
pu véri fier la plupan. ou même un bon nombre. des
récits ... ct l<.:s exprcs.~ions «il parait» et «:1 ce que l'on pre-
ICnd» figurent toul au long du docum<.'lll.>>"
La journa liste bntanniquc Audrey Gillan u mtcrvic\\é
J ...-s ...:ru giés Jo Koso' o sur ces atwci1.:-- Cl a cnn~-.u~ un
manque impressionnunt de preuves ou Je délails crédible~.
Un porte-parole du llaut Commts..ariat uux Rdugiês Jcs
Na1ions-Unics a parlé de viols e n ..<!rio: cl de cc q ui sem-
blait être: d ...-s ccntamcs de m~urtrcs dans !rots 'illag~.
mais lorsque Gillan a inshlt pour ob1c111r des tnfomu-
tioos p lus prêcises. il a réduit cons id..!rablcmenl cc chtll'rc
â cinq ou stx adolescente> ayant clé ,.,climl-s de
viol. Mais il n'aval! parlé à aucun témoin ct a
reconnu, «Nous n'avons aucun moyen de
vérifier ces r6cil~). '~
LES «CHARNIERS» QU I DISPA-
RA ISSENT
Le 19 avri l 1999. tandis que les
bombardements de 1·0TA ~ sur la
Yo\1goslavic se poursuivaienl. le
Département d.Etat a annoncé que
500000 Alban:tis du Kosovo uvaicnl
disparu el qu'on cmignait qu ïls ne
soient morts. Le 16 mai. le s..-cr...'tnt-
rc d'élnt à ln DCfcnsc William
Cohçn, nnctcn sénu1eur républi..:atn
du Maine Cl mainlcnant en pos te
dans l'adroimsrration délllQCrate du
Prêsidcnl Climon. a affim1é ' lu.:
100000 Albannis en .ge de combattre
a•atent disparu et pourraiem :t\Oir ch!
tués par les Serbe~. O..-~ chiiTre' <i
variables mn•~ si afTreux. i,;~u, de
sources otlïciclles. n·om p:1s ~té remis en
qu~-sùon par les m.S.ha ni par les nombrcu'
libéraux qui soUicn:ucm «l' opër:llion <k
~<..'COun humanitair.:» de I'OTA'I PJrm1 Cc>
derniers. on comptait Cl'rl.tins membre. du
Congrès supposés progn:s.,l'lcs qut ><.~nbl.nelll crm-
re qu'ii> e~aicntlc> temoms d'un autre Holocauste nazi.
Comme dans les con niL~ croate el bosniaque, l'image
de lueo"" a étè une fo1s encore lancée dans les média.
Dan> leurs reportages quotidiens, les média ne cessaient
de publier des allusion> non confirmées à des «chamtCrs>>
so1 -disan1 remplis de centai nes ou mème de m ilhe rs d~
vtctimes nlbanat>c~. En septembre 1999, Jarcd Israel a
redtcrchè ~ur lntcme1lc.~ articles de JOUrnaux qui avaient
paru au cours des trois mois précédents et contenaient les
mots «Kosovo>+ Cl «charnier». La réponse est tombée :
<• r lu> de 1000 - une 1ro p lo ng ue liste». Limitan t se s
recherche> atLx articles du New York limes. tl a rmi avec
!lO.Irllclc,, pre<quc un par jour. Pourtant lorsqu·i l s'ngis-
s:ttl d.: dnnncr de' preuves concrète~. les chamiers ~m­
blatcm d"paraitn:.
Ain~i. ;\la mi-Juin. le FB I a envoyé une équipe insp.:c-
ll'r deux des Sile> repertonés danS l'accusation de crirtcs
•k gul'trc C<>lllrc Slobodan Miloscvic. l'un contenant soi-
dt-..tm <i\ 'tctimc.. et l'aurre vtngl L'o.'quipe n embarqué
50 wnne, de ma1C:nc l au Kosovo pour s'oecuperde cc que
l'on app.:l.lll tt!..- plus gr.md thé:itre d'action crimmclle de
l'h"toirc médico-l~gak du FBI», ma1s e lle n 'a fait ~tai
d',tucun charnier Peu de temps après. le 1er juilh:t. l'é-
<Jlnpe Ju Hll cs1 rcn1n..'c ct. choo;c curieuse. san> rien a>"oir
à dm: ~ur :r-un inspection~ .,
Le, "''JlCriS mcdtco-kgaux des pays de l'OTAN ont
connu une cxpcnencc si mi ktirc. Par exemp le, on a
d.:n1.1ntk J une ,'<!u•pc m~.-dico-lo!gale <.~pagnol.: de sc: pni-
p.lrcr ~au moins :!000 .tulopsics mais elle n'a trouvC: que
187 corps. g.:némlcmcm cmcrrës dans des tomb...-s indivi-
duelle' ~tne pr~'s<:nwm aucun "gnc de massacre ou de lor-
lure.
La
plu-
·-
pan
sem-
•. u ... , •••
59

ARTICLE NEXUX N° 19
ME DIAS
Des militaires spécialistes des
"opérations p sychiques"
ont travaille chez CNN
e j uin t999 à mars 2000, CNN a employé des militaires spécialistes
D des "opérations psychiques" (Psyops) dans ses studios de radio ct de
télévision du sud-est.
Au total, CNN a accueilli cinq membres du personnel interne des Psyops
de 1' année américaine : deux pour la télévision, deux pour la radio et un
pour des opérations pa r sate llite. Le personnel de l'armée/de CNN
appartenait au Quatrième Groupe Aéroporté d'Opérations Psych iques, en
garnison à Fort Bragg, en Caroline du Nord. L'une des tâches principales
de ce groupe de presque 1200 soldats et officiers consistait à propager
"des informations choisies".
Ce groupe de propagande a été impliqué dans la Guerre du Golfe, la
guerre en Bosnie et la crise au Kosovo. Le personnel militaire est resté
chez CNN pendant au moins deux semaines ''pour arriver à comprendre
cette entreprise et élargir leurs horizons".
Pourtant, les gens des Psyops à Arlington n'ont pas été entièrement
satisfaits de la gestion des info rmations pendant la guerre en Serbie. Selon
eux, trop d' informations concernant les résultats des bombardements ont
fait surface.
Les reportages de CNN et d 'autres couvertures médiatiques sur la
guerre au Kosovo se sont attirés des critiques parce qu'ils manquaient
d 'impartialité. qu ï ls faisaient bien trop appel aux sentiments, q u ï ls
étaient s implifiés à l'extrê me e t reposaient beaucoup trop sur les
responsables de l'OTAN. D'autre part, les journalistes se sont plaints de
manquer d ' informacions fiables de la part de l'OTAN pour la quasi-
totalité d'entre eux, il était impossible d'être sur le champ de bataille et de
produire des reportages avec des infonnations de première main.
Réf érence: • All!.\'<llllier Cockhurn, ··cNN er/es Psyops", CounterPunch. 16./i!l"ril!r et
/er mars 2000. 11'11 ~~ ·.counterpunch.orglcnnpsyops.html
60
ARTICLE NEXUX N° 19
PANORAMA DE LA GUERRE ANTITERRORISTE.
PAR JIM MA RS 2001
S'il subsiste des questions à propos des attaques du l 1 septembre, alors il
faut aussi s'en poser sur les intérêts qui motivent les USA à se faire les
champions d'une guerre contre le terrorisme.
Les v éritables victimes de cette gu erre seront les citoyens
américains moyens et les Afghans affamés .. ./...
Cette nouvelle guerre s'apparente à celle, à jamais perdue, contre
la drogue et à cette autre, toujours oubli ée , contre la pauvreté .
.. ./ ... Pareillement à ces campagnes sans issues, la guerre contre le
terrorisme nous lancera tous s ur la voie des atteintes aux libertés
individuelles, de l'autocratie et de l'omniprésence de la peur. . ./ ... Les
guerres du pétrole.
.. ./ ...
La guerre du Vietnam fut orchestrée par des hommes proches de
Roosevelt et du Conseil pour les Relations Etrangères (CFR), qui depuis
longtemps as piraient à s'assurer le contrôle des richesses en pétrole, en
magnésium et en caoutchouc de l'Indochine. Là aussi, une provocation fut
créée.
. . .!...
La guerre du Golfe fut une affaire de pétro le.Aujourd'hui, l'enjeu véritable
est le riche gisement de pétrole de la mer Caspienne,
.. ./ ... mais il fallait un contrôle sur l'Afghanistan pour assurer la sécurité
d'un oléoduc qui acheminera it le pétrole vers les marchés mondiaux.
.. ./...
Aujourd'hui , on peut montre r q ue l'action militaire contre
61
l'Afghanistan était déjà dans les cartons longtemps avant les attentats du
ll septembre.
Le correspondant de la BBC, George Arney, a rapporté que l'ancien
secrétaire aux affaires étrangères du Pakistan, Niaz Naik, avait été averti,
dés la mi-juillet, par des officiels américains, qu'une action militaire
contre l'Afghanistan serait lancée vers la mi-octobre.
.. ./...
Questions concernant les attaques du li septembre.
En apparence, tout semble assez clair. Selon la version officielle.
environ 19 terroristes moyen-orientaux suicidaires, le coeur gonflé de
haine envers la libre et démocratique Amérique, détournèrent quatre
avions de ligne, en précipitant deux dans les tours jumelles du WTC et un
troisième dans le Pentagone. Selon le rapport, le quatrième s'écrasa dans
l'ouest de la Pennsylvanie après que des passagers se battirent contre les
terroristes.
Mais cela soulève de nombreuses questions dérangeantes. Entre
autres:
* Pourquoi les militaires US étaient-ils en train de préparer des plans
d'attaque contre l'Afghanistan des mois avant les attentats du Il
septembre ? Attendaient-ils un événement de nature à pousser le public
américain, habituellement amorphe, dans une logique de guerre. comme
par le passé ?
* Comment a-t-on pu trouver, dans les ruines du WTC, des documents
compromettant Ben Laden, alors que les boites noires. conçues pour
résister aux accidents, étaient endommagées au-delà de toute récupération
? Défense de Reagan; James Baker, ancien Secrétaire d'Etat de Bush ct
* Pourquoi la tour sud du WTC s'est-elle effondrée la première, alors
qu'elle n'était pas aussi profondément endommagée que la tour nord. qui
brûla pendant près d'une heure et demi avant de céder ?
* Comment se fait-il que de nombreux témoins disent avoir ent~ndu
d'autres explosions dans l'immeuble ? Et pourquoi la destruction de ces
tours a-t-elle pris davantage l'allure d'une implosion contrôlée que d'un
accident tragique ?
62
* Si le vol 93 de United Airlines s'est écrasé suite à une lutte entre les
pirates et des passagers courageux, comment sc fait-il que des témoins
parlent d'un deuxième avion suiveur, de la chute de débris incandescents,
du fait qu'il n'y a eu aucun cratère d'impact profond et que les débris sont
éparpillés stir une étendue de 10 km, tout cela étant plutôt révélateur d'une
explosion en l'air ?
.../...
Il faut savoir aussi que pendant la guerre du Golfe Persique, des
pistes d'envol pour les avions amé ricains furent construites avec
l'assistance de Binladen Brothers Construction (devenue a,ujourd'hui la
Saudi Binladen Group). Les frères Ben Laden étaient alors considérés
comme "de bons amis du gouvernement américain."
Plus tard, la firme de Ben Laden fu t encore engagée pour
construire une base aérienne américaine en Arabie Saoudite, nonobstant le
fait que Osama Ben Laden avait déjà été accusé de l'attentat au camion
piégé qui tua 19 américains dans l'explosion des tours Khobar à la base de
Dhahran. Un journaliste du WorldNetOaily commenta la chose comme
suit : "Alors, soyons clairs. Osa ma fait sauter nos installations et sa
famille ramasse le contrat pour leur reconstruction. Ne trouvez-vous pas
qu'il y a là quelque chose de plus que ce qui apparaît à première vue?"
Il y a un autre lien entre Ben Laden et la famille Bush : une firme
du nom de The Carlyle Group, soc iété privée d'investissements
internationaux pesant douze milliards de dollars. Bien que le site Web de
cette société ait été supprimé depuis le Il septembre, on sait que parmi les
cadres de Carlyle se trouvent Frank Carlucci, ancien Secrétaire de la
Richard Darman, ancien lieutenant du GOP [parti républicain]. Le New
York Times rapporte que l'ancien Président Bush put prendre des
participations dans les investissements de Carlyle, lesquels comprennent
au moins 164 compagnies à travers le monde.
Selon le Wall Street Journal (du 28 septembre 2001) : "George
H.W. Bush, père de l'actuel Président, travaille pour les affaires de la
famille Ben Laden en Arabie Saoudite par l'intermédiaiœ du Carlyle
63
Group, une société internationale de conseiL" Le chef d'état-major de
Bush seni or a confirmé que ce dernier avait envoyé une note de
remerciements à la famille Ben Laden, après une visite de courtoisie au
début de 200 l.
.. ./ ...
Les enchevêtrements d'affaires impliquant les leaders politiques
américains anciens et actuels et des hommes du Moyen-Orient deviennent
particulièrement suspects lorsque l'on apprend que plusieurs firmes
américaines font l'objet d'enquêtes pour ventes à découvert [dé! its
d'initiés] ayant eu lieu immédiatement avant les attentats du 11 septembre.
La vente à découvert trahit la connaissance anticipée.
. . .1 ...
Même les Russes étaient au parfum. Une directrice de recherche à
l'Institut de Recherches Economiques attaché au Ministère Russe du
Développement Economique, la Dr. Tatyana Koragina, bénéficia d'un gain
de crédibilité pour avoir prédit, en juillet, qu'une catastrophe
exceptionnelle allait frapper les USA à la fin du mois d'août et secouer
l'économie. Dans une interview à la Pravda, elle déclara : "Les Etats-Unis
ont été désignés comme cible d'une attaque financière parce que c'est là
que se trouve le centre financier de la planète. L'effet sera maximal. Les
contrecoups d'une crise économique se répandront sur la planète."
.. .!...
Lorsqu'on lui demanda qui oeuvrait derrière ce plan odieux, elle
répondit que ce n'étaient pas les 19 terroristes identifiés par le FBl, mais
plutôt un groupe plus important qui cherche à remodeler le monde. Elle
dit que ce groupe, constitué de personnages privés extrêmement puissants,
contrôle un pactole totalisant environ trois cent milliards de milliards de
dollars et projette d'installer son pouvoir sous forme d'un nouveau
gouvernement mondial.
.. ./ ...
64
Un des dirigeants occidentaux qui soutint Hitler et sa politique fut
Prescott Bush, grand-père du président George W. Bush. Les méthodes
qu'Hitler utilisa pour accéder au pouvoir absolu ont dû l'inspirer.
Depuis l'incendie du Reichstag, le clan Bush et ses associés du
Conseil des Relations Etrangères, de la Commission Trilatérale et des
Bilderbergers ont souvent réédité la tactique d'Hitler, qui consiste à créer
un problème, à proposer une solution draconienne et à faire progresser
leurs plans grâce aux compromis qui s'en suivent.
Le véritable ennemi est celui qui a fomenté les attentats terroristes
du Il septembre. Osama Ben Laden, si étroitement lié aux intérêts
financiers du clan Bush et de la CIA, en est peut-être le cerveau, à moins
qu'il ne soit qu'un bouc émissaire; encore une provocation destinée à
lancer les Américains dans une nouvelle guerre du pétrole.
Nous devons nous demander avec lucidité où se trouve la véritable
source de terreur : dans le chef d'un fanatique barbu d'un pays défavorisé
du Moyen-Orient, ou auprès de ceux qui profiteraient d'une mise en
lambeaux de la Constitution des Etats-Unis au nom de la défense des
libertés.
A propos de l'auteur.
Natif de Fort Worth au Texas, Jim Marrs est un auteur remarqué et
enquêteur dont la carrière débuta en 1968 comme journaliste au Star-
Telegram de Fort Worth. Après avoir servi dans la guerre du Vietnam, il
devint le rapporteur des questions militaires et aérospatiales pour ce
journal.
Traduction : André Dufour
65
SUR L' INTERVENTIONIS M E, PAR LE GENERAL-MAJOR SME DLEY @ Email News- @ Email News - @ Email News - @ Email
BUTLER.

La guerre est un racket. Elle est menée au profit d'un tout petit
nombre aux. dépends des masses. De : Réseau Voltaire <redaction@resauvoltaire.net>
Cela peut sembler bizarre qu'un militaire comme moi fasse de A : Sources ouvertes <redaction@resauvoltaire .net>
telles comparaisons. Je le dois à la vérité. J'ai passé trente-cinq ans et Objet: Les liens financiers occultes entre les familles Bush et Ben Laden
quatre mois en service militaire actif au sein de la force la plus efficace de Date: Mar 16 Oct 2001 12:10
ce p ays : le Corps des Marines. J'ai gra vi tous les éch elons d e
commandements depuis sous-lieutenant j usqu'à général-major. Et tout au
long de cette carrière j 'ai consacré ta majeure partie de mon temps à être A QUI PROFITE LE CRIME ?
un gros bras de haut niveau au service du Big Business, de Wall Street et
LES LIENS FINAN CIERS OCCULTES ENTRE LES FAMILLES
des banquiers.
BUSH ET BEN LADEN
Bref, j'ai été un escroc, un gangster pour le capitalisme.
A l'époque, je ne faisais que soupçonner que je faisais partie du
racket; aujourd'hui, j'en suis certa in. Comme tous les membres de la
A la fin des années 80 , alors qu'il dirigeait I' Harken Energy company,
profession militaire, je n'ai pas eu de réflexion personnelle avant d'avoir
une petite société pétrolière texanne, George W. Bush fit fortune en
quitté le service. Mes facultés mentales sont restées "en arrêt sur image"
emportant le concession pétrolière du Bahrein. Ce marché truqué était la
tandis que j'obéissais aux ordres de mes supérieurs. Le phénomène est
rétribution d ' une rétro commission sur les ventes réalisées par le président
caractéristique de quiconque est en service militaire.
Bush père a u Koweït. L'opération impl iquai t divers interméd iaires
saoudiens, dont Salem Ben Laden, frère aîné d ' Oussama et actionnaire
J'ai contribué à sécuriser le Mexique, et en particulier Tampico, en
d'Harken...
faveur des intérêts pétroliers américains en 1914. J'ai aidé à faire de Haïti
et de Cuba des lieux accueillants pour que les gars de la National City
Bank puissent y gagner de l'argent. J'ai participé au viol d'une demi~
douzaines de républiques centraméricaines au profit de Wall Street. Elle
est longue, la liste des escroquerie. J'ai assisté au nettoyage du Nicaragua
pou r la banq ue internationa le de Brown Brothers en 1909- 1912. J'ai
ouvert le chemin en république Domi nicaine pour les intérêts américains
dans les exploitations sucrières en 1916. En Chine, j'ai veillé à ce que
Standard Oil puisse travailler sans encombre.
(Source : extraits d'un discours prononcé en 1933 par le Général-
Major Smedley Butler, USMC).

66 67

Et maintenant que faire ?
Certains le disent, d'autres le font•••
Certains le disent, d'autres le font•.•
Certains le disent, d'autres le font ••.
JOSEPHA ALOMANG
Cette femme a soutenu les papous contre une grande multinationale
minière. Les peuples de la province indonésienne d'Irian jaya ont eu
l'indicible maladresse de mener une vie paisible sur l'une des plus grandes
mines d'or et de cuivre du monde.
Une entreprise de Louisiane "freeport Macmoran Copper & Go/d"
dé cide d'exploiter l'endroit sans autre forme de procès. les Papous
p rotestent pacifiquement... l'armée Indonésienne intervient le leader
Josépha est enfermée dans un cloaque en 1994 et torturée durant sept
jours. Elle continue ses activités et enfin en Mai 2001 le gouvernement
Indonésien se penche sur les méthodes douteuses de la multinationale.
Nous ne savons ce qu'il adviendra mais Josepha Alomang ne recule
devant rien pour faire respecter les droits de l'Homme.
D'APRÊS L'ARTICLE DE ERWAN LECOMTE REVUE "JONAS" JAN./ FEV. 2002
68
LU DANS AGENDA PLUS {FEVRIER 2002)
JEUNESSE INTERNATIONALE :
Un jeune américain de Il ans, Gregory Smith. en tant que porte parole
des" centres de compassion pour enfants" et fondateur de jeunesse
internationale, voyage à travers le monde pour encourager les personnes
influentes et les dirigeant~· mondiaux à considérer les enfants comme étant
la ressource la plus précieuse et à concenlrer leurs énergies "à
l'édification de nos sociétés et non à leur destruction".
Gregory est l'un des plus jeunes diplômés universitaires;
Actuellement, il étudie l'impact de la guerre et de la violence sur les
enfants du monde entier en vue d'un diplôme en psychologie. "Moi aussi
j'ai fait un rêve, dit-il (cfr Martin L.King) tm rêve de choix moraux. J'ai
rêvé d'un monde qui puisse se servir de ses connaissances el de ses
ressources pour le progrès de J'humanité et non à son
détriment. "(International youth Advocates. USA)
OSCAR OLIVERA SE BAT POUR L'EAU ET LA VIE
Lauréat 2001 du Goldman Pri::e. il se bat pour que les Boliviens
puissent consommer l'eclll sans la pC~yer hor.<; de prix.En 1999 sous la
pression de la banque mondiale censée /'aide1: le gouvernement bolivien
confie le système d'exploitation de J'eau à un consortium international. La
compagnie m1gmente tellemenl les /ar!fç que l'eau en devient inaccessible.
Oscar Olivera proteste accompagné de milliers de ciwwns. L'armée inter-
vient 0/ivera se cache dans la jungle mais continue s~n action. JI obtient
enfin que le système d'eau de la ville soit confié à la Coordinaro dont il
est le leader. "... Nos simples journaliers. paysans, ouvriers du
laheur,hommes. femmes enfants el vieillards ont montré au pa_\-'S et au
monde entier que vivre debout etait encore possible. "
D'APRÉS L'ARTICLE DE EWAN LECOMBE REVUE JONAS JAN. ! FEV. 2002 .
69
 A QUI PROFITE lA MONDIALISATION

Trois Américains réunis possèdent à eux seuls une fortune supérieure

aux 49 pays les plus pauvres.
Ii s'agit de Bille Gales, Paul Allen cofondateur de microsoft et Warren
Buffet l'investisseur. les hommes d'affaire de ce type grace à la
mondialisation sont capables de racheter leurs concurrents étrangers, ils
créent de gigantesques groupes internationaux. Ainsi, ils peuvent imposer
de bas prix aux fournisseurs et vendre leurs produits aux prix forts dans
les pays riches. ··
Comment peut agir un état face à une entreprise dont le chiffre
d'affaire annuel est supérieur au PIB de la Russie ? (c'est le cas du
pétrolier Exxon Mobil)
Les pays pauvres sont les perdants de la mondialisation: ils devront
fournir main d'oeuvre et matières premières à bon marché.
"Je définirai la mondialisation comme la liberté pour mon groupe
d'investir où il veut pour produire ce qu'il veut, en vendant où il veut et en
ayant à supporter le moins de contraintes possibles en matière de droit du
travail et de conventions sociales. " affirme avec cynisme Percy Barnevik
ancien patron du géant ABB

D'APRÊS l'ARTIClE DE TATIANA KALOUGUINE, REVUE JONAS JAN./FFv. 2002

70
~LA
SAGESSE
EN
REPONSE
A LA VIO-
LENCE
D~rlaration du Club du Buda~t
Le< ;oii<OUII~ 'uacadc liu Il '"l>l<nlbrc
sur le Wodd Tradc: Center <le New
Y~>t'. ct le Pcnügoc>c de \\~n~ton
ont cté des en~ conttl' l.a "<
hum.unc ct toutes 14.~ ctvlh'UHOfb
NOU!I ~•mdamnons a:c:t .a;:tc de tcm'f'l'·
mc ct .appelons part<>ul tbm k m.ondc
les po:uplc<. pac• tique• 1:1 at~;~o;h.-. ""'-'
~•ku" mor:tk-s A •"unar pour mcun:
lin au tcrror~<mc: c t ~ la '"'lcn.:c ">IlS
toutcS""' (onnes ("c n'es~ p.b rn"'"""'
des tnnoccms e1 rn dctru•""'t ku"'
heu• de tn~atl 1:1 lcun h:Jbt~:~uons que:
l"on resoudra 103 problèmes .la•>< le
monde
S1 0016 >wfoos rt.b.>~t à .:rn.ltqlk."l Il
viOlence c t le tern>rhmc d.Jn< fe
monde, nous tlc'o"' nglf avec "'i:l"'"'·
On ne vu:ndra pas à buul de la 'll>lcn·
cc 1:1 du tcrronsmc a'cc da ~"!'(C·
satllcs bobces sur le pnncq>e ml pour
crol dent pour dcnr l.cs nK"IIlf:'\ ~
nllèru tic: la VIUfcfi<'C MXll COft>UICO.
bten plu• proiOnd """ l'cng;.g.:mcnl
fttn:UM{UC des IC1Tornld Clio fC\Cndl·
cation< n:hg~cuses de> (on.J.,mcnl.t·
lo"'c:s. Tuer un groupe de terron<lc' ne
~ra pas le prt>bl.!mc UJnt 'l"" 1~
I"'ICtncs sootli. d"autn:< pn:ndront leur
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La tcrrror qui surgll ù.tns le nlOfklc
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Dr Robert MI'LLER
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P"'"''"' ' """ \ "JO· ltl>·t!r 1001
71
LA PAIX
Article tiré de féli-Cité26
AU MOYEN-ORIENT
-----------·
"Briarpatch"
A lors que le Moyen-Orient connaît les pires moments de violence
depuis des décennies, les appels à la paix et à la modération sont
largement passés sous silence par les médias. Pourtant des efforts de paix le Brl•,.,..tch est un exemple d'ent~prises et cl"honames à
sont à l'œuvre depuis de nombreuses années ct les dirigeants relig ieux 1•espt"it pionnier qui S4Hihaitent introduire clans le monde
e xhortant les masses à la violence sont des exceptions et non la règle. des affaires la responsabilité sod•le at Ja consdence de la
Exemples : collectirité. Il fonctioftae depuis 1911 aua USA. lié à San
- le sheik Abu Saleh el Refai, un leader arabe vivant en Palestine, il y a Francisco, il s•est princip;dement dé'ldoppé.., Califon~ie et
deux ans, a ouvert les portes de sa mosquée aux juifs, après avoir vécu
une profonde expérience religieuse. Récemment il a été convié à prendre intéresse maintenaat les Européens (Suèd•. Grat~de
la parole en tant qu'invité à une synagogue à Atlanta. (Atlanta Bretagne) et les Japonnais. Plus de 1000 entreprises sont
Constitution - USA) pames par ce réseau où vafeun éthiqiMs et rentabilité
'
- Moawiya kabha, chauffeur ambulancier arabe, a sauvé des juifs à coexistent de façon très performante.
maintes reprises. «Nous sommes tous des humains, dit-il, et nous devons Résultat conuet : le tawr de d.rition des entreprises dq
nous comporter les uns envers les autres avec respect. il n ' y a pas de juifs réuau, dans Jeun 3 premières années. est de 10-15%
et de musulmans, il n'y a que des êtres humains>>. (The Strait Times - contre 75-80% pour les USA en géfténl
Singapour) Les valeurs de base du • & eau SCMtt les suiYantes :
Le lendemain de l'attentat suicide du 9 aôut à Jérusalem, J'association
pacifiste israélienne Gush Shalom publiait, en pleine page du quotidien illtégrité dans toutes les relations; hoaMte~ absolue;
Ha' aretz. le texte d ' une proposition d ' accord de paix persée jusque dans ~ne• claas les CONptes ; soutiea mvtuel ; qualité
les moindres détails et pouvant servir de point de base de discussion entre des prodiÜts ; que tsawailler soit Utt pbl4t CMI l'apressioa
les communautés. Ce texte était précédé d'une introduction disant ct•une ~ion ; faite COftnJÎtre 541S objectifs ; rexceftence .ô
notamment : «le gouvernement et les responsables de l'armée nous respect de remironnament; etc.
conduisent dans un enfer de feu ct de sang. Nous demandons à tous les
partisans de la paix en Israël de s'unir pour 1'aveni r des deux peuples <.le Briarpatch Netwoftc, 151 Potrero Av. , San Franci5co - CA
?e pays, israéliens juifs et arabes palestiniens. Le pays nous a fait naître 94103 (USA); T. +1-415-648 lSSZ
JUmeaux.» SotXœ : Envol n• 43, j~ 19!38
Source : Envol et Vous - décembre 2001
----------------------------------
À NEVE SHALOM: Troc
Juifs, Arabes et Chrétiens démontrent que la paix se vit au
quotidien Au ~ours des derniins années. le trvc s'ut taraemeltt
Au milieu du triangle des villes arabe Ramallah et israéliennes Jéru:;akm ct tci-Aviv c~ist~ une ripanclca en Amérique elu lfonl. En t.ur.rnie et au Canada.
communauté où vivent en paix des juifs, ~ Arabes c l des chrétiens dans rëgalit~ ct l"amiti.:. ct plus de 430.000 soclitis se sont lancées dans !"échange. le
dans 1~ respt."Ct prolond de l'identité de chacun. Cc village s·appcllc l'i.:vc Sllal<\111 (en hébr~u} ,,u considérant c:01nm• uu alternaâYe à l'économie buée sur
Wahat As·Salam en arabe. Il est géré en convivialité pour tout ce qui con.:cmc b :1tlàires ,k la le dollar. Rejoindre ua Cf oupe d"échaftee peut aider -
C()rnmune : n:unions de dèçisions. contribution mensuelle à la caisse .:ommunc. participati''" de société 1 court cl"argent à rçrendre pied.
tous aux différentes f~ti:S religieuses. etc. Cela fait plus de di l'. ans que .:c vill~gc c.xistc. ' it. ~c
développe et rayonne comme un lieu de rencontre ct d'échanges. B~aucoup ùe jcunc:s y vicnn,·nt
L•lntematitmal Trad• &chanp, une chaine de groupes
aussi pour se connaitre et se reconnaltre. d"échange franchi-sis. pouède 4 bureaux au USA.
lnjo : «!.-.<amis d.- Sen! Slr,tlom"
Los Angek!s Twnes
!51 Ul't.>MartichafJIIin F 91!00 Boulor.n•• - T.!l : 0/ .J/ .S/ tl5 ~:!
Sourn· FEL/· CITE ----------------------------------

72 73

Enseignements spirituels
"La moindre parcelle à l'intérieur de vous est connectée au cosmos
tout entier, à la connaissance s uprême et à 1'avance de toutes les
humanités.
Plus vous aurez conscience de ce fait et plus vous vous sentirez en
communion avec le Tout. La Solitude, la séparation ne seront alors que
des mots vides de sens. Ainsi, vous redécouvrirez l'importance de vos
gestes, de vos pensées, de vos paroles, qui passent par le respect et
l'amour de l'infini qui est en vous." . EXTRAIT DU LIVRE "ALUANCE"- (P.135)
.. ./...
" Parce que votre monde a peur. Il a peur de rompre cette bulle qui
l'entoure et qui lui donne un semblant de sécurité. Vous savez au fond de
vous que lorsque vous aurez ouvert cette porte, rien ne sera semblable à ce
que vous connaissez. Vos conceptions s'écrouleront les unes après les
autres et rien ne pourra vous faire revenir en arrière.
Cela, d'autres êtres le savent aussi et c'est pour cela qu' impercep-
tiblement l'étau se resserre autour de vous. La pensée uniformisée, la
surveillance accrue, les implants sous forme de vaccins, de cartes ou
autres, permettent peu à peu d ' instaurer en vous une peur, puis un
semblant de sécurité, qui vous rendent de moins en moins autonomes."
.. ./...
Vous vous sentez seul lorsqu 'une partie de vous n'est plus en
accord avec votre être de lumière. Vous vous croyez isolés, alors que c'est
vous-mêmes qui vous éloignez de vous !. . . Il arrive trop souvent encore
que vous vous sentiez séparés parce que vous pensez que les autres sont
autres. Cela se produit toutes les fois où vos pensées, vos paroles, vos
actions ne sont plus en accord.
EXTRAIT DU LIVRE "ALUANCE"
74
Toutes ces forces de séparation, en vous et hors de vous travaillent
pour la lumière. .../. ..
" La confusion, la peur, la méfiance créent une onde de faiblesse à
la surface de votre globe et le rend ainsi plus fragile et manipulable. Ce
plan vient de plus loin que vous ne le pensez et se sert des ego des
hommes de la Terre pour agir ainsi. Mais la peur ne doit pas naître de
cela. C'est votre Joie véritable, votre unité intérieure qui peuvent atlàiblir
les plans les mieux conçus pour vous emprisonner. Vous confectionnez
avec soin vos propres prisons et ensuite vous voulez vous en échapper. ..
Ne trouves-tu pas cela incohérent ?"
"Tout est juste lorsqu'il est acte d'amour. Il n'y a pas de plus ou de
moins. Chez celui qui aime, que son acte soit le plus simple de la vie
quotidienne, ou le plus spectaculaire, n'a pas d'importance en soi. C'est
l'énergie qui est émise à travers l'acte qui va se répandre à l'infini et agir.
Je vais ètre plus précise : la ménagère qui fera un plat avec amour, aura
autant d 'impact à travers ce geste que celui qui vient de sauver la vie
d'une personne par devoir. Je ne raisonne pas en plus ou moins mais
simplement en termes d'énergie. Soyez attentifs à vos gestes et à vos
paroles, sachcz les motivations qui se cachent derrière vos actes, et bien
souvent vous y percevrez le désir de bien faire, dans le seul but d 'être
aimé, accepté et reconnu."
EXTRAIT DU LIVRE "ALLIANCEn- (P.165)
75
 Le nazisme a essaimé sous toutes les latitudes ; et la seule chance pour
vos civilisations de ne pas le voir réapparaître au grand jour sous une
autre appellation plus insidieuse c'est de vous libérer tous de "l'esprit de
masse" que les idéologies cultivent savamment en vous. C'est votre cœur
qui doit maintenant vous faire agir... Cela ne pourra être ainsi que si vous
vous extrayez de la ronde des arguments médiatiques, qu'ils soient
philosophiques, politiques ou dogmatiques. Nombreux sont ceux d'entre
vous que j'entends être certains d'y voir clair, certains de ne pas tomber -2-
dans le piège des forces sombres. Alors, je vous affirme ceci : les nazis
n'ont pas tous su qu'ils 1'étaient ni ce que signifiait te nazisme. Les
hommes et les femmes qui ont soutenu un tel mouvement étaient souvent
des hommes et des femmes qui vous ressemblaient, qui croyaient "bien "La Mafia ..
faire ... Ils ne savaient pas qu'ils étaient en réalité les tremplins
inconscients d'une force qui les dépassait infiniment.
.. ./...
Votre tâche est de faire pourrir en vous toute résistance à l'avancée de
l'espoir, à faire germer autour de vous toute raison d'espérer... ./... Les « Si tu n'as pas connu l'ombre véritable,
frères de l'Ombre ont compris ces mécanismes, ils vous offrent à chaque tu ne sauras jamais à quoi ressemble l'ardeur du Soleil. »
lever du soleil un zéphyr sous forme d'informations contradictoires, de
querelles anesthésiantes et d'images plaisantes afin que vous puissiez
nourrir votre nature mentale, émotionnelle et physique ... pour un meilleur
sommeil. Ils n'ont besoin que de cela ... et vous croyez dès lors que le L'un des organes clés du gouvernement mondial est : La Mafia.
monde ne peut invariablement être fait que de cela. Ne rêvez plus votre
vie, ne rêvez même plus que vous rêvez car i) ne sutlit pas de convenir que
La Mafia agit dans les domaines suivants :
r on rêve ou que l'on sommeille pour ouvrir les paupières. • NARCOTIQUES
• KIDNAPPING
Je vous propose la réforme totale, votre vie l'exige. Sortez donc, vous •VOLS
qui m'entendez, sortez donc du troupeau des bouches qui haïssent et • EXTORSIONS
suivent néanmoins l'ennemi qu'elles se sont forgé; vous n'y avez que
•MEURTRES
trop traîné vos sabots et baissé la tête tout en montrant les dents... ./...Ces
êtres sont certes des détonateurs qui se placent habilement aux •JEUX
intersections de la destinée humaine. mais à quoi sert un détonateur s'il • PROSTITUTION
n'est pas connecté à tout un dispositif favorisant et acceptant l'explosion
'? L'explosif est bel ct bien stocké en vous. La Mafia prend sa place à New-York, Chicago et Baltimore en 1929.
.. ./... La solution à tout cela ne peut se parer de plusieurs visages. Quet Al Capone protégé par le maire de Chicago Big Bill Thomson soude le
que soit l'aspect sous lequel vous pouvez considérer la question, je ne
lien entre le pouvoir politique et le pouvoir criminel.
puis que vous suggérer trois mots qui, bien qu'ils en fassent sourire plus
d'un, représentent la maîtresse clé. face à une situation aussi cruciale: Peu après, l'Italie se trouve dans une phase économique des plus
Amour sans limite. critiques. Règnent alors sur le pays: la famine, Ja misère, l'anarchie.
EXTRAIT DE "PAR L'ESPRIT DU SOLEIL"- (P.122) Le marché noir va sc développer comme dans tant d'autres pays mais

77
76
la Mafia en profite pour mettre la main sur tout ce qui rapporte. Les
maires des villages sont pour la plupart des "mafiosi".
Devant tant de misère l'idéal communiste se développe mais la dé-
mocratie chrétienne prend peur et n' hésite pas à se faire soutenir par la
Mafia et les services secrets Américains.
E n 1950 la démocratie chrétienne tri omphe grâce au soutien des
mafiosi. Andreotti, qui sera par la suite sept fois Premier ministre, devien-
dra un des hommes-dés de la Mafia pendant plus de 50 ans.
En 1958 Vitto Génovèse, dans l'ombre des services secrets américains,
réorganise le "marché noir".
En 1959 John Kennedy entre en campagne. A cette époque, en Vir-
ginie, le syndicat des mi neurs est tenu par la Mafia dont les votes sont
indispensables pour les élections du futur président. Giancana "le ma-
fioso" qui préside à cc syndicat propose son aide à Kennedy contre "autre
chose". Kennedy obtient alors le nombre nécessaire de voix.
En 1962 Andreotti devient ministre de la défense
Le j uge Fatcone, prénommé Je j uge anti-Mafia a 24 ans et son diplôme
de magistrat.
En 1969 le Prince Borghèse cherche le concours de la Mafia. Il est
alors à la tête de la loge P2 (franc-maçonnerie) et propose son aide aux
services secrets américains et à l'OTAN.
En 1970, à Palerme, la Matia devient maître du marché mondial de
l'héroïne. Le colonel Dalla Chicsa lutte contre elle. Il est assassiné huit
ans plus tard, seul et sans protection. Le gouvernement avait pour ordre de
"laisser tomber" cet homme trop dangereux et trop curieux !
Falcone décide alors de travailler avec le FBI qui possède des moyens
sutftsamment sophistiqués pour tilmer une grande partie des agissements
mafiosi. Les documents du FBI sont paraît-il étonnants !
En Colombie, Pablo Escobar détient cinq laboratoires de cocaïne qui
fournissent les deux tiers du marché américain.
A "Atlantic City" la Mafia s·occupe des jeux, le casino de cette ville de
Virginie est donc entre ses mains. Tout le personnel de ce casino, du
balayeur au directeur, fort nombreux par ailleurs, est inscrit d'office au
syndic de la Mafia et porte le n"'5-t leur chiffre symbole accroché à leurs
vêtements.
7R
E n Sicile, le peuple réagit. Depuis 78, les morts par règlements de
comptes se succèdent et endeuillent toutes les familles sans exception de
près ou de loin : en cinq ans, on compte plus de 2 000 morts.
Le Vatican de son côté participe activement aux agissements de la
Mafia. Mgr Sindona est à la fois banquier du Vatican et. .. de la Mafia. Un
avocat enquête sur sa banque. 11 est retrouvé assassiné. S indona est jugé
pour homicide volontaire. La Mafia n'a plus besoin de lui. Elle le condamne
à Mort ct le juge à la prison à Vie. ·
Mgr Marcinkus lui succède. Il est Américain, de Chicago ct d'origine
Lithuanienne ..Il est nommé garde du corps du pape et président de ta
banque du St Esprit (la banque pontificale)
A cette époque la Mafia est tellement étendue qu'elle recouvre le terri-
toire Américain. Elle détient le réseau des radios et fait de cette façon passer
à longueur de journée des musiques payées. Le chanteur Frank. Sinatra a,
en quelque sorte, été lié à eux de cette façon.
En 1986 le juge Fatcone réussit un coup de filet grandiose, grâce à un
matioso : Thomaso Bucchetta. Mi s en exil par la Mafia et écœuré de
l'assassinat de toute sa famille il fait arrêter plus de quatre cents mafieux.
Un tribunal spécial est construit pour le procès. Les mafieux comptent alors,
pour les sortir de ce mauvais pas, sur la complicité d'un juge vendu ct
proche d'Andreotti. Lors d'une interview, Margaret Tatcher n'hésite pas à
proclamer que le plus gros des aides Européennes sert à finance r la Mafia
et l'Ira. Cette accusation lui valut-elle en partie son titre et son poste?
Voilà donc un bref résumé des activités de la Mafia. Bref mais éloquent
quand on sait que les mafieux ont parfois le langage de l'amour. Pour
exemple, Jo Colombo, tueur à gages de la Mafia (ce qui signifie des cen-
taines de meurtres à son actif) parle, dans un discours public, de la ligue
ltalo-américaine "pour aider les petites gens et faire une échelle vers le
. tt
paradts...
J'aimerais pourtant vous faire part d'un fait qui m'a personnellement
marquée. Lors d'un excellent reportage sur la Mafia réalisé par la chaîne de
télévision Arte et où tout paraissait désespérément sombre, une interview
du juge Falcone éclaira d'un rayon lumineux cette zone d'ombre. La jour-
naliste lui demandait s' il avait pe ur et sa réponse fut la suivante :
79
 « Le lâche meurt plusieurs fois par jour. le courageux, une seule.
L'important n 'est pas de savoir si l'on a peur ou p a'i, c'est de savoir vivre
avec sa peur, ne pas la laisser vous dominer. c'est cela le courage sinon,
c 'est de l'inconscience ...
.. Je pense que certaines choses demandent un certain type d'engage-
ment et certaines un engagement maximal. C 'est celui-là que j'ai choisi. »
Peu de temps après l'interview, à Palerme, une bombe avait raison du
juge Falcone et de sa femme. Nous y sommes passés une semaine après
en conférence ... le trou y était encore. Quant à son successeur, il disait
qu'en tenant le juge Falcone dans ses bras au moment de son dernier
soupir, il savait déjà par un mafioso repenti que la bombe qui lui était
destinée était arrivée à Palerme. Quelques semaines plus tard il explosait
avec ses gardes du corps.
Si je parle ici de ces personnages hors du commun que sont le j uge
Faleone ou le général Dalla Chiesa, c'est parce que grâce à leur courage, à
leur fa çon de penser et d'être, tout peut espérer changer. La prise de
conscience qu'ils font, d'autres la feront aussi. Je ne veux pas dire par là
que seuls les êtres qui acceptent d'être en "première ligne" font avancer
les choses. Chacun à sa place peut en faire autant, qu'il soit connu ou non
n ' a aucune importance ! Cependant les actes et les pensées de certains
individus pennettent une prise de conscience collective ... et donnent alors
la volonté et le courage d 'agir à son tour à quelque niveau que ce soit et
selon les moyens à notre disposition.
Je me souviens que lorsque j ' étais étudiante dans le nord de la France,
un ami rêvait de devenir écrivain mais il pensait que pour cela il lui fallait
certains moyens. Il attendit de pouvoir s'acheter un très beau stylo Mont
Blanc puis d'avoir un endroit calme pour écrire puis de se marier à une
femme qui pouvait s'occuper de lui. En fait, réunir ces moyens lui de-
manda tellement d'années que pendant ce temps, avec un stylo ordinaire
et sur une table de cuisine dans une chambre d'étudiant nous avions déjà
écrit deux livres !
Lors de l'enterrement du juge Falcone, nous pouvions suivre sur les
écrans de télévision une foule italienne qui remplie de colère et de tris-
tesse, avait pris le parti de ne plus "laisser faire" . Son premier acte fut
80
d ' ailleurs de chasser de la cérémonie de funérailles tous les "officiels" qui
voulaient atlicher un masque de tristesse hypocrite.
Il est évident que seuls quelques hommes courageux ne peuvent suf-
fire ... mais il existe des lois sur les plans subtils et l'une d'elles est celle-ci :
Lorsqu'un être fait un pas en avant il entraîne avec lui une partie de
1'humanité dans cette avance, lorsqu 'il baisse les bras, il retarde cette
avance pour un grand nombre d 'ètres. C'est une loi comme celle du
karma, une loi de cause à effet qu'il n'est pas besoin d ' aimer ou non pour
qu'elle puisse exister. Une loi que l'on pourrait rapprocher de celle des
champs morphogénétiques : à ce propos, des chercheurs nourrissaient une
tribu de singes sur une île dans le but d'étudier leur comportement. Pour
cela, ils jetaient régulièrement d'un avion des pommes de terre. Au bout
de quelque temps, ils constatèrent qu'une femelle lavait la pomme de terre
avant de la donner à son petit, puis ils s'aperçurent que peu à peu les
autres femelles faisaient de même. Ils pensèrent à un phénomène d'imi~
tation ... mais ce qui les étonna le plus, ce fut le fait suivant : sur d'autres
archipels sutlisamment éloignés pour qu ' aucune communication ne soit
possible, les guenons firent toutes la même chose. Après une étude atten-
tive et longue, les chercheurs finirent par déduire ceci : à partir d'un certain
nombre d ' individus (moins de la moitié). une découverte quelle qu'elle
soit finit par toucher une ethnie, un groupe, un pays, une planète sans qu' il
soit besoin que chacun fasse le même itinéraire. Cette découverte d'une
importance extrême nous permet de mieux comprendre comment notre
avance, aussi minime soit-elle, peut contribuer à l'avance générale.
J'aimerais à cet endroit vous raconter ce qui nous est arrivé lors d'une
série de conférences en italie du ...d. Nous nous rendions ce jour-là à Bari,
une ville face à Naples, pour y donner une conférence. Un superbe hôtel
nous attendait et son propriétaire mettait gratuitement une salle à la dispo-
sition des organisateurs. Comme souv~nt à cette époque. nous prenions le
repas du soir avec nos hôtes en compagnie de notre traductrice et amie. En
devisant de choses et d'autres nous en sommes venus à demander au pro-
priétaire de l'hôtel si les affaires marchaient bien. Ce à quoi nous eûmes
cene réponse : << Cet hotel rapporte beaucoup mais ... pas pour moi ! '>
Le lendemain nous étions à Palcm1e pour !es mêmes raisons et là nous
81
fûmes étonnés de ne pas voir nos ouvrages dans la salle de conférence. Il
faut dire que nos conférences sont gratuites mais les organisateurs pré-
voient nos frais de route et d'hébergement. Bien souvent la vente de nos
livres leur permet de faire rentrer de l' argent pour le fonctionnement de
leurs associations. Cette fois donc, pas de livres. Devant notre étonnement
ils nous expliquèrent les faits suivants : «A Palerme, il est préférable que
rien ne rapporte officiellement et si des personnes veulent acheter des
ouvrages. eUes viendront nous voir dans quelques jours à ce sujet. »
Lors d 'une émission télévisée dans les années 85 et, bien sûr, tard dans
la soirée, passa un reportage dans lequel d ifférents marchands d'armes
étaient interwievés. L'un d'eux affirma, à l' étonnement de tous, qu ' il
connaissait dix ans à l'avance les futurs lieux de conflits sur ta planète, ce
q ui lui permettait de fournir les armes en conséquences. Ce "prévisionnel"
m'a laissée plus que perplexe et je livre ces divers éléments à votre ré-
flexion !
Mais l'impact de la Mafia s'étend-il au-delà du pouvoir et de l'argent?
Le plan du "Gouvernement unique" est vaste et simple à la fois et cette
énorme pieuvre possède de nombreuses ramifications. Au bas de l'échelle
se trouvent les revendeurs de drogue, drogués eux-mêmes ou âpres aux
gains rapides, les tenanciers des maisons de sexe en tous genres, amateurs
de luxure et d' argent et les propriétaires des maisons de jeu.
Plus haut sont les dirigeants mafieux qui cherchent pouvo ir et argent,
soutenus par les autorités en place o u les "puissants". Ceux-là mêmes, qui
reçoivent conseils et ordres de l'élite intellectuelle ou financière. Alors,
pour qui ou pour quoi une telle organisation ?
Il est facile d' attacher un pays en droguant ses jeunes et en les rendant
manipulables à merci. Il est simple d'attacher des êtres par le jeu et le
sexe. Ces êtres devenus d ' une façon ou d ' une autre plus fragiles sont ainsi
plus sensibles aux injonctions psychiques (nous en reparlerons p lus loin),
aux manipulations, aux croyances dangereuses, à l'attrait de 1' argent
nécessaire à satisfaire tous ces besoins. Nous voici dev ant une armée
d'esclaves potentiels à la portée du gouvernement mondial ! Le tout lar-
gement soutenu par la peur que fait régner la mafia sur le monde à travers
les menaces et les assassinats perpétrés continuellement.
82
L'essentiel des radios est inféodé à la Mafia notamment aux USA et en
Italie. Là encore, le plan est subtil car il est simple aujourd'hui d 'induire
des messages subliminaux que seul le cerveau saura décoder à travers des
musiques et des rythmes qui touchent notre être dans ce qu'il a de plus
profond. Imaginez la teneur de ces messages ! Il est aussi connu que les
rythmes à deux temps fréquemment employés dans les musiques actuelles
créent un déséquilibre propice à la montée de l'agressivité.
La musique va ainsi parler ct œuvrer selon sa qualité sur les 1'\ 2''""',
3~ono ou 4em. plexus et amener une âme aux sentiments les plus élevés ou les
plus pervers. Les musiques militaires propices à envoyer les troupes à
l'ennemi en sont un bon exemple et leur rythme est à deux temps.
Ce moyen rapide, universel, à base de sons capables de structurer ou de
déstructurer nos corps subtils est un jeu e ntre les mains d ' êtres qui dé-
tiennent le pouvoir occulte. Ainsi, ils peuvent faire basculer un univers
par la seule puissance du son puisque l'on sait q u' une seule note est
capable de briser un cristal. ce qui donne à l'invisible, à l'impalpable, un
impact sur la matière. Mais, là encore, se revêtir d u vêtement de la peur
n'est d'aucune utilité et j'entends déjà : ((Qu 'allons-nous f aire ? Qu 'allons-
nous écouter? Qu'allons-nous acheter ?... >>
Je ne répondrai pas à une telle question car la réponse est individuelle
Ce dont je suis sûre, c'est que tout cela ne peut nous atteindre si 1'on se
trouve sur un certain niveau"vibratoire".
Il n'y a pas de m usique à proprement parler à exclure mais, lorsque
vous sentez en vous faiblesse, tristesse ou colère ... sachez choisir ce que
vous écoutez en étant conscient d'une possible induction à un niveau plus
subtil.
Tout peut s'écouter, se lire. se voir si notre état intérieur est suffisam-
ment clair et limpide mais qui peul prétendre à cet état, en pennanence?
83
 -DOSSIER-

.. LA MAFIA"

84 85
 DIFFERENTS ARTICLES PROVENANT DU NOUVEL OBSERVATEUR ... Rien ne semble pouvoir arrêter la Wehrmacht.
DOSSIER "LES JEUNES ET LA DROGUE" DU 18-24 JUILLET 96 ce marché très lucratif en pleine Dans tous les temps de crise, la
ex pansion... Pas m ê m e les drogue d ev ient un moyen de
i ncohéren ces de la politique financ em ent d es conflits. C'est
De nouvelles drogues, souvent plus dangereuses encore française de répression. pourquoi des régions comme l'ex-
que les autres, arrivent sous le déguisement du bonheur Yougoslavie, la Bosnie, la Croatie,
Frédéric Bélier-Garcia la Macédoine, la Serbie reviennent
sans risque, « c/ean », « fun », « tonie ». et Sara Da11ie/ à une production qui avait fait leur
richesse dans les années 20.
« Le grand changement par todhe commerciale comme une Aujourd'hui, en Afrique, on cultive
rapport aux décennies pré- autre. En 1995, les saisies d'amphéta- partout le cannabis. En Asie
cédentes. explique le sociologue La cocaïne... << Quand on mines ont augmenté de 238 % et centrale et en Extrême-Orient, c'est
Patrick Mignon, est l'introduction commence le matin, on ne s 'arrête celles de LSD de 56 % d ans le l'opium. La drogue reflète et
au cœur même de la toxicomanie plus» ... seul département du Nord. Dans le amplifie les désordres mondiaux.
du thème de la santé. La drogue Comme à toutes les mères de m ême temps, p l us de 11 3 000 Et ce facte ur d 'entropie ne se
n'est plus vécue comme une Sainte-Maxime, un nom lui donne cachets d'ectasy étaient confisqués cantonne pas aux zones de guerre
transgression, elle s'insère dans la des cauchemars, le Rohypnol, par les douaniers. puisque le trafic est destiné en
vie favorise l'équilibre. On fum e grand ravageur des cités, mais qui a ... le spccd, qui casse tous les priorité aux vi Iles occidentales.
un joint comme on prenait connu aussi son heure de gloire prix, il y en a pour toutes les Avec la multiplication des conflits
l'apéritif Et en prime, on pense comme somnifère dans les beaux bourses. régionaux depuis le démantèlement
que cela va vous éviter la quartiers : « Si vous vous mettez ... « atrophie céré brale provo- de l'empire soviétique, il ne cesse
malédiction sociale que représente au lit en position fœtale avec un quée par des lésions dans le lobe d'augmenter.
l'alcool. Avec l'ectasy, on veut bon livre, le dodo est garanti, frontal }}. Une sorte d'Alzheimer
danser plus longtemps. réaliser explique le docteur Wi IIi am fulgurant, qui a renvoyé Amadu à Propos recueillis par Sara
toutes les potentialités de son corps. Lowenstein, de l'hôpital Laennec. un âge mental de 3 ou 4 ans. Daniel
» Mais si vous luttez contre l'en- « Handicapé à vie, il tue ses
... Pourtant, depuis quelque dormissement, vous entrez bientôt jo urnées devant des dessins
temps on ne trouve plus d'herbe dans un état qui s'apparente au animés qu'il observe d'un œil
sur le port de Sainte-Maxime, et ''pilotage automatique", vous hagard et qu'il a oubliés dès qu'on
Philippe est obligé d'aller devenez une sorte de zombi qui éteint le poste. >f
s'approvisionner dans les cités perd tolalement contrôle. » En
avoisinantes, comme celle de La Belgique, on a baptisé Rochmen Frédéric Bélier-Garcia
Gabelle à Saint-Raphaël. Un (du nom du laboratoire Roch qui
dealer nous explique les raisons de commercialise le Rohypnol) ces
la pénurie : entre mai et jeunes délinquants qui se Entre 1&80 et 1920 la drogue
septembre, les trafiquants coupent transforment en personnages ta- passe de l'emprise des médecins
l'approvisionnement en hasch et rantinesques pour faire des casses magiciens au contrôle des indu-
en herbe pour que les gens passent dont ils ont du mal à se souvenir le stries. Un seul ~xcmplc : c'est le
à autre chose : « Si on est en lendemain devant le juge. laboratoire Bayer qui commercia-
panne de hasch. reconnaît Pedro, ... «Quand du fait de son prix lise les dérivés de la morphine ...
la drogue la plus facile à s e modiq11e les dealers la revendront pendant la guerre de 14, ... l'Etat
procurer c'est l'héroïne. On en dans les cités comme un produit prend le monopole de la drogue.
trouve tout le temps. » Philippe, de substitution au cannabis. que ... l'Allemagne est la championne
lui, a souvent sauté le pas. Or sur deviendra "l'innoncence" petite des drogues de synthèse ...
la Croisette le gramme d'héro est à pilule d'amour ? Une vraie drogue Plus tard. les amphétamines ou
1 000 francs alors qu'une barrette qui accompagnera malheureu- I'Adolphine, autre nom de la mé-
de hasch (qui permet de rouler 5 sement les trips solitaires et thadone, furent utilisées à l'origine
joints) est à lOO francs ... Une mé- désespérés ? » par Hitler pour doper les pilotes de

86 87
 fMaroc: or vert
~ du Rif
Trot s million<; dt• J)t'rMII IIII'S
t•in•nl cie /'arf,!t'lll ~ul<' J.!linér t!
JUil le trait e du c Ullllobii) duns
le• mn cl elu fJll \ '
\ , ~ h) IIOd hcd.ICI.:\ ,j'o h.rtx- • liU Je
~Il •Jill 1 ruJU"(Ill 1 "!liU II•IIIIC\ J~· ha·
, .. ft d k ,\\ Jrtl\. ~'\1 un J,., rr..:nu..:r' pw-
dud.t.C\ d.: ~.lllll.Jbl\ 1u nh•ndc; hll Ju
h 1 d 1 1.h Jl\1 ,·n l·urup.: \ IO.:lll Je IJ re-
•,un Ju R11 1\ tllr, .t, '' 111p.HJJ ·10, le
1 111~11, premier pr.,Judcur mund1JI
IU\IjU'a IJ 1111 Jo JIIIICC Ill), pCilJUI\Jil
1111)Il lille' J~ hJ d1 ÙJII\ IJ piJJOe Je IJ
Bà.aa L~. pm Ju hJ .du~~~~ e't lvnLttOn
de ~J ll:neur en pnn~.tp.: JLIII ou [ IIC (tc·
trlh)Jrucannat'ltn••l,. Le~ lh~ur~ ~omm •·
tab Ju plant Je 1.Jnnab1~ luu rnt ~~c nt le
' ~puutntk '• la prenucrc 4uahtc, dont la
11:ncur en 1 H<.: e'>l)U'>4U'J 10 lut) plus
tmportJntc liUe cclk Je., ba~~es fcutlh:s
qut ne .,crvcnt 4u 'a fJtrc le ktf. Les
lf3114UJnh patent au proJu~teur moms de
1 lJOO lranC"'I k kJ!o rour la mllJO) bllnne
4Uahtc, b 000 frJn'~ pour la mc:tllc:ure.
Elb '>cront re\cnducs Je 20 000 a 80 000
fran~ .. le lulu en l:.urupc Aucun produtt
agw:llk ou mJustnel ne pri)Cure une telle plus-
value. Premtac suurce de de\"lses du pays, le
chllln: d'atTatrC) du trJii~. rcprc)Cnte 2 milliards
Je dollars, ~on rrc:. do: 10 du P:-:B ma roca m.
Près de 3 milhons de personnes v•vcnt directe-
ment ou indtrectement do: l'argent sale genere par
le tr:~fic dans le nord du Mari)C.
Contrairement à ce que l'on crou, c'est par la
Fr:~nce que transne le hascht sth
consomme aux Pays-Bas (7 335 ktlo\
S3hJs en 1995). Plus d~ 80 ' du ha·.~.h
françat~ m:nt du .\\aroc \113 I' E~pl!,;IH~.
Comme l'exphque MKhel Koutouzb,
de I'Ob~e nat ot re gèopoltuque des
Drogues (OGD) Ill : • Apm !.1 ,,~,
fran.-o-1.,•/l.JnJ.JISt, l.: gou••7TI<IIItllt J r,J-
/rs.:- t. •us l<s (hl/}riS 1~ 111\lnlrJrtM - qut
f'u11 d.Jll t'Il ITcliTI Ji St é-.Jtlr&: ((11;/f,
<JU.-fljllt ChiJU <JUI ll '.:n\t.J/1 f.IS. 011 tl•
f'<IIH.JI/ {'.J> ..ralll<r 1.-s S .. ri.Jr,J.Jrs J"w·
trvJutr. Ju h.JS..h , n Fr.Jr, .. • tl t <IIJII J•r
,\fJ rt'• ..r Y7°o On Il delli.: J.:.rJ.: J,· u
cvn.-.:mr,r sur 1h,TiJIIIè. •
Le gl)uv.:rnement fran~ a1s n'a tJmJts
\'Oulu demander au Mar\lc d'èradr-tun
se~ cuhure1o Je ktf. Il \"I!Ul pr,lll~ga '~
hens pnnleg11:~ ;t\ c:c h: flll un a rl'l cm-
ment accu~~ des mem bre~ du goun:r-
nement mari) cam Je ~c Il\ rer au a ali~.
de cannabr~) ct ne pas l'aiTJrblrr ra~c a
la montel! de l'integn,m.:. Une atutude
qur met notre pays .:n porte-a-faux m-
à-vts Je la Communaute europeenne.
La France s'oppo)e 3 13 d~pcnahsJtllln
du hasch, mats wut proto:ger le MarlH:
Le re\te d~: la Communaute e~t en trJrn
de depenah~er le ha~~.h, mats a une J'l•·
buque dure: em·e~ lc ,\!Jroc qu'elk J;.:·
cu!>c d'êlre d.:vc:nu, ausst, une plaquc:
tournante pour le tr:~fic des drogues dures. S D
(1) Vocr l'tntrmm avu Afrchcl Koutou::u,
P.JCl J.l.
:-.:c~lf~~P:(ilulè·,··:·~·<:..·-:·:.-.:-: ·.,
.:;·:.i·:;.:·.'·~·:·~.:· -~·~.("[;':·~~~:~. . ;"t( :..~·· ··-: :·; ·::.' ~· :.: ·:~ : :..... :_.:. . ; .. .·~::.....:
-?~f~.itl-4·~~·~~·-~:t:on·d.ir~'lti.- ~uirtëù? :-:
· ét~u-~ir~J».P~~·se :· J•ecsi:ufj l·'a_· rien
..d'àplttpdisiaquë au .sens strict QU «érec- ·
·we··· ·du terme. B'îen au ·eontrafrè;·el1e en-
traînerait chezJes mâles - qu'ils soient
rongeurs ou ' humain~ - une grande
difficulté·à atteindre un état ·d'érection
convenable; L'ecsta susciterait·même le
tant redouté·-· shrinking penis • (• pénis ré-
.tré~ ·>· ~tà forgasme, il devient aussi
._: inutilè·qu'imPoùible. C'est pourquoi cer-
.. _taiiis__de,(~~!~ angl()-sax.ons.:.~e cene
~-piluJe·~t 11_ue la • rave • _ .semt·te- pa-
•· ran~!(fe·ii ~te c_sc:ually con:ed •· l!ecs-
. tasy p~rtera..it à:leur _acmé_les- qualités
féminines .de l'homme. La sexualité bes-
. tiale, cype homme.des cavemes~ · laisse la
place â fa sensualité, au • make Jlizhering,
(l'amour.~ serpentant •1 • ~mdulant •). Et
l'eèStasy c~nst,itue finalement un ersatz
idéal pour ceux·qui veulent se -cantonner
au 'safe se:u. · :· - · ·
 Pour moins de 250 F,
on peut mutiler, terroriser et affamer
un village tout entier•••
• d 11111' jlltt/11111 lfft'fmxb<t/)/1!,/tt 1111111? IIIIII·JIC'fSU/1/11?/
1 \ 6') <'SI ll'lllttnftlltblt' J •ffiwntf su11 tlkltmclwmt>lll,
Jlt•»IIJII' f'<ir fHh•lfm t mmr 1'11/t~J uu /'<Jf lntrttrm
tjtl fitt:;;<J./li'"J'"f"t 1 t')t'CIIflll du pnl)t-rllle 111'111 mm
1 lllt'ltl' "" •"' f•tm >11111'.\fii"S/IJII LN .!()(J() et luiS
lllt'liJ/1/tfl/1> tllll/t'IIIIS tians Ct' finJjf(/1/r: Will
amst pro)l'tn m napfll' lxmrulllale dans un rayon de
50 mi'lft'S mucmr di' la minr Les tr~s grati'S blt'SSUil'S
rtiUSft'S par C't' mtJdt'/1? SI' SIIUI'III fS$1'111/r/Wmttll au Il/l'l'liU
du 1\'lllll' d dr:s CJrgtmn l!,tlllltltlX fJcJIIr lrs adultn
tlu I'ISU.(if ptmr II'S enfimts •
• 001<.\0~ rn <.AlALll<,ll.) OL tiJIRIUi'l'S 0~ \Il:\~

• Orç........ . Modolt vs 69 . """ ..,.,.,_ . ~

d. .fo.c.oc,. 50,...-"" • ~),• O. .. • • • ;() •• • ~ ~
"""'" JO ........
 ARTICLE PROVENANT DE "L'EVENEMENT DU JEUDI"
" ENQUETE LES MArTRES DU MONDE" DU 29 AOUT AU 4 SEPT. 1996

)R USSIE
:Les parrains
vodka-cola
o~u va-t-elledevenir la capitale de

M la V' Internationale, celle des ma-

fias? Profitant de l'anarchie, fille de
la décrépitude communiste, les organisations
criminelles ont investi, dès les années Gor-
batchev, tous les secteurs de pointe du capi-
talisme russe naissant. Les parrains locaux
ont pris le contrôle de nombreuses banques,
d'entreprisesd'import-export, de la plupart
des sociétés de transport, de l'immobilier,
d'une partie des médias et, bien entendu,
de tous les trafics plus ou moins illicites. Do-
maines où, du coup. les métiers sont à risque:
une quinzaine de banquiers ont été assassi-
nés ces dernières années. Les ramifications
de cette pieuvre remontent haut dans l'appa-
reil d'Etat: des collaborateurs d'Eltsine sont
mouillés dans plusieurs affaires.. L'armée aussi :
la poursuite du conflit tchétchène pourrait
s'expliquer ainsi. Un vice-Premier ministre,
You ri Iarov, avait affirmé que plus de 40%
des entreprises étaient gangrenées~ Au capi-
talisme d'Etat a succédé la « mafia d'Etat».
Pis, cette mafia a trk vite étendu ses ramifi-
cations à l'étranger. Notamment aux Etats-
Unis, où les parrains vodka-cola ont déjà fait
parler la poudre. les b(lllquiers mafieux pro-
fitent des paradis fiscaux occidentaux et des
failles des législations pour blanchir d'impor-
tantes quantités d'argent sale. C'est un vérita-
ble système de vases communicants mondial
qui s'est mis en place. ~ Nous avons beaucoup
d'indications confirmant que les criminels
de l'e.x-Union soviétique collaborent avec la
mafia italienne pour se donner une stature-
économique.,, a récemment dédaré le ma-
ôor général Giovanni Verdicchio, un des res-
ponsables de la guardia di finanza. " Paral-
lèlement. ajoutait -il, la mafia italienne blanchit
de l'argent avec la Russie pour reconstituer
ses finances après les revers qu'elle a subis. >•
Ces gens-là n'ont pas besoin d'aller à Davos
pour faire de la mondialisation! B. P.
91
 DIFFERENTS ARTICLES PROVENANT DU NOUVEL OBSERVATEUR
DOSSIER "CORLEONE LE MAIRE ET LA MAFIA" DU 18-24 JUILLET 96
Portraits de famille

Femme de mafioso :

« Les f emmes sont le véhicule

des valeurs de la Mafia, elles
élèvent leurs enfants dans le culte
du père et de Cosa Nostra », Julio ANDREOTTI Bruno CONTRADA
7 foi.< Premier Mini~t"' Chc:f du conlre--e5pionnalle
confi rm e à so n to ur le juge
Teresa Principato . « Salvatore
L"un d~ ins.1rumems
de choi~ de la M dlia. 1
., . d<." Palerme.
.. La Taup~- qui re n Sl"-i~nil i f

·61
l.t M,lfl<t ciC'> d.lnger;
Riina est un bon mari et un bon
père >>, serine, impe rturbable ,
Ninctta. . '~
.•
. . . :e;
,~ .
...... . .
.
.
Croit-elle ce qu'elle dit ? Ou • • • •4: -
~· ~ -
. -

b ie n vi t-e ll e dans le monde

schizoph rén ique typi que d es
mafiosi : tous les méfa its sont
permis en dehors de la« famille»
; les règles morales ne valent qu'à
l'intérieur du strict noyau familial Mgr MARCINKUS
CJrd~ èu
? Car chacun sait que pour les « corps p.tp<ll

hommes d'honneur >>, les homi- ... ,, rcspo n~..~b!~ cic.;o Jtf,ti~t:!'­
fi rMnc •è-..es du Vatt<.an
cides, les crimes, les vols, les illé- i
galités commis e n dehors de _, ...,_ '
... ~: ~
. -~
Cosa Nostra n'existent pas. On
peut donc parfaitement être un
1!-,. . ..
assassin et un bon père.
Marcelle Padovani ,;
'

SIN DONA Gaspare SCELBA

Jug~ pour hom ic•dc f\,in istr~ rl~ 1 inrér:C'ur.
Tué par li3 ,\tatia. en pti~:'n v., .1~coa~stn~:r Cuili.mo
cyanute dans un~ t.">Sse de- .....::..: 3\ ~..: l'aide ci~ fa ~1.afia

92 93
 "Un repenti"

Aujourd'hui qu'en est-il ?

Pasquale CUNTRERA Tommaso BUSCETTA

Vil :l Caracas et Mis en e.il par la Mafia.
organise l es échanges Une erande parde
héroïne contre cocaïne . de sa famill e assassinée.
Révèle qui est qui et permet
p lus de 300 arrestations.

Les "Anti-Mafia" :

ClovannJ FALCONE Gé néral

Le juge anti ·Mafia. DAlLA-CH lESA
Une bombe Déran,e la MaHa.
aura raison d e lui. Il est assassiné.

94
95
Nouvelles du monde EXTRAITS DE L'ARTICLE
politique international
NEXUS FRANCE N°18 p.23
ARTICLE TIRÉ DE NEXUS FRANCE N°5

• Coleman a été banni par ses patrons

LA JUSTICE AMERICAINE
BLANCHIT L'AGENT SUR
"LA PISTE DE LOCIŒRBIE"
L'ancien officier de renseigne-
ments américain Lester Coleman,
reconnu coupable de parjure après
avoir sous-entendu la complicité des
États-Unis dans l'attentat de
Lockerbie, a été blanchi en cour
d'appel. Coleman, ccrauteur de Trail
of the Octopus [La Piste de La
Pieuvre} a maintenant intenté un
procès pour 10 millions de dollars
contre le gouvernement américain.
Trois juges ont rendu une décision
secrète - mesure inhabituelle - ce qui
signifie que même Coleman et ses
avocats ne peuvent pas savoir pourquoi
ils ont cassé sa condamnation. En
donnant peu d'écho à ce cas, on a aussi
tout fait pour qu'il suscite peu d'intérêt
aux États-Unis.
Les re<:herches de Coleman laissent
entendre qu'une opération de trafic de
drogue contrôlée par les services se-
crets américains avait facilité le
et s'est vu accusé d'avoir demandé un
passeport sous un faux. nom et d'avoir
commis un acte de parjure lors d'un
procès tenu quelques années plus tôt.
Il avait demandé ce passeport, a-t-il
dit, sur ordre de ses patrons de
l'Agence de Renseignements de la
Défense (DIA). Quand il a découvert
qu'il ne pouvait pas atteindre ses
supérieurs, il a décidé de fuir le pays.
En 1990, la Suède lui a accordé ainsi
qu'à sa famille l'asile politique. En
1994, ils sont partis en Espagne.
Les autorités américaines so nt
allées très loin et ont dépensé
beaucoup d'argent pour découvrir où
il était et pour demander son
extradition. Par la suite, en 1996,
Coleman a décider de rentrer aux
États~Unis de son plein gré pour
faire face aux accusations. Après des
mois d'emprisonnement, il a été
relâché l'an dernier après avoir
plaidé coupable et payé une amende
de 30000 dollars.
(Sour~e: The Times. Rll_l'tJIImot-Uui.
1999; <w11'w.the-times.,11.11k
13juin
Un ancien policier de Los Angeles Mike Ruppert
dénonce le rôle joué par Wall Street dans le
blanchiment de l'argent de la drogue pour des
entreprises de la CIA et prévient que la
Colombie sera le centre du prochain conflit
régional.
Pouvez-vo11s VOII!i présenter en sécurité nationale. Qu 'e.~t-ce qui,
quelques mots ? selon vous, les pou.ue à vouloir
Je m_'appelle Mike Ruppert et je concilier dans le pays les
publie le buUetin d'informations cargaisons de drogue avec cette
From the Wilderness. Je suis un activité?
ancien agent des stups de Los
Angeles et, de façon générale. un C'est que l'argent
fauteur de troubl es qui sc bat
contre la corruption et les trafics d' de la drogue 'ait
influences dans le monde
entier.../. ..
partie intégrante
de l'économie
On imagine qu •,, agent de la
CIA pense à protéger le pays. ou amertcatne..
, w -

chargement d'une bombe à bord du vol /newlit'page.'i/sti/99106/13/st/.~,·O<'oiiO1(}()1./ttml:' 1

du moins. on imagine le milieu
des services secrets comme Et bien, ils n'ont même pas besoin
103 de la Pan Am. /14017>)
quelque chose q11i protège la de Je concilier. C'est ce que j'ai

96 97

mis s i longtemps à comprendre.
Mais ce que nous ense ignons
aujourd'hui avec From The
Wilderness, c'est q ue cela ne se
l imitait pas a u fait q ue la CIA
trempait dans des trafics de drogue
pour financer des opérations
secrètes. C'est que l'argent de la
drogue fait partie intégrante de
1'économie américaine . Il en a
toujours été ainsi, tout comme avec
les Britanniques, da ns les années
1600, lorsqu'ils introduisirent
l' opium en Chine pour financer le
commerce t rian g ulaire avec la
Compagnie Britannique des Indes
O rienta les.
La ClA trempe dans le trafic de
drogue d e puis ses 50 année s
d ' existence - et même dans les 50
ann ée s qui ont p récédé, av an t
qu'ell e ne devienne l a CJA. Et
l'intérê t est que, avec 250 milliards
de dollars par an dan s des
mouvements illégaux d'argent sale,
blanchi dans l'économie amé-
ricaine, cet argent profite à Wall
S treet. C'es t là tout l 'intérê t du
trafic de drogue prohibitif que la
C IA gère avec efficacité dans
l'intérêt de Wall Street. Juste avant
98
la guerre des
Contras, la co n-
so mm ation an -
nuelle de cocaïne
dans ce pays était
d ' environ 50 ton-
nes m étriques par
a n ; disons en
1979 . En 1985,
elle était de 600
tonnes m é triques
par an. Nous con-
so mmon s to u-
jours 550 tonnes
métriques de cocaïne par an dans
ce pays, et l'argent que cela génère
est utilisé.. . disons qu'un
trafiqu an t de drogue colombien
appelle General Motors e t achète
un m illier de Suburbans, GM ne
demande pas d'où ça vient. Philip
Morris est ac tue llement pours uivi
en justice par 28 départements
colombiens ( 1'équivalent des états
américains) pour a voir fait entrer
en contrebande dans ce pays pour
d e ux m ill iard s de dollars de
cigarettes Ma lboro et s'être fait
payer avec l'argent de la cocaïne !
Cet argent a fait monter les actions
Philip Morris à Watt Street ; même
chose pour General Electric ... cela
est archivé au Ministère américain
de la Justice.
Ainsi, l 'objectif de l'impl ication de
la C IA dans Je trdtlc de d rogue est
de gé nérer de l'argen t liquidt!
illégal, des fonds de roulement
disponibles, cc qui donne à ceux
qui peuvent y mettre la main
dessus un avantage déloya l sur le
marché .../...
Le problème avec les d rogues est le
su ivan t : l es gens vont devenir
dépendants, quoi que l'on fasse. ct
un certain pourcentage de n 'im-
porte quelle population deviendra
toujours dépendant.../.. .
Ce qu'a fait la C IA, c'csl qu'elle
s'est délibérément engagée dans
des recherc hes pharmacologiques
pour découvrir quelles étaient les
drogues q ui créaient le plus de
dépendance. ../. ..
Donc Je modèle économique est le
même que celui qui a toujours
exist é p our l'élit e diri gea nte:
utiliser l 'argent des pa uvres pour
leur voler leur terre. On poussè ks
pauvres à acheter de la drogue,
a vec leur argent ; on prend kur
argent pour faire entrer da vanta ge
de d rogues, cc qui d0truit la valeur
de leurs biens et e nsuite on ks vole
de nouveau .. ./...
Donc ce plan consiste littéralement
à tuer, à pi ller. .. permettez moi de
dire les choses très simplement. ..
c'es t « Tue7. les Indie ns, prenez
leur terre, pre nez leurs richesses ».
Par conséquent, c'est un peu sc
moquer du monde ou sc mêprendre
de croire qu~ le crack ou la cocaïnt!
n't:tait consommé qui! par les Afro-
américains. Les Blancs consom-
maient prcsq ue autant de CO(aïnc
que les Afro-américains, l:n tl'nnc
de consommat ion total e. Les
Blancs consommaient probable-
ment plus de cocnïnc que les Atro-
américains mais ils co nsommaient
de la poudre. Et nous avons ussist~
à une tcnt:llive délibérée des orga-
nisations de la C IA ou en lien a~cc
la C 1A cherchant à s'assure r que
les grandes quantites de co(aÏnè. ~~
la cocaï ne de très bonne qualité.
entraient au cœur des q uarti..:-rs
déshérités des villes com me Los
Angeles. Elle éta it protégée. Et
c'est ce que j'ai vu à la Police de
Los A ngeles. J'ai vu la coopération
sur tc terrain, l' interface entre les
services de la po 1ice locale ct la
Cl A.
Et l'intérêt est que,
avec 250 milliards de
dollarspar an dans des
mouvements illégaux
d'argent sale, blanchi
dans l'économie
, . .
amencame,
cet argent profite à Wall
Street.
I.e type qui va acheter la ma ison
au p rix le plus bas, comment est-
il r éellem en t lié à la C t A qui fa it
venir de la drogue du Nica r agua?
Certains dirai en t que c'es t une
ve rsion simplifiée d'une théorie
du complot. Que répondriez-vous
à ces gen s?
Tom cela p~ut ê tre étayé par des
documents. tout cela peut être
prouvé. cc ne sont pas des s up-
pos itions. Nous pouvons suivre la
trace de cet argt;nt sans di ffi cuité;
c'est tr~s facile. C'est l'une des
raisons pour laquelle nous passons
pour ètrc si dangereux à From The
Hïlcler11<:ss. p arc~ q u'il ne s'agi t
pas de suppt)Sitions. L· un des plus
gros inves-tisseurs finançant les
locaux dcstinés à p lusieurs familles
99
 ,:J
... ·. Contras, Reynato Pena. Et c'était
:·~
~-.
1 marrant, parce que j'ai récolté
. <' Ce billion de dollars annuel est de grands changements pour très
'1 l'argent liquide et si vous pensez à bientôt.../...
• toutes ces réponses politiques. l'argent, l'argent sale, l'argent de la Je so11haite parler un peu de
Mais fai parlé à un type qui
s'appelait Rex Nutting, responsable drogue, comme à de l'eau. qui est Clinton parce que c'est incroyable
de 1'émission Market Watch sur fluide, il peut s'écouler très de voir que la plupart des gens ne
CBS, c'est le spécialiste du marché rapidement d'un point A vers un· comprennent même pas J'hi.<•toire
des valeurs sur CBS. Nous nous point B. Et sur les marchés de Mena. N'est-il pas le dernier
sommes assis dans la pièce, mondiaux, l'endroit où vous mettez h(}mme politique du millénaire et
j'attendais qu'Huffington sc libère, de l'argent est l'endroit où vous pouvez-nous un peu nous dire qui
et j'ai parlé à ce type de Richard contrôlez l'économie. Vous con- il est vraiment?
Grasso, le Président de la Bourse trôlez les marchés. Vous contrôlez · Bill Clinton... Et bien, tout
de New York, qui est allé le mois les banques. Vous contrôlez les d'abord, l'histoire de la cocaïne de
dernier en Colombie ct a rendu une taux d'intérêt. L'argent de la la CIA à Mena, dans l'Arkansas,
visite impromptue aux guérilleros drogue circule très vite .../... s'est déroulée sous ses yeux. Une
de la FARC pour leur demander L'économie a connu une énorme fois encore, on peut le prouver; Je
d'investir l'argent de la drogue à baisse en 1997 lorsque les Wall Street Journal en a parlé. Le
Wall Street. Et Rex Nutting a économies asiatiques se sont New York Times a parlé de certains
ct les emprunts-logement de répondu : « Et bien. bien sûr ils effondrées ct que le monde entier a aspects de l'affaire. Gary Webb,
l'fiUD est l'Université d'l-larvard. vont toujours là où se trouve retenu son souffle, attendant que dans son formidable livre Dark
C'est une gigantesque société l'argent. C'est évident.»
~
les marchés américains subissent Je A !liance [L'Alliance secrète], a
commerciale qui entretient de L'argent de la droouc transite même sort. Et bien, ce ne fut pas le présenté des documents montrant
nombreux liens avec le crime tOUJours ' '=' cas. Mais savez-vous pourquoi '? que les contrats de la CIA à
par Wall Street. Wall
organisé. Et bien, vous prenez de Street sent l'odeur de l'argent et ne Parce que nous sommes entrés en l'aéroport de Mena étaient
grosses sociétés comme Harvard sc préoccupe pas de savoir d'où il guerre contre le Kosovo. Nous négociés par le cabinet d'avocats
ou des sociétés d ·investissement vient : ils s'établissent sur l' argl!nt avons fait sauter des ponts, des Rose, le cabinet d'avocats
apparentées qui sc révèlent aussi de la drogue. - raffineries et des usines valant d'Hillary. Une chose est sûre, Bill a
être d'importants donateurs, et elles plusieurs centaines de milliards de trempé dans ce milieu. Mon article
découvrent qu ï 1 y a 200 maisons Q1tel/e e.'il la nature de notre dollars. sur l'argent de la drogue des démo-
sur le marché pour une bouchée de organe gouvernemental qui est crates en a aussi parlé, montrant
pain : clks ne sc demandent pas pris dans ce système ? A quelle L'UCK contrôle 77 que, pendant le mandat de Clinton,
pourquoi. cll~s sc contentent époque viv(}ns-nous ? la CIA a canalisé de l'argent vers le
d'aligner l"argent. J'étais à la ...1... pour cent de parti démocrate.
Convention Shadow où j'ai Le plan que nous sui vons. ct c 't!st Bill Clinton est un gars qui est
int~rviewé un certain nombre de là que je suis complètement
l'héroïne qui entre en arrivé avec l'ambition imperieuse
célébrités, Jcsse Jackson, John d'accord avec le journal parisien Le de devenir Président Il était prêt à
Europe occidentale. faire n ïmporte quoi pour être
Conycrs. Maxine Waters. Arianna lv/onde, fonnidable publication qui
Président Et il a fait n'importe
Huftïngton. Scott Harshbarger de est sur le point de nous apporter un Je pense que nous sommes à deux quoi pour devenir Président. C'est
Common Cause. beaucoup d' Amé- bon petit soutien en septembre doigts de connaitre de très grands un pauvre combattant des rues.
ricains très importants. Je leur ai 2000. c ·est que le crime organisé bouleversements économiques minable, vicieux ct sans pitié. C'est
parlë de la Cour d'appel de la est probablement en ce moment la dans 1'économie américaine qui vrai qu'il a connu des débuts
Tll!uvièmc circonscription qui a force lubrifiante de toute l'éco- sont indispensables. parce que ce modestes ~ sa mère était infinnièrc,
confirmé en juillet :woo qu'il y nomie mondiale. L;n billion de système ne peut pas durer. La façon c ·était un milieu où r on buvait, son
avait dt!s prcun!s que la CIA taisait dollars par an. voilà à combi~n dont je vois les choses. ça père est mort dans un accident de
venir d~ b drogue par un chef des s' él~ve l'argent du crime organisé. ressemble beaucoup à ce qui s ·est voiture. Certaines personnes ont
supposé que son vrai père pourrait
passé à Rome. Et je prévois de ~tre Winthrop Rockefeller, qui sait?

lOO
10 1
Mais ce n'est pas un gars qui est
arrivé avec la facilité naturelle d ' un
George W. Bush, 4ém• génération,
vous .sa~c~, le gc!lre d~ gars qui n'~
jamats ete obhge de hvrer un vrat
co mbat dans sa vie. Et person-
nellement je crois que, face à face,
même s' ils sont à égalité sur le plan
politique, la faction Clinton
1'emporterait à chaque fois sur lé:l
faction Bush, si cc n ' est que la
t~tction Bush a simplement beau-
coup plus d'ar~ent !
Clinton a joue le jeu qu'il devé:lit
jouer. Je crois fermement que Bill
Cl inton était déjà en lien avec la
C IA quand i l était à Oxford. Je
pense que l'objet de son voyage à
Moscou n'était pas de protester
contre la guerre. Je pense quïl était
censé esptonner les Améncains. Il
faisait ses armes. Et j'ai prouvé
ce la de façon détaillée. montrant
comment Bill Clinton a réussi à
éviter la procédure de 1'imp ea-
chment en faisant du chantage, lui
qui détenait la preuve dans les
investigations de la CIA que
Reagan et Bush faisaient le trafic
de la cocaïne et tiraient les ficclks
et que Bush y éta it directement
impliqué . ../. ..
Que dirie:-vous a11x jeun es
aujourd'hui ? Devon.~-nuus être
de!!' guérilleros ? Une fuis que
nou.\' avon:r; compris ce que vous
dites, q11e devons-nous fm re ?
Suivez l'argent. Con1prcncz com-
ment fonctionne l'argent. Si vous
sentez, dans un coin de votre corps.
dans un coin de votre âme. que
quelque chose cloche. vous avez
probablement rui so n. Quelque
chose cloche. rai grandi dans les
années 50 ct 60 et.~vous savez, on
ai mait à remettre l'autorite en
question.
Avec la Colombie, explique;.-nom
comment cette g uerre est
102
con.\'lruite et comment elle est
présentée dans la pres.'\e ?
Mais personne dans
le système politique
américain n'a le droit
de s'élever jusqu'au
niveau où l'on peut
devenir un candidat
sérieuxà la Maison
Blanche, à moins
d'être déjà
compromis.
Examinons d ' abord la structure de
la guerre en Colombie. Je pense
qu'il est bien plus important de
comprendre pourqu.~i la Colombie
est comparable au V1etnam.
Il existe tant de similitudes entre !a
Colo mbie et Je Vietn am. Tout
d'abord, en Colombie, ce sera un
con!lit étendu ù la région. comme
ce fut le cas au Vi~tmiln. La guerre
du Vietnam ne s'est pas limitée au
Vietnam ; elle a concerné le
Vietnam du Nord. k Vietnam du
Sud, le Camb od~e. Je Laos. la
lhaïlnnde, 1ïlc Je 'G uam. la Chine.
toute la n~~ion cn\·ironnante. Et le
con fl it colombi e n touc hera la
Colombie. le V énézucla. k Pérou.
la Bolivie. 1' Equateur. le Panama,
peut-ètre mè me k \1cxique.
certainement Puerto Rico. Nous
avons admis que nou~ ~ntrions en
scène pour envahir ou intervenir au
Puerto Rico . A<.:tuellem ent. les
Mari nes s'cn tr a in~.· nt er il s o n t
atterri sur les plages colombiennes.
Cela, on ne vous l'a pas dit. L'une
des raisons pour lesquelles la
Co lomb ie est comparable au
Vietnam c'est parce que n.ous
avons déjà environ 300 conseillers
des Forces Spéciales des Bérets
Verts sur le terrain, formant les
troupes colombiennes, mais nous
avons peut-être entre 500 et 1000
a nc iens, ct j ' u tilise ce terme de
façon vraiment impropre, membres
des Forces Spéciales de la C IA,
supposés avoir pris leur retraite de
l 'armée de l'armée ct travaillant
aujou rd'hui pour deux sociétés
commerciales : Oyncorp ct MPRL
Et ils sont en Colombie en tant que
« co nse illers civils » mais tl s
partent p o ur d es missions de
combat. Ils pilotent des avions, ils
tirent, ils se font tirer dessus. Nous
avons déjà eu des victimes panni le
personnel de l'Armée. Tl y a un an
environ, un de nos avions militaires
a é té abattu par un SA M [missile
sol-air].
Nous avons de g rosses sociétés
d ' investissement comme celle de
Nicholas Brady, Darby lnvest-
ments. Nicholas Brady était le
ministre des Finances de George
Bush. Il vient de fonder une société
en nom collectif d'un milliard de
dollars avec un ~roupe appelé
Cor(insura. basé a Medellm, en
C olombie, pour construire des
routes ct des barra~es. Et c'est
exactement cc qui s est passé au
Vietnam avec de grosses sociétés,
comme Brown & Roof qui est allée
construire Cam Ranh Bay, réalisant
un bénéfice de plus ieurs milliards
de dollars. Alors nous y allons pour
les plumer. Voyez-vous, depuis
vingt ou trente ans maintenant,
1'argent de la drogue s'est accu~
mulé en Colombie. Des capitaux
s'élevant à plus ie urs billions de
dollars se sont accumulés ct so nt
devenus une menace pour le
co ntrôle de Wa ll Street, c 'es t
pourquoi il nous faut y aller et fa ire
sauter le pays ~our reprendre
J'argent afin de s assurer qu'il ne
devienne pas puissant. Le
Venezuela n'es t pas du tout
d'accord avec cela, tout comme le
Cambodge par rapport à la guerre
du Vietnam, ainsi que le Laos. Le
président Hugo Chavez refuse que
les avions américains survolent son
r ays, et bien nous a llons saboter
' économie vénézuélienne ! Cela
va nous entraîner dans un conflit
hémisphériqu e tout comme le
Vietnam.
Trad11ction : Christèle Gllinol
A propos de l 'ùJterviewé:
,'vfidwr:l C. !?upper!. ancien officier
de la police de Los Angeles, édite le
hul/etin d'inform a tion From Th e
Wildemess [Depuis la jungle}. Son
article. << Bush-Cheney. l'Empire de
la Dmgue » a été puhlié dans NEXUS
14 (mai-juill 2001 ) . Vrm.~ pouve= le
contacter à t·adresse suivante : PO
Box 606/-350, Sherman Oaks. CA
9/413. Ewts-Uni.~. tél: ~ 1 (8/8) 788
879/,jù.x: +1 (818) 981 2847. e-mail
: mruppert(ii;: copvt.:ia.com. Visite= son
site Intern e t à t ·aclresse w~t· w.
copn·ia.com.
L03
 DANS LE MONDE DIPLOMATIQUE DE JANVIER 2002, IGNACIO
RAMONET INTITULE SON ARTICLE "ADIEU LIBERTÉ"
vec beaucoup de précis ion, cet article pennet de comprendre
A comment "au nom de "la juste guerre" contre le terrorisme, toutes
les belles idées sont soudain oubliées... Washington n'a pas hésité
à nouer des alliances avec des dirigeants encore hier infréquentables : Le
général putschiste du Pakistan, ou le dictateur d'Ouzbekistan .... Dès le
lendemain des attentats, une justice d'exception se mettait en place. Le
ministre de la justice, M.John A shcroft faisait adopter une loi anti-
terroriste, dite "loi patriotique" qui pcnnet aux autorités d'arrêter des
suspects pour un temps quasi indéfini, de les déporter, de les faire
incarcérer dans des cellules d'isolement, de faire surveiller leur courrier,
" L'histoire pourrait s'intituler "Comment maintenir dans la pauvreté des
Dans ce pays où 1200 étrange rs ont été ainsi arrêtés de puis les
évènements de novembre, sans possibilité de jugement, que penser du
respect des libertés individuelles ?
L'article continue en précisant que l'intention du gouvernement est de
faire interroger les étrangers séjournant avec un visa de to urisme
originaire du moyen Orient.
Sur la chaîne CNN le commentateur républicain Tucker Carlson a été
très explicite :« La torture ce n'est pas bien. Mais le terrorisme c'est pire.
Aussi dans certaines circonstances, la torture est un moindre mal."
« Certai nes circonstances" ces mots me laissent perplexe, quel vaste
programme à explorer et à interpréter justement selon les circo nstances !!!
104
ERIC TOUSSAINT DANS UN EXCELLENT ARTICLE DU MONDE
DIPLOMATIQUE DE FEVRIER 2002 INffiULE SON ARTICLE " UNE
DETTE ODIEUSE"
l nous expose d'une manière très claire comment Je FMI loin
I
d'apporter une aide aux pays en difficulté ne fa it qu'accroître leur
déficit. En voici un extrait : "Les années 1999 et 2000 ont été
particulièrement rentables: les pays d'Amérique Latine ont remboursé
86,2 milliards de dollars de plus que ce qu'ils ont reçu de prêts nouveaux
durant les deux années en question....
Entre 1982 et 2000 l'Amérique latine a remboursé 1450 milliards de
dollars à ses créanciers, soit plus de quatre fois le volume t~ta[ de sa dette
de 1982."
Les pays pauvres ont, nous le constatons tout intérêt à le rester. Et
pays qui sont source de revenus pour la banque mondiale, l'un des plus
fidèles et des plus efficaces organes du gouvernement mondial . "
Il est important de rappeler que la FMI a soutenu la dictature en
Argentine et que la dette contactée lors des généraux, dette privée et
extérieure a été transférée de manière illégale à la charge de l'état.Ceci
n'est qu'un exemple parmi d'autres, des agissements du gouvernement
mondial. Soyons donc vigi lants et prenons toujours le recul nécessaire
devant ce que l'on nous fa it croire.
Non, la FMI n'a pas é té créée pour aider les états en difficulté mais
pour asseoir un pouvoir et retirer du profit.
A chacun d'imagine r rnaintenam une solution pour que l'économie soit
différente de cc qu'e lle est aujourd'hui. Les êtres humains sont doués
d'ingéniosité et peuvent sans aucun doute découvrir comment agir non pas
contre le FMI mais pour une économie ct des échanges équitables.
105

Et maintenant que faire ?
Certains Je disent. d•autres le font.••
Certains le disent, d'autres le font...
Certains le disent, d'autres le font •••
ECHANGE JOUETS DE GUERRE
Inspiré par la forte hausse de la délinquance et de la criminalité en
Argentine, le conseil municipal de Mar del Plata, en association avec
divers mouvements de jeunesse a décidé d'encourager les enfants de la
ville à échanger leurs "jouets de guerre" contre des livres. des fournitures
scolaires et des jouets pédagogiques.(De telegraaj)
DU NOUVEAU CHEZ AMNESTY
Triple nouveauté chez Amnesty international, l'organisation vient
d'élire à sa tête sa première femme. p remière asiatique, p remière
musulmane :Irène Zuhaida Khan, juriste du BenglaDesh
106
Article de Féli-cité no25
Quatre prix Nobel
alternatifs
Une organisation suédoise décerne
annuellement des prix à des personnes
méritantes dans le domaine des droits
fondamentaux. Ces prix ont été appelés
•prix Nobel alternatifs...
L'an dernier, H y avait 4 lauréats.
C'est également en Suède <{'le sont annuellement
décernés des p~ consid~ par les g~ns co~e
"alternatifs" aux P.rtX Nobel baen connus. L orgarusme
qui les décerne s'appelle Right Uvelihood Awards et
ses r,rix vont pnncipalement à des personnes <J.':Û
défendent de l'une ou l'autre manière les drœts
fondamentaux des individus.
Soit ces prix honorent des ~ qui ~osent
penser J'i.ncooœvabfe.., soit ils veut~ conforter
des ~es dans leurs actions engageantes,
ou encore i1s aident à habiliter de nouvelfes idées
à être admises.
Voici les quatre lauréats de l'an 2000 :
- BimeJI.emke : environnementaliste ~e,
pour sa camp~ contre l'usage de la c:yarude
dans les mines d 'extraction (f'Πd e Turquie.
- Wes Jackson : généticien américain,
pour avoir livré la preuve de la rentabilité de
l'agricultuœ non conventionnelle dite
"Natural Systems Agriculture".
- Tewolde Berban Gebre Egziabher :
scient:i!ique et président d 'une <!'Panisation, qui s'étend
d ans les pays en voie d e developpement, appelée
ïhe UJœ.Minded Group in thë GJ'T, pour s'être
opposé awc. brevets sur des organismes vivants.
- Munir: avocat indonésien
et militant pour les droits fondamentaux.
fondateur de "'<ontras" qui s·~ à la violence
politique et prône là récoriàliation et la paix,
pour son courage et son dévouement dans son action.
...._.riglld.ivefibond ,.
107
 DANS LE COURRIER INTERNATIONAL DU 31 JANVIER AU
6 FEVRIER 2002 nous avons lu l'article:
"LES PETITS PAS DU COMMERCE ÉQUITABLE"

D'aprés cet article, nous percevons une lueur positive:

Grâce à d es entreprises individuelles, les échanges commerciaux ne

reposent pas f orcément sur l'exploitation et la spéculation. De nombreuses
expériences locales tentent d'en apporter la preuve.
L'article continue en citant Tanapara au Bengladesh. En 1971 la guerre
a décimé la population masculine, c 'est alors qu'une anglaise de 3 7 ans
Safia Minney décide d'agir. Elle exporte vers le japon les produits
fabriqué par les villageoises et ce à leur juste valeur. Ainsi le travail de
ces f emmes est-il rémunéré correctement.
Il y a trois ans, Safia a eu besoin d'un crédit qu'aucun organisme n'a
voulu lui consentir et ce pour agrandir son activité. seule la Mirai Bank a
enfin accepté de lui prêter 170000 euros.
La Mirai bank est née de la reflexion suivante "Comment peut-on
refléter dans nos investissements le désir de nos déposants ? "
C'est ainsi que Masaru Tanaka 44 ans préside aujourd'hui cet organisme
de crédit qui n'accorde de prêts qu'aux activités liées à la protection de
l'environnement. au bien-être social ainsi qu'aux organisations à but non
lucratif
Sept ans après sa fondation le nombre d'investisseur s'élève à 288.
"Faisant le tour du monde à la recherche de profits. les capitaux
affaiblissent les modestes et honnêtes activités industrielles, estime Mr
Tanaka. Nous faisons une petite résistance à l'économie dominée par la
finance."

108
ARTICLE TlRÉ DE FÉLI-CITÉ N° 26

Quelques car actér istiques d e

l'Economie d e communion
"Même si les en treprises de l'Economie de
communion (Ede) évoluen t dans une écono-
mie de mard'lé, néanmoins la ra1son d'être
de leur activité économique est d'en faire un
heu de rencontre au sens le plus profond du
m ot, un /leu d e communion : com munion
entre ceux qui 'lnt des biens et un certain
pouvo~r économ1que et ceux qui n'en ont pas;
commun1on entre tous les partenaires im-
pliqués de diVerses façons dans l'activité de
l 'entrepnse.
Alors que bien souvent l'économie contrl·
bue à dresser des banières entre les classes
SOCiales et entre les groupes qui représen-
ten t des in térêts opposés, ces entreprises
Ede s'el'\'orœnt au contnure :
- de consacrer une partie de leurs bénéfiCes
pour répondre directement aux besoins les
plus urgents des personnes qui vivent dans
une s1tuat10n économique précaire ;
- de promouvOJr au sein de l'entreprise et
vls-~·vis des consommateurs, foum1sseurs,
concurrents, communauté locale et interna-
tiOnale, ou encore avec l'administration, des
rela&ns de réciprocité, dans l'ouverture et
la confiance, sans perdre de v ue l 'intérêt
général;
- de v1vre et d11'fuser une culture d u don,
de la paix et de la légalité, dans le respect
de l'environnement (Il faut être solidaire
aussi de la créat1on) à l'inténeur et à l'exté-
rieur de l'entreprise.

Parmi les caract énstJques de l'Ede, en

volet quelques-unes que nous est1mons
partK:ullèrement importantes :
1 - Le projet Ede indique une conduite inspi-
rée par l a gratuité, l a s o lidari t é e t
r attentlon aux plus démunis non pas tant à
des activités à bu t non lucratif, mais
prindpalement à des entreposes onentées,
par définitiOn, à la recherche du profit, lequel,
dans un second temps, sera mis en commun
en vue de ta commurHon.
2 - Les entrepnses de l'Ede, qui peuvent
compter sur une en tente profonde entre
leurs dirigeants, se sentent partie prenante
d'un projet plus vaste, où l'on vit déjà une
expérience de communion.
3 - Les personnes qui ont des di fficultés
économiques et au xquelles une partie des
bénéfices est dest1née, ne sont pas consrdé-
rées comme des "asststês" ( ...) ; elles sont
membres essentleb et actffs du projet ( ...). •
Chiara Lub1ch,
~u So.ne aon.vers;)t(fl du Conse•l de I'EutoPe t
Str.asbourg.

109

Enseignement Spirituel
Il est une logique que les hommes de la Terre. mes frères pourtant.
n'ont pas encore eu suffisamment de force pour éprouver. Elle a pour nom
le "Pardon" el pour obstacle "l'orgueil"....! .. En lui, voyez l'abolisseur
de vos servitudes. Apprenez donc à pardonner comme vous aimeriez qu'il
vous soit pardonné. c'est-à-dire sans réserve. Cessez alors de faire du
Pardon un acte mercantile. On ne pardonne pas "à condition que ... " Cela
demande de la grandeur et, par ce fait, l'abandon de toutes les réaction
pusillanimes.
EXTRAIT " PAR l 'ESPRIT DU SOLEIL" (P.79)
110
-3-
L'Opus Dei ou Octopus Dei
La mafia du Vatican
«L'ombre est sans doute contagieuse mais n'oubliez pas
qu'elfe demeure assujettie au Soleil. »
« Ilfait encore nuit et nous sommes au cœur d'une place immense. Une
place que nous reconnaissons immédiatement. La place Si Pierre de
Rome, en pleine cité du Vatican.
Enfin les contours d'un bureau se dessinent et nos àmes se retrouvent
une nouvelle fois spectatrices d'une sorte de réunion. Ici. l'assemblée est
toutefois plus restreinte. Guère pl11s de sept ou huit hommes. Deux d 'entre
eux sont visiblement des pré/ars. un autre porte un simple costume de
prêtre en civil, tandis que le reste de la compagnie semble se composer de
laïcs. Leur tenue est on ne peu plus dassic[m!..
La voix de 1'un des /rois èlres nous n:ioinl sans plus attendre. Elle
commente:
"Nous tenions à vous présenter 1111 aspect asse::. particulier du Vatican.
Ils 'agit d'un aspect que soupçonnent encore rrès peu de personnes. Nous
devrions dire trop peu ... car tout meiiSOIIg~t. foute mascarade doit voir un
jour sa fin.
En vérité, tout ceci n'est plus t/1/lf C!/lê1ire de religion. Tout au moins
1 11
pour un certain nombre des maîtres du Vatican. Le Catholicisme dans sa
version la plus conservatrice. celle qui prend le pas sur les autres
aujourd'hui est l 'une des pièces maÎtresses du gouvernement mondial
dont vous avez entrevu une image à Genève.
La présente réunion est une des r éunions de l'Opus Dei, un e
organisation tentaculaire que certains hommes lucides appellent déjà
t'Octopus Dei. L 'Œuvre, comme on la nomme egalement. est devenue le
véritable gouvernement souterrain de tout le catholici'>me. Elle gère des
affaires terriblement temporelles de par le monde avec les moyens les plus
di vers. ainsi que le f erait n'importe quel gouvernement soucieux de voir
s 'accroître son emprise. Le crime ne représente pas même pour elle un
obstacle. Elle est devenue un véritable réseau d 'e:,pimmage. une armée
secrète qui utilise la f oi religieuse comme levier de manipulation.
Saviez- vous, par exemple, que 1'Eglise de Rome contribu e
j ïnancièrement, d'une façon habile, à la fabrication de certains
armements ? Cela a déjà été avancé publiquement ... mCiis les hommes
préfèrent oublier el enterrer ce qui dérange. Chacun de vous agit
d 'ailleurs de celle f açon vis-à-vis de ses propres d~fficultés. On préfère
contourner plutot que de chercher à regarder paisiblement 1'obstacle puis
de le démasquer ...
... Les hommes que vous voyez ne sont aucunement des mons/res au
sens moral du terme. Ils ont leur propre conception de ce qui dgft être. et
ils représentent un Vatican qui est un mpect sign~ficatil de la conscience
humaine, collective et individuelle.
En effet. une parfie de la psyché de 1'humanité ne peut s 'empècher
d'être une terrible manipulatrice. une éternelle comploteuse. Elle
s 'interdit l 'accès à la transparence. c'est-à-dire au bonheur limpide ... la
consc:ience individuelle moyennement continuellement ou presque. elle
complote, élabore des plans pmir mieux contrôler ce qui l!....t à sa portée ...
En voltS tous règne un Vatican souterrain..
Sous la salle de réunion que vous l'Oyez ici. exisrent d 'uutres salles qui
elles-mêmes conduisent à d'autres lieux plus discrets encore et qui
contiennent un e quantité d 'arc: hires. Une réritable bomhe pour
1'ensemble de la conscience d'une humanité menée par le bout du ne:: ...
112
Un seul homme dans cette pièce en connaît J'accès. Tl sait les raisons
politiques d 'une quantité de canonisations, les implications mafieuses des
hommes d 'affaires du Vatican, il sait aussi les mensonges des premiers
pères de l'Eglise et la multitude d 'assassinats commandités au nom de
Dieu.
Et pourtant il dort aussi paisiblement que vous ... parce que les uns et
les autres vous utilisez les mêmes somnifères ...
Vous voyez ce prélat ? Eh bien, c'est un cardinal. La plus grande
partie de la hiérarchie catholique ne soupçonne pas la moitié de son
influence sur une certaine stabilité mondiale. Celle réunion, qu'il a
d 'ailleurs organisée. est totalement ignorée de ses pairs et aussi de la
majeure partie des dirigeants de 1'Opus Dei. S'il parle en ce moment c'est
pour donner son approbation d~finitive à un complot de vaste envergure
visant à discréditer .le ravonnement de quelques Maîtres de Sagesse
actuellement incarnés en Inde principalement, mais aussi dans d'autres
contrées de la Terre.
11 donne les dernières autorisations à une attaque en règle contre tous
les enseignements qui visent à libérer réellement la conscience. Vous en
verrez les effets. C'est sa vision de ce qui est juste. )> Celui qui Vient
"Le discernement absolu n 'est jamais acquis pour quiconque" continue
le moine au drapé orange.
Et ses mots résonnent encore en moi comme s'ils venaient tout juste de
couler en mon âme. .. des mots clairs et limpides, des mots incontouma·
bles. Où sont le Juste et l'injuste, le vrai et le faux, alors que chacun pense
voir juste , peut-être en toute bonne foi ? Que dire, que faire devant toutes
ces justifications du crime organisé et de la tromperie qui a les allures de
la foi ? Que dire sinon que ce qui flétrit l'âme et le cœur ne peut être juste
et que c'est au fond de soi, au plus profond, que l'on trouve toujours la
Lumière lorsque tout ailleurs semble perdu !
L'Opus Dei n'a rien à voir avec la foi chrétienne même s 'ille prétend
Je ne puis faire ici le procès du Christianisme dont Jésus a posé les bases,
je démonte comme tant d'autres un organe qui n'a plus rien à voir avec
ll3
 l'Esprit et l'Ame mais qui sous cc prétexte prend des allures de secte tout
en ayant l'aval de la religion catholique. L'Opus Dei a depuis longtemps
mainmise sur le Vatican.
Une enquête sur les Francs-Maçons du Vatican dans "le Nouvel Obser-
vateur" nous apprend ce qui suit : les croisés de cette société la plus riche
du monde sont au nombre d ' environ quatre-vingt mille, ils sont organisés
et suivent les commandements de José Maria Escriva de Balaguer, au nom
de Dieu mais de quel Dieu ?
Peut-être celui des croisés, des moines-soldats qui ont déjà tant détruit
au nom de la religion. L'Opus Dei est un pouvoir économique qui in-
fluence la papauté. Deux mille prêtres sont à sa tête. L'Œuvre reçoit
environ trente millions de dollars par mois et gère des biens immobiliers
aux quatre coins du globe. José Maria Escriva de Balaguer l' a promis : il
est possible de devenir saint tout en vivant dans le monde des affaires à
condition de suivre scrupuleusement les commandements qu'il édicte. Un
chef de secte ne promettrait pas plus ... Son livre "Le Chemin", traduit en
trente langues et vendu à des millions d'exemplaires, se veut la bible de
tout un monde prêt à tout pour obtenir le ciel.
De Balaguer a en fait été un "channel" des années 20. Il reçoit des
messages de Dieu lui-même pour sauver le Vatican et par la même, l'Eglise.
Pour cela, il faut une armée d'inconditionnels purs et durs, se fondant
dans la masse et s'éparpillant dans tous les milieux. Le 17 mai 92, De
Balaguer est canonisé. Pourtant, comme n ïmporte quelle secte, 1' Œuvre
demande qu'on lui donne tout quand on veut être l' un de ses membres ct
si par hasard l'on décide de partir, ce sera sans rien. En fait, lorsque Don
Balaguer fonde l'Opus Dei en 1928, il a 26 ans. Traumatisé par les mas-
sacres des religieux ct religieuses pendant la révolution, il organise l'Opus
Dei comme un organe de résistance anti-marxiste. Il recrutera ses adeptes
dans les universités en proposant aux étudiants des résidences et des cen-
tœs culturels où il peut délivrer son message : il est possible d'atteindre la
sainteté à travers n'importe quel travail, sous certaines conditions toute-
fois ... Son projet est planétaire et il souhaite s'étendre ainsi à travers le
monde entier. Anti-communiste jusqu'à l'extrême, i1 demande à chaque
membre de s'inscrire comme volontaire à la "division bleue" (aux côtés des
114
Allemands, contre l' Union Soviétique). Franco l'a sans doute beaucoup
soutenu et une partie de son gouvernement appartenait à l'Œuvre.
Financièrement, l'organisation prétend vivre de dons mais depuis les
années 70 des associations, des sociétés de gestion, des résidences, des
centres culturels sont créés par l'Œuvre. Les amis de l'O.D. sont connus:
C. Bebear, patron d'Axa, M. Albert, patron des AGF, D. Pineau-Valen-
cienne, PDG de Schneider.
Des scandales éclatent en rapport avec la Mafia et la loge P2 : en 93, le
banquier italien Roberto Calvi, proche du Vatican, est assassiné, pendu
sous un pont londonien. La méthode employée est signée par la loge P2.
Un financier du Vénézuela, Alberto Berti, dit alors avoir blanchi pour le
compte de la banque du Vatican vingt et un milliards de francs et pour
l'Opus Dei à travers l'une de ses sociétés nommée "lnecclésia". Alberto
Berti révèle :« Récemment un ex-président d'une banque américaine m'a
certifié que l'Opus Dei avait pris une part importante dans les donations
apportées à Solidarnosc. Cela explique pourquoi t'Opus Dei exerce un
pouvoir grandissant sur les affaires qui touchent le Vatican et notamment
au sein des organ ismes financiers. Les nouveaux dirigeants de l' lOR
(Institut des œuvres de religion) sont tous liés à t'Opus Dei ... »
L'aftàire Mateos, le milliardaire espagnol qui détourne des fonds au
profit de l'Opus Dei, lève un autre coin du voile mais qui va réagir... bien
peu ! Le sommeil et la peur engourdissent les âmes et les corps, les scan·
ctales éclatent les uns après les autres mais rien ne bouge et l'Opus Dei
continue imperturbablement son œuvre.
Le milliardaire est arrêté. Fou de colère de ne pas avoir été défendu par
ceux qu'il a toujours aidés, il avoue avoir donné douze millions à l'Œuvre.
Quand il sort de prison, il espère que tout va être dévoilé mais l'affaire est
enterrée... le procureur était membre de l'Opus Dei. Mateos continuera sa
route encore riche mais déçu ct humilié.
Jean-Paul Il a 75 ans, tout le monde sait qu'il est malade, mais qui
connaît ses liens avec l'Opus Dei qui, avant son élection, finançait déjà
ses voyages, son accueil et son hébergement de par le monde ? Qui sait
que le pape se recueille régulièrement sur la tombe de Don Balaguer? Qui
115
 suffit d'être sensées" (chemin 946). Dans les résidences, elles s'occupent
sait que pour remercier les membres de l'organisation, il les a nommés à des
de l'administration, de la cuisine, du ménage.
postes clés après son élection : consulte des miracles, procédures de béa-
L'abbé Escribano a subjugué son auditoire canadien par ces mots:« Une
tifications, congrégation qui gouverne les ordres religieux de l'Eglise ?.. .
morale sans Dieu n'existe pas. La foi nes ·oppose jamais à la raison. La
En bref, qui sait qu'ils sont déjà en place pour nommer le successeur du
foi c'est la connaissance par la confiance en 1'autorité. » Et encore : « La
pape ?
pilule est naturelle comme le sont le couteau et/a mitraiffette. »
Sans doute vous souvenez-vous de la disparition brutale du pape Jean-
« La Sainte Eglise est comme une grande armée » écrit Don Balaguer
Paul l« après un règne des plus brefs. Certains disent qu' il fut assassiné
« nous, nous n ' échouons jamais». Les catholiques qui ne combattent pas
pour avoir voulu é laguer quelques pesantes branches de l'Opus Dei ...
sont des soumis et des déchus !
Cela nous a aussi été dit lors de nos investigations astrales .. .
(Une partie des documents ci-dessus se réferent au journal québccois
L' Opus Dei est très savamment organisé ; L' Œuvre décide de qui sera
"l'Actualité" du 1cr Avril 1993).
prêtre ou laïc numéraire, ces derniers devant être célibataires et vivre dans
les centres "ad hoc". Les laïcs surnuméraires peuvent être mariés et avoir
des enfants, ils seront au service domestique des autres. Les associés sont céli-
bataires et vivent avec leur famille. Les collaborateurs aident par des dons.
L'un des buts de l'œuvre est de débusquer de nouvelles vocations et
d'éviter que celles-ci ne s 'égarent. Pour cela et comme dans n'importe
quelle secte, elle propose aux jeunes de quitter leurs familles et de rejoin-
dre leurs nouveaux amis (voir le dossier).
« Les membres mariés ont le devoir defaire le plus d'enfants possible
pour augmenter le nombre de vocations» dit Mgr Alvaro del Portillo, le
prélat de 1' Opus Dei.
Recrute-t-on des membres avant leur majorité ? f< Nous préférons
parler de formation >) dit l'abbé Haddock qui admet que cette formation
pe ut commencer à n 'importe quel âge. Les règlements de l'Opus Dei sti-
pu lent que des enfants de 14 ans et demi peuvent solliciter leur adhésion
otTicicusc. On a souvent reproché à l'Opus Dei d'inciter des en fa nts à
cacher cette adhésion à leurs parents. "Quand vous avez une fiancée. vous
. ne le elites pas tout de suite à vos parents" expliquent tes dirigeants.
L'Opus Dei. troupe de choc du pape, a muselé ou remplacé en Amé-
rique Latine les "théologiens de la libération" qui appelaient à une plus
grande justice sociale. par ses propres sympathisants, en particulier au
Chili. en Argentine, au Brésil et au Pérou. En tout, treize évêques de l'Opus
Dei œuvrent en Amérique latine.
Selon le fondateur, "les femmes n'ont pas besoin d'être savantes, il leur.

117
11 6
 -DOSSIER-

L'OPUS DEI

li~
t 19
 NE "LA PRESSE"
ARTICLE TIRÉ DU MAGAZI DU POUVOIR" DU 22. 04 .95
I . LA VOCATION
DOSSIER "OPUS DE . Joaquin Prieto

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~ prêtre et d'une nutre femme, pour dé-
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non cer un couple séviHan accusé
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retourner chez elle au terme de deux
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w années... dans les centres
~ § de l'Oe uvre. La jeune fille a dù con-
..... vaincre les gardes qu'elle avair rejoint
z ses parents de son propre grê. Po ur
=s
Q.. avoir agi de la sorte, eUe a reçu plu-
~ sieurs avertissements de «: condnmna-
lion éternelle~. et n'a pu recrouver la
Sèrénitë qu'après une visite au cardi-
nalJubany, lequel l'a assurée qu'eUe
pourrait retrouv le chemin de Dieu
sans emprunter ceiuJ de l'Opus Dei•.•

121
120
 ARTICLE PROVENANT DU MAGAZINE "INFO MATIN"
DU 7 DÉCEMBRE 1994
A « L'Extrême droite » de Dieu ?
Oc fait, l'Opus Dei n'est pas un mou..:
vement catholique comme les autres.
Politiquement, Je soutien de son fon-
dateurau franquisme et la place qu'il a
occupée aux côtés de certains dicta-
teurs latino-américains, comme Pino-
chet au Chili, pourraient faire classer
ce « parti spirituel» à l'extrême droite
de Dteu.
Le nombre relativement modeste de
ses membres, en particulier en France,
s'explique en parti~ par la sévérité de
son sacerdoce. Un engagement
complet à l'Œuvre de Dieu exige un
renoncement quasi total à toute vie
familiale dans le cas des membres
numéraires ( 1). Prêtres ou laïcs, ils vi-
vent en célibataire et en communauté
dans une des résidences de l'Opus : <<
Nous mettons tout en commun pour
vivre la pauvreté. Les numéraires
donnent pratiquement tout ce qu'ils
ont », explique François Gondrand.
Cet ex-chargé de mission à la
Direction de l'information du CNPF,
dirige le Bureau d'information de la
Qréfature de l'Opus Dei en France.
Célibataire, il vit dans une des
résidences de l'Opus, rue Dufrénoy,
dans le xvr arronàissement.
Si l'Œuvre se dit pauvre, elle n'en
gère pas moins, en France, un parc
Immobilier important : résidences
d'étudiants, centres féminins, clubs
culturels, maison d'édition (Editions
du Laurier), école hôtelière, et même
un très actif Centre international de
rencontres au château de Couvrelles,
dans l'Aisne.
Subtilité toute opusienne, aucune de
ces structures n'appartient en propre à
l'Opus. Elles sont administrées peu: des
sociétés amies (Sopec, Saidec, Sé~l,
SCI Domaliane, etc.), « des societés
qui o nt les couleurs de l'Opus Dei,
mais qui ne sont pas de l'Opus Dei.
Elles sont dirigées par des membres
qui sont propriétaires de fait du
patrirrioinde du mouvement. Ainsi, en
cas de problème, la responsabilité
directe de l'Œuvre n'est pas engagée »,
122
remar~ue Thierry Oberlé, dans son
livre 1 Opus Del, Dieu ou César ?
(chez J.-C. Lattès).
... Christian Terras, le directeur de
Golias, estime entre 20 et 30 millions
de dollars les sommes brassées chaque
année par l'Opus à travers ses nom-
breuses ramifications, sans compter
son patrimoine immobilier. Cette
puissance occulte au sein de l'Eglise
n'est pas _sans inqui~ter les cathohques
progressistes qu1 s'mterrogent sur les
méthodes très spéctales de
l'organisation. << Jean-Paul II a entre-
pris un politique de nominations au
sein de l'Eglise, qui vise à confier
systèmatiquement les évêchés des
grandes capitales, les directions de
médias et d'instituts financiers à des
membres de l'Opus. Tant et si bien que
l'Œuvre manifulerait aujourd'hui un
budget annue d'environ 30 millions
de dollars », soutient Thierry Meyssan
du Réseau Voltaire.
« les membres sollicitent des som-
mes déterminées, souvent élevées. Ma
famille a été sollicitée de la sorte. Des
(o~usiens) surnuméraires m'ont confié
qu ils sont assaillis de demandes. Ça
va jusqu'aux reproches véhéments de
ne pas donner assez. )) Des
témo1gnages de jeunes qui se sont «
j etés par la fenetre » (c'est quitter
l'o~isation dans le jargon opusien),
le pere Jacques Trouslard-en a recueilli
des dizaines. Délégué à la docu-
mentation sur les sectes, à l'évêché de
Soissons, il dénonce depuis des années
les dérives sectaires de l'Opus : « J'ai
amassé des preuves qui montrent que
l'Opus fonctiOnne comme une secte au
sein de l'Eglise catholique», aJftrme-t-
il.
Julien de la Vega
1) - L'opus comprend les membres de
plein droit, les surnuméraires,
membres mariés qui vivent dans leur
fami lle, ainsi que les associés, les
collaborateurs ou coopérateurs,
simples sympathisants qui participent
à l'édification de l'Œuvre par des dons
et la prière.
t~NE SECTE EN POUTIQUE", RÉQUJSITOI~ ;VOLTAIRIEN~ OU CHASSUUX SORCÈRES?
lllS t·~ llQ, ~NJ~eCtrmpo/Jcqw, qw cbnil êut pu-
DbiJé Cil PnYlcr, le Réau Vo1wtt pour t.a libcni d'a-
de J'Europe, étaient des mcmbrts influents dd'Opus. tf. seau Vohain: est plus oct quand 11 ~~que le~~--''
tin.nœt les nohainens11. Sans dou'.c, b1en que~ seur de Dclors, le Belge Jacquo Sant...-c, est un krn1:
' p'CSSiaa, qw CXlll'.,ct JlBlllli sc:s fooda:ew-s Rad.t&l (a-MRG). sortes d' a.nflucoces aJCill JOUé co fm:w d'une organisa- admttatcur de l'Œuvre du Padn:.
·ks Vcru, le syodat de t.a magislr11ure, des ~res d'A~o­
1100 d'WlC Europe 1aq:ancru domioéc, de fait, JXIf lesdé· L'Opus a pu COOlP'.tT, hon am vêt en f r.IIICC, ~..r ~
'(IIS de f nnoc, de., CÙOt e11 cuon: cœtrc l'Opus Oct. Pour
rnc>-cluitiens. TOUJOUI'$scloo lcscvoltluu:ns»,I'O:uvre SOUIJen d'Edmont Giscard d'~1atnt: (Jl<!re). Jill • o~ :
llllcny MC)-an. ~w Rb:au Vol~~tt, •I'Opu:: :l'cs: aurait p1lot~ jcsqu'en 1992 «un gJOUDe d'Uld:JStnels · cclwd'Aruoioe Pwyetde P.tul B.wdo,n, mm1~n: ......-,
pzs un anplc rllClU\'ancnl n:llgxw... mw WlC ~ qw a ID-
fil~ dq..is g crbtloo les milieux écooonuquc:s ct polmqucs
connus sous le nom d' ERT (Cwopc:a.a Ta bi.: Round) .. » AiTWC$ étrangères de Pétun... Le RC:s.:.w Volt.:un: rJ;
Or I'ERT o'a rien de~ clandestine Compt.>n1le p3- pelle le \'Otsnla&e de I'Opll;) avec de grJn.h [IJ!rt "'
e1 foncb..nle comme llll rtsc:au d•tnll.-:oo: du!gci"CUI... L·ar-
1100 de fiat el celw de Krupp, cc lobby CS' rn::.~dé p;l1 fnnçltSqutlesoullCnncnl, not.llTUl~..:nt a tr.l\l!n l'At ~
01 ex de l'Opus cb.as le JeU poLuque li-a:lÇIIs, c'est l'amvcc
d'un ~ alhollqut que IQIS denooçoos. • JènimeMonod,<k 13 LyontU;.~CdcsCl!IU,c'CS!·a-d.ttp.ll" {Assoc~auon de culture unt\ersitJ•re et technnj~cl 1 •
un protesl.li\L .. Que hcqucs Delors "~'lltn:ttcnnc d'c,. Thtcny Mc:,»a.-'1 soultgnc les •llinuc:s de R.l}mu~o .!
Dwce document, le Réseau VoiLUre épmgle l'mfil ..
lr311011 par l'Opus des~ curtlp(..'CMCS D~o.-s l'on·
cellet~tcs relat~ons avec et groupe d 'md~t.ncb chr~· llam: a\cc l'Opus (Harre t.cmo1gna. en eift:t, 3u prUt:.-
vne, Rubctt Schwrun et Ak:1de De vol.)pen, les «peres11 llfllS»n'anend'é:on:\anLC'cstl'bommc(dei'Europ.:J de béaulicauon du foml31cur de l'Opus). a1n'' q"~
qutnulep;uron(chrëllcojquavui'Opus Oct LeRe- \J'une trentatrt( de parkm,nwtr~~ frano;a'' ..J
 ARTICLE PROVENANT DU MAGAZINE "LE NOUVEL OBSERVATEUR" LA GARDE NOIRE DU PAPE
DOSSIER "ENQUETE SUR LES « FRANCS-MAÇONS " DU VATICAN"

30 juin au 6 juillet •• En mai 19661e nouvel observateur s'interesse le

premier à l'opus Dei. C'est Yvon le Vaillant qui mene l'enquête. Son livre
"La sainte Mafia'' a été traduit en plusieurs langues.
Giuseppe cardinal Martine:~:
GAROFANO SOMALO
ex-président de Rafaello CORTESINI préfet de la congrégation
Les commandements la Montedison, numéraire de l'Opus, pour tes religieux.
Proche
du Padre surnuméraire. chef du bureau de la
Membre de l'Opus congrégation pour la
cause des saints.
Extraits de la bible de l'Opus Dei. Membre de l'Opus
« Camino », de Jose Maria Escriva
de Balaguer Mgr Enric PLANAS Y GlaA Mario ROVERARO
COMA président d'Akros, société
121. JI faut entreprendre une croisade de responsable de la fi nan ci ère, conseiller du
virilité et de pureté qui contrecarre et filmothèque du Vatican. Vatican.
anéantisse le travail destructeur de ceux Proche Membre de l'Opus
qui tiennent l'homme pour une bête. Et
cette croisade est votre œuvre.
Marcello Mgr Francisco
COSTALUNGA JAVIER LOZANO
130. Ote-moi, Jésus, cette gangue de
sous-secrétaire de la conseiller
pourriture sensuelle qui recouvre mon
congrégation des
JEAN-PAUL II diplomatique du
cœur.
évêqu es. Proche Saint-Siège. Proche

150. Tout se passe comme si ton Ange

disait : « Ton cœur est plein d'affections Mgr Justo Garcia
Les quatre
humaines ! )), puis ajoutait : « C'est cela MULLOR
chapelains de Sa
que tu veux que garde ton ange gardien.)) Sainteté(...) représentant du Vatican
prélats de t'Opus, ils au siège de l'ONU, à
157. Ne renverse pas l'ordre des choses : vivent Genève. Proche
si Dieu lui-même se donne à toi, à quoi quotidiennement avec
bon cet attachement aux créatures ? le pape.

175. Renonce à toi-mème. Il est si beau

Joaquin NAVARRO
d'être victime ! cardinal Antonio Maria VALLS
JAVIERRE ORTAS numéraire, responsable
208. Bénie soit la douleur ~ Aimée soit la responsable des archives
Alberto MICHELIN!
de la salle de presse du
douleur! Sanctifi~e soit la douleur! secrètes du Vatican,
député national Patto Segni (ex·
Vatican.
Démocratie-Chrétienne), conseiller
éminence grise du pape. Membre de l'Opus
343. Travaille. Lorsque tu connaîtras les du centre télévisé du vatican.
Proche
soucis d'un travail professionnel, la vie Membre de t'Opus.
de ton âme s'améliorera et tu seras plus
viril.
*: Joachin Alonso Pacheco, Klaus Martin Becker, Fernando Ocariz, Fellipe
Bacarozza Rodriguez, ("Le Nouvel Observateur")

124 125
 ARTICLE PROVENANT DU JOURNAL "LE MO NDE DIPLOMATIQUE"
ARTICLE PROVENANT DU MAGAZINE " LE NOUVEL OBSERVATEUR"
SEPTEMBRE 1995
DOSSIER "J'OFFRE TOUT À DIEU" N° 1547
François Normand
Jfliln•Laurent Del-Bono

••• En t-'rance. le s uccès de l'Opus est

plus mitigé. Malgré les sympathies de
plusieurs hommes politiques, l 'Œuvre
n ' a jamais réussi à trouver un parti à sa
dévotion, même s'il existe de nom-
breux centres et associations qui lui
sone liés (13). .
Mais la nou v. elle stratégie de l'Œuvre
est d'infiltrer les organisations inter-
· ...On Y enrre g· · nationales, c omme les Nations unies,
tr~s jeune : entre I 8 enera1emenr l'Unesco ou l'OCDE. Le Parlement
POint commun de et_20 ans. Le européen à Strasbourg et la Commis-
ment l'anonymat ~~ opusiens : iJs ai- sion à Bruxelles sont ses lieux de pré-
dilection, et le nouveau préside nt de la
ler, mais masqu : Cacceptent _de par- Com missio n. M . Jacques Santer. un
étudiant de 22 :S· . omme Ohvier z, ami . ••

peu vieHJe Fran~!' Jteunde homme un ••• A Lou vain. en revanche. la batai lle
./ ! re ta physi'que' àen
''P 'tud · ,
l scour.
l'Ecance menée par l'Opus fut perdue grâce à la
ténacité du vice-recteur. le Père Gabriel
1, azmerais être cherch oJ~ n.orma/e, Ring let. li a refusé de renouveler le bail
1Œuvre à 16 an· ~ R heur. at connu de deux rés ide nce s pour étud ia nts
OJ' • ~. ar asard ouvertes sur le campus par l'Opus. en
.•VI~. Un an plus rard . ' ra~ome interdisant à ce lu i-ci de distribuer sa lit-
menure ce · · . 'Je devenat.s nu- térature aux étudiants aussi longte mps
de céJi~ et:~ ~~gni_fi~ que i'aij ait vœu q u •il tric he sur son identité. Cette déci-
de l'Œuvre J e ~ ans une résidence sion a été prise à l'unanim ité par le
conseil d' administration de l'univer-
mortifie au~s/ ~r;e beaucoup et je me sité. " L ·Opus n e vise que rélite de la
société, exp lique le Père Ringlet. ce qui
l'Eglise. Je por;e paifO::'fee tzr:zdition de esr inacceptable pour notre université.
parle jamais : trop . . ~zzce. J~ n'en Je ne p eux pas voir ma foi là-dedans.
habite au cenrre Gntzme. ' O,IJvJer.z La quête de la perfection a quelque
chose de très orgueilleux et de malsain.
avec vingt autres • arnel}es! a Pans, Je ne peta accepter tm e religion qui
sont devenus sa nou~~m!:rat.res 'qui lave plus blanc que b lanc ... la couleur
sure J'emrerien d. .6 e amrJJe. as- n des sépulcres ! Car. au bout du chemin,
011 trouve toujours l'exclusion. le
esc de 7 000 fi u oyer. Son salaire racisme. En ces lemps cie montée de
avoir payé sa p~an~s p~r mois. Après / 'e.ttrl me droite. on ne se prému11it
peut-être pas asse~ contre les dictarures
1 000 francs nston, il ne garde que spirituelles . ......
pour son arg d
poehe. Le reste ;) Ill . 'enr e
. e verse a 1Œuvre••• O J) Une trentaine, à l"•ri$. L)'<>n, Mar~itle
1\lx-en -P«w."'n"e. To>uluu$<:. (lrenoble '" Stra~:
bourg , .une ecole t~choiqu~ h& élière. ain.<i L!U'un
centre •n•emawnal de n:ncooorc:s au Chàteau <le
Cou,;relles, llne . mui$On o.!' é.Sitiun Cf..dition< du
Launn-1 : r un dedale: de su,·io!tés anonyme" q 11i
~"'"'.11 tl .Xrons au.J< uo.·uvit~~ <k l' Œuwe (Sai<lec.
Socnlina. ,\eu t Sollco, Trit;,p ... J

127
126
 '
BEATIFICATION DU PERE DE L'OPUS DEI (MARIA ESCRIVA
DE BALAGUER) ET DU PADRE PlO

En cet hiver 2001 nous avons eu une surprise de taille. Les services de
béatification du Vatican ont le 20 Décembre 2001 béatifié deux êtres qui
semblent tout à fait aux extrêmes de la spiritualité :
Aujourd'hui qu'en est-il ? Le fondateur de l'Opus Dei, José Maria Escriva de Balaguer et Le
Padre Pio réputé et aimé pour ses guérisons miraculeuses, ses stigmates
et son amour de Dieu el des hommes.
De qui se moque-t-on lorsque l'on sait comment le Vatican considérait
le Padre Pio et lui mena, jusqu'à laJin de ses jours, une vie épouvantable.
En voici quelques exemples: Devant les stigmates du père, la curie
générale des Capucins de Rome désigne deux professeurs. Padre Pio est
surveillé, examiné de près. Sa vie quotidienne n'en est que plus pesante
seul lui ne s'en plaint pas.
Un jour. un archevêque envoie au Vatican des accusations graves qui
obligent le padre pio à rester confiné dans une cellule de son couvent
durant dix ans (de /923 à 1933) jusqu'à ce que l'on découvre que l'évêque
avait menti. Le padre Pio avait eu l'audace de refuser J'absolution à l'une
des maîtresse du dit évêque. Justice est faite Le padre sort de sa cellule et
les foules affluent de toutes parts et ce jusqu'à sa mort. Aucune recon-
naissance ne vient cependant de l'Eglise.
Quel est donc ce "hasard "qui veut qu'aujourd'hui le Padre a droit au
titre de Saint. ..N'est-il pas difficile de béatifier Don Balaguer plus proche
du pouvoir mafieu que de l'esprit Christique et de laisser de côté Le Padre
Pio qui est aimé et prié par des millions de personnes ?
Heureusement les dévots de Padre Pio n'ont pas attendu l'avis papal
pour décider de rendre hommage au Padre Pio comme à un saint...

128 129
 ,..
ENQUETE
ArtiCle (oxlra.ts) du nexus tranœ n•11
VATICAN, C.I.A. ET MAFIA
'
LIAISONS SECRETES
Dans son ardeur à éradiquer le communisme,
pendant la Seconde Guerre Mondiale, le Vatican a
établi des alliances avec différentes sociétés
secrètes, groupes fascistes et agences d'espion-
nage et maintenu ces réseaux depuis lors .
LE DISPOSmF DE LA
MAFIA, DE LA CIA,
ET DES RENSEIGNEMENTS
OU VATICAN
lbl:n Vm.:cm Con>nc .:l.tll
A un de cc-. pçr:.<>nn.tgC'> <.tUt
J>.I''>Cnl lo.:ur \ IC .0 " ' IJulifcr
cnlrc les gouneot \k pluoc .:1
.o do\par:Jitn: de-. 4u'une lllllbrc ~·.u­
tardc Il cxostall ct n'c"~t.utpas tout
.o la fots Al C.trone - conll'3rn:m.:nt
J ...on prodl<! homvnym.:. t\ll'.opunc
· n'êtaol Haomcnt <.tUC paradù'l.: .:1
IO)'~Ier.:
Il et.uttn~p..-ctcur d..: po he.: .1 ' ' " '
York. on.tl\ .:da ne l'a f'J' empêche
.tc dcH-ntr un h\llnnl<! •.tm< ,.,• .un,
l.o lam olle .:runondlc Ci.:m" "'" If
.:.onnaa,.,JII tou• k~ gmn<h ma liu'•
•k wn Cf'O<IU.:. oonl Vuu (i.:OO\<""·
"·•m Ga~n~.u::t. '>.lnltl\ Tr.tl1i<.tnl.:,
Juc (\olomho .:1 Pau k-y ( n'tcllanu
""ntrc auth.""'
l 'uncJ<"f'l'lll.:t('-!1...-,. I<•R<IInchJc
( ·.amne uu Scr- tœ de Pohcc J.: 'IJe"
) •'"'- <.'l.tll J' .agar .:n lalll que ~tu..'Ur"
('<>ur prtnef!.:r k-., chJrg<'lllcnt- de
llrugu.: <.tUC (,1 ( l \ 1!11\ll\JII .1 JtiiÎ!
Mil<.., r:umlk" J.: IJ \bli.o
Caronc <'1311 ( ••lunéltatuiJtcc Je
1 ,\rnwc \mcn.:.unc .:1 .t•.oll tr.t-
' ulte dJn' le torp' Ju l••ntr.:·
1 •('IIOfln.tg.: (\'lfllllle l)l\ J)\IU\Jit ~-~
130
.ath:ndrc. 'u >-1 ~'fano.!.: .liTlttlc .avec
Hall ( ,l,l')'. 11 etau cgalc:mcnt agent
""-r.:tpuurla(.l \ /<l.n,cen'c''JI-IS
ll>ut Il L'ialt .1u-..,1 Gr.tnJ Che' .olocr
de 1 Ordre Molrtatrc Suu•cr.un de
\1Jit.: (0/<lSM 1. ~tut p.or le pa".! a
.:h: l.t brand..: mtluaan: du V:u~ean cl
''t ""n'adO:rè comm.: un Etat antlé·
pcnJJnt oJa~pu,.am oJ ..-.. pl.:ms puu·
<o•"· oJunt ccl ua de dêlrHcr ...:<~
J'fllpr-." P~Jlllns daplomatique1
,\ u cours de' oJerruèrc• dt.:Ccnmcs,
1'0\IS\1 a Sl:f\'1 de c:an:tf d'! lin.on·
cement, Je •ore en or Jllltlr le mar·
che nutr cl de 'one d~: bbnchim.:nt
d'al\:cot pom la Cl.-\. entre aulne-s. ct
"'' repute pour "'' actt\ln5 en tunt
\lU<' hltér.: de rcn,etltfiCment' Ju
\ 'auc.ul On le pni.:od unphquc. par
c'cmplc. d,ms la dt'Jl"rttmn de'
r.!"'" ,~ d'or Je IJ Ru"'c • plu.~ de
1 U()\) 1<1110<." • <jUI \.1! -.<lOI ~:lllOUICS
l'l>Ur.tnt 1991, J f'<.'U pre' Ù I'Cpct<tUC
ou le Chcl J'Etal Su<~ctrquc
\hl..had GortxudlC' a etc 1:\ '"'"Je
"'-' fntk:lfvn ...
[ 1 tJOJt\ 11u'un granJ nombre
d';m.:a.:th n.t'" luyment 'cr. le .,..J
Jlin Je cuml>.lltrc 1.1 menace n•m·
munr,tc en \rn,·rt\IU< l .olmc • cl.
~un••ut, proliter pçr..••nneiiL-nwnt Je
feur tlllJllh:Jtn>n J.1o' ft: commerce
luaauf Je l.1 JH'1!UI: .:1 J.;, ant1C\ •
en ruropç.lc- tra•.~u, prchrnm.lln:s
Par David G. Guyatt
4:) 2000
~
ssa.-n.Road
NCXUSOI'u
fasiG<-.WS....RHIQ IBG
~~
E"""" goodtloog0gl""b"J991r-·
.. cou~~
étatcnt IÎ\cs puur rc:n<.:r-.er ou
mettre en <.'Ch<.-c les gou-crnt:mcnts
élus dénn'k'rJuqucmcnt. par l'anter·
mcdwarc du 1"-"S<."au mahtauc IJ'>Cllc
con>tttuc dc;o «Stay Dehmd Untts"
organasêcs dan~ le cadre de
I'Opcrut•oo Gllldoo C'est aans• que
ccrtaans ont b.itt de 'cmablc:' for-
luot-, pçnonndt.:s ..ur ln mao;cn: des
:tu tres· une Situation sa barulc qu'cl-
Ic v out IOUIJUStC ln pçmcd'ètn: men·
t1onnèe.
Ces acttvit.:s néo-fJ>Ct!>lcs
allaacnt prendre de l'amponancc au
début d~ :1nnëes 19!10 suite .i l'ef-
fondrement de 1~ bJnque
Ambrosmna cl il ln mon du banquacr
ttJhcn Robcno Cah 1, <.tu.! l'on a' au
MUICidC~t Cl pendu '>(Ill~ Je
lli.Jckfnar~ llndgc de Londre1. Cela
nll.ttl amener des reH:IaltOM ">COSa·
uonncllcs sur le rôle ole ht 03nque du
Vatacan,I'IOR. dan\ l'cmrare linan-
cacr Je Cal-. et limr r:Jptdcmem par
anclurc le• nchvtlQ •lu tînan< •••r de
la Mafia lllachde Smdona qut
alfarcnt. d leur tour. tmphqu<'f J;ms
dt.-. octi' tl<'> m.tli.:u-.o de:. l>:mquo
tmpunantt"o ~~ réputé~ en fuwpe et
en Amcrt'luc SmJona et Calva
cl;u.:nt te>th les dcu\ pro.: hQ de
I'Opu;, Dca, qua a pçrdu cnvaron 55
mtfhoru. de J.>lbr1 '''"''ue 1\:mpare
ole Stnd~;>!l.l ,·~t cllimdre Sd''" S3
t:lllltllc. h>ro.<Jll ' tl 3 l'IC O~<hSiné,
Robcno Calvo éiJol très cx:cupe a
ntder l'Opus Dco l prendre le comrô-
lcdc l'lOR.
Pcndillll cc lemps. Cal~• cl
Smdona êlilocnl lOUS les d~u~
~mbres de la loge maçonnoquc
sccrc1c Propagamla Due (P2). donl
on do l qu'ol s'alloS53 11 d'un «gou•cr·
ncmcn1 parall~lu en auenle, quo~
f>KP&raol a dTccrucr un coup \l'cul
en ha he. suue .1 une viCiotre du Pano
Commun.sle nut elccuons.
L.t loge P2 cldll dorigéc Jl'lf l'illl-
cocn fbeoste ol~hcn ct membre Jn
SS '\vo:r., LocKl (oello • que 1.1 J'fe>·
..., olnloennc $Umomm3ÎI "le Ma olle
des Manonnc:uc.,,.
.. Que scraol·ol •rr" é so des mol-
loonJ d'Amérocaons cl de
Brotannoqucs. ~ dct>ananl a•cc k~
coupons (de rauonnc~ll cl le1
liiC> d'aucntc nuK \latoons-.cr.."c.
avaocnt npproJ <tu'cn 1942 lc1 doro-
~:c.Jnb de l;, Sldndard Ool dc "c"
kt...:)' fourtU'>~ocnl le cart>urant .1
r~'1lncrnt par b Suo~ neutre Cl que:
l'cnncmo foum"~aot d u carbur.onl
au1 Alhés ? t l ,. lo: pubhc evaol
d«OU\C11 que 1.\ Chase Bani. ~M le
Paros occupe pu les oazos aptes
Pearl llatbof rao~u pour de, mol-
h<)n> dc doll.ln d'ulhores a• cc l'en·
ncm o et que le bureau cenoral de
\1anhnnan le 501\aot ? Ou que des
c3moons Ford tuocnl construoli en
Fran.:e pov:r kllroupo:J d'QC\;upa-
loon llllernaodn 3\CC rnulon-.atoon
de !><.-arbon. dan~ le Mochogan ., Ou
~tue le Colonel So,thcne, Bchn.
dore~lnll du COOJIIOIIlCr.ll ltlcpho-
noquc amCnc:aon ITI, t\lol pm
l'avoon de New York ii l\ladnd JU>·
qu'à Berne pendanl ln l!ucrrc pour
nodet J.amehOKr le r~u de t\lm·
mun":IIIOO d '1 hl kr ct llfiPOflCI ~
perlc.;uonnemenh ilU'< bombcl.-
robots quo ~~rent l..oncJres ' Ou
11u'IIT a•atl c•>n•lrull les Fode-
Wul h qw largu;loent des born~ sur
le1 troupo:J llrn3nnoquc, cl
\rncn.:o~onn '' Ou que de> nlllh:·
men!\* bolln ~~~~•fs a•o~o.:nt etc
e,rcll•c. en Am.."flque Lalo ne i \ki
clocniS asso;:ocJ au1 Nuu a\ cc 1.1
complocolé du Vocc-Pré11dcno du
Con.col de Produ;;loon de (;ucrre des que oonquoer ontemnhunal ~llano
Etals-Un". en assocoa1oon a•c:c le la Cuy de Londres. Da-.od G Gu)'all
.:ou"n de Go>nng .1 PhoiJ•ldphoe. fl41Ur'>IJII ac1uellcmen1 une carncrc
Jlors même que le• lorce~
Amen..'3oncs en rnanqtUinll <rucllc-
mcnl ' Ou qu'i \\a,hons•••n. on Un groupe du Vatican
connaoss.ioll'c~osoence de 1cls arrao-
gc:mcnos cl que tour Il l<lUr on les qui entretient des
san;:llonouot ou on Ica ognoml
dehbctcmcnt ~ liens t rès étroits avec
\los à pJrl ccue brève on~ursoon les Cheva liers de
dan' l'ho51uore c-otéroque, 11 faut
c:~alcmenl ll(>{et que le Pnnce l'Ordre de Malte est
lkmlurd. 0111rc \.CS ri>ln de rncmbfc
de' llol.kbc~cr ctllc o:hcl de l'Ordre l'Opus Dei d'ext rême-
Johannuc de' Pa-s-Ba}, cwot ausso
membre hont•raore du pano SS de droite
llommlct ct oravaolla•l au NW7, la
bran. he des renseognemcnh gcne- dc .:hetchcur. «n\Olln ct rrcxh><;lcur
rau~ de 1(, Fnrbco quo3 •o wll pour de documcnuon:s lèk!\ ·~ lilm• ct
Je, <nlcr.:l\ de la C3U"-' n.o11e. Le' m.tj.!Vont1 <)c, anode- Ile fond"'"'
a.:lo•llc' Ju "-\\ 7 en \ml'n~tuc "'"" dans dl\cr-c• pubhcallllll\ ,
Lill ne 3' .onl pçndano ct ùpr<-s Id duni Ou"~....v\~e NI '<US. ~onc:;~n
Sc\•"ldc GO>Cife \1oodulc """' 1011· Tomes. The:\.~~'"' cl Lobo.lcr
mcmcnt h~ ~ o:ctle ho.l<llrt: ()\otre -.a c.;nl> co,.,rncn::wu' ()
Fn wulenantct en \alloant 11 (, Gu> ali :s pn:pJrc de• duc:umcnl
nombre des .oc1ovo1es ~tue nom tl'on lormahnn ~ur le> amtcs anlopcr-
'~""'-ms d'e•oquer. le Vauun av:lot 'IOnnellcs clccoronu~tncllquo puur
pour but d ' ao.ln li elunoncr une liiéo- le Comote lntemlltoonal de b Cro11
logoc communoslc quo m.:pns;ul le Roogc, aonso que ptNr 1~ Sck.'11II>IS
Chnsuano\mc L'Opus Dco ct une ror Global Re..pon,bolooy Il a épie·
1!U3nlllé d' ~utres groupt-a secrets ment c.;nt pour le Moo>cmenl pour
toul JUWll .:;&lhohqucs !lUC ftiCISICS le Dc•doppemcnt \ londo.tl a JW'II
~ som cngotl!~ dans une lolilll•e de de ses conn;us:.an.:e5 •dorectc.• du
m.-unrcs. bW..:h1mc:nl d'a.,;ent. ln· linancerncnl da arme~ onlcmalo•l-
lie de ~.'IKS. tnfoc d'armes. recel nalcs
d'argen! de la SecunJc Guerre
"-!ondule. deloumcmenl •le fonds.
nunopubut>n des IJW'Chcslinaoc~
e1 l'ocau.:c.MJp .1·.wues olqahl.:s. 011
peut duc que le but de hlUICS ee1
JCII\ ote,. c1.111 tle p<rmcllrc au
Valoan de d.:mcurer h: rcrnpan )po-
muel de 1 O.:cki..T.t Chn:tocn
\1.11\ \l de !t'lie-> liiJIIe\ \001
J.:, 31T~otc• d une (gl"c pr~'\:hant
un Docu ~tu• c'' au~ C'oeu1, alun
(.:>ar quo c,t our la Terre: de\ raol
prcn.Jrc ~uJ.: Un .. uuc .. sco-
~ncur" .:'1 cn1rc dan• IJ \Ille
TrJduot f'Jr ~Jih.lhc Tvu.:ollc
131
 Et maintenant que faire ?

132
 Article tiré de Féli-Cité n•26
Brèves

Femmes en noir et en silence

Voil~ 13 ans que les Femmes en loir marchent

eD silence. Cela a commencé • Jérusalem et cela
continue dans différents pays et pour différentes
causes. Peut·être remponeront·elles cette année
le prix Nobel p011r la paix.

Ce qui es1 devenu un mouvement tfUernauonat

commonçaot dosc:r6rement et en ~lence é Jérusalem
en 1988. Un petot groupe de femmes israéliennes
pnt l'onotoanve de sortir une lois per se1TUI!ne. tOU·
1ours 6 la"*"" heure et au m6me endrott. La
manoère de protesru contre l'occupation des terri·
toores pelest~noens était simpla. A la meon, un.
pancane noire en forma cie ma on avec des fen res
blanches : • Arr6tez l'occuf»tion". en hébteux ou
en arabe.
Voo" 13 ans que tas VIgiles de la paix protestent .
MUSOJimanes, clruses. chrétiennes. 1uivos. allos som
quelque 2000 lemme~ 6 délot or ensemble chaque
semaone sur la place Hagar 6 Jérusalem. Laur calme.
leut courage et leur dlgnotê dans leur oppoaouon eu>
te<ritoires occup4s, a essaimé 6 1'6tfanger Il penir
de 1990.
Au Zagreb, ces lemmes ont lait preuve d'exempla·
rit6 en matillre de coop4ration interethnique. Elles
ont 6t6 les premo6res 6 tendre la mein aux lemmes
albenaises du Koso--o. En Allemagne. elles ont
dtlilê contra Jo n6o-nazisme e t contre los ormes
nucl6atres. En Inde. leurs actions do vigolance POt·
taiont sur la rnehraitanco des femmes de la pan
des fondamentalistes relig•eux.
Les vlgoles de lo paJx en sont amvé 6 conslltuer un
mouvement ont&tnatoonal de sol<datoté appelé · coe·
litiotl peur une juste f»Ùr" . En lsroël, le mouvement
Qt comPOS6 de 8 organ•aatoons pour le paix dont
les membres component das cotoyennes juives et
des citoyennes isre61leMes palestiniennes. Ces
derniers tem!>'. elles ont ontensifi6 leurs actes de
dêsob.,ssance covJie non violente. ce qui leur a volt
des arrestations rtp4têes. Cela ne dJmonue en rien
laur engagement, déclarant qu'elles sont dos
cotoyennes oateêhennos opposo!es à ta VIolence.
oppos6es A l'occupation del tomtoires pelestoniens
et d<lfenda<ot un r~lemant de paox équotable avec
les Palestinien$,
Les Femmes en No•r sont mamtenant en vote de
recevOir le Prox Nobel pour la Pli• x

133
 Article d e Féli-Cité no26

Une praxis économique née de

la spiritualité de l'unité

Plusieurs ortenutlons, en économie, ont~ tooSiaetnt une mor.lllté ou un sens religieux

noun1 PM 13 vénér.adon de nocre Terre-Mère, vértuble êO't 1/Mn(, comme l'a dbnontré R.ussd
cbns 500 ~ 0 Tttre t,'ével/k.
L'Economie de communion, qwnt l elie, a un fondement lénk~ p;~r l'amour chrérlen œl que
le vivent les Foco13rl. A~ des années~ pr.adque, ce modèle d'économie fr.aœrnelle
a été l'objet d'lntér~t au plus haut nlve.111 politique en Europe.
Une bonne r.~lson pour y reprder ~ plus ~

Le M OUVEMENT des FOCOLARI Douce utopie ... crédible

• Durtmt ••• <Ûrlllùrs dlcmtJin, s'rsJ dl/fui sans /mJJJ
m dr t<Cmbrr= J>aTS "" ~fUNk rh où, aprasloa d'kM
cwl111n nou~IJe.
C.ut•f" ff• d~ •l•ro · {WO(H't, miiT UIITS, tlM Jlo-
,,nt "" FtXOiarl, qul•st d• rouc/H dtril- · 1!$1
a•imlr par un~ spirltua/lti nou"ll•, à la fois {J'lrso,..
041/• ., rommrmUIIIUirtt, la~ tk flllllti, C•lle-d
ni rlpuntb.~ uujowt!hl 111 182 puJf d11 1tt0.uk, punnl
Mt,_._,... k IOIU àgu, tU Tl><Ja, !Jnwvu, e~~Jhn.. •t
CflltPJd icms tf1JT~tmtrs. (}u/n UN gf'llltiÛ tNJjt>ritJ tU
t:IJJtKJIIqwes, •Il• rrunmblr 111USi Mt ~lms qMI4pf>tl,..
11-.tJtml à JOQ EgliS<s diflùrnlu, tksf/d~lrs tks priftd.
pui<S ,.//glons, ainsi qut d•s bommn f/ drs {mt,..s qui
n'ont pas d• réftr.tncu rrligtrusn panicullùtt mols qw
port«gml avec nous de nom.bfftJSn &~altvrs. C. roatrart.l
sr Ctli'IICtirlu igal•rrutnt pur tmrN>u!Jftlt mmo/m tk
rrltfrr ks dl/fùrnu as/)«JJ tk la llrlt sodalr:pollliqw.
cMilu,.~ alflsl/qllr, lcOrtom/q1lr, rk.
û mou•.mumt tsJ por11ur4' ,_.-.dM •oowk
œtOtrh • .,.. 14 jmternJU M~, oï. lu bommn u
co,'(X>rtvnt comme du frbw., rsptru~tt uinsl apportu
'""" pl<rrt à"" mond• plliS -1.
IArsqw• lamour, ou Iii bi....UICDJU, tsJ Heu pu
pl..n.wn ,_._,.... u dnrlmt ridproqw : ainsi tuW,.,
so/IMrlti. Uns M>lldarlti qu'ott,., ptlll - n t - r qu'm
faisulfl l<l/nt IJotre ;,.,....... m ajfrotttJmtln tilfJlcw/Jb
nrtCflfltrlos nm suchatttlu dipa##r. C•t tsprlt, SlliU
ens• placl au coeur dr tout• acllttl.ti bJ~ma in.r. mim'
#coll()mlque, oonstllu•l• tfJI• d• trl• tks quatrr mllllotU
11 ikr>ll rh {J'lrsomrn qu~au m11 du N OM - 1 ikt
Fo<olflrl, s'rlforcmt qaotldlmnrrMJù rh J. IMitrt'"
pratlqu• : un nprlt qui ÙSl diSONflilÙ ~ /tlm
a...tk/à du Mou..,..mt. •
Gt.M11 ,,.lc.ll.jOfi.IIMtrlu IJji Mt~t tin FocoiArl
(..,.,II,._J_n"'--J.c-&thU-.
~ s...-~ t.3H·tmJ
- En
1991, lt>t3qw Chiara l..ublch lançait féconotnie de
~-~es~~lénlsw~
ment des Focclait T ~ A foxMrieur de ce mou-
- t J'lnitja/j... prMaH 41 $<J<Jrlte : cbtce utcp/e.
Le wr s.ns des ttMiité.s et la ""' impitoyable w monde
des afftlites .ureient '"' fait de ,..,_,.,r
li la IJJison el •
~-la-- ~quillitencontplgnon
- , _:le capitaljsme put et b .
Mllis lfnif»fiw /»~Sistait : des - posilîts "" -
laient tant w c6M des enlr8{)(0Mul3 dt1sirant appliquer
cette nouvele mat>if;re de mener ie!l alfakes QlJt1 de
celUi des~$ teœVIUII ceNe PrrMdenœ si,._
aossaim. La .sourires initiaux "' lfpeaient el les SOINCils
dt!tr.!JdlecJts _...,.,, la fMnt d'llrl aoœnt c:ill:o<dore :
f'llltet'pellation ClOinrr*IÇlllt.llan$1es miliewr , _ . .
tans. le 1Nme chemin ,. Uait : d'IJne jgnomnce
totale au déb<Jt, la priS6 de COM.1issanœ p/tJs PfO/Onde
se muait en obseMJtion ottenbV..
Aujoutrrl>ul, f«:onomie de~ continu. p/tJs
tpe }llmels. AptM 8 - de~ des~
temai'QIUiboles _., ... ~ flint dBns le '*"'-
de /'etTf>iol qw des tésultiJts billlntsires des ..,,.,.....
ncrurs adel>les et une I1()UWjle !IOiidafttë se f)t'Of*. Les
milieux unlvet$italre$ 6tudient de maniëre apptOfortdle
ao qui SJll)lllllll de plus en plu11 ccmme une I1()UWjle loi
écot>olniqJe possblo. inMgtant d'IJne manlet1l p/tJs
extlausbwles~~d'IJne.­
<fenlreptfstt : la ...,~MM, les -~ les tekJilon:J ..,....
tous les perttNJBires. f111tllfption dans la ~,_ eu
sens large, l'etrel parleur d'iJit dflveloppemerrt wrtlble. •
("*"o-1
~-~--,...,.....oa..·w&. .... 21XJG.

17

134
 Enseignement spirituel

Si l'Ere du Verseau est déjà en fl eurs dans votre esprit, alors vous la
verrez aniver vers vous avec quiétude, quand bien même des territoires
entiers seraient anéantis. Dans tous les cas je vous demande de prendre
dès maintenant votre place en e lle car elle SERA, que votre mental
l' accepte et l'espère ou au contraire se cabre' Elle s'achemine à grands
pas dans votre direction. En effet, elle est une ré-sultante de la progression
logique des mondes et non pas uniquement de celle de votre planète. C'est
vous qui allez vous fondre en sa proposition de vie, cert_e.-. pas l'inverse
puisqu'elle est une partie de vous-même qui a déjà accompli le trajet ct
qui revient vous chercher.
.. ./...
Dans son sein, dites-vous que vos titres n'auront guère plus de valeur
que la feuille de papier traînant à l'angle d'une rue, que votre argent
ressemblera au glaçon exposé aux feux du soleil, que votre culture ne
pourra prétendre être plus qu'un savoir en conserve, dévitalisé, que votre
personnalité enfin ... c'est elle qu'il vous faudra bien alors mettre à nu ...
.. ./...
Ne craignez pas, par 1' énergie que je vous exhorte à développer, la
" marginalisation". Tous les marcheurs pour I'Tnfini sont marginaux en cc
sens qu'ils ont la liberté dans le cœur ct le cœur au bout des doigts. La
marginalité dont je vous parle n ·est pas affaire de finance ou de position
sociale. Elle a le visage d'un Souffle capable d 'ouvrir les esprits en
souplesse, d'un Feu apte à abso rber les scories de tous les antiques
braseros.
Marginal, vous l'êtes dès que vous avez décidé de rejoindre votre
véritable demeure... dès que vous avez compris qu'elle ne vous attend pas
quelque part derrière les étoiles ou dans "l'au-delà" mais partout, dans
1'ampleur et la pureté dont vous pouvez revêtir chacun de vos actes.
.. ./...
L'Ere qui s'annonce veut des bâtisseurs fo rts, des hommes et des
femmes q ui n' aient pas peur de "risquer" de perdre ce que la majorité

135
considère comme des acquis. Vos acquis, croyez-moi, c'est souvent la
somme de ce qu'il vous faut désapprendre.
Je vous parlais à l'instant d'hommes et de femmes forts et volontaires,
mes amis. Je veux pourtant mettre ·ici un accent tout particulier sur les
femmes, car ce sont elles qui sont appelées à jouer un rôle décisif dans la
grande mutation. Leurs capacités d'adaptation s'avèrent aujourd'hui infi-
niment supérieures à celles des hommes. Elles sont aussi plus résolues en
-4-
ce sens qu'elles ont développé une vision plus claire des aberrations
actuelles et des remèdes pouvant y être apportés. Ganymède, le Verseur
d'Eau, sera doté de l'énergie du principe féminin. Cela sera spectaculaire La Santé:
dans sa phase
ou comment soumettre la population mondiale
EXTRAIT DU UVRE ''PAR L'ESPRIT DU SOLEIL" (P.173} par le biais de thérapeutes de bonne volonté.

Depuis des années d'investigation régulière dans les plans subtils, nous
avons assisté à des scènes plus curieuses les unes que les autres ... des
scènes se passant dans des laboratoires en Alaska où aboutissent les dé-
couvertes les plus folles, où sont déversés des crédits très importants aux
chercheurs les mieux payés œuvrant pour des responsables sans noms et
sans gouvernement offic iel. Voici donc l'extrait de "Par l'esprit du
Soleil" où il est question de ce type même de recherches:
« Les yeux de notre âme sont maintenant suspendus quelque part au
cœur d'une étendue de neige et de glace. Aux trois quarts enfouis dans la
neige, nous apercevons maintenant de grands bâtiments aux toits plats.
Devant les énormes blocs de glace qui se sont formés alentour. trois ou
quatre véhicules, a~lendent, rangés dam un ordre rigoureux. Autres signes
de présence humaine, trois antennes paraboliques de tailles différentes
tournent lentement sur des plates-formes. Elles évoquent les radars de
quelque base militaire mais aucun drapeau ne flotte nuJ/e part, aucune
couleur. aucun indice pour suggérer la moindre mission scientifique. Tout
est invariablement blanc, blanc et glacé sous i:e qui prend par endroit des
allures de plomb.
Sans en comprendre la raison, mais avec une insistance pesante. la
forme succincte et sombre d'une main est apparne par intermittence sur

136 137
l'écran de notre âme. C'est une main malhabile ou du moins
schématique ... JI y a en elle nous ne savons quoi de pas tout à fait humain
ou peut-être de robotique qui finit par créer une insoutenable sensation de
nausée. Maintenant. il nous faut respirer vraiment ... Quelle nécessité nous
a donc allirés ici ? ... nous le demandons !
... la nécessité de ne pas ignorer les silhouettes de l'ombre que la masse
des hommes laisse croÎtre chaque jour un peu plus sur la planète. >>
J'ai appris depuis ce jour, par les êtres qui nous guident. que les re-
cherches sont bien plus avancées que nous ne pourrions le supposer. Mais.
laboratoires et savants ne sont pas qu •en Alaska et pour illustrer ce pro-
pos, je voudrais vous parler d'un fait bien physique qui nous est advenu il
y a quelques années. .
Une fin d'après-midi, le soleil s'étirant langoureusement dans un ciel
automnal, le téléphone se mit à sonner. Une voix chaleureuse et au tort
accent américain résonna à nos oreilles. C'était celle d'un chercheur spé-
cialisé dans la chirurgie du cerveau. Il s'intéressait à nous parce qu'il avait
entendu parler de nos capacités en lecture d'aura et aurait aimé appro-
fondir ce domaine en notre compagnie et celle d'autres chercheurs de son
groupe ...
Perplexes, nous laissâmes passer quelques jours, ne sachant réellement
que répondre et restant interrogatifs sur la portée de cette possible "aven-
ture". Les jours passèrent sans qu'au fond de nous ne germe le moindre
embryon de réponse. Depuis des années, avei:: les êtres qui nous guident.
j'essaie d'apprendre la patience mais cela n'a jamais été ma qualité pre-
mière. Nous attendîmes cependant... c'est alors qu'un autre après midi,
une française demeurant aux USA nous téléphona. Elle demanda à nous
parler. se présenta comme la compagne du chercheur et sa mise en garde
fut claire:
«J'ai appris par mon mari sa requête envers vous. disait-elle en subs-
tance, c'est un bon père. un bon ami et un compagnon agréable mais...
c'est aussi un être amoral. Comme beaucoup de chercheurs de son groupe.
il cherche pour le plaisir. la joie même de la recherche et il se soucie peu
des conséquences de ses découvertes. Il est génial au sens propre du tennc
et peut mettre au point, en griffonnant sur la table d'tm restaurant des dé-
couvertes hors du commun. Il a ainsi créé beaucoup de prototypes d'armes
pour la guerre au Moyen Orient sans se culpabiliser devant remploi de
138
ses découvertes. Mais. ne venez pas, car vos recherches seraient em-
ployées pour des expérimentations dont l'unique but serait d'asservir
l'homme.»
Elle ajouta aussi que ces êtres surdoués pouvaient se transformer
complètement et mettre leur savoir au service de r Amour mais que cela
impliquait une prise de conscience brutale et totale. qui par la suite ne leur
permettait plus de rester dans le groupe initial. Quant à nous. nous avions
notre réponse.
Actuellement la science est en possession de données pour changer les
climats, désertifier des régions entières. créer des famines. donc des ré-
voltes et par là même permettre des prises de pouvoir. Elle peut attacher
des corps astraux sur des machines et ainsi créer comme à l'époque de
l'Atlantide des robots semi-humains d'une grande performance. Elle sait
induire à travers des channels, des paroles qui paraîtront venir du canal
lui-même. elle crée des images dans des cerveaux choisis et fait prendre la
fiction pour la réalité. Par des recherches sur les mutations transgéné-
tiqucs, elle enlève les barrières qui rendaient intransmissibles les maladies
de l'animal à l'homme. Elle est passée maitre en guerre bactériologique et
les virus ont peu de secrets pour elle. Elle invente des épidémies, expéri-
mente de nouvelles maladies dans des pays d'Afrique. là où certains gou-
vernants plus soucieux de leurs pouvoirs et de leur fortune que de leur
peuple, exploitent cc dernier en le vendant comme champ d'expérience.
Je ne peux résister à la tentation de vous citer ce passage de "Celui qui
vient'' lorsque nous assistions à une scène éloquente tenue par certains ·
membres du gouvernement mondial :
<< Voyez cet homme ... Eh hien. ifs 'agil d'un représentant de
l'Organisalio11 Mondiale de la Santé. Un homme i~fluent. Il a son mot à
dire sur toutes les recherches médicales effectuées à la surjace de voire
planète, de l'industrie pharmaceutique à la génétique en passant par la
chirurgie du cerw!a/1 el h•s mccins. Pour lui et pour tous ceux qui l'on/
aidé à obtenir cette place. la scmlé représente une arme, un moyen de
con/rôle des gouwrnemenls, des comportements individuels et aussi de
masse. Une arme qui.fimctiomre m·ec le levier de la peur et qui génère de
.wm::roit desj(wlunes colossales.
Les dossiers qu ïlfàit circuler concerneni un plan d'action visant à
expérimenter de Jrom·eaux drus dans certaines parties du monde,
notamment en ~/i'ique noire. Mais hien d'autres pays et continents sont
139
aussi concernés. Pour 1'instant, c'est très précisément un grand Etat au
centre de l'Afrique qui l'intéresse. Son gouvernant est prêt à toutes les
compromissions et à toutes les utilisations de so~ peup~e p~ur garder le
pouvoir. f ly a une sorte de pacte entre lui et 1 Orgamsatwn dont vous
avez de vant vous quelques membres .... Comme vous le voyez il est
parvenu, quant à lui. à se positionner très précis~me~t. ~~ sait ce qu'il
sert, même s 'il ne soupçonne pas l'ampleur et les Tmpbcatwns de sa ser-
vitude.
Votre faiblesse se base pour une bonne part sur les hésitations. La
détermination est encore ce qui manque à la majorité de ceux qui disent
avoir foit Le choix de la Lumière. Un choix partiel n 'est p as un choix,
reconnaissez-le ! »
Pourquoi tout cela, vous demanderez-vous à juste titre ? Parce qu~ les
300 familles qui veulent tenir Je monde recherchent des ~ces. sour~uses,
des peuples esclaves où la marginalité ne trouvera aucun~ JUStlficatiO~ et
deviendra peu à peu une anomalie. Ainsi naitra la race umque et domsna-
trice qui aura toutes les décisions en main. . .
Pour dominer encore et toujours plus etflcacement, les vaccms devtcn-
nent eux aussi d' ingénieux instruments . Certains, qui seraient parait-il
codés. permettraient d' isoler une ethnie, un groupe d' individus, une race
qu' il serait, par la suite, facile d ' éradiquer de la surfac~ de l_a ~erre. Un
type de virus contaminerait uniquement un ~roupe _de_termm~ de per;
sonnes. N 'est-ce pas à la fois déroutant et malgre tout tres 1mpresstonnant .
Ceci reste bien sûr à démontrer. mais les dossiers qui suivent vous don-
neront quelques éclaircissements sur le sujet et surtout, ne baissons pa~ les
bras ne nous laissons pas gagner par le découragement car des solutiOns
mul;iples sont à notre portée et nous les envisagerons à la fin de ê~ livre.
Dans les documents que je mets à votre disposition, ccrtams peuvent
vous paraltrc anciens mais sont toujours vérifiables. D' autre part, cett~
documentation sur la santé et les vaccinations ne cherche en aucun cas a
discréditer des thérapeutes. des médec ins, des saignants de bonne foi qui
vaccinent sans vouloir faire le j eu de qui que ce soit mais parce qu'ils sont
convaincus par le bien-fondé de cette action.
Je ne cherche pas à prouver qui a tort ou raison, il ne s'agit pas. de
polémique et loin de moi la pensée que la médecine actuelle ne ~aut ne~.
Elle est capable de sauver bien des vies et de prolonger les annees de v1c
140
en en préservant la qualité. Cependant, nous ne pouvons fermer les yeux
devant cc qui devient aussi, et c'est l'envers de la médaille une industrie
florissante qui engraisse des laboratoires et des thérapeutes' peu soucieux
du bien-être de leurs malades. Il est par exemple étonnant de voir des la-
boratoires tel l'institut Mérieux avoir des accointances avec des sociétés
d~ gestion, et de constater que certaines campagnes de vaccinations sont
m1ses en route parce que des vaccins sont sur le point de se périmer. ..
Vous verrez tout cela dans la documentation concernant ce chapitre !
Sur ARTE une émission sur la santé est passée le 20 août 1996.
L' hôpital y était présenté comme une entreprise moderne, une hôtellerie
avec les avantages que cela comporte pour tous. Un peu plus loin dans
l'émiss ion. il y fut question de la "health card". Une carte de santé où le
médecin peut tout savoir sur son patient au niveau médical mais aussi sur
d 'autres plans beaucoup plus personnels (voir dossier).
yne expérience d ' hôpital en Allemagne y était présentée : une clinique
chmo-allemande permettait à des médecins de deux civilisations très dif-
tërentes d'exercer leur art. Les Chinois proposaient à leurs patients une thé-
rapie sans chimie à base de respirations, mouvements, massages, acu-
puncture. Ils demandaient en outre que leur "malade" ait un rôle actif dans
leur guérison. Le médecin allemand interrogé à ce sujet soulignait que
cela demandait une ouverture d'esprit sur l'état généra] du patient et non sur
sa maladie et que cette confrontation de deux façons d' aborder un même
problème lui apportait beaucoup. .
Cela nous conforte dans le fait qu'il existe des êtres qui par leur discer-
nement et leur volonté d'aimer toujours plus font, quel que soit le do-
maine, avancer vers plus de lumière et d'efficacité.
141
 -DOSSIER-

LA SANTE

143
l42
Dans le livre du Dr Guylaine Lanctôt ''La Mafia médicale"
voici un extrait su r le Flexner report et la déclaration d'Alma Ata
qui souligne comment la Santé, notre santé est passée
progressivement dans les mains des financiers :
Flexner Report
De 1910 à 1925, grâce aux règles
établies dans le Flexner Report,
/'A.M.A. (American Medical
Association) et l'A.A.M.C.
(Association of American Medical
Colfe~es) éliminèrent la grande
majonté des soignants médicaux,
notamment les femmes et les Noirs.
Au nom de la science et de la
qualité de la pratique de la méde-
cine, on exigea des écoles de
médecine qu'elles adoptent les
recommandations. du Flexner
Report. C'est le régime de terreur
médicale. Elles devaient prendre le
virage "scientifique" imposé par ce
dernier et financé par la Fondation
Rockefeller sous peine de
disparition. Or, à cette époque, on
comptait deux fois plus de prati-
ciens de médecines douces que de
médecine orthodoxe (allopathique).
L'homéopathie, la phytothérapie,
les médecines manipulatives tels
l'ostéopathie et le massage étaient
alors enseignés. La réforme
médicale les éradiqua. Elle fit
passer le nombre d'écoles de
médecine de 650 à 50 et le nombre
d'élèves de 7500 à 2500. La santé
tomba entre les mains de l'élite
ri c he masculine . La médecine
devint un outil au service de la
finance : les fondations Carnegie et
Rockefeller avaient financé le
Flexner Report et son application.
La finance prenait le contrôle de
la médecine qu'elle exploite depuis
lors avec les résultats désastreux
que nous connaissons. Ses artisans
144
sont les médecins qui jouissent de
privilèges tels que pouvoir, argent
et prestige. C'est un monopole
nord-américain. Toute tentative de
pratique des médecines douce est
sévèrement réprimée. Au nom du
bien-être de la population, on
accuse des praticiens d'hérésie, de
charlatanisme et on multiplie
harcèlement, intimidation, perte de
droit de prat ique, poursuites en
justice ... L'inquisition est toujours
vivante et la chasse aux sorcières
continue ... en 1994 !
ftNous aurons un
Gouvernement
Mondial, que cela
plaise ou non.
La seule question est
de savoir s'il sera créé
par conquête ou par
consentement.ft
Paul Warburg, banquier.
au Sénat américain
le 17/2150.
Membre c:fu CFR et
du groupe Bilderberg.
Déclaration d'Alma Ata
En 1977, la Dédaration d'Alma
Ata donnait à l'O.M.S.
(Organisation Mondiale de la
Santé) le moyen d'étendre le
"Flexner Report" non seulement à
l'Amérique du Nord, mais au
monde entier. Au nom de la santé
et du bien-être des populations de
la Terre, et du droit à la ''santé pour
tous", on établit des critères ct rè-
gles internationaux de pratique de
la santé. On déplaça ainsi le
contrôle de la santé des mains des
gouvernements nationaux vers le
gouvernement mondial. On dépos-
séda les pays de leur souveraineté
e n matière médicale et on la
transféra à un gouve rnement
mondial, non élu, dont le ministère
de la santé est l'O.M.S. Mais qui
donc est à la tête de l'O.M.S. ?
Nul autre que nos financiers mon-
diaux, les responsables du Flexner
Report et de son application. Et que
signitie le droit à la santé "? H signi-
fie Je droit à la médicalisation.
C'est la porte grande ouverte à la
m édecine de maladie mondiale.
qu'on le veuille ou non. Ainsi, on
MALLEUS FLEXNER
MALEFICARUM REPORT
Europe U.S.A. ·Canada
~Age 1910
impose les vacc inations et les
médicaments à toutes les popu-
lations du globe, puis on s'étonne de
leur extinction par le sida...
Cette manœuvre mondiale de la
part des financiers mondiaux est
très subtile. Alors que la population
de nos pays, prenant conscience de
la mainmise de l'industrie sur la
santé et de la corrup tion gou-
vernementale, fait p ression pour
que les chose s changent. des
"sauveteurs" se présentent : les
autorités mondiales . Au nom du
bien-être de toutes les populations.
elles prennent le contrôle de la
santé mondiale ... Nous n'y voyons
que du feu et les approuvons. Qui
os erait douter des bonnes
intentions de l'O.M.S. ? Mais nous
sommes-nous déjà demandé qui
contrôlait l'O.M.S. ? Là est laques-
tion ; ct aussi la réponse : I'O.N.U.,
l'organisme des financiers mon-
diaux . De plus en plus subtilement.
les autorités médicales ct politiques
nous dépossèdent de nos biens et
de nos droits ct nous mutilent. Elles
établissem les règles ct font les lois
qui nous exploitent. C'est le régime
de terreur médicale. C'est un mono-
ALMAATA
Monde
1977
145
 pole mondiaL Gare à qui s'y
oppose.
En 1978, les Etats membres de la
sainte O.M.S. se sont réuni s à
Alma Ata pour définir une
politique commune de soins de
santé primaires dans laquelle les
p opulations seraient démocra-
tiquement impliquées afin de faire
face d'elles-mêmes à leurs pro-
blèmes de santé. Or, comme nous
l'avons vu plus haut, de la Dé-
claration d'Alma A ta découla la
mondialisation des recomman-
dations du rapport Flexner, rapport
qUI imposait la médecine
"sei e n ti fi que" (médecine de
maladie) comme seule valable et
éliminait toutes les autres pratiques
d e la médecine (médecine de
santé). Cc rapport avait été financé
par la Fondation Carnegie et son
application, par la Fondation
Rockefeller. Les commanditaires
de la conférence d'Alma Ata étaient
les suivants : la Fondation Rocke-
feller, la Banque Mondial e ,
l' Uni ce f. Les fina nciers sponso-
risa nt pour la santé du monde,
quelle magnanimité !
Une vaste campagne de vaccination a eu lieu il y a quelques
années au Québec. Les enfants ont été vaccinés d'une façon
massive et obligatoire, campagne soutenu e par les médias qui
accentuaient la peur.
Je dois ici une explication concernant les documents dont vous allez
prendre connaissance. Ils sont pour une par1ie tirés de l'excellent dossier du
courageux journaliste québecois, Serge Motra.,·t. Il a accompli un travail
colossal et je cite bien sûr· son travail en fin d'ouvrage. J'aurais cependant
aimé le rencontrer ou au moins pouvoir le contacter mais apparemment ses
écrits font qu'il n'est plus visible. En mc rendant moi-mème au Québec
pour une série de confé rences et d'émissions concernant nos ouvrages j'ai
eu plusieurs points contacts· le connaissant mais malgré leur bonne volonté
jointe à la mienne, les informations étaient du style : il a été assassiné ou
encore il se cache dans tel ou tel pays. Je le remercie donc pour cette
abondante documentation et espère qu'il ne m'en voudra pas de l'utiliser à
des fins qui se veulent identiques aux siennes.
Les vaccinations eurent lieu d'abord pour éradiquer une épidémie de
méningite puis une épidémie concernant l'hépatite B :

146
147
La Presse
Nouvelles générales Samedi 22 tévrfer 1992 AS

Tous les enfants devraient être vaccinés contre l'hépatite B

AFP
GENÈVE
TYPE: Nouvene
LONGUEUR: Court

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande la vaccination des enfants contre

l'hépatite B, une affection qui provoque des cirrhoses et cancers primaires du foie et qui rait de
un à deux millions de morts par an, indique l'organisme.

Selon rOMS, rhépatite B est rune des maladies les plus répandues de l'humanité, son virus
touchant environ deux milliards de personnes. Sur ce nombre, 350 millions sont des porteurs
chroniquement infectés el courent un risque élevé de mourir.

Contre cette infection virale, qui se rencontre surtout en Afrique et en Extrême-Orient et se

transmet par les muqueuses et les plaies cutanées. l'OMS demande aux pays, où la prévalence
des porteurs du virus atteint a p. cent, de vacciner tous les enfants d'ici à 1995. ·

le vaccin contre l'hépatite B - «premier vaccin contre un important cancer humain,. - existe
depuis 1982 et a montré sa grande efficacité, protégeant par exemple 95 p. cent des enfants de
Gambie.

la maladie, surtout transmise dans les pays en voie de développement d'enfant à enfant ou de
mère à enfant lors de raecouchement, concerne dans tes pays industrialisés les adultes dans
certaines professions et par certains comportements, notamment sexuels.

Pour ces pays, rOMS recommande la vaccination pour les travailleurs de la sante, les
hotriosexuels et les toxicomanes, ainsi que pour les voyageurs partant pour des séjours de
long,_ue durée.

le traitement des malades est difficile et onéreux, estime l'OMS. Selon elle, 20 à 25 p. cent des
patients peuvent être guéris par rinter!éron.

NUMÉRO DE DOCUMENT: 920222LA016

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vaccination contre l'hépatite B

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DENIS LESSARD ment. Le vaccin necessite deux re- des 6 000 personnes infec tées patients aneints par l'hépatite :;· 3
du buruu de lA Prcuc lances. une un mois a rés ln pre- n'auront pour tout symptôme que Québec a décidé d'in tervenir ~0'
OUtBEC iiiiêrë inJeCtion et une ernière des moux de tète et de breves tôt, sur dès etudiants de H5 on~ ë ëD
six mois plus tard. montèes de fi èvre. environ, parce gue ses etuoëScint ~ cx
lus de 100000 élèves de qua· l:ëSj?arëniSpèurront toutefois demontrêëiü'rresf plus-elhcnce
P lm:me annee !>èront çqg1· rel user que leur eufant soit vacci·
nè~ contre 1hcpallle B, cet ou· ne.-
Dans certains cas, toutefois. la
maladie est foudro)'ante et s'alla· oe toucher cette stratë d':igë La
mafadiëSeïTianiJCsÏC sou\ënt \CrS
Dl-
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que ou foie de façon irre~crsible. c
tomnc, une opcrauon annoncée L'hepatite B. bien qu'elle soit Il n'exi~te pas de trallement cura· 15 ans. pou r les filles, ct cinq ans
lliCrpnr le gouvernement du Noins frequente en Amerjgu~_d_~ tif pour celle maladie, mois les plus tard pour les garçons CD
~
Québec qui compte ainsi enra)er ord qu en As1e, reste une malo· \a ceins dèvelopp~ en laboratoire Depuis deux ans, la C'olom_bi~ · ..,
une maladie csérieu~. fréquente èlîe severe quilnuche environ 15 depuis dix ans sont efficaces n 90 Britanique 11 un programme s1m1·
et coüteuse•. a 20 ~rsonnes par annee nu Oué- p. cent. En out re, comme il s'agit la1re de \accination um-.ersellc
Au cours d'une conference de 6ec. nviron 6 000 personnes d'un \accin fabri ue en laborn· pour les enfants de sixieme :tn·
pre~e. hier.la ministre de la San· Sôilt infectees chaque annee nu 101r , es nsqu s e donner la ma· née. L'Ontario s'appr~:te a faire
tc. Mme Lucienne Robillard, a Quèbec par ce virus sournois - ln Taille en administrant le vaccin de méme.
precisè que le coüt de l'o~ration moitié des personnes infectees ne sont inexistants -à la difference Ce type d'intenention est op·
~ uni\er~elle • serail d'enHron présentent aucun symptôme tout des anciens vaccins dè\'eloppes il pu~rŒgaii isation mondi3lc
~liions pour le gou\'erne- en etant contagieuses Un quart meme les produits sangums de o~fUa~iê.
 Régis Pluchet dans le journal "L ' Impatient hors- sé rie"
de Juin 1996 N ° 11 sou ligne les faits suivants :
rise de foie, nausées réci-
C divan te s. vertiges,
tro ubles de la vision,
crises d' eczé ma, urti -
caire, asthénie ( fatigue
génér!lle pend:.nt plusieurs mois). etc.
Les témoignages des patients éprouvant
des réactions sévères après le vaccin
contre l'hépati te B s'accu mu lent.
Depuis 1993. LïMPATIENT ainsi que
les associations pour ln liberté des vac-
cinations recevaient régulièrement des
courriers à ce sujet.
Ces témoignages se sont multipliés
avec les vacci nations massives prati -
quées depu is l' é té 1994. Une propa -
gande effrénée laisse croire que !"hépa-
tite B menoce toute la popu latio n et
q u'e lle est aussi dangereu~e que le sido:
«IUpatite 8 - Sic/a : même combat ? "•
déclare un document des labor;uoires
SKB. largemen t diffusé dans les cabi-
nets médicaux. Face à ce nouveau
tléau, une arme imparable : un vaccin
«bien tolérl. les réactions adversn
observées on/ lti rares. blnigne.t et
transitoires». nous dit ln documentati on
du vacci n Engerix {laboratoi re SKB).
Au début de l'a~née 1995. une
enquête de L 'IMPATIENT montrait que
la vaccination généralisée dans les col-
lèges n' avait aucune justifi cation (voi r
Guide page 21-22). Et nous concluions.
en craig nant que la multiplicat ion
aveugle des vaccinations entmîne une
multiplication des effe ts seconda ires
graves. Nous ne pensions. hélas. pas si
bien dire puisque, dans les semaines
qui ont suivi. nous avons reçu plusteurs
tém oig nage s de person nes aya nt
déclaré une sclérose en p l:lljues. après
le vaccin contre l'hépatite B ...
Au dos d'une
lettre adressée en janv ier 1995 par le
laboratoire Pasteur-Mérieux à tous les
médecins pour leur présenter le nou-
veau sc héma de vaccina tion contre
l'hépatite B. on pouvait lire encore qu'
...aucune réaction d'intoUrance grave
n'a !té rapportle.,.
150
Ur quelques semaines auparavant.
un e réunion de travail d e la
Commiss ion nationale de pharmacovi -
gilance démentait cette allégation. Un
bilan de l'ensemble des effets indé si-
rables des vaccins contre l'hépatite B.
recensés e n France, entre 198 1 et 1994,
notait 241 acciden"rs neurologiques et
notamment des observations de para.ly-
si e faciale, de polyradiculonév r i te
( paralysi e plus o u moins sévères), de
troubles de la sensibilité. de syndromes
méni ngés et de cas d e sclérose en
plaques. •.
•• •Com bien de personnes on t-elles
dé claré une SEP après vacctnation
contre J'hépatite B ? O n aimerait bien
savoir ! Le chiffre n 'est pas connu. Sur
la base du nombre de vaccinés ( trois
millions sept cent mille) et des chi ffres
do nn és par le directeu r m.!dic:tl des
labomtoires Pasteu r· Mérieux (un cas de
S EP pour un million d e doses injec-
tées). L'IMPATIENT estimait (dans son
numéro de mai 19'-J5). qu "IJ raison de
qua tre doses injec tées par pn tient.
douze ou treize SEP pourr:licn t :tvoir
été déclenchées .:n 1994 . Cc n ' est
q u ' u ne hypothèse . Mais selo n les
témoi gnages des victimes qui nNts ont
contacté, une vingtuine de cas de SEP
seraient suivis au '.:rvice de neurologie
de l'hôpital de la Salpêtrière. Un chiffre
exagéré? O u un chiffre sous-.:·'!imé qui
ne prend pas en com pte 1.:' cas non
recensés? Ce qui est o;ûr. c·e,t que plu -
sieurs cas sont suivts à la Sal~t rière.
comme l'a écrit. dans un très court
article, la Recllt'rclt.- (avri l 1\195). En
dehors de L'IMPATIENT. c·c~t la seule
fois où la presse :tit évoqu.! ce pro-
blè me.
Jusqu'à quand k scandai~ du vac·
cin contre l'hépattte B r<!'t .:ra· t·il
é1ouiTé '!
 1 ~. l! t: V U 1 Il • ,\1 .\ H Il !l
Méningite: en acceptant d'être
vacciné, vous acceptez d'être fiché
MICHEL YENNE
IH: NOTRE BUREAU DE QUEUEC
V vautcx:utc
vuu~
otrL :.iguature sur le fonnul;un: ù';autori:..tliun
d~· v<~ccmattou
contre la mémnglle. ces JOur:. ne
pas, a vous-mëme ou votre enfant, qu'un peut
Cl.
vacun.
Elle vous vaut (:gaiement le privilcge d'étrc
fiché dans une banque de données créée ex·
pressé ment pour Lactliter divers travaux de re-
cht·rdtc sur cette maladie.
<JudiL'C ::.ouh;til.ait en eUct profiter de la va~
tc op~ration de vaccination déclcnchce av;utt
Noe!, l'une des plus importantes dans le mon·
de utdu:.triahse, pour constituer cette banque
de données sur un million et demi de Que bé-
cots, à~cs de six mois à 20 ans, et qui seront
v<~ccinés d'ici la tin mars.
li l!n avait confié le mandat au Dr Christian rortin, du
centre de coordination de la santé publique à Québec. JI
a parallclement lancé dans le réseau de la sante un appel
aux chercheurs intéressés à utiliser telles données pour
leurs travaux.
Le formulaire dit que les renseignements •SOnt néces-
s;ûres au suivi de l'opération de vaccination•. li ne parle
pas de travaux de n•cherche.
Les travaux du Or Fortin visent entre autres à
connaître la couverture vaccinale dans chaque région
(combien de vaccinés et qui) et de mesurer l'efficacité
du vaccin sur les cinq prochaines années, en particulier
auprès des enfants âgés de moins de trois ans.
Il n'existe il peu près pas d'études sur l'e!fic:tcitè de ce
F t·: \' Il 1 E Il 1 !! !l :;
vaccin sur les enfants de moins de trois ans à travers le
monde, cxpltque le Dr Forun. L'opér.~tion québécoise est
une occasion unique, dtt il. de faire avancer la recherche
;tn: sujcL
D'autres proJds dc rl·lhl!rrhc :;'interessent aux dèter·
minants de l':t<:qut:.JIJon dc l;tmaladic.
Tel que rl:digê, le lormulrurc laissé le choix
<t 1;~ pr.:rsu11nc d'm;~:epter ou de refuser le vac·
cin. Mais il ne lui laisse pas le choix d'accepter
qur les renseignements contenus sur le for·
mul.airc :.oient communiques au ose. au mt·
IU'>ll'll' cl ol l,r lkJ:IC de J'assuraJICI..~maJadic.
En ~tJ!II:tnt l'autorisation de vaccination.
vous ;autoa isc1. Iii communicalion des rcnsci-
~rn cments.
Il c:.t pos:.tblc de: s'y soustraire en rayant le
paragraphe concerné sur le formulaire. :
La Loi sur la santé el les services sociaux stipule que
des infonnnlions contl!nucs ou dossier médical ne peU.
vent être communiquees à autrui qu'avec le consente-
ment du paticnL
Ce fonnul;urc a fatt r~o~itre un litige entre le ministère
et la Corrurussion d'accès ill'iniormation, chien de garde
de la vie privée auprès du gouvernement
Selon la Commission, ce consentement n'est pas vali-
,tl! parce qu'il ne lui apparaît pas être nccordé par le si·
gnataire de façon •libre et éclairée•. :
La Commission Il êcrit au sous-ministre de la Santé
pour lui dire que les organismes qui recueiUent ces ren·
seignements ~ne peuvent se sentir autorisés de ce
consentement pour les conunurûquer au ministère...
D reste à voir si le mina ste re contestera cet avis_

Tous les enfants de 10 ans
vaccinés contre l'hépatite B
,--~-----------------------
r<atia Cagnon
Québec (PC)
pres av~• · ctudié la question
A
pendant près de deux ans, le
ministère de la Santt a offi-
cialisé hier un proaramme de vac-
cination universel ct &ratuit contre
l'hé paille B qu i sera adminbtré aux
élèves de 4e annle dans toutes les
~les du Quebes. 46 l' automne
proch~tn .
L:1 ministre de la S11nu! Lucienne
Robillard a insist~ d'emblée sur le
fait que la situation présente ne
s'apparentait aucunement 1 une
<Pidemie, bten que la suuauon soit
t.srnëüSe et coOteuse». L'hépatite
D arrecte 6000 nouvelles personnes
chaque année <t 1SOde ces porteurs
'du virus décéderont des suites «im-
médiates ou lointalnu~>. de la ma-
l:adi e.
Précisons qu'il n'existç pas de
traitement pour guti'lr les malades
atteints ëfe l'hépatite 8 , une mala-
die q ui sc contracte A peu près par
. les · mtmu voies· que le viru s du
sida , nais qui rute nettement plus
contaaieuse: "100 rois plu s qu e le
VI H », a précisé le Dr Der nard Du-
val, qui accompa&nait la ministre
en conUrence de pruse.
L e ministère de la Santé tonnait
ces ch iffres depuis longtemps . «Ce
n'est pas une maladie qu'on a dé-
couvert hier», a admis la ministre .
Mais il a fallu lltendre la conclu-
sion d'une nuée d'études, selon
Mm e Robillard, avant de meure
sur · pied un programme de vacca-
nation . ct!l faut prendre tOUICS les
précautions ntceualres,., a-t· elle
ajou tl.
Le Or Duval a é&alement précisé
que le vaccin totalement sùr qu'on
allait ln lect er ~ 100 000 e n~~~
d'ici la lin de l'année 199S doit être
aomlnistre en trots lemps. •On a
totalement abandonné l'ancaenne
fa çon de fabriquer qui consistait à
fabriquer du sérum à panir des
person nes malades,., des patients
qui étaient sou~ent au.u i porteurs
du virus du sida.
Les experts du minislère de la
Santé ont lixé 3 10 ans l'â&c idéal
pour recevoir le vaccin - méme si la
clientèle i risque sc situe beaucoup
plus au niveau second aire • suite à
une o!lude rtalisée au centre -ville de
Québec qut demon ar au que le laux
Mardi
7 ;uïn 1994
e:
i9
d'acceptation du vaccin était de S
pour cent plus élevé au primaire
qu'a u secondaire .
Le prix du vaccin a baissé de
moati< dans les dernihcs années -
4S S l'unité pour l'ÉtM · «à cause
d'une très forte d emande», a indi-
qué le Dr Duval. Les enfants de
plus de 10 a ns qui désireront se fai-
re administrer le vaccin pourront
l'obtenir pour un coùt oscilla nt en·
ttc 40 et 60 S.
Plusieurs uperu modicaux rs·
toment que la propagation de l'hé-
patite B pourrait se révéler aussi
omponante, dans les prochaines
3nnées, que celle du virus du sida.
Envtron 600 nouveaux porteurs de
l'hépatite B sont a ffectés de façon
chronique par la maladie, souvent
l.ln< '~~"'"'''' • ·· -~- •
 Ci-dessous un extrait de la lettre de Robe rt E. Willner ainsi que les
commentaires d'une journaliste . Ces documents sont extraits du livre
"L ' ultime superch er ie" aux Ed. Solei l.

IW BJ~ RT E. W I L LN EH , M. O.• 1'11.1).

L'ULT I ME SU I'EHC II J:: IOE
:116 SAN YS ID IW BOU LEVA IW
SU IT E-6 J J
SAN YSID IW. (;,\ 'J1 17J

Dé<.:cmbn.: 1!)<) 2

Cher Confri:rt:.

\'lvn in1im..: convit·lion ~SI qu~ la plupan d 't:nlr<.: Vt)US, IOLII l"l)llllllt: moi. avt:z choisi lt: domain~: de: la
m..:dccin..: il caus<.: d 'un inl.;ns.: dési r <le v(lucr vos v i c~ :'t clcs ctï ons consrruc1ifs <.:1 gralitï:tn ts . .k
vt>yatS la tnédct.:inc n>nHth.: un.: proft'ssion h:tSc't' su r la st:it:nt'\.'. la nunp:tss ton <.:1 la dignit..:. q tll
appon;til comme r..!comp<:nses honnê:tt:n>t:nl on.!rit.:.:~ k rt:Sflù'l. I'IH•oH>cur et til><: vi..: rd :ttiv..:nt<:n t
ais.:~:. Je croyais qu<: c'é1ait u n.: prof.:ssioot q ui f:"'l>risait l :o pt: ns.!c ond.!p..:ndanle, la cré:tuvilé t:t
lïnnova1ion, c l était profondc! ntcn l ancrée dans IÏ n l.!gri té. J'bais naïvemem p.:rsuadé que la
!nétkcine s 'éh:vai l :tu -dessus d~ J'avarie.:. <1.: la politiq ue. dc la 1nm1pt: rie cl dt: l'espri1 dc vt:ngeancc.
D urant les 1rcn1c·cinq ;utn..=es :ou long dt:squdks j'ai pra1iqué la médecine. j 'ai eu le privilège de
:r:tv;tillcr avec un gr:u1d nt>rnhr<.: de ott..=c.lecin,; dévl'u.!s :oinsi que l'hon neur de savir la proft:ssion .:o.
1:1111 que conférenci..:r cl pn!,;ickn: cl':tssoc iatil>ns. d..: Sl'><:Îélés. clc comi tés onédica ux c t d'associalions
de pcrst>nnd hospitali..:r.

To u l comme bt:aucoup d'en1r.: vous, j'ai assisté aux incroyahks progri:s technologiques.
M:tlhcureusemelll. nous avons :aussi assisté à la mon l ~t: d ' u ne bureaucr:11ie e.:t d 'un cOtllrôk
éiOuiÎallls, souvent dans nos proprt:s rangs. de mêm.: qu'au n!ve;ltl du gouvernement. Les
,·onséquences inévilahks de telles ci rconsl:mces so111 la pene de la lib.:rt.! de pensée et d'e xpression.
!a suppress io n de l'innovation e1 1:o 1yr;u1nie d'un pctil nt)mbre qu i essaien1 dt: nous prendre comme
otages de leurs croy;uKes. Ces l'Onséquenccs elllr:tinent ù leur tour d.:s in:ttox encore plus gra nds :
l'occasion de p<:q.létrt:r utk 1rompcri.: en 10ut.: int111•ni té. de Ù'Jli'H.lscr ;, l:t vérific ation. dt: délier la
c.:onlcsl:llion el de fair.: fain: madt ine ;trrit:n: au prngrl:s.

Une parodie de la science t:t de b médecine s'est mise en place ces dix derni~res annc!t:s. d'une .telle
di111ension e1 1cllemem incroyable. que vo1re prc:mière impulsion sera d'écaner IOUle critique. Ceci
é1ai1 bien sûr la convic1ion de ses allleurs et jusqu'ici. ils ont réussi. A cause de la t.:onfianœ inhérc:mc
.,ut: nous avons c:n nos çoll~guc:s scit:n1ilïques. on nous a aisémen1 c:mrainés sur lill<! voie 1rompeuse
enjolivt!e par le mystérieux jargon sçientifique avec lequel bt:aucoup d'emre nous n'é1aiem pas
forcémenl famil iers. Tel est le c:os avec le SIDA · l:t soi-disam "Epidémie du S iècle ".
154
JE VOUS EN PRIE, LISEZ "L'ULTIME SUPERCHERI E" (Pourquoi Le S.:x.: Et Le Virus Ne Sont
Pas La C<wse D u SIDA). Ce document est èmièrc:ment basé sur des informations série uses et des
faits et il vous étonnera.

Je vous implore de ne pas reje ter ceci comm.: quelqu.: chose qui ne poumtit pas êtn: changé par votre
icllervention. L es noms des perso nnes qui r e me t ten t série useme n t en q uest io n les
théodes V IH-S ID A, sc lise nt \:ummc u n "Who's W ho" de la science. Ils comprennent

le Ur Pe te r H. Dueshe r g, Proksseur dt: Biologi.: Mokcula ire (t l'Universi té de

Califomie, Berkeley, Californie: autorité internationale .:ncnatière de rét rovirus; m.:mbre
de l'Académie Nationale d.:s Scic:cKes.
le Dr Cha d es A. T lu>nws, Jr., lliologistc ;, llarv;trd, fondateur du G roup.: pour une
Réévaluation Scientilique de: I'Hy1><11h\:se V 1H ·SI DA.
le lk Kary Mu ll is, 13 itX' h in1ist~:: invemetwdu RCP. la r.::1niwt O: ltt·haine de
polymùases. qui esr le clltl(k de mesure k plus précis dt: J;, prC:scnc·~: de virus.
le lk J{()hcr t J{oot -llcr ns tt•i n, l'rt•f.:sst· ur tk l'hysi t> lt>gic·. Univ.:rsit~ de l'Etat du
Michigan, une d.:s principales atuorit~s .:u m:uièrc de SI01\,
le Dr Gordo n Stcw;u·t, Professet(r Eméritc dt: S:111té Publique:. Université de Gl:tsgow,
consultant :tuprès de I'Org:111isation Mondi:de de la Santé p<.lur lcs m:lladi.:s transmissiblc:s.
le Ur Josc11h S on nahend, pionnier de la r..:ch.:rch.: sur le SIDA. fondateur d.: la
r-ondation Médiatk fX)ur le SIDA.
· et hien d 'au t res !

Leur nombr.: dépasse la c.:ntain..: ;, l'h.:ure oie j'écris c.:s lign.:s ! La réputation de l:1 M.:d c:cine
Amérca inc:: a été mise:: en gr.111d danger par des s•io.:nti lÏques mallwnnl'1cs ct cupides. qui exercent un
pouvoir surpr.:n;uH p:u-ce qu'ils ont impliqué dans kur sup.:rdtt"ri.: des agenœs gouv.:rn.:mentales très
intluentes. Nous. médecins. avons été privés d'une tribune: libn: impart iale parce quc l'accès aux
réunions médicales a été refus~ aux détracteurs. C'est ;, présent aux m~decins et i1 kurs patie nts
d'exiger qu'une enquête complète et publiqu.: soit ouv.:ne par k Congrès d.:s Etats-Unis. afin que
l'opposition puisse ê tre entcndue. Cette anion servira i• disculper b médc:\:in.: de tOut<: complicité
dans cette ingnominieuse <tffaire.

Votre respectue ux l·onfrère.

Rob<!rt E. Willner. M.D .• Ph.D.

P.S. J'<IÎ annexé la conclusion d'un document présenté par le Dr Pc:tc:r Duesb<!rg au,.. Débats de:
l'Académie Nationale des Sciences en vue de $li public:nion. Ce br<!Ï résumé vous convaincra de la
nécessité d'une enquête complète sur !"'HYPOTHÈSE DU SIDA".

155
 1\ VI·:RTISSFM I~ N"Î" 1

Le rr6:idcll1 Ei~cnhowcr. lurs dc ~(Ill di:-(IIUfS d ':llh..:u :"1 la n:tliOII. nnu' 11111 en ~anie contre h:
··complexe nulitaro·llldustrier· l:• sulll.:ll'henc :-uprènh.: ll!tus nlct en ~:ude contr~· une mcnaœ
encore plus gr;mtlc pour nos vies. m•:- hhcnô: ct mun: économie · · " I.e nllnph:~c médin•·
industriel". Co.:ue ;tlli;nH.:c résiste :"1 c t d~1rui1 avec ach:mlcll1C111 IOule opposi! ion i1 ses concepts
erronés cl rcs trictils de la maladie cl de Sôl c.:01usc.
:eue consrir011inn de l'arroganc.:o.: . de lïgnn rance cl de 1:• cupidité c oûte c haque a1111~e d..:s t:c111:1incs
th: mill ie rs de v i..:s ct 21Xl milliards de dollar:-
l.a supcrdu:ric du S I!),\ n'es t qu'u11 exemple de celle ~·at ast ruphc.

Nou-; pcntro1" la gu..:m: c.:<Hllfl' k SIDA . tou t UH IIIllc nuu:- ;1\'lllb tll.:nlu 1:! guerre t:tmtrc k cnlt:CI
Nou:- ne gagncnms pmais 1:1 gucrrl· C.:PIIlt\' ro.:' dn" tll:ll:tdil·, -:i Ill'"' ttc Clllllpn:IIIHIS l''" quc
la l'ôlusc <h: toull' 111ala<lic l'SI une d é lîdc11cc <~l'quisc du S.\'SI~Illl' immu nitairc,
que C.:C Sllil p:1r l:t C.:(llllôUllill:lliiHI dc IIOife CII VifiiiiiiCIIll.:nt (lU jlôlf lOI voie ~éuét i que. t:e qui es l r:m:.

Nous n "':tlll'a llllll ~ .. ôiU(lllh.: tll;tl:td ic. IHlUS SIH.:C.:Illllllllll' SÎIII(llclnent ;'1 llllll'e in:tdapt:tlttlll :"1 IIOlfC
e liVI fllllltenlelll
Si td n'él:lit p:t:- le cas. l:t prcnuèrc "ép1dém ie" 'ur tcm: :IUrilit été 1:• derllll'IC Le~ épidémies ct les
n~:tux ck I'H1sWire ont tué des millions de gc.:n:-. m:tis il y" cu plus dc s u rvivants que.: de mons.
pourquoi '.'

Lcs surviv:mts on t toujours é té ceux d n nl lc systi:mc im umn itairc était intact.

Un individu en nonne santé est c.:clui qui s'est adapté ~ toutes les conditions ct :'t wus les hahit:uus t11:
notre planète. ;, savoi r 11011 sculcmc11t :tu x h:tct~rics c t :tux virus.mais :tussi ;, l'air. à l'cau. :tux pl:u11cs
c't ;1 lOus les h:thit:tnts th: l:t tcrn: y wmpris nos congén~res .

Si nous itltérons ou détruisons l'écosystème 'ans ;~vcHr h: temps ou la t::1pacité de nous adapter.
l:t maiJdic Cl 1:1 m<Hl s'cnsuivnm t ;1 coup sûr.

Il y a une meilleure f:t~·on de la ire ~ Elle est c.:onnue depuis des milliers d':uméc.:s 1

Rohcn E. Willncr. M .D .. Plt.D.

156
 DES FAITS

FAIT!

IL N'EX !STE Pf\S UN SEUl. IV\PPORT l'ROU V ANT OUr 1.1: "VIII" SOIT LA C.'\USr:: Ot!
MEME UN CO·FACI'EUR DU SIDA

FAIT!

131.:1\UCOUI) DE CAUSES DU SIDA. PROBABLEMENT LA f>UJI'ART SINON TOUTES .

SONT DEJA CONNUES ET LE " VIH" N'EST PAS RECEVABLE C(lMME L'UNE D'ENTRI
ELLES

FAIT!

C'EST UN POLITICIEN. ET NON UNE PREUVE SCIENTIFIQUE. QUI A DECRETE QUE

LE VII-I ETAIT LA CAUSE DU SIDA

COMMENT/\ IRES D'UNI: EMINENTE JOURN/\USTI:

D:ut~ une 1\lt'unrii;r..: Cllll~ptrallou du :;iktK'<.:. l;t méd..:cith.: ..=tahiJ..: •gtH>IO.: la pn.:uve llagranlc
quo: le VIH no.: ~0.: prt>pagc p;,,. ~,·xudknl<:nl o:lll\lliiT.tÎl Cil r:ul ":révéla ;uux.lin.

En ta Ill lflll: scit:ntiliquo.:. vou:> ne tkvo.:z pa:; ddt:ndr,· vmrc thêttnt: JX•ur la f:urc cadrer
avo.:c votre "upposition : vot •~ no: do.:vt:7. ri<: n su pptlSo.:r. ,.,,u,. ckv..:z l: u~.;cr p:1rlc:r les faits .
Par la suite. vous fllliiV<.:;( ;tvnir un.; th..:<•ric. m:1is un..: t0•s quc \ 'llll" en avc7. une.
votr<.: dcvtlir ..:11 1:1111 qulttltlltlll! d..: ' no.: nc..: ot d..: la "Oullh.:ltro:
:, ruup•tt•y.•hk uuuuti..: '"' r..:'·"n,·n '"''"'lil' "'"'
Stuv..:l l:t quo:' '""' tk u,·, l"<''
St vutr,· •hét•rio.: ''' ,.,, ... ,,.. l'lk d<•lluttçt,l.

E<ht..:ur ,·n ch..:f. Sp11• tvl:lg:t7.i ne

157
UN VA CC IN SEI{A-T'IL DEVELO PPE ET EN VOULONS-N OUS VRA I MENT
UN'!

C'est avec ~rand é moi que je conl!.:mple !"apparition d 'un v:u.:citt du S IDA C:~tt...: déclar:nion doit

vou~ choque r. au~~· vais-jo.: m'en ...:x pliq uer. Bien que cela no.: ~c>it !!éllét~tl o.: tn..:llt pa~ connu du put>li r.
l:t v:tccin,,tion 0.:'1 tHI<: q u...:st ion eut li rover~e cho . les c herehe ut'S ,;cic tlli liqu...:' d...:puis c.h: nomhreuscs
c.lécemu.:~ L:t vérité au suj.:l ùc la vaccin:u ion a é té eflïc:tccm.:nt c.li~sionulé.:. ou du moins présentée
'eulcm.:nt de l:u;on p:oniclle. même :1 l:t pmli.:s~ion médic:tk William ~- Koch . sete ntiliqu.: de
n:m1111111ée monc.li:tk dans le domaine de 1:1 recherche su r le ..::meer ..:1 le' vtru'. éc.:rit ùan~ >On texte
" lntmduct ion it l;t Thér.tp ie R:ulic:tle Lihrc"' (llJ6 1): '' La capsule pn11éiquc !du \'trus) po~sèdc des
pouvoirs antit:éniqucs qu i pr\lc.luisent des réac tions i mmum1h,~iquo.:s spéc.:itiqul'' :unsi que de~
réac1ion~ séml o~•que~. C"...:~t l:t pa nic c onve nihle en un vacc.:in util isé pou r provoque r des ré:tctio ns
tm tn unolo~iqucs c ho. le pati.:nt. Il n'y a p:ts d o.: réaction immunologi q uc ;, 1:1 pa n ic
n uç l ~oprot6q uc. l)icn que cc soit l:t pan ic qui provoque la path ologie... Il ré pè te e nsuite : .. .. les
vaçcins contro.: un virus spéci liquc n'immun isent pas contre la nudéc.•protéinc qui est le véri tahlc
p:uho~ènc. spét:ialcmcnt après qu'elle ait pén<!tré cl !>C soit intégrée d;m.; la ccllulc·h<'lle. au~-si parler
de gu~nson ... est-il unc r:n.c d~: temps. Më me la pr~vent ion de l'infection viral.: par un vaccin
reiiÇUIIIfC I"UJliXlSiltUn st':llistiquc 1;1 pluS forte depu is fcs v;u.;çîn;Uion~ ;, ~r;mde ~dtdlc (;(llllre la
v:triole ct la polio (v:tccin de S:1ll\). D';tpr~s cc que !'(ln sail de la :;trut:ture des vact:ins. les swtistiques
scmhlcnt logiques lorsqu'elles mo nu-e ru que lc!i cas de paritl~·sie dit s :'1 l:t p nliu au~mentcnt tant du
poi nt de vu e etc la fré<tucncc que elu point de vue de l:1 nwrta lité de p a r l'uS:t):!C du v:tcdn."' Il
pr6c ntc ensu ite k nomhre d e ç;1s de po lio s ig n:Lié s d 01 ns diverse s régions des EtatS· Unis Cl du
Can:t<la av;111t ct après l'ut ilisa tion du vat:ci n de Salk . Re gard o ns cela :

158
 REGION '\:h".: ah: c.:a~ p:u :111
CONCERNI:E ;1\':1111 f;t V,ll.'l.'ll l,l ti(Hl aprè~ la vac.:t:nl:llinn

MONTR EAL moi "' 11.: 1110 ca~ 52 1 c.;a,, 27 rnons

O'ITA WA t::rs. 7 rtllllb
(>4 -l.)) c.::1s. 41 mons

(D:ms tnut le Canada . ri y t:ut 7 lor~ ph" tl.: ç;,,. al.: p:rr.rl y~i .: ..rt:L0111p:rgnés d'u11 plus grand taux 1k
mona l it~. après l' ut ilisation uu v:rt:cin.)

DETROIT
ETATS-UNIS ~ïi)X7 ç:rs
''01JO p.n~rly:-~s

(En C:an>linr.: du Nord .:1 :ur Tcrrrr.:,.s.:~·. o(r l:r v:rc.;çirr:rti t>ll ét:rit ot>lr!!:rlltrr..:. ri y .:ut urr.: augon~ u t:otiou

cie 41111%.1

Koch t:Ot11111t:ntc: c:nsuitc: :-on a:x1,.;ric:uœ avr.:t: lt: d10lt!ra du 1><.>rt: r.:t l:o rage :'t Clrb:a c:t en Amérique:
du Sud. "Il devrait être dit {fu<.: t:haqur.: a:pidêmic: de mal:aclir.: vir:alc traitêr.: ... a ,.uivi l:t v:tccin:uion
de quelqur.:s mois, a lor:- que 1'0n :aur.rit dio obtenir une protection :ou lir.:u d'une <!pida:mir.:." Au
sujet dr.: la varit•k. Kod1 ci tt: ks Phihppinr.:s. oit Lm11ée aanéri..:airh: Clblige;t Y2Y5'376 iotdigi!nes ;,
se faire vacciner en Il) 1R. "a lon: qu'lu1r.: épidémit: se prép:arait" r.:t que:: sr.:uls des cas légers c::t
sporadiqur.:s sa: déclarair.:a11. A prt!s avoir a: tC: vacciné.:,, .:1 7' J6'J pea·suJuu:s :111 r·a pèrt'nl la
va r iole Cl 16'477 en mourure nt. En 191Y. l'année v:tct:ina 7'()70'252 personnes. cr: qui r.:ut
pour résultat 65' JXO cas de vario le el 4 ~ '4111\ décès.

Dès lors. la questiÇ~n évidemr.: sa: pose da: savoir pourquoi il y a eu une dimimuion des maladies
contre lesquelles ;;ous nous v:tccinons. Cc::st prédst!mènt l;rquc:: sa: situr.: la t:Oillroverse. Les
opposantS SOUtiCilllCilt qua: la plupart dt:S (pidérnic;:s vir:rks étaie: nt déj:'r 1!11 dirninution lorsque l'on
eut recours aux vaccins c::t que:: la raison print·ipak de:: cclii.' di111inution était l'énorllle amélioration
du système sanitairr.: r.:t de l'hygiènr.:. Ca: "Ont Er des arguments pratiqua:" c:t :-olides e11
considération oc:: nos connaiss:111cr.:s approfonùir.:s r.:n matière d'épiùémiologir.: et de:: tr.rnsmission.
Cesttoutefois très difficile;, poouvèr. Presqua: toutes les mal:odia:s sévissc::nt plus là oi1 k systèmt·
sanitaire. l'hygiène et l:1 nutritil)ll laissent;, désirer. Il est égakoneou soutenu que les statistiques
sont souvem rmquées p:rr le gouvernement. comma: c'est le:: ca:- :rt:tudlernr.:nt pour la soi·dis:ull
épidémie de S IDA. Da11s k ca:- da: b polio, par exr.:mple. plusic:urs maladir.:.s fure111 déb:tptisées et
placées sous la même b:111nière. Lorsque le vat:cin fut introduit. lr.:s Cc:ntrc::s p<•ur le Contrôle des
M:tladies publit!rent de nouvdlr.:s d irr.:t:tive:- de diagno,uc li'" rdégu:uent t:è qtu aur<oit tété un
diagnostic de polio :'t la méningite des tc:mps d'avant la polio." (T.C. Fry)

159
 Le document ci joint vient des dossiers rassemblés par Serge
Monast. Il le reçut d'un journaliste Américain qui avait réussi à
l'obtenir de la •Librairie du Sénat Américain• de Washington. Il prouve DEPARTEMENT DE LA DEFENSE
que le Sida a non seulement été fabriqué synthétiquement dans un projet AFFECTATIONS POUR 1970
•top secret• du département de la défense des Etats-Unis mais encore qu'il
fut transmis volontairement par le biais d'organismes officiels, par te
vaccin contre la variole. le vaccin contre l'hépatite B et cela par le biais
de l'OMS, par le centre de contrôle des maladies et par le centre de sang de BIBUOTHEQUE DU SENAT DES ETATS-UNIS
New York 1

AUDIENCES
DEVANT UN
DEPARTMENT OF DEFENSE ,
• APPROPRIATIONS FOR 1970 HAUT COMITE DU
. .

-CP• UNITED STATES SENAlE UBIUJtY. COMITÉ SUR LES AFFECTATIONS

0
0 HEARINGS MAISON DES REPRESENTANTS
~ lERE SESSION
Cil
SUBCOMM1'11'EE OF THE
~· COAfMJTrEE ON APPROPRIATIONS
·~ HOUSE OF REPBESENTATIVES HAUT-COMITE DU DEPARTEMENT DE LA DEFENSE
0 lUNETY·FJRST COnORESS
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re-.'IT ""'"InN (USTE DE NOMS)
att•ll:o ... ao•n&c ... IIICf' • aT.. ClOT 0,. DI:P,I;IItJ r::

~ C:EORÇt: M'. M.t.NOJl, T•n" el...tr-.

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• PAl't"!: S DEPARTEMENT DE L'ARMEE
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RESEARCH. J>EVELOP.fit1EJ1T. TEST. AND EVALUATION DECLARATION DU DIRECTEUR, AGENCE DU PROJET DE RECHERCHE
Dcp:t.rtmcttl oC' 11\e Â'f'rrtY
AVANCEE
·~ Sbtu"c~ar ol Dlttâor. Acln.neotd lhnarcb Proltcl ArtM'T
DECLARATION OU DIRECTEUR, RECHERCHE DE LA DEfENSE ET DU GENIE
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Slafcmcftl ol Dlrector, Dd'cMt Rcst2rd1 al\d Ell~h,ntil\::
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V.a. GOY~IIXZ:Jn" tllllt'rii•O On'JC:~

161
 LE DERNIER DOCUMENT PEUT SE LIRE AINSI:

"fiNANCEMENT POUR U DÉVELOPPEMENT DU VIRUS .ill[ SIDA" ...

Phoenix Sourc~ Diatl:1butors, Inc •.;··.P.O .. 27353 Box Le développement du virus du Sida a été financé en 19&9 (3 ans avant la demande de
La s ·vegas, Nevada 89126
_,....___
Fu~lng -
for ~va' o~nt

-- or ~ AJDS
......-
YI~~·
développement de l'Organisation Mondiale pour la Santé) grâce à des fonds obtenus par
le Département de la Défense des Etats-Unis. Le Département de la Défense a demandé
ct reçu 10 millions de $ par la Loi 15090 de la Chambre, loi qui a été révisée hors
d' audiences devant le Haut Com ité du Comi té sur les Affectations, Chambre des
Th• ~e v e1o~n~ of ~. AlOS vfrue ~•• ~unde~ in 116~ (thr•• Représentants. durant le 91""' congrès. en révision des Affectations de la Défense pour
••'• ~•tor• the r•qvea~ ror d•v•1o~~t by the vor1d Heal~ 1970 .
, 0 .~Stetlon) ~rovG~ 1unde ob~••~•d by ~· Unit~ SLatee o.renee
,.0 .,.t-n\.. 11\e Oefenee O.part.lflont r-•~...-•t•d ·and re ce fv•d a10 ·
,; Illo n v t • HOII•• 8 i 11 t 5090. ""' f ct\ ...., revt ew•d fn Heer ln tu La partie 5 de la Loi 15090 était intitulée Recherche, Développement Test el Evaluation,
tlor e \he Sub~~l~tee o' the Co~ft~•• on Approorfatfona.
~·• of Rapr•••ntatlv•• dur'n9 the Nl nety·F~ret Congr••• tn
par le Département de l'Armée, l'Agence de Projet de Recherche Avancée (la DARPA),
avfew of ~he O. ( enee APP r oprtatCone lor ltJO . el la Recherche de la Oéfeno;e et du Génie.

Pa r ~ ,Ive of w.a . lSOtO wea en~itlad RESEARCH 0 DEVEL~HT•

t~T . A~O ~vjlUAT,nN , ennnAnred by the O.Dar~nt or ~· Ar•t· La faisabilité du Programme ct des Labor.:lloires devraient ètre complêtés pour 1974-75,
1\a ~<dv anc:ed Aes ... reh Projec:t Aoen.cy (no- DAAPA) • .aM O.t~•• et Je Virus, pra en tre 1974 -1979. L'Organisation Mondiale de la Santé commença à
•••ore~ •~d Enetn••r~no. injecter le SIDA (lié) au Vaccin contre la Variole à plus de 100 millions d'Africains en
1~. ~•••lbtltty pr~,r. . ~~ l~boralor(ea ~•r• ~o ~ave t.on 1977. Au-delà de 2000 jeunes blancs mâles homosexuels (Operation Trojan Horsc) furent
~~ ~·~•d by lt7c-19J5 and ~ho vtru• ~tw••~ 1tl4-l,lt. Tho ~0 injectés avec le Vaccin (trafiqué) de l'Hépatite "B~ en 1978 à travers les Centres pour le
te ~~·" t.o fnjaC~ AJD~- lac:ed • - l l poK va~c fne (Vec:~tna) i,to ovor
oo •ll1ton Afrfc:•n• tn 1~)1. OV•r JOOO yovn• wh~~ .-te hOROm contrôle des Maladies ct celui du Sang de New-Yock.. Le développement du Virus avait
••Il·' '- COper•tlon TroJan Nora•) .,..,. lnject.od wiU. l•c-o<t ~patit.ia apparem ment deux buts : le premier en t:mt qu'anne Politique et ethnique devant être
~· •c:<:tl\e tn t1lt \.hrQU9h t.M C41'lt.era for ·Dt . . ••••COnt.ntl and
utilisêc contre les noirs et le second pour r~duire le taux de population ...
c ,._York &1ood c.nur. lto• ~aYefo~nt.. of ÜM vlrua ap.,.rontl)'
• du~\ purpo.. : (t) A• a pollttcal/etftntc "'••PQn ~ ~ u••d
•• tn~ ~ ~lac~ Cndtvtdual• and(?) on• of ~•·p,oar· ~ orror" l a session du Haut Comité qui a eu lieu le 1" Juillet 1989 a engendré des discussions sur
1 ·:'• ·~ulatfon.
le~ Agents Biologiques Synthétiques. Une partie du discours du congrés est détaillée ci-
. tlh.a ••••ton or t.he ~ubc:o--ltt.•• U\a'L \.oak ol•c:• on .lult 1. to••~ dessous (de HB 15090).
~vo \ v•d dlac:u••iona about. lyn'Lhetlc ltolottc.1 A9•n~. Part ·or
.
11>1 · Coroo'• . . (O«\aY narr.th• t~ (tro- HB UOiO) "fa det.atl•~ bel~:
. <<Il y a deux choses que je voudrais mentionner à propos de l'agent biologique. l'une c'est
•1nere are t.wo \hlnge •bo~'L the blolotlcaJ •v•n~ ''•ld l would la possi bilité d'avoir une surprise technologique . La biologie moléculaire est un domaine
.,. to .. ~'Lton. One •• th• to••fb~,j~y or tochno1091çal •urprl••· qui évolue rapidement ct beaucoup d 'éminents biologistes pensent que dans une période
4lo~ v1or btolovy fe a fi•ld th•t t• adVancl~o ~.,, r~ldl~ •~d ••"r
•lnon~ b(olovl•t• bolt•v• ~a\ wt~hfn a poriod of a to CO yeart lt de 5 à 10 ans il serait possible de produire un agent biologi~uc synthétique, un agent qui
·ould be po. . fble to produce • t)'At"•tfc biolovlcat llfel\t, an •vont n'ex istc pas à l'état naturel et pour lequel aucune immunité nature lle ne pourrait ètre
~•t dO•• ~t n•~~r•'1Y 1xta\ and ro~ Whfch no naLUrat 1.-uAfty
~1d h•v•· be•n •~qu(rod.. •
acqUise. >>

~r S(~••: Ar• v• doino .ny wor~ in that ''•'d? Mr Sikes : Est-cc que nous fai sons quelque cho~ dans ce domaine '?
Or •)(a cAr t.nu r: "• ar• -'-.
Dr Mc Anhur : Non.
~r. st~••: ~y ~~~ L.ek of ~•Y ~r tack of inLer~•~7
Or , Hac:Ar~r: C•rt.ein1~ ~~ Jack ot tnler••t. Mr Sikes : Pourquoi non ? Manque d'argent ou manque d'intérèt '!
Hr . Stk••: ~ou1d you p~id• ror our r•~ard• fntor••~•~ on
wt\•t ..ou 1d be r•Qc:ir•d• ~ha.t. U\411 •~tY&nt.aget of •~ • pr(111r- Dr Mc Arthur : Certainement pas manque d'intérêt.
•ovl<S tle, t.he c.t- .nd t.he c:oat. lnvolvodl,

162 163
 SERGE MONAST INTITULE CEITE PARTIE DE SON DOSSIER :
"Les services secrets des vaccins''.
JI s'en explique ainsi :
"Les raisons d'un tel titre est dû en grande partie aux
difficultés sans bornes que j'ai dû affronter pour n'obtenir en
fin de compte que très peu d'informations concernant la
compagnie qui avait fabriqué le vaccin contre la "méningite"
qui avait servi à vacciner une très grande partie du Québec
vers /afin 92 ... Je communiquai directement avec la salle des
nouvelles de Radio canada où je pus m'entretenir avec
Martine Turcotte ... Elle dût m'avouer qu'aucun, mais là,
absolument aucun journaliste, à l'époque n'avait fait
d'enquête dans Je but de connaître le résultat des analyses
produit par le groupe des spécialistes qui conseilla au
ministère d'aller de l'avant avec la vaccination contre la
méningite.
164
LE DOSSIER CONTINUE PAR CE TITRE :
Manipulation Politique de la Vaccination
dont voici des extraits:
"Pourquoi la décision concernant/a dernière campagne de vaccination
massive au Québec contre la méningite fut- elle avant tout une décision
politique et non un décision médicale ? Depuis quand les politiciens se
font-ils passer pour des spécialistes des. questions médicales ?
Cette question était commune à l'ensemble des médecins au lendemain
de cette décision gouvernementale d'aller de l'avant avec une campagne
de vaccination massive contre la méningite....
Un grand nombre d'infirmières et de médecins se sont demandés à
juste titre par rapport à cette vaccination comment il se faisait qu'un
''protocole particulier" soit rendu nécessaire pour l'administrer alors
qu'ils avaient l'habitude d'administrer des vaccins. ce protocole était
d'ailleurs prévu par le gouvernement pour cette injection spécifique. Fait
inusité, la manière dont il fallait incliner la seringue avec un angle
particulier pour injecter ce vaccin, de même, la pression très forte qu'il
fallait appliquer pendant plusieurs secondes à l'endroit même où
l'injection avait lieu, puis. l'aiguille de la seringue qu'il fallait retirer très
rapidement.
Ce fait, rattaché au ''protocole spécial" est d'autant plus.étrange dans
l'administration d'un vaccin contre la méningite qu'il ressemble en tous
points à la manière dont doit être injecté un implant électronique servant
à l'identification personnelle et fabriqué entre autre par la HTexas
Instrument". la méthode est aussi semblable à celle utilisée pour
l'injection de cristaux liquides afin d'empêcher leur retour dans la
seringue.
ATTENTION! Nous n'affirmons aucunement que celafutle cas lors de
l'injection de ce vaccin "à protocole spécial" mais nous ne pouvons passer
sous silence la ressemblance frappante existant entre ce "protocole" et
celui utilisé dans le cadre de l'injection d'implants électroniques devant
servir à l'identification des sujets injectés, mais encore à leur repérage
par satellite ainsi qu'au contrôle direct de l'individu pour des fins
politiques. "
165
VACCINATIONS ET MALADIES: VACCIN contre L'HEPATITE B :

Qui pourrait un instant penser que les vaccinations puissent provo- Le Dr Hartman, pédiatre consultant déclare au ''journal of pédiatrie
quer à feur tour des maladies. Pourtant des articles médicaux dans child health" 1960, 26 :
des revues ·spécialisées et reconnues pour leur sérieux le laisseraient "Il Y eut des effets secondaires rapportés suite aux vaccinations contre
penser: l'hépatite B. Il Y eut un rapport concernant un patient avec du "proritus" et un
En Avril 1950 deux journaux médicaux, le célèbre "Lancet" et le non œdème infra-orbital. Il fut rapporté 6 cas sérieux de maladie dans une série
moins réputé "The Médical offlcer" rapportèrent que fa paralysie de vaccinations contre l'hépatite 8: "Erythema muftiforma, aseptic méningitis,
infantile avait suivi l'inoculation de la "diphtéria toxoïd", le vaccin contre grand mal seizure, syndromes de Guillain-Barre. "
fa coqueluche et l'assemblage des vaccins diphtérie-coqueluche.
En 1951- 53, 170 cas des 1308 cas de paralysie en Angleterre et
dans Je pays de Galles chez les enfants de six mois à deux ans étaient VACCIN contre la DIPHTERIE:
reliés à l'injection contre la diphtérie.
Au Royaume-Uni, plus de 30 000 cas de diphtérie ~rent rapportés
L'Institut de Médecine des Etats-Unis a conduit plusieurs études sur
parmi les enfants immunisés. En Allemagne, en 1940 il y eut une obli-
le sujet. La dernière en 93 conçfut qu'il y a une relation entre tes
gation de l'immunisation de masse. En 1945 les cas de diphtérie
vaccins et les maladies ou morts suivantes : avaient augmenté de 40 000 à 250 000... __ ___.. --- -
• Vaccin contre la rougeole et "strain viral infection" (mortelle) . · ...-----· ----- ·_-- --- --~tots-Unis o
-· ...------ , 1St LouiS oU')( c.
• Vaccin oral contre la polio et "strain infection"
- --- - ----- --- ---- ~-(ief de rnôPito htérie et \o variOle :
• Vaccin contre la diphtérie et le tétanos et "l'anaphyfactic schok" .. -. ---··-- rat. Docteur . . contre \o diP
(réaction parfois fatale) \ Le_ Dr ~weoncemont \es voc~'nsde Leucémie.,. - -- -- ---- - - -
déClore c tune explOSIOn ---------------
• Vaccin rougeole-oreillons-rubéole et "thrombocytopénia'' " Ils provoquen - -- ----
Les auteurs font aussi ressortir la relation de cause à effet entre :
--
\ ------- -----
• Vaccin contre la rougeole et désordres neurologiques
• Vaccin oral contre la polio et syndrome Guillain-Barre
• Vaccin contre l 'hépatite B et l'arthrite et maladies du système VACCIN contre la GRIPPE:
nerveux
Le 23 juin 1979 "The Australian journal" publie une lettre du Dr A.
• Vaccin contre fe tétanos et syndrome de Guillain- Barre
0' Rourke surintendant médical de l'hôpital général de Toowoomba et
le vaccin contre fa coqueluche est reconnu comme étant le plus dont la condusion est fa suivante:
impur de tous les vaccins administrés aux enfants et susceptible de ~...
pendant plusieurs années, le sentiment profond parmi le pubffc et les
causer des dommages du cerveau. . ...- ----~ médecins fut que le vaccin contre la grippe non seulement était tout à fait
•• ~· 1
.. _ ..- ·que inutile mais encore qu'il rendait malade."
1
___ .. .. .. .. - ·~ ~~1ec'ron ---------------------
.... _ ......... - - (iat81-l' de 1 . valeurs . - -----------------·--t~Ïtt~oub\Ont :
__.___..___.....Cc. 'J''ncent. fOfl . . r droit 195 tr~ cancer -- ----- --- -.-- 8 -1993" rapporte ce_ e devra ient fa
5
;~--\.e protes58ù' . ,e effet de d'~tét'isée parcer et à ta
r·l.~-:~t;o\ion oocto~. ;~~~.~~nrlte Jnt'?mm~;o~: ::,n potenti.e l d.a~
.; déc\oro : ·nanon a cof11 IJ(l6 zone ca osent au con
\ "route va_c~~télieurfoU ~~~ns oO prédiSP ....... -.. .... ............ \ « Les patients a~e~ontre
la grip~ at~~~motologue austrolieO·
: du song a . .. Les vac ... .. .......... .. \ reeevoir le v~~~:~n. selon un émrnen ---------------- - -
·. et 10 1 ~c~'e. ........ - ........ \ graver Jaure _____ __ _______ ___..... -- ----
·, . .ré.....ie. _......- ...
' leV'-' '' ·
~.... --- --.
..--·"
----------- \, - ------------------
1
:.- .- -- - - - - -- - - -

166 167
 The Lan cet ( 10-8 ~ 74) contient les détails d'une étude impliquant Nous ne pouvons devant tous ces faits, oublier que vaccins,' transplan-
50000 employés des postes et les vaccinations contre la grippe : "... les tations et greffes génèrent des profits incalculables et des renommées
résultats jusqu'à présent obtenus démontrent que l'offre annuelle pour certains centres hospitaliers et leurs médecins.
d'une injection du vaccin dans une vaste industrie n'a pas entraîné Voici au sujet des prélèvements d'organes
une r éduction significative de la maladie." • VIC \ un article d 'août 92 du "Monde diplomatique".
--- -
----.~-~;;-- 993• . et le N
U 1( vol. A. NoS. l S l 9Q3' , \ Oct
,.. -· .-------t-D~~t~;-oon't lei\ :~i~ ·center) New~!ans ~ui sOflt
\, ~~tional vocci~el~~nc\usiOn qu~ to~~udicestdommages. J 'IMPLACABLE loi du marché ne connaît pas de limites. Puisqu'il
\ ropport~re~t ce en1ants cousent es - -- - - - L existe, dans les cliniques ct hôpitaux des pays développés, une
•, administres o des - - importante demande d'organes humains pour greffes et tnmsplantations,
1 ·~ --
1
\.._. ------·--
... - - -
pourquoi ne pas organiser l'offre? De gré, par l'achat d'un rein, par
exemple, à de!> miséreux ou de force, par le rapt ou la fausse adoption
VACCIN contre la COQUELUCHE : d'enfants. revendus pour leurs organes sains ... C'est à de telles
l" tableau ~uivant qui f11t publi4! cl•ns "lnfectlous Dlsc~ses (11110) cltii'IQfltre cl.alre - abominations que s'emploient, en Amérique l atine ct ailleurs, des réseaux
ment l' inefficaci t4! du V•c cln contre la Coqueluche. criminels bénéficiant de complicités à des niveaux élevés des
Source: "Co...unity Disease Survellhnce Center": gouvernements qui, des Etats-Unis à l'Argentine, nient tout en bloc.
Mai~é PINERO
'ERTUSSIS EN ANCOLETERRE · - - - - ---·---····- -----·······-··

Ann~e Cas enreglstrts t de ceux V•cclnfs

En mars dernier, à San~Luis-l'otos ,
1970 16,S'7 19\ (Mexique), M. Librado Ricavar
1971
1972
16,8~6

2,06' ,,
19t Ribera, secrétaire général du
gouvernement provincial, annonce
1973 2,1JU 7'' l'ouverture d'une enquête sur le
1971t 16,230 7U trafic d'organes et révèle que des r- ----- --~- ------\
197S a.~IIO 60,
3,, enfants de la zone de I'AIIiplano et
1M Leonardo V1'l'ed
• a s ermudez. i!
1976
I!H7
~.278
18,717 ,,, des faubourgs de San-Luis
disparaissent ; au bout de quelques 1
\ . • . de la Junte nationale du 1\
l secretaire .
1978 67,008 )lt
!, b.1en-être social révèle : ue {es
semaines, ils sont restitués à leurs !'
1982 (premi e r 9 moi~) lt7.508 sot familles après avoir subi l'ablation · 1 « iNo-u r ovon.~ la preuvel .q . des. 11
' .tants tKhetés ou vo es a
d'un rein. M. Ricavar Ribera \ enJ' , . t vendus. \
Il Jàmi/les pt111Vres eUlien .
Ce tableau parle P•r lul -~me •.• affirme que les enfants sont · d Etat,·-Ums .. 1
'· • d ~ reseau.'\ es . 1
emmenés dans des cliniques à la ';_ ~()(}~ dollars au minimum pour \
"LE PillE VACCIN DE TOUS EST CELUI CONTRE LA COQUElUCHE. •• IL EST llESPONSA8lE D'UN frontière américaine. Il ajoute que '•. ~ervir de donneurs d'organe~~: ..... 1
GRA~D NOM8RE DE "ORTALITE$1 [~D'UN CRAND NQHBRE DE DOKMACES CEREBRAUX IRREVERSI· le même trafic existe dans l'Etat ':-~·-·- --- --·--- --- ·-·- ·-··
• voisin de Tamaulipas, limitrophe
BU:S CHEZ lES NOUVEÂU·Nf:5.." Or. Arc:hle K.loreklnos, Surtwell TOJ's. NSV, 21t ... i 1987.
des Etats-Unis. Quelques milliers
Note de l'auteur : On voit que le nombre de cas de maladie chez les persosmes vaccinée$ de doUars achètent le silence des
triple entre 70 et 82 donc le vaccin n'est pas efficace. Il y a autant de malades si ce n'est familles très pauvres. Ce sont des
plus même avec les nouveaux types de vaccins. qui accusent
,_ -·voisins
-·-········ ... ......:. · - - - - - - -

168 169
 ---~-~

i_____________________ ---- \
t. Le 24 Juin 1989,la "Shocking", les méthodes anglo-saxonnes?
. s'accumu en laurence Usciati (à Londres) et Florence Kennet
1 Au Mexique, \cs accusattons \ "E\ Universal" dénonce
\ ndante à Puebla du Jou rna. . . « Dans un village
correspo . f nts et precise . . Il
l'enlèvement de troiS e~ a . hal un enfant a été enleve. ~
. . •r les berges du no Cutc ' d a· Tlalauquitepec, a
~~tue SI•
\ .été retrouvé quelques semOI~e~e tl avait été opéré et il .1Ul•
· plus tar

1' 50 kilomètre.'> de son domiC~ ;. ·é à Puebla. » Lejournali.ste

1 ., n rein . il est hosp,ta 's . oms est dû à la
\ manqua• u ' d m~ et de pren .d
\ ajoute : « Le manque . e no ~milles : les gens ont refuse e
. s'est em. paree des fi . . par peur. des •••Au Royaume-Uni, n'importe
panique qlll . . e ments plus preCIS qui peut s'offrir le dossier médical
me donner des rense•gn
de John Major ou de Hugh Grant,
\ reprisai/les. »
l ...--··-·-- --·- .. - . ----·-
-·------- - - - - - - à cond ition de débourser entre
1 185 F et 6 320 E Les indiscrets
·-·---.. . . - - .. ----·.. ·-·l passent par des agences de détec-
~ive, présentes dans les pag~s
! En Février 1992, en Argentine, le 1
Jaunes. Ces fouineurs promeuent
ministre de la santé a rt.-çonnu que ! de trouver les antécédents médi-
1
le d ire cteur de la clinique caux de n'importe quel Britan-
ps ychiatriq ue M ontes-de-Oca, nique en ayant seulement son nom,
situé e près de Buenos-A i res, son adresse et sa date de naissance.
prélevait effeclivement du sang ·e t Les renseignements touchent aussi
des organes, des corné es bien J'histoire sexuelle que men-
n otamment, sur les m alades .
tale et physique de« J'espionné •.
Certains fichiers vendus fin no-
L'enquête sc poursuit.
!.--·--·--··· -· ---·· ·- -··---- - vembre révélaient le nom de per-
sonnes ayant subi une opération de
1...... .. · -- ·····-···-- - - . vasectomie, ou portant des antécé-
Le massacre des "jetables" dents de la maladie d'Alzheimer.
l
Ces révélations son1 sorties quand
' une des agences a fait savoir
Après t'Argentine, vint le tour de la Colombie. Début Mars 1992, éclate qu'elle recevait de plus en plus de
une épouvantable affaire digne du monstrueux univers du docteur commissions de la part de très
f ranlœnstein ; dans l'ampb ithéàtre de la faculté de médecine de
Bammquilal sont retrouvés dix cadavres d'indigents, dont ce lui d'une
adolescente de quinze ans, et les restes de quarante autres personnes.
l grosses entreprises désireuses de
vérifier le passé médical de leurs
employés. •
Les gardiens de la faculté assommaient les mendiants à coups de batte 1
de base-bal\. Les victimes, plongées dans le coma n'étaient achevées 1
qu'après extraction de leurs organes les plus rentables qui étaient 1
1 écoulés sur le marché noir. les corps étaient ensuite utilisés pour les

[ travaux pratiques des cours d'anatomie ou jetés dasn les déchargel!. !

L_.. -- · - -- -- .- -- ·- -
Mané PINERO

170
171
 DOSSIER "LA GRANDE VALSE DES VACCINATIONS OU
LE REGNE DES SAVANTS FOUS"
du Dr Alain SCOHY
La (;uerre du Golfe, pendant l'hi\'Cr 1991 aurait dû nous servir
de leçon.
50 000 Gl américains environ sont envoyés l:i·bas ct subissent au m o ins 4
v <IC~ ins. dont l'hépatite A, probablement l'hépatite B, e l d'autres plus rares
(Botulisme et C harbon). Les deux vaccins contre l'hépatite A et B sont
préparés par génie génétique. lis subissent certes sur place une pollution
importante. Mais rien n'a été signalé parmi les autoc htones à cc que je
s~c h~. Ils ont pris un médicament dur. le bromure de pyri<.lostigminc
(MESTINON). Mais peut-il à lui seul engendrer une tératogenèse ? Cda
n'est p~s mcntionnê dans le Vidal (aucune malformation notée chez ks
cnl':lnts des femmes traitées pendant leur grossesse a vec cc médica ment).
20 000 anciens soldats sont malades aujourd'hui . 2 000 sont dcc ~d<.!s.
Surtout, il y a eu en 3 ans 2000 naissances d'enfants gnwemcnt
anormaux : nanisme. atrophie d'une moitié du corps. hydrocéphalie.
mongolisme.•.
(Cf. ZONE INTERDITE 1 M6- mai 1995) .
Il en est sans doute de même pour le co ntingent français. m.:mc s t dans
notre beau pays, la censure et l'autocensure dépassent lïmagin~ble.
A utre petite (lne(.·tlote (< croustillante » :
D'après le JDIII'1NII of ciiiiiCill MÎCI'tiiiiD/og8 de juin 1994, n°6, UOt!
équipe de chercheurs japonais du Centre de recherche biomédicales de la
Faculté de Tokyo a mis en évidence la présence de fragments d~ARN elu
virus de la peste dans des vaccins contre la rougeole, la rubéole et les
oreillons (vaccins simples et vaccins associés). Le plus étonnant et le plus
inquiétant aussi , c·est que ces chercheurs assurent que les vaccins ne
p ouvaient être « contaminés)). Les ARN du virus de la peste seraient donc
apparus par un phénomène de recombi"naison qui reste encore à expliquer.
(D' après l' IMPATIENT- Hors-Série n° ll ·Juin 1996)
172
1
21 lE VACCIN ANT/-POl/0...
JI est vraiment lt: "Gaston Lag u th.· " Ùl's vaccins. Nous avons vu à quel point
il était diffici le de pouvoir certi fi er lu pun.!të d'un vacc in v iral. Pa r trois fois
au m oin s. le vacci n POLIO o.:st p ussé à la frange du scandale Je plus
e ffroyab le. ct il a fa llu tout l'ave ugle ment e t le condit ionnem e nt d u corps
m é dic al. toute la s cience du c orps poli 1iquc, pour pouvoir étou ffe r ces
affaire s .
Le p re mier vaccin. POLI O • appelé " S ALK" (du nom du biolog is te qui l'a
m is au point) - e st f'a hriqué :1 p artir de cu lture s du v irus s ur des reins d' une
variété de singe s a ppdéc RH ES US OES INDES. Ce vaccin est inoc ulé à des
millions d'enfants , dans Je monde t!ntier. j usqu'en 196 0 où l'on d é couvre
q u'il e st conta miné par le VIRU S SV40 du singe, inconnu jusqu'alo rs. Cc
virus e st respon sable de can c er s c hez certaines e spèc e s a n imales. S e pose
a lo rs la 4ucs tio n <.le savoir s'i 1 peut :J.ussi génére r d e s canc ers chez l'homr:m: ?
Des expérimenta tions momren t nlors q ue des culture s tlt:: tissus humains
(re in. peau. thyroïde) sc cancé-ris ent <..'n sa lltésencc.
<)udqu.::..; .1 1\ll~~cs p lu:-. tùt. J é.iù. ~·u D:tll c' l ll ~: rk . k- >'~'"!~ ·· : un nt ~· d~..· ' a<.:\."ÎII<IlÏPil
t.:Pntrc b polivm:-·di t..: a vait d ü .::tn: Îlll..:rn•m p tt · 1~( 1 li tre s th! \an·in.
p•.: nnt·tt ant d' ino c ukr 540 000 cnfun ts . ; tppar:l i s ~ : •i .: n t .; ,•:ntn l" inut il is ;!bk·s
..:aï ...: \ mt~ullin és p a r plu:,ieurs v irus vivants .
;\ l'épnyuc. Josuah t E DERBER<..i. pri' ~obd d e .\·ICdc...:inc .l 9:>~.
c ritique Otl\'t.:rt.:ment le mantpu.· d'dutlt: dl· l'impal' t 1.h.·.s
vacci natiuns d~•ns l'organisnu~ rcccptl· u r·-.
,\ prorns d..: la contami nat io n d u ' a n.:i n p.tr k ' ·irü:: SV -UI. i 1 lkd<.•r.: ;,
la prl'SS\! : "( ''e.,·r fllll' la p lus grande des d ~tmc ~·s <fllt! cet i nât/(.'111 o'ait
f'<IS l"'o\ ·u ,fl''·; la J'lus g ra nde <."LIIas rr opllt' nu;, fieu le.: do.' llofr,· his/nin•. ''
()u\.·n S<t\'OIIS·twu.s en li:lit ? Ccttt.! hècahmlbc de c;mccrs d e tnut.:s
sorh:s q ue n o u s voyons lleurir u._·puis b d e rn i .:.- r~: g u err...: n'L'SI sans
dnut<.' pas snns lien avec c ette a ffa ir.:. m0me si p~..·rson n o: n'a cc o:ph: r.:t
ja mai s dt: l'avouer!
l .c~ bl··orahllre :-; o.: h;m~ent le ur t.:chniquc d e urltur~..· po ur la r,:ali s ;•ti,•H dt:o'.
,_ :!-.:..: ins ~•nt i·p<>l io . ! t ne 1\0LIVt:lle r:.~cc d.: sin g.l.' e s t utilis.:c. rhll1 pl>n ~o.•ltrs.
~· ux. J •: c e f:11nc u .'\ \ ·im s SV40 : ll!s S IN ( ii ·: S VF RT S d'i\fri 4 ue. I.e llo u , ·l..'all
V;.\ ..:..: in p t.!rl~' lo.: 110111 d u Pr. SJ\ BIN qui a rr~~s id .: ;i S ; l mi s e au poin t.
<.)ud qll<."' "'"'ées plus tard. SCJH personne s ,,ui tr:t\ ai lknt sur ~·..:tt c rac~· de
.-• ing ...: , ·.:n..- \"tlllt lllOLJr"ir d 'une rnabJic i n ~··•n r l llt..' .'t r.::p..,l\1'-'· :'t Fr.IIH: f••rt ct ~~
:\ l:t rh u r~ . ,.-n r~ ..:·pu l--l i quc. Ft..; d è wk .-\11.:-man<h.:.
173
 Guerre bactériologique :
les Irakiens travaillaient sur de nouveaux virus
l'étendue des révélations loHes por les oulo- koklens $01lt allés ou-delà des connoissorl- mel por • ou variole du cha· tait aur le charbon du blé qui,
rilés lroloennes sur le développement de ces octueles en monère de guerre biologl- -.u. qui provoque de& lésioru ulil~ de manière m.uaive, peul
leurs armements biologiQues et ctwnques o que et chimiQue. Ils on1 nolommenl rM ou cutanées. Auntn de œs trois dtUV1r.des récolt.eS enuèrw
agent.s infecueu s n'a éû util~. Les lraktens avaient l'intenuon
slupétoll les scienhfiQues des Notlons unies po.nl des toxines copobles d'éfimiOet des selon les lr~\iena, pendant la d'u t.Jhoer ces armes contre larael
chargés de Yellef ou démantèlement des récoltes entières el décOiiVefl de n<:X.fY90UX cuerre du Golfe pour te vencer du bombarde-
moyens m1lrtoires de l'Irak. Les chercheurs '111\JS mortels. Enfin. ils ont fabnqui 300 la tres ment de leur Ct'lltrale aLOmtque
de la baculrae qui cauee la gan· en juan 1981 el contre les trou·
D 'EF'F'OUT ulkien. a dé· ble~ de combattre lA ra isonne- le virus de la conjoncti,ile hl· grène el 1ls tlud iaien l le moyen pee all iée. pendant la ~uerre du
lii.:l claré un uperl de l'ONU, ment qui les fllldatt étan le morrac1que. qu1 eu très conta· de les d11perwr soua la forme Golfe. !la affirment aUJOUrd 'hui
rep•nce A /a fors un énorme SUIVI nt : lts 0ccldtntaU J, QUI gaeur et provoque une cécttf d'aérosols capables de pénétrer que tous leurs procrammes de
investr= m«tll ~~ uo~ "perch' attachent une cundt lmpor· provisoire; un autre viruJ, ta • dans les poumons, ou tn plaçant cuerre bactériolocaque ont été
dans le dom~t~ des armes btO- tance i la vae, perdront phu dt' pabr. de t uer des enfanta en dl'l sporl'S • l'intérieur d'obus démantelés. Il apparuent i la
Iop<Jues. • Juaqu'~ ce que dcu • tem~ à soirner des aubuurn pro\oqUant UM forlt' daur h~. qu1, en provoquant UDl' bles· mawaon de l'ONU de vénfier
generau J, cendrtS du président maladea qu 'à enterrer dra devait mettr. des m1lliers d 'tn· aur., l'auratent aUAI infecta. leur dtres. Roc11or~ U$CIA
Saddam Huw1n, 11ent C.it dé· mor La. nemis hors de combat. !la ont Selon l'ONU, la recherche la (1) Voir • 1• Ouoùd;., . fN li MHJt
fe<:L1on en Jordante, l' Irak amr. C'est ainii qu 'ils ont développé écalement travaillé 1ur le • ca· plus étonnanlt' dt'l lrakiens por·
mait que d11 uvants irakaens
avaient travaillé pendant QUI•
""
tre ans wr des • proJels • de
JUtrrt baulocaqut' tt avaient ré·
d1cf •it docu-nts à œ suJet
CuJcnant d'êue d1scrêdité par
ceo r qui l'ont Ltahi, Saddam
Htnsem a donné l'ordre i ses
servaces d'en dire bt>aueoup plus
sur ses procrammet miliuires.
Les agenta de l'ONU, duick
Pli Rolf Ektus, ont aj,sj ob-
tenu une muae d'1nformataons
qui les u idlrés (1 ).

Le prix de la 11ie
En réa lit.!, 1SO scientifiQues ira·
k1ens onttr•v•illé sur les armes
biologiques t l ils étatent entou·
rës par unt noria d'u&istanta el
d'ogenu de lkunL<!. ~ pro·
1ramme d'armes bacliriolo&l·
quet a élt' land pendant la
cuure avec l' Iran (1980· 1988)
tl al a iû fortement accéUré en
1990. un mois a' a nt l'invasaon
du l<oY. eat. La !rakieR6 affir·
ment qu'lia voulai~nt non p..
tuer un muimum de JOidata
enMmis, maas let rond re lllCI pa.
 EXEMPLE DE RECHERCHES TRANSGÉNÉTlQUES

Avis favorable pour

une greffe de moelle de babouin
chez un sidéen américain
m N panel d'experts commis ::; ,,
. . . .... '4..:;_, ,.
.,
.
t..:.l par la FDA a donné un ~ ;
.
... ,;.,.
·~...,
.:

...•
avis favorable à la greffe de ~ .. ~

moelle de babouin q u 'une .. . ·.:-~

'
équipe de Pittsburgh projette \.
de faire chez un patient sidéen
(nos éditions du 12 juillet). Bien
: t•
) '
,,. . .. . .... .,.~ ~

entendu, la FDA doit encore se .~· ·;"

... ,,.,. ..
prononcer, mais en général elle /'.4:: /,
' _

. , ...
suit l'avis des experts . ;r~ ~ . •
.' t ~
• l .
.,# •

-1 '•
*

L'objectif de cette greffe est de t· / ' 1'~-.,.. , ..

· ~~. ~ ~

.
restaurer les défenses immuni- '),'
taires du patient.
&-
.• ~~:;-~ '
' i., . .
- ~·.
~
1
1 ,.
... "!· ,~

L'entreprise est toutefois j ugée ''

:-~"
/
"'L
"-.$
~-

très risquée : «Cela va proba- Les babouins sont insensibles au VIH.

blement accélérer sa mort J,, in- mais sont infscttb par d'autres virus
pour J'inst.tnt inconnus chez l'homme.
dique le Dr Hugh Auchilcloss.
Les experts ont également attiré ces que l'on imagine à grande
l'attention sur le fait que les échelle. Les experts ont donc
deux babouins qui ont été sélec- souhaité q ue l'on trouve d 'au-
tionnés pour la greffe sont déjà tres babouins non infectés par
infectés par cinq virus qui, pour ces virus. T outefo is, indiquent-
l'instant, sont inconnus chez ils, si cela n'est pas possible et si
l'homme. La greffe risquera Je patient persiste dans sa de-
donc de contaminer le patient, mande, les deux babouins sélec-
puis de proche en proche son tionnés pourraient être utilisés.
entourage, avec les conséquen- OrE. DEV.

175
 ARTICLE PROVENANT DU "PANORAMA DU MÉDECIN"
FlN FÉVRIER 1996

Un nouvel
implant à
base de soja
La dernière ~énéralion
d'implants mammaires est
à ba."il' d'huile dl' soja. Jan·
cée l"n Suisse par la sociélé
Cullagen SA. Le liquide de
remplissage de cette pro-
thèse qui porte le nom de
Trilucent TM se compose
de triglycéride, substance
naturelle dérivant du soja~
biocompatible avec t' orga-
nisme humain et résor-
bable par celui-ci.
Le triglycéride est
d'aill~urs utilisé depuis
plus de 40 ans dans le do-
maine médical, ce qui lui
confère un historique de
sécurité bien documenté.
Sa transparence aux
rayons X est équivalente à
celle du tissu adipeux du
sein humain, permett.ant
de le visualiser correcte-
ment, contrairement aux
prothèses salines ou à base
de silicone.
Triluccnt T\1 cst ·par
ailll'urs muni d"un ns-
lèmc d"idcntir•ntllun
unJCrue en son genre qu1
perml"l un suh·i à lonJ:
terme de l"implant. Cc
dt•rnier est en dfd muni
d'une miero puce renr;r:.
manl u.s, colle indnidue
auquel on accède par un
176 lt.>dt.>ur manuel. Dr A. R.
 Les VACCINS à ventr.
Conférence-Débat avec le Dr Guy LONDECHAMP
le 10 fëvrie r 1996 (près de Périgueux)

Le but n'est pas de faire peur mais de susciter un certain nombre de questions. Il y a
plus de qucs11ons que de réponses ! Nou; aborderons trois aspects :
Les cxpérimcmations animales et les races transgéniq ues.
Les impacts probables des vaccins.
Les cristaux liquides.

.ll L I':S EXI'~; RJ ;\IE NTATIONS A~ I \1.-\LES ET LF:S RACE. TRANSGÉ JOUES
Elles sunt présentées co mme une a\'ancée très importante de la science en biologie
moléculaire: El lt:s pcnn cnraicnt:
- d'un côté d'obteni r des proouits humains :i travers des corp-; animaw<.
- et de l'autre côté d'obtenir des !issus ammaux à greffer chc.G les humains. parce
qu'on est en carence de donneurs.

D'autres choses vont en décou ler. en particul ier co ncernant l'avenir des techniques
vacci nales.

Le problème des races transgéniques touche enormémem de race~ d'animaux : souris

surtout - beaucoup de variétés -. cobayes. lapins. porcs. veaux. ch.!vrcs ... Distinguer les
animaux qui vivent dehors, ct ceux qui ne vivent qu'en laboratoire. Ce rtaines espèces sont
é levées de hors (v..:aux). c'c:a là où les dangers sô nt les plus g raves (co ntaminations
évcnruelles).

Des races ont été "modifiées" de toutes pièces pour pouvoir cxpùimentcr sur elles
des modèles de maladies humaines chez des animaux qui n'étaient pas anci nts avant.

C'est le cas du babouin ct du macaque Pigtail. pa r exemple. pour le SIDA ... Ils vont
devenir sensibles à ces maladies par scnsibilisations successive~. Les babouins étaient
porteurs de S!V: (\i rus d'immuno déficience du singe). qui était une maladie
pratiquement 1nappareme chct eux. On a créé récemment une sensibili té chel les
balF~uins, (Quotidien du Médccin/2R. 10.9-l). pour qu'ils déclenchent un SIDA tri:s proche
de cel ui de l'homm..:, très rapi-dement évoluti f. en cou pl am génétiquement un SI V uvee
un lllV : {virus d'immuno déficience hwnain) ... Et on a obtenu par passages successifs
en fait. une infcctiosité de plus en plus rapide cl d~ mod.!les de SIDA humain chez des
singes qui avant étalent indemnes de I:J malad1e. C'e:;t une porte ou,crte- à mon sens -
très importante.

177
 Sachant qu'en plus, beaucoup de virus du singe ont été inoculés avec le vaccin ami-
polio (SV 40, STL V3). Il y a des virus proches qui sont présents maintenant chez les
humains, parce qu'il y a des passages, comme la lièvre d'Ebola, fièvre hémorragique qui
touche les singes et les tàit mourir très rapidement, mais qui touche également h:s
hommes. On se demande si ce virus EBOLA ne serait pas un agent de contagion par voie
aérienne (Lancct/3.12.95Nol 346/ p. 1669-1671). Il faut imaginer l'avenir de virus au~~i
contagieux que le virus EBOLA, qui aient la gravité sur le système immunitaire du 'iru.;
"VIH". En admettant qu'il y ait des échanges de patrimoine génétique entre les virus, on
pourrait aboutir à un virus transmissible directement de l'animal à l'homme, et qui ne soit
plus transmissible uniquement par le sang ou par le sexe. mais par voie aérienne.
Donc extrêmement rapide. contagieux, ct provoquant une atteinte très profonde ct
très rapide du système immunitaire.
LE PORC. C'est l'anima1 le plus proche de l'homme au plan antigénique (au pomt
qu'on a pu utiliser l'insuline de porc pour l'injecter à des humains). On travail le beaucoup
avec les porcs pour injecter chez eux des gènes du complément humain. On les
sensibilise pour les rendre capables de ne pas s'immuniser contre les ti~sus humain;, .:n
leur injectant d..:s gènes du complément. On leur demande ensuite de fournir des ti,~u'
pour les transmettre à des humains en tant que grctlès. Ces humains subiront ensuite unc
dépression immunitaire pour pouvoir tolérer ces tissus du porc. ct qu'il n'y ait pas de
réactions du complémcntet de rejet. C'est encore une brèche dans le scns homme/porc
pour que l'homme puisse tolérer les tissus du porc. pour qu'il n'y ait plus de réactions
antigéniques croisées avec les protéines du porc. ou du porc par rapport à l'humain.
Cela veut dire deux choses. D'une pan. chez les populations animaks. il va quand
même y avoir des modifications très importantes, peut-être de comportement. pas
seulement immunitaires. Peut-être aussi psychiques ? Et dans l'autre sens, chez l'hommc.
il peut y avoir non seulement des modifications immunitaires mais aussi au niveau
comportemental. Sachant qu'il peut y avoir ensui te des échanges dc patrimoin.:s
gl!nétiqucs entre les virus et entre les microbes. dans ces races animaks. la brèche c.;t
ouverte vers l'humain pour que ça passe directement. pour qu'il n'y ait pas de ré.sctton
particulière de l'homme s'il y a des échanges directs, avec une sone de ncutralisation
immunitaire ou tolérance.
S'il y a tolérance immunitaire il n'y aura peut-être pas de vagucs '? Mais si l'on
abowit à cette tolérance de tissus étrangers. c'est-à-dire à une acceptwion. une ahscnc-.•
de conflit, ct'la permettra progressivement d'mi/iser du tissu étran.~er (pour des gre//<',1
sans qu'il perturbe le système immunitaire. sans qu'il y ait de Rt:tiCT/0 \' D'IDF..VT/Té.
F.st-ce que cela ne l'eut pas dire qu'il y aura a/urs perte complète de l'idc:ntirJ :' {}ul'l
avenir dans ce cas pour le système iinmunifaire ? Er pour l'identité spirituelle :'
On utilise dl!jà d.:s protéines venant des animaux transgëniqucs. Par exemple
l'éry thropoïétine. Et cc. grâce à des veaux transgéniques qui .;ynthétis..:nt de
l'érythropoïétint: humaine (Quoudten du Med..'<'tn ~J . I!.93 ot 3.3.~) qu'on inject~· donc che/. les
insuffisants rénaux en dialyse. Est-il légitime de penser qu'une O:rythropoï~tinc
synthétisée mème avec des gènes humains dans un corps animal c~ t ~tructu rellem~·m
identique à l'érythropoïétine humaine dans un corps humain ? Est-ce qu'on pcut lltin.:
passer la molécule d'un champ de forme animal vers un champ de fonnc humain .:t

178
considérer qu'il s'agi t d'une molécule iden tique '1 i\ vcc les mèmes effets biologiques? On
a beaucoup parlé d'organisation spatiale et d'efficacité en fonction de cette organisation
spa tia le . Est-cc q u'on peut garan tir q ue ces protéines é trangères ne sont pas
accom pagnées d'autres protéines ou ne sont pas capables elles-même de provoquer des
chocs protéiques comme les prions ') ICf k s prions c t la maladies de-s Vaches Folles 1 Jirn n• 248 - Concours
Medic al du 15 .4.95111 s'agit b ien ici de veaux - do nc de •oches par ra pport à cc risque) . Pourta nt, cette
érythropoïétine est déjà dans le domaine de la commercialisation banale ou presque.
Peut-on se satisfaire d'une protéine semblah/e, ou faut-il qu'elle soit identique? /\-t-
on le droit d'uti liser des s ubstances animales synthétisées à partir de gènes humains
grdlës chez les animaux en disan t qu'elles sont identiques ? Comme l'érythropoïétine
élaborée chez l'animal à partir des gènes humai ns'! Est-ee scientifiquement recevable.,

Le risque est en fai t qu'il y ait un.: confusion immunitaire profonde. Si le système
immunitaire ne sait plus reconnaître cc qui est semblable ct cc qui est identique, il peut
littéralement devenir "tou"
ou bien abréactif.

- C'est-à-di re entrer dans un syst.:mc d'auto-destruction immédiate. ou bien être dans

un système de tolérance par rapport à tout cc qui est étranger. en acceptant to ut élément
étra nger sans faire de d ifférence. ct en restan t dans le semb lable mais plus da ns
l'identique. Cda impl ique une atteinte profonde de l'identi té.
- S'il y a réaction. cc sera forcément un mécanisme d'apoptoscl ou aut.o-immun. .. A
savoir un mécanisme d'auto-des truction parce que le système immuni taire ne pourra plus
recon naître ce qui est lui ct cc qui n'est pas lui. IL REAGI RA SEULEMENT A DES
FRACTIONS ET NON A UNE TOTA LITÉ. Ce sont les maladies auto-imm unes. le
SIDA, qui a une caractéristique auto-immune très importante.
Il s'agit en tait de substances animales - déjà util isées da ns le quotidien - qui sont à
elles seules capables d'engend rer une problématique immunitai re avec une tendance
auto-immune.
Ol·fi nitions: Semhlah!t:: il pelll y r.tnJir till(.~ p ortio n ..w:mbhthle. (/\'(''(_' 1111 sile de I"I:'<'OWWÎ.'\."iliJ1Ce qui
contient um: St..;queuce semh/ahle. ,.\loix pox Jo torolilt;. Il _,. o d11s voriontes. Un segment stable rectmmlis:-.llhh·
n mmw haut immwwg~;~llt!. qtscitom 1111 r~.~/lexe d 'idemiri Si n• secteur est W!mhlab/e. iln:\· o pas d(• rJacrion .
.\fai..· il v ctiOIIt cie mème Ioule wu: panic· qui o~.·compagne qui n't?st pas identique. La recounais..smu.:(• id n'est
<i" <' f'Cirl ielle.
h.lentique : st:mhlahle en tous poims.

Le problt:me est que la rcc<m naissancc se tài t sur certaines cibles. mm sur la totalité.
Les systèmes protéiques peuvent ètrl' plus ou moins fins. Et les systèmes
immun itaires peuvent être très performams {aYec un r~llcxc d'éjection très rapide), ou
bien assez tolérants. Com,ne ce berger dont le sang n'hémaglutinait pas en présence de
sang de mouton: il avait tellement vécu avec ses moutons, qu'il s'étai t identifié au moins
partiellement ù eux. Le mouton n'était pas un ètre étranger ù lui. Il avait bu du lait, pcut-
étre mangé de la viande ... 17 ans de sa vic avec eux dans les montagnes. dans des
conditions parfois diftïci les .. .
La gravité pour le singe. c'est qu'o n peut c'btcnir ù travers les échanges triangulaires
porc-singe-homme (parœ qu'on a làit passer des gènes du singe chez le porc, ct du porc
chez le singe: on essayé de fai re des ,\:hanges pour voi r ce qui se passait. avant d'essayer

179
œla avec l'homme), ct on a greffé réco.::mmcnt de la moelle de babouin chez un homme,
aux USA. pour essayer de combattre un Sida. Cela veut dire que tout est en place pour
qu' il y ait tics échanges géné tiq ues de virus avec des tolérances immunitaires entre Je
s1ngc. le porc et l'homme. C'est intéressant au ni veau de la symbolique mê me des
animaux. Déjà sur Je plan pratique, il est possible qu'il y ai t des mutations virales.
Comme un croisement de virus entre eux. par exemple un virus simiesque + un virus
gn ppal. le virus résultant du croisement pouvan t alors adopter un mode de transmiSSion
aérienne. pas seuleme nt par voie sanguine. Avec la même variabilité et la même
contagiosité que le virus de la grippe, et le même impact sur Je système immun itaire que
Je "virus du SIDA". Ces conditions l<i som quasimen t réunies actuellêmcnl.
En fa it, on ne sait pas vraiment s i le mode de transmission viral est un mode
e:-.téri.:ur. ou b1en s'il s'agit d'un mode transmis~ion électro-magnétique ct intérieur. c'est-
à-dire un mode de résonance. Ou bien par des pho tons. UV ? Il semblerait que la
transmission "virale" soit possible emre cultures cellulaires à travers du quartz qui laisse
pa..,ser les UV.

Il y a d.!jà dan~ la plupart des virus, en particul ier dans k s h..:rpès. des cho.scs qlll
appar;u-.scm incompréhen~ibles. Ces vin.s ne ~e comportent pl!S comme le feraient des
pyog0ncs1. ou œnains virus qui donnent un..: immunité résiduellé~ D'une pan. quand il y
a h..:auc.:oup d'anticorps. c'est là qu'il y a des manilèswtions cliniques. Et q uanti il y a
abo;cm:..: ou diminution du taux d'amicorps, il y a rémission cli nique ct absence de
tox ici té. On peut corréler l'émission de boutons d'herpè · avec des pics d'anticorps. Quand
il y a tolérane..:. e'..:st ù cc moment là qu' JI y a une sorte d'équilibre. (Idem pour les
ehhm1ydia.:).

1 - .tpopluse . mon ccllulatn: par aclivatton d'un gène spécial de: découpage de l'ADN.
2- pyogcncs : b;tcl.:ri<:s donnant des infections chaudes avec du pus.
Il est étonnant de constater que c.:rtaill$ ~:,rcrmcs. certains virus. ont une partie
s.:mblablc il nous ... Par .:xemple h; vi rus de la MN I (Mono Nucléose Infectieuse) est
semblable au DR4 (typagc HLA : Human Leucocytes Antigènes : groupes tissulaires
gcnétiques). Un individu de groupe DR4 qui réagit de maniéré importante à l'EBV
(Epstein Ba rr Virus. responsa ble de la MN 1. peul déclenche r une polyarthrite
rhumatoïde. ou un diabète insulino-dépcndanr. C'est une dd patholog ies auto-i mmunes
pos-;ibl..:s. S1 I'E13V sc réactive d'une manil:rc régulièr..:. chaque füis il y a une poussee de
la matadi..:.

Il y a don..: des virus en partie semblable à nous. S'its,se manif(!stenl. lé systl:me

llllllHillttairc n'arriH: pas ù r.!agir d'une manière claire.

Qu'..:st-~.:e qu'un
'irus-m1..:ro-organismc '.'
- Une emué intelligente, r~vec la capaci té d'avoir un plan. et de le meure en
pratique'.'
- Ou bien. ce qui est plus probable. n'est-ce qu'un programme ct une vibration.
c'c.;t-à-thre une lllfom1at 1on. Quel est Je rôl..: de cette infom1arion? On ne peut affirmer
qu..- l..:s 'irt1s viennent d1ccti' ement d'une contamination extérieure. JI sc peut tout à fait
qt~<.: ..:e s(lit nous-même qui créions cc virus= émission d'une fraction d'ADN. sortant du
no~ au cellulaire. et traduisant une information desti née à l'ensemble de l'organisme. t:n
ù'fl.tlll nombro.' d.: 'inh fonctionnent comme cda. r.:ss~mblant alor.; :ides "gènes snUJcur.;",
 St cela est vrat, sur le plan pratique. quand on est confronté à des mfecuons 'traies de cc typ.:,
que tratter? Pounjuoi '! A\·ons-nou:; à tratto:r ., Et comment doit-on tratt.:r l'informauun ?
Exemple : on tmU\C un sérodiagnostic (>0\lllf au chlamydtae. On fau peur à une IMIICnte, on lut
cxpltque que c.:'e~t une maladie à transmt~\lon sc~uellc, que par conséquent le man l'<t trompée. ct
qu'die risque une péritonite, une stérilité. de~ abds salpmgiens ct toutes sortes de complicauons.
comme des arthntc~. des maladies auto-immune\ Il faut traiter aux anubtotiques p.:ndant des mot\
(au moms 3). 3\et: une cfficacttê non démontl\.'1! Toute cene "tactique" n'a aucun fondement, parce
qu'on ne comprend pas le rôle du chlamydtJe. l'anubtOllquc ne sert pas à grand chose. ct on tra ttc
au momelll où les anttcorps sont à un tau.x Cle\C.
Idem pour les hcrp<:s virus qu i scmbh:nt a'oir un lien etroit avec l'organisation du 'oi, de nntrc
idcntllê.
bt-ce que la tactique virale ne serail p.b un progrummc extrêmement intclhgent menant en
difTicuhé notre tdcn tité d le-mêm.: ? Le syst<:mc immunitaire étant quelque chose d'extrêmement
complexe. La nwlad ie serait la résultan te de celle tnf'orma tinn vtra lc <tuc notre système
immunitaire: n'arrive pas à résouurc. Problcmattquc : quel e·H le !ens. quel est le mcs,agc dcrri.!rc '!
Dr Jacque lin.: BOUSQUET ( Doct.:ur è~ Sctenec:s. spéctalisée en b10logic c t
immunologie) .
Cc sens est clair ... Il ..;'agirait d'un..: dégénéresce nce de la cellule. ~ur le pla n
vibratOire. Elle ne peut plus contrôler ccrtams élcm..:nts comme lc.'i mitochondncs qu'elle
a phagocytèo; (Cf théont'' cie Bl!dtamp = mn rn=ymo.\ Ga:. ton Vae1 'e"~ -
Somatulesllmtt/111 Pw1eur rét emme11f \~\·coplu\meç, Ces enfilés ,\OIII·cellulaire.\
V/Vlllltes et WIIIIIIOJI/t.'s seraiellf la bme cie la vie. les éléme11ts c:on:.ritutijs de la cellule.
Les mitoc:hnndries. par exemple. serwe11t des ell/ités de ce type phagocl'léev par la
cellule. dans 1111 hut hien défini). Lorsque le taux "•bratoire de la cellule d1mt nue. comme
à un taux correspond une fonne. le controle.: de ces é léments "étra ngers" l'un à l'autre.
mais constituants de.: la cellule, n'est plus po~siblc. A une vibration correspond une fonnc.
C'est de la phy~ ique. S i l'on chang..: la form..:. la vibration c hange. Lorsque. ù un
moment donné - pnr une quelconque do.!tiw:ncc génétique par exemple • la cellule ne
peut plus contrôl..:r les organttcs qui la con~tttucnt. - par chute du taux vtbratoire -, ces
organttcs reprennent leur vic propre. Le ~)'h!mc tmmunitai re est quelque part là-dcdans.
Il ne.: peut pas sc bagarrer contre ~ô pro pre~ constituants. Ce qu i explique son
hés na tton. Il ne 'ait plus quoi fnire . La logique du signal. c'c ·t : "remonte ton tnu x
v•bratotre pour reprendre le contrôle de~ C\cncmcnts 1" Si l'on suppnmatt tous les vi mo;.
nous marcherions sur des monceau." de cada' res. Cc serait ce que l'on appelle le chnos.
en bio logie ct phys1que. On est en tram d..: h: do.!couvrir.

Dr Guy LONDECIIAMP :
Il faudra tl pouvoir corréler une tnformation 'truie a un type ùe travail spiritucl
paniculier. Arriver à se d ire que l'infonn:llwn étant une énergie lumineuse, c lic a a votr
avec l'information du systèm..: nef\ eux. ;i la mise ..:n ordre de l'ensemble du système
biologtquc. à l•l maturation de c..:rt.un' c''fP"· de l..:ur' niveau' d'orgam-.,ttlon. C'est le
problème des malaùtcs inf;wute~ : , • .:.:' mformattons. sur le chem •n de l'enfant.
correspondent en fau a la mtse en ordre d'un prognunme géno.!rant la cohérence d'un
champ de conscience. le fait d'cm~ch.:r CC$ malaùtcs d'évoluer cmpèche l'identité. ct la
cohérence de ~·in,taller dan~ l'inùi' tdu. On nttctnt l'indi1·idu ct son identité dès son
dé,cloppcment On aboutit à tenne à m..:ttre l!n place des races d'adultes dc,orgamsé<;,
n'ayant plus le sen~ de soi ...

Extn! mcmcnt grave. parc..: que c·e~t p.~S~é dans les nom1cs - depuis dé;à un certai n
nombre d'nnnécs - pour des populntwn' cnti<:r..:,, Cc qui n :ut d1rc que les etapes de
maturation de mtlhons de pcr,onne:. 0111 :tc coun-cm:uitées. Cela ne sJgmtic pas que

tRI
c'est irrattrapable. On do it pouvoir y parvenir. mais à condition de rebrancher par Je ha ut,
par les niveaux les plus élevés. Il faut ré-informer par les ni veaux les plus élevés pour
remett re en ordre les choses. progress ive ment. Ce qui peut aller vite, même chez un
individu très atteint.

Exemple : avec de l' homéopathie simple. c'est-à-dire une information qui n'est pas
vraiment pondérable au-delà d'une certaine dil ution, on arrive à faire passer des maladies
infectieuses aiguës. virales ou non, d'u.ne manière très rapide. Sans utiliser d'agents ami-
infectieux ou de vaccin. Comme certaines suppurations qui peuvent disparaître q uasi-
instamanément avec une dose de MEDORRHINUM ou de THUYA. Ce qui prouve bien
que ce n'est pas le germe lui-même qui est important mais le système d'ordre. JI n'est
donc pas nécessaire de combattre un agen t infectieux vi ra l ou bac térien, mais de
comprendre la dynamique perturbée.

Dr Alain SCOHY:
C'est le cas tou t particulièrement pour le S IDA. Cela expl ique bien les guérisons
s pectaculaires s itôt que les patie nts reprennent en main le ur vie, quittent la peur.
modifient leur hygiène générale. alimemairc par exemple.

Dr Guy Londcchamp :
Si donc les virus ou microbes som tks informations. l'utilisation d'un an tibiotique
pour une situation banale est une aberration. R.:stcnt la question de l'urgence évidente ct
de la réanimation où cene utilisation scn1 légitime.

On est dans une situation qui nous amène à une compréhension di!Térente du temtin.
ct entraîne un changement d'attitude. Si on appliq ue cc changement d'attitude, on peut se
retrouver avec une interdiction d'exercice. surtout si lc:s patients vont bien.

O n peut donc considérer qu'une infection viral.: est un vecteur de c hangement

d'ADN. un vecteur Je muwtion de.! l'individu qui peut donner:
- si cela ne marche pas bien un lymphome. un cancer. un phénomène auto-immun.
une mort cellulaire. ·
- si cela marche un changement structur-::1. touchant aussi bien le corps que l'esprit.

11 L ES LVIPACTS PROBABLES DES VACC INS

Modification du terrain.

cr Louis Claud<! VINC E:-.JT t:t la Bio-Eit:ctronique (dossier en fin de document)

cr l'horn~opathic ...
" Pu reté" du produit inocu lé.

L'injection de genn<!~ ou de \'Îrus r.:spon~ablcs de maladies en phase chronique. à la

lu~::ur
de cc qu'tm vit:111 dt: dir<!. nous am.?n.: à r.:voir toute notre interprétation. Comme le
scamlak du sang contamin~. Y-a-t'il t:ft~.:t i \ cment contamination s i le virus n'est qu' un
témoin ., Y-a-t'i l tàutc: ·) Tout .:~t à ro:\·oir. Y compris œ qu\~st réellement un vaccin. ce
que sont les soui llures. ce qu'on met dedans par hasard ou intentionnellem.::nt ?

Il y a des interleukines dans ks \·accins. dont l'intcrkukinc 6 (un médiateu r trés

IR2
important de la réaction inflammatoire) parfois à doses élevées. On y trouve aussi des
facteurs de croissance, y compris des facteurs de croissanc\! de cellules blanches
(GMCSF). C'fGoaring A.J B ct coll: "demunstnmon ofcylol<in<-s on biological m<dlCIIle< produccd in nl"rnmalian o:dl
l.vcs"ILANCET 19~9 • it 101 1·2 .

Il y a bien sûr des proréines étrangères, des bouts d'ADN cancéreux des cellules de
culrure, des virus, soit ceux que l'on veut inoculer, soit des virus parasilt!S venant des
cellules de culture (virus animaux comme par exemple le virus de la rage dans le vaccin
R.O.R.}. CHIATJ\.SAWAR: "eVIdence of l'esuviru• RNA in lluman Virus Vaccin..'S "J.C'Iin. Microbool 1994. 32(6).
1604.
Le virus à ARN de la peste apparu par recombinaison gént!tique dans le même
vaccin ROR (pas par souillure). crl'lmpaucn• hors·s<'ric , "Il / J"'" 1996.
On a une somme d'information colossale, dont on ne sait pas si elle est cl)hércnte (le
plus souven t elle ne l'est pas), et qui peut provoquer des dislocations au niveau
chromosomique, enclencher des programmes que l'on n'est pas du tout en mesure de
contrôler, qui peuvent être discordan tS. ~vec de toutes façons une immunisation contre
les médiateurs de notre système im'munitaire ce qui veut dire maladie auto-immune
(exemple = sclérose en plaques). Comme les interleukines et les facteurs de croissance:
personne ne sai t s'ils sont en quantité suffisante pour déclencher une réaction :
l'information nécessite juste l'empreint\! dans l'eau ...

On peul sc demander si ces souillures sont la rt!sultante des manipulations humaines

lors de la préparation des vaccins, ou si les noyaux cellulaires ont émis des rétrovirus (en
présence de distilbène ou de dioxine). Cela a été observé, un anicle est paru dans
Médecines Nouvelles cournot 95.

Le problème est donc la combinaison d'actions emre substrats protéiques, vi rus,

enzymes ou autres, et entre les virus eux-mêmes. La mon subite des nourri:;sons est un
des aspects du problème. Au Japon. depuis qu'on a repoussé la vaccination au-delà de
deux ans, il n'y a pratiquement plus de mon subite du nourrisson. Il y a les tmvaux russes
de BOCHIAN qui ont montré que même avec l'injection de SUBSTRATS comme la
mélitine, la tuberculine. ou d'autres mac.!rntS de protéines, c'est-à-dire simplement des
parties d'enveloppes des germes. ou bien a panir de germes tués. on pouvait de nouveau
obtenir des germes vivants entiers. cr btuchur< "Sc~ .r•uJOUtlfhui. ~'""de cJ.:m:un· par 1c Dr v,.:s
COtJZIGOU ,-dolo par b uguc pour b Lcbcn~ des V"""n.cuon.<. ('f "l:"lcmcncl<s <ailiers de IIIOriiÉRAPIE n" IX ct n !l!.
La prétendue stérilisation et inoculation de ces "enveloppes" n'est donc pas du tOut
anodine. on ne peut pas sc protéger en disant qu'on n'injecte pas la bactérie ou le vin1s.
puisqu'ils peuvent être reconstruits dans l'organisme à partir d'un fragment. c.:: qui est
conforme avec la théorie hologrammique de l'information. Cela fait 30 ans que c'est
connu et publié.

Changement d'aspect des maladies.

On prétend que la polio a dispanr grâce aux vaccinations, (cc qui en fait est hien loin
d'être évident lorsqu'on ohserve les chifTres ofticicls fournis par l'OMS entre le nombre
de cas de polio ct l'évolution de la couvcnure vaccinale) mais on observe :
-des syndromes paralytiques chinOIS.
-des svndromes de Guillain-Barré.
C~s deux types de syndromes seraient des variantes de la poliomyélite

183
 paralytique. Cf le LANCET du 8 octobre 1994 (Yon Shen cl coll.)
- des scléroses en plaques (SEP),
- toutes sortes de maladies démyélinisantcs comme la Sclérose latérale
amyotrophique aussi fréquente que la SEP,
- ou chez les sidéens une Leuco-Encéphalite Multifocale Progressive (LEMP), à
rattacher à un virus que l'on vient tout juste d'identifier, de la famille du virus SV40 (qui
a contaminé le premier vaccin polio SALK - et dont on utilise les enzymes ct fragments
génétiques pour les manipulations génétiques). Cfi'ANORAMA ou MÉDECIN octobre 1<)<15.

Il semble bien qu'il puisse exister un banal changement d'aspect des maladies contre
lesquelles "on se protège" ! Comme les maladies auto-immunes, qui touchent beaucoup
le système nerveux.

Il y a par ailleurs ABSENCE DE CORRELATION entre le TA UX d'ANTICORPS

obtenu et la PROTECTION IMMUNITAIRE. C'est un leurre comp let, pour les
médec ins. Il ne suftït pas d 'avoi r des anticorps pour être protégé. On confond
ANTICORPS/ PROTECTION HUMORALE ct PROTECTION CELLULAIRE.

On immunise des gens contre l'enveloppe protéique, l'extériorité de l'information.

alors que l'imériorité de l'information, cc qui est signifiant et chargé de sens. rentre dans
l'ADN cellulaire. On sait que l'ADN lui-mème n'est pas immunogène. Alors qu'on
envisage des techniques d'injection d'ADN nu, qui est sensé provoquer une réponse
immunogène active cellulaire ct humorale. Ce sont, à l'heure actuelle, les voies de
recherches. li y a là des contradictions très importantes. Confusi on entre taux anticorps ct
protection (Sida, chlamydiae, BW test diagnostic de syphilis... ).

L'immunologie se révèle encore bien chaotique. Ainsi, le mystère de ces solutions de

chlorure de sodium où l'on découvre des ESCHERICHIA COLl. arrivés là non par
souillure mais par mode informationnel (onde de nature électromagnétiq ue). et qui
restent dans ces solutions à un ccnain niveau de dilution. Lorsqu'on injecte ces solutions
à des cobayes sensibilisés à la tuberculine. cela donne des arrêts cardiaques. crb ''"J'"''""k
jacques Benveniste. "Un cos de<en.<urc J:1ns la >ci<ncc" par Michel Schiff. Il y H un Couplage - sensibi lisation -
informationnel avec du col i à une certaine dilution et cette sensibilisation chez des sujets
dont le système immun itaire doit ètre fragile ct tuberculinisé. Inte ra c ti o n entre
colibacillose et tuberculose.

C'est le cas des sidéens. chez lesquels on voi t réapparaître le toxoplasme ou le BK

(agent de la tuberculose) à la fin, sans qu'il soi t vraiment question de contagiosité
extérieure. Dans ce cas précis. on accepte que les maladies soient des réactivations de
l'intérieur, ct non des suites de contaminations extérieures. On rejoint ici les travaux de
13écharnp ct Naessens qui insistent sur l'état du terrain permettant la manifestation de la
maladie.

A BS E~C E DE CO;"'TROL E.

L'état du système IMMUNITAIRE n'est pas vérifié avant et après vaccination.

Malgré les incitations tkpuis des années à contre-indiquer les vaccinations (à vims
vivants ou BCG) chez les séropositifs par exemple...
On pourrait rajouter le typagc tissulaire qui permettrait presque à coup sûr d'éliminer

184
les suj ets risq uant de développer une sclérose en p laques suite aux vaccinat ions virales
ou par génie génétique.
Les vaccinations n'ont rie n à tài rc de l'efficacité. Elles n'ont rien ~~ voir avec une
méthode scientifique.

Personne ne vient fai re le poi nt des déso rgan isations de la personne après les
vaccinations.

Toute cette tactique vaccinale devient totaleme nt aberrante face aux trava ux de
Bécharnp, Tissot ct Nacsscns. A signaler des artic les d'un professe ur d' uni ve rsité
canadien qui s'appelle SONE!\, qui parle du téléphone cellulaire et du monde microbien
en tant qu'en tité et en tant qu'unité. ct qui dit la même chose, à savoir que les virus sont
présents dans les bactéries à l'état de prophages et ne sont que des informations libérées
par les bactéries quant elles font le téléphone cell ulaire. Là aussi. c'est un responsable d'un
secteur de biologie à l'université de Montréal, ct il dit ouvcrtcmem : "Si on dérèg le le
monde bactérien par notre intervention. cela peut alh:r jusqu'à compromettre la vic sur
terre". (J S. SO,VEA .:t Al PAiWSSET · "lntrochlctitm û Jo mmn.:lle !JttCh;riolo~ic" 1 Pn•..'."t'.'i d~.· I'L'ttin•J.,.ift: tlt! ,\/ontréal 1
;Honrn~al 19XIJ.

,1} LES CRISTAUX LIQUIDES.

CfJIM n"J./7 tlu Zômri/J9Y5.

li faut savoir que les tec hniques de l'an 2000 s'orientent vers l'injection d'ADN nu ...
C'est-à-dire les séquences d'ADN répétitives, en bouc les, qui s ont les s upports
d'informations sur lesquels on va greffer, en couronne. soit des s.!quc::nces d'ADN viral,
soit des gènes codants pour des protéines virales ou bactéri ennes. C'est-à-dire essayer
d'injecter de multiples infonnations sur un suppon ADN lui-mème infom1mif. L'ADN de
base peut ètrc un ADN synthétique.

li faut savoir que 90 % de notre ADN apparemment ne sert "à rien" (= pas pour la
synthèse protéique). Il y a des séquences itérati ves dont on ignore l'utilité. S'agit-il de
gènes pour le futur. favori sant l'évolution "! Cc sont sans doute des potentia li tés
d'évolution. Potentiel énorme. D'énormes parties de nos noyaux cellulaires n'ont pas une
fonction claire reliée à la forme, à la structure. L~urs fon..:tions sont sans doute reliées à
l'organisation, à l'interaction et à l'évol ution. On ne sait pas quoi cn faire. car on ne peut
pas les approc her par la méthode de dissec tion ou so us l'angk de la m é thode
ex périmentale.

Ces techniques d'injection d'/\DN nu ont dcjù commencé. soit en 1:". 1. soit en J ET sur
des billes d'or (pis tolet so us pression) ... On obscrvc une réponse aussi bicn de
l'immun ité cel lulaire. les L.A.K. (ccllu lcs tucuscs = lu mphocytcs m:ti\éS 1 lignées
toxiq ues util isées pour la lutte contre k cancer o u les in fectio ns v iraks). que des
immunoglobulines (anticorps). La répons..: cst donc à la fois humorale ct cellulai re, ce
qui apparaît très encourageant mais pose bcam:oup de questions. (Cf J!M 11°347 du 26
avril 1995).

L'intégration de cc patrimoine génétique à nos cellule,; sc fait tri:s rapidemen t. ct on

ne peul plus contrôler ensuite les ~y n th<:scs protéiques qui sc font. pui,;qu'ellcs sont
intégrées à notre parrimoinc. Il s'agit de substances .Strangi:rcs Plllt\ant é\ cn!llcllemcnt

185
avoir une interaction entre elles. On envisage en effet de fhire des vaccins hexa ou hepta-
valents.

Le problème est de savoir si celle technique va mettre en jeu la totalité de

l'organisme ct sa descendance, ou bien rester s implement limitée à certaines cellules de
l'organisme (en mosal'que). Et dans quelle mesure, même dans cette dernière hypothèse
favorable, n'y aura-l'il pas de modifications immunitaires par rapport aux ADN inoculés,
ou par rapport aux protéines antigéniques fabriquées par nos propres cellules, soit
précocement, soit à la longue, ct éventuellement transmissibles aux descendants ?

Il s'agit d'une information ADN, intégrée à notre patrimoine, avec les gènes ou
l'ADN complet, sans la protéine d'enveloppe. Celle information est donnée en
INTRAMUSCULAIRE, et ne toucherait donc pas toutes les cellules à la fois? Est-cc
que l'organisme est capable d'isoler?

Sommes-nous véritablement capables de vérifier ct maîtriser com plètemen t ces

informations sur ces boucles d'ADN ? C'est-à-dire de faire des ADN de synthèse et d'en
connaître la programmation possible.

N'est-cc pas l'ins tallation d'une antenne à l'intérieur de notre organi s me.
programmable de l'extérieur, malléable'!

Il faut savoir qu'il existe des recherches sur ce qu'on appelle les cristaux liquides.
L'ADN est un cristal liquide. modulable dans sa structure. Il fonctionne comme un
ordinateur. On se demande si les techniques actuellement développées en médecine
vétérinaire pour l'identification animale (injection sous-cutanée de TRANSPONDEURS
= micro-ordinateurs identiques à des cristaux liquides) ne seraient pas appliquées aux
humains ! Ces transpondeurs. à partir d'une influence extérieure électromagnétique,
permettraient d'agir à l'échelle cellulaire - c'est-à-dire inconsciente -, avec soit des
émetteurs. soit des antennes télé. soit d..:s satellites. C'est-à-dire des techniques d'actions
de masse sur les gens. avec une antenne cellulaire qui court-circuite la conscience
individuelle. Il y a des j ournalistes qui se posent très sérieusement la qu estion.
notamment au Québec Cl aux USA. C!'t.lti<Si•r "Vou malions. méd·~·in~ ··xpùin,.·nJal• ., o·risftllu r.qwJ.-..- ,,.,.
S•·~· .\lontul.ft>urmJiisJe. CP 177, ,\{A(j()(j • Q11o.'h«. JIXJW8. Canada,

Cette histoire d'antenne à l'échelle cellulaire est à envisager un peu comme un micro-
ordinateur ou une antenne télé. qui capte une information et la retransmet en images.
Sauf que là, il s'agit d'informations X.

C'est peut-être de la science fiction. A moins que la science fiction ne soit déjà tr~s
en dessous de la réalité.

Il existe en effet une multinationale, <J' s.-r~:~ .lfO\AST (opus wa la TEXAS

INSTRUMENTS, qui met au point les transpondeurs injectés chez les animaux qui
servent actue llement r1 l'identification animale sur la planète entière. Des millions o::t des
millions de transpond..:urs sont déjà en place. On peut y coder toutes les caractéristiques
génétiques de l'animal. ainsi que d'autres informations dont on pourra it avoir besoin.
comme ses vaccinations. les aliments ingérés. cet...

Les journalistes québécois ont mis en parallèle l'utilisation des transpondeurs ct ces

186
recherches ct travaux sur les cristaux liquides ...

D'autant plus qu'on a poussé tout le monde à sc fai re \ act:incr comre la méningite,
alors qu'il ne s'agissait pas d'un problème de première importance. et qu'on a usé là-bas
d'un protocole spécial. On a demandé à toutes les équipes pratiquan t les vaccinations de
rempli r un questionnaire très précis où l'on retrouve un e liste d'une vingtai ne de
complications possibles. Ce vaccin est pourtant présenté comme anondin chez nous.
Mais chez eux, il y aurait des tas de compl ications possibles, d'où les cases du
questionnaire à remplir et en particulier en ce qui concerne:
- les chocs, collapus ... Il était prévu à prox1mité tout le nécessaire pour une
éventuelle réanimation (seringues prêtes) .. .
- et les ma ladies démyélinisantes.

S'il s'agit d'une vaccination si anodine, pourquoi a- t'on demandé à c..:s centres. d'avoir
des conditi ons si rigour e uses. e t ces mesure:- de s.!cur ité ct d'observation
exceptionnelles?
Il faut signaler par ailleu rs qu'on a vacci né de force contre l' HÉPAT ITE B des
populations entières a u Nord Canada. sans explication. sans même l'autorisa tion des
parents. Il y a eu un certain nombre de morts parmi k s enfants. mais on n'a fourni aucune
explication. Viols délibérés de la liberté individuelle. atteintes corporelles avec des
décès, mais aucun justifit:atif des besoins. ni t:xplieations. cr IJ.'dnme• .\ ourdi.-." ·n. Nm,·
tro~tre 1995 (J 79180. '"VcKf. lllUJIUitt 1/VB n US/ v·

Pourquoi insiste-t-on tant sur cette vaccination qui ne parait pas ètrc un problème de
santé publique a côté de celui du cancer, de la malnutrilion .. . '!
Surtout quand on sait que 90% des malades de l'llépatite B guérissent spo ntanément
en quelques semaines, que les complications touchant les 10% restants se feront sentir
sur 10 à 30 ans (hépatite chronique et cancer du foie) sans qu'on puis.-;e éliminer d'autres
facteu rs dans la responsabilité de la maladie.
Et qu'enfin les Africains disposent d'une plante ( le Desmodium ascendens) qui
soigne très rapidement toutes les hépatites aigücs. \'i rales ou toxiques. sans aucune
toxicité!!! ... (plante disponible en France par ailleurs).

De tout cela résulte la dernière question : 'est-on pas en train d'injecter aux gens -
avec le vaccin Hépatite B - non seulement les protéines de la capsule du vi rus, mais aussi
d'autres informations. probablement des cristaux liquides (boucles d'ADN de synthèse).
permertant de programmer toutes les personnes dt: l'extérit:ur à un moment donné, pas
forcément tout de suite? Mais le dispositif serait en place.

Jacqueline BOUSQUET intervient ici pour nou.; r:tppder que le mécan1sme de la

mitose cellulaire humaine fonctionne grâce au centnolc cellulaire qu1 est analogue aux
crislaux liquides.

EN DÉFINITIVE. LE PROBLÈME EST DE $ \VOIR SI LES AVANCEES

TECHNOLOGIQUES SONT SUFFISANTES POUR A \ .OI R U~F CONNAISSANCI· PRÉCISE
DU MODÈLE ADN A INJECTER. AFIN DE CO'l fROLER LES CONSCII' CES ., r r IL t:S r
BIEN DIFFICILE DE SAVOIR EXACTEME T CE Ql.'IL Y.\ D \N CES VACCIN ' ...

1~ 7
CO NCLUSIONS ET PROPOSITIONS !

Il est improbable qu'on soit capable de mettre au point des mécanismes de

programmations génétiques qui altèrent profondément la directive de la conscience
si ce lle-ci est bien installée. Les informations de ce ge nre sont d'un bas ni veau
vibratoire. On en revient toujours à la hiérarchie vibratoire ! Donc un être don t la
conscience est pleinement développée et ancrée dans son identité doit être capable
de reprogrammer lui-même les cristaux en question. Même s'il reçoit des
infonnations venant de "l'extérieur" qui le perturbent. il est en droit d'y obéir ou de
s'y soustraire. Et de reste r dans la dynamique de sa conscience.

Il fau t cependant cons tater que nous baignons 24 h sur 24 dans un "bouillon"
d'informations électromagnétiques très diverses allant des postes de t~lévision ct
appareils électroménagers, aux radars, satellites, ondes mdio et téléphone... et que
nos cellules doivent continuellement faire le tri dans cc "bntit de fond" pour· ne pas
ètre déréglées!
Si nous ajou tons à cc "bruit de fond" les stress de la vie de tous les jo urs. les
peurs diverses d' insécuri té matérielle (travail, maison. nourriture). les toxicités
chimiques (de l'air et de l'cau, des aliments. des médicaments) l'adaptmion à la ,·i..:
sociale dans nos pays devient difficil..: ...
Sur une situation aussi instable. la peur est facile à manipuler. autant que
l'information par voie médiatique: peur de la maladie ct du SIDA. peur des sectes ct
de tout cc qui peut ressembler ù un disco urs philosophique ()LI spirituel. C'est ainsi
qu'on peut rapproc he r homéopath ie. médecine de terrain ct manipulations
psychiques. "sectes diaboliques" ... en mettant de côté délib~rémcnt toutes les
découvertes scientifiques "pointues" appliquées à l'infonnation (en biologie ct en
physique), et à l'homme considéré dans sa totalité physique, psychique ct spirituelle.
Certes ces abus existent, ces manipulations de conscience sont des faits non
contestables. mais e lles sont probablement de doux amuse ments en regard de cc qui
peut être fa it techniquement à g rande éche lle.

Face à cette désorganisation galopante que nous voyons œu' rer tous les jours
chez les malades porteurs de troubles profonds de l'immunité (de l'identité donc). il
est possible de proposer un certain nombre de mesures pour réinstaller l'ordre ct la
cohésion intérieure par soi-même, et dans sa vic :
- restaurer une hygiène de vie corporelle saine en entretenant r~gulièrcmcnt sa
respiration (activités physiques et sportives. jardin) ct ses muscles ... pour être un
peu plus dans son corps, relâché...
Le corps est comme les racines de l'arbre de la conscience. c'e!>t llll qui stabili~..:.
ancre à la Terre, et donne la confiance ct le bien être.
- rectifier sa nourriture et ses boissons pour diminuer les excitants (thé. c::tti:.
alcool) c t les produits animaux, augmenter les produits crus ct l..:s huiks de Ière
pression à froid. les poissons gras. Essayer de choisi r des produits d'orig ine
biologique .. . (cc n'est pas toujours aussi cher qu'on le dit).
- garder une activi té ludique (jeu) ct créative en mèmc temps pour laisser le:;
émotions refoulées ou bloquées se transfunncr en force d'épanouisseml..'nt : chant
choral. peinture de mandalas. tissage, danse, poterie ou jeux d'échecs. de scrabble ...
Ils pcnnettent à la fois l'échange, l'écoute ct le recent rage. la r~organisation
intérieure : et aussi d'exprimer le beau, le vrai et le bon qui sont en nous.
prendre le temps du silence périodiquement. pour faire le point ,ur sa ' i.:.

188
consigner par écrit (pour soi-même) le rêve ou l'idéal de sa vie : les valeurs les plus
élevées. l'axe de son cxistenc. ce qu'on a besoin de vivre avant de mourir pour passer
"le portail de l'au-delà" la tête haute ...
prendre le temps de lire (plutôt que d'appuyer sur le bouton de la télévision par
lass itude le soir, pour oublier) e t d'ouvrir sa conscience à d'autres dimens ions,
d'autres expériences ... sans la peur de sc perdre !
- regarder autour de soi. dans son habitat pour le rendre plus beau, plus soigné :
notre lieu de vic est comme une deuxième peau, il nous renseigne sur notre état
intérieur ct nom. fournit le trcn·ail pratique de réharmonisation iméricur/cxtérieur...
Par exemple ranger sa cave ou ses placards, dt:sencombrcr un garage, refaire une
chambre à son g{)Îll, ramener la lumière dans un coin sombre, soigner les plantes et
les arbres ... etc.
sc relier aux autres, pOLLr t!ffi-ir de soi, de sa disponibilité, de ses compétences,
de sa tendresse ... Le monde change grâce au DON, à la g ratuité, il s'épuise dans
l'opportunisme ct le marchandage ...

C on ce rn a n t les va ccination s, on peut en faire la neutralisation ou la

d0roxication par homéopathie. m~mc si c'est parfois diffici le. ou longtemps après :
çn n'est pas toujours suflisnnt mais beaucoup d'asthmes ct de maladies auto-immunes
sont déjà tr.:s améliorés par ces pratiques ! Et pour dépister, avant vaccination, on
peut s'aider d'une étude du sy~t.:mc immunitaire (bilan lymphocytaire) ct du système
HLA (groupes tissulaires sp~cifiques, héréditaires), ainsi que des antécédents
personnels et fami liaux ... Et sc décider cas par cas, après "pesée" soigneuse du
risque et des avantages éventuels du geste !
Restent la rigueur ct l'ouverture que chacun de nous peut garder au long des
ann~es. c'est-à-dire la volont~ à garder sa direction. son but dès qu'on en a une vue
un peu plus claire ...
li faudrait déjà pouvoir obtenir l'arrêt de la campagne "obligatoire" de
vaccination anti hépatite B ct la possibilité d'un libre choix pour chacun de sc faire
vacciner ou pas. selon ses croyances et son choix de vie. Ce serait déjà un grand pas
vers une réelle démocratie .. .
Pour cela, il faut mellre à la disposition du public des informations plus
complètes ct objectives permettant à chacun de sc détenniner plus librement.. . ct
toucher par des dossiers fournis les éducateurs. professions de santé, associations à
but non lucratif c t journalistes "libres" pour qu'il y ait une meilleure vision du monde
tel qu'on le "construit" actuellement !
Il faudrait aussi fournir des so lutions s imples, car c'est chacun de nous qui
oriente cc momie à chaque instant. par ses actes ct ses pensées !

Rien ne saurai t dévier profondément un .3trc conscient de sa route, si cene

conscience de soi ct de son but ~ur cette Terre est bien ancrée dans le corps.

1R9
 BIBLIOGRAPHIE

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2) Quotidien du Médecin, 23 décembre 1993 et 3 mars 1994.
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Québec.

190
ARTICLE PROVENANT DES CAHIERS DE l'EXPRESS
L'EXPRESS, 11 OCTOBRE 1990 N° 34
~

ETABLDRDESGABD~POUS?
Un rapport publié, en 1983, aux
Etats-Unis, par l'Office of Technology
Assessment révélait que 18 grosses
entreprises américaines avaient déjà
pratiqué des tests génétiques pour sélec-
tionner leurs employés, dans le cadre
d'une • prévention des !Th11adies du tra-
vail "·et que 59 autres s'apprêtaient à le
faire ! Susceptibilités aux maladies, fra-
gilités mentales, réactions aux produits
chimiques toxiques, espérance de vie : il
sera bientôt possible de dépister tout et
n'importe quoi. Comment ces informa-
tions cruciales seront-elles utilisées ?
Quel impact auront les greffes de gènes
sur la société, lorsqu'etles seront prati-
quées à grande échelle ? Qui pourra
empêcher qu'elles ne touchent, un jour,
les embryons l Doit-on laisser faire les
scientifiques ou établir partout des
garde-fous ?
• C'est à la société de décider, estime
le Pr Daniel Cohen, du Centre d'étude
du polymorphisme humain. Et, pour
cela, il faut qu'elle soit informée. Ce qui
est loin d'être le cas : la biologie mo.lé-
culaire, pat exemple, n'est pratiquement
pas enseignée dans les lycées. • tes
repères sont rares pour faire la part des
choses. • Tout ce qui limite le droit et la
liberté des individus me parait suspect,
explique Catherine labrosse, juriste et
membre du Comité national d'éthique.
Si les tesrs et les greffes génétiques sont
bénéfiques aux intérêts de celui qui les
subit, alors, d'accord. Mais seulement
danscecas. •
Protéger l'individu, contre la société
tout entière s'il le faut. Tel était bien
l'esprit de la Déclaration des droits de
l'homme. C'est peut-êtte encore une
urgence, aujourd'hui. En témoigne l'ini-
tiative du Pr Jean Dausset, prix Nobel de
médecine, qui propose d'ajouter au
célèbre texte un article qui proclamerait
les droits de l'homme face aux manipu-
lations génétiques... •
191
 santé
Armes
Bactériologiques
Aujourd'hui qu'en est-il ? Le SIDA a-t-il été
créé en laboratoire ?
Mycoplasme,
l'agent pathogène
lié aux maladies
du systéme neurologique
Par Dooald W. Scott. MA. MSc, Pté$<1ent de "The Common Cause Medical Researdl Foutldation, 190 Mountaill
Slre$1, Suite 405, Sudbury. Ontario, Canada P384G2,tellfax: +1 {705) 670 0180.

es agents pathogènes
appelés «mycoplasmes»
sont le produit de
laboratoires de recherche
dans le domaine de la guerre
bactériologique et biologique.
Plusieurs souches de mycoplasmes
ont été •'développées" dans
l'optique de les rendre plus
dangereuses.
Elles sont aujourd'hui accusées
d'être à l'origine du SIDA, du
cancer, du syndrome de fatigue
chronique, de la sclérose en
plaques, de la maladie de
Kroesfeld-Jacob et d'autres
maladies du système nerveux.
1 - Le mycoplasme
Un banal agent pathogène
transformé en arme biologique
--------------------------------------------NEXUSN°17
1 -Le Mycoplasme:
un banat agent
pathogène transformé
en arme biologique
Il existe 200 espèces différentes de
mycoplasmes. La plupart sont
inoffensives ; seules quatre ou cinq
d'entre elles sont pathogènes. Le
Mycoplasme Fermentans (variété
inconnue) provient probablement
de la bactérie de la brucellose. Cet
agent n'est ni une bactérie, ni un
virus ; c'est une forme mutante de
la bactérie de la brucellose,
combinée avec le virus visna du
mouton.
L'agent pathogène qu'est le
mycoplasme était auparavant
anodin, mais Jes recherches dans
le domaine de la guern
bactériologique conduites depuis

192 193
1942 oot abouti à la création de
formes plus infectieuses · et
mortelles. Les chercheurs ont
extrait ce mycoplasme de la
bactérie de la brucellose et ont en
fait réduit la maladie sous une
fonne cristalline. Ils l'ont "armé"
et l'ont testé sur le public candide
d'Amérique du Nord.
Le d octeur Maurice Hill eman,
v irologiste en chef pour les
laboratoires pharmaceutiques
Merck Sharp & Dohme, a affinné
que cet agent pathogène est
maintenant présent chez tout le
monde en Amérique du Nord et
vraisemblablement dans la majeure
partie de Ja population mondiale.
À l'inverse de ce qui est mpporté.
la fréquence de toutes les maladies
neuro-dégénérescentes s ·est accrue
depuis la seconde guerre mondiale
et spécialement depuis les années
soixante-dix avec l'apparition de
maladies inconnues jusqu'alors
comme le sy ndrome de fat igue
chronique et le SIDA.
Le docteur S hyh-Ching Lo es.t
diplômé de grade supérieur à
1' 1nstitut de pathologie des forces
armées et est un chercheur de
pointe dans le domain e des
mycoplasmes en Améri<lUC. Selon
lui, cet agent pathogène provoque
de nombreuses malad ies dont k
S IDA, le cancer, le syndrome d~
fatigue chronique. la maladie dt:
Crohn, le diabète de type 1. la
sclérose en plaques. la maladie d~
Parkinson, la maladie de Wegent.-r.
ct les maladies vasculaires liées au
co llagène comme l"arthritt'
194
rhumatoïde et la maladie
d'Alzheimer.
Le do c teur Charl es Engel, qui
travaille pour les National
Institu tes of Health américains
(Instituts nationaux de la santé) à
Bcthesda dans le Maryland, lors
d'un de leurs congrès le 7 février
2000, a affirmé :
"Je suis en possession de tous les
documents qui prouvent que le
mycoplasme est 1'agent pathogène
du syndrome de fatigue chronique,
de la fi bromalgie ainsi que du
SIDA. de la sclérose en plaques, et
de nombreuses autres affections.
Parmi ceux-ci. 80 % sont des
pièces émanant des gouvernements
américains et canadiens, 20 %
issues d 'articles de revues
spécialisées telles que le "Journal
of the American Medical
Association", le '' New England
Journal of Medec ine" ou le
"Canadian Medical Association
Journal ". Les articles de presse et
les documents gouvernementaux se
complètent les uns les autres".
2- La création du
mycoplasme
Un agent pathogène
fabriqué en laboratoire
Beaucoup de médeçios ne
connaissent pas l'agent
mycoplasme parce qu'il fut créé
de toutes pièces par l'armée
américaine lors d'expériences
dans le domaine de l'armement
biologique. restant ainsi cacbé au
public. Il fut mis au point pour
l'armée par le docteur Shyh-Ching
Lo. Je possède une copie du brevet
provenant du bureau américain des
brevets (US patents Office) •
1
Tous les pays impliqués dans la
seconde guerre mondiale menaient
des expérimentations sur des armes
biologiques. En 1942 . les
gouvernements des USA, du
Canada et de la Grande-Bretagne,
signèrent un accord secret pour
produire deux armes biologiques
(une arme mortelle, et une autre
metta nt hors d'état de nu ire)
destinées à être utilisées contre les
allemands et les Japonais, qui eux
aussi mettaient au point leurs armes
biologiques. Alors qu'ils
travaillaient s ur divers agents
pathogènes, ils focalisèrent leur
attention sur la bactérie de la
brucellose et commencèrent à la
rendre dangereuse.
Depuis le début, le programme de
guerre biologique était classifié top
secret et caractérisé par un examen
approfondi assuré par la
participation des plus éminents
scientifiques, de consultants
médicaux, d'experts de l'industrie
et de membres officiels du
gouvernement
Les services américains de Ja santé
publique suivaient également de
près les progrès de cette recherche
depuis son tout début ; les centres
de dépistages américains (Centers
for Disease Control - CDC) et les
instituts de santé publique
(National Institutes of Health -
NJH) travaillaient de concert avec
les m il itaires pour ''armer" ces
agents. Ces agents existaient depuis
des milliers d'années, mais ils ont
été améliorés pour devenir plus
contagieux et plus efficaces. Et
aujourd ' hui, ils progressent et
s'étendent. •
Le programme Speci al Virus
Cancer mis en œuvre par la CIA et
le NIH pour créer des agents
pathogènes pour lesquels
1'human î té ne possède pas de
défenses im munitaire~ (SIDA), fut
dégui sé e n une lutt e contre le
cancer, mais faisait en fait partie du
MKNAOMil.
BRUCELLOSE
"CRISTALLINE"
La prem ière page d·une étude
authentique du Sénat, déclassifiée
le 24 février 1977, montre que
George Merck, des laborâtoires
pharmaceutiques Merck Sharp &
Dohme (qui commercialisent
aujourd' hui les moyens de soigner
les maladies qu'ils ont auparavant
créées), stipulait dans un rapport
adressé au Ministre américain de la
guerre que ses chercheurs avaient
"pour la première fois,. réussi à
"isoler l'agent pathogène sous une
forme cristalline".3
Ils avaient extrait une toxine
bactériologique de la bactérie de la
brucellose. La toxine pouvait être
transformée sous une forme
cristalline et être stockée,
transportée et relâchée sans
· détérioration. Elle pouvait être
véhiculée par di vers vecteurs
comme des insectes, des aérosols
195
ou des maillons d e la chaîne Dans la mesure où l' a gent se d'incapaci té physique dans les Journal of Medecine" révèle que
alimentaire (dans la nature c'est la solutionne dans le sang, les deux ans qui suivent la fin de leur l'une des premières éruptions du
bactérie qui assurait cette fonction). examens sanguins ordinaires ou de service a ctif, pourraient faire syndrome de fatigue chronique eut
10
Mais le facteur actif œuvrant dans tissus ne peuvent mettre en prévaloir leur droit à une pension lieu à Punta G o rda en 1957. Et
la brucellose était le mycoplasme. évidence sa présence. Le myco- d'invalidité. Celle-ci est payable par une étrange coïncidence, il y
La brucellose est un agent plasme cristallise seulement au- aux vétérans admissibles dont les avait un très important afflux de
pathogène qui ne tue pas ; il met dessus d'un PH de 8, 1 alors que Je incapacités sont dûes à leurs états mo ustiques la semaine précédant ..
les malades hors d 'état de nuire. sang a un PH de 7,4. Le médecin de service." En d ' autres mots : "Si l'apparition de la maladie.
Mais selon le docteur Donald Mc · vous dira alors au sujet des maux vous tombez malade de la sclérose L'Institut National de Santé affirma
Arthur du Pentagone, lors d'une dont vous vous plaigniez : " C 'est en plaques, c ' es t parce que vous que l'arrivée des moustiques était
allocution devant une commission dans votre tête." manipuliez cette brucellose, ct nous dûe à un feu de forêt à 50 kms de
4
du Cong rès am éricain en J969 , vous donnerons une pension. Ne là. La vérité, c'est l' infection de
" les chercheurs ont découvert que LA BRUCELLOSE vous avisez pas de faire de ces moustiques au Canada par les
s'ils disposaient d'un mycoplasme "CRISTALLINE" ET LA l'agitation à ce sujet." Dans ces soins du docteur Guilford B. Reed
'
d'une certaine puissance, en fait de SCLEROSE EN PLAQUES doc uments, le gouver nement à la Queen 's University. On les fit
10
JO à la puissance 10 (10 ) , il se En 1998 à Rochester dans l'Etat de américain révélait la cause réelle de se multiplier à Belleville, en
transformerait e n SIDA dont le New York, j'ai rencontré un ancien 1a sclérose en plaques, mais il ne le Ontario , puis transportés à Punta
malade mourrait dans un intervalle militaire nommé PFX Donald fit pas publiquement, ni auprès de Gorda pour y être lâchés.
de temps raisonnable car ses Bentley, qui, en me remettant un votre docteur. En moins d'une semaine, Les cas
défe nses immunitaires seraient document, m'a dit : " J'ai été Dans un rapport de 1949, le s premiers cas de fatigue chroniques
court-circuitées. Si la puissance entraîné à la guerre biologique. docteurs Kyger et Haden furent observés par la Clinique
était de 10''. le malade manifesterait Nous possédions une bombe suggéraient " la possibilité que la locale. La maladie progressa
un syndrome de fatigue chronique chargée de la brucellose ; scl érose en plaques soit la jusqu'à un total de 450 personnes
ou une fibrom a lgie . À 10\ la seulement c'était de la brucellose manifes tation de la brucello se qui la contractèrent.
personne s'affaiblirait ; elle ne sans en ètre ; Il s'agissait d'une chronique a u niveau cérébral."
mourrait pas et pourrait continuer toxine de la brucellose sous sa Ayant testé 113 malades, ils TESTS SUR LES
de vivre , mais elle ne serait plus forme cristalline. Nous l'épandions découvrirent que 9 5 % étaient MOUSTIQUES EN ONTARIO
stimulée par la vie ; .elle dépërirait. sur la Chine et la Corée du Nord." porteurs de la bruccllose. 5 Nous Le gouvernement canadien a vait
La majeure partie d'entre nous n'a Il me montra s on certificat de disposons d ' un article de journal de établi un laboratoire (le " Dominion
jamais entendu parler de la service décrivant sa formation aux J'époque qui concluait qu'un cas Parasite laboratory") à Belleville,
brucellose parce qu'e lle a disparu conflits chimiques, biologiques et . sur 500 développerait une neuro- dans l'Etat de 1' Ontario, où étaient
depuis que 1' on pasteurise radiologiques et un document de 16 brucellose, en d 'autres termes la élevés 100 millions <te moustiques
large m e nt le lait q u i en est .le pages que lui donnèrent les brucellose dans le cerveau, dans les par mois . 1ls étaient en s uite
porteur. Une salière qui services de 1'armée am éricaine ventricules latéraux, pré<:isément là conduits à la Qucen·s University, ct
contiendrait l'agent pur de la lor.;qu' il fut libéré de ses fonctions. où se localise la s clérose en en d'autres installation s, pour y
brucellose sous sa forme cristalline fi établissait le lien e ntre la plaques.' êtres infectés par l'agent pathogène
pourrait à elle seule contaminer brucellose et la sclérose en plaques, TESTS SUR LES sous sa form e cr is tai! i ne . Le s
toute la population du Canada. et une partie précisait : " Les MOUSTIQUES EN TANT QUE moustiques étaient a lors relâchés
Celui-ci est radicalement mortel, vétérans de l'armée atteints de VECTEUR au sein de certaines communautés
non en le tuant le corps directement sclérose en plaques, une sorte À PUNTA GORDA EN en pleine nuit , pour que les
mais en le mettant hors d'état de paralysie rampante se développant FLORIDE chercheurs puissent mesurer le taux
fonctionnement. à un stade de l 0 %, ou plus Un article du "New Engl a nd de contamination de la population à

196 197
partir du nombre de cas de
syndromes de fatigue chronique et
de fibromalgies, q ui étaient les
de ux premières affections à se
déclarer.
Une des communautés qu'ils
testèrent fut celle de la vallée de St
Lawrence Scaway Va lley, e ntre
Kingston et Cornwall , e n 1984.
Des ce ntaine s de millions de
moustiques y .furent lâchés. Plus de
700 personnes développèrent des
myalgies encéphalomyelitiques ou
des syndromes de fatigue
chronique.
3 - Tests clandestins
avec d'autres maladies
TESTS D,AGENT
CANC[RJGENES À
WINNIPEG DANS LE
MANITOBA- CANADA
En 1953, le gouve rnement
américain demanda au Canada de
tester les effets d'un produit
chimique sur la ville de Winnipeg,
possédant 500 000 habitants et
isolée du mo nde. Les militaires
américains répandirent ce produit
cancérigène sous un e forme
atténu ée un millier de fo is, si
diluée. d'après eux, que personne
ne tomberait très malade ~. mais les
gens consulteraient en hôpital pour
un simple rhume ou de petites
lésions, ce qui leur permettrait de
déterminer le pourcentage de la
population qui aurait développé un
cancer si le produit avait été dosé
normalement.
198
Nous possédons la preuve que les
Américains ont effectivement
effectué ce test sur Winnipeg en
1953 en épandant du sulfure de
zinc-cadmium. Nous avons écrit au
gouvernement canadien pour 1'en
informer et lui demander d'où,
dans les sphères de 1' Etat, était
partie 1'autorisation pour ce test.
Nous n ~avons reçu aucune réponse.
Peu après, le 14 mai 1997, le
Pentagone donna une conférence
de presse au cours de laquelle il
reconnut la réalité de ce test.
Robert Russo, correspondant à
Washington pour le Toronto Star11 •
rapporta que le Pentagone
admettait qu'il avait reçu du
gouvernement canadien en 1953
l'autorisation de survoler Winnipeg
afin de répandre un produit
chimique, - qui retomba sur les
enfants qui allaient à l'école, les
femmes qui étendaient leur linge et
les gens se rendant au travail. les
avions et les camions de l'armée
américaine répandirent ce produit
36 fois de juillet à août 1953. Les
stati s tiques recuei IIi es par le
Pentagone indiquèrent qu 'environ
un tiers de la population a urait
développé un cancer dans les cinq
années suivantes si le produit avait
été employé à son plein potentiel.
Le rapport d'une commission du
Congrès américain, présidée par le
docteur Rogene Henderson, établit
une liste de 32 villes américaines
qui furent également utilisées pour
des expérimentations de ce type.
4 -Mycoplasme de la
Brucellose et SIDA
Le SIDA fut créé ·à partir d'une
bactérie de brucellose combinée au ·
virus visna dont on extrait l'ADN
pour en tirer la particule appelée
mycoplasme. La mê me souche de
mycoplasme fut employé pour le
développement des maladies de
dépérissement comme la sclérose
en plaques, la colite de Crohn, ·la
maladie de lyme, etc.
Dans le document du Congrès
mentionné ci-dessus, issu d ' une
réunion du 9 juin 1969, 1! le
Pentagone livra un rapport au sujet
de l'armement biologique. Il y
statuait : "Nous continuons de
produire des armes biologiques.''
Le docteur MacArthur qui était
responsable de cette recherche
déclarait : " Nous produisons une
nouvelle arme mortelle, un agent
biologique de synthèse qui n'existe
pas à l'état naturel, et contre lequel
aucune immunité ne peut avoir été
acquise."
Pensez-y. En fait, si vous avez une
déficience de 1' immunité acquise,
vous avez une immunité défic iente
acquise. C'est aussi simple que
cela. C'est le SIDA.
Dans ses laboratoires implantés
partout aux USA ct dans certains
au Canada comme celui de
l'université d'Alberta. le
gouvernement américain tit aboutir
la création du SIDA dans un
dessein de contrôle démoe:ra-
- été inoculé dans les laboratoires
phique. Après que les scientifiques
1'eurent perfectionné, de 1969 à
1971, le gouvernement envoya ses
équipes médicales des "centres de
contrôle de la maladie., (Centers of
Disease Control), sous la direction
du docteur Donald A. Anderson, et
a nc ie n r es pons able de l' expé-
ri mentati o n de Punta Gorda, en
Afrique et dans des pays comme
l' Inde, le Népal et le Pakistan, dont
i 1 cs t i mait la population trop
• 13
Impo rtan te . li leur fournit une
campagne de vaccination contre la
variole ; et cinq années plus tard,
60% de ceux qui l'avait reçue
avaien t développé le SIDA. Ils
essayèrent d'accuser un singe, ce
qui est une absurdité.
Un professeur de l'université de
l'Arkansas déclara qu'elle avait
observé des traces du virus HIV en
étudiant des tissus de chimpanzé.
Le chimpanzé en question était né
aux USA 23 ans plus tôt et avait
passé toute sa vie dans un
laboratoire de l'année ou servit de
cobaye aux expérimentations sur
l'armement biologique. Lorsqu ' il
mourut. son corps fut conservé à
très basse température pour une
éventue lle analyse ultérieure.
Comme on n'avait plus de place
pour l'entreposer, on demanda à la
ronde "es t ~ce quelqu'un veut un
chimpanzé ?" et cette chercheuse
répondit affirmativement.
·'Envoyez-le nous à l'université
de l'Arkansas, nous prenons tout ce
qu' il est possible d'avoir." Ainsi
elle découvrit le virus qui lui avait
199
durant les tests. 14
SYNDROME DE FATIGUE
CHRONIQUE ET MYALGIE
ENCEPHALOMYÉLITIQUE
Le syndrome de fatigue chronique
(SFC) est ce que l'on nomme plus
précisément la myalgie encepha-
lomyéli t ique (ME). La nom en-
clature du SFC fut établie par les
a utorités sanitaires américaines
(NH I) afin d'amoindrir cette
maladie aux yeux du public.
Un examen au sca nn er IRM du
cerveau d'une adolcscertfe souf-
frant du sy ndrome permet
d'observer un grand nombre de
lésions ponctuelles et de cicatrices
dans la zone du lobe frontal gauche
où d'entières portions du cerveau
avaient littéralement été dissoutes
et re mplacée s par du tissu
cicatriciel. Cela provoquait une
diminution des capacités cogni-
tives, de mémoire, etc. C'est le
mycoplasme qui cause ces lésions.
Ainsi il existe des preuves
concrètes et physiques de l'origine
de ces terribles maladies, même si
les médecins continuent d'affinner
leur ignorance et leur incapacité à
les soigner.
5 - Test du Mycoplasme
dans votre corps
LE TEST DE LA RÉACTION
DES CHAINES DE
POLYMERASES
Connaître la présence de cet agent
pathogène est généra leme nt
200
impossible en premier lieu à cause
de la taille extrêmement réduite du
mycoplasme. Il y a un siècle que
certains théoriciens de la médecine
imaginent qu'il doit exister un
acteur de la maladie plus petit que
les virus ou les bactéries.
Traduction : Daniel Deunery
NOTES:
1. " Pahogeni c Mycoplasma'',
Brevet USA n° 5242820, du 7 sept
1993. Le docte u r Lo y apparaît
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7. Howell, M i ller, Kelly and
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8. "Special Virus Cancer Program:
Progrcss Report N°8", ibid., table
4, p 135.
9. Sénat américain, audience
devant la commission de la santé
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10. New England J ournal of
Medecine. 22 août 1957, p 362.
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12. Dr Dona ld MacArthur,
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Triangle", The Chelmsford
Publishers, Canada, 1996.
...The Journal of Degenerative
diseases" (Donald W. Scott,
Editor), The Common Cause
Medical Research Foundation (Box
133, Stat B., Sudbury, Ontario, P3E
4N5), Canada.
CONTACTS:
. Ms Jennie Burke, Australian
Biologie, Leve 6, 383 Pitt Street,
Sydney NSW 2000, Australia. Tel:
+61 (0)2 9283 0807, fax: +61 (0)2
9283 0910.
. Consumer Health Organization of
Canada, 1220 Sheppard Avenue
East #412, Toronto, Ontario,
Canada M2K 255, tel +1 (416) 490
0986,
site web www.consumerhealth.org.
Professor Garth Nicholson, PhD,
lnstitute for Molecular Medecine,
15162 Triton Lane, Huntiington
Beach, CA, 92649-1401, USA. Tel:
+1(714) 903 2900.
. Dr Les Simpson, Red Blood Cell
Research Ltd, 31 Bath Street,
Dudenin, 900 l, New Zealand, tel:
+64(0)3 471 8540, e-mail
rbc. research.l imi ted@x tra.co. nz;
(Note: Dr Simpson dirige ses études
verS les formes des hématies et non
sur le mycoplasme)
. "The Mycoplasma Registrery for
Gulf War Illness, S. & L. Dudley,
303 47th St, J-10 San Diego, CA
92102-5961, teUfax +1 (619) 266
1116, e-mail mycoreg@juno;com.
202
AU SUJET DE L'AUTEUR:
Donald Scott, MA, MSc, est un
protèsseur de lycée et universitaire
à la retraite. IL est également
vétéran de la seconde guerre
mondiale et a reçu de nombreuses
médailles pour ses états de seJVices.
li est actuellement Président de
"The Common Cause Medical
Research Foundation", une
organisation non~commerciale
dévouée à la recherche sur les
maladie neuro-végétatives. Il exerce
également comme professeur
adjoint à l'lnstitute for Molecular
Medecine et édite le "Journal of
Degenerative Diseases". Il a mené
d'intenses recherches sur tes
maladies de dégénérescence du
système nerveux au cours de ces
cinq dernières années ct a produit
de nombreux documents sur les
relations entre ces maladies et le
mycoplasme appelé Mycoplasma
Fennentans. Sa recherche se base
sur de solides preuves émanant du
gouvernement américain.
Nouvelles du monde
. ARTICLE TIRÉ DE NEXUS FRANCE N"4
DES RÉSIDUS PHARMACEUTIQUES DANS LES EAUX DE
L'EUROPE
Alors qu'ils étudiaient les effets de la contamination par pesticide de l'eau
d'un lac, des chimistes d'un laboratoire de recherche agricole suisse ont
découvert un polluant inattendu: de l'acide clofibrique, médicament qui fait
baisser le cholestérol. On ne fabrique pas d'acide clofibrique en Suisse, donc
on a exclu la cause d'un déversement industriel accidentel. Les chimistes ont
vérifié d'autres masses d'eau. y compris des lacs de montagne ruraux et des
cours qui traversent des villes, et ont partout trouvé de très faibles
concentrations du médicament. ··
Les chercheurs de Berlin ont aussi trouvé de l'acide clofibrique dans les
eaux locales : "On trouve dans la nappe phréatique des concentrations allant
jusqu'à 4 mg par litre, ou 4 parties par milliard (ppb2) ... On en a aussi trouvé
dans toute l'eau du robinet qu'ils ont prélevée à Berlin- à un taux de 0,2 ppb."
Une fois qu'ils eurent commencé leur examen, les chercheurs européens ont
trouvé dans les masses d'eau qui alimentent la ville en eau potable des
médicaments réducteurs de graisses, des analgésiques (dont l'ibuprofène et le
diclofénac). des bêtabloquants. des médicaments utilisés en chimiothérapie,
des antibiotiques et des hormones. On a trouvé des concentrations plus fortes
dans des zones plus peuplées. Ayant exclu le déversement industriel accidentel,
les chercheurs se sont rendus compte que les médicaments étaient issus de
déchets du corps humain. .
La quantité de médicament qui est décomposée par le corps varie en
fonction du médicament et de l'individu. 50% à 90% d'un médicament, sous
sa forme initiale, peuvent ètre rejetés du corps. Parfois, les réactions
chimiques avec l'environnement transforment des médicaments en partie
dégradés en médicaments de nouveau actifs. .
PersoMe ne connaît les concentrations dans les eaux des Etats-Unis, parce
que personne ne le regarde. L'Office de contrôle pharmaceutique et
alimentaire n'exige pas que les ressources d'eau soient contrôlées pour voir si
les concentrations pharmaceutiques correspondent aux estimations des
fabricants.
Stuart Levy, qui dirige le Centre pour I'A~aptation de la génétique et la
résistance aux médicaments à l'Université de Tufts (Boston, Massachusetts), a
dit que des antibiotiques à une concentration infime peuvent affecter
l'Escherichia coli et d'autres bactéries.
Pendant ce temps, les chercheurs suisses ont trouvé 0,5 microgrammes par
litre de l'antibiotique fluoroquinolonc dans une station de traitement des eaux
usées - taux 1000 fois plus ékYé que le chiffre très faible auquel Levy fait
référence.
(So11rCt? : e.rtrait de "Dmggo:J If'att?r.< .. 1"E,IIL'f comamim!es") de Joni!/ Ra/off publié dans Townsend
Lt!lrer.filr [)("·tors & Patients, n°/9!.juillet 1999)
203

ARTICLE NEXUS 16 P.35
SANTÉ PUBLIQUE
Des compagnies
pharmaceutiques
au marketing offensif
En 1999, plus de 130 millions d'ordonnances ont été faites [aux États-Unis}
pour dépression ct symptômes relevant de la santé mentale pour un coût de 8,58
milliards de dollars . Les médecins savent que les antidépresseurs ne
constituent qu'une réponse partielle aux troubles mentaux, mais le marketing
mis en œuvre par les compagnies pharmaceutiques a créé le mythe des pilules
miracle. Cependant, en 1999. une étude réalisée sur le plan tedéral a découvert
que les antidépresseurs les plus récents n'étaient efficaces que dans la moitié des
cas et que leur ellkacité ne dépassait celle des placebos que de 18 %.
Les compagnies pharmaceutiques dêpcnscnt 5 milliards de dollars par an
pour envoyer des représentants dans les cabinets médicaux. Les représentants
conservent des dossiers du style de ceu.lf. du FBI sur les médecins, dossiers qui
contiennent des informations telles que le nom des membres de leur famille,
leurs handicaps au golf et leurs préférences vestimentaires. Tactiques de vente
agressives cl petits cadeaux font partie du boniment. En outre, les compagnies
pharmaceutiques offrent des avantages ct une rémunération directe aux
médecins lorsqu'ils prescrivent des médicaments bien particuliers à ceux de
leurs patients qui soutirent de troubles mentaux.
Sur un autre front. les compagnies pharmaceutiques récoltent de gros
bénétices en encourageant l'usage forcé de médicaments par l' intennédiaire de
programmes au sein de l' Alliance Nationale des Malades Mentaux (NAMI). Les
chercheurs de Mother Jones ont utilisé des documents internes pour prouver que
la NAMI avait reçu 11.72 millions de dollars de la part de l' industrie des
médicaments utilisés en psychiatrie. en ~ulcmcnt deux ans et demi. le plus
gros donateur auprès de la NAMI est Eli Lilly and Company. le fabricant du
Pro zac.
R~/ërence
• Ken Silwrstein, .. Pro=ac.org ....\lorhttr Jones. MOJO Wire Magazine,
novembre/ décembre J 999. 1nnr.mothtnjones. c:om/mother _jones/
N099/nami.html
204
ARTICLE NEXUS 12 P. 11 RUBRIQUE REGARD CRITIQUE
LA CIA CONTROLE «LA GUERRE CONTRE LE SIDA»
Le 30 avril. le Washington Post a annoncé une manœuvre de r Agence
Nationale de Sécurité (NSA) visant à placer les recherches scientifiques
sur le sida, et tous les organismes de santé publics les réalisant, sous le
contrôle de l'Agence de Surveillance du Territoire (CIA).
Fait curieux, cette démarche fait suite à la décision du président sud-
africain, Thabo Mbcki, d'inclure les témoignages de scientifiques
«dissidents»dans la revue publiée dans son pays portant sur les pratiques
thérapeutiques dans le traitement du SIDA/HIV et sur t•origine de
l'épidémie.
Le président Clinton, poussé à déclarer officiellement par le Conseil de
Surveillance du Territoire (NIC) que le SIDA dans le monde représentait
«une menace pour la sécurité nationale», a fait une loi de cette politique.
Cette action laisse présager la persécution probable, si ce n'est
l'incarcération ou l'assassinat, de ces scientifiques «dissidents»en matière
de SIDA.
Dans son rapport au Président et à la presse, la CIA a averti : «Le
fardeau persistant de cette maladie infectieuse risque d'aggraver et, dans
certains cas. même de provoquer un déclin économique, une
fragmentation sociale et une déstabili'sation politique dans les pays les
plus durement touchés ... ))
Par «instabilité)), cette étude entendait les guerres révolutionnaires, les
guerres ethniques, les génocides et les changements de régime
perturbateurs. La baisse dramatique de l'espérance de vie, a affinné cette
étude, est le facteur de risque fe plus important pour «de telles menaces
envers la sécurité nationale».
Faisant d'une pierre deux coups - en encourageant la vaccination et la
médication ~ le rapport propagandiste a établi que de telles menaces et une
telle «détérioratiom>pourraient être suivies d'une (<petite amélioration ...
grâce à une meilleure prévention et à des efforts de contrôle, à de
nouveaux médicaments et à des vaccins>).
Etant donné que les implications socio-économiques, politiques et
maintenant mi li tai res pourraient être gra v es si 1'on découvrait que
l'industrie du vaccin était responsable du SIDA, on risque d'avoir de plus
en plus de mal à trouver à l'avenir des publications et un dialogue ouvert
sur cette hypothèse dans les principaux média et les revues scientifiques.
(Source: par le Docteur Leonard Horowitz, Idaho Observer, USA, juillet 2000)
205
REGARD CRITIQUE ... REGARD CR
Lors d'une rare occasion de parler des aliments irradiés devant un
auditoire d'officiels du gouvernement américain et de dirigeants de
1' industrie agroal imentaire, 1'organisation Pub! ic Citizen (association de
consommateurs très active aux USA) a diffusé la traduction d'une étude
allemande récente qui révèle qu'un produit c himique métabolisé par
l' irradiation peut endommager l'ADN du consommateur.
Cette étude confirme ce que les défenseurs d'une nourriture saine ct
beaucoup de chercheurs savent depuis plus de 30 ans : l'irradiation
ionisante d'aliments peut mener à la production d'étranges nouveaux
composés chimiques appelés ''produits mono-radiolytiques" qui peuvent
causer de graves problèmes de santé.
L'un d'entre eux., connu sous le label 2-DCB. provoque de "sérieux
dommages à l'ADN" dans les colons de rats qui l'ont consommé. Ce
composé, qui est ironiquement bien connu pour servir de marqueur pour
savoir si un aliment a été ou non irradié, n'a jamais été observé à l'état
naturel. L'étude fut menée en 1998 sous les auspices de deux éminentes
organisa tions pro -irradiation . Elle fut cond uite da ns un des plus
prestigieux laboratoires du monde dans le domaine de l' irradiation: le
Centre Fédéral de rec herche pour la Nutrition de Karlsruhe, en
Allemagne, et fut commandée, entre autres, par Group on Food
Irradiation, une organisation financée par 1'ONU pour la promotion de
cette technique dans le monde.
L'étude fut diffusée par Public Citizen lors d'une réunion de la Food
and Drug Administration à Washington le 13 février dernier. la réunion
se tenait en préparation de celle de la Commission du Codex Alimentarius
du mois suivant, commission q ui fixe les n·ormes de sa.l ubrité de
l'alimentation pour la plupart des nations. les officiels de Codex devaient
examiner une proposition consistant à supprimer tota lement la dose
maximale de radiations à laquelle les aliments peuvent être exposés.
Celle-ci est actuellement de 10 kilo grays, équivalent à 330 millions de
radiographies aux. rayons X, soit plus de 2000 fois la dose létale pour une
personne. (wurce: Public Citizen. JJ murs 1001, hnp:llw·nw.citi:en.org)
206
REGARD CRITIQUE ....REGARD CR
ARTICLE NEXUS 12
- ·- - -- - -
DES MEDECINS BRITANNiQUES DE l'AGENCE DE CONTROLE DES
MtDICAMENTS CORROMPUS PAR LES COMPAGNIES
PHARMACEUTIQUES
Un bon nombre des experts qui conseillent le gouvernement britannique
sur la sécurité des médicaments possèdent des actions d~ns les sociétés
phannaceutiques qui tirent un bénétice de leurs décisions.
Selon des reportages diffusés dans les média britanniques, plus des
deux~tiers des médecins ct des un iversitaires qui officient dans des
comm ission s de l'Age nce de Contrôle des Médicaments (MCA)
possèdent des investissements dans 1ïndustrie pharmaceutique ou
bénéficient de l'argent des compagnies pharmaceutiques.
Certains médecins ont un énorme portefeuille d'actions dont la valeur
s'élève à plus d'l million de francs dans de grosses compagnies comme
SmithKline Beecham et AstraZeneca. Beaucoup d'autres dépendent des
services d'expertise, des honoraires et des bourses de recherche des géants
de 1' industrie.
Nicholas Harvey, le porte-parole des Démocrates Libéraux en matière
de santé, a appelé à un renforcement des arrêtés gouvernant les intérêts
des conseillers et a condamné la confidentialité des réunions des
commissions, qui se tiennent toutes à l'abri des regards indiscrets.
Le Sunday Ex.press a découvert que plus de 170 membres sur les 248
membres que compte la .MCA ont des liens f inanciers avec des
compagnies pharmaceutiques. Au total, 42 membres possèdent des actions
dans plusieurs compagnies.
(Source : par Jonathan Calvcrt et lucy Johnston , Sunday Ex.press,
londres, 6 août 2000, site Internet HYPERLINK:
"http://www.lineonc.net/cxprcssl»www.lineone.net/expressl)
207

Coulisses de l info
UNE VUE DISSIDENTE SUR LA POLI-
TIQUE MENÉE AUTOUR DU SIDA
Dans Sciences et Avenir de
janvier 2002 un article sur le
professeur Ducsberg attire mon
· attention. ce professeur de biologie
. moléculaire à l'université de
Berkeley en californie a jusqu'à
présent été considéré comme un
héréthique et un criminel par la
communauté médicale alors qu'il
était considéré jusqu'en 1984 com-
me l'un des meilleurs spécialistes
mondiaux en rétrovirus. Pourquoi
un tel revirement de situation :
Dues berg en l987, publie dans
"Cancer Research" une thèse
comme quoi la science est en train
de faire fausse route, le VIH ne
serait qu'un virus inoffensif et en
aucun cas l'agent responsable du
sida. Pour le professeur, le Sida
n'est pas une maladie infectieuse
mais un syndrôme toxique. Sont en
208
7
cause, les drogues, les transfusions
sanguines répétées, les diagnos-
tiques peu fiables et aussi, I'AZT et
autres médicaments toxiques qui
font baisser i'immunité.
Les survivants à long terme sont
une énigme pour la médecine...
Duesberg demande que les crédits
de recherche qui lui avaient été
retirés saint à nouveau restitués
pour de nouvelles recherches;
Vous pourrez en apprendre plus
sur les sites:perso. wanadoo.fr
/sidasante/ Article sur SIDA
Peter M. Duesberg. le lauréat du
prix Nobel Kary Mullis raconte
qu'il n•a pas réussi à dëcouvrir une
seule publication scientifique
démontrant que le HIV est bien ce
qui provoque le SIDA.
Le refuznik du VIH

Duesberg, le diable
sort de sa boite
Un dangereux criminel. C'est ainsi qu'une partie de la communauté médicale
présente Peter Duesberg. Mais sa thèse sulfureuse sur le sida a le mérite
de pointer nos méconnaissances sur le sujet. Et les dangers d'un consensus
inébranlable face à cette maladie qu'on ne comprend toujours pas.
En 1984.!"année même où le bio-
logiste Robert Gallo Pt le gou·
vemement américain annon·
cent la découvert!' du ''irus
du sidâ,Giiïîo prononce des
phrases étrangement prophé·
tiques, lors d'un congrès, pour
présenter son collègue et ami
Peter Duesberg. Après avoir fait
!"éloge de ce chercheur consi·
rlérê comme un des meilleurs
spécialistes mondiamc des rê·
trO\•irus, G31lo :ijoure : • Il y a
chez lui quelque chose d'aussi
important que ses recherches.
Peter Duesb~g est doué d 'un
sens critique hors du commutl
qui nousjorusout>ent d re·
garder à deu;rfois, et mëmed
trois fois, des conclusions que
•nucoup d'entre no11S consi·
éraient comme définitiues .
.Ses critiques posent parfois Utl
problème majeur à ceux qui le Les incohérences H1\'·rtfuseniks, ou dissidents, • rluire, erhaustit'l!flsansam·
ronnaissent mal. Quand est-il d'un virus ou renég.,ts. En France, ils s'in· biguïté•.
t·raimenten troindedeôallre? ùtulent lrs • rppeRSfu~. Sur quoi s'app111e l'argumen-
Quattd Sf'/ait·il pl11!6t l'ovocot Grand spé<iaflrt~ L'annte dernière, au rongri>s tation hérétiqu~? EsSt>nrielle-
du diable? Et quand est-ille des rétrovinn, Pete< mondial sur le sida, à Durban, mem sur d!'s rncohêrences par
•li11ble lui-mème?. Ouesbtfg constate que le rn Afrique <lu Sud, ils ont rr~u rapport aux donn~•s classiques
Trois ans plus tard, 1~ diable VlH se comporte comme un •·oup cie chapeau inattenrlu d~ la virologie. Aucun virus ni'
· n de sa boire et PPter Ducs· aucun autre micro~ du prt'Sitlem $Url-africain. TI~.<tbo s·~st jamais c<>mportti comme
avant lui. Il ~n conclut )ltx•kr. à rel po,inr qu~ IfS :;dt:n· ce qui' relatPnt les spêcialL5LI'S
'" rg pubtledans lejoum31 Cali-
rer Research 1me lhèse à peine qu'on s'est trompé sur nfiques ont nll'nac~ de boycot· du sida à propos du VlH. Nor-
(TOyable . la sciencl' aurait f~it la véritable a use du sida. ter le congres si IPS repellSfurs maiPment. un microbe qui in-
complètement fausse route. le rrarent in,itt's. • A utrt autre fecte un organisme JUSQU â pro-
\llf ne serait qu'un >irus inOf.' fpoqut, 011/es aurait erwo.~ ~s VO<)uer une maladie gravi' doit
C~nsif rï en aucun cas l'agent maiselleaE.'Ssaimé EllHstsou- au /nieller •, t'cri! alors Thabo proliférer druiS le sang ou les tis-
r&spons:~ble du sida. Trés "itc, tenue par d'autres chrrcheurs. ) !beki dans une letur à BiU Clin· SU.5 infectés et se détcctrr faci·
DuE.'Sberg perd tous ses crédits dt>S acthistPS. Ms associations ton. Flnalemem,.Jjnq mill~ <·her· lpment, tPUemcntli'S particules
'• ·echerche, maisils'obstin~. de malades. d~s rc\'ues mili- rh~urssignent unesonedepé- vir31es sont nombreuses. Q!:,.~
•, ·>tlrtfhui, nonSI'Uiernem son tant~s. Ame Etats-l'ms. on IPS uuon :1111i-Duesberg. stipulant \1H fait tOUt le rontr.tire :_!!!!t
r ··:··,ie ne s'est pas réso~. appelle les rmppm i .;ns. ou que 1:1 r ausaliré VIII/sida est prahquemenl_!!!!IPN'Iahlr. »

Article: de Jean-Pierre Lentin JANVIER 2002 . SCIENCES fT AVENIR • 45

209
 .les hérétiques de la science
» même chez les sidéens en 1ril10n. Enfin, parm1 lts cou- fonde le • Groupe pour le ré- le sida est tout sauf une mala·
phase trrminale. Donc, soit le pables de l'ombre, 11 y aurait examen scientifique de l'hypo- die clairement comprise, que
I'ÎTUS est présent en très petites I'AZT et d'autres médicaments thèse sida-V!H •, qui rassemble les thérapies actuelles ne sont
quantités dal\s l'organisme, soit très toxiques, censés lutler aujourd'hui 600 chercheurs, pas une panacée et que des re-
il est t.api dans des cachettes contre le virus, mais produisant dont trois prix Nobel. cherches novatrices sont plus
qu'on n'a pas encore décou- eux-mêmes tous les symptôme; Les renforts viennent aussi que jamais nécessaires. ~tai·
vertes. Mais dans les deux cas, typiquts du sida de •laies • de lascienœ, comme heureusement, en niant le ca-
on a du mal à expliquer com- Agé aujourd'hui de 65 ans, la journaliste Cella Farber et, ractère infectieux du sida, Dues-
ment il arrh~ à provoquer la des- Duesberg est toujours profts- surtout, l'activiste Christine berg et ses partisans in1itent à
truction massive des cdlules seur rie biologie mol~culaire à Maggiore. Cette Arnéricaine de J'abandon du préservatif el du
immwûtaires. Il y a d'autres sin- rurti\'ersite de Berkeley, en Ca· 45 ans, cadre dans une entre- saje se:r. Et là, le bât blesse énor-
gularités. comme la latence de ltrornie. C'est un homme élé- prise de prêt-à-porter, diagnos- mément. A San Francisco, le
plus1eurs années. le fait que le gant et mince, inlassable dé- t.iquée séroposit.ive en 1992, a nombre de nou,·eaux~posi­
\'IH culti\'é en laboratoire sur ham•ur ct beau parleur, 3\'CC sa toujours refusé tout traitement tils a presque doublé entre 1997
des lymphocytes T ne détnlise point!' d'accent allemand (il s'CSI et ne s'en porte pas plus mal. et 1999. Les hérétiques du sida
pas ses cellules hôtes, ou les cas install~ aux Etats-Unis en 1{)(~). Elle a même mis au monde un ne sont pas seuls en cause, mais
de sida atypiques qui se décla- Et, à la surprise générale, il n'est bébé, âgé at\iourd'hui de 3 ans, on ne peut s'empêcher de pen-
rrnt chl'z des patients séro- plus tout seul. Da\id Rasnick, nourri au sein et en boMe santé. ser qu'ils y ont contribué. D'oô
n~ganrs. un biologiste califomiPn, dont Son associaôon, Alive and WeU. les accusations, chez leurs dé-
)131S alors, pourquoi un tel ll's travaux ont permis dt' meure a reçu le sou ô en de quelques tracteurs les plus remontés, de
consensus autour du Vlll ? au point les nouveaux médica- pop-stars et celui de la secUon • thèses criminelles •. \'Oire de
DuPsberg incrimine la commu· mrnts à hase d'antiprotéases, d'Act-Up à San Francsico (la • génocide •.
nautf Iles spécialistes des ré- donn~ mison à Ouesbergct de· ,;ne la plus touchée par le sida, Peter Duesberg réclame au-
trOiirus qui avaient obtenu des clare que ces agents anti<'ancé- avec New York), qui paie dé- jourd'hui des crédits pour des
crédits considérables pendant rcux n'auraient jamais dû être sormais des pleines pages de recherches en laboratoire qui
la • guerre contre le cancer • administrés aux ~ropositifs. publicité dissidente dans les testeraient ses idées- en souli-
lanrée par Richard Nixon en Kary Mullis, prix Nobel de chi- quotidiens locaux et multiplie gnant qu'il a déjà essuyé, en une
t9i2. Leur quête ne donna pas mie en 1993 pour avoir inventé les manifestations aux cris de quinzaine d'années, quarante-
les résultats escomptés et ils se la méthode PCR -la réaction en • le VIH est un mensonge, les quatre refus con~ tifs. Mals
jetèrentsur la piste du sida pour chaine par polymérasc qui am- médicaments tuent •. il est sans doute trop tard. Pour
rrure oublier leur frasco et ren- plifie des traces infimes d'AD:-1 En fait, les • survi\'ants à long beaucoup d"ohser•ateurs, Due5-
tabiliser leurs équipements. U et rend possibles aussi bien les terme • . des séroposit.ifs qui berg5est enfermé dans la mê:me
y a\'ait urgl'nce, ainsi que beau- tests généôques judiciairesque n'ontjamais développé le sida, logique qu'il dénonçait chez ses
coup d'argent et de prcst.ige en la mesure de la • charge virale • supportent de plus en plus mal adversaires: il s'esttrop investi
jeu. Ils n'hésitèrent donc pas à che-' les sidéens -. proclame que l'assimilation du diagnostic sé- dans sa croisade pour être ca-
donner de sérieux cou ps de ce dernier test est illusoire ct ropositif à une • sentence de pable un jourde reconn;ûtre ses
pouce à la méthodologie tradi- préface plusieurs ou\Tages des mort • . Ces s~ivants, il raut propres failles. Dans le discOUIS
llonnelle. Et puis, une fois la repenseurs. Enfin. Charles~ bien le constater. restent une de Robert Gallo cité plus haut,
machine lancée, avec: pour mas, un biologiste de llarvard, énigme oour la médecine. on notait aussi ce jugement ;
carburant les investisse- En tout cas, le succès • Pet.ero un surnom, Batrling
ments colossaiLx des pou- de l'hérésie signale un BuUdog. Quand il plante ses
,·ws publics et de l'in· malaise tenace dans l'opi- crocs quelque part. 1111 an plus
dustrie pharmaceutique, nion, fait de méfiance en- tard, ou deux ans, diL a ru,
plus question de renver· vers les autorités et de L'ingtans, il 11elàchejomais
ser la \'llpeur. doute quant à l'impartia- prise.. a
Pour Duesberg, l'ef· lité des chercheurs face
fondrement immunitaire aux pressions économi- Les princlp;~ux textes des ""!H'RS<UI'S
qu'on nomme • sida • ques. Il a aussi le mérite en traduction française. ainsi qut ltS
n est pas une maL1die in- de rappeler aux scienti- liens ver> leur.< sit0$onglophona :
fectiPuse, m;us un syn- fiques,, aux médecins, ~roo•.-aaadoo.rrfsiduaatt/

drnm,•tO~'lQUt> dû sun out aux malades et à tous les (!,.. reluto~J«~, point par pool<. dts ob-
jections dt Du..t..~J, par loprincopll
a l'u~ag.- prolongé des gtns concernés qu il n'est C'tntre dt l'f'C"hrrt"he JmériC'ain sur le
dro~:ues rPc~ativPS par guèrP tPmps de se repo- sida: ....,.,niald .nih.~o<lfactS~ .. tal
l~s homosexuels comme ser sur ses lauriers, que e"·idhiv.htm
var l~s toxicomanes.
Oans le cas des hemo·
plu li'!' contaminês. il ac- ((
,·ust l~s transfusions
Duesberg est doué d'un sens critique
5angumes rép~tées qu i
au aquent l'immunité. hors du commun qui nous force souvent
Quant aux Africains, ils
seralent diagnostiqués à
ton el à travers et mour-
à regarder à deux fois des conclusions
ral~nt simplement des
malau1es habiru('llcs dues
considérées comme définitives. >>
à la mtSère et à la m:ùnu· Robert Gallo

46 e SCIENCES ET AVENIR ·JANVIER zooz

210
 Et maintenant que faire ?

Certains le diseat. d'aut~s le font...

Certains le disent, d'autres le font •.•

Certains le disent, d'autres le font...

Un jeune quebécois, JEAN DOMINIQUE LEVESQUE s'est guéri d'un

cancer lorsqu'il avait onze ans. Un lymphome malin non hodkinien lui
laisse peu d'espoir. Sensible aux pesticides, il se souvient que ceux-ci lui
occasionnaient des troubles importants et divers el en déduit que ces
produits sont à l'origine de sa maladie.
Depuis, Jean-Dominique décide de déployer tout son savoir et son
énergie au service de l'écologie. JI veut suivre des études d'ingénierie
aérospatiale afin de changer les carburants des avions qui sont le
deuxièmefacleur de pollution de fa planète Terre.

D'APRÈS UN ARTICLE DE MURIEL BEAUDOJNG, REVU "JONAS" JAN/ FÉV. 2002

211
 Mark Griffiths, pionnier d'un monde
sans sida
M
afk Griffiths est originaire d'une famille anglaise de
la bonne bourgeoisie contre laquelle il entra, dès
son adolescence, en rébelllon intense. Il devint gui-
tariste de rock'n roll et passa ses nuits dans des caves enfu-
.mées à gratter son instrument avec des passionnés de
musique: À la fumée des cigarettes s'ajouta vite l'alcool puis
les drogues douces et enfin les drogues dures. Après dix
ans de polytoxicomanie, Mark était certainement un bon
musicien mais il n'était plus que l'ombre de lui-mème. Sa
santé avait fait les frais de son mode de vie suicidaire.
Quand, en plus des divers troubles dont il souffrait, on lui
annonça qu'il était séropositif, il réalisa soudain qu'il ne
pouvait plus continuer à poursuivre une vie qui menait en
droite ligne vers une mort prématurée.
Dans son apprentissage de la santé, Mark trouva un plai-
sir particulier à partir de temps à autre, sac au dos, _mar-
cher pendant quelque.s jours dans les mon_ta~es ~u!ss~s
ou françaises proches de Genève où il habitait. Il Jeumut,
dormait à la belle étoile, buvait J'eau des torrents et mar-
chait avec son sac à dos en répétant comme un mantra :
"Chaque pas est en train de dissoudre un peu plus ma néga-
tlvité" et "Je suis un avec la nature et la nature est un avec
moi". Pour lui ces randonnées furent l'essence de la méde-
cine douce, le chemin qui mène à la guérison en douceur, la
découverte de l'épuration du corps qui conduit à une nou-
velle confiance envers la vie. Peu à peu ce sentiment
extraordinaire et puissant d'unité avec la nature le défivra
de l'illusion de la séparation et de la solitude. Il retrouva sa
joie d'enfant pour admirer le lever ?u soleil, le vol ~·un
papillon ou la chanson silencieuse d une fleur des bo•s. Il
revenait de ces expéditions épuré, heureux, léger, plein
d'envJe de continuer son parcours d'apprenti-santé.
2 12
"Son esprit scientifique (il était aussi inventeur et avait
déposé des brevets sur ses découvertes) voulait tout
savoir sur cette maladie et comprendre les querelles d'éco-
les qui secouaient le monde médical. Quand il constata la
rigueur intellectuelle des "dissidents du sida" (on appe1Je
ainsi les scientifiques qui refusent le dogme officiel virus
HIV = sida = mort) il fut enthousiasmé et correspondit
directement avec plusieurs d'entre eux. L'importance de
leurs conclusions lui sautait aux yeux : le sida· n'était pas
une maladie infectieuse et épidémique, c'était le produit
d'un mode de vie destructeur de l'immunité. Pour le guérir,
il ne s'agit pas d'attendre en macérant dans sa peur que la
science médicale mette au point un médicament ou un vac-
cin miracle, il faut devenir "immunitairement éveillé", sortir
des habitudes d'auto-destruction .pour vivre de manière
holistique et consciente. Mark se mit aussi en relation avec
tous les groupes qui, dans le monde, refusent les dogmes
officiels et apportent des informations positives à ceux qui
veulent vivre. Il commença à traduire de l'anglais au fran-
çais des textes importants et à les publier dans son dossier
"Sida, l'apprentissage" ou son journal "L'apprenti-sage". 0
déclara dans des conférences que le sigle sida signifiait dés-
ormais pour lui "Source Intérieure de Développement
Acquis" et créa un des premiers sites lntérnet francophone
sur ce sujet Sa vie se construisit avec une alternance de
périodes-<:onvivialitê, avec rock'n roll, cigarettes, bières et
copains et de périodes-santé, avec jeûne ou graines ger-
mées, pratique intensive de toutes les méthodes de régé-
nération ou sta~e de mise en forme,
213
 Depuis quelques années, Mark a trouvé, pour donner ses
conférences, un allié de poids, le docteur Etienne de
Harven, qui, après avoir été anatomo-pathologiste et spé-
cialiste de microscopie électronique aux U.S.A et au
Canada, jouit d'une paisible retraite dans le sud de la
France. Ce brillant scientifique, connu pour ses recherches
sur les rétrovirus, fait partie des chercheurs dissidents. Il
affirme:
1. Il n'y a aucune preuve que le sida soit une maladie
infectieuse, transmissible sexuellement et de caractère épi-
démique.
2. Les tests de la dite séropositivité étant non spéci-
fiques devraient être immédiatement interrompus, de
même que la prescription de médicaments toxiques.
3. L'existence même du virus HIV doit être sérieusement
mise en doute.
4. Ces conclusions représentent un message très opti-
miste car il y a manifestement moyen de guérir le sida
autremen_t, sans prendre le risque d'administrer des méd..
caments de haute toxicité et d'indication scientifiquement
douteuse.
5. Dans l'orthodoxie actuelle du sida, la recherche est
exclusivement centrée sur le virus HN. Si ce virus (si tant
est qu'il existe vraiment!), n'est pas la cause du sida, il n'est
probablement pas excessif de dire que, actuellement, il n'y
a aucune recherche officielle poursuivant directement l'é-
tude des causes du sida.
6. Ne pensez pas que les opinions que j'exprime ici sont
celles d'un dissident isolé. Il y a de par le monde des
milliers d e dissidents qui pensent comme moi sur tout ce
qui apparaîtra un jour comme la page la plus noire de l'his-
toire de la médecine.
Demandez à Mark Griffiths l'impoi'W\te documentation qu'il
a collectée. (Association Mark Griffith. F-11190 LA SERPENT;
ou consultez son site Internet ( «htpp :1/perso. wanadoo.
fr/sidasante/») qui est une véritable encyclopédie ·d'une
autre manière de voir le sida. Vous y rencontrerez, par le
texte ou par l'image, ces milliers d'ex-malades qui mainte-
nant vivent en pleine santé, délivrés des illusions collecti-
ves, et ces centaines de chercheurs dissidents qui remet-
tent en question les dogmes officiels et auxquels le journa-
liste français Renaud Russeil a consacré une passionnante
enquête ayant duré plusieurs années et qu'il relate dans
"Enquète sur. Je sida, les vérités muselées",
TIRÉS DE "' ARTISANS DE LEURS MIRACLEs·· C.T SHALLER & AVEC LA
214 COLLABORATION DE MTaE J. RAZ.As~AMAHAY
Deux Brèves
troublantes
Mutation du genre humain ?
Des médecins et chercheurs ont dëcouvert
que des milliers de fl:4:sonnes ayant eu re
sida finissen t par sen débarrasser et se
retrouver avec un système immunitaire très
fort dO. probablement. aux 4 codons d'ADN
supplémentaires découverts chez elles.
Les mêdeciM de l'vn.iversi tE de ~ifomie à Los
Angdcs (t:ÇLA) ooa suivi un jeune ~ou oc! ...-cc Je
~iru.~ du sida. t'enfant:~ successi,-eJDCnL ~~aminé~
s:a n:li.~. à 6 mois et à l an. Ensuil.c- CJ)C()fC: li 5 aas
Cl. cette Cois, il fut c:ocstaté que toute l.lliCc da \lfUS
:s•·ait dispan.L
~lédc-cin~ et sp&:ia listcs se ~reot bl:au.c:oap de
questions et finine.U p;u c:umincr l'AD!' du j eune
g;uçoa.. U. ils dfaluvrirena quelque c:bose bors de la
nortn31e. L 'mfliDI avait 24 codons de son AD!\ actifs
ao lieu de 20 comme cha les ftrcs humains dits
DOnD:al.t't.. Ou e.'QIDÏna ensuite soo él:ll immanilaÎrc.. U
semblait qur: l'c:oflllll Hait prfscm! cootre tout \-u que
SIOO S) RèlDI: Îm.arllDilliÏœ mit 300() fois pl as f od que
chez k commun des liiOfte1s.
Des n:cbercbes s'eo suivirent pour ,·oir s'il y av:üt
<hu tres as de 1lltlla!Xx1 de cc geun:. En effel. oc eo
déa>ll'-rit I. puis lOO. puis lOOO... A I'Uoive~tt d.e
pl~ de 1% ck la
CalifOfllie on croit l présent que
populatioo moodiale pourrait !trc dans ce cas.
AwrrJ:DCot dit, 60 millions d'cu.fa.~~ts. ~ aussi des
adultes, ne seraient pl us des etl1:$ hum:l.ÎA! 1:11:1 sens
dtfilli pu la scieace de l'ADN. 1\.ous llS$istetiocls dooc
à unr II'IGUtÏoD po8iti\'e, à un ~ <fimmuni~
spoot:ul6e jamaÎ$ ola:rvé pricM:mmeŒ.
Cela l:.'pliqœr.:tit pw~..œc aussi les cas de plus en plus
oombn::u;11; de: goiriSOIU spoota.o~cs de si~c:os qui
n:fuscot la chinüotbtr.lpie. la tri-lhhapie ou :~utres
~dicalisations qui 3/f:ùblissettt le système immu·
Ditaire.. Cc:rtains d'entre cu:t \"iveut des a.onfes Sôl.QS
imnm-toien~s rnalpt qu'ils scneotléropositifs.
L3 peur serait peut-ttre bieo plus nxunriètc que le
virus lui·m!me.
Cf:s tlicouvuus. cmborrtUsa~s pour lo sciOJctt,
now.s font quand mitM pour la qwesrton : asriste-t·
0rt ill'imerxoru d'une nouvcall gettJT humain ?
Sot.~ :
• UC LA llew.~ • The n~cr of lill. O.M. • "910lQ Plus. lrvr. Ot
,. • 0 Ne-CIM & L'.__
change~
l'llomme
change
Des mutants parmi nous?
Depuis des années, les généticiens savent
que des changements se produisent dans
l'ADN. Ils ont constaté que des hélices
d'ADN se sont ajoutées chez des
personnes aduttes. Cela irait de pair avec
des changements dans ra consdenœ.
Le Dr. Bcrrenlla Fox cS! praticien d~ médedoc
hotislique :tu O:ntre Avalon de 6 il!ll-Etle.. au ~loWII
Shasu co C;ilifomic. 11 pœ.~ des te:su ~uins
qui foumissec.tla prc111:c que certaines pc:~ oc.t
r~cllement dt.-cloppé de nou>·caux brins d'ADK
Lors d'ua. ÏDtcn-iew. ù dêcb.r.l :
"Du chOJtg~mmJS Dflt li~. d~s mutations qui n~ ~c
sonJ jamais prtl<tlliûa, sc!Qrl les gmiriciou ( .~).
n y a plurie~US ~s dijù. à Jlaico Cily. il y a a.
une con•·rntion de génlricicns ••cnanr du monde
l!nrier cr le tMme prlnâpal irait : le cJumgmu:nt
d'ADN. Noll$ sommes en !Tait! Je faire un sw.t
d'~l·olurion, f:t poKTtarrJ nous rrc sommes pas 011
COUTatlltkS CIJangcmmJ:s qui ont lieu.(.•. )
Tolll le mcmk a unc dollhle 11/li~ d'ADN. Cf: qu~
nous tMœwi'OtlJ. c'est (jll'il y a .J'auJTeS lre1iccs qw
SON t1t rrain tk SI! jomvr. [)ans /a dou!Jk httlia, il)'
a deu brin.r d'ADN torsaJis en spirak. (_ )
C cs ch011gonuus ne S<>fll pas publiqu.emmr connus.
parC#! '{~ la OOIPrmJUI(JUtl sciarrifiquL a fim~Îaft
que cela ~ayerail la populatiott. Et ce;undosnr.
les perSOtUU:s sont rn train de changer Qll rriveaJI
ce~.
J~ uav<Jille en cc ~=trois mfants, qvj 0111
tTOis hélices d'ADN. (_.)
Ccrrains odrtltes q~ j'ai t.:srés orrl rülkmclll une
dew:ièmc hilicc d'ADN qui se forme. Certains
forment mimt: 1111e rroisibrre hi{iu. Ccs personnes
pasunr ii rraw~rs tks dumgements majeurs dans
leur cn!UCiertCc ct doitS leur corps p hysique paru
qlli! wur rc/4 ne fiur qu'tor.
A man a•·is, fa Tare. ct cour le mcmr.lc lUT Terre.
élê'l·c $(] l;bralion."
- n e rr :5 - . _ . · •- :1001
215
 -5-

Les Recherches

«Il n'y a pas un nuage sur cette Terre qui n'ait sa raison d'être. »

Dans notre ouvrage "Par PEsprit du Soleil", nous avons été amenés à
retranscrire les paroles suivantes dans Je chapitre intitulé "Les énergies de
l'ombre". Je vous les livre à nouveau ici car elles concernent spécifi-
quement le domaine de la recherche abordé largement dans ce chapitre.
(( ... Sij 'ai tenu à ce qu'un te/lieu soit porté à votre connaissance, c 'est
parce qu'il rend co.mpte, ·sans qu'il y ait nécessité de rentrer dans de
pénibles détails, de l'implantation concrète de quelques recherches
scientifiques menées depuis des décennies par les puissances du non-
amour. Les constructions aperçues ... font partie d'une vaste chaîne de
laboratoires et de centres d'étude répartis sur l'ensemble de votre planète
et qui a pour but la domination psychique de la population humaine et le
contrôle d 'éléments naturels tels les climats. Ces informations ont déjà été
fournies à certains d'entre vous. il importe pourtant qu'aujourd'hui elles
se voient plus largement diffusées.
De petites iles perdues en plein océan et des bases souterraines ont été
secrètement investies dans le seul but d'assen:issement des énergjes
planétaires et humaines ; quelques navires ont été affrétés en ce sens et

216 217
sillonnent toutes les mers.
Depuis plusieurs années. l'humanité commence, sous mille aspects
différents mais convergents, à prendre connaissance du rayonnement des
frères de la Lumière, frères de Shambha/la. Cette prise de conscience
conforte déjà l'action de quelques dizaines de millions d'hommes et de
femmes; cependant, ceux d'entre eux qui se mettent ou veulent se mel/re
pleinement au service de la force d'Am our ne peuvent continuer à
méconnaître 1'impact de ce que 1'on peut appeler 1'anti-Shambhalla ...
Elle se base aussi et surtout sur le peu de résistance physique et émo-
tionnelle d'un grand nombre d'ètres en résonance avec ce que l'on
pourrait appeler une certaine longueur d'onde. )>
Pourquoi les recherches visant à modifier les climats prennent- elles
tellement d'importance aux yeux du gouvernement mondial ? Il est facile
de comprendre que lors de bouleversements climatiques, l'équilibre écono-
mique en pâtit. Les cultures deviennent difficiles, les prix augmentent, ks
achats diminuent. les producteurs réagissent ainsi que les revendeurs et la
crise devient économique, sociale et politique.
A ce moment précis peuvent être proposés des plans de restructuration
autoritaires et la mainmise sur une population en déroute s'avèœ alors des
plus simple.
Désertifier une région ou un pays, l'isoler du reste du monde, créer des
tremblements de terre, refroidir une zone de la terre, voici autant de pra-
tiques possibles avec la technologie actuelle. Elles ont le mérite de passer
le plus souvent inaperçues car déclarées comme· phénomènes naturels. Ce
qui n'exclut bien sûr aucunement la présence de ces derniers, mais nous
permet peut-être d'avoir un "autre regard" sur l'information proposée.
Dans les dossiers de la CIA, une note rendue publique au comité des
congrès américain nous apprend l'expérimentation des micro-ondes sur
les êtres humains. Les annes à énergie directe couramment utilisées par la
CIA sont les suivantes :
"VOICE SYNTHESIS" qui permet J'envoi à distance d'un faisceau
"audio" dans le cerveau d'individus sélectionnés. On le trouve aussi sous
le nom "télépathie synthétique" ou encore "communication spatiale t~l~-
21 8
pathique électronique" dans le vocabulaire de la Nasa. Ces armes sont
fabriquées par la Lockheed-Sanders et par le très connu "Los Alamos
National Laboratories". Des informations publiées dans une revue militaire
américaine inclineraient à penser que lors du siège tenu par le FBIIBATF
contre la secte "branch Davidians" dirigée par David Koresh à Waco,
(Texas} on aurait utilisé de telles annes pour faire croire à ce dernier que
Dieu lui parlait. ..
Un autre appareil à pulsation de micro-ondes peut transmettre des
signaux audibles uniquement par la personne choisie. Cet appareil peut
être construit avec un banal fusil radar. Le taisceau de micro-ondes peut
être modulé à des fréquences audio et transmettre des voix directement au
cerveau. Le Dr J.C. SharP'suivit des tests lors d'expériences en 1973 à
l'institut de recherches militaires Walter Reed. il pouvait comprendre des
paroles transmises dans une chambre d'isolation sans écho via un audio-
gramme pulsé en micro-ondes dirigé vers son cerveau.
Robert Becker auteur de "the body electric" ct candidat au prix Nobel,
déclare:
« De tels appareils peuvent évidemment être utilisés ... pour rendre
une cible folle avec des voix ou faire parvenir des informations
indécelables à un as...a...sin programmé. >>
La ClA étudie en profondeur les effets des rayons électromagnétiques
concentrés à ultra haute fréquence pour provoquer "agitation" ou "fai-
blesse" ainsi que les effets des micro-ondes pour augmenter les effets des
drogues, des bactéries, des poisons ou affecter le fonctionnement du cerveau.
LE CLIPPER CLAPSTONE est également une trouvaille de taille.
Construit à l'aide de deux micro-processeurs, il est manufacturé par une
importante agence américaine d'espionnage. Ce système utilise un "Aigo-
rythme secret" nommé "Skipjack" qui permet d'encoder ou de décoder
toute conversation téléphonique de même que toute donnée informatique.
Le gouvernement américain souhaiterait implanter ces micro-chips en tant
que norme otliciellc dans toute l'industrie des traitements de données in-
formatiques indépendamment de la volonté ct du consentement du public.
De cene manière, les ordinateurs, les téléphones et télécopieurs.. seraient
équipés de ces deux puces-espions.
2 19
 LA TECHNOLOGIE A DOUBLE TRANCHANT : Nouvelles en vrac
Dans la publicité d'un fabriquant de jouets, un clown demandait aux
enfants de placer le téléphone devant la télévision. Le studio ém ettait alors
un signal sonore qui mettait immédiatement l'enfant en ligne avec un
numéro vert. Celui-ci possédait un service pour identifier automatique-
ment le numéro du correspondant et enregistrait le numéro de l'enfant. Le
but de cette manœuvre était de créer des fichiers commerciaux.
On utilise de plus en plus de logiciels pour contrôler les branchements
téléphoniques. Il devient ainsi facile d'écouter clandestinement les conver-
sations. Au lieu d'avoir accès à un câble pour intercepter une ligne, un
individu averti qui utilise un modem pourrait reprogrammer une ligne à
distance, de telle façon que les appels réalisés soient simultanément dé-
tournés vers une troisième ligne et enregistrés. Il est également possible de
saboter une ligne en rendant le numéro d'appel impossible à composer ou
en fai sant que chaque personne qui le compose entende la sonnerie
"occupé". fi peut aussi y avoir des téléphones à" numéro rouge piégé". Un
transmetteur à distance relié au téléphone ou inséré dans le répondeur
transforme le téléphone en un microphone. L' individu qui compose alors
cc numéro (le téléphone ne sonnera pas) peut écouter ce qui se passe dans
la pièce. Les casques utilisés par de nombreux employés des services de
réservation contiennent de minuscules microphones qui permettent à un
supérieur se trouvant à plusieurs étages ou kilomètres de cet endroit de
contrôler toute la conversation du bureau.
La majorité des images qui apparaissent sur les écrans d'ordinateurs
non protégés peuvent être reproduites par des techniques simples à une
distance de deux kilomètres. Il n'est pas besoin pour cela d'avoir accès
aux locaux où se trouve l'ordinateur.
Cependant, les TECHNIQUES et TACTIQUES du NOUVEL ORDRE
MONDIAL sont contenues essentiellement dans le processus du
CONTROLE DE LA PENSEE. Les documents relatifs à ce chapitre sont
~n partie repris de l'ouvrage du journaliste Serge Monast. Je joins
egalement de cet auteur la conférence intitulée : "Les puces vont bientôt
gouverner".
Certains chercheurs pensent que plusieurs individus du domaine de la
220
santé mentale travaillent à l'instauration d'un "nouvel ordre mondial"
avec les compagnies pharmaceutiques et les gouvernements.
Pour exemple, le Dr Ewen Caméron conduis it un programme de
recherche du contrôle de la pensée (nommé MKULTRA) pour la ClA. Il
fut aussi président des associations psychiatriques américaines ,
canadiennes puis mondiales. Il fut à l'origine des recherches sur le
sommeil profond qui, utilisées de 1963 à 1973, causèrent la mort de 20
personnes. Cameron se basait sur les recherches du psychiatre anglais W.
Sargant, expert en techniques communistes d'extorsions de confessions.
LA MANIPULATrON A TRAVE~S LA PSYCHIATRIE a toujours
joué un rôle majeur dans la domination de "l'autre". Le .Dr West serait,
se mble-t~il, le coordinateur apparent du programme secret du
gouvernement Américain du contrôle de la pensée. Il est aussi président
du département de psychologie de la UCLA et directeur de son institut
neuro-physiologique. C'est encore lui qui préside aux recherches sur les
"lavages de cerveaux" coréens touchant les prisonniers de guerre
américains. D'après le document que vous consulterez dans le dossier, il a
mené à bien un programme financé par la CIA sur le LSD vers les années
60.
Dans ce chapitre, les bienfails de la recherche ne sont bien sûr pas à
remettre en cause. L'information lui donne une vaste place mais les
dérives de cette même recherche sont plus rarement exposées. Ces
quelques pages ont donc pour but de les rappeler dans une synthèse
soumise à la réflexion du lecteur.
221
 -DOSSIER-

LA RECHERCHE

222 223

LES PUCES VONT BIENTOT GOUVERNER
Cet article est tiré d'une conférence qui fut
donnée par Serge Monast et sa teneur nous
amena à l'insérer dans le revue. Lisez! Il s'agil
de la transcription fidèle des explications du
conférencier. C'est très. .. 'convaincaint et même
si cela vous semble fou, je vous invite à relire
certains articles de "ETRA NGETES et
MYSTERES" ct " REVELATIONS".
Btenvenue à cette conférence tout à fait spé-
ciale du 15 décembre 1993 à Montreal, don-
née par l'Agence lnteméttionale de la Presse
Libre, dom les activités sont uniquement
axées sur le journalisme d'enquête imema-
tionale aux niveaux économiques politi-
ques, milit<~ires et médicaux.
Aujourd'hui il s'agit d'un sujet tout à fait
spécial. Même. devrais-je dire. assez invrai-
semblable, parce-que. même nous à l'Agen- dans une large variété d'applications humai-
ce. il n'y a pas seulement deu.lt semaines de
cela. on n'en avait jamais entendu parler. on
.naissance, et faire panic intégrante de la vie
ne pouvait même pa~ se douter que l'infor-
mation, dans le sens de ce
qui nous a été
présenté. pouvait exister quelque pan.. Cene
infomtation concerne le Micro Chip Biolo· ·
gique d'ldemilïcation Internationale. Qu'est-
ce que c'est au juste? ...
A quoi cela sen-il? Quelle est sa définition? re. etc ...
Donc, des confrères américains ayanr réus.~i
à obtenir des infonnmions de source sûre.
(ces infonnations sont vérifiables). nous en-
voyèrent des documents audio. des photo-
graphies et un dossier de presse complet.
proven~nt de publications produites depuis
les années 89-90 dans des journaux officiels
aux Etats-Unis, ainsi que dans des journaux
religieux. Et cela concerne le "Contrôle
Elecrronique Direct de tous les individus".
Sur toute la planète de manière à ce que qui
que ce sail n'ayant pas reçu ce genre de
nouve lle identification ne pourrait. sous un
Gouvemement Mondial (!YJ>e dictature ·in-
224
par Serge Monast
temationale). ni acheter, ni vendre quoi que
ce soit. On pourr.tit croire que l'on a affaire
à de la science fiction, qu'on nous n1conte
des balivernes. m ais lorsque l'on se retrouve
devant de:~ documents écrits: avec des réfé-
rences à ces documems, el des documenl.s
vidéo, provenant des compagnies qui fabri-
quent ce nouve(tu dispositif élec1ronique, on
peut difficilement en douter.
Selon Terry 1.. Cook. journaliste chrétien
dïnvestigalion sur la côte ouesr américa ine;
celui-ci se rëférant à Tim Willard, éditeur
du magazine "Future Society", la technolo-
gie cachée derrière le nouveau Micro -Chip
humain n'est pas très compliquée et. avec
un peu de raffinement. pourmi~ être utilisée
nes. D'une manière plus que convenable! un
numéro pourrait être assigné à chacun dès la
de celui-ci jusqu'à sa mort. Vraisemblable-
ment, celte puce é lectronique pourr.tit être
impl:mtée sur le revers dt: la main et celle-ci
pourrait servir de "cane d'identification uni-
verselle"; ce qui remplacerait le.~ cartes de
crédit. les passe-ports, les permis de condui·
Au supermarché. il ne suffirdi.t que de "pas-
ser le poignet au-dessus d'un scanner" pour
effectuer ainsi un débil direct sur notre
compte bancaire! (Vu dans un film de laso-
ciété
AT&T). D'aille1,1rs, en ce moment même.
en 1993, une compagnie américaine, la
DESTRONIDI du Colorado, fabrique et ·
annonce ses "puces électroniques d'identi-
fication" (LO.I.CHIPS). globalement via
JNFOPET et d'autre~ distributeurs natio-
naux et internationaux.
Ces puces. pour l'instant. sont utilisées
pour repérer. conlrôlc r ct idelllilïer les ani -
n1aux de ferme. les ani1n<tu x domc!'l iqucs.
les oiseaux , les poissons ~~ tout produi1 ma-
nufacturé. Actucllemenl ce nouveau systè-
me se répand i1 l<1 vi lesse de l'éda ir sur mu-
tc la planète. Aujourd'hui. Je Numéro d"As-
sumnce Soci<tle sc compose d'une série de 9
chiffres. Selon d'autres infonnations reçues.
cc système ser.1 bicnlôt re mphu::é. (avec l'ai·
de des nouveaux ord in;Heurs). par une série
i111emationale de 1~ chiffres numé riques : le
"MESH-BLOCK ... un~ conliguralion inlcr-
nationale qui pemlellra de repérer n'imponc
qui sur la planète.
Cette nouvelle ~rie de 18 chiffres sem divi-
sée en 3 panics. c'est à dire. 3 séries de 6
chiffres ch:ICUil, (soit 666). r\U lllOIIICill OÙ
vous apprenez c~s nou vclks in fo nnations.
ces implams de puce électronique (aussi ap·
pelées "TRANSPONDERS'") sont panuul
répandues sur la pbnèt~ lXlUr k contn)l~:.<k
lïndustrie animale.
Un Tr.msponder. c'est un réccplcur-émet-
teur rJdio ou r:1dar activé pour la tr.m~m is-
sion par la récepaion d'un signal prédêtemli·
né. Donc cela pardit pcur-ëuc invraiscrnbla·
ble. mais je dois vous dire que nous av<m.~
été complètement époustoufflés. que nous
nous demandâmes où nous lXluvions nous
trouver exactement en lis;lllt ces infonna-
tions.
Est-ce que c'était une esp;œ de coup mon-
té? Qu'était-ce au juste'? Nous fûmes bien
obligés de nous rendre à l'évidence. <tvcc les
informations qu'on a reçues. les dossk!rs dt:
presse. que nous avions affaire à quelque·
chose d'excesliivcment sérieux et quelque·
chose qui. du jour au lcntlcmain. non seule-
ment pcnnct l'établis.~emc lll d'un gouvcmc -
mcll[ à l'échelle mond ia l~. un Nouvel Ordre
Mondi<tl comme le présidcm Bush ~n a par-
lé à un moment donné. mais qu'dlc pcnnet
le contrôle individuel direct. de chaque indi-
vidu sur 141 planète. qui st:mil enregistré
avec cc système. Et d'après les inform<ttions
que I'Oil a reçues. il est év ide nt que ceux ~1ui
complcnt l'implant~·r d'un\.· n1anil:r~ ohlig;•-
toire au niveau des popul:uivn s sont en tr.tin
d~ structurer ks O()uve;~ux par:ull~'lrcs Îllll'r-
na!Ï011au x. la nou ve ll~ télémétrie écono-.
111 ique. de manière ù ce que toul individu
qui n'aurait pas œ1 implant électronique ne
pourmit ni achéter, ni vendre quoi 'que ce
soi!. sur 1riu1c l'é1endue de la planète.
Il n'y aurait auc une possibilité de pas.~epon
ou de quelque . autre identification. ou
moyen, pour être capable de s'en sortir, ou
de sUivivre. d'achete r des mêdicamcnrs.
d'acheter de la nourriture. d·achcter une voi-
ture. de faire. de~ tnmsactions financières ou
autres. Pour mieux comprendre ce que peut
être ce Micro-Chip Biologique d'identifica-
cion intemationale. j'ai ici une définition de
la compagnie qui l'a fabriqué (parce-qu'li y
a plusieurs compagnies impliquées dan." ce
système de f:tbrication). Il y a la compagnie
DESTRONIDI , il Y' a aussi pour relier ses
composants kt compagnie TEXAS IN-
STRUMENTS (qui est connue par heau~
coup de personnes qui vont sc servir de ~..
calculatrices et de nouveaux éléments de
haule technologie); ct la compagnie TA~O­
VAN. qui est la comp<tgnie du liystème
d'identification électronique auJC F.lafs-Unis.
Ensuite il y •• la compagnie A VIl) qui f:sbri•
que. elle aus:ü œ qu'on appelle un Tag (c'e:;l
à dire une espèce de médaille dïdcntilê qui
est remplacée p;tr ceue pu<.-e électroniqU~; et
qui fai1 partie dt: I'AMERJCAN VETERI·
NARY IDENTIFICATION DEVICE; des
appareils d'identification pour le monde vé~
té rinaire ault Emts-Unis).
Donc. la définition. l'explication qui m'a été
lr.msmise par des joumalisrcs américains est
celle-d : l'implant Micro-Chip d'identiflèa-
tion est un mécanisme, un appareil d'indis-
crétion. d'abus lie la vie privée. ct it esl in-
séré avec une unité (un module si vous vou-
lez). qui peut s'enfoncer dans une très !"=Ûlc!
region de la pcilll, e n utilisant de rair COOl~
primé. En d'autres mots. on injecte celle pu-
ce ékctrnnique. qui n'est pali plu$ gJ'O$.~
<ru'un gr..tin de riz, à l'aide d"une seringue à
air C(lmprimé.
L'inclinaison de cet app-.reil d'implama~
tion csl une aiguille hypodcnnîque. mltiS
n'ay<llll qu'u ne ~nétration limitée. el qui
225
ne pourrait aucunement oPérer si l'angle •.:
n'était pas approprié. Cene unité. en Alle·
magne, émet Je signal qui est digiral ct qui
consiste en des jaillissements de 85 data·
bits. des pièces de données.
Ceux qui s'y . connaissent un peu dans le
monde des ordinateurs vont très bien com-
prendre ce genre de langage, à quoi peut
correspondre un ..85 data-bic.~;". Donc. cette
puce produit un signal digital analogue, créé
à des intervalles spécifiques. C'est un signal
de localisation. la technologie pour oet ap-
pareil esl hautement sophistiquée.. ce qu'on
appelle "High·Tech Classifiée" {cela veut
dire que c'est de l'infonnation qui n'est ·pas
publiée) et elle 'n 'est pa.-. soumise aux trans-
missions digitales nom1ales et analogues.
Cet appareil fournit des infomtations vita-
les, de même qu'il sert.de mécanisme de lo--
calisation. Qu'est-ce que cela veut dire? Ce-
la veut dire que rappareil peut être codé,
programmé, pour fournir des infonnations
complète." avec un numéro d'identification,
comme votre date de naissance, votre nom,
votre numéro de pennis de conduire, voue
numéro d'assurance sociale et d'autres inror·
mations .semblables. Cest un appareil de fo.
calisation parce-qu'il peut être repéré, donc
la personne qui le tr.tnsporte sur elle peut
être repérée, n'importe où, n'impone quand,
24 heures par jour, par un service de détec·
tion.
Cet appareil, d'après ce qu'on nous a rap-
porté, a déjà été expérimenté et implanté
dans des organismes de bébés, de militaires,
de messageo du gouvernement, et sur du
personnel constitué travaillant à la ~
Blanche dans des sections de haute sécurité.
On nous rappone .aussi qu'il fut utilisé pen·
danc la guene du Golfe et fut publiquement
mont~ à l'émission, très connue aux Etats-
Unis, 1WANY&TWANY, en août 1991.
Ceux qui pourraient revoir cene émis.slon,
qui est passée sur un réseau national améri-
cain, pourraient' vérifier que l'infonnalion a
rêéllement été diffusie, nous en avons une
copie ici.
JACK DUNLOCK, un détective privé de
11JXON, en Arizona, est arrivé, lui, avec Je
226
concept des enfants perdus, c'est à dire de
meure un appareil, (qu'il a appelé un KID-
SCAN) afin de locaJiser les enfants qui sonr
perdus ou Je.o; en(ants qui so~ enlevés.
Il suffirait, comme ille rapj>orte, d'incorpo-
rer et d'implâmer Je Bio-Chip, ceue puce
biologiq!Je électronique, à l'intérieur de la
· tion, la vie privée n'exiSle plus en aucune
peau de l'enfant, de façon que celle puce
puisse transmettre un signal, qui serait capté
par des satellites et retransmis sur un écran
d'ordinateur~ en cartographie assistée par or-
dinateur aux quan.ieo généraux des diffé-
rents corps de po~ice. Les parents ayant un
enfant perdu; comme il l'explique, pour-
raient appeler la police. n'impone quand,
donner leur numéro de sécurité sociale et de
cette façon , l'enfant pourr.1it être retrouvé
facilemenL
Donc, je ne sais pas à quoi cela peut vous
faire réfléchir. Oo peut pen..~r au "Meilleur
des Mondes", et on peut pen..o;er à d-autres
volume.<; semblables qui parai.o;saient tOlale-
m'ent impensables lorsqu'ils ont été publiés
la première fois. A l'heure acuaelle. avec
une technologie de cette trempe, on arrive
vraiment à la possibilité du contrôle com-
plet des individus sur la planète, el qui per-
met l'instauration d 'un gouvernement mon-
dial sous l'égide des Etats-Unis.
Willard, le même bonhomm~ considère au-
jourd'hui que le Micro-Otip en question se-
r.t remplacé dans la prochaine décade par un
Bio-Chip, une puce, mais fabriquée à partir
de proléines vivantes. Et ce que je vous dis
là sont des choses sur lesquelles des person-
nes ttavaillent acwellement et selon certai-
nes informations qu'on a .eçues, il semble·
rait que ce genre de Micro-Chip composé
de protéines vivantes, serait .déjà en stade
d'expérimentation à J~ure actuelle.
Donc. de la façon dont il l'explique. cene
puce pourrait être infmimeat plus petite et
avoir la capacité de renfermer une foule
d'information5. JI ajoute qu'el!e aurait le po-
tentiel de
pouvoir agir sur la mémoire ou la pe~e
d'un individu.
Mais il fait quand même remarquer au .
bout de la ligne que ceue très belle inven- me semblable, si on se refère à Henry
tion, cette haute technologie serait en même Kis~inger (que tout le:monde connaî't au ni:.
temps excessivement dangereuse pour la vie veau de la politique amér icaine).: celùi~i ·a
privée. · déclaré à la confÇrence annuelle des Biide.l~
berg. de 1992. à Evian en Fmnce. quelques
A partir du momenr où un système sembla-
temps après les émeutes de Los Angeles, ·il
ble est en existence. et qu'il est en applica·
disait qu'aujourd'hui, les américains ser.tie.nt
scandalisés de voir des troupes de l'ONU
manière (le Big Brother, NDLR). Parce-que
entrer dans Los Angeles afin de restaurer
le Micro-Chip biologique d'i~ntification
l'ordre mais demain, ces mêmes populations·
internationale est à même de pouvoir faire
vont nous remercier à genoux pour Ul) tel
dispamître toutes les cartes d 'identité exis-
acte.
tantes er toutes les canes de crédit et autres
qui peuvent ~xlster à l'heure actuelle parce- Il est spécialement vrai. comme il l'ellplï.
que. avec cette ·puce, on pourrait ~tre à mê- que. que si on dit aux populations : ·~ éco,l~
me de s'en servir comme identité universel· tez. il y a un danger extérieur énorme qut
Je à l'intérieur de laquelle on aurait toute existe", et qu'on déclare des lois en fonction
l'infonnation sur le nom, l'adre.'>se, le numé- d'un d~mger semblable,. que ce danger soit
ro de pennis de conduire. le numéro d'assu- réél ou non. on va être capable à ce moment
rance sociale. le numéro de sécurité sociale. ·là de faire passer n'impone quoi et les gens
.., le numéro de passeport, aout pourrait y vont ètre prêts à l'accepter pour le bien~t.r:e.
être inclus. de leur sécurité.
Selon Willard, une puce. électronique, une De la même façon. d'autres politiciens amé:
ricains. d'autres personnes, om imaginé qu~à
puce d'i~tification électronique humaine,
travaillerait beaucoup mieux et poumit être partir du moment où ce qui aurait fait UJ1
centralisée. Cest à dire qu'elle pourrait être scandale sans précédent au niveau de far~
locali5ée par un ordinateur central. Ce qui : gent, (une crise éc01iomique sans précé·
pennenrait de ne jamais perdre tmce de · dent), une crise économique qui sentit fabri~,:
quelque individu que ce soit sur la planète. quée de toute pièce, jeuer.lit toutes les va-
leurs monétaires par terre: D'après eux. le
De cette façon. cela pourrait pennellre de meilleur système qui pourrait être envisagé
remplacer complètement le système· moné-
pour remplacer une fois pour toutes le sys-
taire actuel. Parce-que rargem ne ser,tit plus
tème monétaire connu jusque là, et en mê-
néces.'\aire. Avec un numéro semblable, plus me temps empêcher qu'un tel chaos puisse
besoin de faire de chèque, plus be.-win
se reproduire dans l'avenir; Ce serairjuste-
d'avoir de carte d'idenliré, plus besoin
ment maintenant.
d'avoir de ~rte de plastique, de cane de
credit et autre, tout fonctionnerait à partir de Et j e ne parle pas ici de la surveillance aùto-
cet implant électronique sur l'individu. mobile, la nouvelle surveillance automobile
qui est en amin de s'installe r sur les autor-o,.J:-
Alors ces chers mesltieurs ont imaginé que
tes. et qui fait ressonir que les nouvelles au-
ce serait un moyen fantastique de réduire
tomobiles renf~mlent des systèmes de re*
les dépenses des banques. les dépenses de r.tge é lectronique. de détection, sans que les
l'étal, et de ne utr.tliser une fois pour toutes
acheteurs en soient conscient~. ce qui per·
tout le marché de la mafia, le marché noir,
met avec un système militaire, qui est en in-
le rrutrché de la drogue et toutes les autrès stall<~tion (et je peilse qu'il y en a déjà d'in-
formes de transfens illégaux de fond qui
1>1allés à l'heure acLuelle sur les auLoroui.CS
peuvent 'se faire puisque rargent n'existerait en Califomie ). pcnnet d'être capable de re.·
plus. ~rer yudquc voiture que ce soit passant ~~o~r
Et \es individus pourraienl être repérés ceue auto-
n'importe quand. En rapport avec un liYStè· route et en mèmç temps cela pem1e1 par
227
 un tïchier central au niveau de l'ordinateur
de la police , de pouvoir ~voir exactement
où est-ce-que vous étiez, où est-ce-qu'était
votre voiture à tel moment donné.
Et les sy~tèmes de détection sont rendus tel-
lement précis qu'on peut même aller jusqu'à
savoir qui conduisait la voiture et qu'on
peutie reproduire en photo.
Donc, il·n·y a vrdiment rien ... pour être ca-
pable d'échapper à leur surveillance à l'heu-
re actuelle. Selon d'autres sources d'infor-
mation, d'ailleurs, on nous informe qu'à
l'heure actuelle on est en train de mettre en
place un peu panout sur la planète, un des
réseaux les plus sophistiqués de détection
• d
ce qua permettra un système sans précédent
de surveill~nce de lous ceu" qui auront reçu
ce nouvel •mplam technologique {cela per-
meu:a aussi de pouv?ir facilemenr repérer
au mveau des populaflons, ceux qui l'auront
rcfu.~é).
Ave ce nouveau Micro-Chip d'idemification
internationale, il sera alors po,'l.~ible d'impo-
·ser un nouvel ordre mondiéd, à J'imérieur
du9uel tous ceuJC. qui n'auronr pas reçu ou
q~1 auront refusé cene marque d'identité.
n au rom aucun droit, ni d'acheter. ni de ven-
dre.
Cela veut dire quoi du jour au lendemain?
Aucun~ possibilité de travailler, de recevoir
un sala1re, de pouvoir louer un appartement
de s'acheter un moyen de transport. •
Comment voulez-vous vendre des objets
personnels (comme c'est le cas à l'heure ac-
tuelle de quelqu'un qui aurdil des difficultés
financières) si l'argent n'existait plus?
Vous allez l'échanger contre quoi? Qui va
a~cepre~ avec un régime de peur, imposé au
mveau mtemarional, de se risquer à échan-
ger des biens les un.'> par rapport ault autres?
Je vous g:mmtie qu'on se dirige vers une
~?Ye?ne galère et personnellement. nous
ICI à 1Agence, au niveau de notre conscien-
ce professionnelle, on a pris la décision de
rendre publique cette. informat ion. parce-
q~e ~la va tellement loin que si on ne le
fa•sau pas je crois qu'on pourrait se semir
228
pen:onnellement responsable de ne pas
avo1r averti les gens à temps de ce dan~ter
qui pèse sur leur tête (mais va-t-on croire
une tell~ affinn~tioo? J'en doute car je fis
des publications dans des numéros de Révé-
Iatiom et je fus critiqué par des gens non
lecteurs de la revue~ NDLR).
Nous pouvons affirmer que tous les hom-
mes politiques som au courant Vous savez
ces ge~s qui prennent Je pouvoir, qui son;
finances l_a plupan du tem ps par ces grandes
compagmes pour prendre la direction d'un
pay~. ou d'u~ holding très imponant (qui
devtent de fatt un état ... dans l'état) som au
co~rant de ce qui se fait, puis de ce qui se
pr~pare. un peu partout. Le seul fait est
~u Ils n en parlem pas du tout aux popula-
ttons parce-qu'ils considèrenr que ce nou-
veau système. qu'on va imposer, d'ici très
peu de ~emps est pour le bien salutaire des
populations.
On a ~is au point aussi. un Micro-Chip de
tr.tduct~on, une puce électronique pour la
tradu~uon, et, écoutez bien, ''un Micro-Chip
a mamtenant été_ mi~ au poim, ce qui per-
mettra la traduclron mstamanée et simulta-
né~ d'une .langue dans toute autre langue,
SOli au m?ms dans 61 autres langues et dia-
lectes qua. par satellite, peur être diffusé
p~nout ~ur la planète en même temps". Ain-
SI, un dactateur mondial pourr.a s'adresser à
toute l'humanité en même temps par Je biais
de ce nouveau prodige de la technolooie au
service ~·un nouvel ordre mondial. Et pour
ceux qua ont encore certains souvenirs his-
toriques, ils pourraienr sûrement reconnaître
ici cenaines similitudes entre un "ordre
nouveau~ el un "nouvel ordre mondial'·.
Que cela ~ous faS;o;e ~tléchir. Un autre gen-
re de systeme qu1 ex1ste est la surveillance:
au laser. Un nouveau laser d'écoute électro-
n!que a été vérifié, défini comme très spé-
ctal, par les départements enclins à la sur-
veillance. c'est à dire la CIA. le FBI et la
IR~ qu'est le revenu de J'Impôt aux Etats·
Unts. Ces nouveaux dispositifs. en utilisant
u~e fenêtre comme
d1aphragme pe~ve1~ suivre et enregistrer
toute conversation a plus de 20 miles de
distHnce. Tout te monde a entendu parler de
t'AD N. Voici la définition biologique : aci-
de désoxyribonucléique; donc l'ADN sera
utilisée comme mémoire pour les ordina-
teurs et les implants de mémoire d'isolation.
et là on se retrouve encore avec la haule
technologie. La source de cette nouvelle
biotechnologie (parce-qu'on en est rendu là
dans les développement~ actuels) provient
d'un tissu de bébé avorté. Ces tissus et les
protéines de mémoire sont des items ma-
jeun; pour l'intell igence aniticiellc dans la
marche des ordinateurs à l'heure actuelle.
Donc, avant de continuer, j'aimerais tnfor-
mer les gens p~rce-quc les par.tgmphes sui-
vants qui vont être lus sont excessivement
durs à accepter, même s'ils se mpponent à
des faits vérilîés qui existent. Et toute per-
$01\lle trop sensible pourrait peut-être passer
par dessus ces passages. Vous allez très
bien comprendre pourquoi. Ce que je veux
vous dire est n•pporté ici. Pour ce qui tou-
che le premier article, p:tr le Houselif(?)
Than on Foetal Tissue Founding. qui fui
r.tpporté par le Wenashi World du 25 juillet
1991, on peul y lire : "le gouvernement fi -
nance à l'heure actuelle des expérimenta·
tions sur des bébés avortés. morts ou vi-
vants, des bébés avortés dans le 3 ième tri-
mestre. âgés de 6 à 9 mois. survivent habi-
tuellement au processus d'avortement Ceci
est d'autanr plus important pour ces gens.
parce-que les tissus utilisés pour les expéri-
mentations doivent provenir de bébés vi-
vants."
Voici quelques uns des moyen5 utilisés lors
de ces expériences el l'article suivant e.~ un
extr.tit de l'édition du New York Guardian
de novembre 1991 écrit par le Docteur Ber·
nard Nathanson. anicle qui fur reproduit par
la suite dans le Midnight de janvier 1992.
Je vais vous lire cet article assez pénible :
"en Suède, une procédure a été suivie par
laquelle une femme enceinte est placée dans
un état de sommeil. Le bébé localisé est
amené jusqu'à l'utérus atïn de pem1eure au
docteur de percer le cnine du bébê vivanl et
d'y aspirer du cerveuu les tissus devant ser-
vir aux victimes de maladie de Parkinson et
d'Alzheimer. Cene même procédure est
pr~ ti quée sur des bébés vivams sur leur patl·
creas et leur peau. la peau devant servir
pour ce que l'on ~ppelle les grands brûlés.
Ces bébés sont écorchés vivants. L'industrie
de la recherche sur les tissus de bébé est une
industrie mondiale générant des revenus de
l'ordre de 8 milliards de dollars."
Et pour compléter cet article, en voici un
autre provenant du Macavone lntelligenœ
Adviser de mai 1993. Il rapporte que ta cli-
nique Samsun de Santa Barbara en Califor-
nie est sur te point d'imponer de larges
quantités de tissu foetal, la peau des bébés
avortés provenant de Russie où le.\ femmes
avortent en grand nombre, alors que les foe-
tus en som entre le .7ième et 9ième moi~. Il
semble d'après les expens que ces foetus
soient ceuJC. qui foumissent Je plus de tis~us
humains.
Ces tissus seraient utilisés pour traiter les
diabétiques. (Note de la rédaction. Il y a en-
viron ·2 ans j 'ai appris par quelqu'un tm-
vaillant dans un journal, qui a le poids des
mots associé au choc des photo.'l, et qui al·
lait souvent de l'autre côté de l'ex rideau de
fer, les choses suivantes. Elle aurai1 vu de-
vant elle dans des containers des centaines
de foetus dans des sacs en plastique tran$pa·
rent dont l'âge présumé allait de 5 à 8 mois.
Une discrète enquête auprès de certains
membres de la mafia russe, aidé en cda par
un contact bien placé. montr.tit que des jeu·
nes femmes se femient avorter pour quel·
ques centaines de roubles. les foetus se-
mienr envoyés dans le monde. USA, Sui5Se,
Angleterre. France. Allemagne, afin de per-
mettre à des chercheurs de travailler sur des
tissus humains. rechen;he sur le génome hu-
main, etc ...Ce trafic durerait depuis pas mal
d'années et ce, en toute impunité! ·
Cela vous semblera fou. mais alors. pour·
quoi cenains rédacteurs français ne voulu·
rent pas parler de ce honteux trdfic, preve-
nant ce journaliste qu'il risquait d'y laisser
la peau?
Les photos existent; les preuves peuvent
être Ougrantes. Il suffirait d'oser! mais entre
229

Ja mafia scientifique et le pouvoir politique,
lequel tenter'.tit de f<lire taire l'olibr.ius qui
. ?
osera1t.
On sait que ce honteux trafic arrive en Suis-
se er passe la frontière:·; Al ~rs! Sachant que
pour franchir des frontleres 1~ faut des doc~­
meniS, ces derniers sont : so1t des faux, so•t
les passeurs S()nt couverts par un côté diplo-
matique, soit ils entrent i llég11lement. Dans
un cas comme dans l'autre , c"est digne d'un
fi lm d'horreur ...
Je ne sais ce qu'ils peuveul faire avec des
cadavres: mais toujours est· il que cela exis-
te bel et bien!)
Un gouvernement mondial pennettant le
contrôle, la surveillance directe de tous les
individus sur la planète, par l'utilisation d'un
Micro-Chip biologique dïdentific<uion in-
lemationale c'est une chose; mais de quelle
façon est-ce que ces personnes à la tête de
la finance intenmtionale. (parce-<tue c'est de
là que tour part en fin de compte), des lllu-
minatis. du Grand Orient de FrclllÇe, (pour
ceux qui ont certaines références sur ces
différems groupes), comptenr-ils s'y prendre
par le biais de l'économie pour amener les
nations à accepter, de gré ou de force , l'in-
stallation d'un gouvernement mondial par
les Etats-Unis. Des collègues joumalisres de
la revue Monetury&Economic, revue moné-
taire et économique de mars 1993. m'om
fait parvenir le document suivant titré "un
gouvernement mondial par assentiment ou
asservissemem".
La personne qui a écrit le document est un
dénommé Nonnan N. Fr.tnce, économiste
senior au FAMC. Il esl aussi un ancien spé-
cialiste d'affaires au Color.ldO Office or
Economie Developmenr et l'auteur d'un ma-
nuel de planification financière. France esr
un ancien re.~ponsable des prêts et cher offi-
cier des opér.1tions dans une compagnie
d'investissement. Il est aussi un expert nota·
ble dan.<; le domaine de la finance el des in-
vestissements.
Donc, ce n'est pas un amuseur et le texte
qui m'a été envoyé par le M.&E.D. démon-
tre rout le sérieux des propos qui sont conte-
230
nus dans ce texte.
Ceux qui auraient tendance à dire par senti-
ment de peur personnelle (parce-que c'est
toujours un sentjment de peur qui à premiè-
re vue fait rejeter quelquechose de telle-
ment d ifférent qu'on n' ose même pas Y
croire) devraient y repenser à 2 fois lorsque
des s pécialistes dans différents domaines.
de différentes origines, travaillant dans dif-
férentes sphères d'activité au niveau natio-
nal e t international, rdpponent la même
chose, cela revient à accepter comme vrai
ce vieux proverbe qui dit "qu'il n'y a pas de .
f umée sans feu" .
(Ah! Si les furieux négationnistes de l'ufa.
logie pouvaient accepter ce proverbe ! ! ! )
C'est à dire <iu'on n'entend pas parler de dif-
férentes sources aussi diverses de quelque
chose sans qu'il n'y ait pas un fondement à
ce quelque chose. Dons, monsieur Fmnce
nous rapporte ceci: "Les pressions pour un
gouvernement mondial se poursuivent de-
puis de siècles, mais jamais encore n"avons
nous attetm le degré dans lequel nous som-
mes aujourd'hui." Des tenne..~ de l'ONU tels
qu'Autorité de loi, loi Mondiale, Sécurité
Collective, Ordre Mondial er Nouvel Ordre
Mondial (ce sont des tennes qu'on entend
très souvent dans les années 90 et des ter-
mes qui om souvent été répétés par le prési-
dent Bush aux Etats-Unis). sont des noms
de code qu'emploie l'establishment imema-
tional en référence ;, leur plan pour un gou-
vernement mondial unique. Donc ces ter-
mes qu'on entend et auxquels bien souvent
on n'accorde aucune importance, comme
monsieur France le fait ressonir ici, sonr
des noms de code. Dès 1945, devant le
sous<omité des relations étrangères du Sé-
nat Américain, le partisan (et grand initié fi-
nanc ier) d'un gouvemement mondial uni-
que, James T. Warbird (il y en a qui ont dé-
jà entendu ce nom quelque part) établissair
l'hypothèse devant laquelle nous faisons fa-
ce en proclamant : "nous aurons un gouver-
nement mondial q ue vous le vouliel ou
non, la question est de savoir si te gouver-
nement mondial ~erd
atteint par la raison ou par la force". Donc,
c'est un fin ancier international, initié. qu i
parlait ainsi à cette époque. Il y a ceux qui
proposaient une approche étape par éLapc;
Henry Morgan Todd(?) du C.F.A. un anc ien
secrétaire-trésorier pour F.D.AA. parfait au
n~m de la plupart des élitistes, du con.~ente­
ment q uand il disait :" Nous pouvons diffi-
cilement nous attendre à ce que l'Etal - Na-
tion, c"est à dire ·les différents pays, de vien-
ne superflu par lui-même." C'est -à-dire qu'il
est assez bien structuré pour qu'il n'y ait pas
de raisons pour lesquelles les populations le
balancent par dessus bord du jour au lende-
main. C'est ce qu'il veut dire. "Le but que
nous devons plutôt viser est l'acceptation
dans l'esprit de tous les élus responsables
(c'est à dire les hommes politiques) quïls ne
sont que les concierges d'une machine inrcr-
nation:tlè en banqueroute qui devra lente-
ment ètre trans formée en une nouvelle ma-
chine". C'est très important ce qu'il " 'ppor-
re; c'est en mars 93 4ue cela a été rapporté.
et en déœmbro 93. ces élistiques, ces gens
de la ha ure tï nance intcrnation;lle, viennent
ju!'temenr de conclu~ et de meure sur pied
la mécanique économique qui va pennenre
m.ainlenant, au niveau de tous les pays. l'in-
staumrion d'un nouvel ordre économique. Et
monsie ur Fnmce de cont inue r en disant :
"L'ingrédient clé dans ceLte fom1ule e..-.t de
mettre en banqueroute financière la machi-
ne inremationale" (Et si Bernard Tapie S4tns
vraiment le savoir(?) entrait dans cette caté-
gorie. cela expliquerait les fac itités trop
étranges pour obtenir des crédits.NDLR)
En d'au"tres mots cela veut dire quoi"?
Cela veut dire créer de route pièce. non pas
dans les fait s, mais d'une façon factice. qui
n'existe pas en réalité, et de faire croire aux
populations qu'il y a une crise écoryomique.
LEUR FAIRE CROIRE QUE L'ECONO-
MIE VA _MAL, QU E LES PA YS SONT
ENDETTES VIS A VIS DU FONDS MO-
NÉTAIRE INTERNATIONAL ET QUE
POUR ÊTRE CAPABLES DE REM-
BOURSER LEURS DElTES, ILS DOl-
VENT COUPER À L'INTÉRIEUR DE
LEUR ÉCONOMIE AU NIVEAU DE DIF-
FÉRENTS PROGRA Mf\.1ES SOCIAUX."
(N'est-ce pas Monsieur J up~! Toucher au li-
vret A est un début, mais qu'un dé-
but.! !N"oublions pas J'appartenance de Jupé
et Chirac à la Trilatérale. NDLR)
Programmes sociaux dom on parle au ni-
veau des coupures au Canada. Si vous avez
des postes rddios avec ondes courtes et que
vous avez accès aux nouvelles internationa-
les, vous allez vous rendre compte. avec
surprise. que les mêmes problèmes exisrenr
dans plusieurs pays d'Afrique et d'ailleurs :
on parle de coupure au niveau des budgets à
cause de la dette intérieure de ce pays, et de
la dette extérieure. (Tour à fait le program-
me français que Jupé appliquera enve~. et
contre tout malgré les oppositions. N'ou-
bliez pas quïl a d it : "Quoiqu'il se passe en
nous, au gouvemement irons jusqu'au
bout"NDLR}
On parle de coupure au ni:v-eau des pro-
grammes sociaux . jamais au ni veau des pro-
grammes militaires. On touche directement
les populations. Donc, cda obliger.t les
Etats- Nations à se tou rner ven le fonds mo-
nétaire imemational de l'ONU et la Banque
Mondiale (Appanenance directe à la Trila-
térale. NDLR). pour les sortir de leur pétrin.
mais la condition sera que les emprunteurs
(c"est à dire les Nations comme le Canada
ou d'aurres pays) devront abandonner leur
souveraineté nationale. N'est<e pas ce
qu'on connaît à l'heure acruelle avec le libre
échange? " L'abandon , lcnteinenr , é1.ape par
étape, sans que cela pardisse. de la souverai-
neté nationale." ·
Je pense que c'est le 14 décembre 93 qu'il:;
sont arrivés à une entente inte rnationale au
n iveau économique et }e Canada a été obli-
gé de dire :"Ecoutez, ce n'est pas de noue
fau!è pour les agriculteurs m ais on était toul
seul". (Ils subissent au Canada comme chez
no us des servitudes qui vont les amener à
dispardître au profit de puissants lob-
bys.NOLR)
Mais dires- vous que cela c'est du théâtre, un
scénario. Donc "que les pays abandonnent.
leur sou verdincté narionale, qu'ils se r.lS-
semblent, qu'ils fassent la paix de foree et
quïls
231
passent le contrôle à l'ONU q ui deviendra
Je premier l)icmteur du n~t~nde". Cela veut
dire (non pas dans les tans pour ne pas
apeurer les populations m <~is a~1 ni ve<~u des
si••naturcs) que les Etats· Niltlons la1ssent
0 • •
tomber le l\lcment leur souveramete c t ac-
ceptenc de ne dépendre que de l'ONU pour
leur survie et acceptent en même temps
tOu tes les dircccives que cet organisme va
.. .
leur dicter. Ce qu'il est importanr de re-
, .
marquer 1c1 c est que cette s tnueg1e qut se
. drées alors que c'est complètement faux
passe en 1993, a été mise en avant par la
première société secrète penc~am_ vers la
conquête du monde : les lllunu naus. Et cc
que je vous dis cc n·est pas de la science-
fiction. C'est extrait d'une revue monétai-
re. économique, de mars 1993. et c'est
écrit par un financier qui est loin d'être une
espèce d'illumin~.
Ce gars Clôt un spéc i ali~t.: en économie. Et
il d~. d "après l<t n:cctlc du .. Cod~ des lllu-
minalis" ccci: ''Afin que ks masses n'aient
pas le temps de ~ nser cl de sc rendre
compte. leurs esprits doivent être occupés
par l'indu!\1rie et le cmnmerœ. Ainsi toutes
les nations seront <tvalées par l'appât du
gain et dans cene cour~ ils né· verront pas
leur ennemi commun". Ce n'est pas bien
compliqué. C'est le principe de la strdtégie
politique : absorber l'aucn1ion de quel-
qu'un sur un point précis pcndam qu'on est
cti rrait1 de préparer aut re chose. Nous
sommes tous témoins de cette quête effré-
née des profits dans l'industrie (et le com-
merce) et on peut parler au niveau des po-
pulations d'esprit matérialiste.
On ne se rend p:.1s compte qu'on fait partie
d"un système tinancicr en banquemute qui
est sur le point de s'écrouler. Notre ennemi
commun est le système bancaire global.
central, donc la himque monétaire (le
f()nd~ monél;aire Îlllcm ati(m:tl o u FMI).
C es1 un mécanbme qui a déjf1 été essayé
au niveau de quelques ~lits pays séparés.
à la fois pour voir quelles étaient les réac·
rions de la populi1tion. e t commem cela
foncrionnc mit. Avec l'~xpéricnce du passé.
ils som à même. aidés par la technologie
;1ctue!le. et sunou1 par k sy~tètne d'ordina-
232
teurs. d'être capables de fabriquer, de pu-
re pièce, le complot d'une crise économi-
que. san~ que le~ grandes institutions finan -
cières. le:; grandes corporation s financières.
comme les grar'ldes compagnies telle par
exemple Gcner.tl Motor, General Electric et
autres s'cffondrem. Dans les bulletins d'in-
formations, on va tellier de vous fai re croire
que ces grandes corpor.1tions se sont effon-
dans le~ faits.
Comme les économies de tous les pays. y
compris les Etals-Unis, continuent de s'ef-
friter à cause des endettements, si vous pre-
nez le temps de réfléchir. et si vous calcu-
lez, par exemple, à l'heun: actuelle, la dette
du Canada. juste au niveau des imérêts,
vous ëte.~ obligés de vous rendre à l'éviden-
ce d'une chose : que ron fasse n'importe
q uelle coupure. quelle qu'elle soit, que l'on
tàssc des coupuœs sur absolument tout, du
jour au lcndcma in. faites le calcul et vous
allez vous rendre compte que cela semit to-
talement impossible de rembourser une telle
dette. Surtout une delle fabriquée à ce point
là par ceux qui possèdent l'économie mon-
diale.
Donc comme les économies de tous les
pays, y compris celle des Etats-Unis et du
Canada continueront de s'effriter à cause
des ~ndettements, les élus de rous ces pays
se verront incapables de régler le problème
et seront perçus e ux-mêmes comme étant le
problème.
Cela s'est vu. les hommes politiques, par lo-
gique. ne sont pas capables de régle r un
problème qui ne peut pas être rég lé, qui n'a
aucune solution; les élus. les hommes politi-
4 UCS en charge perdent de leur prestige et
perdent le pouvoir. Et vous allez voir dans
quels buts. le résultat sera une chute du gou-
vcmement et un c ri de délivrance à l'ONU.
En d'autres mo rs. multipliez et augmentez la
fréquence de la crise, et l'augmentation des
coupures au niveau du social, et vous allez
provoquer des crises sociales. des provoca-
tions d'une telle violence dans différents
pays, et cc à l'échelle internationale qu'à un
moment donné
ce sont les populations elles -mê mes qui
vont se tourner vers !"O NU et qui vom dire
:" Ecoutez, faites quc lq ucchosc au niveau
internationa l, faites n ï mponc quoi. on va
l'accepter, pour ama111 qu'on ait la pai x et
la sécurité...
Ce la vient d'<trrive r dans l'ancienne Union
Soviétique el se trouve à l<t veille d'arriver
à la dernière des super-puissances· : les
Etats-Unis.(Aiors qu 'en Frimee le système
est déjà bien implanté.NDLR)
Donc. en premier-plan des affaires inter-
nationales, il y a une lutte pour la survie
des ethnies, des droits religieux et de la
souvcmîncté nationale.
Partout où ceux -ci son1 menacés se produit
un conf! ir qui demande l'intervention de
l'ONU.
En d'autres mors. ce do nt je viens de vous
parler : la fabricmion de toutes pièces de.
conflits., en se plaçant d<uls le domai ne so-
cial. en augmeman t par conséquent les
tensions sociales (c'est aussi dans ce sens
là qu'on a ouvert. d:tns beaucoup de pays.
les front ières à l'immigration afin cfaug-
menter les tensions intérieures entre les
différentes éthnies et entre les différentes
religions, de sorte que les pays en viennent
à perdre le contrôle au n iveau de leur sé·
curité intérieure).
Donc p<~rtout où ceux-ci sont menacés se
produit un con llit Et, pour régler le
contlit, comme c'est le ca.-. en Somalie, on
demande l'intervemion de !"ONU. C'est
just~ment ce qui était recherché. On a fa-
briqué de routes pièces le connït. pour en-
suife faire intervenir des forces multinatio-
nales. Ceci fait partie d'une stratégie déve-
loppée par un philosophe allemand au 18
ième siècle. C'est un phénomène de stmté-
gie dialectique, ce serait très long à expli-
quer, mais cela revient à dire que Je chan-
gement majeur qui se produit en ce mo-
ment, en 1993, est que chacu n de ces
conflit:> internationaux, phmitiés à l'avan-
ce, demande une plus gmnde participation
de.o; troupes multinationales de l'ONU. qui
som majoritairemell! constituées de per-
sonne! rnilitnire amé ricain. Ce n'est pas
pour rien 4ue c'est ainsi.
Prenez pur exemple le cas de la Somalie
cc !a tàisa it lou t, de même des années qu ~
l'Organisation Mondiale de la Santé et d'au-
tres organisations mondiales savaient avec
tous les chiffres ct <tvec tous les experts
qu'ils ont, qu'une famine et que des ·troubles
sociaux sans précédents éclateraient dans
cette partie d u monde. On a carrément lais-
sé aller la situation jusqu'au bout, pour né-
cessiter l'utilisation d'une force multinatio-
nale, dont les forces américaines serdient
majoritaires.
Le résultat est que les troupes américaines
sont dispersées un peu parto ut dans le mon-
de. faisant part ie de la nouvelle force de po-
li<:e planétaire, sous le comrô lc de l'ONU.
Donc o n dispcr.o;c k s forces rnilit4lires du
pays le plus puissant sur la planète. On les
disperse un peu partout dans différents
coins du m onde. Vous allez voir pourquoi.
Les grandes lignes de ce tram;fcrt de la for-
ce militaire américaine sous le contrôle de
l'ONU se tmuvem dnns le programme Free~
dom from War. On a des documents écrits·
avec des photographies qui nous ont été en-
voyés des Etats-Unis. et qui démontrent
clairemem ce qui est en rrain de se passer à
ce niveau. Le progra mme des Erats-Unis
pour un désanneme nt complet et général
dan.~ un m onde pacifique, établi par le pré-
sident KENNEDY (Publication 72-77 du
S1a1e Depart meIll).
Ce programme en trois phases propose en
phase 2 : "La force de la paix de J'ONU. sera
établie el renforcée progressivement à partir
du matériel américain". Cette phase 2 est le
stade justement où nous somme.-., en 1993.
Sans que personne s'en rende comp1e direc·
cement. la m ajeure partie des forces militai-
res américaines et des installations militai-
res américaines. ainsi que des bases militai-
res, som en train de passer lentement sous le
contrôle des Nations Unies, au niveau inter-
national, et non plus comme c'était le cu
aupa ravant, au profil d'une seule nation
qui était les Etats-Unis .
233
 ADDITI F
Puis. plus loin : le désam1emcnt progressif
contrôlé (parce-qu'on est en tmin, vous en
entendez parler depuis plusieurs années, de
penser en même temps qu'il y a un transfert
militaire semblable, on pense à un désarme-
ment, mais désarmement qui est contrôlé.)
continuera jusqu'au point où aucun état, in-
cluant les Erats-Unis (comme on vient de
J'expliquer, la plupart des forces militaires
sont transférées sous contrôle des Nations
Unies) ne possédem la force militaire né-
cessaire pour défier l'autorité progressive-
ment renforcée de l'ONU.
Cest un fait. il n'y a aucune nation pratique-
ment qui pouvait s'affronter directement
aux forces militaires américaines, surtout
avec la technologie qu'ils possèdent.
Si la plupart de ces forces, comme c'est le
cas à l'heure actuelle, sont de plus en plus
transféré.es sous le contrôle de l'ONU, mê-
me les Etats-Ùnis en tant que nation, n'au-
ront même plus de force militaire propre
pour s'opposer à la volonté de l'ONU du
jour au lendemain. Le résultat est que cha-
que pays sera soumis à la puissance militai-
re de l'ONU, c'est à dire aux forces multina-
tionales sous le contrôle de l'ONU.
La dispersion planifiée des troupes améri-
caines aux quatre coins du monde et les
coupures dans les budgets de la Défense,
nous laissent sans défense face aux Nations-
Unîes. Et on remarque aussi la même chose
pour le Canada. A l'heure actuelle, si quel-
qu'un prenait le temps d'additionner des
chiffres, par rapport aux forces canadiennes,
il serait obligé de se rendre compte qu'il n'y
a pratiquemem plus de forces canadiennes
au sein des forces multinationales des Na-
tions-Unies qui sont dispersées un peu par-
tout sur la planè~
Donc vous allez peut-être me dire que le
Canada n'a pas besoin d'une force militaire
tellement forte pour se défendre (contre qui
d'ailleurs?), puisqu'il n'y a plus de guerre
froide. Avec les Etats-Unis comme voisins,
il n'y a pas tellement de danger pour qu'il
soit attaqué. · toutes
Si éclataient du jour au lendemain des trou-
233 bis
bles sans précédent, à l'intérieur même
du pays, les forces policières à l'intérieur du
pays ne seraient même pas suffisantes pour
être capables de contrôler afin de venir à
bout du problème.
Et si les forces policières ne sont pas suffi-
santes et qu'il n'y .a pas assez de force mili-
taire intérieure pour venir à bout des émeu-
tes, quelles sont les forces militaires aux-
quelles on ferait appel pour être capable de
régler Je problème? On serait obligé de faire
appel aux forces mulùnationales des Na-
tions-Unies, c'est à dire qu'on se retrouve-
rait du jour au lendemain, en territoire cana-
dien et en territoire québecois, avec des sol-
dat.~ étrangers venant par exemple de la
Russie, de l'Afghanistan ou de n'importe
quel autre pays pour servir de police natio-
nale par rapport au x troubles qui auraient
éclaté. Vous allez me dire quels troubles?
Ce n'est pas tellement difficile de définir
lesquels!
Avec la détérioration économique, les cou-
pures dans les budgets sociaux, l'augmenta-
tion des tensions sociales qui vont c;ontinuer
de plus en plus, il est clair et net qùe la plu-
part des nations, les Etats-Unis, le Canada,
la France et d'autres pays se dirigent direc-
tement vers un éclatement intérieur.
Donc, pour continuer, ce monsieur France,
qui est économiste, écrit :" Pendant la cam-
pagne, le président Clinton a proposé une
force de police de 5000 hommes pour s'atta-
quer à la criminalité : la Nouvelle Force de
Police Nationale de l'Amérique du Nord.
Cette force est en train de se mettre sur pied
à la vitesse de l'éclair et peu de gens se ren-
dent compte que nous les voyons tous les
soirs aux nouvelles.M (yt/aco au Texas par
exemple).
Pour tous ceux qui ont surveillé les nouvel-
les quand le drame WACO éclata, je peux
vous dire, d'après des contacts que j'ai avec
des journalistes américains, qu'on ne vous a
jamais présenté exactement ce qu'il s'est ré-
éllement passé. On a fabriqué la chose de
piè
ces, toute l'opération était un terrain d'ex.-
périmcntatiou contre un groupe religieux.
Quelle que soit lïdéologie de ce groupe le
problème n'e:;t pas là. Ce groupe religieux
devait scrv ir de base d'ex périmentation par
rapport à d'autres groupes religieux beau-
coup plus importants. (Comme chez nous
actuellement avec le Temple Solaire. Nous
sommes tous é10nnés que les R.G. puis-
sent laisser des adultes décider de la mort
d'enfants! Le Temple sen de tremplin pour
combattre d'autre sectes comme la Scicn-
!Oiogie par e.'<emple qui pourrait devenir
un état dans rétat!NDLR)
Maintenant il n'y a a plus de doute que
David Koresh était le chef d'une secte (et
l'on parle toujours de W ACQ) le vr.:~i but
de ce ra id était de penne ure à l_
' establ ish-
ment de présenter cene force de police
comme quclqu<:chose de bien. Cette nou-
velle force de police de 5000 .membres.
des forces de police qui éraient là-bas à cet
instant, faisaicm partie jusfemem de celle
nouvelle force ."le plan est de développer
t'acceptation du public". Qu'est-ce que l'on
fait pour faire accepter par le public en gé-
néral quelquechosc de nouveau? On le
montre à la télévision (en Frc~nce les mots
"vu à la télé" sont un sésame pour les es-
crocs et se veulent symbole de ... véri-
té!NDLR) comme étant un élément eftica-
ce au niveau de la paix et de la 5écurité. Et
il continue :" Ces troupes solll une conso-
lidation, la Nouvelle Force de Police Na-
tionale au.x Etats-Unis est une consolida-
tion des agents de la CIA. du. FBI , de
I'ATF, du DEA ct des Impôts et aut res
agences poliôères et gouveme menta les."
D'après un officier des ~rvices secrets de
l'année américaine, (que nous appellerons
Marc) j'ai obtenu des infonnations a~sez
bouleversantes et explosives qui vom être
diffusées prochainement. Ces forces ~ont
maintenant appelées la police MJTF, qu i
est le Détachement Spécial Multi-Juridic-
tionnel. Multi-Juridictionncl cela veut dire
que cela peut agir à peu près d<ms n'impCir-
te quel secteur. D'après Marc, leur mission
est d'effectuer des foui lle~ et des saisies.
maison par maison. de pr.uiquer la sépar:1-
234
rion ct le tri des hommes, femmes et en·
fanrs en grand nombre, ainsi que le trans-
fert dans r.les centres dè détention. (Ceci
n'est pas faux c-4r duran! la guerre du Viet-
Nam des asiatiques "américains'' fureAt
parqués dans· des camps sur le territoire
américain NDLR). J'ai un r..tpport complet
qui touche justement le programme pour
l'établissement des camps de concemration
aux Etats-Unis. (mais je ne parle pas de
vieux camps de concentration datant de la
dernière guerre mondiale). Je parle de
quelquechose de complètement nouveau.
Je possède un rc1pport de 50 pages avec
cartes géographiques pour le prouver, avec
des sources de référence.-. nombreuses.
Donc, cene nouvelle force de police, com-
me il est dit ici, semble coïncider avec le
plan RISK('!} AD4 du Président Reagan
(cela ne remonte pas tellement loin) qui
metrait en marche Il centres de détention
fédémux en Floride. en Virginie, en Geor-
gie, dans I'Etm de New York, en Pennsyl-
vanie, au Wisconsin, en Arkansas. Arizo-
na et Californ ie . De plus, des r.tpports
nous parviennent (er ce n'est pus moi qui
l'ai écrit) et qui spécifient q u'il existe bien
des wagons de chemin de fer spécialement
conçus, avec des chaine.~ et des fers sur les
murs pour te transport des prisonniers (je
vous avoue avoir reçu des r<~pports et ce
venant de différentes 5ources. de différents
joumalistcs à tntvers les Etats-Unis) Un
wagon de chemin de fer dans la région de
CUPBAIN(?) au Momana, était chargé de
menottes de fer el de guillotines. Est-ce
que cela ne semble pas étra nge, demande-
t-il'?
Marc expliqua aussi comment · le MJTF
tmvaille en conjonction avec la FENCEN,
qui est le nouveau stade de force de police
de l'ONU. FENCEN c'est le Federal Emer-
gency National Cemer. L'une des particu-
larités de ce FENCEN, c'est que tous leurs.
uniformes som noirs sans signe extérieur
d'idemificarion. Les jeeps, les camions mi-
litaires, les hélicoptères sont noirs. Si vous
ne le savez pm:, sâchez que vers le milieu
du mois de novembre 93, autour de Mon-
tréal il y a eu des opémtions comprenant
entre 50 er 70 hélicoptères et à l'intérieur
de la composition des forces militaires en
présence il y avait des hé licoptères de
l'ONU et des hélicoptères du FENCEN
tout en noir. Tous faisa.ient des opérations
militaires autour de Montréal.
C'est ce qui m'a été. rapporté de source sûre
par certaines personnes.
Pour en revenir au FENCEN en question,
dont on possède des rapports ici à l'Agence,
il est composé de polices militaires et secrè-
tes, dont le nombre se chiffre à l'heure ac-
tuelle à environ 300 · 000 dans les Etats-
Unis. D'après Marc, leur uniforme est l'ha-
bit de combat classique noir. Ils portent no·
tre ammre anti-balle couleur noire; le cas-
que est un casque spécial protecteur de mê-
me couleur. Si vous avez suivi les événe-
ments de W ACO. vous aurez remarqué que
les forces du MJTF om été épaulées, puis fi-
nalement remplacées par les troupes du
FENCEN. Ces troupes FENCEN sont trans-
portées par des hélicopfères noirs banalisés
que plusieurs per.;onnes o tn rapporté avoir
vu partout à travers les Etats-Un is et qu'on a
vu à la télé pour W ACO.
En novembre 1990 le président Bush signaif
un ordre d'exécutif qui tmnsférait 1/3 des
véhicule:> de la reserve aérienne Str.itégique
des Etats-Unis au FENCEN, à un coût de
12,8 milliards pour le comribuable améri-
cam.
Et ils ont été peints en noir et ne portent au-
cune idemification et ils sont utilisés par le
FENCEN. Deux choses entrent en ligne de
compte: c·e.~t l'organisation intemationale
pour la chute de l'économie, et en même
temps que tout ce mécanisrne est en prépa-
rdtion au niveau du fonds monétaire inter-
national. on a la constitution d'une nouvelle
force de police nationale à tn!Vers l'Améri-
que ainsi qu·une nouvelle force de police
militaire, les deux se faisanr en même
temps.
Les groupes de combat de l'ONU sur les
territoires américains er canadiens. Toujou rs
d'après Marc, le niveau fina l de forces mili-
taires qui vient d'être structuré cette année
( 1993) sont les groupes de combat de
l'ONU à l'intérieur des Etats-Unis. Des car-
tes gé(>gra phiques le prouvent!
Ces troupes son~ situées à la frontière de la
Californie et de la Virginie, et il e~ iste des
groupes de combat équivalent à 34 000
hommes. Située dans la région de Sacra-
mento se trouve une autre force de 34 000 à
40 000 hommes et un contingent de 22 000
.soldats de l'ONU est situé au sud de L:A.
C'est quand même bizarre dans ce coin là ! ·
D'ailleurs, dans d'autres rdpports et d'autres
cassettes je pourrdi vous rapporter ee que
des collègues américains m'ont envoyé à
propos des troupes de L.A. comment est-ce
que ces froupe..~ ont été pennises el structu-
rees jusqu'à un cènain point pour servir de
terrc~in d'expérimentation , au niveau de
troubles sociaux incertains à l'imérieur
d'une grande ville américaine par exemple.
LA. pouvait très bien servir de base d'étu-
des car cette ville est la deuxième en impor-
tance au x Etats~Unis, après New-Yotlc...
Marc ajoute que de plus, du Montana jus-
que dans les territoires canadiens. se trouve
un groupe de combat de 37 000 hommes
qui est constitué de deux brigades d'infante-
rie mécanique E.E.C. (deux brigades ·d'in-
fanterie mécanisées standard), la première
division d'amtée canadienne et une brigade
de sécurité légère japonaise. Et cela c·e....l sur
le ten·itoire c:tnadien et américain à l'heure
actuelle. La présence des troupes de l'ONU
russes. yougoslaves, roumaines et coréén-
nes en sol américain et canadien a aussi~~
rdpporté par d'a utre~ sources fiables. Où ga-·
re-t-on ces t.r oupes? Dans des bases militai-
res qui sont supposées en tr.tin de renner.
D'un côté on vous dit qu'on fem..e à cause
des coupures budgétaires des bases militai-
res et en fin de compte, soit on en construit
d'autres ou bien on en ouvre d'autœs. Par
exemple, avant de quiuer la présidence.
alors qu'il était devant l'ONU. Monsieur
Bush tmnsféra la garde de Fort Dix{?) aux
autorités de l'ONU pour servir de camps
d'e nt r.t ï ne ment.
A quoi Lout cela se résume-t-il?
235

Le Nouve l Ordre Mondial prévoit de nous
amener un Gouvemement Mondial Unique.
non pur la raison m ais par la fo rce.
D'a illeurs. l'a rticle 1 des Illuminais dit ceci
:" Notre mot d'ordre est forcer et faire sem-
blan!''. Et il dit aussi : "Seule la force triom-
phe en malière poli{ique, spécialement si cl-
le est cachée dans les talents essentiels des
hommes d'état: en d'autre.~ mots, des comé-
die.'>, des hommes de théâtre, parfait~ La
violence doi1 êrre Je principe, et la ruse la
règle pour les gouvcmemenls".
En d'autres mots , on revie m exactement ici
aux mêmes lignes de conduite qui avaient
été saisies lo rs de l'imposition du commu-
nisme en 1917. La violence émit le principe
de base. Ape urée les populations , pour les
meure à ge noux: la ruse et le tàire semhlant,
c'est à dire une autre version. c'était la règle
pour les hommes politi{tUes. Si vous regar-
dez ce qu'il vient de se dérouler il y a seule-
ment quelques temps en Russie pour un
nouveau personnage polilique montant qui
risque d'ici quelques années de prendre la
présidence (On sait maintenanr qu'il s'agis-
sait de Boris Eltsine. NDLR), vous allez re-
marquer un signe d'ide mitication qui ne
pouvait être connu que par tes personnes
qui son! au coumnt de ces choses au niveau
international, ou des personnes qui font par-
. tie des groupes in te mm ionaux. des Ilium i-
natis ou du Grand-Orient de France. Rappe-
lez-vous qu'à un moment donné on a vu cet-
le personne poncr dans la main gauche des
roses ou des ncurs rouges. C'est un symbole
de reconna issance intemationale. Fidel Cas-
tro en portait lui aussi, le Président Mirter-
nmd en France en a poné à un moment don-
né (lors de sa visite au Panthéon. NDLR) et
vous remarquerez que les grands hommes
politiques. idemifiés au groupe des inlcma-
tionalistes. vont se servir de ce symbole de
reconnaissance , comme étam aussi un sym-
bole de remerciement pour avoir été porté
au pouvoir. Ici cela nous sert de clé pour
comprendre ce q ui est en train de se passer
en Russie.
Mais. pour cc lJUÏ est de la constitution d~
cette force multinationale. sujette au cont rô-
236
le des Nations Unies, en même temps que
l'on est en tr.lin de fabriquer à l'échelle
mondi:tle, de toutes pièces, une crise écono-
mique , on a le tableau exact pour compren-
dre qu'à plus ou moins long cenne les socié-
tés vont se retrouver dans un état de crise
sociale er politique relie que la seule issue
qui va leur être laissée serd de se rallier en-
tièrement aux Nations Unies. Les peuples
vont demander aux Nations Unies d'être
protégés et de pouvoir retrouver une paix.
une sécurité ct une stabilité. C'est justement
ce que recherche cette organisation mondia-
le et c'est justement ce dont ils ont besoin
comme préte,11,te pour établir un gouverne-
ment mondial.
Cela se passe ra .à ce moment là juste au mo-
ment où les peuples, excédés, serom m is à
genoux malgré eux. Dans les prochaines an-
nées on va vous dire :'' Oui, il y a un cenain
espoir pour régler les problèmes économi-
ques mais dans la réaJité vous allez voir les
problèmes économiques augmenter". Les
coupures dans les programmes sociaux pre-
cis augmenteront à tous les niveaux : les
syndicats, au niveau des grèves vont s'éle-
ver contre les gouvememencs. Les gouver-
nements vont démissionner les uns après les
autres parce qu'ils n'ont aucune solution à
apporter. Ils n'ont aucune solution parce que
le FM 1 ne leur en laisse aucune et à ce mo-
ment là, on va amener lentement les popula-
tions à genoux, ayam perdu à travers une
fausse crise économique les avoirs, les ré-
serves d'argent. les propriété.~. A PARTIR
DU MOMENT OU LES POPULATIONS
SERONT PLACÉES DANS L'OBLIGA-
TION DE SUPPLIER L'ONU DE RAME-
NER LA PAIX ET LA SÉCURITÉ (et de
le ur implanter sous la peau des Micro-Chips
Bio logiques d'identification internationale)
auront déjà été tous préparés de manière à
ce que les gens soient prêts à l'accepter,
pour leur sécurité. pour la stabilité et pour la
paix. En fin de compte. qu'ela -ce que propo-
se le New Age mondial (le nouvel ordre
mondial), la conspir.uion universelle de
l'ère du ver);Cau, si cc n'est la paix,la sécuri-
té, et le bonheur pour l'homme ki bas, à
l'heure 3Ctuelle (il est vmi que ce la devient
le leitmotiv des sectes. NDLR). D'ailleurs
pour vous montrer de quoi sont capables les
internationalistes, de quels genres d'indivi
dus il s'agit IC I,
voici un article (il y a juste un petit pamg ra-
phe) qui fut rapporté par le Journal de Mé-
decine de la Nouvelle Angleterre. Lorsqu'un
article esl r.tpporté dans un journal de mé-
decine de cel acabit. c'est parce qu'il a été
vérifié auparavant, sinon il ne passerait mê-
me pas le cap du bureau de rédaction. Je
vous informe à l'avance que l'anicle est très
dur mais il donne une idée du genre de bon-
hommes, ce dom ils sont capa bles non pas
ici dans le secteur économique, mais dans la
recherche biologique el dans l'appât du
gam.
Tout Je monde a entendu parler du collagè-
ne. le collagène est une protéine fibreuse se
trouvant dans les os, le cartilage et dans les
tissus reliés. Est-ee la substance gélatineuse
trouvée dans les tissus. muscles, os et carti-
lages et dont on se sert dans plusieurs sham-
poings. lotions de beauté, crèmes pour les
mains et le visage contient du collagène?
Première question que l'on se pose parce·
que beaucoup en renfennent. (On sait que
de nombreux pmduits de ... beauté sont tirés
aussi du placenla récupéré après un accou-
chement. Rouge à lèvre.~. crème anti-ride,
etc ...NOLR) Deuxième question : est-ce
que vous avez déjà vérifié si ces produits
renfennem des spécifications concernant les
animaux ou les bovins ou bien s'il s'agit de
collagène provenant de bébés? Et là ce n'est
pas une blague! Ce que je vous dis a été
rapporté dans le Journal de Médecine de la
Nouvelle Angleterre. les tissus, la culture
des tissus pour le collagène ici, som obtenus
pour leur compte en laissant tomber des bé-
bés avortés (des bébés encore vivants!) dans
des broyeurs d'alimenL'i et en les homogé-
néisant de manière à rendre les tissus accep-
tables pour les transfonnations qu'ils comp-
tent opére r pur la sui te. Donc je sais · que
c'est dur à accepter, mais il n'y a pas. je pen-
);C, 36 manières de montrer aux gens à 4ui
ils ont affaire exactemem au niveau interna-
tional: quel genre de pouvoir est en train de
s'établir sur la planète par le biais des Na-
tions-Un ies. Ceux qui étaient responsables
des camps à la deuxième guerre mondiale,
étaient de gentils enfants par r.1ppon à ceux
q ui pn1Liquent dt tels actes. Pour ceux qui
ne sont pas au courant de ce qu'est l'Agence
de Presse Internationale, sâchez que notre
but est la libre circuhttion de l'information,
sunout ce lle passée sous silence par les mi-
lieux d'information officiels et ceux tou-
chant plus particulièrement à la mise à dé-
couven de tous les différents mécanismes
établis en fonction de l'instauration d'un
gouverne ment mondial, d'un nouvel ardre
mondial, d'une conspiration du new Age.
prévue par les Nations-Unies e lles-mêmes,
.pour être instaurée pendant l'été 1999.
.
En tant que j ournal iste d'enquête, nous
fonctionnons unique ment à partir de docu-
ments officiels et autres, receuillis dans dif-
férents pays avec l'aide d'autres joumalistes.
Ainsi nos rapports, nos volumes, nos casset-
·tes et les conclusions de ces l"dpports, ne
sont jamais basés su'r des théories. Nos mé-
thodes d'enquête et nos méthodes de vérifi·
cation de l'infonnation que l'on reçoil sont
rigoureusement sc ientifJques et nos décou-
venes sont toujours vérifiées dans leur
exactitude avant toute publication.
Avant de rendre public un fait comme ceux
qui se trouvent id, toutes ces infonnatioos•
même si on les reçoit de la part de journalis-
tes qui firem leur preuve, même si ce sont
des coupures de presse indentifiés, des dos-
siers identifiés avec référence pour notre
part nous nous mettons en. rapport avec
d'autres journalistes, aux Etats-Unis, en
Australie ou en Europe pour vérifier si ces
infonnations sont réelles ou si elles ne le
sont pas.
Après multi·vérification c'est là que nous
prenons la décision ou non de publier, afin
que les gens, dans la population, puissent
être à même de prendre rééllement .cons-
cience de ce qui se passe et de pouvoir s'or-
ganiser pClur se protéger.
237
 Minlstëre de la Justice

Emplacement dans la main du Bio-Chip 6'6

Tranpordcr TX1400L
...........-ommun.........,
----------------------------~------- ·~
otPÔT DO PROJET DE LOI SUR LA S~RVE ILLANC2 ~LECTRONIQUE

OTTAWA, le ll décembre 1992 -- La ministre de la Justice ,

666 procureure générale du Canada, et députée de Vancouve r-Centre,
~ Kim Campbell, a déposé aujourd'hu i à la Chambre d e s communes
un projet de loi concernant le recou rs à la surveillance
• électronique par la police et la confidentialité des
communications radiotéléphoniques.
ceLes 111odifications qui seront apportées au Code criminel en
ce qui concerne la surveillance électronique visent A àutoriser à
Pompe à injcçfions nouveau la police à e mployer des méthodes d'enquête éprouvées et
efficaces sans comprome ttre le droit à la protection de la vie
privée que la Charte canadienne des droits et libe.rtés garantit à
tous», a déclaré la Ministre.
Au cours des dernières années, la cour suprême du Canada a
rendu un certain nombre de décisions qui ont eu une incidence
C'ut m·~c c~t tJppa~il qut 1! marquée sur les règle s de droit et les pratiques d'enquête
policière ayant trait a l'utilisation des dispositifs de
Tranpondu 666 Dio-Ch,p surveillance électronique . . Ces dispositifs incluent les
émetteurs radio qui permettent de suivre subreptice ment les
~.r:t ;njectt conversations à distance, aussi connus sous le nom de
A A ~ • a a • A a A ~ ~ • ~ • • • ~ micro-émetteurs de poche, les caméras de surveillance
magnétoscopique et les balises.
Détails du Df:S·J'RON 1 D
Les modifications apportées au Code criminel visent
(Tr2nsponder TX 1400 L) notamment à :
• permettre l'écoute à distance des conversations des
policiers et d'autres personnes en situation éventuellement
dangereuse;
• habiliter les juges à accorder aux policiers et à
lmm d'autrés personnes, sur la foi de motifs rai ~onnables,
l'autorisation d'intercepter de s communications avec le·
Ptu pf11r grtu ,,., g,..fll d'riz consentement de l'une des parties aux communications en
question atin de recueillir des éléments de preuve ou des
Actudl~m,lll impfanri sur dts Olli~œw. U•~ IIOilVelle renseignements sur des activités criminelles;
vusion est en pha5( d'txpüilttenl"•tion pfJur • habiliter les juges et les juges de paix à accorder aux
policiers et à d'autr~s personnes l'autorisatio n d'utiliser
tappic.ofioA.swrl'ilr6 ltumttilt du maté-riel dl! r.:t~ r ";,; i.l tance l'hl\9r.éto,.;c ~pique et é lectronique.
notamment les ual ises;
... /2

l+ll Gouvernement
du Canada
Government
ofCaoada Canada
238 239
 - 2 -
• autoriser les juges â décerner des mandats ou ! rendre
des ordonnances permettant de prendre des mesures pour
obtenir des renseignements ou une collaboration qui cons-
titueraient autrement une fouille, une perquisition ou une
saisie a?usive; ·
• rationaliser la proc6dure applicable aux éléments de
preuve r ecueillis par surveillance électronique.
En outre, les modifications suivantes seront apportées au
Code criminel afin de mieux protéger la confidenti~lité des
communications radiotéléphoniques (par exemple, les conversations
par téléphone celfulaire) :
• les communications radiotéléphoniques encodées seront
réput~es «commun ica ti ons pr i vées••;
• l'interception de communications radiotéléphoniques
lorsque faite malicieusement ou à des fins de gain sera
interdite;
• la divulgation ou toute autre utilisation des
renseignements obtenus grace à l'interception de
coiiUIIunications entre un appareil principalement utilisé 1
des fins de co~unication radiotéléphonique et une station
de base sera interdite.
La ministre Campbell a annoncé pour la première rois son
intention de modifier les dispositions relatives A la
surveillance électronique dans le cadre de la Semaine de la
protection de la société, à Toronto, en avril dernier. En outre,
la ministre a prés enté et a diffusé ! grande échelle un document
de travail sur la surveillance électronique, qui visait également
à préciser la situation juridique de l'interception des
communications par téléphone cellulaire, lors de la réunion
annuelle de l'Association canadienne des che!s de police, en aoat
de rnier.

- JO -

Re ns. : Alexandra Guest Richard Kosley

.Cabinet de la Ministre Ministère de la Justice
(613) 992-4621 (613) 957-4725

(Enqli s h version ~v~llabln)

240
 Les armes de contrô le de la pensee d t: d emain son t ici a ujourd' hui. Il exis te des engins
destinés à introdui re des po:nsées dans l' esprit humain, des ~::ngins dcstintis a manipuler
directe ment l'é ta t de con scie nce (la capacité de 1raite mc nt du cervea u), ct des e ngi ns concus
pour li re le~ motifs des o ndt:s cérébrales, ou dt: pt:nsée, à distance ,\~\. ·
t~\\H\\t.\\
LES SECRETS DE LA VIE

En jan vie r 1991, l'unive rsité d' Arizona était l'hôte d' une confén: nœ inti tu lé~:: "Atelier de
l'OTAN su r les Phénomènes Cohérents e t Émergents da ns l~::s Systèmes lliorno léculai res_• La
conférenc~:: revélai t des d é v.:loppt:ment fascina nts. mais effraya n ts dans le monde des systèrnt:>
biome>léculaires, un suje t qui englobe un vaste cham p de di sciplines, incluant la biochimie
molècu laire, la na no tec hno logic, la psychoneuroimmuno logie, lïngénié rie bio-moléculaire, ct un
bon no mbre d' autres disci plin<:s n:liées à l'ét ude de la conscience huma ine. L'orga nisa te ur ct
hôte de la co nférence, le Dr Stuart hameroff, du Collège de Médecine de l'univcrsité, Dép
d' An est hésiologie, déclara: "Les buts de cette confo.lrcnce é taient de a>m pn:ndrc le~ méc.1msmcs
de base de la vic ct de la conscience." Il prétendit que l'OTAN n'é tait <(Ut: le mmmanditaiœ de
l'év~ncment d que leu r participation ~e limitait à la p résence de queltjues représe ntants INs de~
confé rence qui pren aient des no tes.

Hamt:roff emit que le siège de la co nscit:ncc pourrai t se situer dans "des polymè res
cytosq uel ett au x resse mblant à des ordinateurs, à l'intérieur des cellules." Ou, plus dairemcnt dit,
la conscience d ' un individu pourrait se trouver dans des st ructures microscopiques à l'intérieur
de chaque cellule individuelle du cerveau. Ces struct ures co mmu niquent a pp;uernmen t ~
travers d es ·excitatio ns cohé rentes de l'ordre des nanosccondes· . c' est-à-dire, une sorte de
couplage d 'é nergie à d es log ueurs d 'ondes ultra-cou tres. lla meroff poursuit: ·une idée
ex primée qui a rappo rt à la vic "après 2000· est que les protéines cytosquelletiqw.c s du cerveau
pourraient êt re prépa rées da ns un environnemen t artificiel qui po urrait ê tre ~apablc de con tenir
d es fonction~ cog nitives."

"lhr individu pourrait être capable de transfér~r sa conscience ù un environnement urlijÏriPI quand son
cc>rps physique approclruait de l't::rpiratron. Ct!Ci S011i<'œ évidemment be.llucoupt' d.- qw•stùms d'ordrt'
philosophiqur et .<;ociologique."

Si nous pouvons même commencer à concevoir une tcchnrqUt: pou r e nlever et rang.:r la
consck ncc humaine dans un environne ment artificiel (ct possiblemen t la transf~ re r dans un
autre corps?) capable de garder des fonctions cognitives, alors pt:rsonne ne devrait ê tre surpri'
que le contrôle de la pensée soit possible.

LA TECHNOLOGIE DU CONTRÔLE

Un document qui fut d istribué à la conférence se d~ ma rquait par son attitude diff~rente
envers les déve loppe ments d ont on discutait. C'était en effet un avertissement glacia l aux
scientifiques présents à propos des abus potentiels de leurs découvertes. Le suje t du document:
Le Cont rôle de la Pensée.
 Distribué par le chercheur indépendant Harlan E. Girard, le document était intitu lé 'Effets
des Radiations Gigahcrtzicnnes sur le Cerveau Humain: Développements Récents dans la
technologie du Co nt rôle Politique." D explique commen t l'éne rgie des micro-ondes peut être, et
est utilisée pour innuencer e t co ntrôler le comportement humain.

Dans une le ttre conce rnant la présentatio n de Girard, Stua rt Hameroff d.:clilre que ces
'pré tend ues" techniques 'utilisaient des vibra tio ns de nanosecondcs (ou plus rapides,
gigaht!rtzicnncs, mkro-ondes, etc.) et donc étaient e n rapport avec le thème de la cunfé n:nce,
'est-à-dire la conscie nce reliée aux excitatio ns cohére ntes de nano-sccondt-s dcans le
t tosquelctte.' Le document e n soi, par contre, est bcaucoupe moins intéressant que terrifiant
1 point de vue scie ntifique, si un rapport fidèle su r les capacité o pérationnellt!S d' agences qui
,urraient employer de telles technologies.

Girard débute la préso.'ntation en expliquant:

"Les États-Unis ont droelopp.! di.'S équiJII!ments de commrmicalion.ç qui p1·uvent

rendre la uue aux aveugles, l'or1 ïe aux .çourds et la force aux paralytiques. Ça per1t
débarra.sser les malades en phtlSI' terminale de toute douleur, sans l'usage rl'aucum:
drogrœ. Un homme peut gardu l,usag<! dl.' toutes ses capacités jusqu'au jora de sa mort.

Ces équipements de communications se basent sur une nouvelle marrièr<! de conceunir

ft cerveau humain tl te système neuromusculaire, d des radiations gigahertûennes
pu Isles à des fréqurnces ultra-basses.

Certains de ces équipements sont maintenant opérationnels dans les rangs de la Cl A

d le FBI. Tls ne seront jamais ulilisis pour rendre la vue aux aveugles ou l'cwïe aux
sourds parce que ce sont des pièces centrales de l'agenda politique domestique el ét ranger
de fames A. Baker el de George Htrbert Walker Buslr.

Domestiquement, les nouveaux appareils dt communications sont utilis.!s pour

torturer et assassiner des personnes qui correspondent llUr profils imaginés pour nettoyer
une population entière de ltrroristes, pour torturer tl a.ssa.ssiner des citoyens qui
app;1rlierr.nenl à des organisations qui promwvenl la paix et le dévt!loppement en
Amérique Centrait, pour torturer et assassiner des citoyens qui appartiennent à rfi:S
organisations opposées au diploiement d à l'utilisation des armes nucl.!aires, tl pour créer
une rau d'esclaves appelé Automalons, ou ce qu'on appelle populairement le Candirial
Mandchou.

À l'étra11gtr, /~essais ont lieu sur des otages détenus par les États-Unis au Crmacln,
m Grande-Bretagne, en Australie, en Allemagne, en Finlande et en France. De plu~. il y Il
eu une longru série dt suicides biz.arres parmi des informaticiens 8rittanniqr1es, cerr:c-ci
ayant tous un quelconque lien avec l'United States Nauy.

242
 ( Tradui t du Magazine NEXUS, Austra l ie , Mars
LE CONTRÔLE DE LA PENSÉE
ET LE NOUVEL ORDRE MONDIAL

par Glenn Krawo.yk

Ccci est la deuxième et dernière partie examina nt un sujet auquel la plupart d' entre nous
préféreraient ne pas penser: I.E CONTRÔLE DE LA PENSÉE

LE TEMPS QUI MANQUE

Une sé rie d'expé)'kn~es conduites p;rr'!8 et:7t pou r trouver une méthode pour provoquer l' amnésie
découvrit que cks pulsations de mi cro-ondes pouvaien t être utilisées pour surstirnuler la production
d'acétycolirre aans k ce rveau, un neurotransmetteur associé à l'emmagasinage de la mémoire. Ce
procédé é tai t connu sous le nom de EDOM (Dissolution Électronique de la Mémoire). Lorsqu'un sujet est
exposé à ce sig nal. il ne peut tout simplement pas emmagasiner de la mémoire, ct donc restent avec une
période d' amnésie, ou de "temps manquant." Os peuvent même être influencés à ne pas se souvenir de
ces amnésies. D'après le livre · The Mind Manipulators• (les Manipulateurs de la Pensée}, par Alan W.
Schctlin et Edward M. O pton Jr, publié en 1978, "L' EDOM altère la percep tion d u temps en émettan t des
ondes radio et des tonalités ultrason.iques, qui eux agissent sur les produ.its ch.imiques qui agissent sur
l' emmagasinage de la mé moire dans le cerveau: n semble même que cette technique pu.isse ë tre utilisée
pour "effacer• des souvenirs spécifiques des cerveaux d 'individ us q ui ont été exposés à des infonna tions
hautement classifiées et qui quittent l'emploi d'age nces gouvernementales qui travaillent avec des
informations sensibles.

Cette technique particulière me laisse songeur A propos de ces événeme n ts appelés "de temps qui
manque· associé à de présumés enlèvements extraterrestres. Nous avons développé la technologie qui
provoque des périodes d'amnésie dans nos propres laboratoires, et nous n' avons pas besoin d'intrus
extraterrestres pour nous montrer comment le faire.

TOUT EST DANS LA T~TE

Les opérations d' implants cé rébraux, do nt le blâme est si couramment placé sur les kidnappeurs
extraterrestres, ont liêu partout sur not re plan ète depu.is très longte mps. et elles sont perpétrées par des
humains. Des docteurs e n Suèd~ ont placé des transmetteurs cérébraux dans les têtes de patients
anesthésiés sans leur co nsen te ment ou leur savoir depuis plus de trente ans. [] ex.iste des preuves que les
hôpitaux de Sodersjukhues t, I<Arolinska, Nacka et Sudsvall o nt implanté des transmetteurs cérébraux
sans la permission ni la connaissance de leurs patients durant plusieurs décennies. Les autorité suédoises
nie nt l'ex.istence des transmetteu rs cérébraux et avisent les plaignants qu'ils risquent d'ê tre internés dans
des hôpitaux psychiatriques s' ils co ntinuent de parler des ces appareils.

243
 TRAVERSER L'ESPRIT

Dans son livre "Such things are known· (De telles choSt:s sont connues), Dorothy Burdick (u n nom d~
plume, afin de protéger sa réputation de professeur au Foothill Collegc à Santa Clara, Californit:) d<!crit
son expérit:ncc personnelle en tant que sujet involontaire au contrôle de la pensée. Elle prétend avoir é té
la cible d'expériences de "lecture de la pensée" et de "transmission de voix" conduites par le ()denee
Advanced Research Projects Agency (DARPA). Utilisant un Superordinateur Cray faisant fonctio nner un
programme complexe de reconnaissance de structures, l' agence était capable de lire les ondes cérébrales
de Dorothy ct d'insérer des pensées dans son cerveau plus vite qu'elle ne pouvait les traiter. Elle racon te
que ces pensées étrang~n?S "lui venaient à l'esprit", litt érale ment

Apparemment, quand on parle, les nerfs contrôlant les cordes vocaks, la bouche ct la langue sont
activés en proportion des nombreuses directions et tensions vers lesquelles chaque muscle reçoit l'ordre
de bouger. Ces structures, o u motifs, survienne nt que les mnts soient pronnncés ou non. Le processus de la
pensée requiert qu'on se parle à soi·m~me afin que l'esprit puisse fonctionner consciemment. Ccci
s'appelle "pensée sub-vocale". Essayez seulement de penser sans vous "parler à vous-mc! me" si vous ne le
croyez pas. Les motifs d'ondes cérébrales produits dans œ proœae neurologique peuvent apparemment
être lus en utilisant une forme d'appueil de surveillance 1 distance et peuvent révBer toutes les p.:nsées
d' un individu.

Le Los Angeles Ttmes publia un article le 20 août 1992 intitulé "Des camé ras qui captent des images
de la pen~e· qui déclare "Des savants ont été capables de voir directement les procédés de p<!nsée
humaine, retraçant 1~ motifs complexes de réactions chimiques et éh:ctrioues à de oeti•~ a"'as de cellules
cérébrales.; Les chercheurs on t uhhsè une caméra compara tivement simple qui capte les différences
subtiles trop petites pour êt re vues par l'oeil humain dans la lumière réOéchic sur la su rface du cerveau à
mesure que la pensée est accomplie. Ils ont dit que le procédé va permettre de dresser une carte
beaucoup p~u.s prédse des procédés de la pensée el des activité physiques d'endroits spécifiques du
cervea u. • Wtlham H, Theodorc, un neurologue de l'Institut National des Maladies Neurologiques c t des
Attaques commenta: "C'nt une technique tres intéressante. L'avantage est que ça enregistre des
changements Ires rapides des fonctions du cerveau. Je crois que cela va permettre aux chirurgiens de
mieux dék rminer les régions de la parole."

Cette technique est maintenant du domaine public, alors serait-il vraiment surprenant que le OARPA.
qui a dépensé des milliards de dollars à développer des superordinatcurs à traitement parallèle, et sur
de la recherche sur la reconnaissance de motifs (pour utilisation éventuelle dans des avions de comba t),
ait découvert comment appliquer cette technologie à des opérations plus sinistres? Apres tout, le mandat
de cette agence est de développer des ann~s plus efficaces Jfin d'a nncr les industries américaines de
Défense et d'Intelligence.

244
 LA VRAIE "GUERRE DES ÉTOILES"

Oes combin~isons de radiation électromagné ti4ucs et d' hy pnose o nt aussi é té le sujet de recherches
intensivo:s. En 1974, le chercheur J.F. Shapitz di t de l'un de ses pro jets de recherche: "Dans cette enquête
il sera dé montré que la pa role de rhypnotiseu r peut a ussi être transmise par de l'énergie
électromagné tique modulée directement da ns les parties subc:onscientes du cervea u humain, éest-à-dire
sans l' emploi d'appareils techniques pou r recevoir ou déroder les mcsS<~gl'S e t suns que lt sujet visé n 'ait le
loisir cie contrôla consciemment l'entrée cie /'rnfilrmntron On p.:ut s'attmdr~ à ce qu'ils raJionalisent leur
comportmrmt et qu'ils le considèrent rom me venu nt dt lror propre mlnnti.

N'importe qui enquèlant sur le soi-disant phénomè ne de "channelling· serait sage de prendre en
considéra tion ce sujet de recherche. Il est inté ressa nt de no te r 4uc k nombre de gens qui se considèrent
des "channcllcrs" ait grim~ rapidement d epuis q u~ ce type de recherche est entrepris. Il est é trange de
constate r à qud point leurs messages sont si milaires, ~ans égard à "l'entité" qu'ils p re te ndent être à la
Sl•u rce de leu r ·conseils divins". Je suggérerais à tout individu qui considè re le co ntenu d'information
·channellée" d'être vigilant ct d' évalue r de faç•>n critique si le message "reçu· est béné fique, dans un sens
non égoïste, ou s' il servirait à évO<.juer des sché mas de pensée q ui serviraie nt le Nouvel O rdre Mondial.

Le Sydney Moming Herald publia un article, le 21 mars 1983, 4ui a joute du poids à ce tte hypothèse.
L' artide expliquait q u' un document intitulé "Les Soviets envahissent la Pensée Humaine· avait été
présenté au jou rnal par le Dr. Nassi m Abd El-Aziz Nt-weigy. Assistant Professeur à la Faculté
d' Agriculture de Moshtoho r Tukh-Kalubia, en Égypte. n e.~t intéressant de cite r œt a rtidc, bien que la
grammaire soit un fl'!U bizarre.

·t.e~ Sovie ts ont manufacturé, ou mê me importé, les ordinateurs ava ncés et les o nt remplis avec des
do nnées psyr.hiques précises basées su r leurs é tudes de l'anatomie et de la biolog.ic du corps humain, et
de leurs é tudes sur l'anatomie, la chimie e t l' électricité du ce rvea u humain. Ces o rdinateurs ont été
remplis, a ussi, avec les différents langages e t le u rs ~ignifications. Les diakctcs des peuples ont été entrés
à partir de s,1tellites. Les Soviets o nt commen~'é à nourrir les o rdinateurs de programmes objectifs."

245
 "li semble que les Soviets aient e u recours à la mé thode suiadaire dans la socié té huma ine e n alloua nt
un rayon électronique pour p lusieurs personnes dans de différentes socié tés. De tels rayo ns sont activés
par la mémoire des ordinateurs qui contiennent beaucoup de données su r les êt res humains et leurs
langages. Ces rayons 'entrelacent et s'entremêlent avec la pensée naturelle pour former une pensée diffuse artificielle.
À travers de tels moyens férocement anti-humanitaires, les groupes crtrémistes !.O.!JI jub_!i_gué.~. les troubles e! les
désordres saJiglmrts $()ni provcjués g_ar des télé·mo vws avancés via satellite, dans pfii51ëurs pays de l'i\Sie, de
~e, de l'Europe et de l't\menque /.Jltine."

L' éditeur de la rubrique dans laquelle l'artide fu t publié d éda ra it mè n1e: "Nous pensons q ue cc sont
des points trop importants pour les ignorer.· Je pense que c' est une façon co nse rvatrice de le di re. Une
possibilité déroutante, étant donné J'information que nous avons en main, est que les individus
impliqués dans cette opé ration gigantesque de contrôle de la pensé~;! puissent ê tre eux-mêmes
programmés, et ne se rendre même pas compte de ce qu'ils sont en train de fain:.

LE NOUVEAU CHAMP DE BATAILLE MENTAL

Dans l'éditiun de décembre !980 d u journal ~tilitary Review, de l'Armée Américai ne, un articl~ du LI
Col. Joh n B. Alexander intitulé "Le nouveau Champ de Bataille Menta l: Bearn mc u p, Spock", apportait
de nouveaux dé ta ils co ncernant les capacités t~chniq ues présente ment disponibles aux contrôleurs. D
écrit: "Plusieurs exemples vont démontrer les domaines dans lesquels des progrès o nt étés acco mplis( ...)
Le transfert d'énergie d' un organisme à un autre (... ) La possibilité de guérir ou de causer des maladies
peut être transmise à distance, causa nt ainsi des maladies ou la mo rt sans cause apparente (... ) Des
modi fications télépathiques de oomportement, qui incluent la possibilité de provoquer des é tats
hypnotiques à des distances de plus de 1000 kilomètres ont été rapportées. L' utilisa tion de l' hypnose
télépathique d é tient aussi un important potentiel. Cette possibilité pourrait permettre aux agents d'ê tre
profondément placés sans la conscience de leur programme. e n termes cinématographiques, le Candidat
Mandcho u vit et n'a mème pas besoi n d'un appel téléphonique. D'autres tech niques d'in nuence d' esprit
à esprit sont considérées, Si elle est perfectionnée, cette capaci té pourrait permettre le transfert Ji reet de
la pensée via ·la télépathie d' un esprit, ou groupe d' esprits, à un public-cible choisi. Le facteur int~ressant
est que le rkepti!Ur ne sera pas conscient du fait que des pt:nsres lui sont implantées d'un source exteme. Il ou elle
pensera que ces pensées lui sont propres."

S' il est possible de oommuniquer des "pensées artificielles" dans le champ morphogénique via
satellite, alors le contrôle de la pensée de la planète entière est possible. La seule résistance d' un individ u serait
alors de constamment remettre en question la motivation derrière ses pensées, e t de ne pas agir su r des
pensées qu' ils considèrent ètre à l'extérieur des limites de leurs propres principes "é thiques c t moratL,:
Encore une fois, il est sage de considérer comment la télévision. la publici té et les diverses formes de
pression soda le sont constamment utilisées pour manipuler œ~ limites.

UN ORDRE DONT ON PEUT SE PASSER

La technologie de contrôle de la pensée est une réu/ilé. Certa in..,s techniques sont utilisées secrètement
sur des particuliers, et d'autres sont utilisées ouvertement sur la planète au complet Allez seulement

246
allume r la télévision. Voilà la plus efficace d'entre toutes!

Et pendant qu'on secoue la tê te, incredules, devant l~s horreurs qu'o n nous montre aux nouvelles,
n'o ubli!!Z pas ces vieux principes: fud-back, renforc~ent, conditionnl!mmt, en vous lamentant "pourquoi
ces gens font-ils ces chose horribks?" li serai t raisonnable de considérer que "ces gens" reçoivent plus
qu' un petit coup de pouce dl! la part de nos Big Brothers. Après tout, à moins que l'Ancien ordre
Mo ndial ne devienne le pire Ordre qui soit, pourquoi e n voudrions-nous un Nouveau?

Je vous laisse avL>c œtlc demi~ re cita tion. Elle fu t dite par Zbigniew Brzezinsky, ancien Conseiller en
Sécurité Natio nale de Jimmy Carh:r, dans son livre "La Socié té Technotronique", qui est presqu' un texte
biblique pour les proposants du No uvel Ordre Mondial. Bnezinsky, le fondate ur de la tristement célèbre
Commission Tri lat érale, a joué un rôle dé dans la campagne électora le de 1988 do: George Bush en tant
que conseiller en politique é trangère (ça semble un peu bizarre pour un ancien Conseiller en Sécu rité
Nationale Démocrate, no n?), et est un infatigable promoteur d'une philosophie de Gouvernement
Unique/Nouvel O rdre mondial:

"Dans la sociéti technotronirpu, lu t~ruüuu:~ semblerait a/lu vers le

rassembll'm~nt du support individuel des citoyens non coordonris, facilement à
la porté~ d 'itrdiuidus aux personnalités magnétiques et attirantes exploitQ/11
efficacement les demi(res techniques de communications pour manipuler les
émotiotrS et contrôler /11 raison."

MINUIT MOINS UNE

Comme 1.., LI. Col. Alexander l'a dit dans le sommai re de son article du Military Review,
"L'infonno~tion présentée ici sera consid érée par certains comme ridicule pa rce qu' elle ne se confonne pas
à !~ur vision de la réalité, mais certaint!S personnes croient encore que la Terre t!St pla tt!."

~ÉFÉIIENCES ET BIBLIOGRAPHIE:

1. Effects of GHz Radiation o n the 1-luman Nervous Sys tem: Recent Developments in the Technology
of Political Control. Auteur: Hari an E. Gi rard, Philaddphic, PA, USA. l'résc nté à l'Atelie r de Recherche
Avancée de l' OTAN sur les Phénomèn.:s Cohé rent s t! t Émergents dans les Systèmes Biomuléculaires,
Université de l'Arizona, 15-19 janvier, 1991.

2. T.:rmina1 Behavinur Expc ri ments by the Central Intelligence Agcncy under William Casey and
Judge Webster. Auteur. Harlan E. Girard, Philadelphie, PA. USA. janvie r 1989, révision février 1991.

3. Correspondance avec Stuart R. Hammero ff, Université d' Arizo na, Centre des Sciences de la Santé,
Collège de Médecine, Dépa rte ment d'Anesthésiologie, Tucson, AriLo na. 24 Janvie r 1m.

4. The Body Electric: Elcctromagnetism and the Foundation of Lifc. Auteurs: Robert O. Becker. M.D.
ct Gary Selden. Éditeur: William Morrow and Co., lnc. Nt!w York, 1985. pp. 317-326.

247
 0 est inquiétant de consatcr la fréquence avec laqueUe les auteurs de ce& crimes étaie n t sous
l'influence de tranquilisants ou d' anti-dé presse urs tels que le Valium, Librium, Xanax, Halc.ion
ou Prozac, avant de commettre ces dits crimes. D'autres drogues supposément "anli-
psychotiqucs• co mme I'Halopcridol, ont démontré d es liens puissants avec les manifestations de
violence. Des poursuites ont été engagées contre les principales compagnies pharmace utiques
dans bon nombre de pays pour cette raiso n, et il y a une énorme quantitié de don nées q ui
tendent à prouver que ces drogues cuu.çent des comporteme nts vioh:nts et ne sont p <IS un
traitement efficace co ntre ces viole nces.

Eli Lilly est le fabricant du très controversé anti-dé pressif Prozac 20, que deux millions
d' américains utilisaient en 1989. La documentation su r le Prozac déclare que cette drogue peut
provoquer "de l' hostilité, de la psychose, des hallucinations, et de l'akathisie", un ' effe t
seco ndaire bizarre qui provoque des comportements extrêmement violents ch!!Z les patients.
Cela semble tr~s étrange de prescrire une telle drogue à des pa tients souffrant de dépression.
Deux poursuites ont été intentées contre Eli Ully en 1990 dans lesquelles les efféls seco ndaires
du Prozac é taient présumés facteurs cont ribuants (des cas de meurtre multiple-suicide )

L'auteur de "l' Encyclopédie du Meurtre Moderne", publiée en 1983, obse rvait que les crimes
violents ct sans raison n'étaient devenus un problème majeur que depuis les trois de rnières
décennies. Dans l'introduction de son livre, il écrit: "Nous considérons des crimes comme sans
motif s'ils ne semblent rapporter rien à personne. Avant 1960 de tels crimes é taient rares, et ceux
qui ont eu lie u appartiennent à la fin de la décennie.· Serait-il peu raisonnable de suggé rer qu e
les produits pharmaceutiques modernes e t les pratiques psychiatriques inefficaces puissent avoir
un quelconque rapport dans cette montée de crimes g ratuits?

Plusieurs chercheurs croient qu'un grand nombre d'individus dans le domaine de la santé
mentale provoquent de tels incidents, et qu' ils travaille nt de concert avec les co mpagnies
phannaceutiques et les gouvernements pour aider à instaurer le Nouvel O rdre Mondial dans
lequel les sociétés sont con tôlées avec de telles drogues, ou serait-cc des armes chimiques?

Considé rez cette citation du psychologue James V. Mc Co nnell, qui fu t pu bliée dans un
numéro d e 1970 de Psychology Today.

"Le jour est arrivé où nous pouuons combiner la privation senson'elle uvee des
drogueS, de l'f1ypnnse, et la manipulation astucieuse de la p1mition et de la mompenY
pour parvenir au contrôle presqu 'absolu sur le comportement d'un individu. Il dt'7.1Tflil
alors être possible de développer une méthode de lavage de cerveau extrêmement rapide et
efficace qui nous permettrait d'effectuer des changements radicaux dans la personnalité et
les comportements d'1m individu (...) Nous devn·ons réformer de sorte que nou, serian•
tous entraînés d~ la naissance d Jaire e:raclement œ q11e la société exige de nou; N011S
auons les techniques pour le Jaire ( ... ) personne n'est le détrnteur de .<a propre
personnalitt (... ) Vous n'avez pas choisi la personnalité que t'Ous avez, et il n'y a p•IS de
raison de croire que uous devriez auoir le droit de refuser de receuoir une nc11lve/le
personnalité si l'ancienne est anti-sociale."

248
 _(Cl -dessous, ure lettre. Officielle du Lttteur
West, Oirecteur de l'Institut de Neuro-Psychia-
trie, Centre des Sciences pour la Santé,Etat de
Californie·.

Cette lettre ITCiltre la volontê, et la c~lla ­

boration d' autorit~s rrédica les en vue de
!TOdi fi er les cOTlJ(>I'tsrents de violence enez
les individus. ·

(Jl)LA LETTRE DU DOCTEUR WEST AU DIRECTEUR DE

LA SANTÉ PE L'ÉTAT DE LA CALIFORNIE

Cher Stub: Je suis en possession d'lnfonrations confidentielles au sujet d'une êventuelle renise , par l ' Ar-
!Tée, d~·bases de Missiles Nike a des ()-ganisrres locaux et de l'Etat pour des fins tnHnilitaires.lls peu-
vent possiblerent regarder - favorablerent pour des appllcatkwls reli~ c1 la santê.

Lre telle base de mlssile Nike est située dans les ltntagnes de Santa l"onica, c1 une denie-heure de voiture
de l ' Insti tut ~sychlatriq.Je. C'est un endroit accesssible quoique rel ativsrent isolê. le site- est·
três bien cl6turê, et il s'y tl"oU\'e de I'IOlbreuses installations anH !orées, les rendant ainsi ·accessibles
pour une OCC\4)at ion imréiiate.

SI le site devait être rendu disponible pour l'Institut de ~sychiatrle en tant qJ'installatio~s de
recherches, peut-étre, pour ccmrencer, en tant qu'accessoire au Centre pour la Prévention de la violence,
roos pourrions en faire un !!)(cel lent usage. Oes études CO'IlJ'lratives pourraient· s'y faire, dans un endroit
isolé, rmis pratlq.Je, sur des prog• èJ111es,zrc.dêl~s ou expêrin-entaux, concernant l'alt&-ation des corpcrte-
aents indêsirables.
Oes programres C01'IT'e ceux-cl pourraient inclure le CCI'Itrôle de l'abus des drogues ou de l'alcool, la rrodi-
fication de l'agressivité chroniq.Je anti-sociale ou inpulsive, etc. le site pourrait aussi accaroder des
conférences ou des retraites pour la fonratfon de divers groupes particuliers de professionnels rel lés .tl a
~ê nentale, et d'autres , tels: (e.g. personrel pol icier,officiers de libération conditiomelle , d'éluca-
tëurs spkiaux) , pour lesq.Jels la dêronstrat lon associée " la participation serait IJl des nnyens èfflcaœs

249
 DOCUMENT "LE SIGNE DE LA BETE OU LA MAROUE DE L'ANTECHRISr
DE FELIX CAUSAS
"Et tous les habitants de la Terre l'adorèrent, ceux du moins donlle nom n'a pas été
écrit dans le Livre de Vie de l'Agneau qui a été immolé dès la fondat ion du monde ...
Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête au point que l'image de la bête parlât,
et de faire mettre à mort ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête. Elle réussit à
feur taire mettre à tous, petits et grands. riches et pauvres, libres et esclaves. une
EMPREINTE SUA LA MAIN DROITE OU SUR LE FRONT ; et elle fit en sorte que nul ne pût
acheter ou vendre. qu'il n'eût l'empreinte, le nom de la bête ou le NOMBRE de son
nom. Ici réside la sagesse Oue celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la
bête. C'est un nombre d'homme. Ce nombre est SIX CENT SOIXANTE-SIX".
Livre de {'Apocalypse X/If · 8 et 15 à 18
Depuis la parution des articles •vers la Marque · Antechristique ?•
(SLB W3) et •une Révolution Tranquille : les Codes-à-barres· (S.I.B.
N° 10), les choses sont allées très vite. A l'image de la •concentration• qui
s'accélère dans tous les domaines, les wcodabars" se sont imposés dans le
monde entier. Ils ont pratiquement TOUT envahi.
Des biens de consommation courante aux médicaments en passant par
les livres, les vêtements {etc .) tous les objets sont aujourd'hui marqués.
En 1986 les Codabars commençaient à s'imposer en France. Huit ans plus tard
feur omniprésence ne choque plus personne. Ils sont devenus familiers !
Nous passerons sur l'aspect pratique qui simplifie considérablement
re travail de gestion des stocks des commerçants. L'aspect inquiétant du phé-
nomène ne se situe pas à ce niveau ! Il est passé inaperçu aux yeux du grand
nombre qui suit te mouvement comme un lc;mg fleuve tranquille, comme un
troupeau de moutons qu'on mène à l'abattoir sans qu'il s'en rende compte 1
Le grand nombre- maintenu volontairement dans l'ignorance -n'a pas
remarqué qu'avec t'apparition des ·coDABARS-, la prophétie de l'Apoca-
lypse (au chapitre Xlii) commençait à devenir une réalité ! Quel moyen
idéal d'identification et de fichage 1 Des photographies sont alors apparues
- ce n'était probablement pas un harsard - nous montrant des mannequins
portant un codabar sur le FRONT. Et tout dernièrement l'ouvrage sur les
cartes à puces "Tous Fichés•, présentait sur sa couverture la photogra·
phie d'un homme au crâne rasé avec un superbe codabar sur le front. Nous
pourrions multiplier les exemples.
Plus grave, des essais ont eu lieu un peu partout dans le monde! Ainsi,
il y a quelques années, dans une université américaine, une expérience
très significative s'est déroulée : les étudiants devaient porter sur leurs vête-
ments- à la manière des médecins et des infirmières dans un hôpital - une
carte d'identité sur laquelle était incorporé un codabar. Sans ce codabar, il
était impossible de se déplacer pour se rendre aux cours, à la biblio-
thèque, au réfectoire, etc. Les portes ne s'ouvraient que lorsque le rayon
optique avait identifié le codabar de la carte portée par l'étudiant L ..
250
Il y a quelques années également (1988), la ville de Singapour (Ma-
laisie) a testé à grande échelle ce système pendant trois mois sur dix-
mille (1 0000) personnes ! La revue "Science et Foi• (W 10, page 37)
signalait que cette mégapole voulait tester le remplacement des cartes de
paiement par un CODE-BARRE individuel lisible au laser. Le code était
gravé par moitié SUR LE POIGNET et pour moitié.SUR LE FRONT. Oui ne
serait frappé en se souvenant du texte de l'Apocalypse cité en exergue du ·
présent article ?
Nous avons vu que les codabars de type "EAN" (SLB No1 0) incor-
poraient le nombre fatidique "666", aisément repérable grâce aux trois
groupes de deux barres plus longues que les autres (elles débordent vers
le bas) au début, au milieu (séparateur central) et à la fin . Ce sont trois
chiffres identiques - puisque les barres sont associées des chiffres - qui
s'ajoutent au 13 chiffres fonction nets1_ Chacun ayant pour valeur ·s·,
ils iorment une sorte de griffe nombrant ·sss· qui se surimpose sur
chaque code-barre. Cette marque du "propriétaire"; qui n'a aucune utilité
pratique , peut-elle être autre chose que le chiffre de la bête signalée au
chapitre 13 de l'Apocalypse ? .
Une petite précision intéressante : ce code-universel, appliqué depuis
1977, a été approuvé par l'ONU en 1972. Nous avons vu par ailleurs ce
qu'il fallait penser de l 'ONU , organisme mond ial ist e par excellence ,
·embryon du futur Gouvernement Mondial ! L'aval des Nations-Unies pour
un code qui peut rapidement devenir un danger mondial ne surprendra pas
les lecteurs avertis. ,
Cependant les événements se précipitent à une cadence de plus en plus
accélérée. "Un nouveau marquage électronique• est en train de se rép~ndre
aux Etats-Unis et maintenant dans les autres pays du monde, à la vitesse
d'un feu de brousse. Il concerne pour l'instant les animaux et permet de
retrouver, de contrôler et d'identifier les vaches , les moutons, les che-
vaux, les porcs, les chiens, les chats, !es oiseaux et ~es poisson~-~~ p~u.t
même être utilisé pour tous les produrts manufactures t De quot s agrt-•1
exactement ? 11 s'agit d'un minuscule tube de verre, microprocesseur
passif, de la taille d'un gros grain de riz (environ 11 mm x 2mm) que l'on
implante sous la peau au moyen d'une seringue hypodermique. Cette •P.uce
électonique d'identification• (ID Chips) est fabriquée par une soc1été
américaine du Colorado ; DESTRON 1Dt2.
Ces implants de puces électroniques sont aussi appelés •transpond~rs· ·
Les transponders sont des récepteurs-émetteurs radio ou radar act1vés
pour la transmission, par la réception d'un signal prédéterminé. Voilà
pourquoi cet implant est dit "passif" . Les appareils qui permettent
l'identification du bétail (etc.) envoient un signal auquel répond : ~n
écho- la "puce" implantée sous la peau. D'après le journaliste amé~1cam
Terry 1. Cook, qui a constitué un bon dossier technique3 sur ce •gram de
riz" très spécial - dont le nom complet est : Destron ldi Tr~nspon~er TX
1400 I.X ; il existe d'autres modèles - "La technol oi e cachee dernere ce
~5 1
nouveau "micro-chip" n'est pas très compliquée et, avec un peu de raffi-
nement, pourrait être utilisée dans une grande variété d'application pour
tes humains".
Le plus effrayant, c'est qu'actuellement, une nouvelle version serait
en phase d'expérimentation sur l'être humain 1... Quand nous vous disions
que tout allait très vite !
D'une manière plus que concevable, un numéro d'identification person-
nel pourrait être inclus dans ce "transponder". numéro assigné à chacun
dès sa naissance, et faire partie intégrante de la vie de celui-ci jusqu'à sa
mort. Vraisemblablement cette nouvelle "puce électronique• pourrait être
Aujourd'hui qu'en est-il ?
implantée sur le front ou le revers de la main ... , et servir de "carte d'iden-
tité universelle". Ce qui remplacerait les cartes de crédit, les passeports,
les permis de conduire, etc. Dans les magasins il suffirait de passer ·le poi-
gnet au-dessus ou dans un •sacnner• pour effectuer ainsi un débit direct sur
son compte bancaire ...

NOTES:

1 - Ce code comporte "13" chiffres : 3 pour re pays et la région d'origine, 5

pour les producteurs (usine, atelier, etc. ) et 5 pour le produit (prix, date,
etc .). Chaque chiffre est lui-même réalisé par une juxtaposition de 7 modules
bl ancs ou noirs . Comme le nombre d'arrangements de 7 modules est très
supérieur à 1o. ce procédé permet d'utiliser simultanément 3 codes dits A, B
et C. B est identique à A. mais à l'envers. C s'obtient en inversant les couleurs
de A. le code A n'est utilisé que pour tes 6 premiers chiffres de chaque éti·
quetage, ce qui permet de déchiHrer le code quel que soit le sens dans lequel
les caissières des supermarchés présentent les paquets devant l'appareil de
lecture optique. Afin d'éviter les "doubles" , tous ces codes sont attribués dans
chaque pays par un diffuseur unique qui a fait de secret sa règle d'or : Gen
Code, filiale du diffuseur américain.
2 - La firme Destron ldi, du Colorado (Etats-Unis) commercialise ses produits
par l'intermédiaire de "lnfopet• et d'autres distributeurs américains et inter-
nationaux. Vous aurez remarqué le prétexte qui servira plus tard - c'est là
l'objectif à long terme - à marquer l es humains : faciliter le travail d 'identi-
fication, de leurs troupeaux, par les éleveurs ou autres particuliers. Technique
ultra-moderne qui, certes, simplifiera considérablement leur travail mais qui
n'en restera pas là ! ...
3 : Terry L. Cook : "lmplantable Biochip Technology 666". Dans ce livre on
apprend que le coùt d'un de ces ·grains de riz" est d'environ$ 4~5 (US) .

253

Les avions
Commando Solo de
l'Armée de l'Air
Américaine servent
à diffuser des
messages
subliminaux sur les
radiofréquences
LE COMMANDO SOLO DE L'ARMÉE DE
L'AIR AMERICAINE : EMISSIONS
AERIENNES DE CONTROLE DE
L'ESPRIT
L'Armée de l'Air Américaine utilise des
émissions aériennes de rontrôle de resprit aussi
bien contre les populations civiles que les troupes
ennemies. Certaines de ces actions sont menées
contre les civils pour influencer ropinion publique
et le résultat des élections. Dans un article
précédent. nous avions examiné la technologie
du contrôle de l'esprit, en particulier celle qui
exploite les Sons Silencieux TM, dans laquelle les
les faire changer d'avis... Au lieu de
massacrer une population physi-
quement, il nous est maintenant pos-
sible de la manipuler mentalement. en
asservissant ses pensées par des
vols en croisillons effectués par un
EC-130 (qui n'est qu'un C-130 chargé
de matériel électronique).•3
Nous n'étions pas en guerre avec
les habitants d'Haïti . pourtant le
gouvernement américain a dirigé des
armes militaires contre cette popu-
lation civile amicale, ou au moins
neutre. Il a autorisé le "truquage"des
élections haïtiennes par le contrôle
mental du peuple ha"llien. Je program-
mant pour voter pour le candidat favoti
des américains. Et ils ont eu le culot
d'appeler ça "Opération Défense de la
Démocratie•. Voilà un fameux sens de
l'humour! Staline l'aurait adoré. Hitler
l'aurait adoré. Pourquoi le gouver-
même : ~rendre le monde sain pour la
démocratie". Cependant, qu'est-ce
que la démocratie sinon la liberté ? La
liberté d'avoir ses propres pensées; la
liberté d'exprimer ses propres
opinions: la liberté de voter pour le
candidat de son propre choix.
La vidéo de Fletcher mentionne
également que la même technologie
a été utilisée pendant une semaine
contre la population bosniaque pour
influencer ses élections.4 Cela s'est
probablement fait pendant l'opération
Garde Commune en 1995.5
Des questions se po$ent : S'ils ont
utilisé des émissionS' de contrôle de
l'esprit contre des populations civiles
étrangères pour .1nfluencer leurs
élections. les utiliseront:-ils contre les
citoyens américains. ou l'ont..jls déjà
fait ? Quels autres pays peuvent bien
bénéficier de cette technologie

afin de manipuler
émissions de radiofréquences font passer des
formules subliminales qui amènent les ondes du
l'esprit de cibles cerveau de l'auditeur à un état émotionnel
sélectionné à l'avance. D'après les comptes-
militaires rendus de l'agence de presse d'ITV, cette
technologie a été utilisée lors de l'Opération
et civiles. Tempête du Désert en 1991, comme faisant
partie des Opérations Psychologiques Améri-
caines (PsyOps) dirigées contre les troupes
irakiennes_1 . 2
Par Judy Wall ©
1999 A roffensive Tempête du Désert nous pouvons
maintenant ajouter d'autres évènements. Alex
Rédactrice 1 Editrice Horvat, rédacteur de The Probe, attire notre
RESONANCE attention sur la vidéo, Exotic Weapons of Mass
Bulletin du Groupe de Control, réalisée en 1998 par Bob Fletcher. •Le
Pression de · passage présentè sur la vidéo de Fletcher
Bioélectromagnétisme provient de TLC [The Learning Channel : La
Chaîne du Savoir] et fait clairement savoir que le
684 C.R. 535,
Commando Solo a été utilisé à Haïti pour ce qui
Sumterville FL 33585,
USA s'appelait ropération Défense de la Démocratie.
Tel : +1 (352) 793 8748 Comme le peuple dans son ensemble était
violemment opposé à Aristide et que la plupart
Traduit par Nathalie Toueille étaient pour son rival, il a fallu presque une année
de cette contre-programmation dandestine pour
nement américain fait-il cela ? QuÎ se
cache derrière cette violation flagrante
innovatrice
. ?
Qu'est-ce que le Commando Solo
.
des libertés civiques ? Est-ce la CIA, EC-130 E, au juste? L'Année de rAir
qui a un long passé d~ngérence dans Américaine a eu l'amabilité de publiee'
la politique des gouvernements une Fiche d'Informations qui décrit
étrangers ? Ou est-ce devenu une l'avion construit par le groupe
procédure militaire standard ? lockheed.6 Cette publication datant
Le raisonnement est toujours le de 1995 déclare que le •coût unitaire
Pet#es naœfles-
antennes sur la qveue
verticale
- .- -· . Grande nacelle-antenne
Réservoir à carburant attachée au dessous de faile
Le Commando Solo EC-130 E est en fait un avion de transport Hercufe C-130 transformé
pour pouvoir transporter du matériel de diffusion radio électronique et de télévision. Il est
facilement reconnaissable à ses grandes nacelles-antennes (1.83 x 7 m) situées au bout et
en des.sous des aifes. et â ses petites nacelles-antennes situées sur la queue verticale. 2 1

254 _.,-s
,
 fly away" est de plus de 100 millions
de dollars américains par avion, et
qu'il y en a 8 en stock. Leur fonction
première, ce sont les "émissions
d'opérations psychologiques•. L'équi-
page est composé de 4 officiers
(pilote, copilote, navigateur, chef de
contrôle 1 EWO) et de 7 hommes de
troupe {mécanicien de bord,
commandant de chargement, 5
équipiers de vol).
D'après la Fiche d'Informations :
"Mission de l'Année de l'Air: le
Commando Solo mène des missions
de diffusion d'opérations psycho-
logiques et d'affaires civiles dans les
bandes de fréquences de com-
munications AM, FM , HF, TV et
militaires standards. Les missions en
vol sont effectuées aux altitudes les
plus hautes possibles pour assurer
des schémas de propagation opti-
mum. L'EC-130 vole pour des plans
d'action soit de jour soit de nuit avec
un succès égal, et peut se ravitailler
en vol. Une mission typique consiste
en une orbite effectuée par un seul
avion et décalée du public--cible. les
cibles peuvent être soit du personnel
militaire soit du personnel ciVIl
"Les missions secondaires incluent
les contre-mesures de transmissions
de contrôle et de commandement
(C3CM) et la collecte limitée de
renseignements.
"Caractéristiques de l'Armée de
l'Air .: Des modifications très
spécialisées ont été apportées à ra
dernière version de I'EC-130. Parmi
ces modifications, on trouve des
systèmes de navigation améliorês, du
matériel d'autoprotection, et la capa-
cité d'émettre la télévision couleur sur
une multitude de supports à travers
les champs de fréquences TV VHF 1
UHF. ..
256
•Antécédents de l'Armée de J'Air:
Des avions EC- 130 de la Garde
Nationale de l'Armée de l'Air pilotés
par le 193ème Groupe d'Opérations
Spéciales ont été déployés à la fois
en Arabie Saoudite et en Turquie en
soutien de l'o-tion Tempête du
Désert. Leurs misSions induaient les
diffusions de NLa Voix du Golfe" et
d'autres programmes ayant pour but
de convaincre les soldats irakiens de
se rendre.
..A l'origine, I'EC-130 a été modifié
en utilisant l'équipement électronique
de mission de I'EC-121, que l'on
appelait à cette époque le Coronet
Solo. Peu de temps après avoir reçu
ses EC-130, le 193ème Groupe
d'Opérations Spéciales a participé au
sauvetage de ressortissants amé-
ricains durant l'Opération Acharne-
ment d'Urgence, en faisant office de
station de radio ~rtée infoonant
ces habitants 11ft ile de la Grenade
de radian militaire américaine.
·La mission Volant Solo, comme on
l'appelle maintenant, a contribué au
succès des opérations psycholo-
giques cootdonnées dans l'Opération
Juste Cause, en émettant à nouveau
continuellement pendant toute la
durée des phases initiales de
l'opération...N
l'opération Juste Cause ? Un autre
nom de propagande,. qui s'applique à
l'invasion américaine du Panama pour
renverser le Général Noriega, leader
de ce pays et ancien associé de la
CIA dans le trafic de drogue.
Apparemment, le Général, avait mis
quelqu'un très en colère, sinon,
comment expliquer l'invasion massive
de ce minuscule pays touristique ? A
savoir: .. Une superpuissance a brus-
quement démoli 10 % des forces de
l'ordre d'une nation du Tiers-Monde.
Vous êtes censés en être capables. participé aux missions suivantes -
Ça a été bien fait, et je crois à ceux peut-être à plus, puisque les premiè-
qui l'ont fait. Mais il est important que res missions de $ 1 n'étaient pas con-
nous en tirions les bonnes leçons," nues du porte-parole:
d'après un M arine américain - Opération Acharnement d'Urg-
anonyme.7 ence (lie de la Grenade, oct-nov.
Notre Commandant en Chef avait 1983, jan.-juin 1985)
un autre point de vue : ~ ...l'appel de la - Opération Juste Cause (Panama,
gloire, la liste des grandes campa- fin décembre 1989)
gnes américaines - Yorktown. - Opération Bouclier du Désert
Gettysburg, la Normandie, et . (Koweït, Irak, à partir d'août 1990)
maintenant le Panama." - Opération Tempëte du Désert
Président George Bush, mars (Arabie Saoudite. Turquie, Irak, 1991)
199()8 - Opération Défense de la Démo-
cratie (Ham, 1994-1995)
PSYOPS (OPERATIONS - Opération Garde Commune
PSYCHOLOGIQUES) (participation à une opération de
MILITAIRES CONTRE LES l'ONU en Bosnie-Herzégovine, 1995)
CIVILS - Opération Tonnerre du Désert
Lors d'un entretien téléphonique (participation à une opération de
avec le Bureau des Affaires Publiques l'ONU en Irak)
du Commandement des Opérations -Opération Renard du Désert (Irak.
Spéciales de l'Armée de l'Air Amé- 2 à 3 jours en décembre 1998} ,
ricaine. j'ai contesté la légitimité de On sait que d'autres pays
l'utilisation de ces émissions sublimi- possèdent des avions similaires, mais
nales contre les populations civiles.9 le responsable des Relations
On m'a dit que tout cela était parfai- Publiques a refusé de les nommer.
tement légal, après agrément du me suggérant plutôt de consulter le
Congés Américain (!). Peut-être que le Jane's Defence Weekly pour obtenir
Congrès y est favorable, mais je doute des informations de ce genre. N'ayant
sincèrement que les populations pas accès à cette publication-là, j'ai
destinataires donneraient leur appro- cherché dans mon exemplaire de
bation. Jane's Radar and Electronic Warfare
Cette conversation me permit Systems 1993-94.10 L'unité
également d'obtenir de plus amples Commando Solo n'y figurait pas .. ./..
informations sur les unités de Les premières recherches sur le
Commando Solo. Par exemple, ra contrôle de l'esprit aux USA furent
Garde Nationale Aérienne de chaque effectuées sous l'égide de la CIA.
état des USA peut elle aussi L'abus flagrant des droits de l'homme
commander un avion Commando dans l'expérimentation sur des
Solo, si le Gouverneur d'un État personnes ne se doutant de rien était
sollicite de l'aide. Cela signifie que la basé sur la supposition que la
technologie de contrôle de l'esprit véracité des expériences serait
PsyOps peut être dirigée contre les compromise si un sujet savait qu'il
citoyens américains. était en train de participer à une
Les avions Commando Solo ont expérience. Dans le cas de la
257
technologie du contrôle de l'esprit, il
se peut très bien que cette hypothèse
soit vraie. Mais ce n'est pas une
raison suffisante pour l'utiliser, ou du
moins c'est ce que disait le Code de
Nuremberg, dont les principes ser-
vaient de base légale pour engager
des poursuites judiciaires contre les
scientifiques nazis pour crimes de
guerre. Pourtant. les USA semblent
avoir exempté leurs communautés
militaires et scientifiques de l'obser-
vation de ce Code.11.
LE CONTRÔLE
DE L'ESPRIT
CONTRE DES ENNEMIS
"POTENTIELS"
Le 21 juillet 1994.1e Ministère de la
Défense Américain a proposé que les
armes non meurtrières soient utilisées
non seulement contre les ennemis
déclarés, mais aussi contre quicon-
que serait engagé dans des activités
auxquelles il serait opposé. Cela
pouvait viser presque n,mporte qui et
n'importe quoi. Notez que la techno-
logie du contrôle de fesprit est clas-
sée dans la catégorie des armes non
meurtrières.15
Une information datant de 1998
déclare que le Général de fAmlée de
l'Air Américaine John Jumper "prédit
que l'armée aura les moyens de faire
voir. entendre et croire des choses qui
n'existent pas aux ennemis potentiels"
et que "La même idée se trouvait
dans une étude en 15 volumes faite
par le Comité Consultatif Scientifique
de l'Armée de l'Air Américaine, pub-
liée en 1996, portant sur la question:
comment maintenir la supériorité
aérienne et spatiale des États~Unis
sur les champs de bataille du xxte
siècle."16, 17
Il semble qu'en langage militaire,
258
une "prédiction" signifie : "Ne soyez du contrôle de l'esprit, pour lui faire hertziennes parmi toutes les autres et
pas surpris quand vous découvrirez accepter vos idées que ça ne l'est de d'y insérer [au-de5sous du niveau de
que nous possédons déjà cela, mais la torturer ou de la tuer. D'autres la conscience] toutes les suggestions
c'est confidentiel et nous ne pouvons rejettent cette idée avec véhémence. imaginables. Si cela se passe sur une
pas le reconnaitre pour l'instant." Ils préféreraient être morts plutôt période de temps assez longue, ça
Remarquez que le Général Jumper qu'esclaves mentaux de l'Etat omni- s'accumule dans la tête des gens. Et à
prédit que la technologie du contrôle présent ! Voilà d'où partent les la longue ils peuvent être manipulés
de l'esprit sera utilisée contre des révolutions. Et si je me souviens bien, artificiellement grâce à des mesures
ennemis potentiels. L'armée et les c'est l'idée qui se trouve derrière la additionnelles, pour faire ce que
organismes gouvernementaux pour- Déclaration des Droits des USA. l'auteur veut (qu'ils fassent]. C'est
raient appliquer ce terme à tout .../... pourquoi il est légitime d'avoir peur
groupe ou tout individu qu'ils Comme nous l'avons vu, les [d'une teUe technologie}."
percevraient comme une menace messages subli~
pour leurs propres intérêts. Les minaux de con- Le Commando Solo mène Notes dé fin de
ennemis potentiels pourraient être trôle de l'esprit
des missions de diffusion
document
des individus de la contre-culture, sont transmis sur 1- Wall, Judy,
ceux qui ont des points de vue des émissions d"opérations psychologiques • Military Use of
politiques opposés, des concurrents de radiofréquen- et d'affaires civiles dans les Mind-Control
économiques ou financiers, des ces. Le matériel bandes de fréquences de Weapons",
indésirables biologiques, etc. Cela fait de I'HAARP communications AM, FM, HF, NEXUS AUS-
partie du programme militaire que pourrait être TRALIEN 5/06,
TV et militaires standards.
d'identifier les menaces potentielles utilisé pour oct-nov 1998.
afin d'être prêt à les affronter. émettre des
Les missions en vol sont 2~ "Les opéra-
L'expérience a démontré que le messages de effectuées aux altitudes les tions psycho-
Gouvernement Américain (la CIA et le contrôle de plus hautes possibles pour logiques• sont,
FBI. par exemple) a agi contre ces l'esprit inter- assurer des schémas de définies comme :
gens ou groupes, les calomniant, les nationaux, ou propagation optimum. · "Des opérations
harcelant, les tuant même, sans bien de tels planifiées pour
raison suffisante ou sanction légale. messages pour- transmettre des
Une arme que l'on peut utiliser raient être simplement insérés dans informations et des indices sélectionnés à
secrètement se prête à un usage les systèmes existants. des auditeurs étrangers afin d'influencer
abusif par des individus sans Le Docteur Igor Smimov, de l'Institut leurs émotions, leurs intentions, leur
scrupules en position de pouvoir. de Psycho-œrrection de Moscou, dit raisonnement objectif et par la suite le
L'armée et les services secrets se qu'en ce qui concerne cette techno- comportement des gouvernements, des
sont souvent avérés dénués de logie : "Il est facilement concevable organisations, des groupes et des
contraintes éthiques. Après tout. le que quelque "Satan~ russe. ou disons individus étrangers. Le but des opérations
travaif de l'armée c'est la guerre ; c'est iranien [ou tout autre "Satan1. tant qu'il psychologiques est de provoquer ou de
tuer des gens ; et donc, la façon dont possède les moyens et les finances renforcer des attitudes et un
c•est accompli, au juste. importe peu. appropriés, puisse s'introduire comportement étrangers favorables aux
Les petits maux, comme le contrôle {s'immiscer] dans tous les réseaux objectifs de l'auteur. Egalement appelées
de l'esprit, deviennent, quant à eux, informatiques imaginables, dans PsyOps." Tiré de •Joint Doctrine for
insignifiants en comparaison. toutes les émissions de radio ou de Information Operations". Joint Publication
Evidemment, on peut argumenter télévision imaginables, avec une 3-13. 9 octobre 1998. Merci à Harlan
qu'il est beaucoup plus humain de facilité technologique relative, sans Girard du Comité International sur les
faire un lavage de cerveau à une même débrancher de câbles. Il est Armes Offensives à Micro-Ondes (PO
personne, au moyen de la technologie possible d'intercepter les ondes Box 58700, PhUadelphia. PA 19102-8700,
259
USA) pour le passage.
3- Horvat, Alex, "Commando Solo", The
Probe, vol. 4, n• 1. hiver1998/99, p. 44 ;
disponible à l'adresse suivante : PO Box
905, St Peters, MO 63376, USA.
4- Fletcher, Bob, Exotic Weapons of Mass
Control ; vidéo disponible par The Probe
(voir ci-dessus). ou Global lnsights. A675
Fairview Dr. # 246, Carson City, NV
89701, USA, te11800 729 4131.
5- Un élément intéressant : les Etats-Unis
avaient un nouveau type d'avion de
reconnaissance aérienne positionné au-
dessus de l'ex-Yougoslavie depuis le 14
juillet 1995, environ 6 mois avant
l'intervention officielle des Etats-Unis.
l'appareil espion à 10 millions de dollars,
en forme de soucoupe, sans équipage,
est sumommé "Dari< Star" rL'Etoile des
Ténèbres"). Information tirée de C-Com
(Ciassified Communications) 3(12), déc.
1995 ; Erich A. Aggen, Jr (rédacteur),
citant CE Chronicles n• 1 et n• 2 et le
bulletin de Raising Awareness.
6- Fiche d'informations, datée du mois de
mars 1995. L'adresse sur la publication
est AF Special Operations Command
Public Affairs Offlce, 100 Bardey Street,
Hurtburt Field, FL 32544-5273, USA. Ils
ne fournissent plus d'exemplaires
imprimés, mais vous pouvez accéder au
dOOJmeot sur <www.hurftlurt.af.mH>.
7- Monison Taw, Jennifer, "Operat;on Just
Cause : Lassons for Operations Other
Than War", Rand Corp. , 1996, p. vii ;
citant "Some Questions IJVhether the US
ls Ready for L 1c·. Navy News and
Undersea Technology, 27 août 1990, p. 7.
8- Morrison Taw. Jennifer, ibid, p. 1.
9- Conversation téléphonique du 26 février
1999, avec le Bureau des Affaires Publi·
ques du Commandement des Opérations
Spédates de rAnnéede r.v ;
tet (850) 884
5515, e-mail <paprhode@hqafsoc.afoc.
af.mil>.
10- Blake. Bemard (éd.), Jane's Radar and
260
EJeclronicwanare Systems 1993--94. Jane's
Information Group, SARL, 1340 Bladdock
Place, Suite 300, Alexandria, VA 22314-
1651, USA ; également : Jane's lnfotmation
Group, Senlinel House, 163 BrigiiiOII Road,
Coulsdon, Surrey CRS 2NH, UK.
11- (a) ·us Nullifies Nuremberg Law",
Earth Island Journal, hiver 1996-97. (b)
Hightower, Jim, ~unregulated Experi-
ments on Humans", New Times, 19-25
juin 1997 ; cite Stolberg. Sheryl Gay,
"Unchecked Researdl on People Raises
Concem on Medical Ethics•, New York
Times, 14 mai 1997. (c) Voir "Ban On
Medical Experiments Without Consent ls
Relaxed", New York Times, 5 novembre
1996, p. 1 ; exemplaire disponible pour 50
ceols auprès de : David Park Books, 3456
17th St , San Francisco, CA 94110. (d)
Voir également la déclaration S-193 du
Séna~ John Glenn, "Human Research
Subjects Protection Act of 1997", Journal
Officiel du Congrès, Sénat Améficain, 22
janvier 1997 . (e) • En 1994, un sous-
comité du Congrès a découvert que
ju5<1u'à 500.000 américains avaient été
mis en danger entre 1940 et 1974 par des
essais liés à la défense secrète. incluant
expériences sur la radiation , gaz
moutarde, LSD et agents biologiques.•
Voir Prtch Weekly, 17-23 avril1997.
Article tiré de nexus 5 p.13
ECHELON
LE RESEAù MONDIAL D"ESPIONNAGE DE LA NSA
Grâce à l'utilisation
d'un système de
satellites et de
super ordinateurs
qui déchiffrent des
mots codés, la NSA
(Agence de Sûreté
de l'Etat)
américaine et ses
associés du
UKUSA surveillent
en permanence les
gouvernements, /es
sociétés et les
citoyens.
1ère partie
par Patrick S. Poole ©
1998199
e-mail : pspoole@hiwaay.net
Site: http://fly.hiwaay.net/
pspoole/ echelon.html
Traduit par
Marie-Hélène Demi/lière
ans le plus grand effort de
D s urveillance jamais .établi, la NSA
(Agence de Sûreté de l'Etat] améri-
caine a mis au point un système d'espionnage
à l'échelle mondiale, sous le nom de code
ECHELON, qui intercepte et analyse
pratiquement tous les appels téléphoniques,
fax , e-mails et télex. provenant du monde
entier. ECHELON est sous le contrôle de la
NSA mais il est dirigé conjointement par le
GCHQ {Centre d'interception des télécom..J
munications étrangères) britannique, le CSE
[Département de sécurité des communi-
cations] canadien, le DSD [Direction sécurité
Défense] australien et le GCSB [Bureau de
sécurité des communications néo-zélandais].
Ces organisations sont liées par un accord
secret, le "UKUSA Security Agreement" signé
en 1948 dont le contenu reste encore incoiU\u.
La conception de ce système d'espionnage
est très simple : des stations d'interception
placées dans le monde entier atin de capter
toutes les communications transmises par
satellites, micro-ondes, réseaux cellulaires ou
à fibres optiques, puis traitement de ces
informations par les énormes ordinateurs de la
NSA, comprenant des programmes de pointe
261
 de reconnaissance vocale et de personne vendit la mèche en disant Espionnage commercial : Depuis
reconnaissance optiq ue des qu'alors qu'elle était en poste dans la chute du communisme e n
caractère s (OCR), qui recher- les locaux de Menwith Hill dans Europe de l'Est, les Serv ices
cheront des mots codés o u même les années 80, elle a eu l'occasion Secrets ont cherché une nouvelle
des phrases codées (à l'aide du d'entendre des interceptions en excuse pour continuer le ur
" Dictionnaire ECHELON") pour direct du Sénateur de Caroline du surveillance afin de protéger leur
ensuite recon naître le message, Sud Strom Thunnond. Un ancien importa nce e t leurs budge ts
l'enregistrer et le transcrire pour membre du Congrès américain du surgonflés. La seule solution était
une analyse ultérieure. A c haque Mary land, Michael Barnes, a de redéfinir la notion de "Sûreté de
"poste d'écoute". des analystes des déclaré en 1995 dans un article du l'Etat" pour y inclure les intérêts de
Services Secrets conservent des Sun à Baltimore que sous le l'économie, du commerce et des
listes de mots clés leur permettant gouvernement Reagan ses appels sociétés. L'Office of Intelligence
d'analyser téléphoniques Liaison (Bureau des commu-
Malgré la désintégration du
toute conver- étaient réguliè- nications secrètes) fut créé au sein
communisme dans l'ex-Union
sation ou tout rement intercep- du Ministère du commerce amé-
document ISo·viét:lque, la NSA très sec1rète tés, chose qu'il ricain pour envoyer les documents
trdnsmis par le continue de croitre à une a seulement dé"' interceptés aux plus grandes
système pou r allure exponentielle en terme couverte lors- sociétés américaines. Dans de
ensuite le ou la de budget, d"effectif et · que des journa- nombreux cas, les bénéficiaires de
transmettre au listes ont reçu cet espionnage commercial sont les
Quartier Géné- de la Mai son so c iétés mêmes qui ont a idé la
ral des Serv ices Sec rets q ui ont Blanche la transcription de ses NSA à mettre au point les systèmes
demandé l'interception. conversations. L'une des révé- permettant de faire fonctionner le
~. ~·'1 .. lations les plus choquantes a été réseau ECHELON.
Parmi les activités du système faite après que plusieurs . ../. ..
ECHELON nous trouvons: responsables du GCHQ, concernés Alors que la techno logie par
t'es~ionnage politique : Depuis la par la surveillance de groupes signaux des Services Secrets aidait
lin d~ la Seconde Guerre Mondiale. politiques pacifistes, déclarent en à contenir puis finalement vaincre
les Services Secrets a mér icains 1992 à l'Observer de Londres que l'empire soviétique pendant la
· n'ont cessé de bato ucr les droits ct les "Dictionnaires ECHELON" Guerre froide, ce qui autrefo is
les libertés du peuple américain. visaient Amnesty 1nternational, devait servir à cibler une liste
.. ./ ... Greenpeace et même des ministères choisie de pays communistes et
Lors d'une interview dans Plain chrétiens. d'états terroristes est mainte nant
Deaft.!r à Cleveland en t 988. une dirigé au hasard contre
pratiquement tous les citoyens du
monde. Le Parlement Européen se
demande main tenant si les
interceptions de communications
par le système ECHELON violent
aussi la s ouveraineté et la vie
privée des c itoyens dans d'autres
pays. Dans certains cas, comme au
poste de la NSA·à Menwith Hill en
Angleterre, la surveillance est
dirigée contre des citoyens sur leur
propre sol et avec lè consentement
total de leur gouvernement.
.. ./...
Le défunt sénateur américain
Franck Church avait prévenu que la
technologie et les capacités réunies
dans le système ECHELON repré-
senta ient une menace directe contre
les libertés du peuple américain.
Livré à lui ~mê me , ECHELON
pq.urra it être utilisé par l'élite
politique ou par les services de
renseignements eux-mêmes dans le
but de déstabiliser les protections
civ iles de la Constitution et de
détruire le gouvernement repré-
sentatif des États-Unis
.../...
LE RÉSEAU ECHELON
Le vaste réseau créé par le
UKUSA couvre toute la surface du
globe et l'espace n'a aucun secret
263
 pour lui. Grâce à des stations
d'interception terrestres, des ba-
teaux de renseignements voguant
sur toutes les mers du globe et des
sate llites top secrets tournant à
presque 40 000 kms au-dessus de
nos têtes, la NSA et ses alliés du
UKUSA ont accès aux réseaux de
communication du monde entier.
Très peu de signaux échappent à
leur vigilance électronique.
· Les membres du UKUSA s'étant
divisés le monde, chaque agence
dirige so n espèce "d'aspirateur"
électronique vers le ciel et vers la
Terre à l'affût des moindre signaux
de communications q ui pourraient
tra verser l'immense territoire
balayé par le système. Les
installations de la NSA aux États-
Unis couvrent les communications
des deux continents américains ; le
GCHQ au Roya lim e-Uni est
respons abl e de l'Europe. de
l'Afrique et de la Russie (à l'ouest
des montagnes de l'Oural) : le DSD
australien assiste les interceptions
SIGlNT en Asie du Sud-est. dans
le Pacifique sud-ouest er dans la
partie est de l'Océan indien ; le
GSCB de Nouvelle Zélande. quant à
lui, est chargé du Pacifique sud : lt!
CSE canadien s'occupe des
interceptions du reste du nord de la
264
Russie, du nord de l'Europe et du Nouvelle Zélande.
nord du continent américain. Ces satellites de surveillance
Le pivot du réseau ECHELON est agissent comme des pelles géantes,
constitué par les importantes ramass ant les communications
stations de réception et d'écoute électroniques, les conversations sur
alimentées par les sateJlites lntelsat téléphones portables et diverses
et lnmarsat, responsables de la transmissions radio. Les stations qui
plupart des com-munications par . contrôlent les opérations et le
téléphone et par fax à l'intérieur ciblage de ces satellites sont sous le
même et entre les pays et les contrôle exclusif des États-Unis,
continents. Les vingt satellites malgré leur installation sur des bases
lntelsat su ivent un orbite géosta- militaires étrangères. Les d e ux
tionnaire raccordé à un point parti- installations principales sont à
culier de l'équateur. Ces satellites Menwith Hill en Angleterre et à Pi ne
reçoivent essentiellement les com- Gap en Australie Centrale.
munications civiles mais également
les communications diplomatiques
ct gouvernementales qui intéressent
au plus haut point les membres du
UKUSA.
A l'origine, seules deux stations
étaient chargées des interceptions
d'lntclsat : Motwenstow en Angle-
terre et Yakima aux États-Unis,
dans l'Etat de Washington.
Toutefoi s, quand la série des
lntclsat 5 fut remplacée par les
lntelsat 701 et 703, dont les rayons
de transmis-sion, beaucoup plus
précis, empê-chaie nt la base de
Yakima dans l'hémisphère nord de
recevoir les signaux de l'hémi-
sphère sud, d'autres installations
furent construites en Australie et en
265

REGARD CRITIQUE . .. REGARD CRITIQUE . ..
Des puces sous-cutanées
pour tracer les gens: Ce
procédé nous paraissait en
1993 proche de la science-
fiction (voi r article de S.
Monast p131)
Par Estelle Dumout
ZDNet France
15fëvrier 20()2
Une soci~té amàicainc, spécialisée
dans les systt:mcs de surveillance, a
recruté une cinquantai ne de cobayes
huma ins, pour leur implanter une
puœ sous la peau œ n s~e permettre
leur identification gràce à un scan-
ner.
J eff ct Lcsl ic Jaco bs ct leur fils
Derek débo rdent de f ierté. Cette
tàmil!e américaine type. domiciliée
en Floridt:. a ét~ sélectionnée par la
société Verichip. comme une cin-
quantaine d'au tres privilégiés».
pour n:ccvoir une micropuœ dans
le bras.
Celle-ci est un peLt plu :; grosse
qu'un grain de ri 7. et sera implantée
directement sous la peau. Grâce à
266
elle, son porteur pourra être iden-
tifié ~utomatiguement lorsqu'il pas-
sera <1 portée d'un scanner spéci-
fique. Elle contiendra un numéro
d'identité ainsi que des informa-
tions sur les antécëdents médicaux
du porteur, nécessaires en cas d'ur-
gence. Le procédé n'est pas
nouveau: il est déjà utilisé depuis
des années pour reconnaître les
animaux domestiques et le bétail.
La comparaison n'a pas l'air d'em-
bêter les heureux élus. rav is de
«surfer sur !a vague du fu tur».
Des brevets à 130 millions
de dollars
Verichip est une filiale de la société
américaine Applied Di gita l
Solutions (ADS), qui développe
des systèmes de surveillance mi -
niaturisés. Elle a acquis entre 2000
et 200 l plusieurs brevets, pour la
modique somme d~ 130 millions de
dollars, afin de pouvoir disposer
des demiàcs technologies en
matière d'implants sous-cutanés ct
de transmission de données.
À l'origine, pourtant, ADS promet-
tait qu'i 1 n'était nullement dans son
intention d' uti! is_er ces a vancécs
technologiques pour suivre les gens
à la trace. «Nous avo ns étud ié le
marché des apparei ls ùe survci !-
lance médicale et de loc al isation
d'urgence
•
et nous sommes convain-
eus qu'il existe un énorme potentiel
pour des dispositifs externes et
portables», affirmait de façon altru-
iste la société en juin .200 1. en
parlant de sa technologie baptisée
Digital Angel. Il s'agit d'un pe tit
appareil qui sc porte au bras e t
contient toutes les informations
nécessaires sur une per~onne en cas
d'accident. Cette puce est éga l-
ement rerérablc par un réseau
GPS. «Nous n'avons aucune inten-
tion de nous lancer dans le déve-
loppement d'autre s types de
produits>>, marte lait à l' l: poqu c
ADS.
Contrats lucratifs
Les attentats du I l septembre ct la
vague de paranoïa qui a sa isi les
États-Unis ont-ils encouragé ADS
ù retourner sa veste. pour profiter
du marché juteux qui se pmfilait'?
Toujours est-il qu'aujourd 'hu i. la
société affiche avec /1-:rt~ ses am-
bitions: «notre appareil d' idcnti li-
cation implantablc miniaturi sé
pcut-ètre utilisé <'t tks fin :; ml!di -
calcs. de sécurité, ou dan s d t:s
situations d'urgence>•. a flirm c son
communrquc.
Ve riehip entend tcsti.:r son systèrne
s ur ses 50 cobayes avant de le
so um e ttre à l'approbation de la
Food and Drug Administration
(FDA ), afin de pou vo ir le com-
me rcia lise r. Des formal ités q u i
n'ont pa s é té nécessa ires pou r
signer un contra t avec un distri-
buteur qui de vra it vendre la
tec hnologie de Verichip et les
autres produits d' Appl ied Digital
Solutions(ADS) dans trois pays
d'Amérique du Sud. Cc premier
contra t porte sur 300000 dollars,
rnai.-. ADS espère engranger des
revenus avoisinant ks 2 millions
dollars d'ici un an.
Le projet a naturclkmcnt fait
bondir les organisations de
protection de la vic pri véc. Leurs
arguments ont cependant été
balayés d'un revers de la main par
1\DS. «Les bénéfices à ~n attl!ndrc
sont plus imp o rt ants q ue les
inqu ié tud ès c o nce rn a nt la VIE
PRIVÉb•, a décla rt! son PDG
Richard Sull ivan à Rcuh:rs.
Source:
hIl r :.'fllC\VS. ZÙ ll Ct. frf
267
ARTIClE NEXUS 18 P.3
ALLEMAGNE
DES CELLULES CÉRÉBRALES VIVANTES
RELIÉES DANS UN
CIRCUIT ÉLECTRONIQUE
POur la première fois,
etes scientifiques ont associé
de multiples cellules
cérébrales à des plaquettes
de silicium afin de créer un
circuit électronique ml-vivant
mi-mécanique.
P
our construire ce circuit électronique partiellement
vivant, des scientifiques de l'Institut de Biochimie
Max Planck en Allemagne ont rêossi à coller de
multiples neurones d'escargots sur de minuscules puces
à transistor et ont démontré que les cellules
communiquaient entre elles ainsi qu'avec les pastilles.
Celte avancee constitue un pas important vers un objectif
qui relève pour l'instant plus de la science-ficti.on que de
la science : développer des rétines artificielles et des
prothèses qui soient des extensions du système nerveux
humain. L'idée est de combiner les capacités
mécaniques des circuits électroniques à la complexité et
à l'intelligence extraordinaires du cerveau humain. Ces
associations de biok>gie et de technologie pourraient non
seulement aider un jour les aveugles â recouvrer la vue
et les paralysés à faire bouger des objets par la pensée,
mais aussi permettre de construire des ordinateurs aussi
inventifs et adaptables que notre propre système nerveux
ainsi qu'une génération de robots qui mériteraient
vraiment d'être qualifiés d'intelligents.
(Source : Washington Post. 28 aoiit 2001 - Voir aussi
www. lemonde.fr, édition du 1~ 11-01)
268
REGARD CRITIQUE ..• REGARD
LES MEDECINS, TROISIEME CAUSE MAJEURE DE DECES
AUX ETATS-UNIS
La population américaine est très loin
d'avoir la meilleure santé du monde. Sur
13 pays examinés lors d'une récente
comparaison, les Etats-Unis se classent
12ème (avant-derniers) pour 16
indicateurs de santé donnés.
Les pays classés suivant la moyenne
des rangs obtenus pour les différents
indicateurs de santé (les premiers étant
les meilleurs) sont : le Japon, la Suède,
1e Canada, la France, 1'A us tra 1i e ,
l'Espagne, la Finlande, les Pays-Bas, le
Royaume-Uni, le Danemark, la
Belgique, les Etats-Unis et l'Allemagne.
Parmi les estimations américaines des
effets combinés des erreurs médicales et
des effets défavorables se produisant à
cause de lésions iatrogènes non liées à
des erreurs médicales reconnaissables,
on compte:
) déc~s au1. Etats-Unis, juste après la
1L ~ t
ft .' \ \
l.l' 1 .is.:J.ll,\~~ I~'IIL'o;. 1
·en e'ltréli. je pe~ de& émuls•ll.lnts
51Ui'lis d'un pet> (]• n-.rc..t& ~tom"nl ytillé,
~de oons&MIIet•rs ~terni'Ol
oxydéS. et pOUr la dame. ce sera n·ir>po.w
(JI8I ~ ~·~ment modlli&. ·
( 12000 décès/an suite à des opérati<ms
chirurgicales superflues
( 7000 décès/an suite à des erreurs de
médication dans des hôpitaux
( 20000 déœs/an suite à d'autres erreurs
dans des hôpitaux
( goooo décès/an suite à ùes infections
nosocomialcs dans des hôpitaux
( 106000 d~cèslan non pas suite à tme
erreur mais aux effets défavorables des
médicaments
Tout ceci fait au total 225 000 décès par
an dus à des causes iatrogènes.
On devrait noter que la plupart des
données sont tirées d'études réalisées sur
des patients hos pitalisés, et que ces
estimations ne concernent que les décès,
et n'englobent pas les effets défavo-
rables responsables d'un handicap ou
d'un inconfort. Si l'on prenait les
estimations les plus élevées, les décès
dus à des causes iatrogènes iraient de
230 000 à 284 000 par an.
En tout cas. ces 225 000 décès
annuels dus ~ des causes iatrogènes
constituent la troisième cause majeure de
ma1ad ic card iaq uc et le cancer.
ts.>urn:: J:\.\1.-\ ~~l-11. ~" Juilk.; :noo. ttcrp: j~CI.Tl'I.<W'n2·
269
 UN MOUCHARD DANS VOTRE donne une position à 50 mètres
POCHE près de la position réelle. Les
. ARTICLE TIRÉ DE NEXUS 12 P.13 nouvelles technologies des
La prochaine génération de téléphones portables comme les
Les gouvernements Solana, tous les docu- «la croissance de la
de l'Union Européenne ments classés secrets violence et la déstabi-
téléphones portables permettra bien General Packet Radio Services
(UE) ont approuvé de concernant «la sécurité lisation de l'ordre public, plus facilement à la police de (GPRS) et Universal Mobile
larges et nouveaux et la défense de l'Union les attentats à l'ordre surveiller en secret des citoyens. Telecommunications Services
contrôles de l'informa- ou de l'un ou plusieurs public, le déclenche- déc lare nt des défenseurs des (UMTS) ont intégré des systèmes
tion, y compris des de ses états membres,> ment de combats, les
libet1és civiques au Royaume-Uni. de localisation encore plus précis.
détails sur la proposition ou bien «la gestion de conflits armés» et <des
d'une nouvelle force de crises militaires ou non- mouvements massifs de Ils mettent !!" garde contre le fait Les services GPRS doivent être
police paramilitaire euro- militaires»seront défini- population». que la combinaison de la disponibles dans le monde entier
pêenne. tivement exclus d'une Parmi les documents technologie ·de détection de cette année, et les réseaux de
Le nouveau code du consultation publique. qui auraient été suppri- localisation intégrée dans les téléphones UMTS .doivent être
secret de I'UE avait été les règles du secret més selon les nouveaux
approuvé un peu plus couvriront les propo-
téléphones et les droits accordés à branchés en 2002.
contrôles, on compte le
tôt en août par «une sitioos visant â établir procès·verbal d'une ren- la police selon le Regulation of Mais Caspar Bowden, directeur
procédure écrite», pré- une force de police contre entre les polices lnvestigatory Powers (RIP) Act [loi de la Fondation pour la Recherche
venant ainsi tout débat paramilitaire de I'UE, paramilitaires visant à réglementer les pouvoirs sur la Politique d'ln formation,
au sein du Parlement forte de 5000 hommes, d'Espagne, du Portugal, d'investigation], signifie que les prévient que la loi récemment
Européen. Il entra en ainsi que les projets de France et d'Italie, en
vigueur dans I'UE le 23 concernant une force de propriétaires de tels téléphones adoptée (le RIP Act) pourrait
janvier, lors de laquelle
août. Ce code a été réaction rapide. Elles on a discuté de la cré- peuvent être observés. et ils le permettre d·utiliser les données
rédigé en secret par le pourraient couvrir tous ation d'une «force d'in- seront. Ils avertissent actuellement dans un but bien plus sinistre. Il
chef suprême de la sé- les débats de f'UE sur la vestigation et de sécu- les gens qu'en utilisant l'un de ces déclare que le RIP Act considère
curité de I'UE, Javier justice pénale, le con- rité européenne» com- nouveaux téléphones ils pourraient les informations utilisées pour
Solana, qui est aussi trOie des frontiètes et la me d'un «outil» qui
secrétaire général du politique commerciale. serait mis à la disposj..
avoir du mal à préserver leur localiser les téléphones comme des
Conseil des Ministres de Ce code permettra tion de I'UE et de intimité. «transmissions de données>>et que
I'UE, en collaboration aussi aux gouverne- l'OTAN. . Reconnaissant ces implications, la police n'a pas besoin de
avec son successeur au ments de l'OTAN ne (Source: pet Alcl\ard Norton-Ta)'lcr. The les compagnies de téléphones justification pour y avoir accès. La
~.31acül2000.sileln­
poste de Secrétaire faisant par partie de I'UE HYPEAUNK recher-chent des façons de police pourrait se servir de ces
Général de l'OTAN •. d'apposer leur veto à la "hllp://Www ~.co.lll<•......,..guardia

Lord Robertson. divulgation de docu-

n.o:o.uk) permettre à leurs clients de cacher informations pour surveiller en
Ces contrôles ont été . ments de I'UE. l'endroit où ils se trouvent en secret tout individu utilisant un
exécutés d'urgence ma~. . Cependant, des docu- appuyant sur une touche. téléphone portable.
gré l'opposition du mé- ments divulgués mon· Bien que des combinés GSM
diateur européen, Jacob trent que ces projets (Source : par Mark Ward. BBC News
Soderman, qui a préve-- vont beaucoup plus loin
existants puissent servir d"appareils
Online. 14 août 2000, HYPERLINK
nu que ce code pourrait que des opérations pu- de localisation. ils ne donnent en •http:flnews.bbc.co.uk/hi/englishlsciltechl»
s'appliquer à des do- rement militaires. La général une position qu·à 200 hltp:/lnews.bbc.co.uk/hilenglish/sciltech/)
maines politiques actu- force de réaction rapide mètres près. Cette précision peut
ellement acces-sibles à évoquée pourrait être
être améliorée si les combinés sont
la consultation publique. utilisée pour réprimer
D'après le plan dotés d'un logiciel spécial qui

270 271
ARTICLE NEXUS N° 16 P.S
'
DE NOUVEAUX CODE-BARRES SOULEVENT DES INQUIETUDES
'
POUR LE RESPECf DE LA VIE PRIVEE
'ici quelques années, des étiquettes discrètes sur les produits de
D détail enverront des s ignaux radios à leurs producteurs,
récoltant une riche moisson d'informations sur les habitudes du
consommateur, menaçant aussi le secret de la vie privée.
Nous sommes en 2010 sur une chaîne d'usine ordinaire. Une bouteille
de bière est estampillée d'une inoffensive petite étiquette qui commence
immédiatement à envoyer des signaux dans le cy.berespace. L'étiquette
renseigne le site web de la grande brasserie sur ses déplacements, depuis
l'usine, aux entrepôts, aux centres de distribution, et jusqu'au réfrigérateur
de l'épicier du coin. Quand la bouteille est vendue, le producteur est
prévenu et ordonne qu'une nouvelle bouteille la remplace. Finalement.
affrontant le phénomène de la réincarnation dans un centre de recyclage
de matériaux, la bouteille émet ses "derniers mots" vers un robot trieur
qui la soutire d'un tas de plastiques et d~ papiers pour la déposer dans Je
container de verre.
Au cœur de ce scénario se trouve un petit appareil appelé
"radiofrequency identification tag", [étiquette d.identification par
radiofréquences] une puce de silicone qui" amplifie et transmet un signal
lorsqu'elle est soumise au champ d·énergie d ' un utilisateur. L'objectif
final est de munir de cette étiquette tous les produits manufacturés, suivis
par un réseau de millions de récepteurs dans les usines, les camions, les
entrepôts et les foyers, transfonnant les immenses chaînes de distribution
en entités auto-gérées intelligentes.
Les industriels espèrent employer ces étiquettes comme prochaine
génération de code-barres, connectant les objets manufacturés aux bases
de données spécifiques des produits ••en ligne".
Teve Halliday, Vice-Président de AtM, une association commerciale de
fournisseurs de technologies d'étiquetage, déclara : "Quand je demande
aux entreprises si elles souhaitent remplacer les codes-barres par cette
technologie, Ja réponse est toujours positive. C'est comme si on leur
donnait 1a possibilité de gérer Je monde."
(Source: article de Charlie Schmidt. marl' 2001, www.rense.com)
272
ME DIAS
DES MILITAIRES SPÉCIALISTES DES "OPÉRATIONS PSYCHIQUES"
ONT TRAVAILLE' CHEZ CNN
e juin 1999 à mars 2000, CNN a employé des militaires
D spécialistes des " opérations psychiques" (Psyops) dans ses ·
studios de radio et de télévision du sud-est.
Au total, CNN a accueilli cinq membres du personnel interne des
Psyops de l'armée américaine: deux pour la télévision, deux pour la radio
ct un pour des opérations par satellite. Le personnel de l'armée/de C NN
appartenait au Quatrième Groupe Aéroporté d'OpératiQns Psychiques, en
garnison à Fort Bragg, en Caroline du Nord. L'une des tâches principales
de ce groupe de presque 1200 soldats ct otlïcicrs consistait à propager
"des informations choisies".
Ce groupe de propagande a été impliqué dans la Guerre du Golfe, la
guerre en Bosnie et la crise au Kosovo. Le personnel militaire est resté
chez CNN pendant au moins deux semaines " pour arriver à comprendre
cette entreprise et élargir leurs horizons''.
Pourtant, les gens des Psyops à Arlington n'ont pas été entièrement
satisf~ils de la gestion des informations pendant la guerre en Serbie. Selon
eux, trop d'infonnations concernant les résultats des bombardements ont
fair surface.
Les reportages de CNN et d'autres couvertures médiatiques sur la
guerre au Kosovo se sont attirés des critiques parce qu•ils manquaient
d'impartialité, quïls fai saient bien trop appel aux sentiments, qu'ils
étaient simplifiés à l'extrême ct reposaie nt beaucoup trop sur les
responsables de rOTAN. D'autre part, les journalistes sc sont plaints de
manque r d'informations tïables de la part de l'OTAN pour la quasi~
totalité d 'entre eux, il étai! impossible d'être sur Je champ de bataille et de
produire des reportages avec des intonnations de première main.
RtWrence .
• .~fe:l':andt:r Cod: hum. " C.V.\' .:1 le.• P.w ops ... Crnmlt'rPum:h, 16 février et fer mars
1000. \Pl"ll ·. nmlllt'rpmrdl. 01~ '·llnp,,_I"Op~·.html
273
 Et maintenant que faire ?
L'ENERGIE LIBRE RECONNUE

Des chercheurs. tmuveun commencent à quitter l'ombre de leu rs

ateliers... De plus en plus de scientifiques témoignent de l'existence d 'une
énergie issue des Jlucluations qua!11ÙJUf!.~· dans Je vide de l'espace. la jin
de la polémique est proche. Déjà. il 11e .~'agit plus de discuter si l'énergie
libre existe. Elle EST. Les di.H·ussions portent maintenant sur son
utilisalion... Les choses bougem .' certains milieux scientifiques et avant-
gardistes pensent qu'une ré\'0/ution se prépare en silence. l'énergie libre
qui nous entoure est un énorme réservoir d'énergie propre et
décentralisée. Bientôt, (certains disent avant dix a ns) les sources
d'é nergie actue llement utilisées seront considér ées comme d es
cauchemars préhistoriques qui eucomhraient nos paysages de déchets et
polluaient l'air.
Certe n!volution pourrait sonner 1'111!/lll! d'un nom·eau paradigme à côté
duquel les révolutions copl!midennes et industrielles paraitronl
anodines...
à lire :''énefgies libres et œclmologies" de Jeane Manning ED. Louise
Courteau

'
lA BELGIQUE ET LE NUCLEAIRE

Le gouvernement helge a am1o11n! sa décision de sortir du nucléaire.

Un pn~;et de loi de1·rait être introduit selon lequel les centrales seraient
désactiw>es entre !014 et ]fJ]-1. La nt!eur de celte dédsivn n'e.'>t pas des
moindres. ce pays reconnaù en/in que l'ém.>1gie nucléaire est une "erreur
historique".

274
 Energies nouvelles
L'espace quantique à notre portée
Le président de l'institut suisse ROF et son
plus proche collaborateur ét aient en tournée
en Europe au mois de juillet. Féli-Cité les a
rencontrés pour vous et vous livre des
informations récentes au sujet du ROM dont il
a déjà été question.
Jean -Marie Lehne<, entreprene ur et président de ROF
(lnstut for Raum· Ouanten· forschung), est intarissable
quand il peur parler de la recherche en matière d'énergie
libre . Encore plus que le phy sicien Or Hans Weber.
directeur du p rogramme scientifique de l'Institut ROF. A
deux. ils se complétaient peur exposer cer t aines
découvertes d'une importance universelle, si pu plus
grandes que cele de la fusion froide.
Oui, plus peut-être, puisque la fusion froide est diffi-
cilement prévisible, reproductible et instable ; en outre, elle
produit de la chaleur comme seule énergie . Tandis que
l'appareil "Raum-Ouanten·Manipul<~tor• (qui en est i des
mises au point) exploite l'éflergie disponible ;\ l'infini d -
l'univcrs en la transmutant en énergio électrique stable et
en continu.
L'Institut RQF n'est pesle seul laboratoire au moflde où se
fait ce genre de recherche en matière d'exploitation de
l' eapace quantique (appelé autrefois ct à ju ste titre
"éther·, lequel emplit l'univers entier) . D'autres sclen-
riroques partent d ' analyses et théofies fort dilf.....,tes et
bion plus compliquées que cell<ts du savant théoricien
OfiY8r Crane i l' origine dudlt app;weil de manipulation de
l'espace quantique. Jean-Marie lehncr a trav8illé pendant
6 ans avec Oliver Crane pour mettre en application la
théorie tout à fait révolutionnaire concernant r•nergie
cosmôque disponible i l'infini dans l'univers.
D' lei quelqueo; mois. avec son fonctionnement de 24 h -
24 h, l'installation de test ROM pourra être prbento!e au
monde. Ce sera la preuve et la promesse que, dans un
avenir assez proche . tout habitat .. usine. navire . ne ....
pourra disposer ~ l'Infini d ' énergie ~que bon marché.
Avec le grand avantage que l'apparcôl ROM ne n~ssite.
dans son fonctionnement et son ouge. absolument rien
qui nuise à renviro... ....-t.
Quelques découvertes simples sont au départ de la
compréhension de l'appareil ROM . Pac exemple que le
champ autour d'un cllble électrique n ' est pas quelque
chose de statique, mais qu'en rhitê. il s ' agit d ' un flux en
multiples couches. Entre les couches il y a des tourbillons
ou turbulences. Ce que l'on voit dans la limaille do fer sur
la fouille de papier au -dessus d'un aimant n'est pas la
preuve de la présence d'un chan1p magnétique mals bien
l'endroit précis où los turbulences se produisent entre les
cou ches de flux d ' énergie .
Si r on disposo de la poudre de limaille de fer sur une
S<Jrfac·e d ' eau dans un récipient dis posé au-dessus d' un
aimant. ce que l'on observe n ' est plus une structure
pareille à celle que l'on trouve dans les livres , mals blen
un e sp irale qui s e fo rme lorsqu ' on fait monte r ou
descendre le récipietlt . A partir de cette simple expérience,
toute la science de l' électro-magnét isme est remis e en
cause de même que la compréhension de la science des
champs énergétiques autour de la planète.
Au laboratoire suisse. dans la banlieue de ZUrich, chaque
Eoir l'appare;Jage ROM est mis ~us scellé dans un grand
écrin coffre-fort ann de le mettre à l' abri de tout van-
dalisme ou espionnage. C'est que la recherche a déjà été
retardée par l' action de sabotage d'agents espions au
service d'Intérêts •trangers. Forts de cette mauvaise
exp4rience, le président et la petite équipe de recherche
sont sur leurs gardes. les enjeux sont en effet de taiRe.
Demain, l'humanit' pourrait bénéficier d'énergie électrique
universeHe qui remplacerait presque toutes les autres
sources d'énergie.
Sou1c:es : Rencon tre o vec J ·M. lettoo' at Or H. W&Oel
enez sonk> oe vos éJ tttta. lle'Qique.
Site anglophone et nonc:ophone < www rQm.cn >
Conrocr : Institut 101 Raum-Quonten-tonchung.
Hummorwoldstr• .tO. cu • 80.CS
JO(>o-lloppe1$W11 : rqm@occescn
Energie "zéro"
Depuis 1997, un tas d'informations concer-
nant la fusion froide, des moteurs fonc-
tionnant sans carburant, l'énergie libre. des
appareils à pollution zéro, la mémoire de
l'eau, etc . sont en train d'échapper à la
mainmise de la haute finance et du commerce
qui empêchaient autant que possible, dès
avant 1940, toute information à ce ce sujet.
Au .Japon, en 1993. il y eut une mouverTMOt innova teur.
le Prof. lnomata reçut le soutien du g~t et des
industries pour ses travaux sur la fusion i froid. La firme
Toshiba s'est pn!sentée pour soutenir et appliquer ses
travaux par une déclaration qui vaut un acte foi ...ssi
spirituel que scientiste : "1 n'y 11 /MS que le monde tnlltri-
ritt/, il y ir a/SSÎ les rnonths invisiblf!s et les dBUX sorrt intw-
œnr...:tés. L ·-..rg;. zéro vient des mondu ilfllisibla :
, . ,_r ln~ pour le bien com~ pour le mM.·
Cette dernière affirmation est invoqu6e par certains
découvreurs, comme par exemp le l'allemand Roland
Piocher. pour ne pas divulguer toutes les informations
concernant leurs découvertes.
En f6vrier 1998, l' Alemagne a accordé un brevet mondial
aux fabricants d'une machine productrice d 'énergie r.bre
basée sur le carbone. Une mince fetJille de carbone est
cac>able de produire à pe<pétulté 400W d'électrlcitê . Un
app.,eil serait donc capable d'alimenter tous les petits
appareils et ordinateurs ménagers sans aucun besoin de
prise de courant.
Voici v~nu l• fin d'un vi~wc. monde e l 1• naisYnce d ' un
nou\l~au ! l'~rgie serait donc éterMII"""'"I renouvffilble.
Appliquée intérieurement, c'est l'alchimie spiritu~lle qui
procur~ un manteau d ' énergie el de lumière, véhicule de
rédemption. l ' homme découvre toujours d'abord d.-ns le
monde extérieur cc qui est polentiel dans son monde intérieur.
25
275

. l'Alaska. Si j'ai tenu à ce qu'un tel lieu soit porté à votre connaissance,
Enseignements spirituels
La Technologie sans Amour mène art dessèchement, que ce soit de
votre planète ou de vous-même. Il y a bien longtemps nous avons connu
ce moment d'exaltation due à une technologie avancée qui nous a menés
jusqu'au gouffre : celui de la solitude. du dessèchement, de la stagnation
et de la mom[/ication . Ne l:myez pas que cela ne puisse toucher que la
planète sur laquelle nous vivons ou sur laquelle vous vivez. Chaque
organisme viwmt en subit fatalement les retombées et certaines planètes ont
vu leurs habitants se jlétrir et dépérir par manque... de Joie. Cela étonne
peut-être ceux qui ne connaissent pas les interactions subtiles qui se
déroulent entre 1111 organisme vivant et son envimnnemenl, mais pour nous
c'est une él·idence.
La Jo ie et J'Amour permettent un champ de cohérence entre
différentes formes de vie pour maintenir et générer la vie. Si ce champ
disparail por manque de nourriture plus rien ne peut continuer à fleurir
que ce soit sur un plan subtil ou physique. Faire une séparation entre ces
deux mondes est encore mre oberrotion.
EXTRAIT LIVRE ALLIANCE CHAPITRE 7 P. 103
276
Votre conscience vient d'être entraînée vers le continent américain et
les images captées sont celles de quelque lieu perdu dans les solitudes de
c'est parce qu'il rend compte, sans qu'il y ait nécessité de rentrer dans de
pénibles détails, de 1' implantation concrète de quelques recherches
scientifiques menées depuis des décennies par les puis-sances du non-
amour. Les constructions aperçues, à demi enfouies dans les glaces, font
partie d'une vaste chaîne de laboratoires et de centres d'étude répartie sur
l'ensemble de votre planète et qui a pour but la domination psychique de
la population humaine e t le contrôle d, é léments naturels tels les
climats..../...
L'Ombre est avant tout une énergie mais l'énergie, ne l'oubliez pas, a
souvent pour nécessi~é de s' incarner. C'est ici le cas. A l'image de vos
frères de la Lumière, les frères de l'amour pauvre œuvrent souter-
rainement depuis des millions d'années, non pas par attrait pour le mal,
parce que domination, puissance et perfectionnement d'une seule et
unique race leur semblent un bien, mais pour faire de la planète un lieu
d'assouvissement de leurs nécessités mentales et physiques. C'est
récemment derrière l'étiquette nazie que leur projet fut j usqu'à présent le
plus élaboré. Une telle étiquette a en partie disparu car elle a fini par
effrayer les hommes ... Ma is qu'est-ce qu ' une é tiquette ? Une force
résolue ·à s' imposer peut en porter autant qu' il lui plaît, au gré du vent.
Nul n'étouffe une idée en en gommant le nom. Ainsi, je vous le dis, la
puissance nazie est plus que jamais présente sur votre Terre. Elle s'est
revêtue de parures honorables et s'est parfaite dans la maîtrise d' une
technologie bientôt capable de modifier les climats, donc l'équilibre
économique des nations.
Elfe se base aussi et surtout s ur le peu de résistance physique et
émotionnelle d'un grand nombre d'êtres en résonance avec ce que l'on
pourrait appeler "une certaine longueur d'onde".
EXTRAIT PAR l'ESPRIT DU SOLEIL P.l20
277
 En vérité, les progrès technologiques auxquels vous pouvez assister ne
représentent que la conséquence externe de cet élargissement de
conscience. Ce ne sont pas même de véritables progrès. Sans doute serait-
il plus juste de parler de ré-émersion de connaissances.
Le sous-sol de votre planète recèle tout autant de secrets que la voûte
étoilée qui vous fait rêver. H y existe des villes entières, des voies de
communications, toutes vestiges de temps antérieurs mais qui ont
-6-
conservé leur vie et leur fonc-tion précise et dont les apports joueront un
rôle considérable dans l'organisation des prochaines décennies.
Qq'il n'y ait pas là matière à recherche de votre part mais simplement Les Etres de l'espace
motif à réflexion ... car pour que le nectar du Grand Echanson puisse ou : un boycott très explicable
inonder votre âme, il importe que celle-ci renoue avec ses racines,
redécouvre les fondations de son être, tire le bilan de ses errances.
C'est maintenant, en ces années où je m'adresse à vous, que l'accès à
cette possibilité de compréhension s'offre le plus aisément. Toutes les « Peu Importe ce à quo; vous adhérez, la seule force qui vaille,
données sont là, cosmiques et telluriques afin que vous en terminiez avec c'est l'amour que vous allez faire briller dans vos regards. »
vos antiques contentieux et que vous acceptiez de TOUT revoir : His- Chemins de ce Temps-là
toire, dogmes, sciences et cultures car, je vous l'affirme, chaque regard que
vous laisserez se figer sur d'anciennes habitudes portera en lui la raison de
vos souffrances. L'Amour est mouvement, dès lors il se révèle l'anti-
Actuellement, une désinformation sévit sur notre terre. Elle concerne
oxydant.que tout cœur peut espérer.
entre autre tout ce qui touche au domaine des êtres vivant sur d'autres
planètes. Pourquoi cette loi du silence, pourquoi des centaines de dossiers
EXTRAIT PAR L'ESPRIT DU SOLEIL CHAP 11 P172 cachés sur ce sujet, pourquoi un "top-secret" aussi acharné ? Nous ne
sommes pas les seuls êtres pensants de l'univers et non plus les seuls êtres
"intelligents", loin s'en faut. Nos divers contacts lors de nos sorties hors
du corps nous ont amené à côtoyer des ètres de provenances diverses et
hors de la planète Terre. Il ne rn 'est pas encore possible aujourd'hui de
décrire avec précision ces contacts. Ces êtres ne le souhaitent paS dans
l'immédiat mais je ne désespère pas d'avoir un jour le bonheur d'écrire ce
que j'ai, ce que nous avons pu vivre sur ces plans non pas d'après-vie
mais d'autre-vie. Car il s'agit bien là d'autres formes de vie possédant une
intelligence et une façon d'être que nous pouvons à peine soupçonner.
Pour tous ceux qui ont vu "La guerre des étoiles" je peux vous affirmer
que les personnages étranges rencontrés par luc Skywakcr dans un bar de
l'espace existent bien et que le physique qui est le leur peut nous paraître

278 279
aussi difforme que le nôtre à leur égard... Ce n 'est qu'une question de
regard et dans ce film comme dans le film de "E.T." j'ai pu entendre à la
sortie du cinéma des réflexions d'enfants un peu dans ce style:
« Ce n'est pas parce que quelqu'un est différent de nous qu'on ne peul
pas l'aimer ... » et j'ai aimé!
Avant d 'aller plus avant je vais vous citer le passage de nCclui qui
Vient" concernant ce domaine sensible et tellement sujet à controverse. Il
s' agit là d'un passage revécu par nous deux dans les annales akashiques :
<< L ·un des hommes en civil qui marchent devant vous n 'est autre que le
Président des Etats-Unis d'Amérique de l'époque, D. Eisenhower, annonce la
voix du grand Etre blond. Ce n 'est pas la première fois·qu 'if vient en ces lieux ....
Sache:. que vous êtes dans les sous-sols d'une base militaire. En fait. il s 'agit
preStfue d'tme \'ille suuterruine bâtie avec des fonds publics habilement détour-
nés par le gouvemement lui-même.
C 'est une base expérimentale, une base de surveillance et d'échanges
construite pour le.ç hesoins d"une situation qui dépasse l'entendement humain
habituel. La rencontre à laquelle vous a/let assister est la dixième et la plus
importante d"une série qui va avoir de lourdes conséquences pour l'avenir de
1'humanilé tenY!Stre."
... Face à nous apparaît une grande et belle pièce ou plutôt un bureau
offrant tout le modernisme des années cinquante. En son centre, bien plan-
tés, attendent trois hommes, deux militaires et un civil et à leurs côtés ...
trois Créatures. Devrions nous dire aussi "des hommes" ?
Ces ètres sont de très petite taille, comme des enfants de huit à dix ans.
Ils ont le corps entièrement couvert de poils gris et courts... Leurs yeux sont
petits et vif.<;, leur nez presque inexistant et leur bouche excessivement fine.
La voix qui nous accompagne continue en ces termes :
"... Ces élt'f!s ne fonctionnent pas selon les principes de l'actuelle conscience
humaine. Ils agissent essentiellement sous 1'effet d'une conscience collective qui
les pou.m: à rechercher leur propre profit, leur propre expansion au-delà de ce
que mm pourrie: appeler un état d'âme.
"Et ... pourquoi sont-ils là ? "
... "Ils viennent d'un monde excessivement lointain du votre. Plusieurs
années-lumière vous en .réparent. Cela fait bien longtemps qu'ils observent la
Terre. bien longtemps aussi que, de notre propre monde, nous les observons.
280
Leur peuple souffre d'un grave problème immunitaire, difficulté causée
justement par celle extrême sécheresse d 'âme que j 'évoquais à 1'instant ...
... A l 'heure où s 'est déroulée cette réunion, ils affinnaient ne pas vouloir
s'établir sur votre planète mais y faire certaines recherches, certaines expériences
afin d'enrayer le trouble qui les atteint tous. .. ·
... Tout cela demeurerait néanmoins banal sans la présence du mensonge sur
les lèvres des visiteurs en question. Leur but est hel et bien la mainmise pro-
gressive sur votre monde, conçu par eux comme un réservoir inextinguible de la
substance qui leurfait défaut et qu'ils prélèvent chez certains animaux."
"Mais, quefont-ils ici avec ces militaires et quelques politiciens?"
"Ils tentent de conclure un pacte. En échange de quelques expérimentations
sur des animaux, ils proposent au gouvernement des Etats-Unis un apport
.r;cientijique sans précédent. C 'estleur façon d'engourdir le.H·éticences."
(Un homme en civil semble parfaitement les connaÎtre).
"Tel que vous le voyez là, il est pmfëlitement au courant des objectifs à moyen
terme des petits êtres."
"Quel'i sont précisément ces objectifs ?"
"Soutenir la mise en pluce, sur quelques décennies, d 'un Gouvernement
Planétaire terrestre donnant le pouvoir absolu à une toute petite élite d 'individus
qui les laissera agir à leur guise.
Cela passe évidemment par le contrôle complet de toutes les populations. par
le biais d'épidémies savamment organisées, de guerres préméditées et de désé-
quilibres économiques."
"Cela signifie qu'il existe tm but à plus long terme. n 'est-ce pas ?"
"Effectivement ! Un but q11 ïgnore la majorité de ceux qui collaborent avec
eux et qui consliluenl le noyau du Gouvernement Planétaire. Ce but, après a110ir
poussé ce Gouvernement à la mise en place d'une "race unique dominante" est
la maîtrise totale de la planète · une "fusion génétique" avec ses dernier~
habitants... \lOUS êtes appelés à penser "universel" ! Votre /erre n 'est tfi' 'un ca.ç
panni les millions de mondes habités .' JI faut la sortir de son isolement. "»
En relisant ces phrases je me prends à penser et mon être s'envole vers
ces autres mondes en lesquels les gens de la terre ont tant de mal à croire.
Devant les yeux de mon âme défile alors un souvenir.. . Je suis en voyage
hors de mon corps, loin, très loin de la planète terre. Je suis à l'intérieur
d ' un vaisseau, d'un vaisseau grand comme une ville, ce qu'on nomme
généralement les vaisseaux-mères. D ' une immense baie vitrée, je vois le
281
ballet incessant de véhicules de l'espace qui vont et viennent. Je sais qu'ils
se rendent d'une planète à l'autre car pratiquement toutes les planètes du
système solaire sont en communication, toutes sauf une ... La Terre, la
planète qui se croit ou se veut seule ou peut-être les deux.
Un ami m'a fait parvenir il y a peu de temps un livre qui n'est plus
édité depuis une trentaine d'années. Il s'agit du livre du contacté améri-
cain Howard Menger intitulé "Mes amis les hommes de l'espace". Cet
ouvrage est étonnant par la véracité des dires qu'il contient, dires que
nous avions déjà vécus lors de nos sorties hors du corps nous menant vers
d'autres univers et nous permettant des contacts du "troisième type".
Un passage a particulièrement attiré mon attention car il m'a paru
complètement correspondre à ce que nous avions retransmis à travers
"Celui qui Vient". Je vous le livre donc ici tel quel en gardant bien en
mémoire qu'il fut écrit vers les années 58.
Il s'agit d'une rencontre entre Howard et un être de l'espace sur un
plan tout à fait physique :
« L'homme cessa de parler et ferma les vitres de 1'auto, tandis que je me
demandais pourquoi. En effet. le temps était très chaud. "Juste pendant une
minute" s'excusa-t-il. Je noTais que son ton devenait plus confidentiel. "Howard,
pour autant que je le sache. on vous a épargné de savoir ce que j'ai à vous dire.
mais il est maintenant nécessaire que vous le sachiez. Vous devenez connu et
cela poltrrait vous arriver. "
Je l 'écoutais tendu et soucieux. C 'était la première fois qu 'on me parlait
ainsi. L ' homme paraissait parler d 'un danger qui me menaçait.
"Tous ceux qui travaillent avec nous peuvent êlre approchés par des fam
hommes de l'Espace. Ceux-ci peuvent même vous amener des authentiques
spécimens de nourriture conditionnée. "
~Qui sont-ils ? Je pensais que je pouvais avoir confiance en vous tous. "
"Ce ne sont pas NOUS. Howard Ce sont des êtres humains différent.ç. Je par-
ferai d'eux simplement en disant : la conspiratiofl. "
Je fus encore plus choqué quand il me parla d'un homme qui connaissait
l'activité des êtres humains de 1'espace et nous montrerait des spécimens extra-
terrestres. Il pourrait même nous promettre un voyage jusque sur la Lune mais
nous décevrait dans le but de diffamer nos frères de l'espace. Jls me le décri-
virent complètement...
... "Bien des gens narjs seront des aides inconscients de leur conspiration. "
282
J'écoutais incrédule. Si cela était vrai, comment pourrions-nous déterminer
qui était notre ami et qui était notre ennemi ?....
... Mon interlocuteur me regarda tristement.
"Mon ami. cetle Terre est un champ de bataille où luttent l'esprit et l'âme de
chaque être humain. La prière. les bonnes pensées et des précautions sont votre
meilleure protection." ...
... Ensuite la jeune femme parla :
"Vous ne savez pas, Howard. qu 'il y a sur cette planète un très puissant
groupe de gens extrêmement savants en technologie, en psychologie et ce qui est
le pire de tout en télé-influence. lis dirigent des gens qui occupent des postes
importants dans les gouvernements. Ce groupe est anti- dieu èt on pourrait dire
qu'il est l'instmment de votre mythique démon." ... "lis manient non seulement
les gens de cette planète" continua la jeune femme "mais aussi bien des gens de
mars et au:osi ... " elle regarda son compagnon; il hocha la tête en signe d'assen-
timent ... "aussi d'autres gens de votre planète, des gens don/ vous n'avez jamais
entendu parler. Des gens qui jusqu'à maintenant n'ont été n~ observés. ni
découverts. Une sorte de peuple souterrain.
Ce gmupe a infiltré des organisations religieuses pour duper vos populations
avec une conceptionfausse de la vérité qui avait déjà circonvenu votre planète il
y a des milliers d'années. Ils se servent de la crédulité et de la foi d'une masse
de gens pour alle indre leurs propres fins. "»
A l'heure qu'il est, nous avons vécu suffisamment d'expériences de-
puis l971 pour pouvoir dire que tout ce qui vient des étoiles n'est pas
forc~ment lumineux et les deux exemples cités nous permettent de mieux
en comprendre le sens. La planète Terre est un enjeu vers lequel se dirigent
de multiples forces. Toutes sont loin d'être claires mais toutes nouS feront
peu à peu découvrir nos capacités propres à sonder notre propre cœur pour
y découvrir les véritables valeurs avec lesquelles nous voulons cheminer.
Lors de (lOS contacts avec des êtres d'outre-espace, nous avons su que
la terre était sous "protectorat vénusien" depuis 18 millions d•années. Un
peu comme de grands frères, les ètres de cette planète sont venus pour
nous aider, nous apprendre à marcher et à vivre debOut. Actuellement. ils
remettent peu à p~u la terre dans les mains de ceux qui ont fait un certain
chemin mais leurs cartes ne sont pas les mêmes que celles de ceux qui
souhaitent faire de cette planète un terrain d'expérimentation à des fins
personnelles. Les inductions psychiques dont il est question plus haut sont
283
contraires à leur éthique. C'est ainsi que dans l'un de ses contacts, Howard
Menger entend parler d'ondes sonores, lumineuses et de l'usage des cou-
leurs mais l'être qui le contacte précise : «Ne pensez pas qu'ils 'agisse de
quelque contrôle artificiel du cerveau humain ... nous ne contrôlons pas le
cerveau. Un tel comportement ne cadrerait pas avec les lois divines. Au
contraire avec des instruments et une technique convenables vous pouvez
produire quelque chose de bien plus important : vous pouvez libérer dans
le cerveau quelque chose quis y trouve à 1'état latent. »
Dans un autre ouvrage, celui de Gary Kinder "Les années Lumière"
portant sur le contacté Eduard Meier, nous pouvons lire ce qui suit lors
d'un message donné par une Pléïadienne : . de l'espace et ces sociétés et cultures ont eu des contacts intermittents avec
« Il existe un ordre dans cet univers, dans lequel les civilisations
avancées enseignent à celles qui le son/ moins ; l'évolution spirituelle doit
aller de pair avec le progrès technologique ... Nous ne somme<; ni des mis-
sionnaires, ni des instructeurs, mais nous essayons de maintenir l'ordre
dans toutes les régions de l'Espace .... >>
Ce même E. Meier a pu prendre de nombreuses photos de vaisseaux.
Evidemment beaucoup ont aussitôl pensé à des trucages faciles à réaliser
dans ce domaine. Un journaliste photographe lui a rendu visite dans le but
de démasquer une éventuelle supercherie, lui-même ayant déjà effectué de
nombreux montages en chambre noire "en juxtaposant des visages et des
corps pour leur donner une apparence de réalité." Voici ce qu'il dit:
((Je connais la technique, disait-il. Pour qu 'un montage paraisse réel.
il est nécessaire d'avoir un fond noir. La plupart des photographies panni
plusieurs centaines qu 'a prises Meier montrent les vaisseaux sur un fond
de ciel bleu et clair ; il y a quelquefois des nuages blancs.
Harold prit une des photographies en exemple. "Je ne saurais comment
. 1 , efface les traces de ce qui pourrait tenir lieu de preuves et on falsifie des
fim re ce1a ...
Harold se glissa un jour dans le bureau de Meier qui était fermé à clé
et fit soigneusement le tour de chaque recoin. chercha dans les tiroirs et
les boites, sur les étagères, en quête d'indices de modèles réduits ou de
films qui auraient pu prouver que Meier avait fabriqué ces photographie.ç_
JI ne trouva rien. »
Dans "Les Messagers de l'Aube". dans lequel l'auteur rentre en contact
avec des Pleïadiens, nous pouvons lire ce qui suit relatif à une mainmise
que nous acceptons trop facilement :
284
« L'ultime tyrannie dans une société n 'est pas le contrôle par la loi
martiale. C'est le contrôle par la manipulation psychologique de la cons-
cience, à travers laquelle la réalité est définie de telle sorte que ceux qui
s y trouvent ne réalisent même pas qu'ils sont dans une prison.... Vous
avez été contrôlés comme des moutons dans un enclos par ceux qui croient
que vous êtes leur propriété, à partir des gouvernements et du gouverne-
ment mondial ju.~qu 'à ceux qui sont dans l'espace. Vous avez été privés de
la connaissance par un contrôle de fréquence. )>
Dans une autre partie de ce livre, les mêmes Pleïadiens précisent :
<<Il existe une multitude de cultures et de sociétés à travers l 'immensité
cette planète depuis le tout début. JIn :v a pas que no'f_S, les Pléïadiens qui
sommes venus pour vous aider : nous ne sommes qu'un seul groupe
provenant d'un seul système d'étoiles. Il y en a beaucoup qui ont voyagé
jusqu 'ici et pour maintes raisons dijjërentes. La majorité des extra-terres-
tres sont/à pour votre avancement spirituel, bien qu'il y en ait également
d'autres qui soit ici pour d 'autres motifs." ... " L'utilisation des techniques su-
bliminales visant à malmener la conscience humaine est devenue un pro-
gramme mondial... les effets de la télévision sont tellement envahissants
que vous ne pouvez arriver à contrebalancer ce que la technologie est en
train de faire à votre fréquence vibratoire. »
A travers diftërents ouvrages relatant des contacts avec d'autres pla-
nètes il nous paraît incompréhensible que l'on veuille à tout prix boycotter
cet aspect de la Vie ... et pourtant il faut sc rendre à l'évidence, les dossiers
restent toujours secrets, clos ou etTacés d'une manière ou d'une autre. On
tourne en dérision la moindre personne qui dit avoir vu un OVNI. on
éléments pour discréditer toute forme de "soit-disant" contact. li est facile
de faire passer une soucoupe pour une casserole et inversement. Il est en-
fantin de parler de trucages lorsque le vrai et le tàux se mélangent et que
certaines photos sont volontairement truquées à des fins destabilisatrices.
Il est évident que diviser des êtres sur n' importe quel sujet d'envergure
pennet de créer la dishannonie qui ellc-mème se chargera d'entraîner la
séparation. Des personnes qui ont la liberté du choix sont difficiles à
dominer, ce qui n ·est pas le cas de ceux qui ne parviennent pas à s'enten-
dre ct laissent l'émotivité envahir leur quotidien. Peu à peu chacun en
285
arrive à un constat d'impuissance géré de loin et faisant tout à fait le jeu
des "dominateurs". C'est donc bien ce moment là que nous devo ns mettre
à profit pour retrouver notre "souveraineté". L'apathie, l'inertie, l' ign o-
rance et la peur ouvrent les portes au despotisme et à toute forme de
tyrannie. C'est à elles que nous devons couper les vivres si nous voulons
devenir des Etres humains à part entière.
"Le Gouvernement secret" édité par Louise Courteau avec la contri-
bution de Richard Glenn nous rapporte les tenants et aboutissants du
projet M.J. l2. (majority 12 ou encore Majestic 12). Ce groupe a été fondé
par le gouvernement Américain en 1952 avec, pour mission officielle, de
rassembler toutes les informations ayant pour sujet les phénomènes OVNI.
En réalité ... il s'agit de protéger le secret des implantations d 'êtres de
l'Espace sur notre planète. CIA et FBI sont manipulés à leur tour pour
servir ce projet.
Douze hauts fonctionnaires composent le ••pool" du projet MJ12 :
- Nelson Rockfeller
- Allen Welsh Dulles directeur de la centrale de renseignements
-John Foster Dulles secrétaire d'état
- Charles E. Wilson secrétaire à la défense
- L' amiral Arthur W. Radford, président du comité inter-armées des
chefs d ' états-majors
- J. Edgar Hoover, directeur du FBI
- Six membres clés du comité exécutif du conseil des relations étran-
gères (surno mmés les mages). Ces mages faisaient tous partie de la Société
Jason, un aréopage occulte.
En 1957 eut lieu un symposium réunissant les plus grands esprits
scientifiques du moment. La conclusion fut la suivante : "Vers l'an 2 000,
en raison de l'accroissement de la population et à cause de 1'exploitation
de 1'environnement, notre planète ne pourra éviter la destruction sans une
intervention divine ou extraterrestre.
Le président Eisenhower émet un décret-loi secret ordonnant à la
société Jason d'étudier ce scénario et de lui soumettre ses recomman-
dations ... La Commission Jason présente trois solutions alternatives :
- Forcer l'expulsion dans l'espace de la pollution athmosphérique au
moyen de déflagrations nucléaires. Cette expulsion concernerait entre
autres les gaz carboniques ce qui aurait pour effet une diminution sensible
de "l'effet de serre" qui est à rorigine du réchauffement progressif de la
286
planète. Cette solution nécessite ta mise en place d'une réelle politique de
protection et d'exploitation de l'environnement, ce qui parâtt difficile à
mettre en place.
- Construire des villes souterraines pour y protéger une élite et une
culture.
- Exploiter la technologie planétaire et extraterrestre afin qu' un petit
nombre d 'élus puissent quitter la terre et fonder des colonies ailleurs dans
le cosmos.
Dans le même temps, poursuit l'article, un contrôle des naissances
aurait été mis au programme ainsi que la propagation de microbes mortels
en vue de ralentir l'accroissement de la population. Le Sida ne représen-
tant qu'un des résultats de ce plan.
Les gouvernements américains et soviétiques s'int_éressent de près aux
solutions 2 et 3. Ainsi, en 1959, la société Rand organise un symposiwn
sur "les constructions souterraines à grande profondeur", société qui a la
possibilité de construire d 'immenses corridors pouvant abriter d'éven-
tuelles villes ....
Les dirigeants comprirent qu' un des meilleurs moyens de gérer les pro-
jets clandestins reliés aux êtres de l'Espace consistait à accaparer le marché
noir des stupéfiants. Georges Bush, alors PDG de la société pétrolière
texane Zapata, fut pressenti pour participer au trafic; les plates-fonnes de
forage pourraient très bien servir à opérer ce trafic de la façon suivante :
Contrebande \12 Chalutiers 112 Amérique du Sud 112 Continent Nord-
Américain avec ta navette de ravitaillement du personnel régulier dont la
cargaison n'est pas soumise à l' inspection des douanes.
De nos jours, la CJA contrôle une bonne partie du marché noir de la
drogue à un niveau mondial !
Le président Kennedy eut un jour vent de quelques parcelles de ce
vaste projet. .. Son intervention de nettoyage décida peut-être et entre
autres de son assassinat. "Le comité des politiques" en transmit l'ordre
aux représentants du MJ 12 de Dallas. William Green, le chauffeur de la
limousine présidentielle et agent des services secrets aurait été l'assassin
du président ce 22 Novembre 1963.
Voici intégralement un extrait du document intitulé "Le Gouverne-
ment Secret n :
« MJ 12 fonctionne encore aujourd'hui .wr le même principe qu'à sa création
el il est érigé selon la même SlniC/Irre qu 'au début. Six de ses membres occupent
287
les six mêmes postes clés au gouvernement et les six autres font partie du conseil
des relations étrangères ou de la commission trilatérale, parfois mème les deux à
la fois. L'agence de la majorité qui coordonne tous les services de rensei-
gnements est celle que le public connaît sous Je nom de "Senior interagency
group" (SIG)
... Le Conseil des relations Etrangères et son reje ton La Commission
trilatérale possèdent le contrôle des Etats-Unis. A l'instar de leurs homologues
étrangers, ils font rapport de leur décisions aux Bilderburgers. Depuis la
seconde g uerre presque tous les hauts fonctionnaires du gouvernement et de
l'armée, y compris les présidents ez1x-mèmes. font partie de l'un ou l'au/re
organisme, et tous les membres de la Commission trilatérale font partie ou ont
déjà fait partie du Conseil des relations étrangères ...
... Ce sont donc les "Bilderburgers", le "Conseil des relations étrangère.~" et
la "Commission trilatérale" qui constituent le noyuu du Gouvernement Secret.
Ils dirigent le pays par l'entremise de Majority 12.
Dans un hors série de Juin 1992 intitulé : "La lune salle d'attente"
nous pouvons lire "TIRE DE ETRANGETES et MYSTERES" :
<<Au cours de l'année 75, au printemps. de nombreux savants et non cles
moindres se réunirent très discrètement en Angleterre. Le thème de cette
rencontre : L 'existence des extra-terrestres. la lune, les missions spatiales. Etait
présent Joachim Kuetner qui participa aux programmes lunaires de la NASA. Il
raconta très exactement ce qui se passe sur la lune, ce que les astronautes y
virent ... »
Actuellement, nous savons que le dossier de la NASA comporte en-
viron 14000 photos de la lune. Ce chiffre est celui donné par cet organisme
et nous sommes certains qu'il est bien plus important que cela ...
. .. Au cours d'une conférence de presse, le Dr FAROUK EL BAZ pro-
fesseur de géologie des astronautes a déclaré : "Il existe sur la lune des
tours plus élevées que la plus haute des constructions terrestres." ... Il faut
savoir que toutes les discussions entre les astronautes furent enregis-
trées . .. Que devinrent ces bandes ? Sans doute furent-elles classées ''Secret
Défense" mais des fuites prouvent leur existence réelle.
Pourquoi les astronautes étaient-ils mis en quarantaine dès leur retour
de missions lunaires ? ... Afin d'éviter une contamination possible !
Ce que raconte SHEPPARS et ARMSTRONG donne une idée tout à tàit
contraire à ce qui fut dit. D 'autres astronautes avouèrent avoir reçu la
288
visite d'hommes de l'US Air-Force qui teur posèrent des questions, et leur
firent pratiquer l'hypnose pour leur extirper certaines informations ...
.... Au cours du vol APOLLO 14 autour de la lune, les astronautes
prirent une photo absolument extraordinaire. Elle montre 1'image la plus
nette jamais vue d'un engin mécanique évoluant à la surface d~ notre
satellite ... Cinq ans auparavant, un engin identique fut photographié.
Cette similitude exclut le hasard.
Un spécialiste, le Dr Patrick Moore, membre émine nt de la Société
Royale d'Astronomie, directeur de la section de l'association Britannique
d ' Astronomie, auteur de très nombreux ouvrages sur la lune, consultant
auprès de la Nasa dans le domaine des sondes spatiales dit :
(( Je n'exclus aucunement la possibilité d'une sorte de Vie autochtone
tellement étrange qu'elle nous échappe ...... Les cratères ne s 'entaêllent pas, ne
se déplacent pus, ne se rebouchent pas, n 'émellent pav de lumière souv le seul
effet de l 'érosion ou de conditions climatiques réduites à leur plus simple
expression pour ne pas dire inexistantes ! »
(extrait tiré d'un article de Melchior Karamenski)
Sur la revue "Connection" N. 2 du 3-5-95 voici ce qui est écrit: "Lors
d'une réunion scientifique tenue à New-York en 1973, l'astronaute Amé-
ricain Gordon Cooper a affmné avoir rencontré plusieurs engins volants
au cours de ses voyages dans l'espace. A cette occasion, il imputait égale-
ment à la NASA et au pouvoir politique de cacher au public les nombreuses
preuves en leur possession et notamment les échos radar quotidiens captés
par toutes les tours de contrôle du monde ainsi que les engins et leurs oc-
cupants qui se sont écrasés sur notre planète.
L'astronaute russe Valerij Bikowskij déclara par radio au cours d'un.
vol :
« Ici Nibio. Quelque chose m 'accompagne dans l'espace, t..·ela vole à côté de
la capsule et cela vient à ma rencontre ... »
L'astronaute américain Scott Carpenter s'exclama par radio :
«C'est vrai, ils existent. Ils sont ici. faites-le savoir à Glenn ... >>
Armstrong et Aldrin déclarèrent à la base terrestre depuis la lune :
« ... Ce sont des objets énormes. Oh mon D ieu ... Il y a d'autres vaisseaux
alignés de l'autre côté du cratère. Ils sont sur la lune, ils nous observent ... »
289
 Le général de l'armée aérienne Dowin (chef de la R.F.A. en 1940)
déclare à l'agence Reuter en août 1954 :
<(Les soucoupes volantes existent réellement. elles sont interplanétaires .. . »
Sans doute est~il grand temps de se réveiller et comme le dit le créateur
de la revue Connection : "ta connaissance peut se substituer à l'ignorance
ct le courage peut balayer la peur inconsciente de la vérité."
Pourquoi citer tous .ces extraits d'ouvrages, de documents et de décla-
rations diverses ? Sans doute pour montrer une fois de plus qu' il est
évident que la Vie existe au-delà de la planète Terre. Une vie intelligente,
spirituelle et autonome ... Une Vie qui n'est pas uniquement faite de
Lumière mais qui comporte aussi ses recoins et ses ombres... Une Vie de
haute technologie qui parfois va de pair avec une ouverture de cœur
identique et si je dis parfois, c'est simplement pour que tout au fond de
nous l'on garde bien en conscience que la Vie n'est pas faite d'un seul
paramètre, que l'ombre et la lumière s'y opposent souvent.. .. aussi sou-
vent et aussi longtemps que nous n'aurons pas compris que les deux sont
intimement liés pour former les pôles d'une même batterie.
Les dossiers qui suivent ce chapitre méritent une explication. Actuelle-
ment aux USA, une mode sévit avec beaucoup d'ampleur et de succès : "la
mode des OBE" ou mode des petits gris. Partout il est possible d'acheter
des lunettes avec une forme particulière qui correspond au regard prêté à
ces petits extra-terrestres velus et gris ; les ballons de football sont aussi
dess inés avec des têtes analogues, et sur les tee-shirts a leur effigie, on
peut lire : "A Higher forrn of Intelligence" c'est-à-dire, "une forme plus
élevée d'intelligence".
Lorsque l'on connaît l'impact des images répétitives, ce conditionne-
ment laisse perplexe !
Dans ce document, il est très sérieusement question des conséquences
possibles d'une rencontre OVNI pour la population, puis de l'intérêt du
Congrès américain pour les OVNI.
Suit un article sur les expériences des auteurs faisant part d'un nombre
impressionnant d'OVNI dans le ciel de LOS ANGELES en 1942 et de chas-
seurs prenant sans succès ces OVNI en chasse.
Les auteurs continuent cette description par celle d'un président ayant
été témoin de présence cxtra~terrestre. Ils confirm ent que la CIA.aurait
supprimé des preuves de cette présence, en expliquent les raisons ainsi
que les recherches "top secret" qui continuent au sein du gouvernement
Américain. L'article se termine tout naturellement sur les effets des vais-
seaux spatiaux sur la population, sur les pannes de téléphone ct de courant
qu'ils provoquent sur leur passage et ... sur le droit de la NASA de mettre
en quarantaine toute personne en contact avec des OVNI.
Alors, me direz-vous, pourquoi prendre autant de mesures si elles ne
sont qu'une éventualité pour un scénario ct des acteurs qui ne seraient que
du domaine de r imaginaire ?

De même, un document officiel des USA m'a laissé une étrange im-
pression. Il s'intitule :
"Fire officer's guide to disaster control" :
Les auteurs William M . .Kramer et Charles W. Bahme sont on ne peut
plus sérieux. du moins de par leurs fonctions ... L'un est "district fire chief.
Cincinnati fire division et director of fire science, University of Çin-
cinnati". L'autre porte le titre de : "Deputy chief Los Angeles fire dépar-
tement. capitain, united States Naval reserve (à la ret:raite)". ·

29Q 291
 -DOSSIER-

LES ETRES DE L'ESPACE

293
292
 . L'EFFIGIE OES "PETITS GRIS"
BALLONSA

DE L'AUBE"
GE "LES MESSAGERS
EXTRAIT DE L'OUV~UR LES UZZIES

----------
"Qui sont ces êtres qui sont arrivés
1 et ont mis en pièces les plans ori-
ginaux pour la Terre ? Qui sont ces
êtres de l'Espace auxquels on réfère
parfois comme les T-Shirts Noirs ?
Conservez Wle attitude bienveillante
lorsque vous parlez des forces de
l'obscurité. Ne parlez pas d'eux
comme s 'ils étaient mauvais.
Comprenez simplement qu'ils sont
. mal informés, et qu'ils créent des
i systèmes fondés sur l'ignorance parce
i que telle est la façon dont ils croient
i devoir fonctionner. Us se sont battus
: à une certaine époque et se sont eux-
; mêmes séparés de la connaissance,
; de sorte que maintenant ils s'accro-
~ chent désespérément à leur savoir
! actuel et à la vie telle qu'elle a évo-
! lué pour eux. Il s'agit d'une vie fondée
!sur la peur, d'une vie qui ne té-
! moigne d'aucun respect pour les
1 autres vies, d'une vie qui utilise tes
autres formes de vie. Qui sont ces
êtres ? Ce sont les reptiles.
, Ces êtres de l'Espace sont mi-hu-
i mains. mi-reptiliens. Nous les appe-
l Ions les "Lizzies"l parce que nous
1 aimons donner à tout ça un ton un
pe u moins émotif, un peu plus
humoristique afin que vous ne les
preniez pas tant au sérieux et que
vous ne vous en fassiez pas tant.
Nous ne sommes pas ici pour vous
1 effrayer - nous sommes ici pour
'l vous informer. Vous savez déjà tout
cela en vous , et plus vous en
1 apprendrez sur votre histoire, plus il
1 sera possible à certains d'entre vous
l d ' a~<?ir accès à des souvenirs 1
1 reptthens. i
: 1 - vient de Lizard : Lëzard. 1 295
~ J

294
 QUELQUES EXTRAITS DE CET OUVRAGE TRES OFFICIEL

SECOND

FI RE EDITION INTÉRET DU CONGRES AMÉRICIAN POUR LES OVNI :

Uintérêt de Chuc k pour les OVNI a grandement augmenté lorsque le
congrès adopta une loi en 1969 ( ... exposition extraterres tre) qui donna à

OFFICER'S l'Administration de 1a NASA la discrétion arbitraire de m ettre en

quarantaine avec garde armée tout objet, personne ou autre forme de vie
qui auraient été exposés à une présence extraterrestre.

GUIDETO Le simple fait que nos hommes du congrès pensaient qu'il y avait la
nécessité de prendre une mesure autoritaire aussi drastique fit que Chuck
se demanda s'ils pensaient à nos astronautes quand ils l'avaient adoptée.
Est-ce que cela pouvait s'appliquer à quiconque avait ~u un contact avec

DISASTER un OVNI?
Si cela a été le cas on non ne peut pas être l'objet des discussions
publiques à divulguer.

CONTROL ,
EXPERIENCE DE L'AUTEUR : Nombreux OVNI dans les airs
à Los Angeles en 42 - Des chasseurs ont pris les OVNI en
WILLIAM M. KRAMER, Ph.D. chasse mais sans effet :
o;1u.:a fit<: ( hic( Gncil>lldli Fi,., OiYision
L'intérêt de C huck pour les OVNI commença durant les premières heures
Om.'Civ< ol f '"' Sô.,nce. Uni-.ity ol OnciM.ri
du 26 Août 1942 pendant qu'il faisait du patin à roulettes de sa maison
jusqu'à la station des pompiers à quelques pâtés de maisons de là ; la
CHARLES W. BAHME, J.O. plainte des sirènes le rappelait à son devoir de pompier et il n'était pas
{)(opul, Chi<:,( ( <IS Ar>~d f;,., Orp,lllmMI l~ir«/)
C~•i,. UDi1<d SI~~~ NJtv>l ~ lkt<i•tdt
sage de conduire avec les ordres stricts de blackout.
~IOln<Y M l- De plus, il était bien plus excitant d'être dehors en p lein air où il pouvait
voir le spectacle aérien des "feux d'artifice" qui emplissaient les cieux
autour de lui. Peu de résidents des Etats-Unis avaient pu voir une invasion
réelle ou imaginaire d'OVNI telle que celle qui se produisit ct que l'on
nomma "Le Raid Aérien de Los Angeles dt! 1942". L'Année annonça
l'approche d'avions ennemis et le systt:me de d~tl!c ti o n de raid aérien de la
vi lle se déclencha pour la première fois durant la deuxième Guerre
Mondiale. La défense de cette "attaque" est dt!crite en termes dramatiques
dans le paragraphe d'ouverture de cc chapitre.

Fire Engineering Books & Videos SUITE DE LA DESCRIPTION :

A PENNWELL PUBLISHI NG COMPANY Mais quel ennemi avait été pourchassé '? Personne nt! le sut jamais. Tout
ce q ue les pompiers virent dans le ciel furen t 15 ou 2() "choses"

.296 297
mouvantes qui semblaient changer de direction très rapidement sans être
apparemment affectées par les éclats d'obus e~plos~~t auro~r d'eu~. L_es
rumeurs selon lesquelles l'une d'entre elles ava1ent ete touchee et detrUite
ne furent jamais vérifiées, et l'explication que ces envahisseurs zigzagant
étaient des ballons de la météo ne fut jamais prise au sérieux. De tous ces
événements, cet é pisode inoubliable éveilla chez Chuck un intérêt
grandissant pour les OVNl, concurrençant ses intérêts_pro~essionnels p?ur
la loi et la lutte contre le feu. Le fait que, par la su1te, tl sc trouva etre
membre d'un groupe qui avait vu les OVNI en vol dont les radars de
l'aéroport authentifièrent la présence, nourrit cet intérêt.
INFORMATION DE FOND SUR LES OVNI :
Sans intention d'essayer de prouver ou réprouver l'authenticité des
nombreux contacts avec des OVNI relatés par des témoins tout à fait
crédibles comme des pilotes militaires et pilotes de ligne, des astronautes,
des officiers de police, des pompiers, des membres du congrès ct même
un président américain, ce chapitre présentera une pa~t ie ~rêve sur
J'histoire et la nature des OVNI et de leurs occupants presumes ; leurs
apparitions s'étendant sur tout le globe depuis _des tern~s anciens,_ leur
apparence, leur mode de propulsion et leurs _posstbles mot1fs de contmuer
leur reconnaissance.
ASTRONAUTES, TÉMOINS D'OVNI :
En 1974 plus d'une vingtaine d'astronautes virent ct prirent des photos
d'OVNI durant leurs vols au-delà de l'atmosphère terrestre.
Déjà tôt lors de la mission d'Apollo Il, qui culmina avec la marche sur la
Lune, les astronautes Neil Amstrong, Edwin Aldrin et Michael Collins
rapportèrent avqir vu ce qui semblait être un OVN 1 durant la première
moitié de leur vol vers la Lune. tl y eut d'autres apparitions mpportées par
des astronautes américains et soviétiques. Le Il Novembre 1966 les
astronautes de Gemini XII Jim Lovell et Edwin Aldrin dirent qu'ils
avaient vu 4 OVNI reliés et Je 12 Octobre 1964, 3 astronautes russes à
bord de Voskod rapportèrent qu'ils avaient été cncercl ~s par "une
formation d'objets en forme de disques se ·déplaçant très rapidl!m~nt".
, ,
LA CIA AVAIT SUPPRIME DES PREUVES DE PRESENCE
D'OVNI:
Pout:quoi le secret ?
Dans leur livre "Les OVNI sur l'Amérique", Jim et Carol lorenzo
298
accusent la CIA d'avoir été étroitement impliquée dans le rassemblement
et la suppression d'informations sur les OVNI.
"Les témoins du phénomène ont été corrompus, menacés et réprimés par
la CIA qui voulait avoir des preuves valables pour elle seule." L'une des
raisons données c'est que les services de renseignements militaires
pouvaient voir les OVNI comme les outils d'un ennemi potenteil connu ou
pas. "Si ces véhicules se révèlent furtifs et indéfinis, raison de plus pour
les suspecter ... il y a une forte probabilité que les esprits aux commandes
de ces véhicules soient en train de rassembler des informations pour leur
propre compte."
Une autre raison de maintenir le secret serait l'espoir d'obtenir des
connaissances sur des méthodes de propulsion avancées et sur des
systèmes d'anti -gravité avant que d'autres ennemis potentiels les
acquièrent sur terre. C'est pourquoir, bien que beaucoup de nations fassent
des enquêtes secrètes sur les OVNI, elles sont peu disposées à pa(tager
leurs trouvailles. Robert Lofton, dans son livre "Sou~oupes Volantes
Identifiées", prétend que l'Année de l'Air est devenue la "chèvre" dans les
efforts de Ja CIA pour débusquer des témoignages de pilotes, techniciens
des radars et des observateurs civils fiables.
( ... )
Senateur Barry ·Goldwater, Brigadier Général de l'Armée de l'Air de
Réserve et pilote avec des dizaines d'années d'expériences de vol a été cité
en ces termes : « Je crois à l'existence des extraterrestres dans l'espace. Il
se peut qu'ils ne soient pas comme nous mais j'ai la forte sensation qu'ils
ont dépassé nos capacités mentales. » Il a dit qu'on lui a refusé le droit de
consulter des dossiers de l'Armée de l'Air sur les OVNI et il a ajouté:« Je
pense que des recherches secrètes de haute importance sont menées par le
gouvernement sur les OVNI et que nous n'en savons rien et n'en sauront
probablement jamais rien saufsi l'Armée de l'A ir les révèle. >J
lA NASA A LE DROIT LÉGAL DE METTRE EN QUARANTAINE
TOUTE PERSONNE EN CONTACT AVEC UN OVNI:
En vue de la loi fédérale (citée plus haut) donnant le pouvoir au~
administrateurs de la Nasa d'arrêter sans audience toute personne qu1
aurait touché un OVNI ou ses occupants, il est déconseillé d'entrer en
contact avec eux sauf si vous êtes prêts à vous soumettre aux exigences de
mise en quarantaine de la NASA, si l'on devait invoquer la loi .
299
 ARTICLE TIRÉ DE NEXUS 8 ENCART FRANÇAIS PAGE 3

MICHAEL WOLF
est un homme de 56 ans, porteur
aujou rd'hui d' u n secret bien

Aujou.r d'hui qu'en est-il ? encombrant. Familiarisé très jeune

au monde des extrate rrestres pour
• avoir accompagné souvent son père
à la base de Andrews où il travaillait
pour l'Air Force, il fonde, à l'age de
12 ans, une asSociation de recherche
sur les soucoupes volantes et tente
de communiquer avec les extra-
terrestres par des signaux lumineux
la nuit. Il est ainsi très tôt recruté par le monde du renseignement qui prendra en
charge ses études. Il obtient des diplômes de docteur en physique, informatique et
biogénétique et il est engagé dans la recherche gouvernementale seérète sur la
technologie extraterrestre de 1972 à 1977. À partir de 1979, il est conseiller
scientifique à la Maison Blanche et participe au groupe MJ- 12. À part cela, le
Docteur Wolf est un homme fondamentalement religieux. doté d'une conscience
morale ct d'Wte éthique qui seront à l'origine de sa décision de révéler des vérités trop ·
importantes pour les laisser aux mains des politiciens. Il vit aujourd'hui modestement
dans un appartement en ville ayant perdu son fils ct sa femme dans un "accident". Il
se consacre à l'avènement d'un monde meilleur pour les enfants car ..l'avenir leur
appartienC dit-il.
IL ES MORT L'AN DERNIER

Le Dr Michael Wolf est un hom- opère "une fuite contrôlée" de

me de 56 ans qui est pris dans un
dilem-me. Ses chefs au Conseil
National de Sécurité (National
Security Councif) lui ont dit qu'ils
acceptent que, en tant que scienti-
fique gouvernemental habilité au-
dessus du niveau "Top Secret", il
grandes quantités d'informations
secrètes. Ces infonnations concer-
nent la réalité des ovnis et des con-
tacts extraterrestres avec les hu-
mains, ainsi que leurs implications
gouvernementales. D'un autre côté.
ils lui ont dit de ne pas révéler trop

301
300
de se crets gouvernementaux, ni
trop de détails sur son rôle au sein
des projets classifiés ULTRA (il se
con -sidère lui- m ême comme un
otage devant rester discret).
Pour compliquer encore plus les
choses, ses patrons ont "effacé"
presque tout son dossier, les univer-
sités qu'il a fréquentées, ses diplô-
mes et ses états de service gouver-
nementaux sous contrat de la
Ct1ntral Intelligence Agency (CfA),
la National Security Agency (NSA)
ct le National Security Council
(NSC).
De tdles mesures sont courantes
pour les individus travaillant dans
les programmes d'accès spéciaux
non reconnus, où leurs chefs doi-
vent maintenir "la plausibilité de
démentir" un travailleur "sensible"
qui déc iderait de faire des révé-
lations non autorisées. De plus, le
serment de sécurité nationale que
Wolf a dû signer lui interdisait de
publier des papiers dans des jour-
naux scientifiques sur ses recher-
ches d assitiées.
Il en résulte que le Dr Wolf peut à
pe ine prouver qu'il existe. Mais.
étant un homme très courageux.
Wolf a décide néanmoins de conti-
nuer de révéler des secrets jusqu'à
ce q ue ses supérieurs lui disent
302
d'arrêter. L'Amérique et le monde
ont la chance qu'il ait pris cette
décision... ./...
.../...
Wolf raconte que le gouvernement
a diri gé et payé son impres-
siofU1ante éducation parce qu'ils ont
vu qu'il avait une bonne relation
avec les E.Ts ct parce qu'il était le
meilleur étudiant qu'aient jamais vu
ses professeurs.
Le Dr Michael Wolf a servi pen-
dant la guerre du Vietnam comme
colonel de J'année de l'air, pilote et
chirurgien de vol, et comme officier
du corps de renseignement pour la
CIA et la NSA. Il affinne avoir ob-
tenu les diplômes suivants : docteur
en neurologie, PhD en physique
théorique, SeO en science infor-
matique, JO en droit, MS sur les
influences électromagnétiques sur
les organismes, et BS en biogéné-
tique.
Fondamentalement bouddhiste,
Wolf reconnaît également des
vérités essentielles dans l'islam. le
c hristianisme, le judaïsme, la
spiritualité américaine, indienne, et
d'autres tradition s s piri tue lies
importantes. Son Koan Seminal
personnel est : "La vérité est un
mensonge qui doit être encore
révélé".
De 1972 à 1977 le Dr Wolf a été Le Dr Wolf a fait ce commentaire:
engagé dans la recherche gouverne- "Certains, au gouvernement,
mentale secrète sur la technolog ie veulent d e meilleures relations
extraterrestre. "J'ai rencontré des diplomatiques (avec les ETs) mais
êtres extraterrestres tous les jours d'autres , parmi les militai res
,
dans mon travail, et j'ai partagé mes veule'}t les abattre. "Ceci est iro-
quartiers.avec eux", pendant que j e nique ", dit Wolf, "parce que la
faisais de la recherche hautement technologie SDI (Star Wars) a été
classifiée dans des laboratoires de donnée au gouvernement p ar les
recherches souterrains. "Les Zetas ETs."
(NDLT : les ETs venus de Zeta Les laboratoires où il a travaillé
Reticulum) travaillent dans des comprennent S-4, près de l'angle
installations souterraines, comme nord-est de la zone d'es sa i du
l'a demandé le gouvernement amé- Nevada, près de la Zone 51 (où il a
ricain. Ce ne sont pas les ETs qui habité pendant un certain temps),
rompent les traités entre les Zetas et les laborato ires de la Foreign
le gouvernement américain, mais Technology Division (Division de
c ' est au contraire le gouvernement technologie étrangère) à la base de
qui n'a pas respecté les traités en l'armée de l'air de Wright-Patterson
maltraitant les ETs et en essayant (Dayton, Ohio) et le laboratoire de
de tirer sur les ovnis." Il y a en fait Dulce (près de la frontière du
quelques ETs qui sont tenus prison- Nouveau-Mexique et du Colorado).
niers. "Les scientifiques du gouver- Wolf d it qu'il est également con-
nement ont découvert que les ETs scient que les ex.traterrestres tra·
ne peuvent pas se dématérialiser et vaillent avec les scientifiques du
s'échapper s'il y a un champ élec- gouverneme nt à la base de l'Air
tromagnétique extrêmement puis- force de Edwards en Californie
sant autour d'eux.." (de manière cor- dans un laboratoire situé à. une
roborante, j'ai entendu un travail- grande profondeur sous Haystack
leur du gouvernement décrire des Butte. Et quand la question a été
murs d'un mètre d'épaisseur, avec soulevée du complexe de l'aéro-
beaucoup de fils encastrés dedans, drome auxiliaire d'lndian Spring.
au laboratoire de l'année de l'Air à proche du site d'essai du Nevada,
Haystack.) Wolf a répondu rapidement: "Je ne
303
peux rien dire à ce sujet."
Depuis 1979, le Dr Wolf a servi
comm e consultant sc ie ntifique
auprès des présidents américains et
au NSC (Conse il National .de
Sécurité) au sujet des ETs. ll est
aussi un membre du sous-comité de
l'information sur les ovnis du grou-
pe scientifique (MJ- 12). Wolf fait
l'observation que les généraux avec
qui il a travaillé, se sentent impuis-
sants devant la supériorité de la
technologie E.T et leurs capacités
mentales. A cause de ce sentiment
d'impuissance, une malédiction
pour les officiers, les généraux ont
autonse une campagne de
désinformation vaste et intense (le
cover-up des ovnis) pour décou-
rager toute tentative par des civils
d'acquérir même la compréhension
limitée des E.Ts qu'eux-mêmes ont
réussi à obtenir.
Une révélation encore plus déran-
geante du Dr Wolf concerne l'exis-
tence d'un groupe renégat dans les
agences du renseignement civil et
mili taire impliquées dans le secret
des ovnis. Wolf a appelé cc groupe
de conspirateur "la Cabale", com-
posé se lon lui d'officiers extré-
mistes , fondamentalistes. xéno-
phobes, racistes ct paranoïaques. La
cabale craint ct déteste les ETs, et,
304
sans aucune autorisation présiden-
tielle ou du Congrès, a réquisi-
tionné des annes du programme de
la guerre des étoiles pour abattre
des ovnis. Us ont tenu prisonniers
des E.TS et tenté d'extraire des
informations par la force. Un offi-
cier militaire de haut niveau, qui est
considéré comme "ami" par la
cabale mais qui la déteste secrè-
tement, donne des informations sur
les activités et le planning de la
cabale au Dr Wolf.
La cabale contrôle certains ufo-
logues bien connus. Wolf dit que le
directeur de l'une des principales
organisations ufologiques civiles
"est jusqu'au cou dans la cabale". Et
il ajoute qu'un autre ufologue au
Canada est payé pour attaquer
différents ufologues ... ./...
.. ./...
En utilisant l'information issue de
son travail dans la recherche
génétique, le Dr Wolf révèle que le
génome humain tout entier a été
cartographié secrètement par des
scientifiques du gouvernement
(ceci contredit les communiqués de
presses actuels du gouvernement
qui donnent la date du prochain
siècle pour cet accomplissement). li
dit qu'il a trouvé un gène marqueur
extraterrestre dans un certain
échantillon génétique humain, mais
que d'autres humains n'ont pas ces
gènes marqueurs ETs. En outre, il
dit :"j'ai trouvé des gènes de sé-
quences génétiques (ETs) sans code
dans mon propre matériel géné-
tique, plus qu'en ont les in -
betweens ." "ln-betweens ", ou
"intermédiaires" e st le terme
qu'utilise Wolf pour les humains
ayant un génome hybride ET-
Humain (la conséquence de l'inter-
vention ET sur le matériel repro·
ductif de leurs parents avant leur
naissance). Wolf a également
révélé qu'il a été impliqué dans un
projet de recherche où les scienti-
fiques du gouvernement ont créé
des hybrides humain-ET, et avec
des tentatives de copier le génie
génétique ET.
Il explique que la récupération de
tissus de mutilations de bétails "est
faite pour préparer des organelles
pouvant s'adapter au corps humain
et servant à filtrer des particules qui
nous tuent au fur et à mesure .que
nous polluons notre planète". Il dit :
"Les in-betweens nous aideront et
apporteront les organelles."
Les ETs ont également d'autres
préoccupations. Ils ont discuté de
Dieu et de la mort avec Wolf. Et ils
ont signalé que tous les mondes
sont connectés ; "une bombe ato-
mique Hiroshima peut affecter des
millions de cultures dans la gala-
xie." Ils 1ui ont aussi dit : " la
pensée est de l'énergie, elle ne
s'arrête pas à une "barrière" galac-
tique, elle est reçue sur d'autres
mondes."
A cause de ce qu'il a appris, Wolf
dit maintenant : "nous sommes à un
croisement. La. question est de don-
ner un futur viable à nos enfants". Il
note aussi : "Les humains commen-
cent à changer, à évoluer, et cher-
chent des racines spirituelles. Dieu
signifie plus que ce .que les gens
peuvent obtenir à l'ég~ise."
Un quatrième projet ultra-secret
mentionné dans le livre de Wolf
était un projet du ministère de là
Défense ayant trait au clonage
humain. 11 visait à créer le soldat
parfait qui obéirait sans poser de
questions. Le général Bunting était
en charge du projet. Le clone s'est
avéré être né avec un sens moral et
la connaissance intuitive que la vie
est sacrée. Wolf dit que quand Je
clone a désobéi à l'ordre de tuer un
chien innocent, "l'officier du projet
a ordonné que le clone s oit
"éliminé". Wolf jugea que "le clone
avait une âme"; donc, au lieu de
cela, il "fit exploser le bâtiment"
305
 où se trouvait le clone et l'aida à tous les prélèvements de tissus sur étaient trop efficaces dans leur lutte Stubblebinc Bert, le Lt Colonel
s'enfuir. Je bétail ne sont pas fait par les pour mettre fin au cover-up. Ces John Alexander et le Major Ed
.. .1... ETs; certains sont réalisés par des chercheurs sont notamment : Le Dames : il a développé des tech-
équipes des Forces Spéciales. Directeur du Committee for Study niques d'extraction et de suppres-
Le Dr Wolf décrit diverses races Wolf dit que les cercles dans les of Extraterrestrial intelligence sion de mémoire. Certaines de ses
extraterrestres. "L'une d'elles a la blés (Crop Circ/es) "sont d'origine {Comité pour l'étude de l'intel- découvertes "ont été plus tard in-
peau orange, une très grosse tête, et ET et ont été copiés (mal) par les ligence extraterrestre, CSE TI ) , corporées dans les projets nêgatifs
de très grands yeux noirs sans iris militaires en utilisant des armes du Steven Greer, MD, et son principal de la ClA MK-Ultra sur le contrôle
ni blanc et six doigts aux mains. SOI (Strategie Defense Initiative) assistant, Shari Adiamiak ; le de l'esprit, et utilisées sur les agents
Une dissection a révélé que leur qui é mettent un fai sceau laser membre du congrès Steve Schitf du KGB capturés" pour extraire des
cerveau possède quatre lobes, qu'ils pulsé". Il déclare également : " qui a réclamé les documents de informations. Il a également tra-
ont des nerfs et des globes oculaires .. .avec les Crop Circ! es faits par les l'armée de l'air, ct Je colonel de vaillé dans la recherche sur des
différents, et un système digestif ET, les plantes étaient encore vi- I'USAF Steve Wilson qui a révélé dauphins, ''une forme de vie étran-
d'aspect spongieux. Le cerveau de vantes et ont continué à pousser son projet principal Pounce, l'unité gère hautement intelligente sur
ces ETs est plus développé et con- (après avoir été pliées dans des de récupération des ovnis. Déjà, I.e cette planète".
necté, et n'a pas de corps calleux". formes pictographiques). Dans les colonel Wilson et Shari Adamiak .. L.
.. .!... Crop Circles faits avec les armes du sont décédés de cancer, et le Wolf révèle que le célèbre
Le Dr Wolf remarque également SOI, tes plantes meurent. Ces député Schiff a dû mettre fin à sa scientifique "Albert Einstein avait
:"Les extraterrestres mangent des armes SDI sont manœuvrées depuis carrière politique (NdT: Il est mort e u des contacts avec des êtres
végétaux et des champignons et ont wte base secrète dans l'Himalaya. récemment d'un cancer de la extraterrestres", et qu'une compré-
certains besoi ns spécifiques. Ils Au sujet des contacts extra- peau)..../... hension récente de l'énergie du
absorbent de l'énergie venant de terrestres, le Dr Wolf déclare que la point zéro "était en rapport avec le
l'air, e t certaines particules. Ils race ET connue couramment com- Michae l Wolf a travaillé pour scénar io trou blanc 1 trou noir"
n'absorbent pas assez d'eau pour me les "Zeta Re t iculan s ", ou plusieurs projets au sein desquels il (NdT: scénario d'un poss ible
avoir besoin de l'évacuer ; ils la "Gris", s'est engagée dans des a fait des dé couvertes, mais raccourci dans l'espace-temps).
digèrent entièrement." Il dit que le négociations diplomatiques avec le auxquels il regrette maintenant d' Selon Wolf, les E.Ts lui ont dit que
prélèvement de ti ssus lors des gouvernement américain. avoir participé. Il était particu - le vide ~st rempli d'énergie exploi-
"mutilations de bétails" n'est pas .. ./ ... lièrement inquiet après avoir vu les table. En outre, il déclare que des
liée au clonage, mais sert plutôt à Wolf est convaincu que ce sont applications de ses découvertes expériences du gouvernement
acquérir des éléments nutritifs pour des dispositifs psychotroniques ....1... américain utilisant une technologie
les fœtus hybrides créés par les ET, d'énergie dirigée qui ont été utilisés Wolf dit qu'il est allé bien plus exotique "ont créé des trous dans le
et il remarque que le fluide embry- par des éléments criminels dans loin que les expérimentations psi temps".
onnaire contient un facteur anti- l'organisation de dissimulation ovni rudimentaires de I'Army Inte l- Wolf a eté atlècté brièvement à un
rejet. Il est conscient également que contre certains ufologues qui ligence faites par le généra l travail avec le Mossad, l'organisa-

306 307
tion de renseignement d'Israël. "Le
Mossad a de très bonnes relations
avec les extraterrestres", déclare t-
il.
Le rapport de recherche publié par
le Dr Strecker. considérant le Sida
comme causé par virus fabriqué
par l'homme, est correct selon le Dr
Wolf. En outre, le gouvernement a
appris que les virus ont une struc-
ture cristalline et qu'une fréquence
correcte peut les détruire.
Wolf signale que "le Président
Clinto.n a eu un briefing sur l'avion
spatial Aurora (SR-33A)" qui opère
depuis la Zone 51. L'Auro ra
"fonctionne au méthane liquide et a
un dispositif anti-gravité à bord",
une information identique à ce que
le colonel en retraite de l'armée de
l'air Donald Ware a indiqué à cet
auteur, infonnation en provenance
d'un général trois étoiles. Wolf a dit
que Aurora est encore mieux que
les avions furtifs. "Il est doté d'un
système d'anne à pulsion électro-
magnétique qui peut dé truire un
radar de repérage. " Il révèle
également : " il pe ut aller sur la
Lune !" Et il ajoute, dans une allu-
sion provocante, que les "Etats-
Unis ont quelque chose sur Mars"
en plus du Rover.
Wolf révèle que le gouvernement
308
américain travaille sur des proto-
types de disques à anti-gravité
extraterrestres. Il dit que les extra-
terrestres traversent la galaxie par
manipulation de l'espace-temps
pour tirer leur destination vers eux.
"Le te mps est réduit à zéro, et
l'accél érat ion est augme ntée à
l'infini." Il dit aussi que les mili-
taires font des expériences dans
lesquelles le pilote guide un avion
~·avant-garde par un processus
mental. Des sci entifiques du
gouvernement ont découvert que
"certains ovnis sont des véhicules
vivants qui peuvent se diviser et se
reformer". Ces "véhicules vivants"
répondent aussi apparemment aux
ordres de la pensée.
.. ./... Concernant la lenteur du
gouvernement américain pour ré-
vêler la réalité ovni, Wolf corn-
mente : "Le gouvernement se livre
à un exercice d 'équilibre car, si
l'énergie libre [point-zéro] et toute
la technologie ET étaient révélées
d'un seul coup, cela ferait souffrir
les actionnaires (des industries
vieillissantes). Les compagnies
multinationales ne veulent pas
perdre leur pouvoir. La dernière
fois que le Dr Wolf a eu connais-
sance du calendrier prévu pour des
révélations franches sur la réalité
des ovnis. celui-ci se situait autour
de 2001 à 2005.
.. ./...
Note au sujet de l'auteur:
RICHARD J.BOYLAN,
est un scientifique du compor-
tement, un hypno-thérapcute clini-
que, un consultant et chercheur, qui
a pris sa retraite de 25 ans de pra-
tique en tant que psycho-
thérapeute.
Le Dr Bolan est auteur de 4 livres:
- Extraterrestrial contact and human
responses ( 1992)
- Close Extraterrestrial Encounters
(1994)
- Labored journey to the stars
( 1996)
- Project Epiphany ( 1997)
ainsi que d'une trentaine d'articles.
309
 PRÉSENCE DES REPTIUENS
D'immenses immeubles s'élèvent dans un ciel gris et lourd On se
croirait dans une mégalopole sembla!>le à New-York. A travers le regard
d ' un personnage qu'aucun des participants ne peut voir, chacun s'avance à
pas rapides dans un vaste hall vers un ascenseur vitré. Trois personnes se
précipitent à l'intérieur tandis que sur l'écran lumineux qui s'éclaire en haut
de la porte fennée, s'affichent les étages qui défilent à grande vitesse.. S ...
l(f... 24...,.,_ L'ascenseur stoppe enfin sa course pour laisser sortir l'invisible
personnage qui continue le long d'un couloir bordé de portes multiples.
Sans l'ombre d'une hésitation, il s'arrête devant l' une d'elle, pourt~nt
'
identique en tous points aux autres, et prend quelques instants pour
réajuster ses vêtements avant d'appuyer sur la sonnette d'un air décidé.
Une jeune femme qui doit faire office de secrétaire et semble le
connaître, lui demande par routine, un code confidentiel avant de le faire
entrer dans une salle de réunion où sont déjà installés six hommes et une
femme autour d'une table vaste et sans particularité.
-Nous t'attendions avant de commencer, dit celui quj paraît, de par
son âge et sa place, présider aux débats.
L'homme qui vient d'arriver se contente de remercier d'un ton sec.
La réunion commence et des feuilles sont données à chacun qui.
attentivement prend connaissance de leur contenu.
La voix de l'instructeur galactique résonne alors, tel un microphone
placé dans le centre de la tête de tous les participants de l'expérience :
- li s'agit d ' un vaste plan d'action relatif aux guerres et aux mises en
place de certains personnages sur Terre, rois. dictateurs et gouvernants.
Ces êtres que vous voyez assemblés ici, pensent œuvrer pour eux mais en
réalité, ils sont à la solde des intergalactiques aux écailles grises. Certains
de ces personnages que vous voyez assis de façon anodine autour de cette
table ont même prévu des hybridations entre humains et galactiques pour
augmenter encore leur puissance. Ils pensent ainsi détenir un pouvoir
jamais égalé mais ils ne se rendent pas compte que ce pouvoir se
retournera contre eux. Ils présument de leurs capacités, et leur orgueil
ainsi que leur soif de pouvoir, les aveuglent. ·
310
Déjà certains galactiques ont pris, pour un temps, des corps qui
ressemblent à ceux de ces hommes, sans qu'ils puissent être détectés.
Regardez mieux et plus attentivement ces personnes...
Aloha scrute alors av~c une grande précision les personnages assis
autour de ta table. Son regard, habitué à ce genre d'exercice, tel un rayon
laser, traverse les corps physiques un par un, lorsque tout à coup, elle
sursaute à la ·vision inattendue qui s'offre à elle. Là, à travers l'un des
corps assis face à elle, elle perçoit l'incroyable réalité.
Dans une enveloppe tout à fait confonne à ceux qui sont réunis dans
la pièce, elle détecte la présence d'une entité non terrienne, au corps en
fonne d 'insecte et à la tête démesurément allongée.
L' Être qui jusque là n'avait pas bougé sent qu'il est sondé, mis à nu,
démasqué. Alors, sans sourciller, il dirige son regard vers l'homme qui est
arrivé Je dernier, et qui s'écroule sur la table, terrassé par une apparente
crise cardiaque! La réunion s'interrompt... Tandis qu'Aloha et ses
compagnons sont momentanément privés de vision.
.. ./...-Ceci n'est qu'un exemple de l'action de certains êtres des
étoiles sur la planète Terre. Comme Aloha a pu l'entendre de leur bouche
il y a peu, ils corrompent )es rois et les princes de ce monde, en font des
dictateurs puissants et des gouvernants sans lois. Ils paraîtront souvent
avoir réussi là où nous aurons parfois la sensation d'être impuissants. Il
n'en est pourtant rien.
EXTRAIT DE WALK·IN (P.83)
311
 Et maintenant que faire ?

312
 Certains l e d isent, d 'autres l e font•••

Certains le disent, d'autres le font ...

Certains le disent, d'autres le font ...

FÉUCITÉ N° 26 ''Projet Révélation" aux USA
Un épais v oile de silence international
imposé vient de se lever avec une demande
d 'enquête publique au sujet d'êtres
provenant d'autres planètes.

Le " Oisclosure Projet" du Docteur Green a démarré

le 9 mai 2001 supporté par 400 témoins officiels.
Il a pour objectif de révéler au monde entie< tout ce
qui concerne le phénomène appelé " ovni" . Dans un
rnemo adressé début mai 2001 au Congrès améri·
cain et au Président Bu..1h. le Or Greer les informe
que la campagne continue<a jusqu'à ce que ses
objectifs soient atteints. à savoir :
qu'il y ait audition honnête et sincère de t ous les
témoins par le Congrès américain (400 témoins mii-
t aires, scientifiques, pilotes, ... sont prëts à témoigner) ;
- qu'il y ait une interdiction permanente de tout
dispositif d 'armement dans l'espace ; (la cible. tenue
secrète du pubroc. serait les extrate<testresl
- qu'il y ait une étude précise de toutes les
technologies extraterrestre$, leurs applications pour
la paix et Je bien-être de la planète. impliquant la
lev6e du secret les entourant.
Le Or Greer explique en effet que ces technologies
pacifiques peuvent assurer la production de toute
l'éne<gie dont la planète a besoin sans avoir recours
aux énergies fossiles et sans pollution de
l'environnement. évitant aonsi les guerres pour
l'énergie qui se préparent pour la décennie à venir.
Le Projet Révélation met à disposition des membres
du Congrès et des médias, près de 500 pages de
témoignages officiels et plus de 4 heures de vidéo.
Une multitude d 'infonnations y sont présentées.
notamment l'existence de 57 espèces ou races
extra-terrestres humanoïdes répertoriées et classées
depuis 1989 par les .scientifiques militaires et la
révélation que ce<tains de ces extraterrestres sont à
ce point semblables aux humains qu'ils se trouvent
parmi nous depuis longtemps sons que nous en
ayons conscience.
Le Or Greer explique que t out ceci est de la plus
heute importance pour la plrite et les générations
futures : "If faut sbsolume;nt éviter de s'engager
dans la voie de l'armement de l'espace, les extl'll·
terrestres nous metrent pacifiquement en garde
contre cela afin de préserver la paix de l'univers.
Nous psrtag110ns /'esplice svec d 'autres civili$ations.
ne leur soyons p as hostiles. Il est important que
nous comprenions que c'est ls fin de l'enfance de
l'humanité, nous enrrons dans l'ilge sdufre, c'est le
début d'une civilisation cosmique. A cerre fin, nous
devons redevenir une humanité p acifique et unie.·
www .disdosutepro,ect.org

313

Enseignements spirituels
Le Grand Être de Lumière.fait une pame et regarde Aloha avec une
immt'nse compassion dans le regard:
"La planète Terre doit maintenant retrouver sa dim ension et sa
place d ·originr~. Chacun est apte à 1 y aider s ï/ accepte en lui de ne plus
génërer d'excuses pour s 'économiser ou rester spectateur. Cela ne signifie
aucunement s 'épuiser en actes et en dons mais simplement rayer de son
âme. la torpew: la dispersion, dues à des préoccupations minimes, les
peurs. les hésilations et la banalisation de tout, et qui son/ sa rouille
principale.
Qut~ fa Force de la Vie habite chacun .... ''
EXTRAIT WALKIN P.189
3 14
L'OMBRE AU SI;RVI CE DE lA LUMIERE
Il y a dix-huit millions d'années, nous avons accepté et souhaité aider la
planète bleue dans son évolution. Cette Terre avait en elle de telles possibi-
lités, un potentiel si vaste, que nous eûmes pour but d'être à ses côtés,
comme auprès d'une sœur plus jeune. Dans cet objectif, plusieurs des
nôtres ont pris place dans une contrée isolée, la plus au nord de. votre.
planète, afin de transmettre une énergie et aussi un savoir, capables de
réveiller peu à peu les êtres qui y vivaient. Nous savions alors que ce que
vous nommez des brins d'ADN, qui vous permettent de communiquer avec
tous les plans et toutes les mémoire.s à l'intérieur et à l'extÇrieur de vous,
seraient réveillés progressivement selon l'ouverture de vos portes inté-
rieures. Cette fois encore, d'autres êtres qui préféraient vous garder en
léthargie, ont freiné ce développement. Sache simplement que nous
n'intervenons jamais en forçant les portes. Il est essentiel pour nous de
proposer des changements, et non pas d'induire de façon plus contrai-
gnante ces changements.
Certains êtres de.'i étoiles, selon votre progression avaient alors pour
objectif d'occuper une planète riche et d'en utiliser ses habitants pour leur
propre développement et leur service.
.../...
Nos technologies avancées nous permettaient alors, et aujourd' hui plus
encore, de connaître les pensées des hommes, de les transformer, de les
remplacer à l'aide de certaines images touchant des parties bien précises du
cerveau et notamment à l'aide de sons. Une scission se créa alors dans nos
mondes, entre les partisans des méthodes inductives et ceux qui basaient
l'évolution sur une avance plus lente mais plus solide ct où toute liberté
.
serait préservée. Nous avions choisi d'aider la planète bleue et ses habi-
.
tants selon les lois du libre arbitre. A cette fin, nous plaçâmes au fil des
époques, nos grands vaisseaux mères sur des lieux propices à la circu-
lation de la lumière et des énergies. Ces vaisseaux. semblables à celui que
ru as visité, sont parfois imbriqués dans des points d'architecture sacrée de
votre planète car ils transmettent une onde bénéfique et protectrice sur toute
315
 ' .
une reg1on .
.. ./...
Certains d'entre vous, chaque nuit, consciemment ou non, sortent de
leurs corps et se réunissent par groupes avec les nôtres pour envoyer des
v ibrations qui aident et nettoient le surplus de pollution psychique qui
étouffe la Terre ct ses habitants.
Sache cependant que bien que nous vous aimions, et parce que nous
vous aimons, jamais nous ne déciderons pour vous de votre futur, jamais
nous ne ferons pour vous, ce que vous pouvez accomplir par un élan de
votre cœur.
-DOSSIER-
...!...
Éveillez en vous la confiance sans naïveté. Tout ce qui vient des étoiles
n'est pas forcément posit{f, dis-tu parfois et tu as raison mais nous pour-
rions ajouter : éloigne:: de vous la peur et soyez confiants, ·car l'ombre est
aussi au service de la lumière. LES CAMPS DE CONCENTRATION
Vous êtes actuellement à un point d'une extrême importaoce, où vous
devez lâcher ce qui vous sécurisait afin de ne pas être engloutis par cette
sécurité. Laissez vos peurs car vous n'avez réellement rien à perdre
d'essentiel, soyez confiants dans chaque élément que la vie vous offre,
chaque rencontre. chaque événement. Tout est voulu par vous au plus
profond de vous. Cessez d'agir pour agir, de prendre pour donner, de j uger
ct de vous juger. Soyez !

ETRAIT D'ALUANCE {P. 77)

317
316
 (41)
DES CAMPS DE CONCENTRATION SECRETS?

~~us possédons des rapports, de première main, concernant des activités étranges ayant
lieu dans des endroits isolés, sur des terres ûe Forêts Nationales de l ' Orégon et de
t:Idaho, et nous sommes portés à croire que ce même genre d'activités de destruction
: survient aussi en d'autres endroits. O~struction est le terme exact pour signifier te
dénuement complet de surfaces de 50 acres ~t plus par le Service des Forêts, ou par
de s entrepreneurs privés. Ces terrains sont vidés de toutes branchailtes, pierres ou
roches ayant plus d'un pouce de diamètre sur toute leur surface, et jusqu'à une pro-
fondeur de deux pieds. Puis des clôtures hautes de huit pieds, allant aussi à u ne pro-
fondeur~ quatre pieds sous le sol, sont érigées autour de ces périmètres. Alors,qu'a-
vons-nous derrière ces clôtures? Ostensiblement, les clôtures son t là pour empêcher
les animaux d'atteindre les plants car, d ' après les Services ,forestiers, ce sont des
endroits pour faire germer de jeunes plants
CC!Py
Il y a une certai n~ logi qu ~ da~~ tout ceci. Pourtant, le fait d'entérrer la clôture à
une telle profond~~ r,est trouht~n t. A la lumière des pla ns d e l'Admi nis trat ion Bush,
soit d'incarcer ceux qui s'opposent un peu trop 1 sa guerre de banquiers ... un e autre
u tilisation pour ces complexes vient à l'esprit.

Les Agents fidéraux ne prennent plus la peine de dissimuler leurs plans pour susoen-
dre la Constitution sous prétexte d'une quelconque urgence ... le FEHA a été prévu ,· ~t
préparepour appliquer la future dictature militaire .••

l'inaccessibilité de ces nouveaux complexes avec, en plus, la volonté des Services f~

restiers de cacher ces endroits au public, augmente lourdement l'idée de "Camps cJe
Concentration" construits sur des terres publiques. Et pourquoi pas? ..• tes reg1ons
naturelles désignées cotncident étrangement avec les ressources naturelles dont on a
désespérément besoin •••

te Gouvernement Fédéral a confisqué, en échange de légères compensations, des pro - ·

priétés privées dans des endroits éloignés, et les a transformées en terrains ... ;>our
la chasse ... Les simples citoyens ne peuvent se rendre dans ces forêts autrement qu'à
pied ou à cheval, et doivent camper de façon primitive, tandis que des" hornt:~es ... par-
viennent faci l ement à leurs quartiers ••. par hélicoptères.

Quelques-uns d 'e ntre nous, par le passé, ont été embauchés par le Service des forêts,
pour construire des cabanes en rondins dans des régions sauvages, pour les chasseurs
et les campeurs. Pourtant, depuis dix ans .• • des Agents ont systématiquement fait brû-
ler ces cabanes , et des centaines d'habitations privées, sur des exploitations miniè-
res légales, forçant pratiquement le peuple à quitter de vastes étendues de terre s
publiques.

Dans les de rnières années, le Gouvernement a établi des permis et des frais pour des
tâches aussi banales que celle de couper du bois pour faire un feu ..• Les règlementa-
tions de chasse et de pêche sont plus restrictives que jamais, et dans certains Etats
les gardes-chasse sont armés .•. ce qui mène à d'inévitables confrontations.
4
Tcny Bl!.zza.rd, The Natiooal Educator, California. ( l)

318
 (43) .
Des Camps de ConcentratiOn

L' édition de septembre de :ne Os::ich' reproduis.:> it un article d u CBA Bull"tin qui donnait une
liste des principaux camps de concentratio" d,-iJs ét.Jblls dans GOL>l.AG USA sous le progromme Rex ' 8-1
; Ft Ch affee, Ark.J.nsas ; Ft Dru m. New York ; ft !ndian Gap. Pennsylvanie ; Camp A. P. Hill. Vir!;inie ;
Oakdale, C.ùifornie ; Eglin Air Force Base, floride ; Vandenberg Ar'1l. Californie ; Ft Mc Coy, Wisconsin ;
Fl Benning. Géorgie; Ft HuachucJ, Arizona ; û mp Krome. Floride. L' Ostrich de fe vrier contenait une
carte d e ce gou!.1g en expansion. Bien que ce:te liste et cette carte aient suscté un intérêt considé-rable. ce
rapport n' était pas nouveau. Depuis au moins 20 ans, des Patriotes informés lancen t de s appels d 'alarme
pour nous informer des sinistres com plo ts ''\sant à incarcérer les dissidents qui s'opposent aux pians du
Syndicat Élitiste pour f'n Nouvel Ordre Mon<l:al totali!aire. En effet, le complot avait été reconnu avec
l'o!mpiétement insidieux du "régionalisme· dès les annees ' 60. Dès 1968. le 'plus srand vol de terres de
J'histoire", mex;ant.à fl' sociilisme industriel global, ét.Jit dans un "!~ster Land Plan" pour les États-Unis
effectué par un Ordre Exécutif impliquant les rêgio:-.s de ressources en eau, le déplacement et le contrôle
d es population s, le con trôle de la pollution. k zonage et l'utilisation des terres. les lois de navigation et
environnementales. ect En effet. Je vui bu: caché ce cene soi-disant "Renaissance Environnementale" est
l'abolition d e la propriété privée.

Cela prelude à la saisie totale fai te par la ' 'l<lrl d Ccn.servation Bank", t e l que l'Ostrich l'a rapporté.
carte sur la page ci-çootre; ainsi que la list e, ci~essous , des "Ordres Exécutifs•• disponibles poor l' i;
positicn d'une "SituatiQl d'Urgence", proviennent toutes deux des Dossiers des années 70' "d ' Alert'• ,
feu le Général P.A. Del Vale; doc:urents qui nous furent envoyés par "Merri tt Ne<.by'', éditeur du "Ameri.c.'
0\a.llenge", aujrurd'hui fe:mé.

(J'ai tenté de canruniquer avec Heritt Ne-.t>y, PaJte 15, Box 197, Athens, Alahan'a 35611 (205-732-4386),
Yai appris le décès,survenu en Mai 93 d 'après ce qui tœ fut rapponê alors par téléphone, de Heritt. l

co~~q----------------------------------~
<
43
) Applicable Executive Orders
Thelol!o-twinQ E.x.<:U~Iv• Orel ua. rcw rllCXlrt!éd ln the Federal Register, and thwefor• ecc:epted by
Cong,_. U the laW of thaJarid, c:.tl be p<J1 i1to <rlfod Il 8/T'f tlmll an ll<lUif',lllt>Cy lad~:
1011115-AI communications m..r~a seized by thil eva<y man, woman and child ln Ille U.S.A.
Fedwal Gowmmeot 11003-Seizura of ali airerait and airports by the
101197-se!zure ol a.Q alodrical power, fuels, ln Faderai Gowrnment.
cludlng gasolin• and minara.b. 11 004-Housing and Finance authotlty may thifl
1011~·•lzure ol ali food resourc.s, larma and popula!lon from on.locality t.o another.
lann equlpmeot Complete integr.tion. •
10999-Selzura of a.11 kinds r:A transporuto n, ln 11 oos-seilure of rallroads. inland waterways, and
cludlng your persooal car, and o:>ntrof of storage lacilities.
a.Q highways and seaports. 11051-The Olractor of the O lflce ol Emarge ncy
1 1000--Seizure ol an c ivilians !01 ~ und er F od- Planning authorlzad to p<1l Executive Or
aral supervision. de~ int.o etfact in 1imes ollncreasad inter-
11001-fadoral takeover ol aU health, edi.Cll!ion national tension or linancial ctisis". Hals
and wehr•. ~.. !t'._;;. - . .; also to P"rfOfm suc:h additional functions
t1002-PostmasterGeneral empowerad ll)r9Qher as the P residenl m W'{ direct.
THE UPRIGHT OSTRICH 1 PAGE 7 1 MARCH / 1990

- 38-

3 19
 -7-

Conclusion

« Si vous vous fiez au pouvoir d'un autre, vous affa iblissez le vôtre,
si vous cherchez à posséder le monde, vous limitez votre abondance. »
Le Tao de la guérison

Les d ivers dossiers abordés ici peuvent nous laisser un e impression de

tristesse, de colère ou d'impuissance. Cependant et quoi que l'on puisse
en penser, il n'est pas de problème sans solution et je s uis complètement
convaincue que nous sommes loin d'avoir dit notre "dernier mot", d'avoir
joué nos "dernières cartes". Dans ce chapitre nous allons essayer d'envi-
sager différents moyens pour nous permettre de retrouver l'énergie voulue
pour vivre debout, face à nous-mêmes.
Comme tout être humain il est un ré flexe qui nous conduit à éviter ce
qui pourrait nous causer dè la douleur et par là même à ne pas affronter ce
qui perturbe notre "bien-être" quotidien. Alors, bien souvent nous contour-
nons J'obstacle et de contours en contours nous perdons peu à peu le but
et l'essence de notre existence ... mais, les questions sont là, incontour-
nables, inévitables et pointent du doigt ce que nous préférerions ne pas
regarder. Dernièrement un kinés ithérapeute me disait : « Dans cette ville,
j e suis content que la police mette un peu d ' ord re parce que Je spectacle
de pauvres êtres mendiant leur nourriture met ma conS~;iencc mal à l'aise ...

320 32 1
d ' autant plus qu'on ne peut donner à tous !»
Cet homme a exprimé de cette façon un maJaise qui touche beaucoup
d'entre nous. Un mal-être qui donne une impression d'impuissance et de
mauvaise conscience et finit par nous rendre agressifs au point que l'on
préfère ne pas savoir, ne pas voir ce qui se passe autour de nous.
Dans mes dossiers, il y a un étrange vocable, celui de "camps de concen-
trations" existant à l' heure actuelle aux USA (voir dossiers). "Camps de
concentration" me parait un mot trop agressif pour l' heure car il soulève
plus d ' émotivité que de réflexion réelle. Je ne crains pas les mots mais
ceux-ci sont de puissants vecteurs d'énergie, et si nous voulons que quelque
chose change nous devons apprendre à les employer en ayant conscience
de leurs effets.
Toute· transformation commence par un changement intérieur, tout
changement nécessite un apprentissage. . li est utopique de croire qu'à la
naissance nous savons comment penser, dire et agir avec un amour
inconditionnel. Nous avons toutes ces capacités en nous mais il nous faut
les retrouver et chaque vie nous en donne un peu plus l'opportunité.
"Dire" cela s'apprend ! Je ne prétends pas posséder ce savoir mais je
peux proposer ce qui nous a été appris en ce sens et que chacun peut
apprendre dans ta meilleure école qui soit actuellement et qui est à la
portée de tous, celle de la vie quotidienne.
Le mot est la meilleure et la pire des choses, d'autres l'ont dit avant
moi. .. Tout nom possède sa vibration propre et c'est cette vibration à
répétition qui peut changer l'ordre des "choses". Il est maintenant à peu
près admis que les prénoms ont une influence sur les comportements. Des
ouvrages spécialisés dans le domaine en parlent de façon détaillée. De
même n' est-il pas incohérent de se servir "d'Assurances-Maladie" pour
protéger notre Santé. "Assurance-santé" serait de meilleure augure ! Et
que penser du mot "invasion pacifique" ?
De nombreuses méthodes sont depuis quelques années préconisées
dan s les entreprises et d'autres secteurs divers sur ce qui est commu·
nément appelé "pensée positive". Beaucoup de philosophies. sous d 'autres
tenncs, avaient depuis bien longtemps connaissance de ces faits et la fa-
meuse "méthode Coué" qui consiste entre autres à répéter une affirmation
jusqu'à ce qu'elle donne un résultat dans la matière est une remise à
l'honneur d'enseignements ancestraux de l'Inde.
Nous prononçons chaque jour des milliers de mots, nous pourrions
donc dans l'optique d'assainir notre aura et par là même notre environ-
322
nement, porter attention aux mots employés. Telle parole est-elle porteuse
de paix, d 'amour ou de joie, soulage-t-elle l'être à qui elle est adressée ou
est-elle sans intérêt, voire même inutile ?
Parlons moins, parlons mieux, soyons conscients des énergies que nous
envoyons chaque jour et de la force que nous me ttons derrière les mots .
Ainsi, notre monde intérieur peu à peu s'éclaircira et contribuera gran-
dement à apaiser notre environnement Cependant, pour que le mot existe,
il faut d 'abord qu'il soit porté par "la pensée" et là encore nous sommes
dans un domaine où il nous est tout à fait possible d'agir.
L'un des Etres de Lumière qui nous est proche nous disait il y a peu de
temps à propos des énergies qui jaillissent de nous en pennanence : ((Ce
sont ces dernières qui entretiennent le moteur de tous les asservissements.
Que sont un canon et un obus sans la pensée et l'inconscience humaine
qui les mettent en service ? ... » .
La pensée est une force que peu soupçonnent. A elle seule. elle est
capable de créer des mondes sur des plans subtils qui s'incarneront tôt ou
tard sur le monde physique. Elle peut détruire et construire, imaginer et
réaliser. Par elle naissent des philosophies, pour elle des êtres sont prêts à
donner leur vie.
Par notre propre expérience, j'ai pu assister lors de sorties hors du
corps à des spectacles fascinants. n est des lieux sur les plans subtils où la
pensée se concrétise. Elle s'incarne et il est alors possible de se promener .
dans les pensées des hommes. Hélas le spectacle est souvent éprouvant
pour le promeneur astral, mais qui nous empêche de devenir de meilleurs
metteurs en scène. Dans "Les Messagers de l'Aube" il est dit : ((peu
importe la situation dans laquelle vous êtes. c 'est le pouvoir de vos pen·
sées qui vous y a conduits. C 'est également la conviction irréprochable
mulant que ce soit la pensée qui crée, qui transfo rmera votre expérience
de la Vie et l'existence planétaire. »
Les pensées ne sont jamais anodines et notre ex périence de nom-
breuses lectures d'aura nous en a maintes fois apporté les preuves. Une
pensée envoyée avec force qu'el! e soit de lumière ou d'ombre, emprunte
un itinéraire précis. Elle quitte son créateur pour a ller rejoindre aussitôt
son destinataire et dans le même temps va nourrir un énorme sac cont~
nant des pensées du même ordre. Ce sac souvent appelé "égrégore" va
prendre vie gràce ·à toutes les pensées émises et servira de nourriture psy-
chique à tout être de la planète susceptible de commettre un acte dans le
323
sens de la pensée formulée. D'une façon simplifiée, nous pourrions dire
qu'une pensée de haine ira amplifier l'action d ' un tortionnaire dans n'im-
porte quel endroit du globe alors qu' une pensée d ' Amour renforcera la
volonté et l' action de ceux qui œuvrent dans ce sens. Nous sommes les
créateurs de nos pensées et bien souvent nous sommes complètement
inconscients de la responsabilité que cela implique. Nous sommes tous
reliés et interdépendants les uns des autres. Nous ne pouvons plus croire
qu'il y a les bons d'un côté et les mauvais de l'autre. Nous sommes alter-
nativement le Ying et le Yang et le balancier ne s'arrêtera que lorsque
notre conscience et notre volonté forgées à l'extrême nous permettrons de
réaffirmer notre positionnement, de savoir vraiment ce que nous voulons !
J'ai gardé en mémoire les évènements douloureux de la guerre du
golfe. Sadam Hussein étant le personnage principal de cette partie de
l'histoire des hommes, il était, par là même, l'être monstrueux contre le-
quel il fallait agir. Je n ' ai aucun jugement à donner en ce sens mais il est
une loi à laquelle on ne peut déroger, la voici donc :
Lorsque l' on dirige des pensées de haine, de colère, de violence vers
une personne jugée perverse, on ne calme rien. Au contraire on nourrit les
formes-pensées qui soutiennent déjà cet être dans son action destructrice
et l'on renforce le phénomène. On ne peut enrayer la haine par la haine !
Entourer de tels êtres de lumière peut au moins contribuer à neutraliser les
forces d ' ombres qui sont alentour.
Par cette analyse des formes-pensées, mon but n ' est pas de créer une
culpabilité supplémentaire et inutile mais plutôt une notion de respon-
sabilité. Il ne sert à rien de se culpabiliser pour des pensées déjà émises
mais il est aujourd' hui urge~t et indispensable de savoir que nous sommes
responsables de nos mots et de nos maux, de ce qui nous arrive, de nos
gouvernants, des tortionnaires qui brutalisent nos semblables, des affa-
meurs de peuples, des esclavagistes en tous genres mais aussi responsables
de la joie, de 1' entraide, de l'Amour entre les hommes.
Responsable ne veut pas dire coupable, cessons désormais _de nous
sentir isolés les uns des autres. Il n'y a pas "les autres et nous", il y a nous
tous réunis, cellules d ' un même corps et unis pour faire fleurir 1'Amour.
Quel est le but d 'une vie, de milliers de vies sinon de réveiller l'Amour
dans chacune de nos cellules et de le faire jaillir autour ~e nous. Nous
oublions si souvent ce but ... à cause des contingences de la Terre ... et
nous nous perdons en perdant le fil d'or qui nous relie les uns aux autres.
324
Il faudrait pourtant si peu pour renouer ce fil !
Les êtres qui veultmt nous gouverner ont tout intérêt à faire régner en
nous la peur· et à y faire croître ce sentiment d'impuissance et de culpa-
bilité qui nous rend si vulnérables. Il est ainsi plus facile d ' imposer une
dictature visible ou non et sous quelque forme qu'e lle soit à des êtres
fragili sés. La peur nous "colle à la peau", elle est autour de nous, présente
sous de si nombreux masques que parfois on ne sait même pas qu'elle est
là. Peur de perdre la face, son travail, ses amis, sa notoriété ... peur de la
nuit, du jour, des autres qui ne sont pas nous, peur du loup, de la maladie
et j'en passe. Pourtant, si nous réfléchissons, tout cela se résume en une
seule grande peur, celle de mourir, de mourir à soi-même,. à notre per-
sonnage, aux autres, à notre petite individualité. Que de conflits petits ou
grands auraient pu être évités sans Elle !
Si nous savions combien la Vie nous réserve de cadeaux lorsque no\ls
acceptons de lui faire confiance, nous déposerions tout de suite à ses pieds
nos encombrants bagages car la Vie jamajs ne s'arrête, même au-delà des
apparences. Elle continue encore et encore ... à nous offrir les conditions
idéales pour grandir un peu plus à l' intérieur de nous et si nous nous
cognons régulièrement, c'est toujours sur le même type d ' obstacle. La Vie
est notre meilleure maître et nous remet face aux mêmes leçons jusqu'à ce
que celles-ci soient comprises et apprises. " Dieu n'est pas injuste, il e:st
réaliste" disait le personnage principal du film" Entre terre et ciel". Je
pense que cette remarque est profondément vraie. Nous cherchons le juste
et l'injuste partout, no us classons en vrai et faux, en bon et mauvais, alors
qu' il nous est justement demandé de ne rien séparer, de nous centrer sur
ce qui nous rassemble et d'oublier ce qui nous divise.
La Vie EST, les Etres Sont ! Se couler dans le sens de la Vie, en toute
confiance, accepter et continuer à aimer, s'accepter et continuer à s'aimer
va nous amener au-delà de nos peurs. Savoir que rien n'est l'effet du
hasard, que chaque rencontre, chaque épreuve, chaque joie sont autant de
tremplins vers l'Essence de Soi, voilà qui permet d'aller chercher au plus
profond de nous le courage de vivre debout, sans faux prétextes, sans
"oui-mais".
Une qualité peut nous penncttre de prendre l'altitude nécessaire pour
préserver une attitude juste, en .regard des évènements qui surviennent
dans nos vies et dans la vie de la planète. C'est elle qui permet de trans-
muter l'ombre en lumière car elle nécessite l'amour et porte le nom d'Hu·
325
mo ur. Submergeons l'ombre de lumière, ne sortons aucune arme ni même
de bouclier car celui-ci, pour protecteur qu'il soit, appe lle inconsciem-
ment une anne. « Hissons notre compréhension et notre volonté au-delà
de la sphère des blessures. Un lei engagement n 'a rien d 'anodin ... il
demeure la seule alternative afin d'éviter un nouveau naufrage à
1'humanité. )) "Par PEsprit du Soleil".
L'Amour Sans Limites s'accompagne toujours de cet humour qui aide
à sourire puis à rire à la Vie. Sans aucune ironie, il pennet d ' aller au-delà
de l'obstacle ct d'avoir une vision autre. Les faits n'ont que l'importance
qu'on leur accorde ... alors, cessons de donner de l'importance à ce qui
n'en mérite pas. Il est nécessaire de savoir mais pour retrouver le pouvoir
souverain qui est le nôtre, travaillons avec ce qui est lumineux. C' est la
condition essentielle pour se libérer de toute ingérence car personne ne
peut ni ne doit régir notre vie à notre place.
Dans "Les Messagers de l'Aube" nous pouvons lire : « ... Il vous faut
devenir votre propre autorité et cesser de laisser entre les mains des
re.~ponsablesgouvemementaur. des parents, des enseignants ou des dieux
Je soin de prendre des décisions qui vous appartiennent ... Il y a une
certaine complai_çance sur Terre ... Vous êtes sur le point de vivre toute
une aventure et il n y a que vous qui puissiez la mener à bonne fin. »
L"Etre qui nous guide dans "Par l'Esprit du Soleil" continue comme
su it : « ... Le Déconditionnement est l'itinéraire obligé que chacun
empruntera pour se sortir de 1'impasse. Il est le déclencheur qui permet
d'agir .. Jàce à 1111 endoc:trinement selon des valeurs illusoires .... L'Eveil
de l'Esprit, sign(f/e l'insoumission ... à tous les types de gouvernements
qui prétendent penser à votre place. politiquement. économiquement ou
religieusement. )) · considérer la question, je ne puis que vous suggérer trois mots qui, bien
N'oublions pas que chaque erreur, chaque tàiblesse peut deven ir un
tremplin. Nous avons en nous la possibilité de réfl«hir, de nous info rmer,
de dire oui ou non, de consommer ou non. Là aussi réside notre force.
Je vais ici vous faire part d 'une expérience personnelle, vécue lors de
la panuion de notre livre "Le Peuple Animal".
En fin d'ouvrage nous avons publié une liste de laboratoires pratiquant
des tests sur les animaux. Cette liste venait d '.un organisme spécialisé dans
le sujet. Quelques temps après la sortie de notre ouvrage, nous reçùmes plu-
326
sieurs coups de téléphone et de nombreuses lettres v enant des laboratoires
incriminés. Ceux-ci nous d isaient en substa nce ne plus faire d'expéri-
mentations ou les arrêter bientôt. Renseignements pris, nous sûmes que ces
laboratoires avaient eux-mêmes reçu un abondant courrier venant de leur
clientèle et leur demandant des explicatio ns. Cela n'est qu'un exemple
parmi d'autres mais il est la p reuve v ivante que le consommateur .peut
considérablement influencer le producteur. Si un consommateur cesse de
consommer un produit qui ne lui convient pas, il n'y a plus de producteur !
Nombreux sont en fait les moyens mis à notre disposition.
La mus ique peut en faire partie et nombreuses sont les études· faites sur
le sujet. Chaque note a une intensité et une fréquence qui lui sont propres.
Combinées d'une certaine façon et sur une fréquence spécifique, le rôle de
ces musiques devient alors pacificateur car les so ns déclenchent des effets
jusqu' au fond de l'âme.
La Résistance passive est aussi un acte puissant. S i Gandhi a su dire
NON sans faire la guerre, nous Je pouvo ns nous aussi ! Nous savons
manifester et nous rassembler pour obteni_r plus d ' argent ou de travail,
mettons aussi cette énergie dans toutes nos autres formes de choix qui
nécessitent un engagement particulier. Nous pouvons faire cela sans cris
et sans heurts, simplement en refusant ce que nous ne voulons pas et que
l'on tente de nous imposer. Pour résister même passivement li faut cepen~
dant savoir, connaître, comprendre, être informés. Ce la ne nous rendra pas
invincibles mais nous permettra. par exemple, de prendre le recul néces--
saire à un j ugement sain et d ' éviter de craindre de so i..<fisant "épidémies"
qui sont parfois loin d 'une réalité objective.
La solution de tout cela peut se parer de plusieurs visages ... nous dira
l'Etre de Lumière. Quel que soit l'aspect sous leq uel vous pouvez
qu'ils en fassent sourire plus d ' un, représentent la maîtresse-dé, face à
une situation aussi cruciale : Amour Sans Limites.
Et pour I' Etre d ' action qui se veut Amour, ces trois mots ne peuvent se
conc rétiser qu'à travers des faits, des actes. L' Etre qui aime au plus pro-
fond de lui ne sait pas qu'il aime car il n'est plus dans l'acte, mais il est
l'acte lui-même. De même, celui qui agit par Ja lumière ne sait pas non
plus qu' il agit ainsi car il devient lui-même Lumière. "Etre Amour" est un
état de vie qui remplit chaque geste, chaque pensée. Chaque acte peut
devenir un hymne à 1' Amour et recevoir un éclairage nouveau si la pensée
327
qui le dirige sc veut Lumière. Faire la cuisine, balayer, taper à la mru:;hine,
parler avec un voisin, conduire une voiture, monter dans un bus, attendre
dans une file, ne seront plus des actes dénués de sens si nous Iie les
voulons plus tels. Chacun de nous peut devenir une gerbe d'amour et de
lumière à travers ses pensées, ses paroles, ses actes. Rien n'est plus simple
et plus à la portée de tous si nous le voulons vraiment Rien n' est plus
difficile aussi, si nous preno ns cela comme un "travail". Faire les actes
avec conscience voilà le secret qui peu à peu nous mènera à la Vie avec
un V majuscule. le secret qui inondera peu à peu le monde, de Lumière et
fera reculer l'ombre jusqu'à ce qu 'eHe aussi se transmute.
L'existence essaie de semer en nous le doute et la séparation, la Voie
du Service est la Voie royale qui va nous permettre de retrouver 1' Unité en
nous et au-delà de nous. C'est elle qui nous rend disponible à autrui, nous
empêche de moraliser et de nous faire agir par pitié ou parce que c 'est
bien. C'est par elle que l'Esprit descend dans la matière et que la matière
devient Esprit. La Voie du Service ne sépare pas, elle unit !
ll y a quelques années, nous nous étions rendus à Calcutta. Nous
n'espérions pas rencontrer Mère Teresa alors hospitalisée pour un pro-
blème de cœur et de paludisme. Alors que nous étions dans son lieu de vie
et contre toute attente, elle arriva... n n'y a pas de hasard ! Nous décou-
vrîmes sur ses conseils les endroits où elle avait commencé et où d'autres
continuaient à guérir, à prier ou à aider à mourir pour que la vie conserve
sa valeur jusqu'au bout. Avec elle nous avons prié pour tous les tra-
vailleurs de lumière ... L' Inde nous était familière et nous étions heureux
qu'elle œuvre ainsi auprès de tous ces démunis de la vie.
Quelque temps plus tard et entre deux avions, j e l~is. .. Un passage du
livre parlait de Mère Teresa. Je fus plus attentive et appris par cette lecture
que chaque sœur etait parrainée par une personne en général handicapée
ou-ne pouvant agir sur le terrain mais apportant son aide par ses pensées et
ses prières.
Intuitivement, Mère Teresa savait. Elle n' avait nul besoin de connaître
les mécanismes des fonnes-pensécs pour croire que la prière et les pensées
émises à cette occasion n'étaient pas que de l' imaginaire. Pour cette fenune
pratique et concrète. action et pensée allaient de concert.
Que dire devant tant d ' évidences, sinon qu' il n'est plus temps d' être
tiède si l'on veut gravir le sentier abrupt mais combien enrichissant qui
nous mènera au-delà de nos peurs. La lumière règne toujours en maitre
328
sur l' obscurité et lorsque l' on ouvre une fenêtre dans un lieu sombre, c'est
toujours elle qui pénètre et non l' inverse.
Nous ne sommes pas indispensables à l'avance des mondes mais notre
action est pourtant importante. A chaque pas que nous faisons vers la
lumière et l'amour, nous créons une avance pour la terre entière. Lorsque
nous baissons les bras, las et découragés, une multitude d'êtres courbent
un peu plus le dos.
C'est donc à nous de savoir ce que nous voulons vraiment et ce à quoi
nous sommes prêts pour y arriver. Notre engagement se veut-il maximal
ou préférons nous attendre ... ?
Ce livre-dossier n' a qu' un but: celui de vous p~nnettre de vous poser
des questions. Il n'a pas l'ambition ni la prétention de vous proposer de
réponses. La réponse ne peut être qu'ind ividuelle car elle demande une
plongée au fond de soi tellement personnelle qu'elle ne peut être faite par
nul autre. L'Amour sans condition reste cependant le maître-mot de cet
ouvrage car sans lui tout serait dérisoire et ridiculement inhumain. Le
Gouvernement Mondial n' existe que parce qu'il est aussi en nous, ce qui
signifie que la solution est toujours intérieure. Lorsque nous aurons net-
toyé en nous tous nos conditionnements, ces petits tortionnaires habiles
qui nous poussent à agir de façon mécanique, alors et alors seulement. ..
celui-ci disparaîtra de la surface de la Terre.
« Que la conscience de la Flamme divine qui réside en chacun vienne
à fleurir ne serait-ce qu'un peu plus dans les années à venir, et 1'emprise
du Gouvernement Mondial et de ses alliés-manipulateurs d'outre-espace
sera vouée à l'échec. L 'Eveil de l'Esprit signifie l'insoumi&sion à tous les
plans d'organisation égotiques et, par conséquent, à tous les types de
Gouvernements qui prétendent penser à votre place, politiquement,
économiquement ou religieusement.
Sortir de l 'illusion que nous évoquions, ce n 'est pas attendre que celle-
ci s'estompe par la seule force des prières. C'est, nous le répétons, enso-
leiller l'Illusion. la dédensifier en se f aisant avec détermination l'allié
actif de "Celui qui vient".
Celui qui vient
329
 Et maintenant que faire ?

330
 JEUD{"
. "L'EVENEMENT DU
ART1CLE TtRE DE . 4 septembre 1996
No 6\7 du 24 aout au

CONFIRMATION
Un anti-douleur:
~la pensée positive
' Quesentlanedouleur
l:l
que l'on res-
dépende pas seule-
~ ment d'une cause physiologique
) objective est déjà une évidence. •
Que l'élatd'esprit de la prnonne
1concernée puisse intluer large- •
! ment sur son intensité semble
·, acquis. mais n'a guère fait l'ob- •
·; jet d'études approfondies. Les -'
. chercheurs réunis la semaine '
dernière au Congrès internatio-
nal de la douleur ~ Vancouver
en sa\'ent un peu plus apR5 avoir .
~ écouté une intervention résu-
; mant les trouvailles d' une 1
4
équipe de collègues de l'hôpital ,
· Johns-Hopkins. Ces detruers ont Î
cherd!é à évaluer l'impact d'une 1
1«pensée positive • et de son in- •
verse sur la douleur ressentie en •
., étudiant des volontaires invités •
1 à plon$er leurs mains dans de ~
1l' eau glaciale, au sens propre.
l Soixante-douze cobayes ont
~ ainsi accepté de tenir le plus
i longtemps possible tout en se t
.. concentrant selon le cas sur des
f messages positifs, négatifs et
1 même neutres, et cela après une
• séance de répétition. les obser· 1
vateurs notaient le moment où J
1chaque volontaire affinnait avoir
,J atteint le seuil de la douleur et
• surtout celui où il finissait par
· se soustraire à l'épreuve Consta-
tation: tandis que les idées Ill!·
• gati-.-es réduisaient la tolérance
· de leurs auteurs • d 'UM manière
significative •, la • ~ posi-
~ •• indique-t-on, permettait
à l'im-me de tenir deux fois plus
longtemps. Mais .q ud genre de
' catéchisme a-t-on pu fàire ava- :
1er à ces ~oïques version Co\~?
Essentiellement que l'eau froide
était bonne pour ew:, ou plus
precisément pour la circulation
sanguine, la cicatrisation des
blessures, les ongl~ .. .

331
 VOICI UN TEXTE TIRÉ DE L'OUVRAGE " LE PRINCIPE LOLA" DE R. AGLI
UNE PHYSIOLOGISTE DE LA CLEVELAND FOUNDATION , GUANG YUE AUX EDITIONS D'OLT (SUISSE), SUR L'ART DE NE PAS LUTTER POUR
'
REUSSIR

Spécialisée dans la reeducation vient de faire une découverte tout à fait
réconfortante. Dix volontaires de 20 à 35 ans ont été invités à faire un
exercice particulier. Cinq fo is par semaine, ils ont dû imaginer la
contraction d ' un de leur biceps, temps durant lequel leur activité cérébrale
ainsi que la tension musculaire de leurs bras (au repos) était enregistrée.
Après quelques semaines la force musculaire avait augmentée de 13,5 %
La cherche use affirme "La force dépend non seulement de la masse
musculaire mais aussi de l'intensi té du signal cérébral qu'envoie le
cerveau aux neurones moteurs...On peut donc se renforcer seulement en
envoyant à ses muscles un signal plus intense."
L'expérience continue actuellement avec des personnes plus âgées (de
65 à 80 ans)
Pourquoi ai-je choisi de parler du livre "le principe Lola" dans "les
Dossiers" ?
Parce que c'est l'un des rares ouvrages qui propose une solution où
la notion de Lu tte est absente... Nous qui luttons tous contre tout ! Et si un
jour nous décidions de ne pas lutter tout en restant actif et sans baisser les
bra~. "Celui qui accepte ia Vie, ne doit lutter pour rien, il reçoit tout en
cadeau" commente l'auteur de l'ouvrage ...
pour vous aider...
Pour vous aider, voici quelques suggestions:

D'APRÉS UN ARTICLE LU DANS lA REVUE "SaENCE ET AVENTR" JANVIER 2002 Variante 1: Le résumé le plus évident serait bien sûr
LOLA Lâcher prise, amour, action =
réaction.

Variante 2: Aime ton prochain comme toi-même.

Avec cela, tout est dit. S ix mots q ui
peuvent changer votre vie.

Variante 3: Je sais.
C'est simple.
J'aime.
Voici trois affirmations qui peuvent
changer votre vie.

Variante 4: Je suis responsable

Aveé cela, vous faites un saut quantique
dans votre développement

332
Variante 5: MAINTENANT
Vivre dans le ICI et MAINTENANT
L'état idéal de vie qui conduit à un
maximum d' intelligence et d'énergie
Si vous réfléchissez à toutes ces possibilités, vous ne pouvez pas
manquer d'aboutir à la conclusion suivante:
"Il n'y a rien de plus important au monde que ce que pense
MAINTENANT."
2. La grande erreur: "Vous serez comme Dieu"
On entend ou lit parfois "Vous serez comme Dieu". Mais si l'on
passe en revue tout ce qui a été dit dans ce livre, on doit en conclure que
cette phrase n'est pas tout à fait exact.
Si tout est UN, en toute logique cela veut dire que nous sommes
UN avec Dieu. Nous sommes UN avec cette puissance omnipotente, cette
connaissance omnisciente et cette puissance d'amour illimitée. En
conséquence, nous ne serons pas comme Dieu. nous sommes Dieu. C'est
logiq ue,. n'est-ce pas?
Cette erreur a des conséquences désastreuses. La phrase .. Vous
serez comme Dieu" renvoie à un futur éloigné l' état d'être Dieu. Elle va
de pair avec l'idée que nous avons encore un chemin considérable à faire
avant d'y arriver. C'est J'astuce de nombreuses méthodes, de religions, de
gourous etc. D'un côté, ils nous collent l'étiquette de "pécheurs" et de
l'autre, ils nous expliquent que dans un futur très éloigné, "nous serons
comme Dieu". Et bien sûr, ces gourous connaissent la route épuisante qui
conduit à ce but. Ce qui est très pratique dans cette histoire, c'est que
personne n'atteindra jamais le but, car il est beaucoup trop éloigné.
Personne ne pourra donc prouver que le gourou avait tort. L'idée "Vous
334
serez comme Dieu" a le même effet qu'un bâton de 50 cm fixé sur la tête
d'une personne, avec une saucisse au bout. Personne n'arrivera à atteindre
la saucisse.
. Je répéte: " Vous serez comme Dieu" est la meilleure garantie pour
ne jamais tc devenir!
3. La cause de tous problèmes humains et comment les vaincre
Après tout ce que nous avons vu jusqu'à présent, la réponse
devrait être évidente . Quelle est la cause fondamentale de tous le
problèmes humains
C'est l'idée de s é paration. Comme nous l'avons vu, cette
séparation est une illusion~ il n'y a pas de séparation dans l'univers; il n'y
a pas de séparation entre vous et moi; il n 'y a pas de séparation entre vous
et tous les autres êtres humains. L' idée de séparation est une illusion qui
mène inévitablement aux confl its, donc aux problèmes. On devrait
maintenant se poser la question suivante: pourquoi créons-nous cette
séparation'? Que lle en est la raison'? Une fo is encore la réponse est
s imple:eela vient d ' un manque d'amour! L'amour est un sentiment d'unité,
l'idée de séparation est un manque d'amour.
Partout où l'idée de séparation devient trop présente: les problèmes
surviennent. Pensez par exemple à la séparation entre l'homme et la
nature. Nous commençons à comprendre que l'homme fait partie de la
nature. et que les deux forment une unité: et déja notre conception du
monde a changé. Celui qui se sent UN avec autre chose traite cette autre
chose de façon différente que s'il en est séparé.
Pensez aussi à la séparation entre l'homme et la femme. Là où
l'idée de séparation devient trop évidente, les problèmes surgissent. Ou
bien pensez à la sêparation entre les religions. Combien de guerres ont été
335
menées pour cette raison? Pensez également à la séparation entre le
management et les employés;quand le. fossé de séparation devient trop
large, vous pouvez vous attendre à des problèmes.

Cette idée de séparation naît en nous~mêmes. Nous avons établi en

nous-mêmes cette séparation ·entre la tête et le coeur, entre l'intellect et
l'amour. Nous avons rejeté l'amour au profit de l'intellect. Nous avons
adoré le "dieu de l'intellect" et ainsi nous avons ouvert la porte à tous les
problèmes connus. Si nous créons la séparation en nous, nous projetons
automatiquement cette séparation à l' extérieur. Ce qui est de nouveau lié
au principe que tout est UN. Si je suis séparé en moi-même, je perçois
aussi le monde de manière séparée. Un grand nombre de gens souffrent de
cette séparation. Et quand cette souffrance devient insupportable, le pas
vers la drogue n'est pas loin. A mon avis, tes toxicomanes sont des êtres
particulière-ment sensibles à ia recherche de l'unité. Vu sous cet angle, les En guise de bouquet final je voulais offrir au lecteur une
drogués sont un miroir de notre société. Une fois encore, le problème de gerbe de lumière. Ce sont des morceaux choisis
la drogue ne peut être résolu qu'à l'aide de l'amour et cela veut dire: par le
d'enseignements qui nous ont été donnés par les êtres qui
rétablissement de l'idée de l'unité de la vie!
sont nos guides.
Nous voici revenus au résultat déjà mentionné pour la solution de
tout problème: la clé se trouve en chaque être humain, et non quelque p~rt Puissent ces paroles vous aider comme elles le font pour
dans le monde extérieur. moi et vous permettre de vous lever au-dedans de vous.

Pour vaincre tous les problèmes, il vous faut vaincre l'idée de

séparation en nous-mêmes, ce qui implique plus d'amour envers nous-
mêmes et envers tout ce qui est. En une phrase:

.. Aime ton prochain comme toi-même".

Même d'un point de vue scientifique ou économique on ne peut

rien exprimer d 'autre.

336 337
 L'amour total n'est pas et ne sera j amais une affaire de respiration, ni
une taçon de placer la main sur Je cœur. Il est le cœur lui-même. Par cela,
tou t est dit. Comprenez maintenant q u'en dehors d e cela, to ut est
simagrées ; tout est support et illusion d'action. La terre ne peut plus
supporter d'apprentis amoureux. La terre veut être elle-même. Ne
cherchez donc plus d'excuses à vos faiblesses, à vos relations parfois si
difficiles ... Les déchirements c t les suspicions sont autant de chardons à
transmuer en roses, autant de fenêtres à ouvrir ...
Mais puis-je en dire davantage? Il n'y a plus de place, ni pour le calcul,
ni pour le verbiage ; "Soyez" c'est tout ce que nous demandons, c'est tout
ce qu'un jour vous avez souhaité venir réaliser.
Soyez donc clairs avec ce que vous voulez, ... le virage dépend de votre
capacité d'aimer et de votre force de confiance. Votre capac ité d'aimer doit
être le fossoyeur des vieiUes habitudes, des qut!relles dérisoires. Comment
parler de paix. si entre vous vous n'en connaissez pas la première lettre.
Savez vous ce que signifie le baiser de paix que vous vous donnez
mutuellement '? Qu'il ne renfenne aucune arrière-pensée. L'arrière-pensée
exerce un travail de sape et brise les forces de consolation que nous
voulons faire vôtres.
Quel début de solution vous proposer autre que le silence ? Savez-vous
ce qu'est le silence ? Il est la vo ix du cosmos. Il est un chant continu qui
peut emplir vos jours et vos nuits. Non, cela n'est pas une belle phrase que
nous vous transmettons pour le plaisir du verbe. Ces quelques mots
reflètent une vérité première. Ecoutez Je silence ct vous vous relierez à
votre être primordial. De sifficments aigus en chants à peine audibles,
338
vous remonterez ainsi au fil des mois jusqu'à la source dont vous êtes
issus. La mélodie du prâna dans votre corps peut vous conduire elle aussi
à la symphonie du père dans l'univers. C'est une ligne droite que certains
auront peut-être la nécessité d'emprunter. Ecouter le silence est une forme
de méditation pour celui qui veut transmettre, pour celui qui se place à
m i-chemin entre l'éternelle lumière et l'ombre. Ecouter le silence ne
contraint pas à la solitude. Vous devez être capables de le percevoir au
sein d'une foule palpitante. Ecouter le silence c'est plonger en vous-même
comme si vous plongiez au cœur du monde. Non pour vous abreuver Je
mental de son spectacle mais pour lui offrir votre joie. Que le silence de
nos esprits parvienne j usqu'à vous, c'est presque ce que nous avons de
plus cher à vous souhaiter.
L'émotivité est encore à combattre panni vous, l'affectivité également.
Il faudra que vous restiez de marbre, non pas insensibles et froids mais
forts de la confiance et du sourire que nous avons tentés de vous offrir.
Dans Je cas contraire , vous encombreriez votre esprit de scories de
l'égrégore de vos angoisses humaines que vos masses média colportent et
nourrissent si bien. Soyez stables, fermes, fermes dans ce que vous savez
de l'Amour à découvrir, vigilants quant à ce que vos oreilles croir:ont
entendre.
Le cœur que vous devez rechercher se situe dans la moindre de vos
cellules. Chacune des molécules qui constituent votre être dans sa totalité
doit être incorporé e par l'Amour absolu. C'est par cette prise de
conscience seule que votre être peut se transmuter progressivement et
aider autrui à la transmutation. Chacune des cellules de votre corps
représente l'absolu de la Lumière, l'absolu de la pureté, si ce n'est en
réalité tangible, du moins en puissance.
339
 Portez donc l'Amour du creux de vos poitrines jusqu'à la fleur de votre
peau, jusque dans le scintillement de vos regards, jusqu'à la plante de vos
pieds, jusqu'à vos pieds, j usqu'à vos narines qui hument l'air, jusqu'à votre
bouche qui peut en exprimer plus que les germes. Tous vos sens sont des
organes aptes à incorporer le Kristos. Ils sont un peu de Kristos qui
cherche à se découvrir. Ainsi, votre tâche est de porter votre cœur partout
où l'énergie circule en vous, partout où cette vie vous conduit. Ainsi vous
serez guérison vivante. Ainsi, vous serez Lui, Lui dont le retour n'attend
que cette forme d'expression pour éclater au grand jour. Vous le savez .
bien, il n'y a pas de sermon qui puisse faire comprendre cela, il n'y a pas
de recette qui permette de l'intégrer. C'est la vie qui va vous l'enseigner,
laissez-la simplement venir afin de la redistribuer sans mesure.
N'opposez rien, n'opposez pas même l'intérieur et l'extérieur, te dehors
et Je dedans, votre amour est l'amour suprême. Lorsque vous sentez la
nécessité de vous transmuter en canal de guérison ne voyez donc dans le
choix de ce terme qu'une commodité de langage. Le langage peut parfois
dangereusement faire naître des concepts erronés. L'univers intérieur et
l'univers extérieur ne sont si l'on veut aller au fond du problème qu'une
pure création mentale. [l y a simplement l'être, pas même vous et les
autres, pas même votre Père et les autres, pas même l'esprit et le corps. Il
n'y a en vérité, qu'une conscience ct si vous comprenez ce que cela
signifie vous saurez en réalité que vous demeurez en permanence, en
quelque point de la création que ce soit, au plus profond de vous même
comme aux confins, ou du moins à ce qui semble être les confins de la
galaxie, de nos galaxies. Si vous comprenez cela. vous êtes l'intérieur et
l'ex térieur, vous êtes _le soi n, c 'est-à-di re q ue vous êtes l'amo ur
omniprésent.
340
Un mot est un monde, une phrase une galaxie. Sachez donc quelle est
exactement la teneur de ce que vous dites, apprenez à ne plus souffler
inconsidérément sur les mots comme pour les expulser loin de votre
bouche. Le désordre qui sort de vos gorges et de vos langues ne sera
jamais, comprenez-le, que le refl et d'un désordre mental. Soyez à la
mesure de vos aspirations. Les mondes que vous créez encore sont trop
semblables à des bulles de savon qui éclatent. Mettez donc un ordre réel
dans vos paroles et vous mettrez de rordre dans votre esprit Nous ne
voudrions pas induire en vous l'idée d'une auto surveillance de chaque
instant, mais plutôt celle d'une vigilance, simplement une vigilance
doublée d'un peu plus d'amour.
Au temps des patriarches, l'humanité vivait et vibrait au rythme de 1a
force primaire du Père, dans le domaine de ses premières pulsions. A
l'heure de votre Frère Kristos, l'humanité s'est hissée jusqu'à son point de
rencontre avec l'amour. Hélas celui-ci a été trop souvent confondu ave<:
l'affectivité. Dorénavant sonne le temps de l'Esprit, celui de la Colombe,
celui de la créativité et de la concrétisation. Celui aussi de la domination
du mental. Voilà pourquoi il vous faut absolument domestiquer votre
centre laryngé. laissez venir à vous un peu plus de silence un peu plus de
pa1x.
Il en est parmi vous qui, une fois de plus s'endorment, qui sommeillent
dans leur bonne conscience, qui s'abritent derrière la force et la ténacité
des autres, qui enfin n'ont pas compris que l'on ne se construit pas non
plus en fai sant de son jardin intérieur une excuse, un prétexte ou une
obsession. On se construit aussi et sans doute avant tout sur le terrain de
l'amour des autres. C'est sur le terrain que l'on apprend d'abord à connaître
un peu mieux les mots .que l'on utilise et les émotions que l'on suscite.
C'est sur le terrain où l'on oublie aussi son orgueil, ·sa fierté pour
341
redécouvrir sa propre noblesse et celle d'autrui. C'est le terra!n du regard,
juste, sans d étour et volontaire de ceux. qui perçoivent le Souffle. Nous
voudrions que vous soyez si nombreux. à le recevoir ce Souffle, vous qui
souvent avez la prétention de mieux savoir, de mieux comprendre, que la
maj orité des humains. Recevez-le enfin, non plus au gré de ce qui vous
arrange dans les détours de votr~ personnalité, mais comme le faisceau de
lumière qu'il est, c'est-à-dire, sans vaines hésitations, sans faille.
Pratique pour endiguer l'émotion
Vous commencez par placer votre main gauche sur votre troisième
plexus tandis que la droite ira se loger à l'endroit du quatrième. Vous
demeurerez ainsi un bon moment, tes yeux clos, laissant aller votre
respiration librement.
Au bout d'un certain temps, vous tenterez de visualiser, sur votre écran
intérieur, l'image d'une coupe translucide qu'un léger filet d'eau emplit
légèrement. lorsque celle-ci sera pleine, c'est-à-dire lorsque votre cœur
sera plein d'une onde fraîche, inspirez puis expirez totalement, de tout
votre être, afin d'expulser la myriade de formes-pensées embryonnaires
qui déjà se voyaient générées par la situation. Que chacune de vos mains,
ensuite, se haussè d'un degré, ainsi, que la gauche cherche le quatrième
plexus et la droite le cinquième. Vous émettrez alors le son M et vous
sourirez en remerciant la vie de vous faire vivre ces instants.
N'ayez pas peur alors de lui adresser quelques phrases, quelques
phrases qui seront toujours les mêmes dans cette situation et qui pourront
revenir d'elles-mêmes. tel un leitmotiv. Enfin, vous joindrez les deux
mains ct vous ouvrirez les yeux.
Ainsi pourrez-vous procéder, mais n'oubliez pas que le bâton de pèlerin
présuppose votre volonté de marcher. Ne le comparez pas à quelques
pilules anesthés iantes. Son but est de vous renforcer, épreuve après
épreuve tout en vous laissant votre entière lucidi~, car ce n'est pas dans
l'oubli de l'émotion et de ce qui la génère que la clé se situe mais dans le
342
taux vibratoire avec lequel vous l'abordez puis le survolez. Vous devez
aller au-delà de votre masque, non par la fuite mais par amour pour cette
vie qui coule en vous et qui représente tellement plus que ce que vous
imaginez. Que toute la paix dont vous avez soif soit accueillie en pleine
consc1ence.
(Pratique tirée du livre d'exercices "Sois"- Ed Amrita)
Pratique pour donner la Paix
La propagation de la Paix est la première de vos charges, la première
pierre aussi de votre engagement, la première marche de l'humanité vers
elle-même. Pour parler de paix, il faut savoir ce qu'elle est et être capable
de ta donner. Elle ne s'offre pas par des mots, mais vous devez vous en
douter, par un rayonnement. Ce rayonnement doit se montrer tet qu'iJ est
aux. origines et non pas déformé par le miroir mental de l'auto-satisfaction,
du désir de la bonne action à accomplir. Non, nous sommes loin de tout
cela si nous voulons donner le rayonnement vrai de la Paix. Celui-là doit
être un flambeau qui jaillit de notre esprit, traverse notre âme et se lit s~r
notre corps. C'est dire qu'il doit modifier intégralement et de façon
durable votre aura. C'est un travai l de reconstruction de soi que nous
voulons donc induire en vos êtres profonds. Vous devez être solides pour
donner ce qu'on attend de vous. Votre aura ne doit en aucune façon être
une muraille autour de votre corps ainsi que cela en est trop souvent le
cas. De quoi voulez-vous vous protéger puisque vous n'avez rien de vrai à
craindre. Que craint-on d'un artifice sinon les coups d'épée dans l'eau?
Pour donner la Paix, non pas la Paix des étoiles ou de ta terre mais la
Paix du cosmos entier, sans simulacre nous vous proposons donc une
petite méthode qui peut vous simplifier la tâche. Mais par pitié. n'y voyez
pas une technique remède à vos faiblesses de diffusion et à votre force de
dispersion. C'est un simple point d'appui, une forme de mortier
supplémentaire apporté à la reconstruction de votre édifice:
343

"Assis sur le sol, les yeux fermés, respirez l'air ambiant, imprégnez-
vous en par de longues et profondes inspirations. Ne forcez pas en ce sens
vos respirations car une hyper oxygénation de votre organisme ferait
actuellement un travail intense. Ce qui importe surtout, c'est de trouver le
sens de cette respiration ...
Savez-vous qu'à chacune d'elle, vous absorbez intégralement l'énergie
Christique. Cela n'est pas une figure de style de notre part. Notre Frère le
Soleil est présent tout entier dans la plus petite particule d'oxygène que
vous assimilez. En même temps que vous respirez, voyez donc le soleil
em plir votre cage thoracique puis vos veines. Ce n'est pa s une
visualisation que nous vous proposons mais une simple tâche de prise de
conscience et de lâcher prise. Assimilez l'énergie de Vie contenue dans
chaque élément air. Jusqu'ici vous l'avalez, vous l'engloutissez sans en
percevoir la saveur et les infinies vertus. C'est une des bases, comprenez-
le, que cette simple compréhension. Lorsque cela commence de
s'accomplir efforcez vous, les yeux clos, de ne pas garder cette énergie
pour vous. Pourquoi faire des provisions de ce qui est inépuisable. Ainsi
donc à chaque inspiration, projetez en douceur votre aura de plus en plus
loin de vous. Que vous la sentiez blanche, bleue ou autre importe peu, au
til des jours et des mois, elle tissera son réseau de plus en plus parfait, de
plus en plus loin <(e vous et aussi de plus en plus concret. Vous donnerez
ct commencerez à donner ce que l'on attend de vous et qui n'a pas de nom.
Pour tous les êtres, dans tous les mondes, pour tous ceux qui espèrent un
signe, voilà ce que nous vous demandons. Ce n'est pas une prière mais un
. "
espotr.
344
Pratique pour aider la Terre
Cette méditation nous a été transmise par les Etres de Shambhalla car,
pratiquée régulièrement, elle apporte un baume guérisseur extrêmement
efficace à notre planète.
« Frères, nous remettons ta planète aux mains de l'humanité.
Comprenez ce que cela signifie. La Race des Hommes appelle ceux.
qui s'ignorent. à cheminer avec elle ...
Par ma voix, la Terre de Shambhalla vous remémore maintenant une
vieille façon d'agir, utilisée autrefois chez les peuples du soleil. Ce n'est
pas une technique mais un moyen d'ouvrir la nouvell~ ère du Don. Nous
la nommons, la Transmission du pissenlit. Elle voyagera à nouveau db
poitrine en poitrine.
Voici : lorsque l' homme ct la femme auront l'âme ouverte à la
Métamorphose de leur genre, ils s'assiéront à même le sol et les pieds
déchaussés. Ils écouteront leur silence et sentiront la lumière de Shangri-la,
tourner autour d'eux. Alors ils projetteront sur l'écran de leur conscience
la sphère duveteuse d'un pissenlit à essaimer. Ils en verront les mille
graines dans toute leur perfection puis chargeront chacune d'elles de
toutes les qualités dont la Terre a soif. ,
Ainsi rayonneront la graine de l'harmonie, celle de la tolérance, de
l'amour inconditioMel, de la Paix et de tous les trésors qu'un cœur peut
contenir et générer. Lorsque la sphère duveteuse sera ainsi chargée de ses
messages, l'homme et la femme, d'un même souffle intérieur, en
éparpiJieront les joyaux étoilés. Ils les verront se disséminer à travers les
cieux des cent contrées de la Terre et y déverser leur suc. N'ignorez plus
ce qu'un tel travail de la pensée peut accomplir. Le vouloir de l'Amour se
déplace plus vite que je ne saurais le dire. Il revêt un corps tangible dans
les mondes subtils pour se déverser telle une pluie sur la matière des
hommes.»
345
 Lexique
Aura : Emanation plus ou moins colorée autour de tout corps
humain. Champ de force dégagé par tout être vivant.
Bilderberger : Organisation secrète fondée en mai 1954 en
Hollande par le prince Bernard des Pays-Bas. Elle est composée
de 120 magnats de la haute finance d'Europe de l'Ouest, des
Etats-Unis et du Canada . Ses buts sont l'institution d'un
gouvernement mondial d'ici l'an 2000 et d'une armée globale sous
le couvert de l'ONU. On l'appelle aussi "le gouvernement invisible".
CFR (Concil of foreign relations) : Avec la commission trilatérale,
il contrôle toute l'économie des Etats-Unis, la politique, l'appareil
militaire, le pétrole, l'énergie et le lobby des médias. Il est issu de
la "round table" dont le but était d'élargir la langue anglaise au
monde entier.
CIA : "Central Intelligence Agency", agence américaine de
renseignements, service d'espionnage (équivalent de la DGSE).
Club de Rome : Il fut créé par le clan Rockfeller qui le finance
aujourd 'hui encore. Il regroupe des membres de l'establishment
international de 25 pays soit 50 personnes environ. Son but
principal est de créer un "gouvernement mondial" en se basant sur
l'élite et une religion unique mondiale.
Commission trilatérale :Organisation secrète créée en Juin 1972
par David Rockfeller et Zbigniew Brzezinski. Son but est de réunir
dans un seul pool les puissances de pointe des géants de
l'industrie et de l'économie (c'est-à-dire, des nations trilatérales,
Etats-Unis, Japon, Europe de l'Ouest). Elle vise à créer "le nouvel
ordre mondial". Elle permet à l'élite venant des différentes
346
branches de la franc-maçonnerie de se rencontrer à une échelle
mondiale pour collaborer à un travail secret et élargir l'influence
politique des "Bilderberger". Elle se compose de 200 membres
permanents.
FBI : "Federal Bureau of Investigat ion", service de contre-
espionnage améri ca in (éq uivalent de la DST : Direction de
Surveillance du Territoire).
Fraternité du Serpent : D'après des tablettes sumériennes et la
thèse de Zécharia Sitchin auteur de "au début était le progrès• et
"la douzième planète". il s'agirait d'une confrérie eyavante qui s'était
donné pour but de répandre des connaissances spirituelles et
d'atteindre à une liberté spirituelle. Elle combattait l'esclavage
d'êtres spirituels et essayait de libérer l'humanité de la servitude
des extra-terrestres. L'histoire montre que malgré les efforts jusqu'à
nos jours de beaucoup d'hommes dévoués et loyaux voulant
instituer une véritable réforme spirituelle à l'aide de la fraternité, la
confrérie du serpent devint avec les "illuminati" une arme
redoutable d'oppression spirituelle en falsifiant la Bible actuelle sur
des points essentiels pour satisfaire le désir de puissance de
quelques-uns.
llluminati : "Ceux qui savent". groupement qui remonte à environ 3
000 ans avant J.-C. et qui infiltra "la fraternité du serpent" à des fins
négatives. Leur but est une domination mondiale en créant la
division. Ils sont parmi les plus riches du monde et apparaissent
rarement officiellement. Ce groupement réapparaît en 1776.
MJ 12: En 1954, Eisenhower constitue un comité permanent dont
le rôle est de superviser et de diriger les activités secrètes ayant un
rapport avec les questions extra-terrestres. Il est composé de 12
hauts fonctionnaires. Son but est en fait de détourner la curiosité
de la presse et d'autres à ce sujet. Par la suite, des membres de la
347
commission trilatérale en firent partie. Ce comité est encore
présent aujourd'hui. Il a porté différents noms, dont le Pl 40.
Nations-Unies : Lors du congrès des francs-maçons du 28 au 30
juin 1917 à Paris. ceux-ci décidèrent des principes directeurs qui
furent aussitôt votés. Ce fut l'heure de la naissance de ta Société
des Nations qui vit le jour en 1919 à Genève. Les Nations Unies
naquirent de cette Société des Nations en 1945 à San Francisco.
OTAN : Organisation du Traité de l'Atlantique Nord ou Alliance
Atlantique -Traité d'Alliance entre les Etats--Unis et certains pays
d'Europe.
Plexus : Centres subtils et énergétiques se situant sur le corps
humain le long de l'axe de la colonne vertébrale.
Solidamosc : Syndicat polonais fondé par lech Walesa qui a joué
un rôle important dans le passage du communisme au capitalisme
en Pologne.
Société Jason : Dans les douze hauts fonctionnaires du MJ12, six
membres font partie de la société Jason. C'est une société occulte
formée uniquement d'anciens de Harvard et de Yale. Cette société
compte aujourd'hui des membres de la commission trilatérale.
UCLA : University of California - los Angeles - Université
prestigieuse de l'Etat de Californie aux USA.
348
Bibliographie et Sources
Livres pour approfondir ce sujet :
- La Mafia Médicale G. Lanctôt ed. Voici la clef- diffusion Altess
-L'Ultime supercherie Robert Willner,M.D.PH.D. Ed. Soleil
- Le Gouvernement Secret Richard Glenn-Ed. Louise Courteau
- Le Monde Secret de L'Opus Dei Michael Walsh- Ed. Pygmalion
- La danse avec le diable Gunther Scwab Ed.Le Courrier du livre
·Les Sociétés secrètes Jah van Helsing Ed . Monsieur Félix
Revues pour approfondir le sujet :
- L•lmpatient 9 rue Saulnier 75009 Paris
-La Lune Salle d'attente par Melkior Karamenski
- Etrangeté et Mystères Numéro hors série Juin 92
-La Domination du monde par les llluminati par Hugo Narth
d'après un texte de Serge Monast -Etrangeté et mystères numéro
4 Juin 92
• Les puces vont bientôt gouverner Etrangeté et Mystères
numéro 24 de mars 96 page 13 à 22 par Hugo Narth d'après un
texte de Serge Monast
- La grande valse des vaccinations ou Le règne des savants
fous Dr Alain Scohy 146 impasse des cigales-ROC quartier du
Bresis-301 00 Alès
- La Revue Nexus 24580-Piazac
Autres revues :
- lnfo-Matin
• Le Nouvel Observateur
- Le monde Diplomatique
- La Revue Connection (n'existe plus)
-Jonas
- Sciences et Avenir
349
 Bibliographie et Sources
Livres sur les extra-terrestres:
S i les articles extraits de la revue NEXUS vous ont intéressés
vous pourrez les retrouver dans leur intégralité et en découvri;
de nouveaux, toujours d'une étonnante actualité dans le magazine
-Alliance Anne Givaudan - Ed. Sois NEXUS
• WALK- IN Anne Givaudan - Ed. Sois _
- Mes Amis les hommes de l'espace Howard Menger- Ed. Dervy
- Les Années Lumières Gary Kinder (anciennement chez Ed.
Amrita)
-Contact d'outre Espace Pierre Monnet
- Les Messagers de l'Aube Barbara Marciniak - Ed. Ariane

Livres à mettre en pratique au quotidien:

-Par l'Esprit du Soleil Anne Givaudan et Daniel Meurois Ed. Sois

- Celui qui vient T1 Anne Givaudan et Daniel Meurois Ed. Sois
- Wesak Anne Givaudan et Daniel Meurois - Ed. Sois
- Sois Pratiques pour être et agir- Anne Givaudan et Daniel
Maurois- Ed. Sois

Livres et Revues " positives ":

·Artisans de leurs Miracles Docteur Christian Tai Scaller avec la
collaboration de Maitre Johanne Razanamahay - Ed . Vivez-Soleil
-Le principe lola René Egli - Ed. D'Olt

- Envol et Vous 67 a route de la roche B. 6990-Hampteau

-Félicité Rue de la Vignette 215-1160 Bruxelles
- Positive News: www.positivenews.org.nt N°5 Bichon entreprise
center, Glun, shnopshire, SY78NF

Autres lectures possibles :(non mentionnées dans les Parution bimestrielle

articles de cet ouvrage)
-Un monde Sans loi (la criminalité financière en images) Ed. Stock
-L'état inquisiteur Ed. des 3 Monts Joël Labruyère
- La Secto-phobie Ed. des 3 Monts Joël Labruyère
• Les mots sont des fenêtres ou des murs de Marshall B.
Rosenberg Ed. Syros
«Pour conna;tre afin de ne plus subir et d'agir pour que Je pouvoir de
l'amour supplante l'amour du pouvoir, je suis heureuse de vous présenter
la revue Nexus, une revue internationale que j'ai pu introduire en langue
française avec l'équipe des éditions Moan. Je vous en souhaite une
lecture constructive.» ANNE GIVAUDAN
Pour tous renseignements : EDITIONS MOAN
LES CHEVROUX 24580 PLAZAC
TEL : 0553506916 FAX; 0553507110

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 STAGES AURASOIS
par Anne Givaudan et Antoine Achram
• Approche des soins Esséniens
Les soins et lecture d'auras, d'origine plus lointaine encore que l'époque essénienne, nous
offrent des pratiques d'une actualité étonnante pour transfonner, dénouer, apaiser,
rééquilibrer tout ce qui peut nous sembler barrer la route. La maladie n'y est pas
considérée comme une ennemie à combattre mais plutôt conune un signal de notre âme
pour nous parler de son mal-être.
Ces stages sont réservés aux thérapeutes en priorité.
Formation: trois ans.

• A la rencontre de Soi
Dans cet atelier, chacun peut découvrir un nouvel aspect de lui-même, mais surtout poser
un regard différent sur ce qui l'entoure.
Ces journées s'adressent plus précisément à tous ceux qui veuleot comprendre le sens des
maladies ou du mal-être qui les habitent et aller plus profondément en eux, pour les
comprendre et les transformer.
Stage : de 5 jours avec des praliques individuelles et collectives.

• Naître à la vie et vers un nouveau départ

L'expérience vécue à travers des mondes et des dimensions non physiques ont permis à
Anne Givaudan \IDe approche très particulière de la naissance, de la mort et du regard que
nous portons sur la vie.
le Dr Achram, par son expérience de l' ètre humain, son approche en tant que thérapeute
et ses connaissances pratiques, vous aidera à travers ces différentes étapes.
Renaître en conscience, réaccepter sa propre naissance, appréhender la mort
différemment, sont les axes principaux. de ce stage.
Stage : de 3 jours.

Pour tout renseignement pratique et le contenu détaillé des stages, envoyer

une enveloppe timbrée à
AURA SOIS FORMATIONS
24580 PLAZAC
TéVFax: 05 53 51 19 50

Web: http://perso.wanadoo.fr/givaudan-achram/
e.mail : aura-sois@wanadoo.fr

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 Dossiers
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